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Diplomacy & Defense Think Tank News

Cinq ans après la chute de Kadhafi : quel bilan pour la Libye ?

IRIS - Thu, 20/10/2016 - 17:14

Cinq ans jour pour jour après la chute de Mouammar Kadhafi, quel bilan peut-on tirer de l’intervention de l’OTAN en 2011, France et Etats-Unis en tête ?

Cinq ans après l’intervention de l’OTAN, le pays est totalement fragmenté. La Libye est au bord du gouffre, malmenée par des rivalités entre l’Est et l’Ouest, entre Tripoli et Tobrouk, entre deux gouvernements, deux parlements et par l’implantation d’un acteur non-étatique, Daech. Le bilan est donc mauvais, les Libyens ont déjà assisté à deux guerres civiles, une troisième n’est pas à exclure.

L’enlisement de la crise comporte aussi des risques pour l’Europe, sur le plan sécuritaire, avec la crainte que de nouvelles attaques soient orchestrées sur notre sol, ainsi que sur le plan migratoire car les Libyens figurent également parmi les réfugiés fuyant la guerre.

Les organisateurs de l’intervention militaire de 2011 ont commis une erreur. Ils n’ont pas mis en place de suivi politique pour l’après Kadhafi et se sont simplement contentés d’organiser des élections. La Libye est un pays dans lequel il n’y a jamais eu d’Etat ni d’institutions. La coalition n’a pas tenu compte des caractéristiques sociologiques et anthropologiques du pays. Les Occidentaux prétendaient apporter la démocratie en organisant des élections. Ils se sont trompés.

J’ai tendance à considérer que les interventions occidentales de ces dernières années ont apporté plus de confusion et d’instabilité que de solutions. C’est le cas en Libye, au Mali, en Syrie ou en Irak.

Quel est le contexte actuel en Libye alors que des combats y ont lieu quasi quotidiennement ?

Le pays est aujourd’hui mis en coupe réglée par des milices, par Daech, par la rivalité entre la Tripolitaine et la Cyrénaïque (Est de la Libye), entre Tobrouk et Tripoli. Le gouvernement d’union nationale qui siège à Tripoli présidé par Fayez Sarraj, est aujourd’hui très contesté. Le retour de Fayez Sarraj, début 2016, était théâtral, arrivant par bateau depuis la Libye, après être resté huit jours dans une base maritime étrangère près de Tripoli. Il laisse le sentiment d’être arrivé dans les bagages d’une puissance étrangère alors que les Libyens supportent de moins en moins les interactions extérieures. Malgré un accord signé entre tous les partis libyens en 2015, l’autorité de Fayez Sarraj a très vite été contestée, critiquée et il n’est jamais parvenu à affirmer sa légitimité.

Une autre source de problèmes est incarnée par Daech. L’organisation terroriste refuse de négocier et aucun compromis avec elle n’est envisageable.

Enfin, après les deux gouvernements et Daech, un quatrième acteur s’ajoute à l’équation et rend plus complexe encore sa résolution. Le général Haftar est soutenu par les Emirats arabes unis et par l’Egypte. Il a très tôt contesté la légitimité du gouvernement de Fayez Sarraj et pris le contrôle des trois importants champs pétrolifères autour de Syrte. Le général Haftar est parvenu à consolider ses positions, il revendique aujourd’hui sa volonté d’être le nouveau leader de la Libye.

Nous sommes donc face à un paysage libyen divisé entre Daech, deux gouvernements rivaux, un général assez aigri qui fait cavalier seul et un gouvernement d’union nationale isolé. Si l’on y ajoute les clans, les tribus, les milices, le jeu d’un certain nombre de pays étrangers comme l’Algérie, la Turquie, l’Arabie saoudite et le Qatar, la somme de tous ses acteurs résultent sur une situation totalement hors de contrôle. Les dynamiques enclenchées, aujourd’hui en Libye, échappent à tous ceux qui les ont lancées.

Faire cesser les combats et désarmer les milices s’avère déjà une mission compliquée. Il faudrait peut-être que tous ceux, de Tripoli à Tobrouk souhaitant participer à la reconstruction de la Libye organisent une grande conférence nationale permettant de trouver un compromis interne à la Libye, sans pression étrangère, qui pourrait déboucher sur l’organisation de nouvelles élections.

Quelles sont les positions de la dite communauté internationale quant à la situation en Libye ? Se préoccupe-t-elle de la dégradation politique, économique et sécuritaire du pays à sa juste mesure ? De quelle manière certains pays interviennent-ils ?

De nombreux acteurs extérieurs s’inquiètent de la situation en Libye. La France et l’Italie, tout d’abord, qui doivent faire face à une succession de vagues d’immigration de personnes fuyant les combats. Les réfugiés arrivent, en premier lieu, sur les côtes italiennes, certains d’entre eux tentent ensuite de se rendre en France.

Globalement, toute l’Europe suit avec attention la situation libyenne car son évolution impacte également leur situation sécuritaire. Daech se trouve à moins de trois heures des côtes italiennes, à cinq heures des côtes françaises. Il existe donc une vraie problématique en termes de sécurité. Les risques sécuritaires et migratoires perdureront tant que le fond de la question n’aura pas été traité : redonner de la stabilité institutionnelle et politique à la Libye.

Sur le terrain, la situation empire. Les Européens se rendent-ils compte que le pays danse sur un volcan ? Si la Libye bascule dans une troisième guerre civile, il n’est pas à exclure que les pays environnants (Tunisie, Algérie, Egypte, Soudan) soient également impactés.

Pour finir, les puissances régionales s’immiscent également dans les affaires libyennes, telles que la Turquie, l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Qatar, l’Egypte et dans une moindre mesure, l’Algérie. Ces pays ont des inquiétudes, des intérêts, et chacun essaie d’agir localement pour préserver ses intérêts ou couvrir le risque terroriste.

Das neue Weißbuch – Impulsgeber sicherheitspolitischer Verständigung?

SWP - Thu, 20/10/2016 - 16:38

Sicherheitspolitische Weißbücher erfüllen mehrere Funktionen: Sie informieren den Bundestag und die deutsche Öffentlichkeit, orientieren andere Länder, vor allem Deutschlands wichtigste Partner, über sicherheitspolitische Prioritäten der Bundesregierung und dienen der Kommunikation innerhalb der Bundeswehr. Das Weißbuch 2016, erstes seiner Art seit 2006, steht in dieser Tradition. Die Verfasser suchen Stand und Weg deutscher Sicherheitspolitik neu zu beschreiben, nach Ereignissen und Entwicklungen wie der globalen Finanzkrise, Euro-Turbulenzen, der Aussetzung der Wehrpflicht in Deutschland, den Umbrüchen im Nahen und Mittleren Osten sowie der russischen Annexion der Krim. Öffentlichkeit und Bündnispartner in Nato und EU erfahren recht präzise, was die Bundesregierung sicherheitspolitisch beabsichtigt. Die Konturen der Bundeswehr selbst und ihrer Zukunft bleiben hingegen blass. Der sogenannte Weißbuch-Prozess war auf die Erwartung gegründet, in umfassenden öffentlichen und offenen Diskussionen alle Dimensionen der Verteidigungspolitik zur Sprache bringen zu können. Bei der Fortführung dieses Prozesses kommt es nun darauf an, sicherheitspolitische Erfolge zu bilanzieren, Defizite zu erkennen, Handlungsabsichten zu konkretisieren sowie Vorschläge zu notwendigen Folgearbeiten zu machen.

Managing the “Boat People” Crisis: The Comprehensive Plan of Action for Indochinese Refugees

European Peace Institute / News - Thu, 20/10/2016 - 16:00

Spanning a period of twenty-one years, the Vietnamese “boat people” exodus was the last major refugee crisis of the Cold War. The international response agreed on in Geneva in 1979 was in line with Western Cold War values, but by 1988 it had begun to unravel. The new international response took the form of the Comprehensive Plan of Action for Indochinese Refugees (CPA), which was in place from 1989 to 1996.

This paper offers a detailed look at the process of negotiating the CPA, its contents, how it was received, and its implementation. At the time it was agreed, the CPA was revolutionary in two ways: first, it was comprehensive, and second, it was predicated on the right of Vietnamese boat people to land and to be processed for refugee status. As a result, the CPA both saved lives and marked the transition from blanket recognition of refugee status to individual status determination—all in a region whose countries had not ratified the Refugee Convention.

While all refugee situations are different, the CPA provides lessons and conclusions that could inform responses to other refugee crises:

  • Initial discussions leading to the CPA depended on individual-led, field-driven initiative.
  • In breaking from previous approaches to refugee crises, the CPA faced significant opposition.
  • Involving the country of origin—Vietnam—was essential to implementing the response.
  • The CPA benefited from a single agency—UNHCR—taking the lead.
  • Despite the CPA, most countries in the region continued to reject the Refugee Convention.
  • The mass information campaign conducted in Vietnam was crucial to the CPA’s success.
  • One of the main achievements of the CPA was to address the population movement in general, including both refugees and migrants.

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Nicht ohne mein Smartphone!

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 20/10/2016 - 15:29

Die Geschichte des Smartphones begann zwar schon in den 90er Jahren, aber als wesentlicher Meilenstein für seinen Siegeszug muss das Jahr 2007 angesehen werden. Steve Jobs stellte am 9. Januar 2007 das erste Smartphone der iPhone-Reihe von Apple vor. Aus dem Mobiltelefon mit zusätzlichen Funktionen wurde unser digitaler Begleiter für alle Lebensbereiche. Das Smartphone ist heute Telefon, Radio, TV, Buch, Stadtplan, Büro, Lexikon, Kamera, Kaufhaus, Spielekonsole und vieles andere mehr.

Gibraltar, “año cero”: Brexit, cosoberanía y nuevas oportunidades de España

Real Instituto Elcano - Thu, 20/10/2016 - 13:43
ARI 75/2016 - 20/10/2016
Alejandro del Valle Gálvez
El resultado del referendo Brexit sobre la salida del Reino Unido de la UE sugiere considerar la situación de Gibraltar y los cambios en las perspectivas de España sobre la solución a la controversia.

CETA / TTIP : même combat ?

IRIS - Thu, 20/10/2016 - 11:28

En quoi consiste le CETA, ce traité de libre-échange signé entre l’Union européenne et le Canada ? Est-il « progressiste », comme le dit Justin Trudeau, et vertueux pour l’Union européenne ? Pourquoi les Wallons s’opposent-ils au Traité ?

Le CETA fait partie des traités de libre-échange à la mode ces dernières années. Il est proche du TTIP, négocié avec les Etats-Unis. Ces traités ne sont pas nouveaux mais leurs négociations ont été relancées à la suite de la crise de 2008 alors que les pays occidentaux commencent à prendre conscience que le monde a changé. En effet, l’une des conséquences de la crise de 2008, a été de mettre en évidence la montée en puissance d’un certain nombre de pays émergents qui, dans les premiers temps de la crise, continuent à croître voire même développent de nouvelles relations Sud/Sud. La volonté de concrétiser des traités de libre-échange peut alors être interpréter à cette époque comme une démarche défensive : se rapprocher pour se renforcer mutuellement face à d’autres partenaires plus offensifs et disposant d’avantages qui sont devenus inaccessibles (salaires faibles, normes moins contraignantes, etc.).

En cela, en effet, les deux traités CETA et TTIP relèvent de combats similaires et c’est aussi pour ces raisons que les négociateurs des deux côtés de l’Atlantique ont du mal à comprendre les réticences qui entourent les négociations qu’ils mènent. Ils pensent œuvrer pour protéger mais n’ont pas compris que dans la période d’après-crise, le concept même d’un libéralisme porteur de paix et de prospérité ne convainc plus, qu’il est plutôt devenu synonyme dans la perception qu’en a le grand public de spéculation et argent mal gagné pour les uns, et chômage et inégalités pour les autres.

Les points principaux du traité sont-ils similaires à ceux du TTIP, actuellement en négociation entre l’Union européenne et les Etats-Unis ? Pourquoi le TTIP suscite-t-il tant d’oppositions alors que le CETA a tranquillement été négocié ?

La philosophie générale de ces traités est ainsi de faciliter un rapprochement et d’éliminer définitivement toutes les barrières commerciales, tarifaires et non-tarifaires, qui limitent encore nos échanges, afin de compenser les désavantages dont nous souffrons dans nos relations avec les autres régions, notamment la Chine. En effet, les entreprises du Nord partagent certaines contraintes sociales et environnementales auxquelles la Chine et les pays du Sud ne sont pas confrontés. Ces normes pénalisent les entreprises.

Evidemment, les sujets à négocier sont très spécifiques puisque l’essentiel de nos échanges sont déjà peu règlementés après 70 ans de négociations commerciales au sein du GATT puis de l’OMC. Ils portent sur l’ouverture des marchés publics, les normes ou des secteurs spécifiques jusque-là protégés (agriculture et défense par exemple). Ces sujets, s’ils étaient jusque-là restés hors des négociations multilatérales, c’est aussi parce que ce sont des sujets qui fâchent ! Il était donc évident que la tâche pour lever les derniers obstacles au commerce ne serait pas simple.

La grande différence entre les deux négociations TTIP et CETA est probablement que dans le cas du CETA, les parties prenantes sont parvenues à un traité, donc ont réussi à négocier. Cela peut probablement s’expliquer au moins pour partie par la nature des parties prenantes. Le Canada n’est pas les Etats-Unis. Les négociations sur le CETA ont nourri beaucoup moins de soupçons d’asymétrie que les négociations avec le TTIP. L’on reprochait notamment aux Américains de vouloir imposer leurs lois et contraindre les Européens à ouvrir leur marché quand, eux, tiendraient le leur fermé, etc. Les négociations entre le Canada et l’Europe paraissent, en revanche, plus symétriques. De plus, les négociateurs ont probablement profité du remous et de la mobilisation des ONG et de la société civile suscités par le TTIP pour finaliser et signer le traité de libre-échange avec le Canada dans la discrétion et la quasi-indifférence, alors que les négociations sur le TTIP stagnent.

Des traités et des zones de libre-échange fleurissent partout sur la planète (CETA, TPP, ALENA). Est-ce un moyen pour progressivement aboutir sur un monde sans barrières commerciales, tel que le souhaite l’OMC ? Le risque n’est-il pas, au contraire, d’exclure durablement certains pays des échanges commerciaux ?

Le libre-échange n’a jamais soulevé une unanimité. Il modifie les rapports de force et même s’il crée des opportunités pour certains, il détruit et pénalise d’autres. Déjà en 1805, le grand économiste anglais, pourtant libéral qu’est David Ricardo s’était opposé à l’ouverture des marchés du blé au Royaume-Uni au prétexte que cela allait ruiner les paysans anglais (et par là même les aristocrates alors propriétaires terriens !). Il élaborera par la suite sa théorie des avantages comparatifs (1815) où il expliquera qu’in fine, les gains du libre-échange sont plus importants que les pertes. Les faits sont là toutefois, il y a des perdants et ces perdants sont rarement pris en compte et accompagnés, l’idée étant qu’eux aussi sauront saisir les opportunités et/ou profiteront du bénéfice global d’une manière ou d’une autre !

En 1947, le GATT formalisait le fait que les négociations sur le libre commerce devaient être multilatérales pour être équitable et la nouveauté, de ces accords est de sortir de ce cadre et d’être négociés en dehors de l’OMC. Ils résultent du constat d’un certain échec des négociations multilatérales. Mais les difficultés de l’OMC sont aussi un signe de remise en cause vis-à-vis du libre-échange et de mondialisation. Cette défiance vis-à-vis de la mondialisation a vu le jour en 1999, par le biais de la société civile et des ONG qui organisèrent, en marge de la conférence de Seattle, le premier mouvement de protestation contre l’OMC. Les manifestants revendiquaient une réflexion nouvelle sur le libre-échange et la mondialisation. Il aurait fallu accepter cette idée pour anticiper les difficultés que rencontrent le TTIP ou le CETA. Nous sommes, aujourd’hui, dans un contexte de remise en cause profonde du système économique international. Les détracteurs du libre-échange revendiquent un libre-échange au service de l’amélioration du quotidien des êtres humains et des conditions sociales et environnementales. Les traités de libre-échange négociés en petit comité peinent à répondre à ces exigences parce qu’ils manquent d’originalité et ne se sont pas adaptés au contexte. Le plus inquiétant est que cela commence à peser sur les échanges mondiaux qui ont pourtant incontestablement été sources de progrès économique et social partout dans le monde. On constate en effet, depuis deux ou trois ans, un ralentissement de leur croissance. L’on ne peut affirmer, aujourd’hui, que le commerce mondial ne soit plus à la mode, mais que la manière dont il a été conçu, au sortir de la fin de la Seconde Guerre mondiale et plus particulièrement, au début des années 1990, est remis en cause. Il faut alors le repenser. Pourquoi ni le TTIP, ni le CETA n’ont mis au cœur de leurs négociations des dimensions pourtant essentielles comme le changement climatique, le modèle social, les questions agricoles ou énergétiques, etc. ? Ces dossiers échoppent sur des points de vue trop différents entre les pays du Nord et du Sud. Ils auraient pu avancer dans le cadre de comités plus restreints comme les négociations de ces traités !

Sondage : ce que les Français savent, et ne savent pas, des primaires

Fondapol / Général - Thu, 20/10/2016 - 11:01

Le Figaro, le 20 octobre 2016 POLITIQUE Sondage : ce que les Français savent, et ne savent pas, des primaires Une étude de la Fondapol révèle les motivations des électeurs aux primaires de la droite et de la gauche Par François-Xavier BOURMAUD   PRESIDENTIELLE La droite découvre les délices de la primaire, la gauche peine […]

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« Mon message, c’est L’OPTIMISME raisonnable »

Fondapol / Général - Thu, 20/10/2016 - 10:57

Le Parisien, le 20 octobre 2016 ENTRETIEN RÉALISÉ PAR : JANNICK ALIMI, ERWAN BENEZET, LOUISE COLCOMBET, VALÉRIE VHACOT, AYMERIC RENDU ET HENRI VERNET AVEC DOMINIQUE REYNIÉ ET ERWAN LE NOAN DE LA FONDATION POUR L’INNOVATION POLITIQUE   « Mon message, c’est L’OPTIMISME raisonnable »   PRÉSIDENTIELLE : Nathalie Kosciusko-Morizet est la troisième invitée de notre série sur la […]

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Demandez le programme ! Nathalie Kosciusko-Morizet

Fondapol / Général - Thu, 20/10/2016 - 10:49

La Fondation pour l’Innovation politique organise en partenariat avec le Parisien une série d’entretiens avec les candidats à la primaire de la droite et du centre. Découvrez sur notre site, les extraits clés de notre entretien avec Nathalie Kosciusko-Morizet ainsi que les photos prises tout au long de cet échange. Retrouvez le programme de Nathalie […]

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Una España deportiva, más diversa y sin toreros: análisis de los recientes anuncios de promoción turística

Real Instituto Elcano - Thu, 20/10/2016 - 08:12
ARI 76/2016 - 21/10/2016
Pablo Francescutti
Los anuncios muestran, más que la superación del modelo de “sol y playa”, su enriquecimiento con una oferta de escenarios naturales y urbanos y el reclamo de un estilo de vida definido por el deporte, la gastronomía y la sociabilidad.

Das neue Weißbuch – Impulsgeber sicherheitspolitischer Verständigung?

SWP - Thu, 20/10/2016 - 00:00

Sicherheitspolitische Weißbücher erfüllen mehrere Funktionen: Sie informieren den Bundestag und die deutsche Öffentlichkeit, orientieren andere Länder, vor allem Deutschlands wichtigste Partner, über sicherheitspolitische Prioritäten der Bundesregierung und dienen der Kommunikation innerhalb der Bundeswehr. Das Weißbuch 2016, erstes seiner Art seit 2006, steht in dieser Tradition. Die Verfasser suchen Stand und Weg deutscher Sicherheitspolitik neu zu beschreiben, nach Ereignissen und Entwicklungen wie der globalen Finanzkrise, Euro-Turbulenzen, der Aussetzung der Wehrpflicht in Deutschland, den Umbrüchen im Nahen und Mittleren Osten sowie der russischen Annexion der Krim. Öffentlichkeit und Bündnispartner in Nato und EU erfahren recht präzise, was die Bundesregierung sicherheitspolitisch beabsichtigt. Die Konturen der Bundeswehr selbst und ihrer Zukunft bleiben hingegen blass. Der sogenannte Weißbuch-Prozess war auf die Erwartung gegründet, in umfassenden öffentlichen und offenen Diskussionen alle Dimensionen der Verteidigungspolitik zur Sprache bringen zu können. Bei der Fortführung dieses Prozesses kommt es nun darauf an, sicherheitspolitische Erfolge zu bilanzieren, Defizite zu erkennen, Handlungsabsichten zu konkretisieren sowie Vorschläge zu notwendigen Folgearbeiten zu machen.

Heimat bilden in Thüringen

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 20/10/2016 - 00:00
Bereits zu Beginn des Jahres 2015 rief das Bildungsforum Erfurt der Konrad-Adenauer-Stiftung das Projekt „Heimat bilden in Thüringen“ ins Leben. Durch Veranstaltungen sollte den Bürgerinnen und Bürgern in thüringischen Städten und Gemeinden eine Plattform geboten werden, die ein Augenmerk auf eine positive Willkommenskultur und gute Integrationsstrukturen legt sowie einen Austausch von Informationen und Meinungen ermöglicht. Nachdem das Projekt ursprünglich unter dem Namen „Zuwanderung – Gewinn für Kultur und wirtschaftliche Dynamik“ geplant war, galt es mit der Zunahme der Flüchtlinge ab dem Sommer 2015 verstärkt auch auf die aktuellen Notwendigkeiten und die Sorgen und Nöte der Menschen einzugehen. Die vorliegende Publikation fasst die Ergebnisse des Projektes zusammen. Sie sollen zu einer Versachlichung der Diskussionen beitragen, Vorurteile abbauen und Impulse für eine gemeinsame Gestaltung der Zukunft vermitteln.

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