Le président de la Commission Béninoise des Droits de l'Homme (CBDH) Abou-Bakari Imorou a défendu un budget de 835 458 921 FCFA pour l'exercice 2026.
La Commission Béninoise des Droits de l'Homme sollicite un budget de 835 458 921 FCFA pour l'année 2026 soit une hausse de 13,81% par rapport à 2025. Cette augmentation est justifiée par la dotation de 100 millions FCFA pour l'opérationnalisation du Mécanisme National de Prévention de la torture (MNP). Il est aussi noté un ajustement de 1 348 394 FCFA au titre des dépenses de personnel.
Selon le budget, il est prévu 438 847 921 FCFA pour les dépenses de personnel, 389 711 000 FCFA pour les achats de biens et services. Avec ce budget en hausse, la CBDH entend assumer ses missions de prévention des violations des droits humains, de lutte contre la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants dans les lieux de privation de liberté sur l'ensemble du territoire national. Sans oublier la protection des personnes privées de liberté, la promotion de la culture des droits de l'homme, ainsi que le suivi des engagements internationaux.
Le 14 décembre 1995, les accords de paix de Dayton-Paris mettaient à la guerre de Bosnie-Herzégovine. Leur « annexe constitutionnelle » dotaient le pas d'une Constitution « provisoire », toujours en vigueur.
Critiqués pour avoir doté le pays d'institutions dysfonctionelles et parmi les plus complexes au monde, les accords de Dayton ont eu l'immense mérite de mettre fin aux combats, mais n'ont-ils pas figé la Bosnie-Herzégovine dans un « éternel après-guerre », donnant toutes les clés du (…)