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Les journalistes accusés d'avoir fait chanter Mohammed VI mis en examen

France24 / Afrique - Sat, 29/08/2015 - 13:00
La justice française a mis en examen, samedi, les deux journalistes français soupçonnés d'avoir voulu faire chanter le roi du Maroc, Mohammed VI, pour plusieurs millions d'euros.
Categories: Afrique

Cecilia Malmström: "le TTIP ne menace pas le droit des Etats d'édicter des lois protectrices"

Coulisses de Bruxelles - Sat, 29/08/2015 - 12:25

REUTERS/Wolfgang Rattay

Le projet de traité transatlantique, dont la négociation a été lancée en juillet 2013, suscite toujours de fortes oppositions dans plusieurs pays européens, notamment en Allemagne et en France, alors que la négociation s’accélère : la dixième session de négociations s’est achevée le 17 juillet à Bruxelles et le traité pourrait être conclu avant la fin du mandat de Barak Obama, le président américain, fin 2016. Ce texte, dont le nom est aussi incertain que le contenu (« Transatlantic Trade and Investment Partnership » (TTIP) ou « Transatlantic free trade area » (TAFTA), « Partenariat Transatlantique pour le Commerce et l’Investissement » (PTCI) en français), et qui vise à créer un marché commun euro-américain où les biens, les services et les capitaux circuleront sans entrave, fait craindre à ses opposants une remise en cause du pouvoir des États à édicter des normes protectrices. Cécilia Malmström, la commissaire européenne au commerce qui négocie sur mandat des États membres de l’Union, estime, dans un entretien à Libération, que les gouvernements ne font pas le travail d’explication nécessaire auprès de leurs opinions publiques. Pour la commissaire suédoise, qui a fait ses études en France, les grandes peurs suscitées par ce texte ne sont pas fondées.

Le projet de traité transatlantique est rejeté par une partie de l’opinion publique européenne, notamment en Allemagne et en France. Pourquoi poursuivre une négociation qui soulève tant d’oppositions ?

D’une part, parce que la Commission européenne négocie sur un mandat unanime des États membres qui jugent que ce traité sera bénéfique pour l’économie et pour l’emploi. Je fais donc le travail qu’on m’a demandé de faire. D’autre part, parce que la majorité des opinions publiques des Vingt-huit est en faveur de ce projet. Il est vrai que les citoyens y sont opposés en Allemagne, en Autriche, au Luxembourg et en Belgique. En France, c’est partagé : 50 % sont pour, 32 % sont contre selon le dernier Eurobaromètre.

On n’entend guère les gouvernements dans cette affaire : l’impression domine que c’est la Commission seule qui veut ce traité.

C’est le problème : tout se passe comme si c’était notre idée et qu’un beau matin, nous avons décidé de négocier un traité transatlantique. Personnellement, je participe à des dizaines de réunions d’information sur le TTIP à travers l’Union. Les débats sont parfois musclés, mais je considère que c’est mon rôle. Cela étant, c’est aux gouvernements de faire l’essentiel du travail, d’expliquer à leur opinion publique ce que nous faisons et pourquoi cela sera bénéfique pour leur pays. Dans beaucoup de pays, le travail est fait, mais pas partout et sans doute pas suffisamment.

Tous les États de l’Union, quelle que soit sa couleur politique, soutiennent le TTIP ?

Absolument : il n’y a pas de débat entre nous sur le point de savoir si ce traité doit ou non être conclu. Lorsque nous discutons avec les gouvernements, nous parlons des sujets en négociation : les indications géographiques, les marchés publics, le mécanisme de règlement des différents, etc. Mais jamais ils ne nous ont priés de ralentir voire de stopper la négociation. Ils veulent même qu’on accélère pour conclure fin 2015, ce qui est impossible !

Pourtant ce projet de traité fait peur à une frange importante de la population.

Il est vrai qu’il cristallise les inquiétudes nées de la crise que nous venons de traverser, la plus grave depuis 1929 : les marchés, les entreprises, le capitalisme, le libre-échange sont pêle-mêle accusés d’en être responsables et la défiance à l’égard des gouvernements et des élites s’est accrue. À cela se sont ajoutées les crises sanitaires, pourtant purement intra-européennes, auxquels nous avons été confrontés, comme celle de la vache folle ou de la viande de cheval. En outre, un fort antiaméricanisme s’est manifesté, notamment en Allemagne, à la suite de l’affaire Snowden et des révélations sur les écoutes américaines. Enfin, pour ne rien arranger, des erreurs ont été commises au lancement de la négociation : on a donné le sentiment qu’il s’agissait de quelque chose de secret, forcément un peu louche. Mon prédécesseur, Karel De Gucht, a d’ailleurs voulu rendre public le mandat de négociation afin de rassurer les citoyens, mais les États ont majoritairement refusé. Pourtant, il n’y a rien à cacher.

Avant de lancer cette négociation, les autorités européennes n’auraient-elles pas dû expliquer ce qu’elle voulait faire ?

Il est évident que la Commission et les États membres auraient dû préparer autrement cette négociation et expliquer aux opinions publiques pourquoi ils voulaient ce traité transatlantique. Les raisons en sont simples : il s’inscrit dans une série d’accords commerciaux entre grandes régions du monde et l’Union ne peut pas rester à l’écart de ce mouvement. D’autant que la croissance des prochaines années ne viendra pas de l’Europe, mais du reste de la planète. Ainsi, les accords que nous avons conclus avec la Corée du Sud ou le Mexique nous ont permis d’augmenter nos exportations vers ces pays respectivement de 35 % et de 19 %. Le commerce n’est pas « la » solution, mais une partie de la solution qui permettra de relancer la croissance et de créer des emplois.

Beaucoup redoutent que l’Union abandonne une partie de ses normes protectrices, notamment dans le domaine alimentaire ou environnemental. Est-ce justifié ?

Dans de nombreux domaines, l’Europe a un niveau de protection très élevé. Mais c’est aussi le cas aux États-Unis et leurs normes sont même parfois plus élevées que les nôtres. Chacun, en réalité, a la sensation d’avoir un système plus protecteur… Cette différence normative entrave le commerce sans raison particulière. Par exemple, le chemisier que je porte est fabriqué en Suède : pour être exporté en Europe et aux États-Unis, il doit répondre aux normes ignifuges européennes puis américaines, alors que le système est presque identique. C’est la même chose pour les huitres et les moules : en Europe, nous testons la chair, aux États-Unis, l’eau. Scientifiquement, les deux méthodes se valent, mais il faudra effectuer les deux tests pour exporter, ce qui coûte très cher, souvent trop cher. De même en matière de crème solaire, les tests pour établir leur efficacité contre les rayons UV sont presque identiques, mais pas totalement. Ce que nous voulons faire, c’est conclure des accords dans neuf domaines identifiés, comme l’automobile, la chimie, la pharmacie ou le textile, où nos normes sont équivalentes afin de faciliter le commerce transatlantique. Notre idée n’est pas d’harmoniser, mais de reconnaître réciproquement la validité de nos normes respectives, exactement comme on le fait en Europe où il y existe une reconnaissance mutuelle des normes. Mais là où il y a de vraies différences, ce n’est même pas à l’agenda.

La directive européenne Reach qui oblige les entreprises à démontrer l’innocuité des produits chimiques mis sur le marché ne sera donc pas remise en cause ?

En aucun cas. Il faut bien comprendre que ce qui est aujourd’hui interdit en Europe restera interdit, et ce, dans tous les domaines ! Les poulets lavés au chlore ne seront pas importés en Europe.

En revanche, une voiture pourra être exportée sans qu’elle doive répondre aux normes en vigueur des deux côtés de l’Atlantique ?

Exactement, ce qui économisera beaucoup d’argent. Il suffira que le véhicule réponde aux normes en vigueur sur le lieu de fabrication.

Il n’y aura donc pas, selon vous, d’alignement par le bas des normes européennes ?

Absolument pas ! Il s’agit seulement de reconnaître mutuellement nos normes dans un certain nombre de domaines précis.

Et après l’entrée en vigueur du traité ?

Pour les futurs produits, comme les nanotechnologies ou les voitures électriques, il faudra élaborer de nouvelles normes. L’idée est de les élaborer en commun afin de créer des standards globaux. Si nous ne le faisons pas, ce seront les Chinois qui le feront et ils ne sont pas connus par leur obsession en matière de protection du consommateur.

L’idée est que le capitalisme du XXIe siècle obéisse à des normes occidentales plutôt que chinoises ?

L’idée est que les pays qui ont une communauté de valeurs coopèrent pour promouvoir leurs valeurs et leurs standards.

Si les Européens n’arrivent pas à se mettre d’accord avec les Américains, cela ne veut pas dire qu’ils renonceront à adopter leurs propres standards ?

Personne ne va renoncer à adopter des lois !

N’y a-t-il pas asymétrie dans la négociation ? Car l’Union négocie pour l’ensemble de ses États membres alors que le gouvernement fédéral américain n’engage ni ses États fédérés dans leurs domaines de compétences, comme en matière de marchés publics, ni ses agences indépendantes.

C’est un problème réel, tout comme sont des problèmes les lois qui protègent le marché américain à l’exemple du « buy american act ». Les Américains ont déjà aujourd’hui un très large accès au marché européen alors que la réciproque n’est pas vraie. Cette négociation nous offre l’opportunité de rétablir l’équilibre, c’est-à-dire d’ouvrir davantage le marché américain.

Il y a aussi le problème de la justice américaine qui refuse de reconnaître la supériorité d’un traité sur la loi américaine à la différence de ce qui se passe dans l’Union.

C’est exact : un traité international ne fait pas partie de l’ordre juridique américain. Si une entreprise française de bus scolaires est exclue d’un marché public lancé par une ville de l’Alabama en raison de sa nationalité, même si le TTIP interdit les discriminations, elle aura un gros problème. C’est pour cela que nous avons besoin d’un accord organisant le règlement des différends dans un tel cas. Ce n’est pas pour rien qu’il existe 3000 accords bilatéraux de ce genre dans le monde. Rien que la France en a conclu une centaine. Le mécanisme qui sera inclus dans le TTIP sera public et non privé, transparent, préservera le droit des organes publics d’adopter des règles — sauf s’il y a discrimination ou expropriation — et il prévoira une possibilité d’appel.

Le pouvoir normatif des États ne sera donc pas menacé ?

En aucun cas. Cela n’a d’ailleurs jamais été le cas : jamais une entreprise n’a pu obliger un État à importer, par exemple, des OGM. Il y a beaucoup de mythes autour de ce mécanisme de règlement des différends.

N.B.: version longue de l’entretien paru dans Libération du 26 août

Categories: Union européenne

ÉLŐ: MAKSZ 2015 Nemzetközi Légi- és Űrszalon

Orosz Hírek - Sat, 29/08/2015 - 12:04

Nézze itt élőben a MAKSZ 2015 XII. Nemzetközi Légi- és Űrszalon bemutatóit a Moszkva melletti Zsukovszkij légibázisról.

Categories: Oroszország és FÁK

Pentagon: a NATO-nak fel kellene tartóztatni Oroszország erejét

Orosz Hírek - Sat, 29/08/2015 - 12:03

Az Egyesült Államok elsősorban gazdasági és politikai erővel akar hatással lenni Oroszországra az ukrajnai események miatt – írja a TASS. Erről Ashton Carter, az Egyesült Államok védelmi minisztere nyilatkozott a Foreign Affairs újságnak adott interjú közben. „Támogatjuk Ukrajna saját gazdasági kiépítésének törekvéseit. Kiképzéssel és felszereléssel segítjük az ukrán hadsereget. Egyszerre több irányvonalon nyújtunk segítséget” – mondta Carter.

Categories: Oroszország és FÁK

Jacenyuk: Ukrajna nem csökkenti a hadsereg finanszírozását

Orosz Hírek - Sat, 29/08/2015 - 11:59

A hatalmas tartozások ellenére a kormány nem fogja csökkenteni a hadsereg finanszírozását – írja a Komszomolszkaja Pravda. „Nem csökkentjük a katonaság finanszírozását” – mondta Jacenyuk. Ebben az évben nagyjából 100 milliárd hrivnyát költöttek az ukrán hadsereg finanszírozására.

Categories: Oroszország és FÁK

Les trois journalistes d'Al-Jazira condamnés à trois ans de prison en Égypte

France24 / Afrique - Sat, 29/08/2015 - 11:43
La justice égyptienne a condamné à trois ans de prison ferme trois journaliste de la chaîne qatarie Al-Jazira. Ils étaient accusés d'avoir "diffusé de fausses informations" pour soutenir les Frères musulmans.
Categories: Afrique

Le Courrier des Balkans au Festival de Douarnenez

Courrier des Balkans - Sat, 29/08/2015 - 09:02

Cette année, pour sa 38e édition, le Festival de cinéma de Douarnenez s'intéresse aux Peuples des Andes, et ouvre une fenêtre sur l'Ukraine...
Retrouvez tout le programme sur le site du festival.
Retrouvez le Courrier des Balkans tous les jours du lundi 24 août au vendredi 28 août, de 12h à 20h, sur son stand au Salon des Associations, sur la place du Festival.
Bande Annonce 38e Festival de Cinéma de Douarnenez from Festivaldz on Vimeo.
38e Festival de Cinéma de Douarnenez • Gouel Ar Filmoù (...)

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Categories: Balkans Occidentaux

Tchad : exécution de dix membres présumés de Boko Haram

France24 / Afrique - Sat, 29/08/2015 - 07:50
Dix membres présumés du groupe islamiste nigérian Boko Haram, condamnés à mort vendredi pour leur implication dans l'attaque commise en juin à N'Djamena, ont été fusillés samedi par les autorités du pays.
Categories: Afrique

2015.08.29

Netarzenál - Sat, 29/08/2015 - 07:39

Csehországban a kormány ezen a héten jóváhagyta további 20 General Dynamics European Land Systems Pandur II CZ gyalogsági harcjármű beszerzését a hadsereg számára 5,3 millió dollár értékben. A 2018 és 2020 között átadásra kerülő páncélosokból hat lesz a parancsnoki változat. A 30 milliméteres ATK Bushmaster Mk44 gépágyúval, egy 7,62 milliméteres koaxiális géppuskával, és két Spike-LR irányított rakétával felfegyverzett Pandur-ok 2006-tól kerültek beszerzésre. Az akkor megrendelt 199 példányból az elsők 2007-ben, míg a 107 darabosra csökkentett rendelési mennyiségből az utolsók 2012-ben kerültek átadásra.

Az Airbus Helicopter már dolgozik a Tiger harci helikopterek élettartamának felénél, vagyis a következő évtizedben bekövetkező időszakos nagyjavítás alatt elvégezhető korszerűsítés mikéntjén. A Tiger Mk3-as üzemeltetési költségeinek csökkentése mellett a fegyverzet erősítése, bővítése is napirenden szerepel a fedélzeti elektronika modernizálása mellett. Természetesen a típust már hadrendbe állított országok, Ausztrália, Franciaország, Németország és Spanyolország véleményét, észrevételét is kikérik a tervezési fázis során.

Egy újabb típussal gazdagodott és erősödött az orosz haditengerészeti légierő. Ugyanis augusztus 17-én átvették az első Szuhoj Szu-30SzM vadászbombázókat. Ebben az évben még további 3-4 példány átadása várható és a tervek szerint 2020-ig a flotta 50 darab Szu-30SzM-et fog szolgálatba állítani.

Moszkvában a felszíni egységekről sem feledkeznek meg, ha a haditengerészet izmosításáról van szó. A legújabb tervekben nukleáris meghajtású, 17500 tonna vízkiszorítású, 200 méter hosszú, 20 méter széles rakétás csatacirkálók beszerzése is szerepel. A LIDER-osztály egységeit 2019-től kezdenék építeni, fegyverzetüket 60 csapásmérő robotrepülőgép, 16 hajók elleni és 128 légvédelmi rakéta alkotná. A 2025-től hadrendbe álló és 12 egységet számláló hajóosztály legnagyobb sebessége 30 csomó feletti lenne, és 90 napig lennének képesek a fedélzeten tárolt készleteikkel a nyílt tengeren, utánpótlás felvétele nélkül hajózni.

Egyes hírek szerint Egyiptom az évtized végére több tíz Kamov Ka-52 Hokum-B harci helikopter tulajdonosa lehet. Ugyanis a típusra kifejlesztett új ECO-52 elektrooptikai toronyból a közel-keleti ország 50 darabot szerez be 2016 és 2019 között.

Pakisztánban a négy orosz Mil Mi-35M mellett akár az amerikai Bell AH-1Z Viper harci helikopterek is hadrendbe állhatnak, hiszen Washingtonban rábólintottak a típus 12 példányának eladására. Ezekkel együtt 12 Bell UH-1Y Venom megvásárlása elől is elhárult a bürokratikus akadály. A 2018 augusztusától megérkező forgószárnyasok mellé 1000 darab AGM-114 Hellfire II-es irányított rakéta is megvásárlásra kerülhet.

Augusztus 12-től folyik a LRASM csapásmérő robotrepülőgép integrációs munkája a Boeing F/A-18E/F Super Hornet vadászbombázók számára. A haditengerészet Patuxent River-i tesztközpontjában végzett munka 2019-ben hozza majd meg a gyümölcsét, vagyis a Super Hornet ettől az évtől lesz képes a fegyver bevetésére, egy évvel a B-1B után.

Argentínában már a hajtóművek földi próbáit végzik a Fabrica Argentina de Aviones (FAdeA) Pucara támadógép egyik példányán. Az A-561-es lajstromú gépbe a Turbomeca Astazou XVIG helyett a Pratt & Whitney Canada PT-6A-62 gázturbinás sugárhajtómű került beépítésre egy négyágú légcsavarral együtt. Ezt a típusú erőforrást a KT-1, a PC-9, és a PZL-130TC Orlik kiképzőgépeken is alkalmazzák. A korszerűsítési munkálatok után IA-58H jelzést viselő variáns színes kijelzőkkel és HOTAS rendszerrel ellátott pilótafülkét, a hajtóműveket és a pilótafülkét egyaránt védő új páncélzatot és korszerű kommunikációs rendszereket fog kapni az Israel Aerospace Industries és az Elbit Systems segítségével. Az argentin légierőben jelenleg 15 Pucara áll szolgálatban, de az ideiglenesen kivont példányokból további 5-öt szeretnének a korszerűsítés után újra szolgálatba helyezni, így 2020-ra 20 IA-58H szárnyalhatna Dél-Amerika egén. Ezek 2045-ig maradnának hadrendben.

 

NETARZENÁL GALÉRIA

Szuhoj Szu-22UM3K.

Bell AH-1W Super Cobra.

Hawker Hunter T8M.

MiG-23ML.

AIDC F-CK-1C.

General Dynamics F-16D Fighting Falcon.

Antonov An-26B.

Northrop F-5E Tiger II.

Xian JH-7A.

BAE Systems Hawk 120 LIFT.

Lockheed C-5M Super Galaxy.

Szuhoj Szu-30SzM.

Eurofighter EF-2000 Typhoon FGR.4.

AMX International AMX-T.

Shaanxi Y-8F-200W.

Aerospatiale SA-316B Alouette III.

MiG-31DZ.

Antonov An-30.


Categories: Biztonságpolitika

T-50 Golden Eagle

Military-Today.com - Sat, 29/08/2015 - 01:55

South Korean T-50 Golden Eagle Trainer Aircraft
Categories: Defence`s Feeds

Fresh peace deal ‘first step’ in resolving South Sudan crisis – Security Council

UN News Centre - Africa - Sat, 29/08/2015 - 01:47
Welcoming the recent signature by President Salva Kiir, SPLM/SPLA-IO Chairman Riek Machar and others of the Agreement on the Resolution of the Conflict in South Sudan, the Security Council today called on all the parties, with the help of the United Nations, to implement the accord and adhere to the permanent ceasefire.
Categories: Africa

UN experts urge Sudan to overturn ‘outrageous conviction’ for indecent dressing

UN News Centre - Africa - Fri, 28/08/2015 - 23:54
A group of independent United Nations human rights experts have voiced alarm after a female Sudanese student was sentenced to public flogging and a heavy fine for charges of “indecent dressing,” while another received a hefty fine for the same charges, and urged that the convictions be overturned immediately.
Categories: Africa

At Security Council, UN officials warn political turbulence in Guinea-Bissau puts past gains at risk

UN News Centre - Africa - Fri, 28/08/2015 - 23:45
With Guinea-Bissau facing political turbulence barely a year after the re-establishment of constitutional order, the top United Nations official there expressed hope today that political leaders would rise to their “historic responsibility” to preserve the gains made so far in the interest of the country and people.
Categories: Africa

Stunning photos of the F-22s departing at night from Tyndall AFB for their first deployment in Europe

The Aviationist Blog - Fri, 28/08/2015 - 23:39
“Tabor 11” taking off at night for the F-22A inaugural deployment to Europe.

We have already posted some cool pictures of the F-22s arriving in Germany on Aug. 28. Here are some stunning photographs of the 95th Fighter Squadron Raptors taking off from Tyndall Air Force Base, Florida.

Six aircraft departed Tyndall for Spangdahlem: the four Raptors that eventually landed in Germany along with two air spares.

A 95th Fighter Squadron F-22 Raptor accelerates as it takes off of the Tyndall Air Force Base, Fla., flightline. Four 95th FS Raptors flew to Spangdahlem Air Base, Germany, to train with allied air forces and U.S. services through mid-September. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Sergio A. Gamboa/Released)

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Categories: Defence`s Feeds

In pictures, F-22A stealth fighters arrive in Germany for Raptor’s inaugural deployment to Europe

The Aviationist Blog - Fri, 28/08/2015 - 23:00
Here are the most interesting images of the four F-22A jets that have arrived in Germany earlier today.

On Aug. 28, four F-22A Raptor jets belonging to 325th Fighter Wing, from Tyndall Air Force Base, Florida, have arrived at Spangdahlem airbase, Germany.

Rather than a show of force against Russia, the deployment was a testbed for the new rapid deployment concept (dubbed “Rapid Raptor Package“) to move a package of F-22s (accompanied by a C-17) and supporting logistics to any forward operating base and have the 5th generation multi-role fighter jets ready for combat operations within 24 hours of deploying with a small logistics footprint.

Here are the most interesting images showing the four Raptors arriving in Germany. The F-22 deployment will continue through mid September for training with USAFE.

Four F-22 Raptor fighter aircraft assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., fly over the runway before landing at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22s, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

Three F-22 Raptor fighter aircraft assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., fly over the runway before landing at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22s, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

Two F-22 Raptor fighter aircraft assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., prepare to land on the runway at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22s, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

Two F-22 Raptor fighter aircraft prepare to land at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015, as part of the inaugural F-22 training deployment to Europe. Four F-22s from the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., along with a C-17 Globemaster III cargo aircraft and more than 50 support Airmen were part of the deployment. This effort is part of the European Reassurance Initiative and will serve to assure allies of the Air Force’s commitment to European security and stability. (U.S. Air Force photo by Staff Sgt. Chad Warren/Released)

An F-22 Raptor fighter aircraft assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., prepares to land on the runway at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22s, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

Two Airmen watch as an F-22 Raptor fighter aircraft assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., prepares to land at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22s, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

An F-22 Raptor fighter aircraft lands at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015, as part of the inaugural F-22 training deployment to Europe. The F-22s are deployed from the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., as part of the European Reassurance Initiative and will conduct air training with other Europe-based aircraft while demonstrating U.S. commitment to NATO allies and the security of Europe. (U.S. Air Force photo by Staff Sgt. Chad Warren/Released)

Four F-22 Raptor fighter aircraft taxi after landing at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015, as part of the inaugural F-22 training deployment to Europe. The F-22s are deployed from the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., as part of the European Reassurance Initiative and will conduct air training with other Europe-based aircraft while demonstrating U.S. commitment to NATO allies and the security of Europe. (U.S. Air Force photo by Staff Sgt. Chad Warren/Released)

Two F-22 Raptor fighter aircraft assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., taxi to hardened aircraft shelters at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22s, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

An F-22 Raptor fighter aircraft assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., sits outside a hardened aircraft shelter at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22 Raptors, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

An F-22 Raptor fighter aircraft pilot assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., prepares to exit an F-22 at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22 Raptors, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Barack Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

An F-22 Raptor fighter aircraft pilot assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., prepares to exit an F-22 at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22 Raptors, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Barack Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

An F-22 Raptor fighter aircraft pilot assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., exits an F-22 at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22 Raptors, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

A member of the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., sits in the cockpit of an F-22 Raptor fighter aircraft at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22 Raptors, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

A member of the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., observes an F-22 Raptor fighter aircraft at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22 Raptors, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

A member of the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., observes an F-22 Raptor fighter aircraft at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22 Raptors, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

Two F-22 Raptor fighter aircraft assigned to the 95th Fighter Squadron at Tyndall Air Force Base, Fla., taxi to hardened aircraft shelters at Spangdahlem Air Base, Germany, Aug. 28, 2015. The U.S. Air Force deployed four F-22s, one C-17 Globemaster III and more than 50 Airmen to Spangdahlem in support of the first F-22 European training deployment. The inaugural F-22 training deployment to Europe is funded by the European Reassurance Initiative, a $1 billion pledge announced by President Obama in March 2014. (U.S. Air Force photo by Airman 1st Class Luke Kitterman/Released)

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Categories: Defence`s Feeds

Moszkva: stratégiai hiba Porosenko titkos haditechnikai együttműködési rendelete

Orosz Hírek - Fri, 28/08/2015 - 22:25

Stratégiai hibát követett el Petro Porosenko ukrán elnök azzal, hogy rendeletet adott ki Ukrajnának egyes országokkal való "titkos" haditechnikai együttműködéséről - jelentette ki pénteken Vlagyimir Dzsabarov, az orosz parlament felsőházának szenátora, a nemzetközi ügyek bizottságának első alelnöke.

Categories: Oroszország és FÁK

UNICEF announces release of 163 more children by armed group in Central African Republic

UN News Centre - Africa - Fri, 28/08/2015 - 20:44
The United Nations Children’s Fund (UNICEF) announced today that 163 children have been released by an armed group in the Central African Republic, where thousands of other boys and girls are still serving as combatants, cooks and messengers for the country’s militant factions.
Categories: Africa

Előttem az előd, utánam az utód

Air Power Blog - Fri, 28/08/2015 - 20:14

Benedek Levente kollégának és képeinek hála gyorsjelentést közölhetek is Szliácsról. Érdekes formációk, melyek a repülőnap szlovák szervezőinek fantáziájáról tanúskodik, persze úgy, hogy azt lehetővé tette a döntéshozatal a beszerzési előkészületeivel. Viták vannak ott is, kérdőjelek is. De mint azt korábban is láttuk egyes példákon (pl. Mi-17-esek korszerűsítése Hejce után) ők mennek előre.

Izraeli modernizáción átesett kutató-mentő Mi-17-es, osztrák Blackhawk kíséretében. Szlovákia tárgyalásokat folytat 9 UH-60M megvételétől FMS keretében az Egyesült Államoktól.

Román C-27J szlovák An-26 kíséretében. Jövő évtől kezdve két Spartan áll szolgálatba északi szomszédunk légierejében (ott ma is van ilyen szervezeti elem).

A 840-es svéd Gripen D kíséri a szliácsiak egyik MiG-29UBS-ét.

Szerencsés fotó: a helikopteres géppárt követő szállítók fordulója a háttérben. Alul pedig a Szliácsot körülölelő, gyönyörű, erdő borította hegyek.

 

Fékernyő nélkül, leeresztett orrkerekekkel

 

A 1303-as, lo-vis tigriscsíkos UBS-ének fékernyője szombaton leszállás után nem nyílt ki...

...az intenzív fékezésnél kis durranás hangja hallatszott, és az orrfutó kerekeiből elment a nyomás (valószínűleg a túlmelegedett fékek miatt az olvadódugó eresztette le, a robbanást elkerülendő)...

...a gép legurult a pályáról az egyik gurulóútra, a tűzoltók rögvest ott termettek...

 ...elkezdték vízsugárral hűteni az orrkereket...

 ...majd gyorsan nekiláttak a cseréjének, miközben már a főfutó kerekekre irányult a „vízhűtés”...

...a reptéri szervek átnézték a pályát esetleg elhagyott, a többi gép sérülését kockáztató törmelék után...

...majd a gépet elvontatták állóhelyére. A kép érdekessége a két RL-4-es lokátor, melyek közelében van Szliács egyik legjobb szpotterhelye.

 Zord


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