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Updated: 8 hours 56 min ago

Argentine : Maradona critique Messi : « Il va aux toilettes 20 fois avant le début d’un match »

Sat, 10/13/2018 - 18:18

Et c’est bien connu, la légende du football argentin n’a jamais eu sa langue dans sa poche. Et c’est sur Lionel Messi qu’il a craché son venin, estimant que La Pulga est loin d’avoir les qualités requises pour être le leader de la sélection nationale, s’exprimant avec sa verve habituelle et son style si particulier :

« C’est difficile pour moi d’en parler. Mais on ne peut pas faire un leader de quelqu’un qui va aux toilettes 20 fois avant le début d’un match. Cela ne sert à rien », a tancé Maradona, qui a coaché Messi au Mondial 2010 notamment, avec la sélection argentine. « Il veut être leader sur le terrain, mais avant de parler aux joueurs, il joue à la Playstation ».

« Il y a un Messi avec le Barça et il y a un Messi avec l’Argentine » a ajouté l’ancien joueur au micro de l’émsision mexicaine La Ultima Palabra.

« Moi je ne sélectionnerais pas Messi, mais il ne faut jamais dire jamais », a ajouté Maradona. « Il  faut lui enlever de la pression des épaules. Il y a un besoin de lui enlever le leadership. Car nous voulons que Messi soit Messi, mais il ne l’est pas », a ajouté El Pibe de Oro dans des propos relayés par Goal.

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FLN: Ould Abbas appelle de nouveau le président de l’APN à « se retirer »

Sat, 10/13/2018 - 18:17

Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbas, a appelé de nouveau samedi depuis Bouira le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Said Bouhedja, à la « clairvoyance » et à « se retirer avec honneur pour éviter toute éventuelle crise ».

« Le FLN n’a jamais connu de crise de ce genre depuis 1962 et nous n’acceptons jamais, en tant que parti au pouvoir et majoritaire, que cela se produise. » (Djamel Ould Abbas)

« Je peux même vous donner des exemples, celui de 1988 quand Abdelhamid Mahri a succédé à Chérif Messaâdia à la tête du FLN, ainsi qu’en 2004 lorsque l’ancien président de l’APN, Karim Younes, avait déposé sa démission pour préserver sa dignité, sans se soumettre à des signatures de retrait de confiance », a souligné M. Ould Abbas lors d’une rencontre au théâtre régional de la ville de Bouira.

Le problème auquel est confronté l’APN est « une affaire interne aux membres de cette institution de l’Etat.

Cela a débuté lorsque Bouhadja a décidé d’exclure le secrétaire général administratif de l’APN sur une décision unilatérale et sans consulter le bureau du conseil composé de neuf membres issus des différents partis politiques », a expliqué à la presse M. Ould Abbas.

« Les adjoints du président de l’APN ont expliqué à Bouhadja que l’article 9 du règlement intérieur de l’APN l’oblige à consulter les membres du bureau avant toute prise de décision, et lui ont demandé de renoncer à sa décision d’exclure le secrétaire général administratif de l’APN, mais il a refusé, ce qui a compliqué davantage les choses », a encore expliqué l’orateur.

Il a ajouté que « des groupes parlementaires ont décidé par la suite de lui retirer leur confiance sur la base d’une collecte de 351 signatures », affirmant qu’il n y avait « aucune intervention ou immixtion du gouvernement, ni de partis ni de la présidence dans cette affaire ». M. Oul Abbas a affirmé que la solution doit être « immédiate » et qu’il demandait à M. Bouhadja de se retirer au nom du FLN.

« Nous, dirigeants du FLN, appelons Said Bouhadja à la clairvoyance et à s’inspirer un petit peu des exemples que j’ai cités afin de préserver l’image du pays ainsi que les acquis de paix et de stabilité dont jouit l’Algérie grâce à la sagesse et aux sacrifices du président de la République, Abdelaziz Bouteflika », a conclu M.Ould Abbas.

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Début des travaux de la rencontre nationale sur l’aménagement et le développement des zones frontalières

Sat, 10/13/2018 - 18:09

Les travaux de la rencontre nationale sur l’aménagement et le développement des zones frontalières, ont débuté samedi à Alger en présence de plusieurs ministres, des experts algériens et étrangers ainsi que les walis et walis délégués et des responsables centraux des différents ministères.

Dans son allocution d’ouverture, le ministre de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, a affirmé que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a instruit son département « d’accélérer le processus de développement des zones frontalières, d’où la présence de plusieurs ministres du gouvernement à cette rencontre ».

Organisée par le ministère de l’Intérieur sous le haut patronage du président de la République, cette rencontre de deux jours a pour objectif de mettre en œuvre et de vulgariser la stratégie nationale de l’aménagement et de développement des zones frontalières et des espaces géostratégiques, a-t-on expliqué, précisant que cette stratégie est déclinée sous forme de plans-programmes à travers les études d’aménagement et de développement des zones frontalières de manière concertée, dans une vision multisectorielle et transfrontalière.

Cette stratégie permettra aussi de dégager un « Programme spécial de développement des zones frontalières », tout en veillant à la mise en cohérence des actions de développement des zones frontalières déjà initiées au niveau local.

La rencontre, à laquelle participent quelque 400 délégués de différents secteurs et qui sera couronnée par des recommandations, se déroulera en deux ateliers techniques ayant pour thèmes « l’organisation spatiale et la mise à niveau socio-économique durable des territoires frontaliers » et « la gouvernance et les perspectives de développement transfrontalier ».

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Plusieurs associations et partis politiques français demandent la condamnation officielle du massacre du 17 octobre 1961

Sat, 10/13/2018 - 18:09

– Plusieurs associations françaises, syndicats et partis politiques ont demandé samedi, à quelques jours de la commémoration du massacre des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris, au président Emmanuel Macron de reconnaître la responsabilité de l’État français dans ce massacre et sa condamnation.

« Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris contre le couvre-feu discriminatoire qui leur avait été imposé par le gouvernement de l’époque dont le Premier ministre, Michel Debré, était hostile à l’indépendance de l’Algérie, et le préfet de police Maurice Papon sous ses ordres.

« Ils défendaient leur droit à l’égalité, leur droit à l’indépendance et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes« , ont-ils rappelé dans une pétition rendue publique samedi, ajoutant que ce jour-là, et les jours qui suivirent, « des milliers de ces manifestants furent arrêtés, emprisonnés, torturés – notamment par la force de police auxiliaire – ou, pour nombre d’entre eux, refoulés en Algérie. Des centaines perdirent la vie, victimes d’une violence et d’une brutalité extrêmes des forces de police« .

Pour ces associations, dont l’Association Maurice-Audin, et partis politiques, dont le Parti communiste français (PCF) et Europe Ecologie les Verts (EELV), « 57 ans après, la vérité est partiellement en marche« , déplorant que la France n’ait toujours pas reconnu « sa responsabilité dans les guerres coloniales qu’elle a menées, – en particulier la Guerre d’Algérie – non plus que dans le cortège de drames et d’horreurs qu’elles ont entraînés, comme ce crime d’État que constitue le 17 octobre 1961« .

« Nous demandons une parole claire aux autorités de la République, au moment où certains osent encore aujourd’hui continuer à parler des bienfaits de la colonisation, à célébrer le putsch des généraux à Alger contre la République, à +honorer+ les criminels de l’OAS« , ont-ils déclaré, exigeant également la reconnaissance par l’État français de sa responsabilité dans l’internement « arbitraire« , pendant la guerre d’Algérie, d’Algériens dans des camps, la liberté d’accès aux archives pour tous, historiens et citoyens, et l’encouragement de la recherche historique sur ces questions dans un cadre franco-algérien, international et indépendant.

À cet effet, ils demandent la création d’un lieu de mémoire « voué à cet événement« , demandée dans la résolution votée par le Sénat en octobre 2012, soit rapidement mise en œuvre par les autorités de l’État, de la Ville de Paris et la Région Ile-de-France et la vérité sur l’organisation criminelle de l’OAS que « certains, comme au sein de la droite et extrême droite politique veulent réhabiliter« .

« Que le président de la République, au nom de la France, confirme, par un geste symbolique, la reconnaissance et la condamnation de ce crime d’État. Comme il vient de le faire pour l’assassinat de Maurice Audin par l’armée française et pour l’existence d’un système de torture généralisé« , ont-ils écrit, soulignant que « ce n’est qu’à ce prix que pourra disparaître la séquelle la plus grave de la guerre d’Algérie, à savoir le racisme, l’islamophobie dont sont victimes aujourd’hui nombre de citoyennes et citoyens, ressortissants d’origine maghrébine ou des anciennes colonies, y compris sous la forme de violences policières récurrentes, parfois meurtrières« .

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Commerce : nouvelles mesures pour soutenir l’exportation dans les zones frontalières

Sat, 10/13/2018 - 18:07

Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a annoncé samedi à Alger, une série de nouvelles mesures visant à promouvoir les exportations dans les zones frontalières.

Dans une allocution prononcée lors d’une rencontre nationale sur l’aménagement et le développement des zones frontalières, M. Djellab a indiqué que ces nouvelles mesures « auront un impact important sur le développement dans les zones frontalières, la création de postes d’emploi, l’intensification de l’activité commerciale dans ces espaces et le renforcement de l’intégration économique avec les pays voisins ».

Ces mesures prévoient la relance des manifestations économiques et des expositions dans les wilayas frontalières du Mouggar (Tindouf) et d’Assihar (Tamanrasset), le salon des produits agricoles (El Oued) et le salon des dattes (Béchar et Adrar).

Ces manifestations bénéficieront d’un soutien financier de l’Etat pour couvrir tous leurs frais, tout en leur conférant un caractère international à travers l’élargissement de la participation aux pays voisins, notamment les pays africains, a expliqué le ministre.

Le premier responsable du secteur a annoncé également la révision des mécanismes de soutien financier du Fonds spécial pour la promotion des exportations (FSPE) pour introduire le transport dans la liste des activités qui bénéficieront de l’aide du FSPE.

Cela permettra de rembourser les frais du transport terrestre des marchandises exportées via les wilayas frontalières, selon le ministre qui a ajouté que les opérations y afférentes ont été confiées au Groupe transport de marchandises et de logistique (Logitrans).

Le système législatif régissant les opérations de commerce par troc sera en outre révisé. La liste des marchandises concernées sera élargie et actualisée en prenant en compte les besoins et les spécificités de chaque wilaya, sous la supervision des walis concernés.

Il sera procédé également au soutien de la réalisation de bases logistiques dans les zones frontalières, ce qui permettra de créer une nouvelle dynamique dans ces régions, a fait savoir le ministre.

M. Djellab a mis l’accent par ailleurs sur le rôle des postes frontaliers dans la promotion du commerce extérieur et la création de nouvelles activités autour de l’activité d’exportation telles que les industries manufacturières.

Le ministre a fait savoir qu’une stratégie nationale de promotion des exportations hors hydrocarbures aux moyen et long termes était en cours d’élaboration.

Cette stratégie qui prévoit tous les aspects financier, législatif et règlementaire, vise la suppression des obstacles qui entravent l’activité des exportateurs.

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Necib exige plus d’efforts contre les fuites d’eau et le branchement illicite

Sat, 10/13/2018 - 18:02

Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a exhorté les cadres de son secteur à faire plus d’efforts pour réparer les fuites d’eaux dans les plus brefs délais et lutter contre les raccordements illicites.

Lors d’une réunion qu’il présidée jeudi dernier à Alger, consacrée à l’évaluation de la qualité des services publics de l’eau et de l’assainissement durant la saison estivale, le ministre a également souligné le rôle de la communication en direction des citoyens pour endiguer le gaspillage de l’eau, indique un communiqué du ministère.

Cette réunion a permis d’examiner les performances et les faiblesses qui ont caractérisé les services publics de l’eau et de l’assainissement, assurés durant la saison estivale par les différents opérateurs relevant du secteur des Ressources en eau, en l’occurrence l’Algérienne des eaux (ADE), l’Office national de l’Assainissement (ONA), la Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (SEAAL) pour les wilayas d’Alger et de Tipaza, la Société de l’eau et de l’assainissement d’Oran (SEOR) et la Société de l’eau de l’assainissement de Constantine (SEACO).

Tout en relevant que la marge de progression reste importante en matière d’alimentation de la population en eau potable, M. Necib a incité les cadres de son secteur à maintenir le même niveau d’engagement et de mobilisation pour assurer les services publics de l’eau et de l’assainissement à la hauteur des attentes de la population partout à travers le territoire national et en tout temps: « Aucun recul ne sera admis », a-t-il averti.

Pour leur part, les participants à cette réunion se sont félicités du bon déroulement de la saison estivale.

Les indicateurs présentés par les différents intervenants ont révélé que la disponibilité de la ressource en eau ainsi que les mesures mises en œuvre dès la fin de l’été 2017, notamment sur le plan organisationnel, ont permis à la population de passer un été dans des conditions « convenables » et « sans incidents majeurs », selon le communiqué.

Une nette amélioration a été enregistrée concernant l’alimentation en eau potable, comparativement à la saison estivale précédente tant en matière de fréquence de distribution que de la qualité de l’eau distribuée, a indiqué la même source.

Ainsi, la fréquence de distribution au quotidien a atteint 78% de la population dont 40% en H24 alors qu’elle n’était que de 65% de la population dont 35% en H24 durant la même période de l’année 2017, affirme le ministère.

Les mesures mises en œuvre pour l’amélioration du service public de l’eau à travers 592 communes ayant enregistré des perturbations plus au moins importantes durant la saison estivale 2017 ont donné leurs fruits.

Parmi ces communes, 330 bénéficient désormais d’une alimentation quotidienne touchant ainsi plus de huit (8) millions d’habitants, indique le communiqué. Quant aux 225 communes restantes, leur alimentation s’améliore en eau potable progressivement jusqu’à la fin de l’année en cours.

Ce résultat est atteint grâce non seulement à la disponibilité des ressources en eau mais aussi à la mise en service de nombreux projets structurants qui ont fortement contribué à l’amélioration de l’alimentation en eau potable de plus de deux (2) millions habitants.

Il en est de même pour les projets locaux mis en service et portant sur la réalisation et la réhabilitation de forages, la réalisation de réservoirs, la réhabilitation des stations de pompage et la mise en service de plusieurs stations de déminéralisation d’eau dans le sud.

En outre, le dispositif organisationnel mis en place et la mobilisation des équipes à tous les niveaux de responsabilité a également été profitable.

Conformité de l’eau distribuée, aucune anomalie enregistrée

Sur un autre volet non moins important, l’application des instructions du ministre portant sur le nettoyage des ouvrages de stockage, l’approvisionnement en quantité suffisante en produits de traitement, l’accroissement de nombre de prélèvements et des analyses « ont permis de distribuer une eau de qualité irréprochable et conforme aux standards internationaux », note le communiqué.

« Les opérateurs relevant du secteur des ressources en eau se sont ainsi félicités de n’avoir enregistré aucune anomalie dans ce domaine ».

Concernant l’assainissement, l’amélioration de la qualité des eaux de baignade ainsi que l’ouverture de nouvelles plages ont également caractérisé la qualité du service public de l’assainissement durant la saison estivale.

Ainsi, 370 plages réparties sur les 14 wilayas côtières ont été autorisées à la baignade, et ce, grâce aux 29 stations d’épuration situées au niveau des villes côtières et au dispositif de protection des plages mis en place par l’ONA, la SEAAL et la SEOR en collaboration avec les directions de wilayas concernées.

Ce dispositif a mis l’accent sur la sécurisation du fonctionnement des stations de pompage, des groupes électrogènes et des ouvrages annexes ainsi que le curage et la surveillance des points noirs sur les réseaux.

Par ailleurs, et dans l’objectif d’une amélioration continue, les intervenants ont passé en revue les actions engagées dans le cadre de la préparation de la saison estivale 2019 et ont évalué leur état de mise en œuvre.

M. Necib a insisté sur le lancement, dans les meilleurs délais, des programmes de déve

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M’sila: un grave accident fait quatre morts !

Sat, 10/13/2018 - 17:59

Quatre (4) personnes ont trouvé la mort samedi dans un accident de la circulation survenu sur la RN-8 entre les deux communes d’Ain Lahdjel et Benzouh dans la wilaya de M’sila, a indiqué la cellule communication du groupement territorial de la gendarmerie nationale (GN).

L’accident s’est produit à la suite de la collision d’une voiture et d’un camion roulant en sens inverse causant la mort sur place de quatre personnes de la même famille, a-t-on précisé.

Les victimes ont été évacuées vers la polyclinique d’Ain Lahdjel par la protection civile et une enquête a été ouverte par la gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances de cet accident, selon la même source.

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10 milliards DA alloués à la découverte de nouvelles mines !

Sat, 10/13/2018 - 17:58

Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi a annoncé samedi à Alger, que près de 10 milliards Da avaient été alloués au financement d’opérations pour la découverte de ynouvelles mines exploitables.

Intervenant lors de la rencontre nationale sur l’aménagement et le développement des zones frontalières, M. Yousfi a fait état de « l’élaboration de programmes importants pour la période 2018-2028, relatifs à des travaux de structures géologiques, de cartographies géologiques et d’opérations de recherches géologiques minières, pour lesquels près de 10 milliards Da ont été alloués afin de découvrir et de préparer prochainement des sites miniers exploitables sur les plans technique et économique ».

Ces opérations visent à assurer les meilleures conditions pour « bien préparer l’avenir de ce secteur et lui permettre de s’adjuger une place importante au sein de l’économie nationale et de jouer ainsi un rôle primordial dans le développement socioéconomique du pays », a-t-il ajouté.

Outre son rôle dans la création de richesses et de recettes en devises ainsi que dans la revitalisation des autres secteurs économiques, le secteur des mines peut devenir, grâce à ces programmes, une source de création d’emploi notamment au niveau des zones frontalières, a indiqué M. Yousfi, soulignant que la majorité des sites miniers se trouvaient dans des zones isolées et éloignées notamment au niveau des frontières.

Il a affirmé que le secteur des mines pourrait être « un pôle efficace d’excellence » pour le développement des zones frontalières.

Le ministre a évoqué, dans ce sens, le projet relatif à la valorisation du phosphate de Bir El Atter (Tébessa) qui accompagnera la réalisation de plusieurs pôles industriels et d’autres projets dont les structures de transport ferroviaire, les bases de vie et les projets de prétraitement du phosphate et de sa transformation chimique et industrielle pour la production de plusieurs types d’engrais.

Ce projet dont les investissements s’élèvent à 1.500 milliards DA, contribuera à octupler la production nationale en phosphate pour atteindre 10 millions tonnes/an, outre la création de grands groupes industriels capables de produire 4 millions tonnes d’engrais.

Il s’agit également de la construction de plusieurs barrages, du renforcement de l’approvisionnement de la région en électricité, en eau et en gaz naturel, de la modernisation des chemins de fer et de la multiplication du nombre des centres de formation professionnelle en vue de former la main d’œuvre nécessaire, ce qui est à même de générer des dizaines de milliers d’emplois directs et indirects.

Il a été décidé également de la modernisation et du développement des moyens d’exploitation des mines de fer de Ouenza et de Boukhadra (Tébessa) en vue de tripler leur production de manière à répondre à la demande croissante des unités de sidérurgie, a ajouté le ministre.

Quant à l’ouest du pays, M. Yousfi a mis en avant les efforts déployés en matière d’opérations de valorisation du gisement de fer de Ghar Djebilet (Tindouf), qui permettra d’assurer son exploitation d’une manière économique, nécessitant ainsi « de grands investissements qui seront profitables à toute la région ».

Quant à l’extrême sud du pays, des discussions ont été engagées avec des partenaires étrangers en vue de relancer l’exploitation de l’or et d’autres gisements dans la région, a fait savoir le ministre.

Organisée par le ministère de l’Intérieur, cette rencontre a pour objectif de mettre en œuvre la stratégie nationale de développement de ces espaces, et ce dans un cadre concerté, ainsi qu’une vision multisectorielle et transfrontalière susceptible d’aboutir à « un programme spécial de développement des zones frontalières ».

Prennent part à cette rencontre près de 400 participants de différents départements ministériels et organismes nationaux (des universités, de grandes sociétés et des organisations patronales) ainsi que les walis des zones frontalières et présidents des Assemblées populaires communales (APC) de ces zones.

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La montée des tensions commerciales pèsera sur la croissance mondiale, prévient Loukal

Sat, 10/13/2018 - 16:50

 Les tensions commerciales vont peser sur la croissance mondiale et  » risquent d’éroder les avancées considérables d’intégration de l’économie mondiale  » réalisées sur plusieurs années, a déclaré samedi à Bali, le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Loukal.

Intervenant devant le Comité monétaire et financier international (CMFI), M. Loukal a relevé que les risques sur la croissance anticipée au mois d’avril, durant la réunion des institutions de Bretton Woods, se sont intensifiés et certains se sont matérialisés.

« La fenêtre d’opportunités offerte par la reprise économique semble, ainsi, se dissiper à un moment où les risques qui pèsent sur les perspectives s’accentuent « , a indiqué le patron de la BA qui s’exprimait au nom de sept pays à savoir l’Afghanistan, l’Algérie, le Ghana, l’Iran, le Maroc, le Pakistan et la Tunisie.

Le gouverneur a précisé que ces tensions commerciales se reflètent déjà dans la révision à la baisse des perspectives de croissance mondiale.

Le resserrement des conditions financières, la tendance haussière des coûts de l’emprunt, ainsi que l’accentuation des tensions géopolitiques sont autant de facteurs qui posent davantage de risques sur les perspectives économiques mondiales, a-t-il expliqué.

S’y ajoute, la migration forcée pour raisons politiques et économiques qui a créé des défis économiques et sociaux aussi bien aux pays d’origine qu’aux pays récipients et ceux de transit.

Selon les prévisions présentées par le gouverneur, la reprise dans les économies avancées, à l’exception des Etats-Unis, a gagné en maturité et la croissance devrait, en 2019, atteindre son potentiel, alors la croissance globale dans les économies émergentes et les pays en développement devrait rester solide et continuer à soutenir la croissance mondiale malgré le ralentissement attendu en Chine.

==Pressions sur les flux des capitaux==

Pour autant, le gouverneur a estimé que les vulnérabilités croissantes ainsi que la persistance de legs de la crise économique et financière mondiale peuvent intensifier brutalement les risques pesant sur la stabilité financière mondiale.

Ainsi, les pressions sur les flux de capitaux vers les pays émergents et en développement devraient s’accroître avec l’accélération de la normalisation de la politique monétaire aux Etats-Unis.  » Cela pourrait impacter fortement les marchés financiers « , a-t-il anticipé.

Abordant, à ce titre, l’Agenda global de politiques (AGP) de la directrice générale du FMI, M. Loukal a souligné que son plan d’actions pour assister les pays membres, à travers des conseils bien calibrés afin d’ancrer une croissance plus forte, plus inclusive et plus riche en emplois, en contexte de stabilité macroéconomique, était bienvenu.

Le gouverneur a salué le renforcement du soutien du FMI aux pays fragiles et ceux affectés par les conflits ainsi que la reconnaissance de la nécessité d’aider les pays en développement à atteindre les Objectifs de développement durable.

Il a fait remarquer qu’a cette fin, le soutien de la communauté internationale est crucial car les besoins de financement des pays en développement à faible revenu pour atteindre ces objectifs sont substantiels et bien au-delà de tout effort raisonnable de mobilisation de ressources internes.

==Les exportateurs de pétrole s’attèlent à diversifier leurs économies==

Abordant les défis auxquels font face les pays émergents et en développement, le gouverneur de la BA a indiqué que « les plus immédiats consistent à se préserver de tout revirement des flux de capitaux et de se protéger des effets de contagion ».

Il s’agit de renforcer, à ce propos, les coussins de sécurité budgétaires et externes, à travers une combinaison équilibrée de politiques macroéconomiques et macro-prudentielles, incluant le recours temporaire à des mesures de gestion des flux de capitaux, en tant que de besoin.

Aussi, le renforcement du potentiel de croissance et de l’emploi dans les pays émergents et en développement passe par la rationalisation des règlementations, l’amélioration de la compétitivité et l’accroissement de l’investissement dans l’infrastructure et le capital humain, a-t-il indiqué.

Soutenus par le raffermissement des prix du pétrole, les pays exportateurs de pétrole dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord s’attellent à diversifier leurs économies, reconstruire leurs coussins de sécurité et créer des emplois, notamment pour les jeunes, à travers des réformes du marché du travail, a relevé M. Loukal.

« Cependant, beaucoup reste à faire » reconnaît-il.

Pour leur part, les pays importateurs de pétrole dans la région orientent leurs efforts vers le maintien d’un rythme de croissance satisfaisant, en tenant compte de l’impact de la reprise des prix du pétrole.

Le patron de la BA a appelé, le FMI et la communauté internationale à redoubler d’efforts pour aider les pays en développement à faible revenu à atteindre leurs objectifs, à travers des politiques adaptées à leurs spécificités et des financements concessionnels.

Au nom des sept pays, M. Loukal a salué les efforts de l’institution en vue d’introduire davantage de flexibilité dans la mise en œuvre du Cadre révisé de soutenabilité de la dette.

Le gouverneur a, par ailleurs, appelé à davantage d’efforts pour l’achèvement, à temps pour les assemblées annuelles de 2019, de la quinzième revue générale des quotes-parts, incluant un accord sur une nouvelle formule de calcul des quotes-parts, avec l’objectif de maintenir les ressources totales du Fonds autour de leur niveau actuel.

 » Nous soulignons, de nouveau, la nécessité, à travers le réalignement des quotes-parts, d’assurer une augmentation substantielle de celles des pays émergents et en développement dynamiques – sans que cela se fasse aux dépens des autres pays émergents et en développement « , a-t-il relevé.

Le réalignement doit aussi protéger les voix et la représentativité des pays éligibles au Fonds Fiduciaire pour la Réduction de la Pauvreté et pour la Croissance, ainsi que celles des petits pays en développement, a conclu le gouverneur.

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Le ministre nigérian des Affaires étrangères en visite de travail en Algérie à partir de dimanche

Sat, 10/13/2018 - 16:50

Le ministre des Affaires étrangères de la République fédérale du Nigeria, Geoffrey Onyeama, effectuera une visite de travail en Algérie à partir de dimanche à la tête d’une importante délégation, à l’invitation du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, indique samedi un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Au cours de cette visite de deux jours, M. Messahel coprésidera avec son homologue nigérian les travaux de la quatrième session de la Haute Commission mixte de coopération algéro-nigériane.

Cette session offrira aux deux ministres « une occasion propice de procéder à une évaluation exhaustive de l’état de la coopération bilatérale et de dégager de nouvelles perspectives de partenariat pour la hisser au niveau de la qualité des relations politiques entre des deux pays », précise-t-on de même source.

La tenue de cette quatrième session de la Haute Commission mixte « témoigne de la ferme volonté de l’Algérie et du Nigeria d’approfondir leur coopération, de tirer profit de leurs immenses potentialités économiques et d’insuffler aux relations bilatérales une nouvelle dynamique », souligne le communiqué.

« La recherche de nouveaux axes de coopération, la réactualisation des projets de coopération et l’examen de nouvelles propositions seront de nature à relancer, de manière significative, la coopération bilatérale sur des bases nouvelles », ajoute le texte.

Cette session se présente enfin comme « un espace privilégié devant permettre aux deux pays, qui militent de concert à la réalisation des objectifs et des idéaux de l’Union africaine, de se concerter sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment les défis auxquels font face les pays africains, pour garantir la paix, la sécurité et la stabilité du continent ainsi que son développement économique et social ».

Au cours de son séjour à Alger, le ministre des Affaires étrangères de la République fédérale du Nigeria aura, en outre, des entretiens avec de hauts responsables algériens.

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Gaïd Salah en visite de travail à la 5ème Région Militaire à Constantine à partir de dimanche

Sat, 10/13/2018 - 16:47

Le vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, effectuera les 14 et 15 octobre 2018, une visite de travail dans la 5ème Région militaire à Constantine, indique samedi un communiqué du ministère de la Défense nationale.

Lors de cette visite, le général de corps d’armée « supervisera un exercice tactique, avec munitions réelles, qui sera exécuté par les unités de la 1ère Division Blindée » et « aura également à tenir des réunions d’orientation avec les cadres et les éléments des unités de la 5ème Région Militaire », précise la même source.

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M. Messahel remet un message du Président Bouteflika à son homologue équato-guinéen

Sat, 10/13/2018 - 16:45

Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a remis, vendredi à Malabo, un message écrit du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à son homologue équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, dans lequel il lui a réitéré sa disponibilité à travailler ensemble pour le renforcement des relations bilatérales.

« Représentant de Monsieur le Président de la République Abdelaziz Bouteflika, le Ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel a remis, hier à Malabo, au Président de la République de Guinée équatoriale M. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, un message écrit de Monsieur le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, par lequel le Chef d’Etat félicite son homologue pour le cinquantenaire de l’indépendance de la Guinée équatoriale et réitère sa disponibilité à travailler de concert avec le Président Mbasogo pour le renforcement des relations bilatérales ».
Le Président Mbasogo a exprimé ses remerciements pour la participation de l’Algérie à cette cérémonie de célébration du cinquantenaire de l’indépendance de la Guinée équatoriale.

Il a également fait part de sa satisfaction quant à la qualité des relations bilatérales en exprimant la volonté de son pays à les renforcer davantage.Le Président Mbasogo a chargé le Ministre des Affaires étrangères de transmettre à Monsieur le Président de la République ses sentiments d’estime et de considération ainsi que ses vœux de progrès pour le peuple algérien.

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Rappelant que la « présidence est avec la légalité » / APN : l’appel de Bouhadja au calme et à la raison

Sat, 10/13/2018 - 16:41

La crise que traverse l’Assemblée populaire nationale (APN), née de la revendication des cinq groupes parlementaires de la majorité siégeant à l’hémicycle, de destituer son président Saïd Bouhadja, se dirige-t-elle vers le dénouement ? Les députés de la majorité abandonneraient-ils leur action visant la tête de Bouhadja et permettre à l’Assemblée de reprendre ses travaux ? Le scénario est désormais du domaine du possible. Selon M. Bouhadja qui résiste aux attaques des partis de la majorité le sommant de démissionner, l’APN pourrait reprendre ses travaux à partir de dimanche.

Dans une déclaration au quotidien « Liberté » dans son édition de jeudi, le président de l’APN a indiqué qu’il est « probable » que le travail reprendra ce dimanche. La situation tend-t-elle à se normaliser au sein de l’Assemblée après deux semaines d’impasse accompagnée de déclarations et de contre-déclarations par médias interposés ? M. Bouhadja semble être confiant quant à un rétablissement de l’ordre au sein de l’APN. «Nous reviendrons au fonctionnement naturel et normal de l’Assemblée », promet-il, ajoutant les députés «répondront collectivement lorsqu’ils seront convoqués ».
Il en veut pour preuve les réunions tenues durant la journée de mercredi dernier par certaines commissions de l’APN, minimisant au passage l’impact de la décision prise antérieurement et portant « gel » des structures de l’Assemblée.

Pédagogie par-ci et contre-attaque par là

M. Bouhadja, qui aura visiblement fait preuve de sang-froid devant la multiplication et l’insistance des attaques le ciblant pendant deux semaines de la part des partis de la majorité, semble manifestement privilégier un discours très pédagogique à l’égard des députés qui œuvraient pour sa destitution. C’est dans cet esprit que M. Bouhadja, familier depuis des lustres au fonctionnement des institutions et au profil des politiques y siégeant, appelle ses contradicteurs au calme et à la raison, en traçant une reprise « progressive » au niveau de l’Assemblée.
Mais, au passage, un des vice-présidents à l’APN, Abdelhamid Si Afif en l’occurrence, en a pris pour son grade, de la part de Bouhadja. Accusé publiquement par le député de Mostaganem d’avoir marchandé des privilèges en contrepartie de sa démission réclamée, M. Bouhadja s’en lave les mains et contre-attaque. « Je n’ai aucun avantage à défendre. Mon avenir est derrière moi. C’est Abdelhamid Si Affif qui colporte ce genre d’affirmations. Je rappelle juste qu’à l’époque du mouvement de redressement, il se réunissait avec nos opposants le matin et venait vers nous le soir », assène M. Bouhadja.

« La présidence est avec la légalité »
Par ailleurs, le président de l’Assemblée a soutenu que « la présidence la République est avec la légalité ». Un tel rappel de la part du président de l’APN est porteur, selon toute vraisemblance, de plus d’un message. Faire comprendre à ses adversaires que lui est dans la légalité et qu’eux sont dans l’illégalité. Et que, par déduction, une institution du rang de la présidence la République n’a pas pour vocation à arbitrer des conflits de ce genre. « Je ne connais toujours pas leurs objectifs. Mais je sais qu’ils sont en train de faire un travail immoral, en foulant aux pieds les lois de la République. Dans ce cas, je ne peux répondre favorablement à leur demande qui est d’ailleurs illégale et qui vise à accomplir un objectif illégal », estime-t-il. Pour rappel, les présidents des groupes parlementaires des partis du Front de libération nationale (FLN), du Rassemblement national démocratique (RND), de
Tajamoue Amel El Djazair (TAJ),
du Mouvement populaire algérien (MPA) et des Indépendants avaient remis il y’a une quinzaine de jours, au président de l’APN, une motion de retrait de confiance exigeant notamment sa démission.

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Khashoggi: Trump promet un « châtiment sévère » si Ryad est responsable

Sat, 10/13/2018 - 16:39

Le président américain Donald Trump a estimé que l’Arabie saoudite pourrait être derrière la disparition du journaliste Jamal Khashoggi et que si tel était le cas, son pays infligerait un “châtiment sévère” au royaume, tout en continuant d’exclure une limitation des ventes d’armes.

“Pour l’instant, ils démentent (leur implication) et la démentent vigoureusement. Est-ce que ça pourrait être eux? Oui”, a dit le président dans un entretien à la chaîne CBS, enregistré jeudi et diffusé samedi.

Si l’Arabie saoudite s’avérait effectivement responsable, il y aurait “un châtiment sévère”, a-t-il ajouté dans cet entretien dont la totalité sera diffusée dimanche soir.

M. Trump a affirmé que le sujet était particulièrement important “parce que cet homme était journaliste”.tt

Mais, interrogé sur les options envisagées, le président américain a dit ne pas être partisan d’une limitation des ventes d’armes au royaume, ce qu’il avait déjà dit précédemment.

“Je vais vous donner un exemple, ils commandent des équipements militaires. Tout le monde à travers le monde voulait cette commande. La Russie la voulait, la Chine la voulait, nous la voulions. Nous l’avons eue, et nous l’avons eue entière”, a-t-il dit.

“Je vais vous dire ce que je ne veux pas faire. Boeing, Lockheed, Raytheon, je ne veux pas nuire aux emplois. Je ne veux pas perdre une commande pareille”, a-t-il ajouté, estimant qu’il y avait “d’autres moyens de punir”.

AFP

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18 octobre: la rentrée de la dernière chance !

Sat, 10/13/2018 - 16:22

Ces derniers ont été réintégrés dans leurs classes après avoir soumis aux services de l’Education nationale des recours ayant pour requête de leur donner une chance de refaire leur année scolaire.

Les élèves exclus qui ont été réadmis sont appelés à rejoindre leurs établissements respectifs avant le 18 du mois en cours. Il s’agit de ceux ayant essuyé un échec aux examens du bac et du BEM, mais aussi pour d’autres motifs. Ces derniers ont été réintégrés dans leurs classes après avoir soumis aux services de l’Education nationale des recours ayant pour requête de leur donner une chance de refaire leur année scolaire.
D’après des sources ministérielles, cette mesure a été prise conformément au «protocole régissant l’opération de redoublement de l’année scolaire 2018-2019». Celui-ci, précisent les mêmes sources, prévoit les dispositions organisationnelles régissant le redoublement de l’année pour les élèves non admis aux classes supérieures stipulant que «tout élève dont la demande a été acceptée et n’ayant pas rejoint son établissement scolaire sans aucun motif avant le jeudi 18 octobre 2018 est considéré comme ayant abandonné les bancs de l’école». Cette «seconde chance» a été accordée pour ceux dont les noms étaient affichés pour le redoublement de l’année après plus d’un mois de la rentrée scolaire. Il est indiqué par le département que «les recours ont été ouverts auprès des directions de l’éducation durant la période allant du 3 au 7 octobre». En ce qui concerne les décisions de la commission en charge de l’examen des recours, elles seront annoncées le 15 octobre prochain, indique-t-on. Rappelons que de nouvelles dispositions incluant la réadmission des élèves exclus, avaient été mises en place. Le protocole qui avait alors été établi et annoncé par la responsable du secteur, Nouria Benghebrit, énonçait à cet effet que «le redoublement est une mesure pédagogique soumise à des critères qui visent à garantir l’égalité des chances à tous les élèves, et autres conditions liées à la situation des établissements scolaires, notamment la capacité d’accueil et le nombre des élèves». Par ailleurs, les questions du redoublement et des exclusions ont été remises au centre des priorités du ministère concerné, après avoir constaté un accroissement rapide du taux de cas d’échec scolaire dans les différents paliers. Cette problématique a d’ailleurs suscité une grande inquiétude chez les acteurs relevant du secteur de l’éducation. La baisse du niveau scolaire, dés le primaire notamment, a en effet conduit à s’interroger sur les véritables causes d’une telle situation. Interpellée à ce sujet, Nouria Benghebrit avait répondu que les origines du phénomène ont été identifiées, et que par conséquent, il sera plus aisé de venir à bout de la chose. D’autre part, nombre de parents d’élèves sont montés au créneau pour dénoncer le fait qu’on ne donne plus la chance aux élèves de redoubler leurs classes. Certains syndicalistes iront jusqu’à juger cette mesure «injuste» pour beaucoup d’enfants scolarisés. Selon eux, exclure les élèves ou les réorienter vers la formation professionnelle a grandement contribué à la propagation de la déperdition scolaire.
En réaction, Nouria Benghebrit avait été ferme là dessus en soutenant que «seuls les élèves qui ne sont pas loin de la moyenne ont le droit d’être réadmis», soulignant au passage, que les exclus peuvent déposer des recours afin de demander leur réintégration en classe. Justifiant la prise de cette décision, la responsable a assuré qu’elle a été bénéfique, car elle a permis d’enrayer le phénomène de la déperdition scolaire comparativement aux années précédentes.
Le ministère de l’Education a indiqué par ailleurs, que «les parents d’élèves concernés ont déposé des recours et des demandes de réinsertion de leurs enfants munies de copies des relevés de notes des trois trimestres durant le période allant du 16 au 27 septembre.

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Intox, fake news et manipulation médiatique: Un vrai délire anti-algérien

Sat, 10/13/2018 - 16:22

L’arme médiatique qu’on déploie contre l’Algérie a été pointée sur des Etats autrement plus forts, à l’image de la Russie, les Etats-Unis et la France.

Dans l’actualité politique de ces deux dernières semaines, un fait concentre l’intérêt des observateurs. Il s’agit du blocage de l’APN, consécutivement au bras de fer que se livrent le prédisent de cette institution et une majorité de députés. Les protagonistes de cette affaire se sont exprimés dans les médias nationaux avec assez de clarté pour que chaque citoyen puisse se faire une opinion de la situation qui prévaut au niveau de la chambre basse du Parlement. Les Algériens sont même aidés par des éclairages de spécialistes du droit constitutionnel et des politologues, puisque le conflit qui paralyse l’APN a effectivement une dimension juridique et une autre politique. Il est clair que l’opinion publique est en droit de ne pas se satisfaire d’explications formelles et d’avis objectifs liés à l’affaire. La théorie du complot étant un fantasme que toute l’humanité se partage, des associations sont établies ici et là et l’on va chercher toutes les connexions possibles et imaginables entre ce qui arrive à l’Assemblée et des événements qui s’étaient produits dans le passé. Les Algériens, à l’image de tous les publics de la planète, sont friands d’histoire de cabinets noirs, où les acteurs manipulent à distance des pions sur un immense échiquier qu’on appelle «le système». Jusque-là, nous sommes dans les limites d’un scénario de politique-fiction. Sauf qu’il semble très évident que des cercles très intéressés veulent transformer ce qu’on aurait pu qualifier, au final, de feuilleton automnal, comme il peut se produire ailleurs avec différentes variantes, en une méga-opération d’intox et de manipulation à grande échelle. Et pour cause, en pleine crise parlementaire, on voit débarquer sur la scène médiatique un ancien diplomate accrédité à Alger pour tenir un discours franchement apocalyptique sur l’Algérie, décrivant une situation d’exception.
Les médias de l’Hexagone lui ouvrent leurs colonnes et quelques titres nationaux s’engouffrent dans la brèche et l’on se surprend à trouver un lien entre l’affaire du diplomate et celle de l’APN, mais cette relation ne sort pas de l’imaginaire des Algériens. Elle est créée et cultivée pas des sites Internet français et algériens qui noient la Toile d’informations «invraisemblables» où des noms de hauts responsables sont traînés dans la boue. Des situations inventées de toutes pièces sont présentées comme s’étant réellement produites. La scène politico-médiatique s’en trouve inondée d’informations impossibles à vérifier et globalement fausses de bout en bout. Les sites d’information et, malheureusement quelques titres de la presse nationale, avancent des informations assez graves, tout en «protégeant» leurs «sources» sous le couvert de l’anonymat. Une pratique vieille comme la presse, mais qui, visiblement, fait encore recette dans certaines circonstances. Celles qui prévalent actuellement à Alger apportent aux manipulateurs une opportunité rêvée d’agir sur l’opinion algérienne. A coups de fake news et autres commentaires «acides» on est arrivé à fabriquer une image détestable de l’Algérie et de tout son système politique.
On pourrait disserter sur la véracité de la méthode employée pour désinformer l’opinion nationale, mais l’on ne peut pas diverger sur certains sites Internet d’information, déjà connus pour une série d’informations qui s’étaient révélées fausses, mais qui, en leur temps, avaient suscité beaucoup d’émoi. Ce sont ces mêmes canaux qui déversent leurs immondices médiatiques sur l’Algérie. Le mode opératoire n’est pas nouveau. Il a été utilisé en Tunisie, en Egypte, en Irak, en Syrie et en Libye. On voit aujourd’hui ce qu’il est advenu de ces Etats.
L’arme médiatique qu’on déploie contre l’Algérie a été pointée sur des Etats autrement plus forts, à l’image de la Russie, les Etats-Unis et la France.
Ce dernier pays a récemment légiféré contre les fake news. Cela pour dire que ce qui arrive chez nous avec ces associations plutôt bizarres entre des évènements, des institutions et des hommes, ne relève pas toujours du hasard.

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Le gouvernement poursuivra ses réformes économiques: L’Algérie répond au FMI

Sat, 10/13/2018 - 16:13

Le grand argentier du pays s’est entretenu avec les responsables de l’institution de Bretton Woods lors des Assemblées annuelles du FMI et de la BM qui s’achèveront demain à Bali.

L’Algérie a donné de la voix dans la foulée des chiffres publiés par le FMI concernant l’Etat de son économie. Un bilan plutôt rassurant. Ce qui n’était pas gagné d’avance. L’option du recours du gouvernement au financement non conventionnel pour faire face à la crise financière qui a résulté de la dégringolade des prix du pétrole, n’était pas vue d’un bon oeil par le Fonds monétaire international.
Le FMI n’a pas écarté l’éventualité d’une inflation galopante aux effets dévastateurs. Son dernier rapport éloigne ce type de scénario et souligne surtout la bonne tenue de l’économie nationale. Des recommandations ont été émises bien entendu pour confirmer son redressement. L’Algérie a saisi l’opportunité que lui offraient les réunions plénières des Assemblées annuelles du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale (BM) qui se tiennent jusqu’au 14 octobre à Bali en Indonésie pour indiquer sa ligne de conduite. Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, qui a présenté la situation économique de l’Algérie et ses perspectives, a réitéré la volonté et l’engagement du gouvernement à poursuivre les réformes économiques structurelles visant à améliorer le cadre institutionnel et à orienter les ressources disponibles au bénéfice de la croissance économique.
Quels sont ces projets structurants qui doivent impacter positivement l’économie nationale? «Des efforts sont toujours déployés pour un meilleur recouvrement de l’impôt, la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale, l’amélioration des dispositifs pour encourager davantage l’investissement, la mise en place de mécanismes adaptés pour l’inclusion du secteur informel et la diversification des produits bancaires pour plus d’inclusion financière.» a souligné le grand argentier du pays. Des efforts salués par la BM qui a affiché sa satisfaction quant à la qualité de son partenariat avec l’Algérie.
La BM l’a assuré de la disponibilité de son Groupe pour lui apporter son appui dans ses efforts de développement économique. Abderrahmane Raouya a eu également des entretiens «fructueux» avec les responsables du FMI en charge des finances publiques et des questions fiscales. Les échanges ont porté sur l’état et les perspectives de coopération dans les domaines fiscal, budgétaire et douanier. L’institution de Christine Lagarde a elle aussi affiché sa volonté à accompagner les efforts de l’Algérie dans son plan de modernisation dans les domaines relevant de sa compétence. Un joli coup double pour l’Algérie.

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Crise à l’APN: Un troisième acteur entre en jeu !

Sat, 10/13/2018 - 16:13

«On ne doit pas laisser le champ libre à la coalition pour faire son diktat», a soutenu le président du groupe parlementaire du front El-Moustakbel, Hadj Barghouti.

Ni la coalition, ni l’opposition ne sont intéressées. L’initiative de médiation menée par le front El-Moustakbel de Abdelaziz Belaïd, pour tenter de trouver une issue à la crise politique qui paralyse le Parlement, n’a pas de fortes chances d’aboutir. La réunion convoquée jeudi dernier au siège du groupe parlementaire à laquelle étaient invités tous les partis politiques qui ne font pas partie du bras de fer, n’a pas eu d’écho. Seuls Belkacem Sahli de l’Alliance nationale républicaine et le Mouvement de l’Algérie de demain, représenté par Allioua Allal ont assisté à la réunion. «Nous avons envoyé des invitations à tous les partis et même ceux qui n’ont pas de groupes parlementaires pour discuter de la situation de blocage au sein du Parlement et tenter de trouver une issue à cette crise», a affirmé Hadj Barghouti, chef du groupe parlementaire du front El-Moustakbel.
Le Parti des travailleurs, le Mouvement de la société pour la paix, le Front des forces socialistes, El-Adala, le Rassemblement de la culture et la démocratie n’ont pas répondu à l’appel. Pourquoi? Certains ne se sentent pas concernés par ce conflit, à l’image du PT, du RCD et du FFS. D’autres ne voient pas l’utilité d’une telle action après le refus affiché par la coalition. Dans la une déclaration faite à l’issue de la rencontre, ce responsable a soutenu qu’en tant que membre de cette institution, il est de leur devoir de chercher des solutions pour débloquer cette situation de crise. «On ne doit pas laisser le champ libre à la coalition pour faire son diktat. Même si on n’est pas impliqués dans ce conflit, il est de notre responsabilité de contribuer à son règlement», a-t-il insisté en précisant que l’intérêt suprême de l’institution est au-dessus de tout calcul ou manoeuvre partisane. Rappelant que c’est une institution de l’Etat qui est élue par le peuple, le représentant de Abdelaziz Belaid appelle les députés à dépasser cette situation et à oeuvrer pour la stabilité des institution. De son côté, Belkacem Sahli a appelé les parties en conflit à arrêter la surenchère par presse interposée. «Cette situation de blocage est en contradiction avec les dernières instructions données par le président de la République qui a appelé à prendre en charge les préoccupation des citoyens», a-t-il déclaré. Selon lui, le dialogue reste la seule option pour sortir le Parlement de cette situation de crise. «Le président de l’Assemblée n’est pas contre l’idée du départ ni le dialogue, mais il refuse d’agir sous la pression de la coalition», a avancé Sahli.
De son côté, Allioua Allal a appelé les partis de la coalition et le président de l’Assemblée à dépasser cette situation de conflit et à primer l’intérêt de l’institution et des citoyens. Que pense la coalition? La majorité parlementaire campe sur sa position et refuse toute médiation. «Avant d’aller vers le gel, nous avons engagé plusieurs tentatives de dialogue avec le président de l’Assemblée, mais ça n’a pas abouti», a affirmé le chef du groupe parlementaire du FLN, Mouâad Bouchareb. ce dernier soutient que le départ de Bouhadja reste la seule solution pour la sortie de crise. «Toutes les structures et les activités de l’APN sont gelées, le président ne peut pas poursuivre dans cette situation», certifie le chef du groupe parlementaire du RND, Fouad Merabet. Selon des sources, le président de l’Assemblée est venu jeudi sans la garde rapprochée. une donne qui confirme pour la coalition que l’affaire est scellée et son départ n’est qu’une question de jours. Une thèse écartée par d’autres sources qui annoncent un retour à l’activité parlementaire dans les prochains jours.

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Annaba: Ils le tuent pour un motocycle !

Sat, 10/13/2018 - 15:56

La cour criminelle de Annaba a condamné à la perpétuité, deux jeunes pour, homicide volontaire avec préméditation.

Les deux criminels, qui ont échappé à la peine de mort requise à deux reprises, par le représentant du ministère public, ne sont pas sortis de l’auberge. Puisque, lors du procès en appel, le procureur général a réitéré dans son réquisitoire, l’application de la peine capitale. Peut-être par clémence, l’instance de justice a, une nouvelle fois, maintenu la perpétuité pour les deux accusés, reconnus coupables du meurtre du jeune Khaled âgé de 23 ans. Le drame est survenu en juin 2014. Lorsque la victime sur sa moto, accompagnée de M.B son ami, rentrait chez eux, ils ont été tous deux mortellement agressés par les deux criminels. Arrivés au niveau du point giratoire de Sidi Amar, les deux victimes furent interceptées par les deux agresseurs qui, à coup de canne, leur avaient assénés des coups mortels, avant de s’enfuir avec la moto.
Grièvement atteintes, la victime et son ami furent évacués aux urgences, où Khaled rendit l’âme, pendant que son ami Mohamed a eu plusieurs fractures au bras.

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JIJEL: 60 interventions chirurgicales effectuées par des ophtalmologues bienfaiteurs

Sat, 10/13/2018 - 15:53

Un staff médical composé de cinq ophtalmologues dont trois de la wilaya de Biskra et deux de l’hôpital Mohamed-Seddik- Benyahia de Jijel et sept paramédicaux dont des retraités vont effectuer, durant trois jours, 60 interventions chirurgicales au profit des malades de la wilaya de Jijel dans le cadre des journées chirurgicales d’ophtalmologie qui ont lieu du 11 au 13 octobre à l’hôpital de Jijel.

L’ophtalmologue Chikouche Mourad, originaire de la wilaya de M’sila et exerçant dans la wilaya de Biskra nous a affirmé hier à Jijel que l’auteure de cette initiative n’est autre que sa collègue Aberkane Imene, spécialiste en ophtalmologie exerçant à l’hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia de Jijel qui nous a préparé les malades pour effectuer ces opérations , ajoutant qu’ils ont déjà effectué trois interventions chirurgicales mercredi dernier lors de notre arrivé . Jeudi des malades sont rentrés au service d’ophtalmologie pour être pris en charge. On a programmé 20 interventions pour jeudi et 40 les vendredi et samedi. On compte réaliser 80 interventions si tout se passe bien, a tenu à souligner le docteur Chikouche Mourad qui est également le président de l’Association des jeunes ophtalmologues de la wilaya de Biskra. Plus explicite, ce jeune praticien spécialiste affichant une grande disponibilité a souligné, par ailleurs, que cette initiative est l’œuvre de deux associations «Nour Linasse» de deux wilayas avec la coordination de l’hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia et la Direction de la santé et de la population de Jijel. Interrogé par nos soins sur le coût de ce genre d’opération, il a estimé qu’il est de 70 000 DA chez le privé. Un montant qui n’est pas à la portée des bourses moyennes. Pour sa part, l’ophtalmologue Mlle Aberkane Imene nous a affirmé qu’elle exerce en compagnie de son collègue le docteur Belghiat à l’hôpital de Jijel ; en revanche elle a précisé qu’ils sont dans l’incapacité d’effectuer ce genre d’interventions chirurgicales faute d’un plateau technique et de microscope électronique car les interventions ophtalmologiques actuellement se font au laser et non à l’aide des anciennes pratiques qui sont devenues caduques, a tenu à préciser l’une des chevilles ouvrières de cette action de bienfaisance. De son côté, le président de l’association «Nour Linass» Boubezari Mohamed-Tahar, peu loquace, a souligné dans une déclaration à la presse à proximité du bloc opératoire dudit l’hôpital : «On ne croit qu’au travail. On ne veut pas trop parler. On préfère travailler sur le terrain. On compte faire d’autres initiatives prochainement, notamment dans le secteur de la santé qui souffre d’un important manque.» Pour sa part, le docteur Chikouche nous a précisé que «c’est l’association de Jijel qui nous ramené le matériel, notamment les microscopes électroniques et les instruments nécessaires pour effectuer ce genre d’interventions. Rencontré, Ammi Mahmoud, 66 ans, retraité originaire du quartier de Heddada, nous affirme qu’il attend d’être opéré depuis plus d’une année et demie sans omettre toutefois d’exprimer sa joie car il va être opéré enfin grâce à cette action bénévole. Notons enfin que cette action a soulagé de nombreux patients souffrant de problème ophtalmologique et qui attendent leur rendez-vous en vue d’être opérés depuis belle lurette. Chapeau aux initiateurs de cette louable action de bienfaisance en cette conjoncture où l’acte médical est synonyme de commerce.
Bouhali Mohammed Cherif

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