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Le SUV I-Pace, première voiture 100% électrique de Jaguar, est élu « Voiture de l’Année’ en Allemagne devant 58 concurrents par un panel de 14 journalistes.

La marque britannique a remporté, pour son premier véhicule 100% électrique, le plus grand nombre de points attribués par un panel de 14 journalistes spécialisés qui ont conduit 59 voitures lors de tests comparatifs. Ils ont apprécié la façon dont la I-PACE a su conjuguer dynamisme, performance et style.

Le véhicule électrique britannique est arrivé en haut d’une liste de présélection de cinq voitures. Le jury a évalué le design, les performances, le confort, la tenue de route, la viabilité et la pertinence de chaque modèle sur route et sur le circuit de Bilster Berg.

La I-PACE a également été présélectionnée, avec le SUV compact E-PACE, pour le ‘Prix de la Voiture mondiale de l’année des femmes’. Le vainqueur sera annoncé le 12 novembre.

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Journalists around the world face threats and attacks, often instigated by government officials, organised crime, or terrorist groups said U.N. Special Rapporteurs David Kaye, Agnes Callamard, and Bernard Duhaime, expressing concern over the plight that journalists are increasingly facing. Credit: Miriam Gathigah/IPS

By Tharanga Yakupitiyage
UNITED NATIONS, Nov 4 2018 (IPS)

Violence and toxic rhetoric against journalists must stop, say United Nations experts.

Marking the International Day to End Impunity for Crimes Against Journalists, U.N. Special Rapporteurs David Kaye, Agnes Callamard, and Bernard Duhaime expressed concern over the plight that journalists are increasingly facing.

“Journalists around the world face threats and attacks, often instigated by government officials, organised crime, or terrorist groups,” their joint statement said.

“These last weeks have demonstrated once again the toxic nature and outsized reach of political incitement against journalists, and we demand that it stop,” they added.

While Saudi journalist Jamal Khashoggi’s brutal death and the subsequent lack of accountability has dominated headlines, such cases are sadly a common occurrence.

According to the U.N. Educational, Scientific, and Cultural Organization (UNESCO), 1010 journalists have been killed in the last 12 years.

Nine out of ten such cases remain unsolved.

Latin America and the Caribbean has among the highest rates of journalists killed and impunity in those cases.

Between 2006-2017, only 18 percent of cases of murdered journalists were reported as resolved in the region.

In the Committee to Protect Journalists’ (CPJ) annual impunity index, Brazil, Mexico, and Colombia make the top 14 countries in the world with the worst records of prosecuting perpetrators.

Out of the 14 journalists murdered in Mexico in 2017, there have been arrests in just two cases.

In an effort to raise awareness of crimes against journalists, UNESCO has launched the #TruthNeverDies campaign, publicising the stories of journalists who were killed for their work.

“It is our responsibility to ensure that crimes against journalists do not go unpunished,” said UNESCO’s Director-General Audrey Azoulay said.

“We must see to it that journalists can work in safe conditions which allow a free and pluralistic press to flourish. Only in such an environment will we be able to create societies which are just, peaceful and truly forward-looking,” she added.

Among the journalists spotlighted in the campaign is Paul Rivas, an Ecuadorian photographer who travelled to Colombia with his team to investigate drug-related border violence. They were reportedly abducted and killed by a drug trafficking group in April, and still little is known about what happened.

Similarly, Mexican journalist Miroslava Breach Valducea was shot eight times outside her home, and gunmen left a note saying: “For being a loud-mouth.” She reported on organised crime, drug-trafficking and corruption for a national newspaper.

U.N. experts Kaye, Callamard and Duhaime urged states to conduct impartial, prompt and thorough investigations, including international investigation when necessary.

“Staes have not responded adequately to these crimes against journalists…impunity for crimes against journalists triggers further violence and attacks,” they said.

They also highlighted the role that political leaders themselves play in inciting violence, framing reporters as “enemies of the people” or “terrorists.”

Recently, over 200 journalists denounced President Donald Trump’s attacks on the media in an open letter, accusing him of condoning and inciting violence against the press.

“Trump’s condoning of political violence is part of a sustained pattern of attack on a free press — which includes labelling any reportage he doesn’t like as ‘fake news’ and barring reporters and news organisations whom he wishes to punish from press briefings and events,” the letter stated.

The letter came amid Trump’s comments during a rally which seemingly praised politician Greg Gianforte who assaulted Guardian reporter Ben Jacobs in May 2017.

“Any guy who can do a body slam, he’s my kind of—he’s my guy,” he told supporters.

Similar rhetoric is now being used around the world, including in Southeast Asian countries where the “fake news” catchphrase is being used to hide or justify violence.

For instance, when speaking to the Human Rights Council, Philippine senator Alan Peter Cayetano denied the scale of extrajudicial killings in the country and claimed that any contrary reports are “alternative facts.”

“We call on all leaders worldwide to end their role in the incitement of hatred and violence against the media,” the rapporteurs’ joint statement concluded.

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Le secrétaire général du Conseil international du sport militaire (CISM), le colonel guinéen Dorah Mamby Koita, a affirmé dimanche à Alger que l’Algérie jouait « un rôle important » dans le développement du sport militaire, en marge du 5e Championnat d’Afrique militaire de boxe (4-8 novembre) dont le coup d’envoi sera donné dans l’après-midi.

« C’est la troisième fois que je visite l’Algérie après 2001 et 2008. Il faut que vous sachiez que l’Algérie joue un rôle important dans le développement du sport militaire, en témoignent ses participations aux différentes manifestations où elle décroche souvent de bons résultats », a-t-il indiqué lors d’un point de presse organisé au Centre de regroupement et de préparation des équipes sportives militaires de Ben-Aknoun (CREPESM).

De son côté, le général Omar Griche, Chef du service des sports militaires relevant du département Emploi et Préparation de l’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a indiqué que l’organisation de cette manifestation par l’Algérie « a été recommandée par l’Organisation du sport militaire en Afrique (OSMA). L’état-major de l’ANP a donné son accord pour organiser cet événement, tout en mobilisant les moyens humains et matériels nécessaires pour la réussite de ce rendez-vous ».

Avant d’enchaîner : « Cette compétition verra la présence d’une centaine de boxeurs relevant des différentes forces armées de 14 pays. Cette manifestation coïncide avec la célébration chez nous du 64e anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale ».

Quant au secrétaire général de l’OSMA, le colonel Pierre Djendo La, il s’est montré satisfait des conditions d’organisation : « Je remercie les autorités algériennes d’avoir accepté d’organiser cet important Championnat d’Afrique. Tous les moyens sont mobilisés pour réussir cet événement qui représente une occasion de consolider les liens de fraternité entre les pays africains ».

Outre l’Algérie (pays organisateur), ce Championnat d’Afrique militaire de boxe verra la participation de 13 autres nations : Burkina Faso, Tanzanie, Tunisie, Maroc, Zambie, Côte d’Ivoire, Congo, RD Congo, Kenya, Mali, Cameroun, Sénégal et Guinée.

La cérémonie d’ouverture est prévue dimanche après-midi avant de laisser place au début de la phase qualificative dans les catégories -56 kg, -60 kg, -69 kg, -75 kg, -81 kg et -91 kg.

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Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, a annoncé dimanche à Oran, qu’un investissement de l’ordre de 48 milliards DA a été consacré à la réalisation de nouvelles infrastructures sportives et la réhabilitation d’autres dans le cadre des préparatifs des Jeux Méditerranéens qu’abritera la capitale de l’ouest du pays en 2021.

Dans une déclaration à la presse, en marge de sa visite d’inspection et de travail dans la wilaya d’Oran, le ministre a également indiqué que « le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a dégagé une enveloppe de 4 milliards DA destinée à la préparation des sportifs devant représenter le pays à ces joutes sportives ».

« Les différentes fédérations sportives sont appelées, d’ores et déjà, à désigner leurs athlètes pour se préparer à cette nouvelle édition des Jeux Méditerranéens », a-t-il précisé, estimant que « les efforts consentis par l’Etat pour garantir tous les moyens de réussite de ces jeux doivent être accompagnés d’une présence sur le podium d’un athlète algérien dans chaque discipline ».

Après avoir inspecté les projets du stade et du village olympiques, ainsi que les chantiers de réhabilitation du palais des sports « Hamou Boutlelis », le champ de tir et le centre équestre « Antar Ibnou cheddad » d’Es-Senia, Mohamed Hattab s’est montré satisfait de l’avancée des travaux.

« Nous sommes à l’avance dans la réalisation des différents projets. Nous pouvons même organiser cette édition dès l’année 2019 » (Hattab)

Par ailleurs, le ministre a annoncé que le stade olympique de 40.000 place sera réceptionné au premier trimestre de l’année 2019 alors que les autres composantes du complexe olympique « doivent être prêtes en décembre de la même année, au lieu de l’année 2020, délai prévu initialement ».

Le complexe sportif comprend le stade olympique de 40.000 places, le stade d’athlétisme de 4.200 places, la salle omnisports pouvant accueillir jusqu’à 7.200 spectateurs et le centre nautique, rappelle-t-on.

Le ministre installera, au cours de cette visite, Mohamed El Moro dans ses fonctions de directeur général des JM 2021.

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Algérie Patriotique – Visiblement préoccupé par le réchauffement des relations entre l’Algérie et la Mauritanie, après une période de...

Mohamed El Morro, ex-président de l’ASM Oran (Ligue 2, Algérie), a été installé dimanche à Oran comme directeur général de la 19e édition des jeux méditerranéens (JM) que va organiser cette ville en 2021.

La cérémonie d’installation a été présidée par le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, qui a justifié le choix porté sur El Morro, par la « grande expérience que recèle El Morro dans le domaine sportif et associatif », ajoutant qu’il a « toutes les compétences pour bien accomplir son rôle, lui, qui maitrise aussi plusieurs langues étrangères.

Le ministre a estimé, en outre, qu’il s’agit « d’une lourde responsabilité, car c’est l’image de marque de l’Algérie qui revient au- devant de la scène sportive régionale et internationale en organisant des manifestations importantes, qui est en jeu ».

Au cours de cette cérémonie, qui s’est déroulée au siège du comité nationale d’organisation des JM en présence du wali d’Oran, Mouloud Cherifi et les autorités civiles et sécuritaires, le premier responsable de la tutelle est revenu sur la visite qu’il a effectué ce matin au niveau de certaines infrastructures sportives en cours de réalisation ou de mise à niveau, concernées par les JM pour exprimer sa satisfaction quant à l’évolution des chantiers en question.

« Cette visite a conforté ma conviction concernant la réussite des JM de 2021 qu’on veut en faire une manifestation historique. Je suis très satisfait par les progrès réalisés notamment au niveau des chantiers du complexe sportif et du village méditerranéen où le retard accusé en la matière a été rattrapé en l’espace de quelques mois », s’est réjoui M. Hatta, qui s’attend à ce que le stade de 40.000 places soit le premier à être livré de l’ensemble des quatre grands stades en cours de réalisation en Algérie.

« Par rapport aux stades de Tizi Ouzou, Baraki et Douera (Alger), celui d’Oran avance très bien et devra être livré en début de l’année prochaine », a indiqué le ministre à la presse, mettant l’accent sur l’importance vitale accordée par le président de la République à la réalisation de nouvelles infrastructures sportives, ainsi qu’à une organisation de premier ordre des JM 2021 à Oran, pour lesquels il a débloqué une enveloppe de l’ordre de 48 milliards DA seulement pour la réalisation du complexe olympique et du village méditerranéen, ainsi que la réhabilitation de pas moins de sept infrastructures sportives à Oran, à savoir, le Palais des sports « Hammou Boutelilis », le centre équestre d’Essenia, le club de tennis de Haï Essalem, le stade Ahmed-Zabana, la piscine olympique de Medina Jdida et l’Institut national de formation supérieur des cadres de jeunesse et des sports à Aïn El Turck.

Pour sa part, le directeur général des JM s’est dit « honoré » par la confiance placée en lui par les responsables du football algérien, avouant au passage « la difficulté de la mission » qui l’attend, tout en s’engageant à donner le meilleur de lui-même afin de contribuer à la réussite du rendez-vous sportif de 2021, que l’Algérie abritera pour la deuxième fois de son histoire après avoir accueilli à Alger l’édition de 1975.

M. El Morro a estimé, au passage, que le déroulement dans la capitale de l’Ouest de la manifestation sportive méditerranéenne sera une occasion pour cette ville afin de faire un saut qualitatif en matière d’infrastructures sportives, en bénéficiant de nouvelles installations dans ce registre, tout en réhabilitant d’autres infrastructures déjà existantes.li

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Cinq boxeurs algériens disputeront lundi leur combat pour le compte des quarts de finale du championnat d’Afrique militaire de boxe dont le coup d’envoi a été donné dimanche au Centre de regroupement et de préparation des équipes nationales militaires de Ben Aknoun (Alger), avec la participation de plus de 100 boxeurs représentant 14 pays.

Touareg Mohamed-Yacine (49 kg) sera opposé au Zambien, Simpungwe, Litim Khalil (56 kg) affronte le Guinéen, Toure Yéro Bailo, alors que Abdelli Yahia (64 kg) défiera le Burundi, Yacouba Ouedraogo.

De son côté, Said Herdroug (75 kg) croisera les gants avec le Malien, Traore Abdoulaye et Hamani Mohand-Said (91 kg) sera opposé au Sénégalais, N’Diaye Omar.

Lundi, dix-sept (17) combats sont programmés dans le cadre des quarts de finale du championnat d’Afrique militaire à partir de 15h00.

La sélection algérienne militaire est représentée par dix (10) pugilistes à ces joutes militaires, sous la conduite de l’entraîneur national, Brahim Bedjaoui.

Pour rappel, l’Algérie avait terminé à la 2e place avec huit médailles (3 or, 3 argent et 2 bronze) lors du 4e championnat d`Afrique militaire de boxe organisé en Tunisie, sacrée du titre africain avec 9 médailles (4 or et 5 argent).

Résultats de la première journée (8es de finales):

(60 kg) : Sylla Alseny (Guinée) bat Diarra Zakaria (Mali) aux points

(60 kg) : Shili Alaa (Tunisie) bat Bope Pongo (Congo) aux points

(64 kg) : Atakni Abdelhak (Maroc) bat Isendi Michael (Tanzanie) par forfait

(69 kg) : Tebi Ahmed (Tunisie) bat Soumara Ibrahima (Mali) aux points

(69 kg) : Faye Malamine (Sénégal) bat Mbundwike Selemankassim (Tanzanie) par forfait

(75 kg) : Manbengi Tumba (Congo) bat Seleman Salumkidunda (Tanzanie) par forfait

(75 kg) : Diouf Abdouwahab (Sénégal) bat Akono Atouba (Cameroun) par forfait

(75 kg) : Boukhili Nabil (Tunisie) bat Sawadogo Boreima (Burundi) aux points.

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La glorieuse équipe du Front de Libération Nationale (FLN), ainsi que les sportifs de cette génération, de part leur expérience et leur vécu, doivent servir de « repère » aux générations actuelles dans leur quête de développement, a considéré dimanche à Alger le ministre de la Communication, Djamel Kaouane.

« Il n’y a pas de meilleur modèle à suivre que la glorieuse équipe du FLN et les sportifs de cette honorable génération » a-t-il indiqué pendant une conférence-débat à la SAFEX d’Alger, pendant l’exposition du nouvel ouvrage de Hamid Zouba, ancien défenseur de l’Equipe du FLN, ayant publié dernièrement un livre intitulé « Ma vie, ma passion ».

L’ancien footballeur et journaliste Ahmed Houari Bessoul était également présent à cette conférence-débat, pour présenter son dernier ouvrage, intitulé « Vert et Blanc, de 1963 à 1988 ».

« Je me suis intéressé à cette période en particulier, parce qu’elle représente le premier quart de siècle post-indépendance, pendant lequel, force est de le reconnaitre, nous avions enregistré une importante progression, même en termes d’infrastructures » a expliqué Bessol.

Plusieurs personnalités connues sur la scène sportive algérienne étaient présentes à ce rendez-vous, qui s’est achevé par une séance de vente-dédicace.

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Federer vs. Djokovic – ein pikantes Duell. Der kurze Laver-Cup-Spass hat ihm die Würze nicht genommen.

Drei Stunden lang liessen Roger Federer (37) und Novak Djokovic (31) ihr Herz in der Halle von Paris-Bercy. Im Dreisatz-Thriller, der am Ende haarscharf 7:6 zugunsten des Serben ausging, steckte alles, was Tennis für die Fans ausmacht: spielerisches Top-Niveau, enorme Intensität und eine spannende Rivalität zwischen zwei Spielertypen, die beide mit Art und Ausdruck polarisieren.

Federer ist der Liebling – und bis zu seinem Karriereende wird der virtuose Künstler kaum aus dieser Rolle schlüpfen können. Er müsste schon sehr dumm tun, um das Herz seiner Verehrer zu verlieren. Reaktionswunder Djokovic haftet das Schicksal des verbissenen Spielverderbers an. Besonders in Paris, wo Fairness nicht von Fans erfunden wurde, reicht ein frustrierter Racket-Wurf. Schon ist «Nole» Opfer von Buhrufen und Pfiffen.

Er muss einem deshalb nicht Leid tun. Meist stachelt ihn das nur an und er wird noch ein Quäntchen besser. Und jubelt nach dem Sieg noch ein wenig provokativer. Im Pariser Halbfinal war es Roger, der von einem Zwischenruf beim Matchball gestört wurde. «Schade, dass es passierte», so der Schweizer, «aber das gehört dazu. Die Leute sind eben voll dabei, es reisst sie von den Sitzen.»

Enttäuscht und genervt durch Wiederholungstäter Djokovic, fällt Federers Handschlag am Netz kurz und reserviert aus. Noch vor kurzem lagen sich beide beim Laver Cup in den Armen, als wären sie dicke Freunde. Die Befürchtung, die Rivalität der Top-Stars würde in einer Woche geschmälert, sei damit wohl widerlegt, sagt der Ziehvater des Teamevents. «Es war eine lustige Woche in Chicago. Ich genoss es mit Novak Doppel zu spielen und etwas mehr Einblick in seine Denkweise und sein Leben zu bekommen.»

Ansonsten sei alles gleich geblieben, so wie es sein solle: hart, aber fair. «Wir beide lieben das Siegen und hassen das Verlieren. Wir pushen uns gegenseitig so weit, bis wir das Beste aus uns herausholen. Die Leute lieben unsere Rivalität – und wir lieben sie auch.» Die verbissene Rivalität tut dem Tennis gut.

Neil Armstrong war der erste Mann auf dem Mond. Und ein begeisterter Sammler. Jetzt haben seine Söhne mehr als 2000 private Erinnerungsstücke versteigern lassen.

Der erste Mann auf dem Mond, Neil Armstrong, pflegte zeitlebens seine Sammelleidenschaft und hob alles auf - jetzt liessen die Söhne mehr als 2000 private Erinnerungsstücke versteigern. 7,45 Millionen Dollar gaben Liebhaber der Raumfahrt für die Memorabilien aus.

Das teilte das Auktionshaus Heritage Auctians in Dallas (US-Bundesstaat Texas) auf seiner Webseite mit.

Plakette erzielte fast eine halbe Million Dollar

Den höchsten Erlös mit fast 470'000 Dollar erzielte dabei eine Identifikationsplakette, die Armstrong (1930 bis 2012) in der Mondlandefähre «Eagle» bei sich hatte.

Armstrong (1930-2012) war seinerzeit Kommandant der Raumfähre Apollo 11. Mit ihm flogen die Astronauten Buzz Aldrin und Michael Collins. Als erster Mensch betrat er dann am 20. Juli 1969 den Mond. Unvergessen sind Armstrongs Worte: «Das ist ein kleiner Schritt für den Menschen ...ein...riesiger Sprung für die Menschheit.»

Briefe, Anstecknadeln und Fahne versteigert – alles war im All

Unter den mehr als 2000 Stücken, die unter den Hammer kamen, waren unter anderem Briefe, Anstecknadeln und eine Fahne, die mit Armstrong ins All geflogen war. Ein Raumanzug, den Armstrong 1966 an Bord der Weltraummission Gemini 8 getragen hatte, brachte der Familie fast 110'000 Dollar.

«Es gibt Stücke, die einen zum Denken bringen, Stücke, die einen zum Lachen bringen, und Stücke, die einen dazu bringen, sich vor Staunen am Kopf zu kratzen», sagte Armstrongs Sohn Mark vor der Versteigerung.

Die Familie hatte bereits zuvor historische Objekte des Vaters dem Raumfahrtmuseum (National Air and Space Museum) in Washington überlassen. Zwei weitere Auktionen mit restlichen Stücken aus dem Nachlass sind im kommenden Jahr geplant. (SDA)

L’Algérie a remporté le championnat arabe des échecs « Jeunes catégories », disputé à Hammamet (Tunisie) du 27 octobre au 4 novembre, en enlevant le titre par équipes avec en prime 15 médailles dont six en or en individuels, a-t-on appris dimanche auprès de la Fédération algérienne de la discipline.

Conduite par les entraîneurs nationaux Krim Belkacem, Naser Nassr et Abdelkrim Yahiaoui, les échéphiles algériens se sont illustrés dans l’ensemble des compétitions disputées dans les catégories U8, U10, U12, U14, U16, U18 et U20 (garçons et filles),

127 échéphiles de dix pays ont pris part à ce championnat. L’Algérie a pris la première place du podium avec 6 médailles d’or, 6 en argent et 3 en bronze, suivie par les Emirats arabes unis (3 or, 3 argent et 6 bronze) et la Tunisie (3 or, 1 argent et 3 bronze).

Les six titres arabes de l’Algérie ont été décrochés par les soeurs Nassr, Lina (U16) et Ryma (U10), Feriel Allal (U14), Chahrazed Djerroud (U12), Lina Hadjout (U8) et Lamine Brahami (U16).

Les médailles d’argent sont l’oeuvre de Bassinas Djabri (U20), Abdeldjalil Bidi (U12), Nafla Nour Ramoul (U8), Nada Erayhane Mesmoudi (U10), Rania Nassr (U14) et Ines Belatar (U18), alors que les trois breloques en bronze ont été remportées par Fouad Ait Azzouz (U8), Imene Zerarga (U8) et Lina Lagab (U12).

Les dix pays ayant participé au championnat arabe-2018 « Jeunes catégories » sont l’Algérie, les Emirats arabes unis, la Tunisie, l’Irak, la Palestine, le Yémen, la Jordanie, la Libye, le Maroc et le Sultanat d’Oman.

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Le ministre de l’Industrie et des Mines, M. Youcef Yousfi effectuera lundi une visite de travail au Japon à la tête d’une importante délégation, a indiqué dimanche un communiqué du ministère.

Cette délégation est composée de cadres du ministère, de dirigeants de certaines entreprises publiques et d’une trentaine de chefs d’entreprises privés, a précisé la même source.

Lors de son séjour au Japon, M. Yousfi mènera des entretiens avec des responsables et officiels japonais avec lesquels, il va discuter de l’état de la coopération allégro dans les différents domaines économiques.

A cette même occasion M. Yousfi rencontrera les opérateurs japonais pour examiner les opportunités de partenariat qui pourraient s’offrir aux deux pays, ajoute la même source.

Parmi les domaines susceptibles d’accélérer la coopération entre l’Algérie et le Japon, figurent les secteurs de l’automobile et des pièces de rechange, de la chimie, des mines, de l’électronique et du digital, a conclut le communiqué.

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Régi adósságomat tudtam le a napokban, amikor a csitári hegyek legismertebb csúcsára, a Nyitra fölött magasodó Zoborra kapaszkodtam fel. Nemcsak az érdekes panoráma, de két "kincs" is várt odafenn...

A fő látványosság, az 1896-os milleniumi emlékoszlop cseh legionáriusok által felrobbantani nem tudott (erdélyi gránitból készült!) talapzata ma az innen startoló siklóernyősök szélzsákját "hordozza". De várjunk csak! A kép bal alsó sarkában egy másik érdekes objektum figyel...

...ami nem más, mint a P-12-es méteres lokátor vontatott változatának kabinja és antennák nélküli antennaárbóca.

Ez pedig az emlékoszlop információs táblája, meglehetősen korrekt szöveggel. Ha az angol mellett magyarul is meglenne, egy szót sem szólhatna a magyarországi látogató.

Ez pedig a pár kilométerrel keletebbe lévő Alsócsitár községháza, melynek falán...

...emléktábla hirdeti, hogy Kodály Zoltán itt gyűjtötte az A csitári hegyek alatt kezdetű népdalt

Zord

« Salima Souakri : Ceinture noire, coeur blanc » est le titre d’un ouvrage exposé au 23e Salon international du livre d’Alger (30 oct – 10 nov) et dédié à l’icône du judo féminin algérien, aussi bien aux étapes marquantes de sa vie qu’à son fabuleux parcours sportif.

Publié aux Editions al.bayazin, dans la série « Sportifs d’exception », cet ouvrage richement illustré, évoque sous la plume du journaliste-écrivain Jaoudet Gassouma, les multiples succès sportifs de Salima Souakri, mais également sa vie hors tatamis, avec ses hauts et ses bas.

Après avoir présenté quelques traits de caractère et la personnalité de cette dame au « fort charisme », sur la base de témoignages de ceux ayant côtoyé Salima Souakri, l’auteur a évoqué la gloire décrochée par cette ancienne sportive depuis ses débuts en judo en 1983 à l’âge de 9 ans, jusqu’à a fin de sa carrière en 2006.

Durant les 34 années de pratique, elle a notamment remporté 12 titres de championne d’Afrique et s’est classée à trois reprises 5e aux Jeux olympiques (Barcelone-1992, Atlanta-1996 et Athènes-2004). Elle a été, en outre, médaillée d’or aux Jeux méditerranéens en 2001 et médaillée d’or au Grand Chelem Paris-Bercy en 2002. En 1992, Souakri a décroché, haut la main, la médaille de bronze aux Championnats du monde juniors au Canada.

Elle a été nommée, par ailleurs, Ambassadrice de bonne volonté de l’Unicef en 2011.

« Le judo a été pour moi une véritable école de la vie. Une école qui véhicule beaucoup de valeurs qui se retrouvent dans le code moral de ce sport, c’est à dire le courage, la pugnacité, la sincérité, le respect, l’honneur, la volonté farouche (…) C’est dans la douleur qui forge le caractère que j’ai ainsi construit ma carrière sportive », a révélé, dans une préface de l’ouvrage, Salima Souakri qui détient le grade de 6e dan.

Après sa carrière d’athlète, Souakri a embrassé la carrière d’entraîneur, tout en se lançant en parallèle dans le monde des médias où elle a animé notamment une émission à caractère social dans une chaîne de télévision privée.

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Le président ukrainien Petro Porochenko a annoncé dimanche depuis Antalya en Turquie que le mouvement des citoyens turcs et ukrainiens devrait désormais se faire en présentant uniquement la carte d’identité nationale. 

« Les citoyens turcs et ukrainiens peuvent voyager dans les deux pays en utilisant uniquement la carte d’identité nationale sans avoir besoin de se munir de leurs passeports », a-t-il révélé, à l’occasion de l’inauguration d’un consulat dans la ville d’Antalya en Turquie, a rapporté l’agence de presse turc, Anadolu.

« L’ouverture d’un consulat à Antalya constitue une évolution importante pour les Ukrainiens vivant dans le sud de la Turquie », a déclaré le président Porochenko, lors d’un discours prononcé à l’occasion, estimant que « les solides relations entre la Turquie et l’Ukraine sont basées sur le dialogue ».

La cérémonie a également vu la présence du vice-ministre turc des Affaires étrangères Yavuz Selim Koran, ainsi que de nombreux citoyens ukrainiens.

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Les forces de l’occupation israélienne ont mené dimanche une perquisition dans le bâtiment abritant le ministère palestinien chargé des affaires d’Al-Qods occupée, confisquant du matériel, a dénoncé son ministre Adnan Al-Husseini.

La police israélienne « a fait irruption dans le bâtiment » abritant le siège du ministère et du gouvernorat d’Al-Qods occupée, saisissant des documents et du matériel, a affirmé le ministre, cité par l’AFP.

Cette perquisition constitue « une dangereuse escalade de l’occupation et une violation flagrante de tous les accords et lois internationaux », a dénoncé le porte-parole du gouvernement palestinien Youssef al-Mahmoud dans un communiqué.

Des employés, cités par l’agence de presse palestinienne Wafa, ont révélé que ces forces dotées de renforts militaires ont encerclé le siège du gouvernorat et du ministère avant de les prendre d’assaut.

« Les soldats israéliens ont sauvagement agressé les employés, blessant au moins cinq d’entre eux (ecchymoses, blessures au visage..), outre le recours au gaz en poivre », ont-il témoigné.

D’autres témoins ont également rapporté selon l’agence, que les soldats de l’occupation ont perquisitionné le bureau du ministre des affaires d’Al-Qods occupée.

Jeudi, le gouverneur de cette ville sainte, Adnan Gheith, a été agressé puis arrêté par des troupes militaires israéliennes, au même titre que le directeur de l’institution, Muhannad Shalhab, ainsi que des citoyens palestiniens.

Fin octobre écoulé, le gouverneur qui se trouvait à bord de son véhicule, a été arrêté pendant deux jours par les forces israéliennes de l’occupation dans la localité de Beit Hanina au nord d’Al-Qods occupée.

La résidence surveillée lui avait été imposée pour une durée de sept jours, outre une amende de 20000 shekels (5000 euros).

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Depuis le lancement du projet du tramway, les citoyens de la ville de Mostaganem ne cessent de prendre leur mal en patience sans perdre espoir. Les lenteurs de sa réalisation ont fini par engendrer tant de turbulences à l’origine de multiples désagréments causés aux habitants et l’environnement. Cette situation si déplorable a fini à son tour à faire réagir les pouvoirs publics, décidés à en finir avec elle et surtout à faire renaitre l’espoir de voir ce tramway prendre ses itinéraires ! Depuis que le projet  a  été confié à l’entreprise nationale COSIDER, le  train de sa réalisation semble aller de mieux en mieux  avec  le suivi permanent de la wilaya  qui s’est  constituée  partie intégrante du projet.  En ce sens, le wali  supervise  depuis  les travaux en étroite coordination avec les cadres  de l’entreprise du métro d’Alger,  et le reste de ses partenaires. Cette mesure si louable s’est traduite  par des visites et par des réunions de coordination qui ont fini par insuffler une  nouvelle  impulsion et une nouvelle dynamique au chantier. La toute  dernière rencontre s’est soldée par des prises de décisions importantes pour le futur du projet et  la décision  d’effectuer  les premiers essais techniques  pour la fin du mois de mars 2019.  Cette dernière est plus qu’une résolution car elle déterminera l’objectif pour lequel cet équipement a été inscrit comme projet phare pour le chef-lieu de la wilaya. Ainsi, décidés, ces essais concerneraient la ligne 2 allant de la gare SNTF jusqu’à la gare routière avec l’ouverture de trois stations. Selon des sources bien informées, les deuxièmes essais se projetteront pour le mois de juillet 2019 et qui toucheraient le tronçon Salamandre au niveau du CDM (Centre de maintenance) jusqu’à la gare SNTF. Cette résolution vient à temps pour soulager les citoyens de la ville de Mostaganem qui ont mis toutes leurs aspirations dans ce nouveau mode de transport. S. Bentoumi

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Le tribunal de Télagh, a requis ce dimanche 04 novembre 2018,  la peine  de 03 mois de prison ferme à l’encontre de Mordi Bouziane ,l’actuel secrétaire général de l’A.P.C de Mézaourou,50 km au sud de Sidi Bel Abbes, dans une affaire de faux et usage de faux, dont le verdict serait prononcé dimanche prochain  apprend-on de source bien informée.  Pour rappel, le même secrétaire général avait été condamné en décembre 2017, à  01 année de prison ferme et 50.000 da d’amende, pour implication dans une affaire d’ouverture de plis, non conforme à la règlementation, conclue avec un fournisseur de produits alimentaires destinés aux écoles primaires de l’APC. M.Noui

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La daïra de Mostaganem a engagé une opération tendant à évacuer les locaux commerciaux squattés par certaines familles dans le but de s’y installer, se situant à la cité des 800 logements à Hai El Houria, où ces familles se sont accaparées de ces locaux à cause de la crise du logement, selon la daïra de Mostaganem. Le chef de daïra, accompagné des services de sécurité,  de la protection civile et des services de la commune  a entamé  le vendredi  02 novembre 2018 vers 4 heures du matin une opération d’évacuation et d’expulsion des familles ayant occupés illégalement ces locaux avant de les loger dans de nouvelles unités de logement situées dans le quartier « El Wiam »,  lesquelles ont été raccordées à divers réseaux tels que l’eau potable, l’électricité, le gaz et l’assainissement. Cette opération a suscité beaucoup de joie et d’enthousiasme auprès des familles qui ont beaucoup souffert à cause de la crise de logement qui les a poussées à se réfugier dans des locaux commerciaux, en dépit des conditions de vie difficiles dans ces lieux. Cependant, les services de la daïra de Mostaganem, vont entreprendre une opération de distribution de ces locaux commerciaux  au profit de leurs propriétaires afin de les exploiter à des fins commerciales au lieu de rester fermés et d’éviter de répéter la même opération d’expulsion. Les mêmes services  ont procédé au déménagement de 66 familles vers des logements décents, dont 48 familles qui occupaient des magasins dans le but de se loger situés à la cité 296 logements  « Micheler ». Les mêmes services de la daïra ont également procédé au logement de 18 familles vivant dans des habitations précaires au quartier « la Salamandre », tout en les démolissant pour récupérer les assiettes immobilières. G.Yacine

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La galerie dédiée à l’art du Sahara occidental qu’abrite le centre Pompidou à Paris a suscité une animosité chez le président de la Fondation marocaine des musées, Mehdi Qotbi, qui s’en est plaint auprès du Président de l’Établissement français.

Citant une dépêche de l’agence Algérie Presse Service, le responsable marocain a accusé le Centre national français d’art et de culture Georges-Pompidou de « participer à la propagande » du Front Polisario. Le Président de la Fondation marocaine des musées a été visiblement agacé par les preuves tangibles apportées par les pièces de cette exposition d’art sur l’identité particulière du peuple sahraoui.

Figurant parmi les collections permanentes du centre polyculturel français, la galerie intitulée Necessità dei volti (La nécessité des visages) témoigne du mouvement de résistance armée qu’a mené le front Polisario face à l’entreprise d’annexion marocaine du territoire sahraoui. Parmi les documents exposés, une collection de photographies issues des archives du Musée national de la résistance, qui se trouve dans le camp des réfugiés sahraouis de Tindouf, dont un collectif d’artistes pro-sahraouis a pu scanner un total de 483. Le résultat, un livre de fabrication manuelle qui atteste de la réalité militaire de la lutte sahraouie pour l’autodétermination pendant les années 70.

Artiste sculpteur, journaliste et écrivain, Jean Lamore qui supervise cette galerie est l’auteur et le réalisateur du film-documentaire Building Oblivion (La construction de l’oubli), sélectionné en 2010 au 3e Festival international des films sur les droits de l’homme à Naples. Le militant humaniste et, accessoirement, co-fondateur de Mamba, revue culturelle à la croisée des chemins de l’art, des sciences et de la politique, avait tenu à préserver de l’oubli le « véritable crime contre l’Humanité » que représente le mur édifié dans les années 80 par le Maroc pour diviser le territoire du Sahara occidental.

Parmi les auteurs de l’oeuvre, figurent aux côtés du Franco-Américain Lamore, l’Italien Patrizio Esposito, co-auteur de Una storia Sahrawi (Une histoire sahraouie), et la photographe palestinienne Yasmine Eid-Sabbagh, membre de la Fondation arabe pour l’image. D’autres pièces constituent l’exposition, où le roman Polisario, un’astronave dimenticata nel deserto (Polisario, un vaisseau spatial oublié dans le désert) côtoie la collection photo Vedere l’occupazione (Voir l’occupation). Une expression artistique polyphonique dont tout épris de culture ne saurait tolérer la censure.

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