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Diplomacy & Defense Think Tank News

Introduction

Centre Thucydide - Wed, 29/06/2016 - 23:58
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Introduction

Centre Thucydide - Wed, 29/06/2016 - 23:58
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La reconnaissance sociale du prix Nobel de la Paix. Regard sociologique

Centre Thucydide - Wed, 29/06/2016 - 23:46

Le prix Nobel de la Paix implique la reconnaissance sociale de modèles d'engagement pour la paix par des hommes et des femmes de toutes catégories hiérarchiques, sociales, culturelles ou religieuses. La liste des lauréats témoigne en effet d'une grande diversité de profils. Pourtant, un regard sociologique sur les mécanismes de reconnaissance engagés nous amène à nous interroger. Les questions soulevées par les modes d'attribution du prix ont déjà motivé de nombreuses publications, en Science politique et Relations internationales notamment. En revanche, peu d'études se sont penchées sur la reconnaissance sociale des lauréats. On peut se demander par exemple s'ils ont tous pareillement retenu l'attention, dans quel cadre et pourquoi ? Nous tâcherons donc d'examiner divers indices de reconnaissance sociale, en nous intéressant à la littérature produite par les institutions internationales, par le monde scientifique et par les médias. Au-delà d'une quelconque mesure de la portée théorique du prix Nobel de la Paix, il s'agira surtout d'analyser les mécanismes socio-anthropologiques de la reconnaissance des figures primées.

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La reconnaissance sociale du prix Nobel de la Paix. Regard sociologique

Centre Thucydide - Wed, 29/06/2016 - 23:46

Le prix Nobel de la Paix implique la reconnaissance sociale de modèles d'engagement pour la paix par des hommes et des femmes de toutes catégories hiérarchiques, sociales, culturelles ou religieuses. La liste des lauréats témoigne en effet d'une grande diversité de profils. Pourtant, un regard sociologique sur les mécanismes de reconnaissance engagés nous amène à nous interroger. Les questions soulevées par les modes d'attribution du prix ont déjà motivé de nombreuses publications, en Science politique et Relations internationales notamment. En revanche, peu d'études se sont penchées sur la reconnaissance sociale des lauréats. On peut se demander par exemple s'ils ont tous pareillement retenu l'attention, dans quel cadre et pourquoi ? Nous tâcherons donc d'examiner divers indices de reconnaissance sociale, en nous intéressant à la littérature produite par les institutions internationales, par le monde scientifique et par les médias. Au-delà d'une quelconque mesure de la portée théorique du prix Nobel de la Paix, il s'agira surtout d'analyser les mécanismes socio-anthropologiques de la reconnaissance des figures primées.

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70e anniversaire des Nations Unies : les défis du Conseil de sécurité dans le domaine de la paix et de la sécurité

Centre Thucydide - Wed, 29/06/2016 - 23:44

L'ONU a célébré en 2015 son soixante-dixième anniversaire. C'est l'occasion de se pencher sur son organe principal dans le domaine de la paix et de la sécurité internationales, le Conseil de sécurité. Quelle est la centralité du Conseil aujourd'hui, dans le système international créé par la Charte, par rapport aux autres organes de l'Organisation ? Quel est son rôle face aux défis du XXIe siècle tels que le terrorisme ou les menaces transnationales ? Comment analyser son fonctionnement dans l'imposition de sanctions, dans la mise en place d'opérations de maintien de la paix et face à la justice internationale ? Au plan politique, son efficacité dépend avant tout de la bonne coopération entre ses membres permanents. La résolution des crises en Syrie et en Libye en dépendra.

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70e anniversaire des Nations Unies : les défis du Conseil de sécurité dans le domaine de la paix et de la sécurité

Centre Thucydide - Wed, 29/06/2016 - 23:44

L'ONU a célébré en 2015 son soixante-dixième anniversaire. C'est l'occasion de se pencher sur son organe principal dans le domaine de la paix et de la sécurité internationales, le Conseil de sécurité. Quelle est la centralité du Conseil aujourd'hui, dans le système international créé par la Charte, par rapport aux autres organes de l'Organisation ? Quel est son rôle face aux défis du XXIe siècle tels que le terrorisme ou les menaces transnationales ? Comment analyser son fonctionnement dans l'imposition de sanctions, dans la mise en place d'opérations de maintien de la paix et face à la justice internationale ? Au plan politique, son efficacité dépend avant tout de la bonne coopération entre ses membres permanents. La résolution des crises en Syrie et en Libye en dépendra.

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Lancement du blog Anthropotechnie

Fondapol / Général - Wed, 29/06/2016 - 21:43

Le blog sur les enjeux de l'humain augmenté.
A suivre sur www.anthropotechnie.com

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Making Peace “Survivable”: Lessons for Karabakh

European Peace Institute / News - Wed, 29/06/2016 - 20:59
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On June 29, IPI launched a new book by Philip Remler entitled Chained to the Caucasus: Peacemaking in Karabakh. The book recounts twenty-five years of (mostly failed) diplomatic attempts to broker peace between Armenia and Azerbaijan over the contested region of Nagorno-Karabakh.

At a roundtable discussion at IPI’s Vienna office, Mr. Remler (a retired US diplomat who served with the State Department and the Organization for Security and Cooperation in Europe) described how leaders on both sides have pursued a policy of “total victory.” As a result, compromise is very difficult. Even when the presidents of the two countries have managed to come to agreement on key areas of a settlement, the promise of “total victory” makes compromise look like failure or betrayal. This has cost some Armenian politicians their jobs, and even their lives.

As a result, said Mr. Remler, the leaders of Armenia and Azerbaijan must believe that they personally will survive an agreement. This requires “political cover” from the international community. It also involves preparing the people for peace. As Mr. Remler writes, “for any peace deal to work, the parties’ leaders must be able to show suspicious populaces that the gains are worth the concessions.” There must be a credible peace dividend.

He recalled past attempts at peace, and noted that the building blocks of a settlement exist. However, he stressed that both parties share an expectation that peace is not likely in the near future, and adapt accordingly. With this perspective, politicians use negotiations as “an arena for scoring points, impressing patrons, and posturing to build a political career” rather than seeking peace.

Participants stressed the urgency for intensified mediation in the aftermath of a deadly flare-up in violence between Armenia and Azerbaijan in April this year–the worst violence since a cease-fire was declared in May 1994. They also discussed initiatives stemming from recent high-level meetings between Presidents Aliyev and Sagsyan in Vienna and St. Petersburg designed to de-escalate tensions along the Line of Contact, as well as the impact of these meetings on the negotiation process led by the co-chairs of the OSCE Minsk Group. Mention was also made of proposals to increase the number of international monitors.

The issue was also looked at in the context of wider geopolitical tensions and developments in the region. Among the discussants was Ambassador Herbert Salber, the European Union Special Representative for the South Caucasus and the crisis in Georgia, and Dennis Sammut, director of LINKS.

Vincent Tournier – Portrait des musulmans d’Europe : unité dans la diversité

Fondapol / Général - Wed, 29/06/2016 - 19:30

Cette note propose d’analyser les caractéristiques et les valeurs des musulmans en Europe à partir des données cumulées de l’enquête European Social Survey (ESS). Les musulmans constituent-ils une population homogène sur le plan des valeurs sociales et politiques ? Observe-t-on des différences entre musulmans et non-musulmans ? Les données montrent que la population musulmane présente […]

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Nadia Henni-Moulaï – Portrait des musulmans de France : une communauté plurielle

Fondapol / Général - Wed, 29/06/2016 - 19:30

Depuis plus de vingt ans, l’islam en France se retrouve régulièrement au centre du débat public. Si l’idée qu’il existe une communauté musulmane est largement répandue dans l’opinion, la réalité est plus complexe. Concept clé en islam, la oumma, au sens de communauté de foi, se reflète-t-elle sur le terrain ? Cette note tente d’apporter […]

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Attentats à Istanbul : nouvelle démonstration de force du terrorisme ?

IRIS - Wed, 29/06/2016 - 17:20

Dans la soirée du mardi 28 juin, un nouvel attentat a frappé l’aéroport d’Istanbul en Turquie. C’est la troisième fois qu’Istanbul est touché cette année. Pourquoi la Turquie semble être une cible prioritaire pour les terroristes ?

Plusieurs facteurs expliquent ce constat.

Un facteur géographique, tout d’abord, puisque la Turquie est située à proximité de zones de conflits, notamment la Syrie et l’Irak. La Turquie possède une frontière longue d’un peu plus de 900 kilomètres avec la Syrie, qu’il est impossible de contrôler de façon efficace et efficiente. Cette perméabilité offre la possibilité aux groupes terroristes de franchir la frontière pour venir commettre des attentats en Turquie.

La Turquie accueille actuellement 2,8 millions réfugiés syriens. Et si, bien évidemment, l’immense majorité de ces réfugiés sont totalement étrangers à des actes terroristes, on peut toutefois supposer qu’il existe au sein d’entre eux des cellules dormantes de l’Etat islamique capable d’organiser des attentats en Turquie.

Le troisième aspect, plus politique, porte sur les formes de complaisance entretenues pendant quelques temps par les autorités politiques turques à l’égard des groupes djihadistes combattant en Syrie, dans l’optique de renverser le gouvernement de Bachar al-Assad. Pour autant, on peut constater qu’une véritable lutte contre l’Etat islamique a été engagée par le gouvernement turc depuis le début de l’année 2015. Les services de sécurité, de renseignement et de police se sont effectivement mobilisés afin de démanteler les réseaux de Daech en Turquie.

La conjonction de ces trois facteurs nous permet de comprendre pourquoi la Turquie est la victime privilégiée d’attaques terroristes. Par ailleurs, en gardant la plus grande prudence quant au commanditaire de l’attentat à Istanbul qui n’a pas été encore revendiqué, il faut rappeler qu’une guerre sans merci est actuellement menée par les autorités turques contre le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Evidemment, personne à ce stade ne peut attribuer au PKK cet attentat, mais nous savons qu’il est devenu depuis juillet 2015 l’ennemi public numéro un en Turquie. Les pertes militaires infligées à cette organisation d’opposition kurde, qualifiée de terroriste, ont déjà entrainé plusieurs attentats revendiqués par le PKK ou des entités affiliées au PKK, comme les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK).

Tous ces facteurs conduisent à dessiner un environnement trouble et complexe. Face à cela, les autorités turques, même si elles ont pu commettre des erreurs à un moment donné, constatent que la lutte contre l’hydre terroriste est singulièrement difficile et compliquée. Les Français, qui sont pourtant plus loin des théâtres d’opérations djihadistes, sont bien placés pour le savoir.

Le président Recep Tayyip Erdogan a appelé à une lutte commune avec les Occidentaux contre la mouvance terroriste. Après s’être réconciliée avec Israël, et avoir esquissé un rapprochement avec la Russie, la Turquie tente-t-elle de normaliser ses relations et de s’affirmer comme un partenaire fiable dans la lutte anti-terroriste ?

Cela ne date pas d’aujourd’hui. La Turquie a toujours considéré qu’il était nécessaire d’organiser un front commun contre les organisations terroristes. Il y a évidemment dans cette déclaration un aspect de communication politique, qui s’inscrit dans le contexte de l’attentat d’Istanbul fortement chargé émotionnellement, mais on ne saurait reprocher au président turc d’appeler à une lutte commune légitime avec les Occidentaux, contre les mouvances terroristes.

Depuis maintenant plusieurs semaines, les autorités turques ont exprimé leur volonté de normaliser leurs relations parfois tendues avec certains pays. Il s’agit tout d’abord de l’Etat d’Israël avec lequel a été acté un processus de réconciliation après 6 ans de turbulences. Par ailleurs, suite aux vives tensions qui ont émergé avec la Russie depuis la destruction d’un avion russe par la Turquie, M. Erdogan semble visiblement vouloir calmer le jeu et reprendre des échanges raisonnés avec Vladimir Poutine.

Ces deux inflexions diplomatiques s’inscrivent dans le sillage d’une politique volontariste de la Turquie, qui connait une phase de relatif isolement politique, afin de normaliser ses relations avec ses partenaires régionaux et internationaux. On peut souhaiter que cela ouvre des perspectives positives dans la lutte anti-terroriste, mais également dans la reformulation de la politique régionale de la Turquie.

Géopolitique du tourisme en Méditerranée

IRIS - Wed, 29/06/2016 - 14:46

Un an après l’effroyable attaque terroriste de Daech à Sousse, le secteur du tourisme tunisien demeure sous le choc. Durant le premier semestre de l’année 2016, environ 1,82 million de touristes se sont rendus en Tunisie, soit une baisse de 21,5% par rapport au premier semestre 2015. Une tendance alarmante compte tenu du poids de ce secteur dans l’économie nationale : pourvoyeurs d’emplois, le tourisme représente traditionnellement 7 % à 8 % du PIB de la Tunisie et constitue une source indispensable de devises.

En réalité, c’est l’ensemble des activités touristiques de la rive sud de la Méditerranée qui est affecté par les conséquences des soulèvements populaires nés en 2011. Si cette séquence historique est aussi l’occasion de s’interroger sur le modèle de développement de ce secteur stratégique pour des pays comme la Tunisie, l’Egypte ou le Maroc, les acteurs économiques demeurent dans l’expectative.

Le tourisme n’échappe ni au contexte national ni à l’environnement régional– marqué par de fortes sources d’instabilités– dans lequel il s’inscrit. Au contraire, il s’agit d’un secteur fortement dépendant des données géopolitiques locales et globales. Les rivalités économiques, commerciales, sociales et culturelles auxquelles donnent lieu le développement des activités touristiques sur des territoires donnés– en particulier en Méditerranée– attestent de sa dimension foncièrement géopolitique. Par exemple, l’essor du tourisme de masse (le nombre de touristes a encore progressé de 4% en 2015*) a participé à l’actualisation des rapports Nord-Sud, tout en nourrissant l’idéologie islamiste. Manifestation visible et spectaculaire de la globalisation, l’explosion du secteur contribue à la reconfiguration de la carte du monde.

Particulièrement symbolique de la Méditerranée, le tourisme est une activité qui– même si elle n’est pas récente– a fait florès sur l’ensemble du bassin méditerranéen. Le secteur draine un tiers des flux mondiaux, grâce à une nature, un patrimoine historique, architectural et culturel exceptionnels. La Méditerranée est encore aujourd’hui la principale région touristique du monde (B. Kayser, 2001). Le bassin méditerranéen reste en effet la principale destination touristique mondiale. Les activités de services et les emplois liés au secteur pèsent dans la vie économique et sociale des îles et zones/régions littorales (voir le cas de l’Espagne de la Grèce ou de la Tunisie).

Ce tourisme méditerranéen se caractérise néanmoins par sa très forte concentration autour de quelques sites naturels ou culturels, qui ont bénéficié d’investissements lourds, comme l’attestent le développement d’infrastructures et de complexes hôteliers. Outre les pôles d’activités touristiques traditionnels du pourtour méditerranéen, les Balkans présentent de nouvelles offres/destinations, et ce grâce notamment aux investissements privés de fortunes russes qui tentent d’exploiter l’environnement naturel exceptionnel de la région (littoral et îles de Croatie, mais aussi stations balnéaires bulgares).

Cependant, un lent déclin semble se dessiner pour la destination méditerranéenne, sur fond de montée en puissance de nouvelles destinations touristiques (Pacifique, Asie du Sud-Est, Caraïbes, …), de l’instabilité et de l’insécurité sur les rives Sud et Est (en 2015, l’activité a reculé de 8% en Afrique du Nord*), sur fond d’impératifs structurels tels que la nécessité de lourds investissements (difficiles à attirer en temps de crise), le renouvellement de l’offre des produits touristiques et surtout du modèle du tourisme balnéaire de masse…

De plus, le développement parfois anarchique de l’activité touristique (exemple du littoral bétonné en Espagne et contre-exemple de la sauvegarde du littoral corse) a un coût pour l’environnement en général, et pour les écosystèmes littoraux, en particulier. La perspective d’un changement climatique représente ici plus qu’ailleurs un défi majeur pour ce secteur confronté à des problèmes aigus en matière de consommation et de gestion de l’eau et d’énergie. Le tourisme durable est l’avenir de ce secteur en Méditerranée comme ailleurs. Il en va de sa pérennité.

El declive de la identidad nacional española

Real Instituto Elcano - Wed, 29/06/2016 - 11:41
ARI 50/2016 - 29/6/2016
Carmen González Enríquez
España es ya una sociedad con una menor identidad colectiva, menos prejuicios y más cosmopolita.

Wo Putins Russland endet

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 29/06/2016 - 00:00
Im Frühjahr 2014 hing der Bestand der unabhängigen Ukraine am seidenen Faden. Nachdem Russland bereits die Halbinsel Krim annektiert hatte, begann ein hybrider Krieg auch im Osten des Landes. Zu diesem Zeitpunkt stand die Losung von einem „Neurussland“, einer „Rückeroberung“ des Südostens der Ukraine durch Moskau, hoch im Kurs. Das schließliche Scheitern der „Neurussland“-Idee ist vor allem auf Entwicklungen innerhalb der Ukraine zurückzuführen, in der nicht nur ethno-nationale Zugehörigkeiten, sondern auch staatspolitische Loyalitäten seit 1991 neu verhandelt wurden.

Acht Thesen zur Diskussion um Integration und Leitkultur

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 28/06/2016 - 15:12
Am 28. Juni eröffnete der stellvertretende Vorsitzende der Hanns-Seidel-Stiftung, Alois Glück, einen Diskussionsabend im Bayerischen Landtag über „die schwierige Frage nach einer ‚Leitkultur‘“. In seinem gehaltvollen Impulsvortrag zeigte er insbesondere auch Schwächen unserer Zivilgesellschaft auf.

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