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Pour vulgariser la culture de pilotage: Un forum des chefs de projet est né

Mon, 10/15/2018 - 12:22

Par Madjid BERKANE

«Le FCP aspire, à travers sa création, à combler le déficit en connaissances théoriques et pratiques en matière de pilotage des projets reconnus et appliqués à travers le monde.»

Contrairement à ce que laisse entendre sa dénomination, le Forum des chefs de projets(FCP) dont le lancement officiel a été donné hier n’est pas destiné uniquement aux porteurs de projets en activité, mais à tous ceux qui veulent s’approprier la culture de pilotage des projets.

Il est ainsi destiné à tous les diplômés universitaires et les cadres des entreprises. Selon Mounir Chérif, président de ce forum qui s’exprimait hier au forum du journal El Moudjahid, «le FCP cherche à travers sa création à combler le déficit en connaissances théoriques et pratiques en matière de pilotage des projets reconnus et appliqués à travers le monde».

L’inscription au forum nécessite le respect de certaines procédures. En effet, explique le président du FCP, «les inscrits auront à suivre une formation de 12 mois au terme de laquelle ils auront des diplômes dans le pilotage des projets», a expliqué le conférencier notant que la formation est payante. «Les inscrits, une fois qu’ils auront terminé la formation théorique, passeront à l’étape des simulations. Cette dernière consiste en des exercices pratiques au bout desquelles, les inscrits pourront juger leur formation et s’auto-corriger», souligne-t-il.

Pour le président du FCP, le pilotage des projets a une méthodologie et des spécificités totalement différentes du management général. «L’instauration de la culture et de l’esprit «projet» est indispensable en particulier pour la promotion du chef de projet en tant que métier et non pas en tant que fonction», explique Mounir Chérif, déplorant l’absence pour l’heure de cette culture en Algérie.
«Le FCP aspire aussi à vulgariser à moyen terme la culture du pilotage au sein des établissements scolaires. Des sessions de vulgarisation de cette culture seront proposées au ministère de tutelle afin de les programmer au profit des élèves.

La culture de pilotage doit être apprise dès le jeune âge comme cela se fait partout ailleurs», a insisté le conférencier. Interrogé par ailleurs, si le FCP ne va pas chercher un rapprochement avec le Forum des chefs d’entreprise (FCE), Mounir Chérif a indiqué que «le FCP n’est pas intéressé par cette idée, par contre si le FCE le souhaite, il est le bienvenu.

Le FCP se propose à toute institution cherchant de l’aide en matière de pilotage des projets», dira-t-il. Sur la question du choix du timing pour le lancement de ce Forum, l’invité d’El Moudjahid a fait savoir que le choix de timing ne répond à aucun agenda autre que le fait qu’il correspond à la fin des préparatifs nécessaires pour son lancement.

Le président du FCP a souligné en outre que ce forum aura des bureaux à travers toutes les wilayas. Le FCP activera sur le plan organique en tant que section de l’Académie de la société civile algérienne.
Le Forum des chefs de projet va se porter aussi volontiers en ce qui concerne la prise des décisions économiques du pays.

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Categories: Afrique

Alors que la crise à l’ APN en est à son 20e jour et que la loi de finances est tombée: L’opposition s’accroche à sa neutralité

Mon, 10/15/2018 - 12:19

Par Mohamed BOUFATAH

Les députés ignorent si l’activité programmée par la commission défense de l’APN sera maintenue.

L’opposition parlementaire reste dans l’expectative par rapport à la crise qui frappe l’APN, depuis maintenant une vingtaine de jours, alors que la loi de finances a déjà atterri à l’Assemblée.
Les cinq groupes de l’opposition parlementaire(MSP, FFS, PT, l’union d’El-Adala-El Binaa-Ennahda), auxquels s’ajoutent les députés du RCD, affichent leur «neutralité» par rapport à la crise. Face à cette brèche ouverte, l’opposition ne veut pas s’y engouffrer et avance, en rangs dispersés.
«La neutralité» semble être la stratégie commune de l’opposition parlementaire.

Dans ce contexte, Djelloul Djoudi, chef du groupe parlementaire du PT, a indiqué que «son parti n’est pas concerné par cette crise: on est ni avec les uns ni avec les autres». Pour, Djelloul Djoudi, «l’impasse à laquelle est parvenue cette assemblée montre la justesse de notre analyse et de notre position pour le renouveau politique, consistant à élire une Assemblée nationale constituante qui élaborera une nouvelle Constitution pour instaurer la démocratie et redonner la parole au peuple», autrement dit, la «dissolution» de l’actuelle Assemblée.

Le chef du groupe parlementaire du MSP, Ahmed Saddok, a indiqué que «l’APN peut continuer à fonctionner sans les députés de la majorité qui ont gelé leurs activités, conformément à une disposition de l’article 58 du règlement intérieur», a-t-il appuyé. «En tant que groupe parlementaire du MSP, on n’est pas concerné par ce gel qui reste une méthode primitive et illégale», a-t-il ajouté. D’ailleurs, ce parti compte organiser une journée d’étude sur la loi de finances 2019 mercredi prochain. Il a rappelé que «sa formation a lancé une initiative de médiation entre Saïd Bouhadja et les frondeurs, sans l’annoncer à la presse. Laquelle offre «s’est heurtée au refus catégorique des députés de la majorité», a-t-il fait savoir. Par conséquent, poursuit-il «la situation a empiré davantage, car aujourd’hui, l’Assemblée est dans une impasse totale où chaque partie s’est cramponnée à sa position, en refusant de faire le moindre compromis».

«L’initiative de médiation du Front El-Moustakbel, qui a convoqué les groupes de l’opposition parlementaire, n’a pas abouti car elle est mal partie »». «Elle a été annoncée à travers la presse avant d’avoir informé les autres groupes parlementaires», a-t-il estimé. Pour ce député, «l’issue à cette crise passe nécessairement par le dialogue et les concessions qui doivent être faites de part et d’autre; supposons que ce problème relève d’une affaire interne à l’APN, en revanche si la crise est provoquée et nourrie par des parties externes à l’Assemblée, la solution sera impossible à dégager». Plus précis, il dira: «Aucune initiative ne pourra aboutir, car les deux parties qui restent dans l’expectative, obéissent à des injonctions venues de l’extérieur de l’Assemblée.»

Par ailleurs, les députés ignorent si «l’activité relative à la formation de 60 cadres de l’Académie militaire de Cherchell programmée par la commission défense de l’APN sera maintenue». Selon un parlementaire, «cette activité aurait été transférée au Conseil de la nation, car le président de cette commission a gelé ces activités». D’après une autre source, «si annulation de cette activité il y a, elle n’est pas parvenue aux députés».Pour rappel, nombreux sont les députés qui affirment que «le gel de l’activité de l’APN n’est pas légal et l’Assemblée peut continuer à fonctionner sans les députés de la majorité».

Le règlement intérieur de l’Assemblée populaire nationale stipule qu’en cas d’absence de quorum pour le vote des projets de loi, on peut suspendre la séance de 6 à 12 heures; après quoi, le vote s’effectuera, quel que soit le nombre de députés.

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Categories: Afrique

Oran: Trois meurtres en l’espace d’une semaine

Mon, 10/15/2018 - 12:16

La capitale de l’Ouest algérien a connu son troisième homicide, qui a eu lieu à la cité des Oliviers d’Oran, en l’espace d’une semaine à peine. Un drame familial sordide qui a mis aux prises un oncle à son neveu, selon les premiers témoignages recueillis par les services de sécurité.

Les témoins de ce drame tragique, affirmèrent que les relations entre l’oncle et son neveu, s’étaient détériorées depuis quelque temps, jusqu’à devenir exécrables l’oncle âgé de 30 ans accusait le fils de sa soeur, âgé de 19 ans d’être responsable dans l’agression de sa mère, une altercation s’en est suivie entre les deux hommes, ce qui poussa l’oncle à perdre le contrôle de lui-même pour commettre l’irréparable, en poignardant mortellement son propre neveu de plusieurs coups de couteau, une fois son forfait accompli, il s’évanouit dans la nature.

Le corps de la victime a été transféré à la morgue de l’hôpital universitaire Ben Zerdjeb d’Oran. Les services de sécurité ont déclenché de leur côté, les recherches pour appréhender le fugitif, afin de le livrer à la justice.

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Oran: Un corps sans vie jeté sur le bas côté d’une départementale

Mon, 10/15/2018 - 12:14

Les éléments de la Protection civile d’Oran ont découvert vendredi dernier, le corps d’un jeune âgé de 37 ans, sur le bas côté d’une départementale, reliant les communes de Gdyel et de Hassi Ben Okba à 20 km à l’Est de la wilaya.

Les médecins dépêchés sur les lieux, ont constaté, des lacérations multiples et profondes sur différentes partie du corps de la victime.

L’identité du supplicié a été rendue possible grâce à ses papiers d’identité retrouvés sur lui. Il serait originaire d’une commune voisine de Hassi Bounif, relevant de la daïra de Bir El-Djir.

Selon les témoignages recueillis sur place, par les inspecteurs de la Gendarmerie nationale, il s’avère qu’une bande de jeunes suivait le véhicule de la victime, puis l’avait extraite pour l’agresser tout en lui portant des coups mortels.

Le corps de la malheureuse victime a été transféré à la morgue de l’hôpital Mohamed Seghir Nekkache d’Arzew dans l’attente d’une autopsie approfondie. Les meurtriers sont quant à eux activement recherchés.

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Université Akli Mohand-Oulhadj de Bouira: Grève et contestation

Mon, 10/15/2018 - 12:10

Par Abdenour MERZOUK

«C’est une injustice et un abus à l’égard des étudiants studieux (…) un étudiant ayant obtenu une moyenne annuelle de 13 ou 14 est exclu, alors qu’un étudiant ayant obtenu sa licence avec 10 est retenu pour le master. C’est une énormité!»

Les propos sont ceux du porte-parole de l’Union générale des étudiants libres (Ugel) de l’université Akli Mohand Oulhadj. Cette institution est paralysée depuis hier pour un mouvement de grève prôné par cette organisation qui a à son actif plusieurs protestations et actions lors de l’exercice précédent. Selon toujours le représentant de l’organisation estudiantine, les rejets catégoriques de plusieurs demandes à travers le site mis en place s’apparentent à un abus.

Cette plateforme, a été ouverte du 28 juin au 30 juillet, avant d’être réouverte du 7 au 15 septembre, pour faciliter les démarches d’inscriptions aux étudiants. Les inscriptions pour le master se font via ce site. Pour un étudiant en droit, désireux d’obtenir un master en droit des affaires la situation actuelle reste incompréhensible «Moi et mes camarades, nous remplissions toutes les conditions imposées par le ministère pour ouvrir droit au master. Cependant, on nous a refusé ce droit sans prendre en considération nos excellents résultats alors que d’autres étudiants ayant un faible parcours avec un 10/20 de moyenne en session de rattrapage.»

Du côté de la direction, la situation est le résultat d’une mauvaise manipulation des étudiants lors de l’inscription. «Nous avons observé que la plupart des étudiants ont coché la case externe, au lieu de celle interne, or 80% des postulants sont pris dans le registre des internes et seulement 20% dans la catégorie des externes. C’est cet imbroglio qui a créé la confusion» dira le recteur, le professeur Ben Ali Cherif Noureddine.

Concernant le mouvement de débrayage, le recteur trouve que cette grève n’a pas lieu d’être, car selon lui, les recours introduits ont été pris en charge et la nouvelle liste des étudiants en master 1, a été affichée, avant-hier samedi, il a invité les étudiants et les comités estudiantins à plus de sagesse et de réalisme dans leur démarches.

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Béjaïa: discorde sur les dos-d’âne

Mon, 10/15/2018 - 12:07

Par Arezki SLIMANI 

A Béjaïa certains revendiquent des dos-d’âne, d’autres manifestent pour leur démantèlement. Une majorité silencieuse subit. Voilà à quoi est réduite l’activité politique et sociale dans cette ville.

Le feuilleton des Routes nationales continue. Si les RN 09 et 12 sont toujours fermées à la circulation sur fond de revendications en relation avec le cadre de vie des habitants, le cas de la Route nationale 26 se singularise.

Ouverte à une circulation, qui reste difficile et périlleuse depuis l’installation des trois dos-d’âne en réponse à une revendication «citoyenne», un autre mouvement de grève des transporteurs, dont certains n’arrivent plus à assurer leurs rotations en raison de l’énorme bouchon induit par les nouveaux dos-d’âne s’invite. Un imbroglio de plus pour une wilaya qui subit un sous-développement aux conséquences incommensurables.

Après une semaine de tension faite d’un blocage, oeuvre des «habitants» du village Abadou, qui exigeaient il y a une semaine l’implantation de dos-d’âne sur le tronçon d’Abadou, où l’activité économique et commerciale se résume à deux bar-restaurant, deux pompes à essence et un fabriquant de bennes de camion, voilà que les transporteurs et d’autres usagers de cet axe routier, sortent de leur réserve pour revendiquer le démantèlement de ces mêmes dos-d’âne.

Un face-à-face indirect qui illustre toute la complexité de la gestion d’une wilaya soumise à la fronde depuis plusieurs années. Les transporteurs de voyageurs de la vallée de la Soummam, notamment ceux assurant les lignes Tazmalt, Akbou, Seddouk, Sidi Aich et Timezrit vers le chef-lieu de wilaya observent depuis hier une grève générale pour protester contre les nombreux ralentisseurs réalisés sur la RN 26, entre le Village socialiste agricole et la ville d’El-Kseur, plus précisément au village Abadou dans la commune de Fénaïa.

Les transporteurs frondeurs s’estiment lésés et parlent d’un trajet habituel qui coûte une heure de plus de temps. «Depuis l’implantation de ces dos-d’âne, je n’ai jamais pu assurer ma rotation dans les délais requis», expliquait hier l’un d’entre eux. Un autre renchérit «la DTP a réalisé ces dos- d’âne sans se conformer à la réglementation en vigueur, qui détermine les conditions et les normes d’un dos-d’âne». «Trois camions et un bus ont déjà laissé sur place leurs lames de ressort car ils ne traversent pas un dos-d’âne mais une traversée de goudron», souligne un camionneur.

Perte de temps, dégâts de matériel, des bouchons interminables, ce sont là quelques conséquences de ce nouveau paysage de la RN 26. Les dos-d’âne de la discorde continueront à faire parler d’eux. Quelle sera la réponse de l’autorité concernée? Seront-ils démantelés? Va-t-on les réimplanter selon les normes? Autant de questions qui préoccupent les habitants de Béjaïa, qui ne savent plus à quel saint se vouer, tant les insuffisances sont partout et font l’objet de fronde loin de gêner ceux qui ont la charge de les satisfaire. A bon entendeur…

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CEM Emir Abdelkader à Aokas: Les employés débrayent

Mon, 10/15/2018 - 12:05

Par Arezki SLIMANI 

Unanimement, les employés du collège d’enseignement moyen, Emir Abdelkader dans la commune d’Aokas, observent, depuis hier, une grève illimitée pour dénoncer le «mutisme des autorités» concernant la revendication liée à l’existence de l’amiante dans certains locaux de l’établissement.

Hier, les personnels administratifs et pédagogiques ainsi que les travailleurs, sont entrés dans un mouvement de grève illimité jusqu’à ce que cette revendication soit satisfaite, autrement dit les grévistes poursuivront leur mouvement jusqu’à ce que les locaux contenant de l’amiante soient démolis et déplacés ailleurs. «Il y va de notre santé et de celle des enfants scolarisés», indiquait hier un enseignant gréviste qui soulevait notamment le risque «de cancer».

Il est à noter qu’à Béjaïa plusieurs établissements d’enseignement construits en préfabriqué durant les années 1980 contenaient de l’amiante et de la laine de verre. Un programme de reconstruction a été élaboré par la direction de l’éducation. Le lycée de Chemini et le CEM d’Akfadou ont été conséquemment reconstruits. Le programme se poursuit, croit-on savoir auprès d’une source de la direction de l’éducation qui ne précise pas si le CEM d’Aokas est concerné ou pas.

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Tizi Ouzou: Le wali sera-t-il entendu à Azazga?

Mon, 10/15/2018 - 11:47

Par Kamel BOUDJADI

Abdelhakim Chater s’est enquis de l’avancement du nouveau pôle urbain d’Imllel qui devait accueillir quelque 50.000 habitants.

Des instructions ont été données samedi, par le wali de Tizi Ouzou, Abdelhakim Chater, aux conservateurs des forêts pour entamer les travaux d’ouverture d’accès au niveau de la zone d’activité d’Azazga, afin de permettre aux investisseurs de s’y installer.

Le chef de l’exécutif local qui a effectué une visite de travail dans les quatre communes de la daïra d’Azazga, a souligné que l’ouverture de ces accès permettra aux investisseurs qui ont bénéficié des 17 lots au niveau de cette zone qui s’étend sur 35 ha, d’entamer la construction de leurs infrastructures. «Cette mesure vise à gagner du temps en attendant l’aboutissement de la demande de mobilisation de crédit pour la viabilisation de cette zone d’activité crée en 1986, introduite par la wilaya auprès des autorités centrales compétentes», a-t-il ajouté.

Le wali qui a insisté sur l’importance d’encourager l’investissement, créateur de richesses et d’emplois, a visité l’unité de fabrication de transformateurs électriques électro-industrie de la même ville d’Azazga, où il a été informé que cette unité de droit public, a prévu dans son plan de développement, la fabrication locale de générateurs électriques pour réduire de manière considérable la facture d’importation de ce produit.

Selon le président-directeur général de cette entité économique, Djillali Bentaha, «l’Algérie a importé entre 2015 et 2018 quelque 10 000 groupes électrogènes pour une valeur de 10.000 milliards de DA. Mon souhait c’est d’intégrer les groupes électrogènes au niveau de cette unité afin de réduire cette facture d’importation», a-t-il dit.

Lors de cette même visite qui s’est terminée tard dans la soirée de samedi, le wali s’est également enquis de l’avancement du nouveau pôle urbain d’Imllel où des programmes de logements de divers segments (LPL, LSP et Aadl) sont projetés en prévision d’accueillir quelque 50.000 habitants, ainsi que des équipements publics.

Sur place il a demandé l’accélération de la cadence de construction des équipements publics qui doivent être réceptionnés avant les logements pour permettre aux futurs locataires de bénéficier de toutes les commodités nécessaires.

Dans la commune de Yakourène, Chater qui s’est enquis des travaux de réhabilitation de l’hôtel Tamgout, a été informé que le chantier accuse un retard de plus de 15 mois. Il a donné instruction au bureau d’études chargé du suivi du projet d’imposer au groupement d’entreprises en charge de cette opération, un planning des travaux et de veiller à son respect.

Dans cette même commune et dans celles de Zekri et de Fréha, le chef de l’exécutif local a visité plusieurs projets relevant entre autres, des secteurs de l’habitat, de l’éducation de la jeunesse et des sports et de la culture et de la santé et a écouté les doléances des citoyens. Il a rassuré les villageois quant à la prise en charge de leurs préoccupations un cadre serein les invitant à s’impliquer activement dans l’acte de développement en préconisant une démarche participative, notamment pour la levée des oppositions qui bloquent plusieurs projets à travers la wilaya » a-t-il dit.

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La révision de la loi sur les hydrocarbures touche à sa fin: L’off-shore et le schiste s’invitent

Mon, 10/15/2018 - 11:46

Par Mohamed TOUATI

Le ministre de l’Energie a aussi annoncé, hier, la renégociation de tous les contrats de commercialisation de gaz à long terme.

Doucement mais sûrement. L’Algérie est sur le point de se doter d’une nouvelle loi sur les hydrocarbures. Cela a pris le temps qu’il fallait. Il ne fallait surtout ne rien laisser au hasard, éviter de bâcler un texte qui concerne un secteur qui porte l’économie du pays à bout de bras. Les exportations des hydrocarbures, celles du pétrole et du gaz, assurent l’essentiel des revenus du pays. L’opération devait être millimétrée. Normal donc que sa gestation prenne du temps. Le ministre de l’Energie s’explique: «Quand on élabore une loi, on a toujours des difficultés pour la faire aboutir. Il vaut mieux qu’elle (la phase de son élaboration) dure pour qu’on puisse étudier tous les risques. Maintenant, on a introduit l’exploitation off-shore et le non conventionnel. Actuellement, on arrive à la fin de la révision de la loi sur les hydrocarbures», a indiqué hier Mustapha Guitouni lors d’une conférence-débat qui a eu lieu après l’inauguration du nouveau siège de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures, (Alnaft).

L’Algérie, qui aspire, à travers la compagnie nationale des hydrocarbures à jouer dans la cour des grands devait inévitablement dépoussiérer sa loi sur les hydrocarbures. La nouvelle donne géopolitique, qui a fait son apparition dans le sillage de la dégringolade des cours de l’or noir puis dans leur rebond assez récent, oblige à changer son fusil d’épaule pour coller à cette conjoncture. L’Algérie n’a pas d’autre choix que de s’y mettre. «On ne peut pas continuer à appliquer la loi en vigueur alors que les cours se sont dramatiquement effondrés depuis juin 2014», a fait remarquer le ministre. La concurrence sera rude, il faut donc jeter du lest. «Pour plus d’attractivité, l’Etat a décidé de revoir le texte en vigueur et ce, en introduisant beaucoup de «souplesse» à l’effet d’attirer davantage les investisseurs étrangers», a affirmé le premier responsable du secteur de l’énergie.

Cette opération séduction devrait même permettre à l’Algérie de reconstituer son bas de laine ou au moins le préserver. Mustapha Guitouni affiche un optimisme qui permet en tout cas d’y croire. «On va reconstituer les réserves du pays, d’autant que l’Algérie s’oriente aujourd’hui vers la diversification du bouquet énergétique», a-t-il assuré. Comment y parvenir? «La seule façon pour y arriver est de lancer des investissements avec le partenaire étranger. Sonatrach seule ne peut y arriver. Les investissements sont très grands et le risque est d’autant plus grand», a-t-il expliqué. Le ministre de l’Energie a aussi annoncé la renégociation de tous les contrats de commercialisation de gaz à long terme. L’Algérie ne compte pas marchander.

Le successeur de Noureddine Bouterfa l’assure. «Tous les contrats de commercialisation de gaz à long terme vont être revus, mais ce seront des négociations fermes», a indiqué Mustapha Guitouni.

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24eme opération de relogement à Alger: 2000 familles relogées!

Mon, 10/15/2018 - 11:40

Par Ilhem TERKI 

Cette opération englobera 2000 familles. Elle ciblera en particulier les zones inondables à proximité des oueds, des autoroutes et les sites vulnérables aux intempéries…

La 2ème phase de relogement de la 24ème opération dans la wilaya d’Alger aura lieu après-demain. «La wilaya d’Alger poursuivra après-demain, la 24ème opération de relogement dans sa 2ème phase», a indiqué, hier, lors d’une conférence de presse le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh. Il a fait savoir que cette opération englobera 2000 familles, elle ciblera en particulier les zones inondables à proximité des oueds, des autoroutes et les sites vulnérables aux intempéries (caves, terrasses et bâtiments en cours de réhabilitation). A la veille de l’hiver, cette nouvelle, soulagera sans doute, les centaines de familles qui souffrent d’inondations.

Le wali Alger, a en outre, noté que dans ce cadre, plus de 20.000 familles habitant les zones inondables et vulnérables ont été relogées dans les 24 opérations déjà réalisées. «Plus de 100.000 personnes ont été protégées des risques liés aux intempéries», ajoute-t-il.

Par ailleurs, cette phase de relogement concernera les 17 sites bidonvilles, répartis sur 20 communes relevant de 10 circonscriptions administratives, à savoir «Baraki-Bouzaréah- Sidi M’hamed- Bab El Oued-Rouiba- Bir Mourad Rais-El Harrach- Zéralda – Chéraga et Hussein Dey».

Il est à signaler qu’afin d’assurer le bon déroulement de cette opération de relogement, et éviter les problèmes de circulation, cette opération sera réalisée en deux tranches, la première est prévue pour après-demain, où 1300 familles sont concernées et la seconde est prévue après une semaine du lancement de la première phase, où 600 familles seront relogées!

Dans ce même sens, le wali a indiqué qu’environ «1300 familles réparties sur sept circonscriptions administratives, à savoir Rouiba – Baraki – Bouzaréah – Sidi M’hamed – Bab El Oued – Bir Mourad Raïs et Chéraga, seront relogées après-demain». La plus grande opération est celle de Rouiba, où plus de 550 familles seront relogées, il s’agit des sites bidonvilles Oued Djakane, commune de Réghaïa, du bidonville Belgourari, commune de Réghaïa et du site bidonville Zahlouka, commune de Réghaïa. La seconde opération est celle de la circonscription administrative de Baraki, dont 345 familles seront relogées. Il s’agit des sites bidonville Saliba, commune de Baraki, celui du bidonville Biga -2-, et aussi le site bidonville Leghouazi.

Pour les recours, le responsable, a souligné que, «11 familles seront relogées dans le cadre de la prise en charge des recours ayant l’avis favorable de la commission de recours sur la circonscription administrative de Rouiba».

Par ailleurs, s’agissant du programme d’urgence, il est à signaler que 25 familles ont été déjà relogées dans le cadre du programme d’urgence de la 24ème opération de relogement issus de la commune de la Casbah et de Zéralda. Les opérations de relogement, ont permis à la wilaya d’Alger de récupérer près de 15 ha de terrains.

Ce qui permettra la libération de plusieurs projets structurant des secteurs de l’hydraulique, équipements publics, travaux publics et d’autres secteurs. «A l’achèvement de cette phase, environ 530 ha de terrains ont été récupérés depuis le lancement de l’opération de relogement, le mois de juin 2014», a fait savoir le responsable.

Dans un autre chapitre, il est important de noter que 2 062 postulants ont été soumis au contrôle au niveau du Fichier national du logement, 211 postulants ont fait l’objet d’un résultat positif soit environ 10%. Le même responsable, s’est félicité, avant de souligner qu’à l’achèvement de cette phase de relogement le nombre des familles relogées par la wilaya d’Alger depuis l’année 2014, tous segments confondus, est d’environ 90.000 familles équivalant environ à 450.000 personnes.

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Saisie de dizaine de milliers d’Euros à l’aéroport d’Alger

Mon, 10/15/2018 - 11:39

Une somme importante a été saisie hier, en effet le passager se rendait à Dubaï avec plus de 80.000 Euros non déclaré.

Le passage a été interpellé par les services de la police des frontières de l’Aéroport International Houari Boumediene d’Alger, alors qu’il était en possession de 86.800 Euros cachés et qu’il n’avait pas déclaré à l’administration.

Rappelons que Jeudi dernier, 100.000 Euros ont été saisis à l’Aéroport d’Oran, la destination était Istanbul.

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Prix du village le plus propre à Tizi Ouzou: Azemmour Oumeriem net (vidéo)

Mon, 10/15/2018 - 11:31

Par Kamel BOUDJADI

Cette bourgade est connue pour sa fête de la forge qui se tient chaque année.

Azemmour Oumeriem est désormais le village le plus propre de la wilaya de Tizi Ouzou. Le prix Rabah Aïssat du village le plus propre, organisé chaque année par l’APW, lui a été décerné hier, lors d’une cérémonie grandiose au niveau du théâtre régional Kateb Yacine.

Ce beau village, situé dans la commune de Tirmitine, dans la daïra de Draâ Ben Khedda, à l’ouest du chef-lieu de la wilaya, est récompensé pour les efforts gigantesques des villageois et des autorités locales qui ont complètement transformé Azemmour Oumeriem.

La cérémonie a eu lieu en présence du wali, Abdelhakim Chatter, du président de l’APW Youcef Aouchiche et des présidents d’APC. Parmi l’assistance, il y avait aussi la présence remarquée du président de la JSK, Cherif Mellal.

La remise des prix a commencé vers 11h dans l’ordre décroissant. Dix villages en tout ont été récompensés pour leurs efforts, avec des diplômes d’honneur et des enveloppes financières destinées à l’amélioration du cadre de vie des villageois. En 10e position donc, arrive Tamkalvouth, un petit mais très joli bourg dans la commune d’Aït Bouadou. Une enveloppe de deux millions de dinars a donc été remise aux représentants du village.

A la 9ème place, c’est Aïssa Ouyahia dans la commune d’Illilten alors que le village Bouyaghzar de la commune de Frikat est classé à la 8e position suivi directement par Ichliven d’Abi Youcef. La 6e place au classement est revenue au village Aït Ameur d’Aït Bouadou. Tissegouine, un beau village de la commune de Boudjima, arrive à la 5e position. En 4e position, arrive le village Megdoul de la commune de Tirmitine, en 3e position le village Chvava de Bounouh et en 2e position, le village Aït Saïd de la commune de Bouzeguène. Au sujet des récompenses financières notons que celles-ci varient entre deux millions de dinars, quatre millions, 5 millions, 7 millions et 10 millions de dinars pour le village le plus propre.

Par ailleurs, il est à signaler que la cérémonie de la remise des prix a été l’occasion de révéler que le concours Rabah Aïssat prend désormais une dimension nationale. La nouvelle a été annoncée par l’APW de Béjaïa hier. Cette wilaya organisera donc à partir de l’année prochaine le concours qui portera le même nom pour récompenser le village le plus propre de la wilaya de Béjaïa. C’est la même nouvelle qui est parvenue de la capitale des Hauts-Plateaux, Sétif. Le projet d’organisation du concours du village le plus propre de cette wilaya est désormais lancé.

Côté animation, la cérémonie n’a pas été pauvre. Bien au contraire, les présents ont eu le plaisir d’admirer les chansons de la chorale du village Ihitoussen. Cette bourgade est connue pour sa fête de la forge qui se tient chaque année. Cependant, le plus grand spectacle a été la comédie musicale composée par l’artiste Zayen. Le sujet était à l’évidence l’environnement présenté avec brio sous forme de comédie par des voix féminines et masculines de chanteuses et de chanteurs kabyles, sous la direction de Zayen.

Enfin, la cérémonie de remise du prix du village le plus propre a été aussi mis à profit par les élus de la majorité à l’APW de Tizi Ouzou pour réclamer toute la vérité sur l’assassinat du défunt Rabah Aïssat, l’ancien président de cette même assemblée, assassiné dans son village dans les années 1990. Dans sa prise de parole, le président de l’APW, Youcef Aouchiche, a en effet déploré le fait que l’enquête sur ce lâche assassinat n’a rien révélé jusqu’ à présent.

A la fin de la cérémonie, le wali de Tizi Ouzou a exprimé son admiration pour cette initiative, tout en s’engageant à accompagner ce concours et d’autres actions visant à lutter contre la dégradation de l’environnement.

Le président de l’APW, Youcef Aouchiche, pour sa part, a fait remarquer que ce concours prend une dimension nationale après avoir touché toutes les communes de la wilaya de Tizi Ouzou, de Zouvga à Boumessaoud, de Timizart au Nord à Tiferdhoud sur les hauteurs du Djurdjura et cette année, le prix est revenu à un beau village du Sud-Ouest. Félicitations aux villageois d’Azemmour Oumeriem.

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Moncef Bouderba: « La céramique algérienne est un produit qui pourrait rivaliser avec la céramique italienne sans honte ».

Mon, 10/15/2018 - 11:03

Ce matin le président de l’association des céramistes Algériens (ACA) Moncef Bouderba, était l’invité de la radio chaine 3, dans l’émission « l’invité de la rédaction ».

Le président de l’association informe que le niveau de production s’est amélioré, et que les licences faciliteraient l’importation des matières premières.

Moncef Bouderba informe que l’appel alarmant au premier ministre ne concernait que l’arrivée des dates  d’expiration des licences.

En ce qui concerne les investissement, le président de l’association des céramistes algériens énonce: « Plus nous aurons des investissements plus on aura des produits suffisants sur le marché », « L’Algérie a beaucoup avancé, nous sommes passés de deux à cinquante usines en vingt ans ». 

Moncef Bouderba précise: « La céramique algérienne est un produit qui pourrait rivaliser avec la céramique italienne sans honte ». 

Concernant la production des matières premières en Algérie, le président de l’association des céramistes Algériens émet: « Ce n’est pas un produit fini que nous importons, pour investir il faut que le secteur soit apaisé, il faut stabiliser les choses pour pouvoir produire des matières premières ».  

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AXA Assurance Algérie lance une nouvelle offre digitale destinée aux professionnels, AXA PRO

Mon, 10/15/2018 - 11:01

AXA Assurance Algérie lance le contrat « AXA PRO », pour accompagner le développement des PME Algériennes. AXA innove également en digitalisant le devis qui peut s’effectuer directement chez le professionnel en moins de 2 minutes seulement.

Le lancement de ce nouveau produit s’inscrit dans le plan stratégique « AXA DIALI 2020 » dont l’un des piliers vise à faire d’AXA le partenaire de référence des PME.

AXA Algérie se positionne en partenaire des PME Algérienne, en les protégeant et les accompagnant dans leur développement quotidien. AXA Algérie lance une nouvelle offre destinée aux professionnels, AXA PRO.

Réalisé sur mesure, selon que vous soyez médecin, pharmacien, agence de services ou toute autre activité commerciale, ce contrat d’assurance intègre de nombreuses garanties modulables en fonction de la taille et des spécificités de votre activité professionnelle.

AXA innove en simplifiant et en digitalisant le devis et la remise du contrat. La devis est ainsi effectué chez le professionnel par un conseiller AXA, au moyen de tablettes connectées en moins de 2 minutes et gratuitement.

Pour cela il suffit de contacter l’agence AXA la plus proche ou de demander un rendez-vous en ligne sur le site axa.dz , par Facebook Messenger ou par téléphone au 0770 165 165.

Grace à l’expertise du leader mondial de l’assurance qu’est AXA, ses conseillers accompagnent les professionnels dans l’identification de leurs besoins et le choix des garanties complémentaires du contrat d’assurance multirisque professionnelle.

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60 entreprises attendues au Salon international du bâtiment

Mon, 10/15/2018 - 09:43

par A. Mallem

Prévu du 21 au 25 octobre au palais de la culture Malek-Haddad de Constantine, le Salon international du bâtiment et travaux publics de l’Est algérien (Bâti-Est-Expo) réunira plus de 60 entreprises. Ces dernières sont versées dans des créneaux divers liés au secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) dont les matériaux de construction, la réalisation des projets immobiliers, l’ingénierie, le contrôle et la mise en conformité des projets, les établissements financiers et les assurances.

Seront également présents les maîtres d’ouvrages tels que l’OPGI, l’AADL, l’ENPI et CNEP-IMMO. Les jeunes promoteurs relevant de la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC) seront également présents à cet évènement. Et jusqu’au département d’architecture de l’université 3 Salah Boubnider, le centre de contrôle technique de la construction (CTC), ainsi que la police de l’urbanisme et de l’environnement relevant de la sûreté de wilaya de Constantine qui ont été invités à prendre part à cette rencontre.

Les organisateurs de la première édition de ce salon pensent que cette manifestation économique constituera un carrefour d’échanges et d’affaires entre les professionnels, et aussi une opportunité pour les participants de faire valoir la qualité de leurs produits et services. Ainsi, outre l’aspect exposition et les rencontres professionnelles «B to B», le salon comporte des conférences-débats autour de thèmes liés au développement du secteur BTP, au respect des normes de construction et de réalisation des projets, ainsi qu’à la nécessité d’innover sur l’aspect architectural. Les conférences seront animées par des experts, des professionnels du secteur et des représentants des organismes publics spécialisés.

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En présence d’une centaine d’exposants au CCO: Ouverture, aujourd’hui, du 9ème Salon des Energies renouvelables

Mon, 10/15/2018 - 09:38

par B. M.

La 9ème édition du Salon international des Energies renouvelables, des Energies propres et du Développement durable (ERA 2018) se tiendra, à partir d’aujourd’hui jusqu’au 17 octobre, au Centre des Conventions d’Oran.

Cette manifestation économique, organisée sous le slogan « Pour l’émergence d’une filière nationale dans les Energies renouvelables » par l’Agence événementielle ‘Myriade Communication’, basée à Alger, verra la participation d’une centaine d’exposants dont des entreprises nationale présentes en force et des entreprises venues de différents pays, Allemagne, France, Italie, Espagne, Chine et la Principauté de Monaco. Durant les trois journées d’activités, tous les secteurs de l’Energie, de l’Industrie, de l’Hydraulique et de l’Assainissement, des Finances et Assurances, ainsi que des Universités et Centres de recherche seront présents pour une présentation des nouveautés, dans leur domaine et aussi l’animation de débats, lors des conférences programmées sur les Energies renouvelables et le Développement durable. Ce salon représente, donc, une opportunité pour les jeunes promoteurs d’avoir un contact direct avec les entreprises et les possibilités d’investir dans les Energies renouvelables.

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Plaidoyer pour un fonds de solidarité de l’Etat à la CNAS et à la CNR

Mon, 10/15/2018 - 09:34

par M. Aziza

Des syndicalistes ainsi que l’expert en affaires sociales, Nourreddine Bouderba, ont plaidé pour la création d’un fonds de solidarité de l’Etat à la sécurité sociale et à la retraite, qui sera financé exclusivement par les impôts et les taxes.

Telle est la recommandation phare proposée par des membres de l’intersyndicale qui se sont réunis samedi passé au siège du Cnapeste à Alger, lors d’une journée d’étude portant sur comment préserver les acquis sociaux. Ce fonds proposé aura pour mission, selon les participants, de prendre en charge -outre les dépenses actuelles de solidarité nationale- les différentiels des pensions des moudjahid et des petites pensions, ICPR, ICPRI, ICAR, le minimum retraite, revalorisations exceptionnelles et majoration exceptionnelles.

Ils ont également proposé la création de nouveau dispositif dans le cadre de ce fonds pour prendre en charge les cotisations au titre des catégories particulières revalorisées. Prendre en charge également les cotisations des périodes d’inactivité non cotisées (maladie, invalidité, service national, rappel sous le drapeau, etc.)

Les participants sont pour une prise en charge des majorations pour conjoints à charge par ce fonds, et tout supplément de prestation ne découlant pas des droits contributifs, ainsi que toutes les pensions de réversion qui ont un caractère de solidarité nationale et non de solidarité professionnelle.

Pour l’expert et les syndicalistes qui ont apporté leur contribution lors de cette journée, l’Etat devrait ainsi venir en aide à une caisse de retraite qui est à bout de souffle. Justement, au sujet des déficits récurrents de la CNR, l’expert Bouderba a affirmé que non seulement l’Etat n’apporte aucun financement au système de sécurité sociale, y compris de la retraite, mais il ne prend même pas en charge la totalité des dépenses de solidarité nationale qui lui incombent et qu’il a mise indûment à la charge des caisses de sécurité sociale.

Autrement dit, dit-il, «il est erroné de dire que l’Etat est venu au secours de la CNR qui faisait face à un déficit en 1997, à cause des dépenses liées à la retraite avant 60 ans». Il précise : «c’est au contraire les caisses de sécurité sociale qui ont pris en charge, avec l’argent des cotisations, des dépenses de solidarité nationale qui relèvent de l’Etat, contribuant ainsi à la cohésion sociale nationale durant cette période difficile traversée par le pays»

Il cite entre autres le paiement des avantages accordés aux moudjahidine en matière d’âge de retraite, de minimum et de maximum de pension (130.000 bénéficiaires). La prise en charge par la CNAS des dépenses au profit des victimes d’octobre 1988 (300 millions de DA versés sur injonction administrative), ainsi que la prise en charge, par la CNAS, des dépenses d’assurance sociale du régime agricole -plus de 200.000 assurés jusqu’en 1995. Et de souligner que le déficit de la branche de retraite du secteur agricole, géré par la CNMA de 1991 à 1995 et supporté par la CNR, s’est élevé à 12,5 milliards de DA.

Sans parler autant de la prise en charge du déficit du système de retraite des non-salariés et des professions libérales pour un montant de 5,2 milliards de DA. «Paradoxalement on a fait supporter aux salariés le poids du déficit des pensions des libéraux incombant à la CASNOS créée depuis janvier 1992», a-t-il précisé.

Pour M. Bouderba, on ne peut pas comparer la sécurité sociale en Algérie à celle de la France. Il explique que «les ressources actuelles de la CNAS ne lui permettent pas de faire face à ses prestations actuelles et encore moins à un surcroît de financement de la santé».

Il précise qu’en France, en 2016, les cotisations sociales ne représentent que 55,7% des recettes de la sécurité sociale, le reste provenant de différents impôts et taxes. Et d’ajouter qu’en Finlande 68% des coûts de l’assurance sociale sont financés par l’Etat, tandis qu’au Danemark et en Italie, 100% de l’assurance maladie sont financés par les impôts.

Il prévient : «Vouloir solliciter la sécurité sociale pour un surcroît de financement du secteur de la santé (secteur privé plus précisément) c’est vouer les deux caisses à la faillite certaine et à la fin de la cohésion sociale nationale». «Il faut impérativement clarifier la relation entre l’Etat et la sécurité sociale et entre le secteur de la santé et la sécurité sociale».

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Energies renouvelables : Des efforts attendus pour intégrer le renouvelable dans le bilan national

Mon, 10/15/2018 - 09:30
Les énergies renouvelables constituent le  » futur  » de l’économie nationale mais on remarque bien que les investissements dans ce domaine dans notre pays sont trop marginaux. D’où l’importance de booster dans la pratique tous ceux qui, de près ou de loin, sont concernés par ce secteur d’importance capitale dans le futur proche. Il est donc  indispensable que l’action du gouvernement soit renforcée dans le développement des énergies renouvelables (EnRs) en vue d’assurer le mix et la sécurité énergétiques dans le pays. D’ailleurs, il y a quelques mois l’experte senior agréée par l’Union européenne (UE), Mme Aïcha Adamou, a constaté que les investissements dans les EnRs demeurent « marginaux » en Algérie comparés aux potentialités du pays et à l’objectif fixé dans le Programme national de développement des énergies  renouvelables, et à ce qui se fait dans le monde. Selon elle, aujourd’hui, le taux d’intégration du renouvelable dans le bilan national n’excède pas les 2%. De son côté, le chercheur au Centre de recherche en technologie des semi-conducteurs (CRTSE), M. Messaoud Boumaour, estime que l’énergie constitue un enjeu crucial au cœur des économies avec une forte dimension géopolitique. « L’Algérie, dotée pourtant de potentiels remarquables avec un gisement solaire parmi les plus élevés au monde, des réserves incommensurables de minerai de silice et d’autres matériaux, et d’un vivier de compétences pluridisciplinaires, est confrontée au dilemme de son développement économique dans un contexte critique de tarissement de ses revenus en hydrocarbures », a-t-il observé. Selon cet expert, l’Algérie devrait s’efforcer de cerner en urgence une vision stratégique et une feuille de route avec des échéances et centrée sur un secteur névralgique telle l’agriculture, et en se lançant résolument dans une phase d’action. Par ailleurs, le consultant international en énergie, M. Tewfik Hasni, a indiqué que le mix énergétique doit être garant de la sécurité algérienne que ce soit au plan d’approvisionnement qu’au plan indépendance énergétique. Et d’ajouter que le potentiel solaire thermique de l’Algérie représente 10 fois la consommation mondiale en énergie électrique. Selon lui, l’exportation de cette électricité pourrait ramener au pays des dizaines de milliards de dollars. Pour sa part, le directeur général du Centre de développement des EnRs (CDER), M. Nourredine Yassaa, a expliqué que les EnRs se placent au coeur des politiques énergétiques et économiques menées par l’Algérie. Selon lui, leur déploiement assurera inéluctablement l’indépendance énergétique du pays et générera dans son sillage, une dynamique de développement économique à travers l’implantation d’industries créatrices de richesse et d’emplois. Quant à l’expert international en économie, Abderrahmane Mabtoul, il a suggéré que l’Algérie soit « attentive » aux prix mondiaux du gaz, qui représente plus de 33% des recettes de Sonatrach et dont les contrats à moyen et long termes expirent entre 2018 et 2019. D’où l’urgence, selon lui, d’attirer des investissements potentiels nationaux et étrangers à travers l’amendement de la loi des hydrocarbures de 2013 et, d’autre part, miser sur les énergies renouvelables. Du programme national Le Programme national de développement des énergies renouvelables prévoit une production d`ici à 2030 de 22.000 mégawatts d`électricité de sources renouvelables, destinée au marché intérieur, en plus de 10.000 mégawatts (MW) supplémentaires à exporter. Ce programme vise à préserver les ressources fossiles, prolonger durablement l`indépendance énergétique du pays et diversifier les sources de l`électricité. L’énergie de sources renouvelables devrait représenter 27% de la production globale d`électricité en 2030 et le double de la capacité actuelle du parc national de production d`électricité. Cet objectif permettra de réduire plus de 9% de la consommation d`énergie fossile à l`horizon 2030 et d`économiser 240 milliards m3 de gaz naturel, soit 63 milliards de dollars sur 20 ans. A ce jour, le secteur a réalisé 400 MW à partir d`énergies renouvelables. Le président de la République Abdelaziz Bouteflika avait mis l’accent lors de la réunion du Conseil des ministres tenue mercredi dernier sur la nécessité d' »intensifier la dynamique » afin de promouvoir le secteur des énergies renouvelables. Sur le terrain, il est important de rappeler qu’il y a une quinzaine de jours, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni a révélé que l’appel d’offre national relatif à la production de 150 Mégawatts (MW) d’électricité de sources renouvelables avec des capacités de production locales sera lancé dans  un mois au maximum. S’exprimant lors d’une conférence de presse, en marge d’une plénière consacrée aux questions orales à l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Guitouni a indiqué que « le cahier de charges relatif à l’appel d’offres national pour la production de 150 MW d’électricité à partir de sources renouvelables avec des capacités de production locales sera lancé dans un délai d’un mois au maximum ». Les entreprises intéressées par cet appel d’offres trouveront toutes les explications et les détails dans le cahier de charges, a-t-il ajouté. Ce qui veut dire que l’Etat poursuit toujours l’application du programme national de développement des énergies renouvelables. Des derniers résultats Des derniers résultats dans les initiatives des pouvoirs publics pour sensibiliser à l’utilisation des énergies renouvelables à travers tout le territoire national, on notera cette dernière étude élaborée récemment par le Centre national de développement des énergies renouvelables d’Alger qui a révélé que l’utilisation de l’énergie solaire en éclairage public en adoptant des lampes économiques LED a contribué à rationaliser la consommation d’électricité, a-t-on appris jeudi à Oran du Directeur général de ce centre. Les résultats de cette étude, qui a ciblé un chemin de 5 kilomètres où sont utilisés des panneaux photovoltaïques de production d’énergie solaire en adoptant 250 lampes LED, ont fait ressortir que la consommation de l’électricité est deux fois et demie plus basse par rapport à l’utilisation de l’électricité et de lampes classiques, a indiqué le professeur Noureddine  Yassaa ,  Directeur du Centre de Développement des Energies Renouvelables, dans une déclaration en marge d’une rencontre sur l’intégration des énergies renouvelables en éclairage public. Elaborée par une équipe du Centre national de développement des énergies renouvelables, l’étude a conclu que l’utilisation de l’énergie solaire et le remplacement des lampes classiques par d’autres économiques permettra de réduire le taux de consommation électrique en éclairage public, soit l’équivalent de plus de 60% du budget des collectivités locales. Bonne place de l’Algérie qui figure parmi les premiers pays en Afrique possédant le plus de capacités installées en énergies renouvelables et de production énergie renouvelable. En référence à un rapport du réseau d’experts REN21 (Renewable Energy Policy Network for the 21st Century), publié au mois de juin dernier, la capacité totale de production d’énergie renouvelable à l’échelle mondiale, y compris hydroélectrique, est passée de 2.017 GW en 2016 à 2.195 GW en 2017. La Chine suivie des Etats-Unis, du Brésil, de l’Allemagne puis de l’Inde sont les pays ayant le plus de capacités installées cumulées en énergies renouvelables dans le monde. Concernant l’Afrique, le rapport indique que l’Afrique du Sud (1.8 GW) et l’Algérie (environ 0,4 GW) sont les deux pays possédant le plus de capacités installées à la fin 2017. Saïd B.

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Collectivités locales : Le nouveau wali de Bordj Bou-Arréridj sur le terrain

Mon, 10/15/2018 - 09:26

Comme le veulent les usages  républicains, le nouveau wali de Bordj Bou-Arréridj, M. Bekkouche Benamar  pour sa première sortie officielle  sur le terrain  s’est rendu  à la daïra de Rass-El-Oued à travers ses trois communes (Rass-El-Oued-Aïn Tassera-Ouled Braham) pour inspecter les projets de développement et prendre le pouls de la population  locale sur ses préoccupations  en matière de développement  et de la gestion des affaires publiques.

« Je suis très heureux  d’être ici parmi vous, dans ce lieu hautement historique  qui a vu la naissance du savant et écrivain Mohamed El Bachir El Ibrahimi. La population de la daïra DE Rass- El Oued mérite  à l’instar de toutes les régions plus de respect et de considération  ayant dans sa page historique  plus de 1.000 chahids  qui ont sacrifié de leur vie  pour l’indépendance et la souveraineté de l’Algérie » , a déclaré en substance M. Bekkouche suite à la lecture de la Fatiha au cimetière de Chouhada de la commune d’Ouled-Braham.

Ce premier contact avec les autorités locales et la population des trois communes de la daïra de Rass-El-Oued a été l’occasion pour le nouveau premier responsable de la wilaya à se rendre dans les coins les plus éloignés de  cette circonscription territoriale pour inspecter  une  vingtaine de projets  inscrits dans le plan de développement des trois communes ainsi que le contact direct avec les citoyens à l’écoute de leurs préoccupations élémentaires. Il s’agit très particulièrement de l’amélioration de la qualité  et des conditions de vie des citoyens (AEP-Electrification rural-Couverture en gaz naturel pour les localités restantes-Réseau routier-Aménagement urbain -Service public, etc…

Des assurances qu’il a répétées lors de sa rencontre avec  les représentants de la société civile des trois communes de la daïra de Rass-El-Oued  et qui s’est distinguée pour la première fois par une dimension de proximité avec les élus locaux et la société civile à travers l’intervention des membres de l’exécutif de la wilaya qui ont répondu aux préoccupations des présidents d’APC et des citoyens.

Intervenant au cours de cette rencontre, le nouveau chef de l’exécutif de la wilaya précisera qu’en dépit des difficultés  et des fluctuations  de l’économie mondiale  et de la chute des prix du pétrole, des répercussions qui ont induit une baisse  des capacités financières de l’Etat, le Président Abdelaziz Bouteflika a donné des instructions fermes afin que le processus de développement ne soit pas arrêté ou remis en cause ainsi que le maintien des principes de la politique sociale.  » En dépit de ces difficultés de l’Etat la dépense  dans le domaine social et culturel, la réalisation  des infrastructures de base, des logements et l’encouragement de l’investissement par des avantages importants  aux dépens des revenus du Trésor public « , a-t-il précisé pour répondre aux intervenants.

M. Bekkouche invita l’assistance et à travers elle toute la population bordjienne à la consolidation de l’unité nationale.  » L’unité  du peuple algérien est aujourd’hui solide grâce à son ancrage populaire à travers les réformes fortes et profondes initiées par le Président Abdelaziz Bouteflika qui ont consolidé  la cohésion  de la nation  dans une même  et seule  patrie, des acquis en constante progression. Une patrie où chaque citoyen  doit défendre avec conviction tout ce qui est à même de consolider son unité et sa grandeur « , a-t-il rappelé.

A toutes ces doléances et préoccupations, le wali s’est dit intervenir pour trouver  des solutions aux problèmes  et apaiser certains déficits en la matière et de donner une priorité à l’AEP, l’électrification des zones rurales, le gaz naturel, l’habitat, la santé, l’éducation, l’investissement surtout qu’existe une zone industrielle à Rass-El-Oued d’une superficie de 134 hectares avec déjà 164  projets privés en cours de réalisation.

Dans cet esprit, M.  Bekkouche    a déclaré que compte tenu des énormes potentialités  économiques que recèle la wilaya de Bordj Bou-Arreridj, tous les efforts  seront concentrés  pour la promotion de l’investissement  privé  créateur d’emplois et de richesses.

Justement pour la zone industrielle de Rass-El-Oued, le wali a exigé des responsables concernés  la distribution de 18 lots qui n’ont pas encore été attribués, l’accélération des travaux d’aménagement en annonçant  qu’une enveloppe financière de 400 milliards de  centimes a été dégagée pour l’aménagement des  parcs industriels. Mais rappelle-t-il  dans le cadre du respect de la circulaire du Premier ministre interdisant la répartition des lots d’investissement avant la viabilisation et l’aménagement des zones ou parc industriels.

Aussi, M. Bekkouche à partir de la zone industrielle de Rass-El-Oued a affiché  sa réelle volonté de  résoudre définitivement  la question du foncier industriel à travers la wilaya.  » Je suis déterminé à réagir  face aux pseudo-investisseurs ayant bénéficié de facilitations et largesses de l’Etat  sans toutefois respecter leurs engagements  à concrétiser la réalisation des projets qui leur sont confiés « , a-t-il déclaré soulignant que c’est là une directive du ministre de l’Intérieur,  des Collectivités locales et de l’aménagement du Territoire, Noureddine Bedoui.

Plus explicite, le chef de l’exécutif de la wilaya de Bordj Bou-Arreridj a été catégorique devant les investisseurs présents pour faire valoir la nécessité de faire valoir  une gestion efficace du foncier industriel. Il a affirmé clairement qu’il n’hésitera pas à récupérer les assiettes foncières attribuées à des investisseurs n’ayant pas respecté  leurs engagements « Si ces investisseurs  décident de se remettre sérieusement au travail, nous sommes là pour les accompagner  et les aider. Dans le cas contraire, ils seront rendus destinataires d’une mise en demeure » .

Pour M. Bekkouche il n’y aura pas de seconde mise en demeure  , et que si la première n’est pas respectée , il sera procédé directement  à la récupération du bien de l’Etat  pour l’affecter  aux investisseurs qui ont la volonté de créer de la richesse et de l’emploi .Encore plus sévère sur ce dossier, il annonce  que des critères  rigoureux  de sélection  des investisseurs  qui auront à bénéficier, à l’avenir d’assiettes foncières  seront appliqués  et en même temps encourager les investisseurs de bonne volonté.

A la fin de cette visite, M. Bekkouche Benamar dans une déclaration exclusive au  » Maghreb de l’Economie  » n’a pas manqué de souligner les avancées qu’a connues durant ces  dernières années la wilaya de  Bordj Bou-Arreridj  , et qu’il se penchera  dans son plan d’action sur les priorités du moment et sur les objectifs que s’assigne le programme présidentiel.  » Il faut que tout un chacun reconnaisse  les efforts d’envergure consentis par l’Etat dans tous les domaines et qui ont touché les 34 communes de la wilaya, tout doit  se faire progressivement et que la dynamique de développement, profondément incarnée par la volonté du Président Abdelaziz Bouteflika  et les programmes incessants qu’il  a engagés sont toujours une politique de défis » .

Ammar Zitouni

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Mondial de Paris 2018 : Audi A1, plus grande et au design plus agressif

Mon, 10/15/2018 - 01:45

La nouvelle génération de l’Audi A1, plus grande et au design désormais plus agressif, s’offre à l’occasion du Mondial de Paris sa première sortie officielle face au public.

Une Audi A1 plus grande donc tout en s’offrant un design plus agressif avec la nouvelle interprétation de la calandre « Single Frame » en nid d’abeille plus imposante, la nouvelle signature lumineuse, un arrière rehaussé par son aileron et le large diffuseur tandis que le profil reprend l’esprit du Q2 en se privant de la custode pour un montant C plus épais. L’arrière, aux lignes plus sophistiquées se caractérise par une jupe du bouclier aux formes plus acérées et franches. Notons également cette signature lumineuse 3D , avant et arrière, symbolisant une flèche. En résumé, avec l’Audi A1, le constructeur allemand semble tenir sa parole de rompre, même si c’est un peu, avec l’esprit « poupées russes » l’ayant caractérisé depuis (presque) toujours. Petit clin d’œil à l’Audi Sport quattro des années 1980, trois fentes inspirées surplombent la calandre.

L’habitacle n’est pas une surprise en soit en faisant la part belle à la technologie en accueillant, comme prévu, le Virtual Cockpit de 10.25″ et le MMI Touch avec un écran de 10.1″ (8.8 pour le plus petit), le système d’infotainement étant disponible en plusieurs versions dont le système audio Bang & Olufsen Premium disposant de 11 haut-parleurs pour une puissance totale de 560 W. Concernant les aides à la conduite, l’Audi A1 se montre généreuse en proposant, entre autres, le limiteur et régulateur de vitesse adaptatif, le système Park Assist, le Lane Assit (aide au maintien dans la voie), l’aide au freinage d’urgence avec détection des piétons et cyclistes…

Sous le capot, l’Audi A1 ne disposera que d’offre essence pour son lancement de trois et quatre cylindres, à savoir les 1.0 TFSI 95ch et 175Nm de couple (A1 25TFSI), le 1.0 TFSI 116ch et 200Nm (A1 30 TFSI), le 1.5 TFSI 150ch et 250Nm (A1 35 TFSI) et le 2.0 TFSI 200ch et 320Nm (A1 40 TFSI), ce dernier uniquement associé à une S-Tronic 6, tandis que les trois premiers disposeront de série de la boîte manuelle à 7 rapports, la S-Tronic 7 étant en option.

Portfolio

     

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