A NATO-tagországok többségében emelkednek a védelmi kiadások, habár a szövetség katonai költségvetésének még mindig az Egyesült Államok adja csaknem a háromnegyedét – közölte évértékelő sajtótájékoztatóján Jens Stoltenberg, a szervezet főtitkára.
A NATO csütörtökön kiadott 2015. évi jelentése szerint tavaly a szövetség huszonnyolc tagállama közül tizenhatban nőttek a védelmi kiadások. “Az európai szövetségesek katonai kiadásainak csökkenése gyakorlatilag megállt” – mondta az észak-atlanti szövetség főtitkára Brüsszelben.
A tagállamok korábban vállalták, hogy a hazai össztermék (GDP) legalább két százalékát védelmi kiadásokra fogják fordítani. Ezt 2014-ben csak három, tavaly azonban már öt NATO-ország – az Egyesült Államok, Észtország, Görögország, Lengyelország és Nagy-Britannia – teljesítette.
A helyzetértékelésben az olvasható, hogy az Egyesült Államok katonai kiadásai tették ki 2015-ben a teljes költségvetés 72 százalékát. Ezt Nagy-Britannia követi 6,6, Franciaország 4,9 és Németország 4,4 százalékkal.
“A tavalyi évben elindultunk a jó irányba (…) Vegyes a kép, de jobb” – mondta Stoltenberg, hangsúlyozva, hogy Oroszországnak a keleti határok újrarajzolására irányuló szándéka nagyban hozzájárult ahhoz, hogy az európai tagállamok újragondolták a védelmi költségvetés csökkentésére vonatkozó elképzeléseiket.
A nyugati hatalmak és Moszkva közti feszültség kapcsán a főtitkár kijelentette, fontolgatják egy formális találkozó megrendezését Oroszországgal. “Tanulmányozzuk a lehetőségét egy NATO-Oroszország találkozónak” – fogalmazott Stoltenberg, hozzátéve, hogy még semmilyen végleges döntés nem született, de tárgyalnak az orosz féllel.
Stoltenberg sajtóértekezleten emellett megerősítette, az Egyesült Államok azzal a kérelemmel fordult a NATO-hoz, hogy segítse AWACS típusú légtérellenőrző repülőgépekkel az Iszlám Állam nevű dzsihadista terrormilícia elleni harcot. Hozzátette, hogy a katonai szervezet jelenleg vizsgálja a kérelmet. Mint mondta, a tagországok védelmi miniszterei február eleji találkozójukon meg fogják vitatják a kérdést, a lehetséges szerepvállalásra vonatkozó döntésnek azonban nincs konkrét határideje.
Noha a NATO-országok, és különösen az európai tagállamok egyre növekvő aggodalommal szemlélik a közel-keleti helyzetet, az észak-atlanti szövetségnek ez lenne az első közvetlen szerepvállalása a szélsőséges iszlamista csoport elleni hadjáratban.
A NATO több mint húsz AWACS-repülőgépből álló flottájának a hidegháború idején a szovjet támadás észlelése lett volna a feladata.
Az AWACS légi felderítő és előrejelző rendszer az alacsonyan repülő gépeket 400 kilométer távolságig képes bemérni, a közepes magasságban repülőket pedig 520 kilométer távolságig. Rávezetheti a vadászgépeket az ellenséges célpontra, ily módon támadóműveletben is részt vehet.
(B2 à Dadaab) Depuis 25 ans et le début du conflit somalien, le Kenya et la Somalie doivent gérer une crise des réfugiés. Le commissaire européen à l’Aide humanitaire a voulu se rendre compte sur le terrain avec les acteurs internationaux. Présent sur place, dimanche à mardi (19 au 21 janvier 2016), Christos Stylianides a voulu réaffirmer la mobilisation de l’Europe. Dans un entretien exclusif avec B2, à Dadaab (au Kenya), il évoque, aussi, face à l’augmentation des besoins, la nécessité de trouver d’autres sources de financement, notamment privées.
Vous êtes à Dadaab, considéré comme le plus grand camp de réfugiés du monde. Un camp créé il y a 25 ans. Est ce que cela a encore du sens qu’un camp de réfugiés existe si longtemps ?
Dadaab est le symbole d’une solution temporaire pour réfugiés qui, jour après jour, devient une solution permanente. Cela renforce ma conviction que chaque crise soit appréhendée dans toute sa globalité et qu’un réel dialogue politique s’instaure le plus vite possible pour amener la paix. Car quand vous décidez de fuir votre pays, c’est très difficile d’y retourner.
« La situation humanitaire reste très critique »La crise somalienne semble évoluer de façon positive. Une évolution tenable ?
L’évolution de la situation sur le terrain montre, en effet, des signes positifs au regard de la crise des réfugiés, je pense notamment au programme de rapatriement de réfugiés somaliens. En Somalie, le projet d’accord vers un nouveau processus électoral progresse. Mais la situation humanitaire reste, elle, très critique. Près de cinq millions de personnes ont toujours besoin d’une assistance humanitaire. Et plus d’un million de Somaliens sont toujours déplacés à l’intérieur du pays.
La menace terroriste d’Al Shabaab reste forte. Le lendemain de votre visite en Somalie, une nouvelle attaque a frappé des civils à proximité de Mogadiscio. La semaine précédente, des soldats kenyans, engagés depuis 2011 ans dans le cadre de l’AMISOM (mission de l’Union africaine), ont été visés…
Ce regain de violence est sans doute le signe que le développement d’une solution politique en Somalie dérange Al Shabaab. Au travers de cette attaque, ils essayent de retarder ou défaire ce processus essentiel pour rétablir une paix longtemps attendue. La seule à même d’apporter une solution à la crise humanitaire que vit ce pays.
« Le caractère volontaire du retour des réfugiés somaliens (doit être) absolument respecté »Vous avez évoqué le plan de rapatriement. Vous avez justement rencontré des Somaliens quelques minutes avant qu’ils prennent un bus pour quitter le camp de réfugiés de Dadaab au Kenya pour retourner en Somalie. Aviez-vous besoin d’être rassuré ?
Ce programme de rapatriement résulte d’un accord tripartite entre la Somalie, le Kenya et le Haut commissariat aux réfugiés (UNHCR). La réussite de sa mise en œuvre suppose que le caractère volontaire du retour des réfugiés somaliens soit absolument respecté. J’ai pu le vérifier. Ensuite, en tant que commissaire à l’aide humanitaire, il m’importe que ces réfugiés puissent disposer, à leur retour, des services sociaux et d’éducation minimum. C’est ce que nous devons continuer à soutenir.
Près de 6000 Somaliens ont pris cette décision ces derniers mois. Est-ce un exemple pour d’autres situations notamment les Syriens en Europe ?
Je ne crois pas. Il est difficile de faire le parallèle avec d’autres situations, notamment en Syrie. Les conditions sont très différentes ici. Pouvons-nous croire que pour la majorité des réfugiés syriens ayant trouvé refuge en Europe, au Canada ou ailleurs, le retour dans leur pays sera si simple ? Je n’en suis pas certain.
Quelle est l’aide européenne débloquée aujourd’hui ?
Nous avons donc décidé de débloquer une nouvelle aide de 29 millions € pour les Somaliens. Un montant qui s’inscrit dans un effort plus vaste. En 2016, l’Union européenne consacre 77 millions d’euros à la crise humanitaire de la Corne de l’Afrique. 17 millions serviront à l’aide d’urgence pour les plus vulnérables au Kenya (nourriture, soins de santé, eau, assainissement et hygiène, logement, protection et éducation dans les situations d’urgence).
Vous citez l’éducation en situation d’urgence. C’est une nouvelle priorité ? Qu’est ce que cela signifie concrètement ?
Je prendrais un exemple pour l’illustrer, celui de la crise syrienne. Lors de ma première visite en tant que commissaire européen, dans la vallée de Bekaa, au Liban, j’ai vu que la majorité des enfants réfugiés n’étaient pas scolarisés. Plus précisément, nous avons évalué à 80% le nombre de ces enfants n’allant plus à l’école. C’est pourquoi nous avons cherché, avec des partenaires, un moyen d’y remédier. Nous avons mis en place des écoles informelles, mais en collaboration avec les autorités puisque nous utilisons leurs locaux. Dans cette vallée, nous avons déjà réussi à diminuer le nombre d’enfants n’allant pas à l’école, de 80 à 50 %. La philosophie de l’éducation en situation d’urgence, c’est donc cela : quand la situation est telle que l’accès ordinaire à l’école n’est plus possible, nous devons absolument trouver des solutions pour surmonter ces difficultés. L’accès à l’éducation en situation d’urgence est un problème autant qu’un enjeu majeur. Comme je l’ai dit à des jeunes filles et garçons du camp de Dadaab, c’est grâce à l’éducation que chacun doit pouvoir construire son avenir, résister à la radicalisation.
« Je suis persuadé que nous devons aller chercher du coté du secteur privé » de nouveaux moyensLa crise des réfugiés a provoqué une forte hausse du budget humanitaire. Les ONG craignent que cela ne soit aux dépens de l’aide humanitaire en 2016. Ont-elles raison d’avoir peur ?
Nous faisons face à une réalité. Face à une multitude de contextes instables, les besoins augmentent, jour après jour. Et, malheureusement, les fonds diminuent…
…même ceux de l’Union européenne ?
Oui, nos ressources ne sont tout simplement pas illimitées. Je travaille pour trouver les moyens de dépasser cette équation qui ne peut plus tenir. Je suis, pour ma part, persuadé que nous devons aller chercher du coté du secteur privé. Nous devons réfléchir à un nouveau cadre d’instruments mondiaux qui favoriserait l’engagement du secteur privé au regard de ses responsabilités sociales.
Ces nouvelles ressources, ce sera l’un des enjeux du sommet humanitaire mondial d’Istanbul en mai prochain ?
Nous devons mettre à profit ce sommet pour améliorer l’efficacité dans la réponse aux crises, ce qui suppose l’engagement d’un plus grand nombre de donateurs. Nous devons améliorer la protection des personnes vulnérables, ainsi que des acteurs humanitaires. Ce sont les objectifs sur lesquels je me concentre.
(Propos recueillis par Emmanuelle Stroesser, à Dadaab)
A toborzást, a megtartást és a képességfejlesztést nevezte az idei év legfontosabb feladatainak a honvédségben Benkő Tibor vezérkari főnök a Magyar Honvédség évindító értekezlete után tartott sajtótájékoztatón.
A vezérezredes a többi között elmondta, hogy márciustól a fővárosi Petőfi laktanyában egy új, országos hatáskörrel bíró katonai rendészeti szervezetet hoznak létre. Ennek feladatköre a katonai rend fenntartásától a közlekedési szabályok ellenőrzéséig terjed majd.
Benkő azt mondta, ennek a katonai rendészeti központnak a megalakítását már régóta várta a katonai vezetés. Ez egy olyan képesség lesz a honvédségben, amelyet hazai és nemzetközi szinten is alkalmazni tudnak majd.
A vezérkari főnök közölte, idén is nagyjából ugyanannyi feladat vár a katonákra, akik tavaly mintegy negyven nemzetközi, NATO-, két- és többoldalú, valamint mintegy harminc belföldi gyakorlaton vettek részt.
Kitért arra is, hogy – bár az év során két Gripen típusú vadászgépet is elvesztettek – a magyar katonák a hazai, a szlovén, és a tavalyi utolsó negyedévben a balti légtér védelmének feladatait is minden hiányosság nélkül látták el. A pilóták tavaly az eddigi legmagasabb óraszámot, több mint 1800 repült órát teljesítettek.
Ennek kapcsán kérdésre válaszolva Simicskó István honvédelmi miniszter azt mondta, hogy úgy néz ki, mind a két kiesett Gripent sikerül pótolni az idén. Az egyik javítható állapotban van, a másik pótlásáról is megkezdődtek már a tárgyalások a svéd gyártóval.
Benkő a honvédség képességfejlesztései közül kiemelte azt is, hogy a korábbi különleges műveleti zászlóalj január elseje óta ezredként működik, létszámát mintegy 1200 emberben határozták meg. Mindemellett tíz helyőrségben kiképző kötelékeket hoznak létre, ezzel is segítve a regionális tartalékképzés beindítását.
Simicskó ezzel kapcsolatban bejelentette, hogy miniszteri biztosként Kun Szabó Istvánt, a tárca eddigi társadalmi kapcsolatokért felelős helyettes államtitkárát bízta meg az önkéntes tartalékos rendszer jövőbeni fejlesztésével.
A miniszter kitért arra is, hogy a jövőben szeretnék erősíteni, kiszélesíteni a honvédség és a magyar társadalom kapcsolatát. Ennek részeként a sport – köztük a katonasághoz köthető sportágak – révén is szeretnék megszólítani a fiatalokat.
Emellett a jövőben egy emberközpontú szemléletet szeretnének érvényesíteni a honvédségben. Ennek része az illetményemelés folytatása, az életpályarendszer hatékonnyá alakítása, továbbá, hogy egy XXI. századi NATO-tagországhoz illő felszerelést kapjanak a magyar katonák – mondta Simicskó.
(BRUXELLES2) Le Kenya accueille plus d’un demi million de réfugiés. Exactement 593.881 fin 2015, selon le Haut commissariat aux réfugiés (HCR).
Un examen de groupe ou individuel
Au Kenya, les Sud soudanais bénéficient du « prima facie », un droit d’asile de groupe. Dès lors que la personne est enregistrée, elle est considérée comme réfugiée. Cela a été étendu aux Somaliens du centre et du sud. Pour tous les autres, l’octroi du statut de réfugié est étudié de façon individuelle.
Prochains rendez-vous … en 2018
Environ 20.000 personnes (Ethiopiens, Erythréens, Burundais) sont demandeurs d’asile, en attente d’une décision qui peut être très longue. Aujourd’hui, certains rendez-vous ne seront pas donnés avant 2018 ! L’explication est administrative. Pendant des années, le Haut commissariat aux réfugiés a instruit ces demandes pour le compte de l’état kenyan. Une tâche qu’il a continué d’assumer tout en organisant la transition. Il a formé des agents de l’État afin que ce dernier reprenne cette activité et redevienne maitre des décisions.
Un processus mixte : gouvernemental / HCR
Depuis juillet 2014, la décision finale d’accorder ou non l’asile revient au commissaire du département des réfugiés. Le processus reste conjoint : un agent du HCR ou du gouvernement reçoit le demandeur d’asile. Puis le cas est révisé par le HCR avant une discussion conjointe HCR/département des affaires des réfugiés, précédent l’accord et la signature du commissaire. Tous les réfugiés reconnus depuis cette date ont donc un document officiel kenyan. Une carte d’identification délivrée par les autorités. Là où cela se complique, c’est que cette carte n’est pas encore connue de tous les agents de l’État, et notamment des policiers, qui ont vite fait de croire parfois qu’il s’agit d’un faux.
Campement policy
Depuis 2013, le gouvernement kenyan a durci sa politique. Le contrecoup de la dégradation des conditions de sécurité depuis que les forces kenyanes interviennent en Somalie. Et des premiers attentats revendiqués par le groupe terroriste Al Shabbab sur le territoire kényan, comme l’attentat du centre commercial de Nairobi (68 morts) en septembre 2013. La politique officielle est depuis lors celle du « campement policy » pour les réfugiés. Autrement dit, les réfugiés doivent vivre en camp, et nulle par ailleurs. Résider hors d’un camp est un délit.
En mars 2014, cette politique est réaffirmée avec la désignation, au journal officiel, des deux camps de Dadaab et Kakuma comme lieux de résidences obligatoires. L’enregistrement des demandeurs d’asile est désormais interdit dans les villes.
Le « coup de balai pour rétablir l’ordre »
En avril 2014, les Somaliens sont les premiers visés par des opérations de sécurité visant à juguler criminalité et terrorisme. Plus crûment, le ministre de l’Intérieur parle d’un « bon coup de balai pour rétablir l’ordre ». Les interpellations se comptent par milliers, ciblant le quartier rebaptisé petit Mogadiscio de Nairobi. Les personnes sont regroupées dans un stade le temps de vérifier leurs papiers. Tout réfugié est renvoyé dans un camp (dont beaucoup reviendront plus tard). Le HCR n’obtient pas d’accéder au stade, malgré les demandes répétées.
Vives critiques des ONG
Cette politique radicale de chasse aux réfugiés provoque de vives critiques d’ONG mais aussi d’autorités judiciaires, dénonçant les atteintes aux droits fondamentaux, à la libre circulation et les exactions des forces de police. L’opinion publique, au départ très favorable, a commencé à douter et contester ces pratiques à mesure que les réseaux sociaux ont joué un travail d’information. L’opération est suspendue en juillet 2014.
Le HCR estime entre 6000 et 8000 le nombre de réfugiés « relocalisés de force » vers les camps de Kakuma ou Dadaab. Sans ménagement ni considération des liens familiaux pouvant expliquer la présence sur Nairobi, ni prendre garde de ne pas séparer des familles… Les ONG et le HCR ont du ainsi prendre en charge près de 300 enfants séparés de leur mère à Nairobi, précise Catherine Hamon Sharpe, adjointe au représentant du HCR au Kenya, en charge de la protection des personnes.
Aucun des Somaliens arrêté n’a été traduit en justice pour opération de terrorisme. Environ 350 somaliens seront expulsés en avion direction Mogadiscio. Des Congolais auraient également été expulsés mais sans que cette information n’ait pu être vérifiée, ni qu’aucun chiffre officiel n’ait été donné.
Le camp de Dadaab en sursis diplomatique
Le ton se durcit de nouveau au printemps 2015, suite à l’attaque du campus de l’Université de Garissa (148 morts). C’est le comté… du camp de Dadaab. Les rapprochements sont vite faits entre terroristes, Somaliens et réfugiés. Le vice président du Kenya somme le HCR de fermer le camp de Dadaab, accusé de servir d’abris aux terroristes. Les enquêtes criminelles démentent les soupçons. Mais le doute reste profond dans l’opinion publique.
Un soutien renforcé humanitaire et de sécurité
Les réactions internationales temporiseront la sommation qui n’a jamais été officiellement formulée. Certains analysent cette menace comme un moyen de rappeler la communauté internationale à ses engagements. Cela se traduira notamment par un soutien renforcé des Américains en matière de politique de renseignement, la relance du programme de rapatriement des réfugiés ou encore l’implication de la communauté internationale en Somalie pour renforcer la sécurité et le développement du pays en services de base.
Des camps qui restent surpeuplés malgré tout
Le camp de Kakuma conçu pour 125.000 réfugiés en héberge 183.000. Près de 47.000 réfugiés du sud soudan ont rejoint le camp depuis que le conflit au Sud Soudan a repris en 2013. Beaucoup d’enfants seuls.
Les autorités locales (depuis deux ans, des compétences ont été décentralisées aux comtés) ont donné leur aval pour la mise à disposition de terrains par des communautés locales. Un nouveau camp pourrait être conçu sur un modèle plus ouvert sur l’extérieur, permettant des échanges entre les réfugiés et les communautés locales, souvent tout aussi pauvres si ce n’est plus. Le HCR compte sur le résultat d’une étude aux mains de la Banque mondiale pour démontrer l’impact économique que peut avoir un camp de réfugiés intégré à son environnement.
(Emmanuelle Stroesser)
La très grande majorité vivent dans les camps gérés par le HCR.