Dans une déclaration, l'ancien ministre Christian Enock Lagnidé a lancé un appel vibrant à l'unité nationale, à la solidarité et à la poursuite de l'œuvre engagée sous le leadership du président Patrice Talon.
Dans son adresse, Christian Enock Lagnidé n'a pas manqué de rendre un hommage appuyé au chef de l'État sortant, dont il salue « la vision, le leadership et l'immense œuvre ». À ses yeux, le président Talon a accompli une mission historique « avec triomphe », en menant des réformes audacieuses.
Poursuivre le développement
Soucieux du devenir du Bénin après 2026, Christian Enock Lagnidé insiste sur la nécessité d'une gouvernance locale efficace et inclusive. Il rappelle avoir, dès janvier 2025, saisi la Cour constitutionnelle (requête n°0164) afin de contribuer, en tant qu'acteur averti, au débat national autour de trois axes majeurs : politique & décentralisation, social & droits et devoirs, industrie sportive & culturelle.
Bien qu'insatisfait de la suite réservée à sa démarche, il affirme avoir approfondi sa réflexion et recensé des pistes concrètes de solutions à ses préoccupations. Il en a livré l'essentiel dans une Note Complémentaire (n°0271) du 6 février 2025, qu'il invite les citoyens à consulter.
Pour lui, l'heure est venue de dépasser les clivages et de s'unir autour du « meilleur parmi nous » afin de consolider les acquis, dans une démarche consensuelle et républicaine. « Nous devons irrévocablement poursuivre, améliorer et réussir l'excellent développement en cours dans notre cher et beau pays », insiste-t-il.
Dans cette déclaration datée du 2 septembre 2025, Christian Enock Lagnidé rend aussi un hommage appuyé à l'ex-président Mathieu Kérékou, sous qui il fut ministre.
Fidèle à l'héritage de dialogue et d'unité de Kérékou, Lagnidé revendique une posture non partisane et lance un appel citoyen, destiné à tous, sans distinction politique.
« Mon appel à l'unité nationale, à la solidarité et au bonheur pour tous est lancé avec beaucoup d'espoir », souligne-t-il
Les Amazones U20 affronteront la Guinée le 19 septembre prochain dans le cadre des éliminatoires de la Coupe de monde féminine U 20. Après cette rencontre prévue pour se jouer à Lomé, elles seront aux prises avec l'équipe du Mali fin septembre (26 ou 28) en match retour. En prélude à ces deux rencontres importantes, le sélectionneur, Ouzérou Abdoulaye a publié la liste des joueuses retenues. Au nombre de 36, elles vont entamer un stage de préparation à Missérété ce mercredi 3 septembre 2025.
Liste des Amazones retenues
Les Guépards du Bénin enchainent les séances d'entrainement en Côte d'Ivoire pour la double confrontation avec le Zimbabwe et le Lesotho. Au terme d'une seconde séance d'entrainement ce mardi 2 septembre 2025, le gardien de but de l'équipe nationale, Saturnin Allagbé a rassuré de la détermination du groupe.
« On sent vraiment un groupe motivé qui est prêt à aborder les prochains matchs. Il nous reste quatre rencontres, et les deux qui arrivent sont capitaux puisqu'on les joue à domicile. Il faut absolument prendre les six points », c'est ce qu'a confié Saturnin Allagbé au terme d'une séance d'entrainement ce mardi 2 septembre. L'objectif de l'équipe nationale selon le gardien de but, n'a jamais changé. Il s'agit de participer à une phase finale de la Coupe du monde. « Nous allons tout donner pour ces deux prochains matchs. L'objectif reste le même : faire en sorte que le Bénin goûte à une phase finale de Coupe du Monde », confie-t-il.
Les deux rencontres contre le Zimbabwe et le Lesotho s'inscrivent dans le cadre des 7e et 8e journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2026. Les Guépards vont affronter le Zimbabwe ce vendredi 5 septembre ; suivra le match de la 8e journée qui se jouera le mardi 9 septembre contre le Lesotho.
F. A. A.
À Pékin, Aleksandar Vučić s'est affiché aux côtés de Vladimir Poutine, Xi Jinping et Kim Jong-un. En pleine démonstration d'unité entre puissances non occidentales, le président serbe a réaffirmé l'importance de la coopération stratégique avec la Russie et a défendu la neutralité de la Serbie face aux pressions européennes.
- Le fil de l'Info / Une - Diaporama, Courrier des Balkans, Vucic, Les Chinois à l'assaut des Balkans, Poutine et les Balkans, Serbie, Relations internationales, UkraineÀ Pékin, Aleksandar Vučić s'est affiché aux côtés de Vladimir Poutine, Xi Jinping et Kim Jong-un. En pleine démonstration d'unité entre puissances non occidentales, le président serbe a réaffirmé l'importance de la coopération stratégique avec la Russie et a défendu la neutralité de la Serbie face aux pressions européennes.
- Le fil de l'Info / Une - Diaporama, Courrier des Balkans, Vucic, Les Chinois à l'assaut des Balkans, Poutine et les Balkans, Serbie, Relations internationales, UkraineAujourd’hui dans Les Capitales : Adhésion de l'Ukraine à l'UE : le casse-tête continue, agriculteurs et eurodéputés vent debout contre l’accord UE-Mercosur sur le point d’être adopté.
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Le Grand-Duché recherche d'autres pays pour financer conjointement une enveloppe de 500 millions de dollars dans le cadre d'un accord dirigé par l'OTAN avec Washington.
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Alors que Pedro Sánchez est en visite à Londres, l'Espagne et le Royaume-Uni se préparent à signer un pacte post-Brexit historique qui renforcera les liens en matière de commerce, de climat et de migration. Un tournant dans les relations bilatérales.
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Produce trucks arrive at Lo Valledor, Chile’s largest wholesale market, where edible surplus is recovered for vulnerable communities; Latin America and the Caribbean lead hunger reduction, yet inequalities and malnutrition persist. Credit: Max Valencia / FAO
By Máximo Torero
SANTIAGO, Sep 3 2025 (IPS)
In perspective, good news: world hunger is beginning to decline. The State of Food Security and Nutrition in the World 2025 (SOFI 2025) reported a drop in the proportion of people suffering from hunger, from 8.5% in 2023 to 8.2% in 2024. Latin America and the Caribbean has played a pivotal role in this progress.
In 2024, undernourishment in the region affected 5.1% of the population, down from 6.1% in 2020–2021. Moderate or severe food insecurity fell significantly, from 33.7% in 2020 to 25.2% in 2024, the largest reduction recorded worldwide.
Even after crises such as the pandemic, rising inflation, and extreme climate events, progress is possible through sustained public policies, cooperation, investment, and strengthening the resilience of agrifood systems
Five countries in the region—Chile, Costa Rica, Guyana, Uruguay and now Brazil— no longer appear on the hunger map, thanks to coordinated policies in the areas of economy, health, education, agriculture, and social protection, a viable formula to tackle the structural determinants of hunger.
These figures demonstrate that, even after crises such as the pandemic, rising inflation, and extreme climate events, progress is possible through sustained public policies, cooperation, investment, and strengthening the resilience of agrifood systems.
This positive development should not hide an uncomfortable truth: these advances are not reaching everyone equally. SOFI 2025 points out that while some countries are reducing hunger, others face challenges such as increasing child stunting, overweight, and obesity. In the region, 141 million adults are obese, and 4 million children under the age of five are overweight.
The analysis of specific cases highlights contrasts: Colombia reduced hunger to 3.9% with territorial policies and support for family farming, while the Dominican Republic cut the indicator by more than 17 percentage points in two decades with a multisectoral approach.
However, progress is not always uniform. Panama and Guatemala, although reducing hunger, continue to struggle with the challenge of malnutrition. Ecuador and El Salvador face a similar paradox: while hunger is decreasing, moderate and severe food insecurity is on the rise.
In Venezuela, hunger fell to 5.9%, but the pressure of food inflation persists. Mexico has reduced its figures to 2.7%, although adult overweight reached 36% in 2022, above the regional average. In Argentina, while hunger remains at low levels (3.4%), there has been an increase in child overweight and adult obesity.
Unfortunately, the Caribbean remains the greatest challenge. Some 17.5% of the population is undernourished, and the cost of a healthy diet reaches 5.48 PPP dollars per person per day. Haiti is facing one of the world’s most severe crises: 54.2% of its population suffers from hunger. This is not only an alarming statistic; it is an urgent call to strengthen greater cooperation and investment in the region’s most fragile context.
SOFI 2025 concludes that the countries that have reduced hunger under adverse circumstances in Latin America and the Caribbean share common approaches. These include strong and well-targeted social protection systems capable of cushioning crises; and integrated policies that strengthen local production, inclusive value chains, and market access, support family farming, and promote environmental sustainability.
Added to this are productive diversification, climate resilience measures to withstand extreme events, and open and stable trade to ensure supply and moderate price volatility; as well as coordination among institutions and levels of government to align investments, and data and monitoring systems that anticipate and respond quickly to crises.
These experiences show that a combination of political will, strategic investment, and evidence-based management can reverse hunger—even in an uncertain global environment.
Excerpt:
Máximo Torero Cullen is FAO Chief Economist and Regional Representative ad interim for Latin America and the Caribbean– "L'onction de Boni Yayi, oui… mais ses casseroles, non ? : l'équation impossible des Démocrates" Chedrak Chembessi
L'image est saisissante ! Un mini-bus d'élus, notamment des parlementaires du parti Les Démocrates au siège de la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) pour le retrait des formulaires de parrainage des candidats aux élections présidentielles de 2026. Pour certains, c'es le symbole d'une unité et d'une dynamique de groupe. Mais c'est aussi à y regarder de près, l'expression des fragilités de ce parti hétéroclite qui aura dans sa courte existence, montré bien plus que des signes de fissures et au sein duquel la méfiance semble régner de maître. En témoignent ces images de délégation au Cena et de mise en scène sarcastique et ironique au domicile de l'ancien chef de l'État Boni Yayi que l'on voit circuler sur les réseaux sociaux.
Mais au-delà des questionnements légitimes que l'on peut avoir sur cette cohésion de groupe, mise en scène façon Nollywood (que le monde nigérian du 7e art m'en excuse), ce qui se joue, c'est la volonté presque (in)avouée de certains élus de se soustraire de l'omniprésence de l'ancien président de la République Boni Yayi en cette veille de joutes électorales.
Car qui dit Boni Yayi, dit aussi une cascade de scandales politico-financiers ayant éclaboussé son régime. Nul ne saurait nier que l'ancien président a marqué la vie nationale. Mais sa gouvernance fut jalonnée de scandales financiers retentissants, de soupçons de corruption et d'une gestion dont beaucoup de Béninois gardent encore un goût amer. Le défenseur auto-proclamé de la Démocratie en a été un pourfendeur. Son héritage est facilement encombrant autant que son aura mobilisatrice (si l'on s'en tient à son propre baromètre) - dans les classes populaires nostalgiques de son époque - offre une fenêtre d'opportunités à manoeuvrer pour les candidats aux différentes élections.
Et c'est en cela que je me surprends, citoyen et observateur de la vie politique nationale - que ces dernières heures, l'arène politique béninoise soit marquée par un appel de pied des partisans de l'opposition ou pour le moins du parti Les Démocrates à une candidature ointe par Boni Yayi pour les prochaines présidentielles.
Je me garderai ici de nommer les potentiels candidats qui doivent s'encastrer dans cette machine Yayi, au-delà de leurs convictions et de leurs batailles de longue date contre les déboires de son régime pour nourrir leurs égos ou pour le mieux les aspirations de certains groupuscules : Candidat à une élection présidentielle, joli sésame pour le CV ou pour une notoriété de circonstance dont ils rêvent tous.
Mais il ne pouvait en être autrement. Boni Yayi, en homme de ruse politique aura réussi depuis le 15 octobre 2023 à se faire officiellement porté à la tête du parti les Démocrates, dont il était jusqu'alors président d'honneur. Ce serait donc intellectuellement malhonnête de dire que celui-ci n'a pas un rôle à jouer dans les prochaines élections présidentielles, et bien plus dans le choix du duo de candidats de son parti aux présidentielles.
Mais le comble, ce sont les hommes et les femmes qui sacrifient leurs convictions et leurs combats à l'autel de Boni Yayi pour en obtenir les faveurs pour 2026. Le mérite revient ici à la réforme du système partisan qui met à nu les limites morales et idéologiques de certaines grandes gueules et politiques de la République. Bien que leurs sbires, notamment sur les réseaux sociaux pour les plus en vue d'entre eux, aiment à rappeler à qui ose leur souligner la contradiction et la bassesse politique, qu'il ne s'agit point d'une alliance de circonstance dans le cadre des élections présidentielles. Morceaux choisis : ces candidats plébiscités et à sanctifier sous l'onction de Yayi pour les présidentielles sont membres fondateurs du parti Les Démocrates. Inutile ici de leur rappeler les soubresauts de ce parti et les vagues internes de crises de leadership et idéologiques.
Qu'à cela ne tienne, admettre la bénédiction de Boni Yayi pour les prochaines présidentielles, c'est cautionner sa gouvernance chaotique et sa vision alambiquée du développement du pays. Son pseudo-renouveau politique sous fond de marchandage électoral et de populisme n'efface en rien ses échecs socio-économiques notoires et son héritage controversé.
L'ombre du passé de Boni Yayi à la tête du pays est épaisse et résonne encore dans les mémoires collectives. Les nouveaux visages de son agenda politique ne peuvent s'en défaire.
L'époque des émotions dans le choix des leaders du Bénin est révolue. L'heure est au pragmatisme. Plus de place pour le hasard, le manque de cohérence et les approches à la pièce timbrées de scandales politico-financiers dans la République. La complaisance envers les régimes vautours est loin des derrières le peuple béninois. L'ambiguïté dans la gestion des affaires publiques au Bénin relève du passé.
Au cours des dix dernières années, le Président Patrice Talon aura défini et mis oeuvre les contours d'un nouvel ordre de gouvernance empreint de rigueur, de méthode, de planification, d'efficacité, qui doit être maintenu et renforcé sur les dix, vingt, trente prochaines années. Un bilan de réformes visibles, d'une gouvernance plus structurée et d'une vision tournée vers l'avenir.
Une vision qui ne peut être point portée et nourrie par les aventuriers et vendeurs d'illusions. Les candidats "Yayi" sont à forte probabilité, le piège d'un rêve inachevé, d'un retour en arrière, à une spirale d'approximations et d'amateurisme.
Comme l'enseignent les institutionnalistes, la proximité entre acteurs est bien plus que symbolique. Elle est l'expression d'une similitude de représentations et de valeurs, l'appartenance á un même espace de pensées et de modes d'actions. S'appuyer sur Boni Yayi pour exister électoralement, c'est embracer son espace de pensées et ses modes d'actions. C'est l'aveu même d'un référentiel commun de valeurs et de normes, l'adhésion à un régime conventionnel d'actions.
Le peuple béninois n'est pas dupe : pourquoi replonger dans les errements d'hier, quand le pays a besoin de continuité, de stabilité et de réformes sérieuses ? Le choix n'est pas du côté d'un retour nostalgique, mais du côté de la continuité, de la consolidation du progrès.
Chers Démocrates, Bienvenues dans une équation perdant-perdant.
Chedrak Chembessi, PhD
Scientists warn that water risk threatens iconic heritage sites such as the Victoria Falls in Zimbabwe. Credit: Busani Bafana/IPS
By Busani Bafana
BULAWAYO, Sep 3 2025 (IPS)
From Zimbabwe’s ‘The Smoke that thunders,’ Victoria Falls, to the awe-inspiring Pyramids in Egypt and the romantic Taj Mahal in India, these iconic sites are facing a growing threat – water risk.
Several World Heritage sites could be lost forever without urgent action to protect nature, for instance, through the restoration of vital landscapes like wetlands, warns a new report by the World Resources Institute (WRI) following an analysis indicating that droughts and flooding are threatening these sites.
World Heritage sites are places of outstanding universal cultural, historical, scientific, or natural significance, recognized and preserved for future generations through inscription on the World Heritage List of the United Nations Educational, Scientific, and Cultural Organization (UNESCO).
About 73 percent of the 1,172 non-marine World Heritage sites are exposed to at least one severe water risk, such as drought, flooding, or river or coastal flooding. About 21 percent of the sites face dual problems of too much and too little water, according to an analysis using WRI’s Aqueduct data.
While the global share of World Heritage Sites exposed to high-to-extremely high levels of water stress is projected to rise from 40 percent to 44 percent by 2050, impacts will be far more severe in regions like the Middle East and North Africa, parts of South Asia, and northern China, the report found.
The report highlighted that water risks were threatening many of the more than 1,200 UNESCO World Heritage Sites. The Taj Mahal, for example, faces water scarcity that is increasing pollution and depleting groundwater, both of which are damaging the mausoleum. In 2022, a massive flood closed down all of Yellowstone National Park and cost over USD 20 million in infrastructure repairs to reopen.
River Flooding is affecting the desert city of Chan Chan in Peru. According to WRI’s Aqueduct platform, the UNESCO site and its surrounding region in La Libertad face an extremely high risk of river flooding. By 2050, the population affected by floods each year in an average, non-El Niño year in La Libertad is expected to double from 16,000 to 34,000 due to a combination of human activity and climate change. In an El Niño year, that increase may be much higher.
In addition, the biodiversity-rich Serengeti National Park in Tanzania, the sacred city of Chichén Itzá in Mexico, and Morocco’s Medina of Fez are facing growing water risks that are not just endangering the sites but also the millions of people who depend on them for food, livelihoods, or a connection to their culture or who just enjoy traveling to these destinations, the report said.
Straddling the border between Zambia and Zimbabwe, the Victoria Falls was inscribed on the World Heritage site in 1989 for its vital ecosystem and essential source of livelihoods for thousands of people, and a major tourism drawcard.
Despite its reputation for massive cascading water, Mosi-oa-Tunya/Victoria Falls has faced recurring drought over the past decade and at times dried up to barely a trickle. The report stated that the rainforest surrounding Mosi-oa-Tunya/Victoria Falls is home to a rich diversity of wildlife and plants.
According to WRI, Victoria Falls experienced droughts as recently as 2016, 2019, and 2024. Research on rainfall patterns near Mosi-oa-Tunya/Victoria Falls shows that the onset of the rainy season, normally in October, is arriving later in the year. That means in a drought year, it takes longer for relief to arrive, and the longer the drought continues, the more it affects the people, crops, and economy around it.
An Aqueduct analysis found that Victoria Falls ranks as a medium drought risk, below the more than 430 UNESCO World Heritage Sites that rank as a high drought risk. This is primarily because relatively low population density and limited human development immediately surrounding the site reduce overall exposure.
“However, the site faces increasing pressure from tourism-related infrastructure development, and data shows the probability of drought occurrence ranks high—a finding reinforced by the many recent droughts that have plagued the region,” said the report. “Climate change is not only expected to make these droughts more frequent, but recovery is expected to last longer, especially in places that aren’t prepared.
“The time between droughts may not be long enough for the ecosystem to recover, which is particularly concerning for Mosi-oa-Tunya/Victoria Falls.”
Restoring nature, a solution to plugging water risks
The report recommends swift action to restore vital landscapes locally that support healthy, stable water and investment in nature-based solutions like planting trees to restore headwater forests or revitalize wetlands to capture floodwaters and recharge aquifers. Political commitment is key to making this happen.
Besides, countries have been urged to enact national conservation policies to protect vital landscapes from unsustainable development globally, and water’s status as a global common good needs to be elevated while equitable transboundary agreements on sharing water across borders are established.
Zimbabwe hosted the 15th meeting of the Conference of the Parties (COP15) to the Ramsar Convention in Victoria Falls under the theme ‘Protecting Wetlands for our Common Future.’ The protection of global water resources is now more urgent.
“You will find the political will to invest in nature exists all over the world,” Samantha Kuzma, Aqueduct Data Lead at the World Resources Institute, told IPS. “Dedicated communities are finding ways to protect and restore vital landscapes like wetlands. The problem is that these efforts are piecemeal. Globally, we are not seeing the political will at the scale needed to achieve real, lasting change.”
The world needs to mobilize up to $7 trillion by 2030 for global water infrastructure to meet water-related SDG commitments and address decades of underinvestment, according to the World Bank. Currently, nearly 91 percent of annual spending on water comes from the public sector, including governments and state-owned enterprises, with less than 2 percent contributed by the private sector, the World Bank says, pointing out the importance of firm commitment to reforming the water sector through progressive policies, institutions, and regulations, and better planning and management of existing capital allocated to the sector.
“We are at the point where inaction is more costly than action,” Kuzma told IPS, emphasizing that the world must do a better job of understanding water’s fundamental role in sustaining economies because its value is everywhere and invisible until it’s at risk.
“Take UNESCO World Heritage Sites, for example. Their ecological and cultural worth is priceless, and in purely pragmatic terms, they’re often the linchpin of local economies,” said Kuzma. “Any closure or damage will send immediate ripple effects through communities. It is safe to say that globally, we are falling short when it comes to protecting nature. But to change course, we must first understand why.”
IPS UN Bureau Report
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La FNSEA, le puissant lobby agricole français, étudie les moyens juridiques de contester le texte, une voie également explorée par un groupe d'eurodéputés.
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