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Diplomacy & Defense Think Tank News

Konkurrenz für den ANC

SWP - Mon, 15/05/2017 - 00:00

Im Dezember 2017 wählt die südafrikanische Regierungspartei African National Con­gress (ANC) einen neuen Vorsitz. Diese Person soll auch für das Amt des Präsidenten Anfang 2019 kandidieren, wenn Präsident Jacob Zuma die von der Verfassung zugelas­senen maximal zwei aufeinanderfolgenden Amtszeiten erreicht hat. Derzeit ist unklar, ob er diese beenden kann. Seit der Entlassung des Finanzministers Pravin Gordhan hat der Widerstand gegen Zuma einen neuen Höhepunkt erreicht. Ein breites Bündnis von zivilgesellschaftlichen Gruppen, Gewerkschaften und Parteivertretern, teilweise sogar aus seiner eigenen Partei, fordert seinen Rücktritt. Zwar richten sich die Proteste direkt gegen Zuma, doch liegen die Ur­sachen der Unzufriedenheit tiefer. Dem ANC ist es nicht gelungen, die sozialen Heraus­forderungen im Land erfolgreich anzugehen. Korruption und Misswirtschaft haben das Vertrauen zusätzlich erschüttert. Lange Zeit galt es unter der schwarzen Bevölkerung als alternativlos, für die ehemalige Befrei­ungsbewegung zu stimmen. In den letzten vier Jahren ist dem ANC mit den Eco­nomic Freedom Fighters (EFF) aber eine ernst­zunehmende Konkurrenz erwachsen. Mit dem Bedeutungsverlust des ANC wandelt sich das südafrikanische Parteiensystem.

Moon Jae-in neuer Präsident Südkoreas: Politik der eisernen Faust und der ausgestreckten Hand

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 15/05/2017 - 00:00
Südkoreas Präsident wird sich von seinen Vorgängern unterscheiden, sagt Stefan Samse im Interview. Er sieht Raum für die Diplomatie mit Nordkorea.

Landtagswahl in Nordrhein-Westfalen am 14. Mai 2017

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 15/05/2017 - 00:00
Seit 1966 war die SPD nur von 2005 bis 2010 nicht an der Landesregierung beteiligt. Damit hat die CDU die historische Dominanz der SPD ein zweites Mal in der jüngeren Geschichte gebrochen und kann den Ministerpräsidenten stellen. Falls – was nach dem vorläufigen amtlichen Endergebnis möglich ist – eine Koalition von CDU und FDP zustande käme, wäre das eine Besonderheit, da keine Partei vorher an der Regierung beteiligt war. Dies ist in der Bundesrepublik eine Seltenheit. Die Analyse...

Landtagswahl in Schleswig-Holstein am 7. Mai 2017

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 15/05/2017 - 00:00
Der CDU ist in Schleswig-Holstein die Meisterprüfung der Opposition gelungen. Die amtierende Regierung aus SPD, Grünen und dem SSW hat keine Mehrheit mehr, sodass es zu einem Regierungswechsel kommen muss. Die Analyse...

False Dawn: Protest, Democracy, and Violence in the New Middle East

European Peace Institute / News - Fri, 12/05/2017 - 22:49

On May 17th, IPI is hosting a Distinguished Author Series event featuring Steven A. Cook, author of False Dawn: Protest, Democracy, and Violence in the New Middle East. The conversation will be moderated by IPI Senior Adviser for External Relations, Warren Hoge.

Remarks will begin at 6:20pm EST.

Half a decade after Arabs across the Middle East poured into streets to demand dignity, representative government and economic empowerment, hopes for democratic change have evanesced. Despite appearances, there were no true revolutions in the Middle East five years ago; none of the affected societies underwent social revolution, and the old structures of power were never eliminated.

Egypt remains a repressive state, Syria and Yemen are in the midst of devastating civil wars, Libya has descended into anarchy, Turkey has abandoned an earlier shift toward openness and now more closely resembles an autocracy, and even supposed successes like Tunisia face significant barriers to progress because of the continued strength of old regime players. And the self-declared Islamic State, though embattled, still rules a large swath of territory.

After taking stock of how and why the Arab Spring uprisings failed to produce lasting change, Cook, a noted analyst of the Middle East, considers the diminished role of the US there and reasons that the Trump Administration and Western policy makers may have to adjust to thinking small and waiting for the world to turn again.

IPI’s Distinguished Author Series brings critically acclaimed writers to IPI to present on international issues and to engage in a lively discussion with experts from the permanent missions to the UN and other members of the foreign affairs community in New York.

Le président Macron et l’Amérique latine : en marche vers l’inconnu

IRIS - Fri, 12/05/2017 - 17:55

L’élection d’Emmanuel Macron, président de la République française, a été suivie avec voyeurisme, nostalgie et sympathie en Amérique latine.

D’abord parce qu’il s’agit de la France. La France n’ayant pas colonisé l’Amérique latine, elle bénéficie d’un traditionnel a priori favorable. L’esprit des  « Lumières » a été revendiqué pour construire les indépendances. Ses peintres et écrivains, ainsi que certains de ses chefs d’État ont laissé une empreinte durable. L’art de vivre à la française, vu d’Amérique latine, est pavé au long des Champs Elysées, de haute couture, parfums, vins et alcools capiteux.

Ensuite, la jeunesse d’Emmanuel Macron – et de son couple -, insolites, ont capté la curiosité. Mais de ce point de vue, « EM » est bien en tout point français, héros d’une telenovela sur fond de tour Eiffel. D’un quotidien à l’autre, les chapitres de cette histoire imaginaire ont confirmé sa place d’acteur conjoncturel et central de la saga française. Le quotidien argentin Clarin, tout comme La Tercera au Chili et bien d’autres, ont consacré de longs articles à Brigitte Macron, le plus souvent qualifiée de « future Michelle Obama de France ». En cela, avec elle le président est comme tout français qui se respecte : romantique. Sa victoire – elle aussi inattendue et surprenante, sans organisation partisane et très souvent signalée -, a été perçue comme une marque supplémentaire de la différence française.

Les messages de félicitation envoyés par ses pairs latino-américains – il est vrai de rigueur en ces circonstances, ainsi que celle de l’élection du responsable de l’une des cinq nations disposant d’un siège permanent au Conseil de sécurité -, ont été immédiats. Du Mexique à l’Argentine, en passant par le Venezuela, les gouvernants en place ont envoyés leurs meilleurs vœux. Les uns saluent « son triomphe électoral », comme l’argentin Mauricio Macri et le colombien Juan Manuel Santos. D’autres, du Chili, d’Equateur et du Guatemala insistent sur le « civisme démocratique » des électeurs. Tout au plus pourra-t-on remarquer les quelques messages, lancés à toutes fins utiles, en direction du président-Godot, si longtemps attendu depuis de Gaulle et Mitterrand. Espérant donc comme les chefs d’État colombien, équatorien et vénézuélien « un renforcement de la coopération pour la paix, l’éducation et le commerce » avec la France.

À leur décharge, le vainqueur de la présidentielle n’a pratiquement pas évoqué dans ses débats électoraux ses propositions sur l’Amérique latine ; pas plus d’ailleurs que ses nombreux concurrents. C’est à peine s’il a glissé une allusion ciblant ironiquement la proposition d’adhésion de la France à l’Alliance bolivarienne des Amériques faite par son adversaire de gauche, Jean-Luc Mélenchon. Celui-ci a rectifié oralement en précisant que cette proposition en fait ne concernait que les départements français des Amériques. Les choses en sont restées là. Emmanuel Macron aurait pu s’étonner du correctif. Les DFA depuis bien longtemps coopèrent avec le Venezuela au sein de l’Association des Etats de la Caraïbe (AEC). Il est vrai que la Guyane, évoquée pour son actualité sociale, a été « insularisée » de façon inopportune par le candidat Macron. Mais les Français ne sont-ils pas connus pour leur dédain des contingences géographiques ?

Les praticiens de l’exégèse thérapeutique ont bien tenté d’extrapoler afin de remplir la case Amérique latine du président élu. La BBC en espagnol a relevé le défi, dès avant le deuxième tour, en demandant « quel est le président qui conviendrait le mieux à l’Amérique latine ? ». Réponse : Emmanuel Macron, qui va poursuivre la diplomatie économique de François Hollande. Pourquoi pas ? A condition d’avaliser un certain nombre de préalables non démontrés. Celui d’une continuité avec la politique du chef de l’Etat sortant. Continuité fondée sur la participation du président élu au gouvernement du président sortant. Continuité effectivement explicite en matière économique et européenne et donc étendue par hypothèse au domaine des relations extérieures.

Les prises de position ont en effet été rares. Propos libre-échangistes de circonstance, plaidant pour la concrétisation d’un accord Mercosur-UE tenus par « EM », ministre de l’économie à l’occasion d’un colloque sur l’Amérique latine organisé à Bercy avec la BID et l’OCDE. Et dans son programme de politique étrangère, une brève inclusion latino-américaine, placée effectivement dans le droit fil du quinquennat de François Hollande : « Nous sommes encore trop peu présents en Asie, en Russie et en Amérique latine, bien que le gouvernement actuel ait fait des efforts importants dans cette dernière région ».

Quelques indices supplémentaires, relevant pourquoi pas de la kremlinologie, viennent compléter ce tableau plus impressionniste qu’hyperréaliste. Emmanuel Macron écoute la Marseillaise la main sur le cœur, comme le font les présidents des États-Unis. Il perpétue et valide ainsi une attitude civique introduite par Nicolas Sarkozy, le président qui a rompu avec l’établissement diplomatique gaullo-mitterandien. Il affiche en toutes circonstances, suivant le même modèle atlantique, son épouse Brigitte Macron. Confirmerait-il là une autre rupture, celle de la vérité qui serait désormais la même en deçà et au-delà de l’Atlantique ?

Wirtschaft, Bildung und Kultur: Gute Nachbarschaft zwischen Bayern und Tschechien

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 12/05/2017 - 14:31
Im Landkreis Cham an der bayerisch-tschechischen Grenze brummt die Wirtschaft. Tausende Pendler nutzen täglich die offenen Grenzen im Binnenmarkt, Bildung wird grenzübergreifend vermittelt und gemeinsame Kulturprojekte zeigen, was die Nachbarn historisch verbindet. Bei einem Besuch in Brüssel waren sich bayerische und tschechische Politiker einig: Unsere Zukunft liegt in einem geeinten Europa.

Transatlantischer Dialog: Deutschland und die Zukunft der europäisch-amerikanischen Beziehungen

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 12/05/2017 - 00:00
Bei einem Forum in Erfurt diskutierten Experten über die Bedeutung der US-Präsidentschaft und die sicherheits- und handelspolitische Zukunft.

Republica : Alles Liebe, oder was?

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 12/05/2017 - 00:00
Europas größte Internet-Konferenz re:publica fand unter dem Motto „Love out loud“ statt. Die Stiftung präsentierte sich zum vierten Mal mit einem Stand.

« Il faut un ‘Plan Macron’ pour l’Europe »

IRIS - Thu, 11/05/2017 - 16:39

À présent élu président, quelle orientation Emmanuel Macron voudra-t-il donner à l’Union européenne (UE) ?

La belle histoire voulait que la France – éternel pays des Lumières – montre la voie à l’Europe et fasse barrage à une révolution populiste dont les dominos étaient tombés successivement outre-Atlantique et outre-Manche. On s’était réveillé avec la gueule de bois après cette année 2016 mais cette série s’arrêterait aux frontières de l’hexagone, comme le fit jadis le nuage de Tchernobyl.

La mobilisation des électeurs français a été forte et la France a élu un président de 39 ans europhile, optimiste et énergique. Pour l’image du pays en Europe et à l’international, son élection est positive. Cela signifie-t-il pour autant le reflux de la vague populiste ? L’élection de M. Macron incarne-t-elle la France des Lumières, phare de l’Europe ? Le Front national est à un niveau historique et il serait erroné de croire que l’élection de M. Macron fera taire les colères, les insatisfactions, voire les haines suscitées par les dégâts d’une mondialisation que l’on disait heureuse. Les passer sous silence reviendrait à s’exposer à un retour de bâton sérieux en 2022. Donald Trump a bien succédé à Barack Obama.

Concernant l’Europe, Emmanuel Macron dispose d’un capital politique qu’il serait peu judicieux de ne pas utiliser. C’est assez rare pour le souligner mais sa campagne ne s’est pas uniquement focalisée sur le plan intérieur. Il a donné maintes interviews aux médias étrangers et européens en particulier. Il est allé en Allemagne pour exprimer sa solidarité face aux attentats. Cette dimension européenne a ressurgi lors de son discours de dimanche dernier, lorsqu’il est entré sur l’hymne européen. Ce geste a été apprécié à l’étranger et associe ainsi l’UE à la jeunesse et au renouveau, alors que les gazettes de ces dernières années ont offert l’image d’une Europe désunie, en proie aux crises économiques ou migratoires.

Enfin, il a pu lier cet aspect européen au récit national français dans le décor du Louvre. Cela illustre la double dimension du projet d’Emmanuel Macron : rejeter le nationalisme car la France n’est grande que lorsqu’elle est européenne, tandis que l’UE n’est grande que lorsqu’elle est entraînée par Paris. Nul doute que les intérêts économiques divergents de l’Allemagne ressurgiront à la première occasion mais le nouveau président français s’est au moins assuré un réservoir de bonnes volontés. Il semble de ce point de vue avoir la capacité à mettre en œuvre une stratégie et à penser au coup d’après.

Emmanuel Macron est également en faveur d’une Europe de la défense. Concrètement, comment compte-t-il développer ce projet?

Du point de vue de la défense, Emmanuel Macron s’inscrit dans la continuité de François Hollande. Le nouveau président est favorable au renouvellement des deux composantes de la dissuasion nucléaire française : la composante maritime (SNLE NG et M-51) et la composante aéroportée. Cette décision est tout à fait engageante du point de vue budgétaire et structurante pour la politique de défense française, même si peu de gens en ont pris la mesure. M. Macron a ainsi annoncé qu’il souhaitait atteindre les 2% de PIB en dépenses de défense d’ici 2025.

Sur les questions d’Europe de la défense, le projet du nouveau président français s’inscrit là aussi dans la continuité de celui de François Hollande, qui était plutôt réussi sur le plan extérieur. La différence avec le quinquennat précédent réside toutefois dans la rupture stratégique que constitue l’administration Trump. Elle ouvre une fenêtre d’opportunité pour que l’Europe réalise enfin qu’elle ne peut pas dépendre indéfiniment de la garantie américaine. Il faudrait donc que l’UE prenne ses responsabilités pour assurer sa sécurité et ses intérêts, au moins dans un environnement proche.

Comment faire pour essayer de profiter de cette fenêtre d’opportunité ? En réalité, toute la boîte à outils nécessaire est déjà présente dans les traités européens. De plus, lors du quinquennat Hollande, Bruxelles s’est doté d’outils supplémentaires. Par exemple, la Commission européenne a franchi un Rubicon en s’investissant sur les questions de recherche en défense. De même, la création d’une structure européenne de commandement des opérations extérieures de l’UE constitue une avancée, alors que les Britanniques ont longtemps été opposés à ce projet. La Haute-représentante de l’UE a aussi couché sur papier une stratégie globale en matière de politique étrangère et de sécurité européenne, ce qui permet de formuler une philosophie commune. À présent, il faut actionner la machine politique, au moins parmi les grands pays européens, et c’est là où le capital politique de Macron peut être utile.

Pour ce faire, il faudrait proposer un plan Macron – qui pourrait facilement devenir un plan Macron-Merkel ou Macron-Schultz. Ce plan devrait être enclenché après les élections allemandes fin septembre : Emmanuel Macron pousserait pour tenir un conseil de défense franco-allemand avec le nouveau leader allemand et les ministres concernés. Cette réunion bilatérale aurait vocation à s’élargir, en préparant un conseil européen pour décembre 2017 afin de se concentrer sur la volonté politique. Cela serait suivi au printemps par une réunion des ministres de la Défense coordonnée par l’Agence européenne de défense (AED), afin de mettre en application cette volonté politique de haut niveau. Enfin, ces ministres devraient rendre compte aux chefs d’États et de gouvernement en juin 2018 de l’avancement sur les questions de défense.

In fine, cela permettrait de voir si la fenêtre d’opportunité ouverte par le président américain a été comblée par l’Europe. Si ce n’était pas le cas, cela signifierait que l’UE n’a pas réussi à prendre en compte les changements stratégiques incarnés par le Brexit et l’élection de Donald Trump. Alors, il est possible que les peuples européens se disent que l’UE a abandonné une fois pour toute l’idée de s’adapter, ce qui distendra son lien avec les citoyens de manière presque définitive.

Du point de vue du contenu, ce projet devrait toucher et lier différents aspects : capacitaire, opérationnel, financier et politique. Il faut discuter de projets phares qui permettraient de faire comprendre aux Européens que l’UE se démène pour progresser. On pourrait imaginer une réflexion sur un futur système aérien européen qui mutualiserait les capacités existantes en matière d’avions de chasse, de drones, de ravitaillement en vol et de transports stratégiques. Cela impliquerait une spécialisation des tâches entre pays européens, l’Allemagne s’occupant du bas du spectre et la France du haut. Pour ce type de projet, on peut utiliser les mécanismes à disposition, telle qu’une coopération renforcée. Il faut privilégier l’efficacité à la dimension institutionnelle ; autrement dit, la priorité est que les choses avancent, pas que l’on parle indéfiniment de l’inclusivité. À moyen terme, il faut enfin constituer une plateforme pour partager les moyens militaires, voire les développer en commun. Car si pour son futur système de combat aérien, les Européens finissent par choisir le F35 américain, cela porterait un coup significatif à l’industrie de défense européenne.

Quelle est la position de M. Macron vis-à-vis de l’OTAN ?

Là encore, Emmanuel Macron s’inscrit dans la continuité de François Hollande. Le nouveau président ne sortira pas du commandement militaire intégré de l’OTAN. Lors du sommet de l’organisation le 25 mai, où sera forcément de nouveau abordée la question du 2%, Macron devrait tenter de construire une narration proprement européenne sur ce sujet. Actuellement, l’UE subit une vision des 2% qui ne correspond ni à ses intérêts, ni à ses objectifs, ni à sa vision. L’Europe étant une puissance économique et commerciale qui a des intérêts et objectifs propres, elle devrait être capable de formuler des objectifs de politique étrangère en adéquation avec ses objectifs politico-commerciaux, qui ne sont pas forcément les mêmes que les États-Unis. Or, quand l’OTAN parle de 2%, c’est devenu un 2% américain.

Autrement dit, on devrait s’inscrire dans un 2% européen qui envisagerait la sécurité et la défense au-delà de la simple force militaire. Pour résoudre les crises, la force militaire est certes déterminante mais pas suffisante car il faut aussi des leviers diplomatiques, politiques, économiques, etc. Si l’UE y réfléchissait, elle se rendrait compte qu’un 2% européen n’est probablement pas un 2% pur. Ce serait un autre critère, qui devrait être à cheval sur les dimensions de sécurité et de défense. Surtout, ce devrait être un critère intelligent. Aujourd’hui, le 2% est un critère d’input, c’est-à-dire se rapportant à l’argent investi mais non pas aux effets retirés. L’OTAN n’a jamais réussi à construire un critère de l’output, à savoir un critère s’interrogeant sur l’effet recherché, sa mesure et son objectif. Le rôle de l’UE pourrait donc être de développer une méthodologie propre de l’input et de l’output.

La propagande de Daech : quelle stratégie de communication ?

IRIS - Thu, 11/05/2017 - 16:19

François-Bernard Huyghe est directeur de recherche à l’IRIS. Il répond à nos questions à propos de son ouvrage « Daech : la stratégie de communication dévoilée », paru aux éditions VA Presse.– Quelle est la rhétorique de fond et de forme employée par la propagande de Daech ?
– Vous évoquez une “culpabilité française”. Que reproche Daech à la France ?
– Pourquoi les campagnes de contre-propagande occidentales sont-elles peu efficaces ? Que préconisez-vous ?

Wir brauchen die USA: "America first" und die Entwicklungszusammenarbeit

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 11/05/2017 - 15:02
Die transatlantische Partnerschaft und die internationalen Herausforderungen des Westens fest im Blick hatte Staatssekretär Thomas Silberhorn bei seinen Gesprächen in Washington. Er verdeutlichte die Rolle Deutschlands in der Entwicklungszusammenarbeit und appellierte an die USA, ihrer internationalen Verantwortung und Führungsrolle gerecht zu werden.

Le printemps des économies émergentes ?

Fondapol / Général - Thu, 11/05/2017 - 13:28

APRÈS TROIS ANNÉES DIFFICILES, les économies émergentes semblent retrouver le chemin d’une croissance soutenue. Les dernières prévisions du FMI au niveau mondial – 3,5% pour 2017, contre 3,1% en 2016 – démontrent que l’économie se trouve sur un nouveau cycle de croissance. Le FMI souligne ainsi que la hausse du volume des échanges commerciaux internationaux […]

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¿Alguien dijo política industrial?

Real Instituto Elcano - Thu, 11/05/2017 - 13:08
ARI 39/2017 - 11/5/2017
Eduardo Fernandez-Arias, José Juan Ruiz y Ernesto Stein

El marco conceptual con el que el Banco Interamericano de Desarrollo (BID) se acerca a la nueva generación de Políticas de Desarrollo Productivo (PDP) en Latinoamérica apunta a la mejor combinación entre las capacidades institucionales y las intervenciones posibles.

Der Himmel muss wieder blau sein: Vietnamesische Nationalversammlung berät über Luftverschmutzung

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 11/05/2017 - 11:28
Luftverschmutzung ist mehr und mehr ein Problem für die boomenden Metropolen Vietnams. Vietnam wird von der Weltgesundheitsorganisation (WHO) als eines der Länder mit der höchsten Luftverschmutzung bezeichnet.

El comercio electrónico entre España y China: tendencias e implicaciones

Real Instituto Elcano - Thu, 11/05/2017 - 07:27
Comentario Elcano 22/2017 - 11/5/2017
Mario Esteban

China será líder en comercio online transfronterizo. Europa debe afrontar la falta de reprocidad en facilidad de negocio y protección al consumidor teniendo en cuenta el papel proactivo de las grandes empresas chinas.

Frankreich »in Bewegung«

SWP - Thu, 11/05/2017 - 00:00

Der neue französische Präsident, Emmanuel Macron, steht vor enormen Herausforde­rungen: Er muss ein gespaltenes Land einen, eine stagnierende Wirtschaft auf Kurs bringen und eine Mehrheit finden, die ihn dabei unterstützt, seine Reformagenda um­zusetzen. Er ist zum Erfolg verdammt. Scheitert er, wie François Hollande und Nicolas Sarkozy zuvor, wird Marine Le Pen 2022 in den Élysée-Palast einziehen. Zum Erfolg Macrons muss auch Deutschland einen Beitrag leisten – insbesondere in der Wirt­schaftspolitik und bei der Weiterentwicklung des Euro-Währungsgebiets.

Trumps Handelspolitik hat erste internationale Konsequenzen

SWP - Thu, 11/05/2017 - 00:00

Im Wahlkampf und in den ersten 100 Tagen seiner Regierung bediente sich Donald Trump einer harten handelspolitischen Rhetorik. Freihandelsabkommen wurden als Ursache für wirtschaftspolitische Miseren dargestellt, vor allem für Arbeitslosigkeit. Ins Visier gerieten vorwiegend Länder, die Exportüberschüsse gegenüber den USA er­wirtschaften, wie Mexiko, Deutschland oder China. Weltweit wuchs deshalb die Furcht vor Handelskriegen und einem Ende der multilateralen Welthandelsordnung. Besonders verunsichert sind lateinamerikanische Länder, deren Außenhandel stark auf die USA ausgerichtet ist. Inzwischen zeichnet sich jedoch ab, dass die US-Handelspolitik pragmatischer werden wird. Zugleich sind auf der ganzen Welt Bestrebungen zu er­ken­nen, sich von den USA handelspolitisch unabhängiger zu machen.

Wirtschaftswachstum für Afrika: „Lösungen, die man auch umsetzen kann“

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 11/05/2017 - 00:00
Bis 2050 soll sich Afrikas Bevölkerung verdoppeln. Deswegen muss die Wirtschaft des Kontinents kräftig wachsen. Ein neues Handbuch bietet realistische Ansätze.

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