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Aknába szorult őzet mentettek ki Nyitrafenyvesen

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 11/17/2020 - 19:20
A trencséni Tűzoltó és Mentőszolgálat munkatársait Nyitrafenyvesre (Chvojnica), egy aknába szorult őzhez riasztották a délutáni órákban.

Das meint BLICK zum Engagement der Credit Suisse: Ein tolles Signal!

Blick.ch - Tue, 11/17/2020 - 19:12
Dass die Credit Suisse als neue Partnerin der Swiss Football League gerade in diesen schwierigen Zeiten bereit ist, in den Sport zu investieren, ist bemerkenswert, meint Andreas Böni, BLICK-Fussball-Chef.
Categories: Swiss News

Coronavirus Algérie : 38 wilayas enregistrent de nouvelles contaminations

Algérie 360 - Tue, 11/17/2020 - 19:03

Le porte-parole du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie du covid-19, Dr Djamel Fourar a fait savoir, ce mardi 17 novembre, que 38 wilayas du pays ont enregistré de nouvelles contaminations au coronavirus. Lors du point de presse quotidien consacré à l’évolution de la pandémie du coronavirus, Dr Djamel Fourar a indiqué […]

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Categories: Afrique

Liga-Boss im Kurzinterview: Schifferle spricht über den Credit-Suisse-Deal

Blick.ch - Tue, 11/17/2020 - 19:01
Liga-Boss Heinrich Schifferle freut sich über den neuen Vierjahresvertrag mit der Credit Suisse. «Wir sind sehr zufrieden», sagt er im Kurzinterview mit BLICK.
Categories: Swiss News

Ethiopie : Abiy Ahmed nobélisé trop tôt ?

Afrik.com - Tue, 11/17/2020 - 19:00

Quelques mois seulement après son accession au pouvoir, le Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, a reçu le prestigieux prix Nobel de la paix édition 2019. A peine un an plus tard, il se mue en chef de guerre ayant lancé une campagne militaire contre le Tigré, l’une des provinces de l’Ethiopie. Le comité norvégien est-il […]

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Categories: Afrique

Ryan Reynolds megvette a világ egyik legrégebbi futballklubját

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 11/17/2020 - 19:00
Ryan Reynolds és Rob McElhenney hollywoodi sztárok megvették a világ egyik legrégebbi futballklubját, a walesi AFC Wrexhamet.

Bachelor servierte gleich drei Kandidatinnen ab: Das sagen die Ladys zu Alans XXL-Abfuhr

Blick.ch - Tue, 11/17/2020 - 18:51
Langsam wird es beim Bachelor ernst. Um sich mehr auf die Kandidatinnen konzentrieren zu können, schickte Alan Wey gleich drei der Single-Frauen zurück in die Schweiz.
Categories: Swiss News

Ahmed Yahya : «Je ne suis pas le plan B d’Ahmad ou le candidat de la Fifa»

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 11/17/2020 - 18:45
RFI Afrique - Le Mauritanien Ahmed Yahya a annoncé sa candidature à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF), le 9...
Categories: Afrique

Kenya to probe baby stealers following BBC Africa Eye exposé

BBC Africa - Tue, 11/17/2020 - 18:44
A government minister promises that the "full force of the law" will be applied to the traffickers.
Categories: Africa

LA BRVM ET L'AMCHAM CI SCELLENT UN PARTENARIAT STRATEGIQUE

24 Heures au Bénin - Tue, 11/17/2020 - 18:40

La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) et la Chambre de Commerce Américaine en Côte d'Ivoire (AMCHAM CI) ont créé un cadre formel de collaboration à travers la signature d'un Mémorandum d'entente en vue de la promotion du Marché Financier Régional de l'UEMOA auprès des investisseurs américains.
La signature de ce Mémorandum vise (i) à mener des activités communes de promotion du Marché Financier Régional de l'UEMOA auprès d'investisseurs internationaux, notamment américains ; (ii) à sensibiliser les entreprises membres de l'AMCHAM Côte d'Ivoire sur les opportunités offertes par la BRVM et (iii) à mener des actions de développement de la bourse pour soutenir les économies des pays de l'UEMOA.
Pour se faire, la BRVM met déjà à disposition de l'AMCHAM des données de bourse sous forme digitale afin d'alimenter son site web et les newsletters diffusées auprès des investisseurs américains.
Saluant la signature de ce mémorandum, Monsieur Edoh Kossi AMENOUNVE, Directeur Général de la BRVM et du DC/BR, a indiqué que cette convention s'inscrivait dans « le cadre des actions de développement entrepris par la BRVM depuis plusieurs années afin de tisser des partenariats stratégiques avec plusieurs organisations en vue de promouvoir les opportunités qu'elle offre tant aux émetteurs qu'aux investisseurs ». La BRVM travaille donc à attirer d'avantage d'investisseurs américains sur son marché et ce partenariat avec l'AMCHAM y contribuera efficacement.
Pour Monsieur Yohannes MEKBEBE, nouveau Président de l'AMCHAM CI, le challenge principal de son mandat est de marquer la présence américaine dans le tissu économique ivoirien. C'est pourquoi, dès sa prise de fonction, son action prioritaire a été d'établir un cadre de collaboration avec la BRVM à la suite de l'identification des besoins exprimés par les investisseurs américains notamment en termes d'information sur le marché de la BRVM qui est l'une des plus importantes bourses francophones en Afrique.

A propos de l'AMCHAM CI

La Chambre de commerce américaine en Côte d'Ivoire (Amcham CI) est une organisation non gouvernementale à but non lucratif créée en janvier 2013 par un groupe de sociétés américaines basé en Côte d'Ivoire, sous les auspices de la Chambre de commerce américaine à Washington DC.
Sa mission est de créer de la valeur pour ses membres en fournissant des informations et en facilitant l'accès et les connexions qui donnent aux membres une vue d'ensemble de l'environnement opérationnel local, régional et mondial, améliorent leurs capacités professionnelles et leur permettent de prendre des décisions d'affaires, en étant bien informés.
Composé de six (06) membres lors de sa création en 2013, l'AMCHAM CI totalise à ce jour, vingt-deux (22) membres actifs représentant 22 sociétés.
https://amcham-ci.org/

A propos de la BRVM
Portée sur les fronts baptismaux le 18 décembre 1996 à Cotonou (BENIN), la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) est une bourse électronique parfaitement intégrée commune à 8 pays de l'Afrique de l'Ouest : Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo. Outre les titres de participation (actions), la BRVM propose l'admission et la négociation des titres de créance (obligations).
La BRVM offre aux investisseurs un environnement boursier de classe mondiale avec des systèmes de Cotation et de règlement/livraison des transactions à la fine pointe de la technologie. La BRVM assure la Vice-Présidence du Comité Exécutif de l'African Securities Exchanges Association (ASEA) et est membre du Conseil pour l'Intégration des Marchés de Capitaux en Afrique de l'Ouest (WACMIC).
Elle est depuis novembre 2016 classée dans la catégorie des marchés frontières par le MSCI.

Categories: Afrique

Női kézilabda Eb - Még várniuk kell az új helyszínre a magyaroknak

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 11/17/2020 - 18:40
Továbbra sem lehet még tudni, hol játssza majd csoportmérkőzéseit a magyar válogatott a decemberi női kézilabda Európa-bajnokságon.

Cyber et territoire (INCRT)

EGEABLOG - Tue, 11/17/2020 - 18:40

J'ai oublié de vous le dire : j'ai fondé l'institut de cybersécurité et de résilience des territoires (INCRT) après une réflexion de quelques mois et en association avec plusieurs amis et partenaires. Je salue notamment le Général (2S) Marc Watin-Augouard, qui a accepté de présider ce nouvel institut, dont vous pouvez trouver les détails à l'adresse : www.cyberterritoires.fr. Outre quelques articles ou études publiés ici ou là (notamment une étude publiée à la FRS, voir ici), j'ai répondu aux questions de l'institut, parmi d'autres (ici). Voici l'article ci-dessous

Mon Général, vous êtes une référence de la cyberstratégie en France. Vous avez publié votre premier livre sur le sujet en 2011, vous dirigez la collection cyberstratégie chez Economica, vous êtes chercheur associé à la FRS et membre du Conseil scientifique du FIC, vous êtes régulièrement consulté sur la question : Qu’est-ce qui pousse un homme de votre expérience à créer et vice-présider un Institut consacré à la cybersécurité et la résilience des Territoires ?

Une observation et une expérience.

L’observation que le dispositif français de cybersécurité s’est mis en place au niveau national depuis une dizaine d’années : création de l’ANSSI, renforcement des moyens au travers des diverses LPM, création de l’OG Cyber, mise en place du Pôle d’Excellence cyber, développement du FIC, croissance d’entreprises de toutes tailles qui bénéficient d’un marché lui-même en forte croissance… Tout ceci est parfait mais encore très centralisé, très parisien, très « grands comptes ». De même, l’UE s’est saisie du problème (Directive SRI, RGPD, définition des OSE). Mais là encore, on ne s’adresse qu’aux gros.

Ici vient l’expérience, qui est double. Les aléas de la vie m’ont conduit à plus pratiquer la « province », ce mot qu’on ose à peine prononcer mais auquel je trouve encore beaucoup de charme. Je l’ai fait pour des raisons privées mais aussi professionnelles. Aussi n’ai-je pas trop été surpris quand la pandémie est survenue et que tout le monde a dû passer d’un coup au télétravail. La Covid a plus fait pour la transformation numérique que toutes les initiatives que j’avais pu lancer dans mes précédentes fonctions. Tant mieux, mais ce faisant les territoires ont énormément augmenté leur surface de risque, d’autant plus qu’ils ont le plus souvent une culture très réduite de la cybersécurité.

Aussi m’a-t-il paru nécessaire de m’intéresser à ces territoires, en partant du bas, du terrain : de ce point de vue, le pragmatisme militaire qui fait partie de ma culture m’y aide beaucoup.

Quels sont les objectifs qu’un homme de votre expérience assigne à ce nouvel outil au service des territoires, quelles sont les valeurs que vous voulez y voir appliquées ?

Le premier principe est de partir du terrain, des besoins. Trop souvent, des vendeurs de solution viennent et débitent leur argumentaire, sans vraiment écouter ce que leurs interlocuteurs ont à dire. Or, chaque territoire est particulier. Une ville moyenne qui s’est spécialisée dans le tourisme n’aura pas le même besoin qu’une autre dans une région viticole ou une troisième qui a encore un gros tissu industriel menacé par la crise économique. Si la cybersécurité est une, s’il y a forcément des points communs, les besoins sont différents et il faut donc d’abord écouter et dresser des diagnostics ensemble, au vu des forces et faiblesses du territoire, avant de proposer des actions. Le deuxième principe est celui de la bienveillance : trop souvent, les victimes voient venir des spécialistes qui leur disent « mais vous n’auriez jamais dû faire ceci ou cela, ce n’est pas bien ». De fait, souvent on blâme la victime, comme si c’était sa faute. Je pense au contraire qu’il faut accompagner les victimes et les futures victimes pour les aider à progresser.

Le dernier principe va de soi mais il convient de le rappeler : il s’agit d’œuvrer pour le bien commun et la cohésion nationale et territoriale. Une fois encore, il faut compléter par le bas ce qui se fait bien au niveau central.

Selon vous, qu’est ce qui explique le retard pris par les territoires et leurs composantes dans la prise conscience de la cybercriminalité et la mise en place de mesure et d’outils de Cybersécurité ?

Le sentiment qu’ils sont trop petits pour être visés (sentiment partagé aussi bien par les CT que par les PME PMI). Accessoirement, une question de ressources disponibles : il y a tellement de besoins par rapport à des moyens limités qu’on ne prend pas les mesures minimales de cybersécurité. On « prend le risque » car on estime qu’il y a d’autres urgences. Celles-ci sont bien sûr légitimes mais il faut désormais faire uen petite place à la cybersécurité. On ne peut plus la négliger.

Le problème, c’est que désormais, tout le monde est visé, la cybermenace ne vise plus seulement les gros. On a connu une vague incroyable de fraudes au président ces dernières années, puis de rançonnages contre des collectivités publiques au cours des 15 derniers mois. Elle dure encore et ne cesse d’enfler. Accessoirement, la pandémie a forcé tout le monde à passer au télétravail, ce qui a ouvert de gigantesques portes aux agresseurs…

La cyber menace ne peut plus être ignorée. Y répondre fait partie désormais des facteurs d’attractivité d’un territoire.

Que propose l’INCRT pour accompagner les territoires dans ce défi, désormais presque quotidien ?

Tout d’abord, une veille et un éveil. Il convient de parler aux territoires mais aussi de les écouter. De ce point de vue, l’institut sera une plateforme qui permettra à chacun de suivre et de rencontrer.

Ensuite, nous irons dans les territoires à la demande des CT afin de présenter et sensibiliser, mais aussi de montrer que des solutions simples existent. Nous agirons bien sûr avec nos partenaires comme cybermalveillance ou la Gendarmerie nationale. Enfin, s’il y a des demandes plus précises, nous voulons aussi être un « do tank » et mobiliserons notre réseau d’experts pour répondre aux besoins exprimés.

Olivier Kempf

Categories: Défense

Ce qu’a dit le ministre Boumzar sur la disponibilité de la liquidité

Algérie 360 - Tue, 11/17/2020 - 18:29

À la veille du début de versement des retraites, le ministre de la Poste, Ibrahim Boumzar, s’est exprimé, ce mardi 17 novembre, sur la disponibilité de la liquidité. Dans une déclaration à la presse, Ibrahim Boumzar a rassuré sur la disponibilité de la liquidité dans les bureaux de postes. «La liquidité sera disponible dans tous […]

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Categories: Afrique

LA VRAIE VIE DES ÉTUDIANTS ÉTRANGERS EN FRANCE

24 Heures au Bénin - Tue, 11/17/2020 - 18:28

(Par Aliou TALL)

Depuis la recherche d'une inscription dans un établissement d'enseignement supérieur français, jusqu'à leur séjour en France, en passant par la demande d'un visa long séjour, les étudiants africains rencontrent de sérieuses difficultés pour bien mener leurs études dans l'hexagone.
Dans ce film documentaire que j'ai réalisé dans plusieurs de villes de France avec des étudiants africains, je donne la parole aux concernés pour qu'ils expriment librement les difficultés auxquelles ils sont confrontés pour leur droit au séjour, le logement, leur travail pendant les études, et leur accès au marché de l'emploi une fois diplômés.

Lors des conférences que j'ai animées sur ces questions dans 20 villes universitaires de France, des difficultés récurrentes relatives au travail des étudiants étrangers pendant leurs études ont été soulevées. Si vous, ou un vos de vos proches, souhaitez étudier en France, je vous apporte ci-dessous des conseils et les bonnes informations à retenir pour éviter ces complications susceptibles de compromettre vos études.

Attention, un étudiant étranger en France ne peut travailler qu'à titre accessoire, et à certaines conditions.
Le code du travail français prévoit que le visa long séjour délivré à un étudiant étranger pour sa première année d'études en France, et le titre de séjour « Etudiant », constituent une autorisation de travail. Ainsi, l'étudiant étranger peut travailler pendant ses études, pour financer celles-ci ou satisfaire ses besoins d'existence.

Toutefois, la loi limite cette possibilité à une durée annuelle ne pouvant pas excéder 964h. Ce qui n'empêche pas beaucoup d'étudiants étrangers à transgresser cette limitation, volontairement ou à cause des circonstances particulières de leur job. Or la loi est très claire sur cette restriction. De sorte que les préfectures sanctionnent souvent des étudiants étrangers qui ne la respectent pas : soit en refusant le renouvellement de leur titre de séjour ; soit en ajournant leur demande de naturalisation, alors même qu'ils aient fait un changement de statut et disposent de revenus stables.

Pour être sûr que vous n'aurez pas de soucis en renouvelant votre titre de séjour, ou lors de votre demande naturalisation, assurez-vous auprès de votre employeur qu'il a accompli l'obligation légale de déclaration nominative à la préfecture. Il doit faire cette déclaration au moins deux jours ouvrables avant la date d'effet de votre contrat de travail (Et non la date de sa signature).

Assurez-vous que votre employeur ne s'est pas trompé de préfecture en faisant cette déclaration. Sur ce point, une erreur, insignifiante pour votre employeur, peut vous coûter cher. Si vous avez un titre de séjour « Etudiant », cette déclaration nominative doit se faire à la préfecture qui vous l'a délivré, même si vous avez déménagé entre-temps. Si vous êtes titulaire d'un visa long séjour valant titre de séjour, cette déclaration doit se faire à la préfecture de votre département de résidence, même si vous aviez donné une autre adresse au moment de l'obtention de votre visa ou de la vignette de l'OFII.

Comment travailler à temps plein légalement, pendant qu'on étudie en France ?
Si vous dépassez de quelques heures la limite annuelle des 964h de travail, la préfecture sera tolérante. Néanmoins, si vous souhaitez travaillez nettement au-delà de cette limite fixée par la loi, vous devez solliciter préalablement une autorisation de travail. La durée de cette autorisation de travail ne peut pas excéder 12 mois, mais elle est renouvelable. Il en est ainsi si vous suivez des études en alternance. Ce qui concerne beaucoup d'étudiants étrangers en France, et en concernera davantage, vu l'intérêt grandissant des cursus de formation en apprentissage.

Malheureusement, beaucoup d'étudiants étrangers font l'erreur d'entamer un contrat d'apprentissage ou de professionnalisation sans demander préalablement cette autorisation auprès de la Direction du travail. De ce fait, ils rencontrent souvent des problèmes avec leur employeur, qui découvre ce manquement plus tard. Ce n'est pas à l'employeur de demander cette autorisation (ne l'accusez pas de ne pas l'avoir fait, ni de ne pas vous avoir informé). Cela vous incombe. Vous serez en tort pour le renouvellement de votre titre de séjour, même si votre employeur a procédé à votre déclaration préalable, dans les formes et temps voulus par la loi.

Je vous conseille aussi d'avoir la diligence de demander le renouvellement de votre autorisation de travail pendant, et non avant, les deux mois qui précèdent son expiration. La durée de votre autorisation de travail est doublement arrimée à la date de validité de votre titre de séjour, et à la durée de votre contrat de travail qui est nécessairement un CDD. Donc elle ne sera renouvelée que pour la durée restant à courir de votre contrat de travail, et à condition que vous ayez pris la précaution de renouveler votre titre de séjour avant le terme de votre contrat.

Comment s'inscrire comme demandeur d'emploi pendant qu'on étudie en France, et bénéficier d'allocations chômage ?
Pour être inscrit comme demandeur d'emploi en France l'étranger doit remplir plusieurs conditions, dont la régularité et l'éligibilité de son titre de séjour. En principe la carte de séjour « Etudiant » est un titre de séjour précaire et ne vous permet pas de vous inscrire comme demandeur d'emploi, ni de bénéficier d'allocations chômage.

Toutefois, vous avez le droit à des allocations chômage si vous avez travaillé avec une autorisation de travail (Formation en Alternance) et que votre contrat a été rompu avant son terme par votre employeur, ou par vous-même suite à une force majeure. Donc n'oubliez pas de réclamer votre « l'argent » si vous êtes dans cette situation J.

Mieux, depuis un décret de février 2019, l'étudiant étranger diplômé peut s'inscrire à Pôle emploi comme demander d'emploi et bénéficier d'une allocation chômage et d'un accompagnement à l'emploi, s'il est titulaire d'une autorisation de travail pour étudiant étranger diplômé, qui a été muée en carte depuis septembre 2018, et qui est désormais dénommée carte de séjour « Recherche d'emploi ou création d'entreprise ».

Mieux encore, si vous êtes étudiant étranger mais que vous disposez d'un titre de séjour portant la mention « Vie privée et familiale », vous pouvez vous inscrire comme demandeur d'emploi pendant toute la durée de vos études. Le cas échéant, votre extranéité n'impacte en rien l'exercice de ce droit. Votre formation peut même être financée par Pôle emploi.

Aliou TALL,
Président du RADUCC.
Email : raducc@hotmail.fr

Categories: Afrique

Az oktatásügyi tárca legkésőbb március elején fog tájékoztatást adni az érettségi vizsgákról

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 11/17/2020 - 18:20
Az oktatásügyi minisztérium a jövő évben, legkésőbb március elején fog tájékoztatni az érettségi vizsgákról – jelentette be Branislav Gröhling (SaS) oktatásügyi miniszter.

Rogers Plan für 2021: Federer will seine Geheimwaffe zurückbringen

Blick.ch - Tue, 11/17/2020 - 18:18
Im Januar will Roger Federer (39, ATP 5) wieder auf der ATP-Tour angreifen. Auch sein alter Lieblingsschlag soll dann vermehrt zu sehen sein.
Categories: Swiss News

BLICK Abstimmungs-Kampf: Kovi-Befürworter holen sich Gratis-Inserat

Blick.ch - Tue, 11/17/2020 - 18:09
Die Gegner hatten keine Chance: Mit 81,3 Prozent der Stimmen können die Befürworter der Konzernverantwortungs-Initiative den «BLICK Abstimmungs-Kampf» für sich entscheiden.
Categories: Swiss News

Uniform and fair asylum procedures at the EU borders have not been achieved

Written by Wouter van Ballegooij and Katharina Eisele,

© Adobe Stock

Fast-tracking procedures at European Union external borders for determining whether individuals are entitled to international protection is a priority in the proposed Pact on Migration and Asylum. Asylum procedures at the border are in fact not new in European Union policy.

What are the rules for asylum and international protection in the EU? EU Member States have committed to offering protection to those who have to leave their home country to seek safety from persecution or serious harm. Through the ‘Common European Asylum System’ (CEAS), the EU has developed legal and policy instruments for the management of asylum in the EU that apply from the moment someone has lodged an asylum application until the moment the application has been recognised or rejected upon appeal.

The CEAS includes common procedures for granting and withdrawing international protection, laid down in the Asylum Procedures Directive (APD). Article 43 of the APD allows for border procedures: When applications for international protection are made at the border or in a transit zone of a Member State prior to a decision on the entry of the applicant, Member States can provide for admissibility and/or substantive examination procedures at these locations. Furthermore, the directive allows the possibility to apply border procedures in transit zones or in proximity of borders in the event of large numbers of arrivals.

Key findings of the EPRS European Implementation Assessment

A European Implementation Assessment, based on two external studies, concludes that uniform and fair asylum procedures at the European Union border have not been achieved to date. Why is this? While the failure is due to patchy implementation of EU law, it is also caused by lack of clarity in the underlying EU legal framework.

In terms of effectiveness, important differences remain between Member States with regard to the concept and scope of the EU border procedure, notably on restrictions of liberty and procedural guarantees. Furthermore, implementation is not properly monitored and enforced.

The systematic and extended use of (de facto) detention in the context of border procedures is not in line with the right to liberty. Procedural guarantees provided for in the APD are not, or only restrictively, applied in practice. Vulnerable applicants, including unaccompanied minors, continue to be subject to border procedures and held in detention facilities, raising questions as regards compliance with the rights of the child.

Short time limits to lodge and decide on appeals and the lack of suspensive effect of appeals in certain countries, raise concerns as to whether effective remedies are provided. The costs of border procedures are significant and probably disproportionate under the current circumstances, given that their objectives are not being achieved. Beyond administrative costs, border procedures entail significant human cost for the individuals affected by their application. In terms of coherence, the framework for border procedures under the APD is complex and unclear, in part due to the various cross-references to other provisions of the APD and the application of other CEAS instruments.

The way forward: recommendations

The European Implementation Assessment makes a number of recommendations to address these shortcomings in future legal and practical arrangements for border procedures:

  • Importantly, access to asylum procedures should be ensured at all times and at all external borders of the European Union. EU law should further limit the applicability of the border procedure. The border procedure should only be used following an individual assessment of the circumstances of the case, including an examination of potential special reception and procedural needs.
  • The asylum applications of (unaccompanied) children and asylum applicants with special (reception and/or procedural) needs should not be processed in a border procedure. Where EU authorities seek to return an individual to a non-EU country, the safety of such return is to be ensured.
  • Adequate funding and training of border guards and appropriate time limits are needed, to ensure that the determining authority is able to gather all necessary information and can take a careful asylum decision. Member States need to collect and transmit statistics on the scope of their border procedure. Independent monitoring, through the creation of an EU asylum monitoring mechanism, should verify the quality of the decision-making process and its outcome, as well as detention conditions and compliance with procedural safeguards.
  • Any use of detention, as well as restrictions of free movement, should be mandated by domestic law in compliance with EU legislation on reception conditions for asylum-seekers, and subjected to proportionality assessment in each case, taking alternatives into account. Border detention facilities must be adequate and ensure a dignified standard of living that guarantees subsistence and protects physical and mental health. A decision to detain an applicant or restrict her/his free movement should be subject to a speedy judicial review.
  • During a border procedure, applicants for international protection should be entitled to free legal and linguistic assistance by qualified legal advisers and interpreters. Applicants should also be able to communicate with the outside world, in order to gather information about the asylum procedure and, to gather and submit evidence in support of their asylum claim.
  • Finally, the time frame allowed should be sufficient to enable applicants to prepare and substantiate their asylum application and to make effective use of all procedural rights granted to them, including those during appeal.
Categories: European Union

Esclavage : Parodie de justice à Néma

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 11/17/2020 - 18:00
Le Calame - La cour spéciale de Néma chargée de juger les crimes d'esclavage a tenu une séance le jeudi 13 novembre 2020 pour examiner le...
Categories: Afrique

Bosna i Hercegovina, 25 godina posle Dejtona (1/12) : izvan klišea

Courrier des Balkans - Tue, 11/17/2020 - 17:49

Koliko poznajemo Bosnu i Hercegovinu 25 godina posle Dejtonskog sporazuma ? Kakvu predstavu imamo o ovoj zemlji, njenim stanovnicima, gradovima i krajolicima ? Prvi deo serije koja pod lupu stavlja bosansko društvo.
Alin Kate
Četvrt veka od završetka rata, Kurije de Balkan (le Courrier des Balkans) otvara veliki ciklus promišljanja o političkoj i ekonomskoj situaciji u Bosni i Hercegovini, društvenim i ekološkim pokretima u zemlji i o mogućem putu u bolju budućnost.
Serija realizovana u saradnji (...)

Categories: Balkans Occidentaux

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