« Fraîchement restauré, le foyer de demandeurs d'asile à Rennes me fait penser à mon lycée. Une grande porte vitrée, d'interminables couloirs, sauf qu'ici au lieu des salles de classe on a des chambres pour les réfugiés. Dans le hall central il y a une carte du monde avec les petits drapeaux du pays des résidents. La misère du monde s'est donné rendez-vous à Rennes en cette fin d'été 1992.
Je suis accueilli par une dame aux énormes lunettes. Elle parle doucement en me regardant droit dans les yeux. Je saisis (...)
President Tusk runs the 20km of Brussels taking place on 29 May 2016.
Az eddigi kutatások szerint 1956-ban a forradalom leverése után csaknem 20 ezren kerestek menedéket Jugoszláviában.
Au cours des prochaines années, l’US Air Force sera confrontée à ds défis budgétaires de taille, dans la mesure où il lui faudra financer des programmes à la fois onéreux et urgents, comme le renouvellement de la flotte d’avions ravitailleurs avec le KC-46, la mise au point d’un nouveau bombardier stratégique (B-21) et, évidemment, l’entrée […]
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AUTÓVERSENYZÉS
14.00, M4, Sportklub 1: Formula–1, Monacói Nagydíj, futam.
18.30, Arena Sport 4, Digi Sport 2: IndyCar, Indianapolis 500.
0.00, hétfő, Sportklub 2: NASCAR, Charlotte.
CSELGÁNCS
0.00, Sport2: World Masters, Guadalajara, Mexikó.
KERÉKPÁRSPORT
14.15, Eurosport: Giro d'Italia.
22.00, Sport2: BMX-vb, Medellín, Kolumbia.
KÉZILABDA
Német élvonal, 31. forduló: Stuttgart–Flensburg (15.00, Digi Sport 1), Löwen–Hannover (17.15, Digi Sport 1).
15.00, Arena Sport 1, Sport1, 18.00, Arena Sport 1, HRT2, Sport1: férfi-BL, bronzmeccs és döntő, Köln.
18.00, RTS2: Partizan–Metaloplastika (férfi-szuperliga, felsőház, 10. forduló).
KOSÁRLABDA
3.00, Sportklub 1, Sport1: Oklahoma City–Golden State (NBA, nyugati főcsoportdöntő, hatodik mérkőzés, az állás: 3:2).
13.30, Arena Sport 1: Gran Canaria–Laboral Kutxa (spanyol élvonal, negyeddöntő, visszavágó).
16.00, Sportklub 3: Galatasaray–Fenerbahçe (török élvonal, elődöntő, harmadik mérkőzés).
19.30, Sportklub 1: Brose–Bayern München (német élvonal, elődöntő, harmadik mérkőzés, 2:0).
20.00, Arena Sport 2: Mega Leks–C. zvezda (szuperliga, elődöntő, második mérkőzés).
20.00, HRT2: Cedevita–Cibona (horvát élvonal, döntő, első mérkőzés).
20.45, Sportklub 2: Venezia–Milano (olasz élvonal, elődöntő, hatodik mérkőzés).
LABDARÚGÁS
Barátságos mérkőzések: Németország–Szlovákia (17.45, Sportklub 3, Sport2), Olaszország–Skócia (20.45, Digi Sport 1), Portugália–Norvégia (21.45, Arena Sport 3), Brazília–Panama (3.30, hétfő, Arena Sport 1).
MLS, alapszakasz: NY Red Bulls–Toronto (1.00, Eurosport2), NY City–Orlando (22.30, Eurosport).
7.00, Sportklub 1: Fukuoka–Hirosima (japán élvonal, 14. forduló).
13.35, Sportklub 2: Guangzsu–Sanghaj (kínai élvonal, 11. forduló).
14.30, Digi Sport 2: Genk–Charleroi (belga élvonal, Európa-liga-rájátszás, döntő, visszavágó, az első meccsen: 0:2).
16.00, Sportklub 2: Barnsley–Millwall (angol harmadosztály, rájátszás a feljutásért, döntő).
16.15, 18.45, Arena Sport 3: ifjúsági torna, Toulon, Franciaország, bronzmeccs és döntő.
16.15, Arena Sport 4, Sportklub 1: Lugano–Zürich (svájci kupadöntő).
16.30, Sportklub 1: Barátság-torna, Bijeljina, döntő.
18.00, M4: Siófok–Mezőkövesd (NB II., 29. forduló).
ÖKÖLVÍVÁS
20.30, Sport1, 21.30, Arena Sport 4: profi gála, Liverpool.
TENISZ
11.00, Eurosport1-2, RTS2, 17.45, Eurosport: Roland Garros.
Amama olyan leverten jött haza a piacról, mintha megint ellopták volna a pénztárcáját, mint a múltkor. Ráadásul csak fél kiló földiepret hozott, mert túl drágának találta. Pedig ennyi a fél fogamra se elég, pláne tejszínhabbal, ahogy szeretem.
Deux mois après son installation à Tripoli, le gouvernement libyen d’union nationale (GNA) soutenu par l’ONU peine à stabiliser un pays toujours profondément divisé et devenu une base du groupe Etat islamique (EI).
Le 30 mars, le Premier ministre désigné du GNA, Fayez al-Sarraj, débarquait d’un navire militaire libyen au port de Tripoli, bravant l’hostilité des autorités non reconnues internationalement qui faisaient la loi dans la capitale libyenne depuis août 2014.
Il y annonçait la mise en place d’un nouvel exécutif qui a obtenu l’appui de la communauté internationale, surtout en Europe et aux Etats-Unis. Les autorités non reconnues finissaient par se rallier.
L’arrivée du GNA a ravivé les espoirs d’une sortie de la crise politique, sécuritaire et économique dans laquelle est plongée la Libye depuis la révolte qui chassa du pouvoir Mouammar Kadhafi en 2011.
Livré aux milices armées et meurtri par les violences, ce pays situé à 300 kilomètres des côtes européennes était gouverné par deux autorités rivales, l’une dans l’Est, l’une à Tripoli, un chaos permettant à l’EI d’implanter une base dans la ville de Syrte.
Mais deux mois après l’arrivée du GNA, les espoirs se sont transformés en déception et en inquiétude.
Confiné dans la base navale de Tripoli d’où il gère les affaires et reçoit de hauts responsables étrangers, il peine à pacifier le pays, à chasser les jihadistes de leurs fiefs et à réconcilier les Libyens.
– Pas de soutien dans l’Est –
Le GNA contrôle plusieurs aéroports, bénéficie du soutien de la Banque centrale ainsi que de la Compagnie nationale pétrolière et dispose de capacités militaires (avions, blindés) ainsi que de l’appui de milices basées dans l’Ouest.
Mais il « n’a aucune base dans l’Est » où seule une municipalité, Ajdabiya, le soutient, explique à l’AFP Mohamed Eljarh, expert libyen au Centre Rafic Hariri pour le Moyen-Orient.
L’exécutif de M. Sarraj se heurte à l’ex-gouvernement reconnu par la communauté internationale, basé dans l’Est, qui refuse de céder le pouvoir sans vote de confiance, maintes fois reporté, du Parlement qui lui est affilié.
Ces autorités parallèles contrôlent les régions orientales à l’aide de milices locales et d’unités de l’armée qui leur sont loyales, sous le commandement du général controversé Khalifa Haftar, farouchement opposé au GNA.
Pour Mattia Toaldo, spécialiste de la Libye au groupe de réflexion Conseil européen des relations internationales, « la Libye et le gouvernement d’union ont perdu deux précieux mois faute d’un vote de confiance du Parlement ».
Il déplore que M. Sarraj, très visible sur la scène internationale soit « invisible en Libye » mais surtout « n’ait pas trouvé le temps –ou le courage– de s’adresser à l’Est » pour le rallier à sa cause.
Kader Abderrahim, spécialiste du Maghreb et de l’islamisme à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) à Paris, souligne lui aussi l’absence préjudiciable d’un vote de confiance du Parlement de l’Est.
Le GNA doit « rassembler les Libyens autour d’un projet commun, assurer leur sécurité et entamer des négociations avec les différentes milices afin qu’elles déposent les armes », dit-il. Un processus qui pourrait durer « plusieurs mois ».
– Manquements –
Les clivages avec l’Est empêchent toute lutte unifiée contre l’EI. Les forces du GNA et celles de l’Est sont engagées dans une compétition pour être les premières à lancer l’offensive contre ce groupe extrémiste à Syrte, ville située à 400 km à l’est de Tripoli.
Pour mieux lutter contre les jihadistes, le nouvel exécutif a réclamé la levée de l’embargo sur les armes imposé par l’ONU depuis 2011. Le 16 mai, les grandes puissances se sont engagées à soutenir un assouplissement de l’embargo.
La rivalité avec les autorités de l’Est rendent par ailleurs impossible un contrôle unifié des frontières, facilitant le passage de centaines de milliers de migrants vers l’Europe.
Et économiquement, le GNA peine à redresser la barre malgré les immenses ressources pétrolières. Les prix ont battu des records de hausse depuis 2015, notamment dans l’alimentation, la santé et les transports.
Avec le mois de jeûne du ramadan qui commence début juin, la pénurie de liquidités pour acheter de la nourriture et s’équiper pour remédier aux coupures d’électricité pendant les grandes chaleurs « ne cessent de rappeler aux Libyens les manquements (du gouvernement) Sarraj », dit Mattia Toaldo.
Le « seul acquis du GNA c’est d’avoir obtenu un appui international », déplore Othman Ben Sassi, membre des autorités de transition après la révolte.
Pour M. Abderrahim, « les Libyens sont fatigués des ingérences des Occidentaux et le fait qu’ils aient littéralement imposé Fayez Sarraj ne peut que lui porter préjudice ».
« Je n’ai aucun problème avec Amadou Toumani Touré, on se verra bientôt. Je n’ai pas fait partir Amadou Toumani Touré, je ne le bloque pas à Dakar. Je sais qu’il m’entend et je le remercie d’avoir initié la journée paysanne au Mali. C’est à son actif », a déclaré le chef de l’Etat samedi à Baguinéda (banlieue de Bamako) lors de la Journée paysanne qui marque officiellement le lancement de la campagne agricole.
« Je suis reconnaissant à mon jeune frère Amadou Toumani Touré, dit ATT, et ex-président de la République du Mali, pour avoir initié la journée du paysan. Beaucoup de choses se disent dans nos relations, mais je sais qu’il n’y a [aucune intrigue ni rien de méchant entre nous]. Merci pour l’instauration d’une journée agricole au Mali. ATT à très bientôt », a indiqué le président malien.
Le retour d’Amadou Toumani Touré était une revendication clé de la marche de l’opposition et du grand meeting « An ka ben » (Donnons-nous la main) organisés le 21 mai dernier par les partisans de l’ancien dirigeant du pays.
Ces derniers temps, des voix s’élèvent fréquemment dans la classe politique (majorité et opposition) pour réclamer ce retour, car certains estiment que « l’exil d’ATT est une honte pour la République et la démocratie maliennes ».
Né le 4 novembre 1948 à Mopti (centre), Amadou Toumani Touré est un général de l’armée malienne. Face à la sanglante répression de l’insurrection populaire de janvier-mars 1991, il avait pris ses responsabilités et fait déposer le 26 mars 1991 le général Moussa Traoré, à la tête d’une junte militaire. Il était alors lieutenant-colonel.
Après la transition démocratique (mars 1991-juin 1992), ATT a abandonné la tenue militaire pour se présenter aux élections présidentielles, qu’il remporte en 2002 avant d’être victime d’un coup d’Etat le 22 mars 2012 lors de son second mandat.
Après ce putsch, le président s’est exilé à Dakar avec sa famille en se tenant à l’écart de la vie politique de son pays.Le 27 décembre 2013, le gouvernement malien a saisi l’Assemblée nationale, où siège la Haute Cour de justice, pour le juger pour « haute trahison » en raison de son rôle dans la crise qui a entraîné sa chute et l’occupation du nord du pays par les rebelles touaregs et les djihadistes.
Le parlement n’a pas encore pris de décision.
Source: Agence de presse Xinhua