Schon zur Zeit der Sowjetunion musste sich jeder Ausländer, der in seinem Heimatland eine wichtige Stellung einnahm, vor Sexfallen des KGB hüten. Bereits vor der Ankunft wussten die KGB-Agenten welchen sexuellen Präferenzen der Gast zuneigte. War er für bestimmte sexuelle Perversionen anfällig, dann wurde ihm ins Hotel eine dafür geneigte Prostituierte oder ein Lustknabe geliefert. Der Zerfall der UdSSR hat den Einsatz dieser Praktiken nicht beendet. Bereits unter Jelzin hat der FSB Ausländern von Rang und Namen Prostituierte ins Hotelzimmer delegiert. Die nachfolgende Szene wurde gefilmt und war anschliessend für Erpressungen verfügbar. Diese Methoden zur Erpressung sind in Russland heute noch üblich.
Sollte Donald Trump bei seinem Aufenthalt in Moskau 2013 wirklich in eine solche Falle geraten sein, dann darf angenommen werden, dass das Filmmaterial einer späteren Erpressung dienen sollte. Ob die Moskowiter-Herrscher anschliessend eine indirekte Förderung von Trump zum Kandidaten für das Amt des Präsidenten betrieben, dürfte im Nachhinein kaum bewiesen werden. Sicher ist, dass sich Putin mit den Aufzeichnungen – sofern die Geschichte stimmt – einen Präsidenten Trump gefügig machen wollte.
Nun sind aber angebliche Informationen eines früheren Agenten des britischen MI-6 über eine mögliche Affäre von Trump wie eine Bombe in die Öffentlichkeit gelangt. Welche Rolle den US-Geheimdiensten, die über diese Informationen verfügten, beim Zuspielen des Materials an die Öffentlichkeit zukommt, ist bis jetzt unklar. Tatsache ist, dass die Geschichte über eine mögliche Sexfalle publik geworden ist. Wird aber eine solche Geschichte bekannt, dann ist sie für die Erpresser wertlos. Eine Erpressung aufgrund derartiger Aufzeichnungen könnte sich sogar ins Gegenteil kehren. Donald Trump muss sich jetzt vor weiteren Lobhudeleien von Wladimir Putin und vor möglichen geopolitischen Konzessionen an Russland in der Zukunft hüten. Sollten trotzdem geopolitische Zugeständnisse an Russland durch die Trump-Administrationen erfolgen, dann dürfte die Präsidentschaft von Donald Trump von kurzer Dauer gewesen sein:[1]
„Mr. Trump’s vehement denials also mean that if we learn in the future that Russia does have compromising details about him, his Presidency could be over.”
Damit dürfte der durch Putin angestrebte Zerfall der NATO mit Hilfe eines Präsidenten Trump vorderhand abgewendet sein. Die Europäer, insbesondere die Balten, werden aufatmen können. Putin könnte am Ende mit seiner Sexfalle einen Rohrkrepierer produziert haben, der ihn blossgestellt und der aussenpolitischen Glaubwürdigkeit Russlands einen enormen Schaden zugefügt hat.
[1] Tillerson for Secretary of State, in: The Wall Street Journal, Friday-Sunday, January 13-15, 2017, P. A10.
von FOCUS Online Redakteur Julian Rohrer
Von Senior Master Sgt. Adrian Cadiz – Secretary of defense visits NATO, Gemeinfrei, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=47394716Unter Donald Trump könnten die Vereinigten Staaten ihre starke Rolle in der weltweiten Sicherheitspolitik deutlich zurückfahren – etwa, indem sie ihre Beteiligung bei der Nato zurückfahren. Was der designierte Präsident Trump in einigen Tweets angedeutet hat, ist für Militärstrategen eine feste Größe in der Sicherheitspolitik der kommenden Jahre.
„Trump wird die Nato marginalisieren“, sagt der Schweizer Militärstratege Albert A. Stahel FOCUS Online.
„Das bedeutet, dass der US-amerikanische Verteidigungsanteil in Europa abnehmen dürfte.“ Das hätte schwerwiegende Folgen für Europa: „Unsere Sicherheit wird abnehmen. Die Abschreckung gegenüber Russland wird zusammenbrechen.“
Das sei gerade in Zeiten eines aktiv auf das Weltgeschehen eingreifenden russischen Präsidenten Wladimir Putin ein gefährliches Zeichen. „Für die baltischen Staaten sehe ich die Gefahr einer militärischen Intervention Russlands. Bei den übrigen, westeuropäischen Staaten setzt Putin eher auf Hacker und Propaganda.“
Um sich etwaiger russischer Ambitionen zu erwehren, sieht der erfahrene Militärstratege drei Säulen:
1. Europäische Allianz„Der Rest der Nato muss nach einem Rückzug der USA eine Allianz gründen. Kein Zweifel: Eine europäische Armee ist unbedingt notwendig. Bei diesem Rettungsmanöver sehe ich Deutschland und Frankreich in der Führungsrolle“, erklärt Stahel.
„Es bräuchte eine gewaltige Aufrüstung. Seit 1991 haben die Europäer im konventionelle Militärbereich nur abgerüstet. Putin hat seit 2008 ein Aufrüstungsprogramm, dessen Ziele 2020 erreicht werden soll. Dann stellt die russische Armee eine gewaltige Bedrohung dar“, sagt Stahel.
„Eine Armee ist nur so stark, wie sie trainiert ist“, sagt Stahel.
Wenn ehemalige Minister wie Joschka Fischer mit politischem Gewicht zu einer gemeinsamen, europäischen Kraftanstrengung zur Wahrung der Stabilität und Sicherheit aufrufen, begrüßt Stahel das: „Ein europaweiter Wachruf müsste stattfinden. Deutschland und Frankreich sind jetzt herausgefordert, denn wir brauchen die Achse Berlin – Paris.“
(B2) Un avion ravitailleur français Boeing C135 a fait un atterrissage d’urgence sur l’aéroport international de malte, après avoir un défaut d’un de ses moteurs, affirment les médias maltais.
L’avion qui appartient au groupe de ravitaillement en vol 02.091 Bretagne (selon nos informations) a atterri vers 12h30 aujourd’hui suivi de deux avions Rafale (qu’il devait sans doute ravitailler). Les avions « étaient en opération en Méditerranée » quand est survenu l’incident technique sur le ravitailleur, indiquent des sources aériennes maltaises sans davantage de précision sur la nature de la mission ni le lieu. On peut penser qu’il ne s’agissait pas uniquement d’une mission de tourisme… Si on regarde les images de la télévision maltaise, on aperçoit ainsi que les Rafale étaient équipés de missiles. L’un appartenait — selon nos informations — au 3e escadron de chasse Lorraine (3/30), l’autre au second escadron Normandie Niémen (2/30).
Ce n’est pas la première fois que l’île maltaise est utilisée comme aéroport de repli pour les avions français. Malgré sa neutralité affichée et sa non-appartenance à l’OTAN, le gouvernement de La Valette a toujours tenu à prêter assistance à ses partenaires européens, au point qu’il n’a pas démérité le surnom de « l’île porte-avions » de la Méditerranée. En octobre dernier, un avion privé opérant pour la défense française s’était écrasé au décollage faisant cinq morts dont plusieurs agents (ou anciens de la DGSE).
(Nicolas Gros-Verheyde)
Crédit : photo : TVM télévision maltaise
Lire aussi : Crash d’un avion opérant pour la défense française à Malte. 5 Français tués (V4)
La vague de froid qui frappe le nord du pays depuis avant-hier a déjà charrié son lot de dégâts et de désagréments, avec des routes coupées, des élèves qui n’ont pas pu rejoindre leurs classes,
des tensions sur la demande en gaz butane et des localités totalement isolées notamment à Constantine, Sétif, Bordj Bou Arréridj, Batna, Tizi Ouzou, Bouira et Annaba.
Les chutes de neige abondantes enregistrées dans la journée d’hier dimanche ont perturbé la circulation routière sur plusieurs routes nationales. A Constantine, des flocons tombant dru ont succédé au froid vif qui a affecté la wilaya durant toute la nuit. La zone de Djebel el Ouahch, sur les hauteurs de la ville, était particulièrement recouverte, hier, matin d’une couche de poudreuse parfois de plusieurs centimètres. Le contournement de Djebel El Ouahch, donnant sur l’autoroute Est-ouest était dans la matinée d’hier, fermé à la circulation et les agents de la Gendarmerie nationale avec les services de la Direction des travaux publics (DTP) étaient sur place pour la réouverture de cet axe routier névralgique. Le chemin de wilaya n°8 reliant la commune de Béni H’midène à Didouche Mourad à l’est de la wilaya demeure encore difficilement praticable, ainsi que le CW 5A reliant la localité d’Ibn Ziad au sud de Constantine à Sidi Khlifa dans la wilaya de Mila, selon les services de la Gendarmerie nationale. Selon les services de la météorologie nationale basés à l’aéroport Mohamed-Boudiaf, la neige a atteint jusqu’à 10 cm par endroits, en particulier dans les zones situées à plus de 600 m d’altitude. Selon ces services, les flocons devraient continuer à tomber dans les prochaines 48 heures, affectant notamment les reliefs culminant à plus de 800 m.
A Batna, la neige a recouvert les régions d’Arris, de Theniet el Abed et de Merouana notamment et les services des travaux publics sont intervenus pour rouvrir à la circulation les axes routiers des routes nationales 31, 87 et 77 reliant le chef-lieu de la wilaya de Biskra, via Arris, et Thniet el Abed, selon le directeur des travaux publics, Abderrahmane Abdi.
Fortes perturbations
Par ailleurs, les habitants du nord de Sétif, la région de Meghres et Takouta notamment, se sont réveillés dimanche sur un beau spectacle de la neige recouvrant les montagnes de la région en dépit des désagréments causés, en particulier en matière de déplacement. Le commandant Tarek Amamra, du groupement territorial de la Gendarmerie nationale, a indiqué que la RN 75, dans son tronçon traversant la commune Tala Iften sur 16 km, était coupée à la circulation. La RN 77, entre les localités d’Ain Sebt et Djemila et les communes de Beni Aziz et El Eulma, étaient également impraticables. Les chemins de wilayas (CW) 45 et 137, entre Bouandes et Boussalem sur 14 km et Ain Kébira et Serdj El Ghoul, sont également coupés à la circulation.
A Bordj Bou Arréridj, les chutes de neige ont été enregistrées sur les hauteurs notamment dans la région nord aux localités de Djaâfra, El Mayne et Kolla.
A Médéa, la circulation automobile sur le réseau routier de la wilaya a connu de fortes perturbations notamment sur un tronçon de la route nationale N1 reliant les villes de Médéa et de Berrouaghia ou le trafic reste « très difficile », selon la Protection civile.
Les chutes incessantes de neige ont provoqué d’énormes « bouchons » à plusieurs endroits de cet axe routier stratégique, en particulier au lieu- dit « Tayeb Djoghlali », sur le Col de Benchikao qui culmine à 1224 mètres, et au niveau d’ « El-Fernane », périphérie de la ville de Berrouaghia où le trafic est au ralenti, en raison d’une épaisse couche de neige qui couvre la chaussée, a-t-on indiqué de même source.
Des perturbations sont signalées également sur des tronçons de la route nationale N°64, qui fait la jonction entre El-Omaria et la ville de Bougara, dans la wilaya de Blida, ainsi qu’au niveau du chemin de wilaya (CW) 138, reliant la commune de Si-Mahdjoub à Tizi-Mahdi, à l’ouest de Médéa où l’accès à certaines fractions est très difficile, a-t-on ajouté de la même source.
A Annaba, les importantes chutes de neige enregistrées dans la nuit du 14 au 15 janvier ont bloqué la principale voie de communication reliant le chef-lieu de wilaya à Seraïdi, une commune située sur les hauteurs du massif de l’Edough, à 850 m d’altitude.
C’est vers minuit qu’il a commencé à neiger à gros flocons couvrant toute la région ; une épaisseur de plus de 5 cm qui a grossi jusqu’atteindre les 10 à 15 cm. Déjà, à cette heure avancée de la nuit, la Protection civile a eu à intervenir pour dégager des véhicules pris dans la neige suite aux appels de leurs occupants.
Hier matin, la petite route serpentant sur le flanc de la montagne, sur les 13 km séparant la commune de Seraïdi d’Annaba, est devenue impraticable, les conducteurs qui s’étaient hasardés se sont retrouvés bloqués et n’ont dû leur salut qu’à l’intervention des équipes de la DTP. Ces dernières avaient été dépêchées sur les lieux pour dégager la voie et la rendre à la circulation. Il a fallu la conjugaison des efforts des agents de la commune, ceux de la direction des travaux publics, des éléments de la Protection civile et l’utilisation d’engins et de chasse-neige pour que la circulation soit enfin rétablie vers 9 heures. Les pistes et les chemins communaux menant vers les petites localités, les douars et les mechtas situées dans la forêt de Bouzizi, complètement coupées à cause des énormes quantités de neige qui s’étaient accumulées, ont été déblayées et dégagées par les djounoud de l’ANP qui ont utilisé de gros moyens pour désenclaver ces agglomérations. Les lycéens n’ont pu rejoindre leurs établissements en ce début de semaine, transports publics, taxis, camions, particuliers… n’ont pu emprunter cette voie vitale qu’à partir de 9 h. Selon le BMS diffusé hier, des chutes de neige sont attendues dans la soirée et il est fort possible que la situation se dégradera encore plus, car la seule route reliant Seraïdi sera encore bloquée et il faudra encore la dégager.
Pression sur le gaz butane
A Bouira, les fortes chutes de pluie accompagnées de neige, qui a presque couvert toutes les localités, ont causé des désagréments aux villageois. Hier, plusieurs tronçons traversant la wilaya ont été coupés à la circulation automobile. Il s’agit surtout de la RN15 reliant cette wilaya à Tizi Ouzou, coupée au col de Tirourda (commune d’Iferhounène), et la RN 30 reliant Tizi Ouzou à Bouira au col de Tizi N’Koulal, (commune d’Iboudrarène), et enfin la RN 33 reliant Tizi Ouzou à Bouira au niveau d’Asswel.
Par ailleurs, les automobilistes empruntant les routes du sud de la wilaya ont rencontré les mêmes difficultés. Cependant, la vague de froid a pénalisé plusieurs habitants en quête de gaz butane. La wilaya a enregistré depuis quelques jours, une forte pression sur le gaz butane, qui se trouve malheureusement introuvable dans certains dépôts. Dans la daïra de Bordj Okris, sud de Bouira, des villageois ont dénoncé l’absence de gaz butane. Des habitants ont pris d’assaut certains points de vente. « Cela fait des heures que nous attendons l’arrivée des camions pour s’approvisionner en bonbonnes de gaz », dit en colère un villageois qui s’est déplacé jusqu’au chef-lieu de wilaya pour s’alimenter en ce combustible. Les habitants ont affirmé que ce produit demeure parfois introuvable en cette période marquée par la neige et les pluies. D’autres ont dénoncé son prix qui atteint, selon eux, les 500 DA l’unité. Il faut rappeler que le directeur de l’Energie de la wilaya avait rassuré quant à la disponibilité de ce produit. La production au niveau de deux centres enfûteurs, installés dans les deux communes de Chorfa et Oued el Berdi, a augmenté dans le but d’alimenter suffisamment la population non encore raccordée au réseau de gaz naturel.
Un élu à l’APC de Bordj Okhris a estimé que les autorités ont mobilisé tous les moyens pour faire face à la demande des villageois en matière de gaz butane.
Accidents et asphyxies
Autre désagrément et pas des moindres résultant de cette vague de froid, les asphyxies au monoxyde de carbone. En effet, pas moins de neuf personnes, asphyxiées au monoxyde de carbone, ont été secourues par les éléments de la Protection civile durant les dernières 24 heures. « Les éléments de la Protection civile ont secouru, durant les dernières 24 heures, neuf (9) personnes dont six (6) dans la wilaya de Guelma, suite à l’inhalation du monoxyde de carbone, émanant notamment des chauffages », a précisé le chargé de communication de la Protection civile, Zouhir Benamzal.
Il a ajouté, à ce propos, qu’ « aucun décès n’a été déploré durant cette période caractérisée par une forte vague de froid ». Sur un autre chapitre, le chargé de communication de la Protection civile a fait savoir qu’un accident de la circulation est survenu durant les dernières 24 heures à Oum El-Bouaghi faisant huit blessés, suite au renversement d’un véhicule sur la route nationale N° 32.
Un autre accident a été également enregistré, hier, à 7 h30 à Réghaia, entraînant 20 blessés, suite au dérapage d’un bus de transport assurant la ligne Alger-Boumerdes, a- t-il encore informé.
FRANCEVILLE (Gabon – Remarquable, impérial, époustouflant… les qualificatifs n’ont pas manqué dimanche pour décrire la prestation du gardien de but de l’équipe algérienne de football Rais M’bolhi, évitant à lui seule la défaite face au Zimbabwe (2-2) dans le cadre de la 1ère journée (Gr B) de la Coupe d’Afrique des nations CAN 2017 au Gabon.
Dernier rempart d’une équipe qui a failli perdre ce match inaugural, M’bolhi est incontestablement l’artisan de ce match nul inespéré.
Pourtant sans compétition depuis plusieurs mois, l’ancien portier du CSKA Sofia (Div.1 bulgare) sollicité dès le début de la partie, a encore une fois confirmé qu’il est celui sur qui on peut compter dans les moments difficiles. Grâce à ses arrêts décisifs, M’bolhi a réussi à redonner confiance à ses coéquipiers, aidé faut-il le souligner par Riyad Mahrez qui a continué le boulot en signant un doublé.
Dominés lors de la première période, les Verts n’ont eu leur salut qu’à la « baraka » de M’bolhi.
Le gardien de but des Verts qui a souvent essuyé des critiques relatives à la gestion de sa carrière en club, a toujours trouvé les ressources morales pour se surpasser et être prêt lors des grands rendez-vous, confirmant à chaque occasion qu’il restait le portier N.1 de la sélection algérienne par excellence.
Lors du prochain match face à la Tunisie, prévu jeudi au stade de Franceville (17h00), Mbolhi est appelé encore une fois à sortir le grand jeu face aux « Aigles de Carthage ».
MASCATE – La sélection algérienne militaire de football a battu son homologue allemande sur le score de 2 buts à 1 (mi-temps: 1-0) lundi à Mascate (Oman) pour le compte de la 1ere journée (groupe B) de la 2e Coupe du monde militaire (15-28 janvier).
Les buts de la rencontre ont été inscrits par Abderahmane Meziane (33′) et Sofiane Khadir (86′) pour l’Algérie, alors que Florian Stahl (62′) a marqué pour l’Allemagne.
Lors de la 2e journée prévue mercredi, l’Algérie affrontera l’Iran avant de jouer face à la Corée du Nord vendredi en clôture du 1er tour.
Avant le début de la compétition, le sélectionneur national Mohamed Boutadjine a indiqué que son équipe compte « aller le plus loin possible et jouer le titre si l’occasion se présente ».
Le groupe A est composé du pays hôte Oman, de la Guinée, du Bahreïn et de la France. La poule C est formée de l’Egypte, de la Pologne, du Canada et de la Syrie. Enfin, l’Irlande, le Mali, le Qatar et les Etats-Unis composent le groupe D.
FRANCEVILLE (Gabon) – Le défenseur central de l’équipe nationale de football d’Algérie Ramy Bensebaini a relevé la nécessité de réagir face à la Tunisie et le Sénégal pour pouvoir arracher la qualification pour les quarts de finale de la Coupe d’Afrique des nations CAN-2017 au Gabon (14 janvier-5 février).
« Nous avons mal entamé le tournoi avec ce match nul face au Zimbabwe (2-2), mais rien n’est perdu. Il nous reste deux matchs qu’il faudra gagner pour pouvoir nous qualifier « , a indiqué le jeune défenseur des Verts.
Pour sa première titularisation, le joueur formé au Paradou AC (Ligue 2/Algérie) âgé de 21 ans a forcé l’admiration où il a été associé à Aissa Mandi dans l’axe central. Il constituait l’une des rares satisfactions du match avec le portier Rais M’bolhi et Riyad Mahrez.
» On savait que le Zimbabwe est une équipe qui joue bien au ballon. Notre tort, est d’avoir mal entamé la partie, nous avons laissé l’adversaire jouer, chose qui nous a coûté cher. En seconde période, nous avons eu une bonne réaction « , a-t-il ajouté.
Pour le joueur du Stade de rennes (Ligue 1/France), l’essentiel était d’éviter la défaite au début de la compétition.
» Le plus important est d’avoir évité la défaite, nous avons joué avec une nouvelle défense et je suis persuadé qu’on sera beaucoup plus performants lors des deux prochains matchs « , a souligné Bensebaini.
Concernant ses grands débuts dans le onze titulaire, le natif de Constantine s’est dit » satisfait » de sa première apparition.
» Je me suis bien senti sur le terrain en donnant le meilleur de moi-même. Ce n’est que le premier match pour moi, au fil du temps je vais cumuler plus d’expérience et de confiance « , a-t-il conclu.
Dans l’autre match du groupe B, le Sénégal s’est imposé face à la Tunisie (2-0), un résultat qui permet aux » Lions de la Teranga » d’occuper la tête du classement.
La 2e journée se jouera jeudi avec au programme : Algérie-Tunisie (17h00) et Sénégal-Zimbabwe (20h00).
PARIS – L’international algérien de Leicester Ryad Mahrez occupe la 17e place au classement des joueurs les plus chers au monde publié lundi par l’Observatoire du football « CIES » dans sa lettre hebdomadaire et dominé par le Brésilien Neymar devant son coéquipier Messi.
La valeur de transfert du meilleur joueur africain 2016 est estimée à l’heure actuelle à 67,8 millions, selon la même source.
Mahrez (25 ans) dont le contrat avec Leicester court jusqu’en 2020 avait largement contribué à la consécration historique des Foxes la saison dernière.
Le joueur algérien devance des joueurs à l’image du Mexicain Alexis Sanchez (Arsenal), l’Allemand Toni Kroos (Real Madrid), le Polonais Robert Lewandowski (Bayern Munich) ou encore le Gabonais Pierre -Emerick Aubameyang (30e).
Le joueur du big-5 dont la valeur de transfert est à l’heure actuelle la plus élevée est Neymar: 246.8 M Ç. L’attaquant de Barcelone devance nettement son co-équipier Lionel Messi (170.5 M Ç), le transfuge de Manchester United Paul Pogba (155.3 M Ç), ainsi qu’un autre Français: Antoine Griezmann (150.4 M Ç).
Dix joueurs ont une valeur estimée qui dépasse les 100 M Ç.
Les montants record par poste ont été mesurés pour Jan Oblak parmi les gardiens (59.8 M Ç), Raphaël Varane parmi les défenseurs centraux (64 M Ç), Héctor Bellerin parmi les latéraux (70.3 M Ç), Paul Pogba parmi les milieux centraux (155.3 M Ç), Dele Alli parmi les milieux offensifs (110.5 M Ç) et Neymar parmi les attaquants (246.8 M Ç).
Les données présentées dans la Lettre hebdomadaire n° 172 ont été calculées à travers l’algorithme exclusivement mis en place par l’équipe de recherche de l’Observatoire du football CIES.
Depuis 2012, l’Observatoire du football CIES a développé une approche scientifique pour estimer la valeur de transfert des joueurs de football professionnels. Le modèle statistique par le biais duquel les justes prix sont calculés comprend de nombreuses variables sur les performances (minutes, buts, etc.) et caractéristiques (âge, contrat, etc.) des joueurs, ainsi que des indicateurs tant sur les clubs d’emploi que sur les potentiels recruteurs.
ALGER – Les membres de la délégation parlementaire libyenne ont salué lundi à Alger « le rôle actif et permanent » de l’Algérie en faveur d’une solution politique à la crise libyenne, dans le cadre de l’accord du 17 décembre 2015, a indiqué un communiqué du Conseil de la nation.
Le président du groupe parlementaire du tiers présidentiel, El Hachemi Djiar a reçu lundi la délégation parlementaire libyenne qui effectue une visite en Algérie, a précisé le même communiqué.
« Cette rencontre a été l’occasion pour M. Djiar de réaffirmer la position de l’Algérie vis-à-vis de la crise libyenne et rappeler les efforts qu’elle (Algérie) ne cesse de fournir pour mettre fin à la crise en Libye, sans pour autant s’ingérer dans les affaires internes de ce pays frère et voisin », a ajouté la même source.
Cette rencontre « intervient suite aux visites et rencontres effectuées par plusieurs parlementaires libyens, dont le président du parlement libyen, Salah Akila », selon le communiqué.
Le Britannique Alex Thomson a battu le record de distance parcourue par un solitaire en 24 heures sur un monocoque, à savoir 536,81 milles nautiques, soit plus de 994 kilomètres terriens, à une vitesse moyenne de 22,36 noeuds, entre 8 h dimanche et 8 h lundi. Il a effacé des tablettes le record détenu par Gabart (534,48 milles en 24 heures à 22,27 noeuds de moyenne).
Des enquêteurs ont perquisitionné la semaine dernière le siège du groupe Damen à Gorinchem, aux Pays-Bas. C’est ce qu’a confirmé hier l’agence antifraude du ministère néerlandais des Finances, rapporte l’agence Reuters. Ces investigations, révélées initialement par le magazine Quote, ont vu la saisie de documents mais aucune interpellation. Elles sont menées d’après les autorités néerlandaises dans le cadre d’une enquête sur une affaire de corruption à l’étranger.
The United States is the country with the most overseas military bases in the world by a large margin. It has bases in 30 countries, followed by the United Kingdom, which has bases in half as many countries. In Germany, the U.S. has no less than 38 military bases, the most controversial being Ramstein Air Base—the U.S.’ largest military base on foreign soil.
In 2013, a team of German journalists broke the story that the U.S. was conducting its “war on terror” from Germany, including drone warfare in parts of Africa. Germans were outraged that their government allowed this to happen on their soil.
It was not until the revelations of a U.S. Air Force drone pilot in 2014 that it was confirmed that the drone war would not be possible without Germany. The German Green Party called on to the government to take action against U.S. drone strikes, “it is shameful that the German government simply closes its eyes to violations of international law on German territory,” said foreign policy spokesperson for the Green Party, Omid Nouripour. As tensions mounted, President Obama was forced to address the issue during a visit to Berlin. “We do not use Germany as a launching point for unmanned drones […] as part of our counterterrorism activities” he said.
The deployment of U.S. troops in Germany has been regulated since the 1950s through NATO Status of Forces Agreement. Under NATO’s SOFA, the German government could petition the closure of a base, or the cessation of activities it considers a violation of international law. However, jurisdiction lies with the U.S. on such matters. Alternatively, the German government could terminate the Status of Forces Agreement altogether, but this would open a huge political debate and create detrimental tensions between the two allies.
In the summer of 2016, thousands of German citizens stood outside of Ramstein Air Base to protest drone strikes conducted from there. Participating in the protest, former German Finance Minister, Oskar Lafontaine, said the German government’s silence on the use of drones was “schizophrenic”—while showing generosity towards refugees, Germany was supporting the U.S. wars by way of this base.
Around the same time, the U.S. Office of National Intelligence released a report stating 473 “counterterrorism strikes” had taken place, killing 2,372-2,581 combatants and 64-116 non-combatants since 2009. The Bureau of Investigative Journalists compiled their own statistics and their conservative estimates point towards 504 total strikes, killing between 2,745 and 4,333 of which between 380 and 801 were civilians. The difference between the two reports is staggering.
Ramstein is not the first base to get this sort of bad publicity—an analogous situation occurred in the Shamsi base in the Pakistani province of Balochistan. After Navy Seals found and shot Bin Laden within Pakistan’s borders, local authorities asked the U.S. to vacate the Shamsi Airfield. Supposedly angered, the Pakistani officials said they would no longer allow the U.S. to conduct operations out of the base, as it breached Pakistan’s sovereignty. Although official stories varied, it was later uncovered that the base had been leased to the United Arab Emirates since 1992, and thereafter, sublet to the U.S. by the UAE in 2001.
All this is to say that the use of bases on foreign soil by the U.S. have not been sans mystery. While the founder of the German Green Party sues his own government for answers on why Germany was being used as the staging ground for drone strikes, the U.S. continues to operate from these outposts without much apprehension.
During his inaugural speech in January 2009, President Obama inspired many with these words: “And so to all other peoples and governments who are watching today, from the grandest capitals to the small village where my father was born: know that America is a friend of each nation and every man, woman, and child who seeks a future of peace and dignity, and we are ready to lead once more.” As he leaves office, he reminded us in his final address just this month that “we are all created equal, endowed by our creator with certain unalienable rights, among them life, liberty, and the pursuit of happiness.”
As we brace for an unsure tenure under a leader we cannot begin to understand, we must remember that we did not hold the outgoing leadership accountable. We did not hold them to account for the hundreds that were killed from spaces that we do not own, in countries we do not give answers to. We did not hold them to account for the mystery that shrouds this war that the Obama administration vowed to end, and yet, in some ways increased. With an unpredictable leader coming into power in the next days, we the people, need to be more vigilant about asking questions and demanding answers.
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