A tegnapi NATO csúcstalálkozón Donald Trump amerikai elnök felhívta a tagországok figyelmét, hogy kivétel nélkül, mindenki be kell fizesse a védelmi kiadásait. Donald Trump hozzátette, igazságtalan, hogy az amerikai állampolgárok fizessék az észak-atlanti szövetség tagországainak a közös védelemhez való pénzügyi hozzájárulás legnagyobb részét. A tagországok kötelezettsége, hogy a bruttó hazai termék két százalékát fordítsák védelmi kiadásokra. A 28 ország közül 23 máig nem fizet eleget, amit más tagállamoknak kell kifizetniük a közös védelemért – derül ki az MTI összeállításából.
Quand Macron et Merkel jouent un bon tour à Trump qui en reste baba (Images : OTAN / séquençage B2)
(B2) La vidéo de l’arrivée d’Emmanuel Macron au siège de l’Alliance atlantique est formidable en termes de symbolique politique. Le président français ne marche pas avec les autres, il va à la rencontre des autres, comme s’il était l’hôte de la réunion. Arrivée en retard sur les autres (pour cause de rendez-vous à la Commission européenne (lire : Réunion spéciale de l’OTAN (25 mai 2017) : surtout un face à face UE-Etats-Unis), guidé par un des responsables du protocole de l’OTAN (1), il semble filer pour aller saluer Donald Trump qui l’attend… (on entend même une petite marseillaise chantée a capella).
Un message subliminal au président américain : Europe first !
Mais, au dernier moment, dans un mouvement qui ne semble pas totalement improvisé, il bifurque vers Angela Merkel. Ce qui laisse baba, béat, et un rien blême, le milliardaire américain, qui s’attendait à le coincer avec sa légendaire poignée de main (lire : Poignée de main : défi relevé pour Macron). Un peu comme on peut le faire avec un invité à une fête qui se comporte mal, Emmanuel Macron l’ignore. Il vient donner ostensiblement l’accolade à Angela Merkel, tout sourires, dans un clin d’œil assez irrévérencieux et complice des deux dirigeants. Le message du couple franco-allemand au président américain parait clair : l’Amérique n’est pas seule au monde, les Européens sont là, leur Union est importante et ne doit pas être méprisée.
Un nouveau bras de fer avec le président
Le président français aurait dû normalement rejoindre le cortège – sans barguigner. Ce détour agace un autre responsable du protocole qui cherche à ramener le Français dans le rang (2). Mais celui-ci s’attarde encore quelque peu, dans les avants postes. Il salue le secrétaire général de l’OTAN puis le Premier ministre belge Charles Michel, tournant alors ostensiblement le dos au président américain et retardant ainsi le moment de le saluer. Et ce n’est qu’ensuite (en 4e position donc) qu’il va jouer la poignée de main, type bras de fer, avec le président américain. Celui-ci fidèle à sa tradition tente de le tirer à lui. Mais le « french guy » résiste, lui met même la main sur le bras (du style « lâche moi la grappe »). Il rentre ensuite dans le rang des chefs d’État, accompagné d’une petite frappe sur l’épaule du chef d’État américain comme pour dire : « bien joué gamin ».
À Bruxelles, unis avec nos alliés de @NATO. pic.twitter.com/7nyaoI8hki
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 25 mai 2017
(Nicolas Gros-Verheyde)
(1) qui a la barbe comme Edouard Philippe
(2) Emmanuel Macron aurait normalement dû se ranger discrètement derrière les autres dirigeants et non pas faire un face à face singulier.
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Nous n’allons pas ranger dans l’ordre des bavures la réaction des CRS et autres gendarmes mobiles aux ordres de Bolotte, qui lui-même avait comme interlocuteur privilégié le sieur Foccart, secrétaire à l’Élysée pour les affaires africaines et pour tout dire coloniales. Vingt ans après le vote de la loi de départementalisation (mars 1946) des « vieilles colonies », le pouvoir colonial avait gardé intactes ses capacités de répression.
Les 25 et 26 mai 1967, dans les rues de Pointe-à-Pitre, à l’occasion d’une grève des ouvriers du bâtiment, qui réclamaient 2,5 % d’augmentation de salaire, les quartiers de la ville sont jetés dans l’effroi, les larmes et le sang.