WIL SG - Seit über einem Jahr kämpften Wiler gegen eine Hundebesitzerin und ihren Schäferhund Campino. Das Tier biss mehrere Menschen und Artgenossen. Jetzt griffen die Behörden durch: Seine Besitzerin wurde nun verurteilt und Campino eingeschläfert.
Hundehalter aus Wil SG können mit ihren Vierbeinern beruhigt wieder durch das Gebiet Sömmeri nahe des Wiler Aussichtsturms spazieren gehen. Der gefürchtete Schäferhund Campino wurde am Freitag eingeschläfert, wie das «St. Galler Tagblatt» berichtet.
Das Tier und seine Halterin sorgten seit mehr als einem Jahr für Unmut bei den Einwohnern Wils. So attackierte Campino mehrere Hunde und biss auch ihre Besitzer. «Mein Hund wurde in den Hintern gebissen. Ich war ganz verdattert und wusste nicht, wie mir geschah», sagte Edith Schweigl zum «St. Galler Tagblatt».
Auch Martina Molls Hund wurde von Campino verletzt und musste an Rücken und Hinterlauf genäht werden. Moll selbst wurde in die Hand gebissen.
Vier Anzeigen gegen HalterinObwohl die Frau zwei Schäferhunde zu Hause hält und seit 30 Jahren auch Schäferhunde ausbildet, sei sie «nicht in der Lage, ihre Hunde im Senkel zu halten», sagte der Betroffene Max Jöhl zur Zeitung.
Die Hundebesitzer waren sich einig: «Die Halterin ist das Problem, nicht der Hund». Vier Personen erstatteten zwischen Februar 2017 und Juni 2018 Anzeige gegen die «belehrungsresistente» Hundehalterin aus Rossrüti SG, wie die Zeitung berichtet.
Geldstrafe und BusseIn einem Fall hat die Staatsanwaltschaft ein Verfahren eröffnet und die Schäferhund-Besitzerin wegen Tierquälerei, Übertretung des Tierschutzgesetzes und Übertretung des kantonalen Hundegesetzes zu einer bedingten Geldstrafe von 4200 Franken und einer Busse von 420 Franken verurteilt.
Ausserdem verhängte die Stadt Wil im November 2017 eine Maulkorbpflicht für die beiden Schäferhunde. Doch das half nicht, die letzte Attacke vor rund zwei Wochen zu verhindern. Die Besitzerin begründete das Verhalten ihres Vierbeiners mit einem traumatisierenden Erlebnis in seiner Jugend. Am Ende willigte sie ein, Campino einzuschläfern. (man)
Le président de l'Union fait la nation (UN), Bruno Amoussou, invité sur la télévision nationale dans la nuit de ce mardi 03 juillet 2018, a expliqué les fondements de la proposition de loi portant amendement de la constitution du 11 décembre 1990, dont il fait partie des initiateurs.
Selon le président de l'UN, conformément à la constitution, l'Exécutif tout comme les députés ont l'initiative des lois. Dans le contexte actuel, ce qui nous amène ici à nous intéresser à cette question est que « nous sommes à la charnière d'une situation qui nous amène où à faire des élections en 2019, à faire des élections en 2020, en 2021 et successivement », a-t-il rappelé. Lorsqu'on va au-delà, poursuit-il, on voit bien une situation qui doit préoccuper tout le monde, notamment les députés et deuxièmement, il y a longtemps qu'à l'Union fait la nation, les militants se sont battus pour revoir le système politique dans le pays. Parce qu'il apparaît que si on n'agit pas à ce niveau, tous les efforts qui sont consentis ne donneront rien du tout. Il était donc utile de partager cette expérience avec d'autres forces politiques et c'est la conjonction de tout cela qui amène à prendre l'initiative non pas d'une révision constitutionnelle, mais à prendre l'initiative de revoir le code électoral et de revoir la charte des partis politiques, a expliqué Bruno Amoussou. S'il s'avère qu'il faut aller plus loin dans ce qui est sur la table des députés aujourd'hui, il faut toucher à la constitution. Raison pour laquelle les propositions qui sont faites sont limitées à quatre points essentiels utiles à la résolution des problèmes qui sont évoqués, à savoir la suppression de la peine de mort, la question de la Cour des comptes, la question de la représentativité des femmes au parlement et enfin le couplage des élections.
Il rejette les opinions qui y voient derrière la main du président de la République et affirme que les quatre propositions étaient sur le tapis bien avant l'arrivée de Patrice Talon au pouvoir et que des débats ont été faits et tout le monde était d'accord. Pour ces différents points, souligne le président d'honneur du PSD, il y a eu des difficultés majeures à ce qu'on prenne des dispositions législatives pour favoriser la présence des femmes à l'Assemblée nationale.
A propos des élections, Bruno Amoussou a expliqué que nous avons une série à référence de cinq ans. Il rappelle qu'en 1991, il y a eu la présidentielle, quatre ans après, il y a eu les législatives, mais au moment où on faisait ces législatives, il reste un an pour le président de la République mais juste après cette élection du président de la République, trois ans après, nous allons aux élections législatives et après l'élection du président de la République, la phase suivante, nous allons aux élections un an après aux législatives qui ont coïncidé avec la présidentielle en 2011. Un scénario qui va se reproduire 20 ans après. Ainsi, nous avons des décalages successifs entre les législatives et les présidentielles soit de 4 ans, soit de 3 ans soit de 2 ans ou de 1 an. « D'où la nécessité de revoir l'ensemble pour que de façon fixe, nous ayons des élections groupées », soutient Bruno Amoussou. Pour y arriver, la première chose à faire, selon le président d'honneur du PSD, c'est de porter le mandat des députés à 5 ans.
L'autre question selon lui, est de savoir s'il faut faire les élections dans la même année ou décaler les élections législatives par rapport à l'élection présidentielle comme certains l'ont proposé. Le débat a été mené et il a été retenu que les deux élections aient lieu dans la même année, informe le président. Cela est indispensable pour que le pays ait une année pour s'occuper de ces questions et les autres pour penser à réfléchir aux difficultés du pays. Cette proposition a été faite depuis 2012 suivant les propositions des deux commissions Ahanhanzo et celle de Gnonlonfoun, mises en place en 2011 par le président Boni Yayi. La commission Gnonlonfoun notamment a recommandé cela et a aussi fait la même recommandation. Selon le président de l'Union fait la nation, il ne faut pas s'asseoir pour voir quel point de la constitution il faut réviser. « Il faut s'attaquer aux problèmes qui se posent au pays. Si pour résoudre un problème, c'est juste un arrêté qu'il faut, peut-être pour l'autre c'est un décret et pour d'autre, c'est une loi, et s'il s'avère nécessaire qu'il faut toucher à la constitution, on va s'asseoir pour réviser la constitution », a-t-il indiqué. Selon lui, pas de révision de la constitution pour le principe. Il faut l'associer à la résolution d'un problème précis. Dans le cas d'espèce, il s'agit de l'alignement des mandats. Le système actuel ne permet pas de stabiliser le calendrier électoral. C'est un système qui se renouvèle tous les 20 ans. La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui, c'est-à-dire, nous allons faire des élections en 2019, 2020 et 2021. Un système que le pays a connu 20 ans plus tôt en faisant des élections législatives en 1999 et la présidentielle en 2001. Il s'agit de la même chose, un décalage de 2 ans. Et cette situation, nous pourrions la vivre en 2031. Au lieu de cela, indique le président de l'UN, on ramène tout à 5 ans et on maîtrise cela et on a un système plus stable que ce qui se fait aujourd'hui.
Abordant la question du code pénal, l'invité de l'Ortb a affirmé qu'un nouveau code électoral a été rédigé parce que l'ancien est une compilation de plusieurs lois qui ont été votés sur une période de 7 à 10 ans. « On a mis côte à côte des lois, nous les avons rassemblées pour faire un code. Ces lois ayant été votées à des intervalles très différents dans des contextes différents, il y a des contradictions dans certains articles », renseigne-t-il. Il s'est réjoui de ce qu'il n'y ait pas eu de contestations lors des dernières élections, parce que chaque avocat trouvera un article pour défendre son client et l'autre aussi trouvera un article pour défendre son client. Il a été donc décidé de faire une véritable code, de fondre toutes ces différentes lois avec les dispositions habituelles de la loi.
Au cours des séminaires, les discussions ont porté sur certains points. Le plus imminent est qu'on demandait de résider pendant un an et sans interruption, sur le territoire nationale avant d'aller aux élections. Bruno Amoussou estime qu'il n'est pas juste de penser que c'est une introduction nouvelle. Cette disposition figurait déjà dans l'ancien code et date même de la conférence nationale.
La question du quitus fiscal n'est pas restée en marge des discussions. Selon le président, le quitus fiscal « n'est pas une invention qui est sortie de la tête comme ça ». Citant le rapport de la commission Ahanhanzo et celui de la commission Gnonlonfoun, celle qui a réuni la plupart des constitutionnalistes du pays, on trouvera que ces commissions ont proposé le quitus fiscal, et c'est de là qu'a été tiré la fusion, la proposition qui a été intégrée à la proposition actuelle, informe Bruno Amoussou. Pour lui, ce n'est pas quelque chose qui n'a jamais été pensé ou juste inventée pour nuire à quelqu'un. Le consensus est que si quelqu'un décide d'être député, on doit s'assurer qu'il s'est acquitté de ses impôts.
Au sujet des exigences du seuil alors qu'un député est élu dans une circonscription électorale, Bruno Amoussou pense que c'est une façon de renforcer la cohésion nationale. Prenant l'exemple de l'Allemagne, lorsque la liste sur laquelle vous vous trouvez, recueille au plan national un pourcentage infirme de voix, chaque liste ayant pour sous bassement une opinion, on considère que l'orientation que représente cette liste n'est pas significative au plan national, et que c'est une opinion locale qui peut s'exprimer et se défendre au niveau des collectivités territoriales. Il n'est donc pas possible de porter une opinion qui n'est pas soutenue par un nombre suffisant. « Donc si vous êtes élu dans une circonscription, vous êtes porteur d'une opinion extra minoritaire dans le pays et il est normal qu'on dise que votre opinion, ce que vous portez par votre liste n'est pas assez significative même si vous êtes élu dans une circonscription ».
F. A. A.
Par: M. M.
Boukhanchouche : «je ne me suis pas absenté pour assister à un mariage, J’étais en vacances au Maroc»
Après plus d’un mois de vacances, les joueurs de la JSK ont été appelés vendredi dernier à reprendre le chemin de l’entraînement à l’Ecole supérieure d’hôtellerie de Ain Benian. En effet, 22 joueurs étaient présents pour la première séance dirigée par le trio Karouf, Raho et Sayah. Ces derniers ont été tous briefés par le nouvel entraîneur, Franck Dumas, lequel leur a communiqué un programme détaillé à suivre durant la première semaine du moment qu’il devrait arriver, aujourd’hui, au plus tard. Cependant, l’un des cadres et au moment où tout le monde se donnait à fond, a préféré prolonger ses vacances. Il s’agit du milieu de terrain, Salim Boukhanchouche. Il est vrai qu’il a été autorisé à faire l’impasse sur une ou deux séances mais l’international a carrément zappé les cinq premiers jours. Ce qui a énormément irrité les dirigeants qui, à un certain moment, n’avaient pas assez de détails sur la date exacte de son retour aux entraînements. Mais lundi soir, nous avons appris d’une source officielle que Boukhanchouche allait reprendre le lendemain matin. Cependant et avant qu’il ne soit autorisé, il a été convoqué par le manager général, Karim Doudane, pour tirer les choses au clair et savoir les raisons qui l’ont poussé à rater un bon nombre de séances. Et selon nos sources, l’ancien pensionnaire de l’OM a justifié ses absences en présentant des arguments solides à son responsable. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que tout est rentré dans l’ordre. Une nouvelle page a été ouverte.
Premier et dernier avertissement
Même si personne ne voulait montrer quoi que ce soit, les dirigeants de la JSK étaient tous remontés contre Salim Boukhanchouche pour n’avoir respecté personne. Alors que ses coéquipiers s’entrainent deux fois par jour, lui était toujours en vacance. Et c’est pour cette raison qu’il a été convoqué par Karim Doudane lequel l’a averti pour la dernière fois. Désormais, au cas où il refait le coup, une amende lui sera infligée.
Il s’est excusé auprès de ses coéquipiers
Après s’être entretenu avec Doudane pendant plusieurs minutes, le milieu de terrain a été appelé à présenter ses excuses à ses coéquipiers. Et par respect aux membres du staff technique, l’international a serré la main à tout le monde. Un geste qui devrait pousser les responsables à passer l’éponge.
Il a pris part à l’entraînement de l’après-midi
Alors qu’il a profité de la matinée pour régler son problème avec la direction en rencontrant Karim Doudane, le milieu de terrain, qui a raté la séance matinale, a été autorisé à rejoindre ses coéquipiers l’après-midi. Il a commencé par quelques tours de piste avant de travailler légèrement avec le groupe
Boukhanchouche : «je ne me suis pas absenté pour assister à un mariage, J’étais en vacances au Maroc»
Cela fait cinq jours que l’équipe s’entraîne à Aïn Benian et c’est hier matin que le milieu de terrain, Salim Boukhanchouche, a rejoint le groupe. Ce dernier qui a fait l’impasse sur plusieurs séances, a, rappelons-le, agacé les dirigeants qui ont même commencé à s’inquiéter. Joint par nos soins en fin de soirée, l’international a expliqué les raisons de son retard ainsi que plusieurs autres choses que nous allons découvrir ensemble.
Vous avez repris l’entraînement, comment vous sentez-vous ?
Effectivement, j’ai rejoint mes coéquipiers dans l’après-midi et je me sens en superforme. Je peux vous dire que j’ai bien profité de mes vacances et à présent, je me sens prêt à me donner à fond et à préparer convenablement la nouvelle saison.
Peut-on savoir pourquoi vous avez raté sept séances ?
Beaucoup de choses ont été dites à ce sujet. Les gens m’accusaient à tort et je ne sais pourquoi. Certains disent que j’étais dans un mariage, alors que ce n’est pas vrai. Je suis parti au Maroc pour passer quelques jours et je suis rentré dimanche soir. Si vous permettez, je voudrais ajouter quelque chose.
Allez-y…
Lorsque je me suis arrangé avec le président, j’avais demandé à avoir quelques jours de plus par rapport à mes coéquipiers. J’avais prévu de partir en voyage et dès que je suis rentré, je me suis dirigé à la maison pour passer une nuitée avant de rejoindre mes coéquipiers à Aïn Benian. Voilà toute la vérité.
Vous avez eu une discussion avec le manager Karim Doudane. Qu’es-ce qu’il vous a dit au juste ?
Oui, dès que je suis arrivé, j’ai discuté avec Doudane. Je lui ai tout expliqué. J’étais attentif à ses remarques. Il m’a même demandé de présenter des excuses à tout le monde.
L’avez-vous fait ?
Oui, sans hésitation et c’est la moindre des choses. J’ai présenté mes excuses à tous les joueurs. Je leur ai fait savoir que je ne l’ai pas exprès. Tout est rentré dans l’ordre.
Peut-on dire que c’est une nouvelle page qui s’ouvre pour vous ?
Oui, je l’espère d’ailleurs. Je ne veux pas vivre les moments difficiles de la saison passée. Je suis venu pour me donner à fond et apporter un plus à l’équipe. Je veux progresser et contribuer au grand retour de la JSK. Je vais me sacrifier pour atteindre cet objectif.
Comment avez-vous trouvé l’ambiance au sein du groupe ?
L’ambiance est magnifique. Je me suis vite senti à l’aise malgré qu’il existe plusieurs nouveaux joueurs. Je crois que la qualité existe et nous allons mettre la main dans la main pour réussir notre pari.
Ne pensez-vous pas que vous avez un retard à rattraper très rapidement ?
Non, je ne pense pas que je sois en retard puisque je vais travailler plus que mes coéquipiers. Il reste encore plusieurs jours de préparation, ça devrait me suffire pour retrouver ma forme.
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Par: T.Che.
« Contre Grenoble, on doit mettre notre jeu en place avec la victoire au bout »
Interrogé, Bernard Casoni nous dira sur cette séance vidéo qui est, selon lui, primordiale pour corriger les carences constatées. « Nous avons programmé cette séance vidéo qui est très importante car elle nous permet de voir ce qui a marché contre Clermont Foot et ce qui n’a pas marché. A travers cette projection, on fera le point afin de corriger ce qui doit être fait. C’est comme ça qu’on s’améliore et qu’on progresse », nous a lancé Casoni.
« Contre Grenoble, on doit mettre notre jeu en place avec la victoire au bout »
Gagneur dans l’âme, Bernard Casoni certes entend profiter de ce match amical contre Grenoble pour parfaire le collectif de son équipe sans pour autant occulter la victoire qui reste importante pour le moral des troupes. « Contre Grenoble, ce sera un autre très bon match test face à un adversaire de Ligue 2. C’est vrai qu’on va mettre en place notre jeu mais avec l’envie aussi de gagner. On sait que la victoire engendre de la confiance et la confiance permet aux joueurs de se libérer », dira t-il.
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Par: Tarek-Che.
Il faut s’adapter. On travaille dans un cadre idyllique. Le club a mis à notre disposition tous les moyens pour réaliser une très bonne préparation.
Très affûté, Aliou Dieng a une nouvelle fois montré qu’il était déjà au top de sa forme et qu’on pouvait compter sur le lui le 17 juillet contre le TP Mazembe. Le joueur malien nous a déclaré dans cet entretien sa flamme pour le club congolais qui l’a toujours fait rêver depuis qu’il est gamin.
Comment se déroule la préparation alors que la chaleur caniculaire est de retour ?
Il faut s’adapter. On travaille dans un cadre idyllique. Le club a mis à notre disposition tous les moyens pour réaliser une très bonne préparation. Rien n’a été laissé au hasard par le staff technique. On bosse très dur pour être prêts pour le match de Ligue des champions.
Vous avez été tout particulièrement ovationné lors du match amical face à Clermont Foot. Vous affichez une forme éblouissante, ce qui est rassurant avant de replonger dans la compétition africaine, n’est-ce pas ?
J’ai de très bonnes sensations. J’étais assez satisfait de mon rendement contre Clermont Foot même s’il me reste du travail car je dois encore progresser dans les phases de transitions. Nous avons été solides avec un bloc défensif haut puis bas sans concéder des occasions nettes de scorer, à l’exception d’une action vers la fin de la partie. Maintenant, on doit faire encore mieux en termes de jeu contre Grenoble.
Ce sera un deuxième test qui sera révélateur de l’état de forme de chacun…
Absolument. Ce match nous permettra de travailler encore plus notre bloc. Comme le coach l’exige, il faut se projeter rapidement vers l’avant avec de la verticalité. A nous de répondre aux attentes du staff technique qui veille à ce qu’on applique à la lettre les consignes de jeu.
On constate une très bonne ambiance au sein du groupe…
C’est fabuleux ! Il y a les nouvelles recrues qui se sont très vite adaptées à la vie du groupe et l’état d’esprit du vestiaire. Ça été le cas pour moi car tout le monde m’a mis très vite l’aise.
Les Chnaoua de France qui étaient présents en nombre à Clermont-Ferrand ont réclamé le titre. De quoi vous mettre une pression supplémentaire, non ?
C’est une très bonne chose de pouvoir compter sur l’appui de nos fans même à l’étranger. Leur revendication est légitime car le Mouloudia est un très grand club qui est taillé pour jouer les titres et les compétitions africaines. Ce sera à nous les joueurs de répondre à ses attentes.
Est-ce que vous serez prêts pour affronter le TP Mazembe chez lui à Lubumbashi ?
Je vais vous faire une confidence. De puis que je suis gamin, je suis charmé par le TP Mazembe qui est un club énorme avec un palmarès impressionnant. J’étais séduit par le jeu produit par cette équipe. Et je ne vous cache pas que c’était un rêve de gamin pour moi de jouer un jour face au TP Mazembe. Mais cela ne va pas m’empêcher de tout donner face à cette équipe congolaise. Croyez moi, même si on sera des outsiders, on jouera sans le moindre complexe avec l’idée de réaliser une belle perf’ là-bas même si ce n’est jamais simple.
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DIW-Studie: Europäische Erdgasversorgung ist bereits gut diversifiziert und krisenfest, außerdem sinkt der Bedarf an Erdgas
Die geplante Ostseepipeline Nord Stream 2 ist zur Sicherung der Erdgasversorgung nicht notwendig. Deutschland und Europa verfügen bereits jetzt über ein gut ausgebautes Netzwerk von Pipelines und Lieferregionen, das weiter diversifiziert und darüber hinaus im Bedarfsfall durch Flüssiggaslieferungen ergänzt werden kann. Sowohl die deutsche als auch die europäische Erdgasversorgung ist damit krisenfest. Dies zeigen Modellrechnungen des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin). „Die Erdgasversorgung ist sicher. Dank einer gut entwickelten Infrastruktur und einer Vielfalt an Lieferländern kann und wird es keine Versorgungsengpässe geben. Selbst ein unwahrscheinlicher Totalausfall der russischen Erdgaslieferungen könnte durch alternative Bezugsquellen und Effizienzsteigerungen ausgeglichen werden. Zudem zeigen Szenarien, dass der Erdgasbedarf eher zurückgeht“, sagt DIW-Energieexpertin Claudia Kemfert.
Par: Farid A.
Il a été informé de son licenciement par un intermédiaire
Apparemment, le CRB est loin de sortir de la crise ! En effet, et contre tout attente, le président, Mohamed Bouhafs, a décidé de mettre fin aux fonctions du directeur général, Ahmed Djaâfar, dans la soirée de lundi, après des tensions entre les deux hommes, pourtant très proches ces derniers mois.The post CRB : Bouhafs lâche son bras droit Djaâfar appeared first on .
Die französische Smartphone-Marke konzentriert sich auf Einsteigergeräte und die Mittelklasse. Das Alcatel 5 für 255 Franken wartet mit einigen positiven Überraschungen auf.
Als Marke ist Alcatel durchaus ein Begriff. Doch die französische Firma, einst eine Grösse auf dem Telekommunikationsmarkt, ist heute total zerstückelt. Viele Firmenbereiche gehören Nokia, die Smartphones werden vom chinesischen Konzern TCL hergestellt.
Trotzdem spürt man beim neuen Alcatel 5 irgendwie noch die europäischen Wurzeln. Es ist nämlich wohltuend anders und hebt sich aus der Masse der Hunderten Mittelklassegeräte aus Asien ab, die zwar technisch und designmässig auf hohem Niveau sind, aber sich irgendwie alle ziemlich ähneln.
Das Alcatel 5 ist ab 255 Franken bei uns im Handel erhältlich, etwa bei Techmania.ch. Das 5,7-Zoll-Gerät wirkt deutlich eckiger als viele Konkurrenten. Es ist angenehm leicht, dünn und liegt schön kompakt in der Hand. Allerdings hat das Android-Handy nur eine Plastikhülle. Immerhin ist diese hochwertig, sodass dies nicht gross stört.
Der Brand preist das Gerät zwar als «randlos» an, was allerdings eine Übertreibung ist. Der 18:9-Screen hat zwar an den Seiten schön dünne Ränder, und auch unten ist nicht viel Gehäuse zu sehen. Oben allerdings steht ein dicker Streifen heraus. Hier sind Sensoren, Kameras und Lautsprecher eingebaut.
Das Alcatel 5 ist optisch überzeugend, technisch durchwachsenInsgesamt macht das Alcatel 5 optisch eine sehr gute Figur, technisch ist der Eindruck etwas durchwachsen. Das Display ist recht hell und hat satte Farben, die Auflösung ist mit 1440 auf 720 Pixel allerdings etwas zu tief. Bei grafisch anspruchsvollen Webseiten etwa sind durchaus Pixel zu sehen.
Auch der MediaTek-Prozessor ist nicht wirklich ein Highlight. Für den normalen Alltag reicht er zwar aus, schon bei Game-Apps wirds aber manchmal etwas schwierig. Immerhin gibts ausreichende 3 GB Arbeitsspeicher, sodass Android 7.1 Nougat flüssig läuft.
Schade aber setzt der Hersteller auf eine doch inzwischen recht alte Android-Version. Die dann erst noch eine eigene Oberfläche aufgepfropft bekommt. Die ist zum Glück nicht allzu überladen, bringt aber auch nicht wirklich viel Mehrwert.
Doch genug kritisiert, denn Alcatel macht auch vieles genau richtig. So gibts 32 GB Speicher, der um bis zu 128 GB erweiterbar ist. Und auch die 3000 mAh grosse Batterie reicht gut für einen Arbeitstag mit recht intensiver Nutzung. Der Fingerabdruckscanner auf der Gehäuserückseite ist schnell, zusätzlich kann man eine gut funktionierende Gesichtserkennung nutzen. Die ist allerdings nicht ganz so sicher.
Die Selfie-Cam hat zwei Linsen und kann Weitwinkel knipsenAlcatel setzt wie viele andere auch auf eine Dual-Cam – aber nicht hinten für die Hauptkamera, sondern vorne für Selfies. Und das macht durchaus Sinn. Denn die Konkurrenz nutzt die zwei Linsen oft nur für Porträt-Fotos mit unscharfem Hintergrund, die dann meist nur mittelmässig werden.
Beim Alcatel 5 gibts ein Selfie-Duo mit 13-Megapixeln und 5-Megapixeln, das automatisch oder manuell zwischen normal und 120-Grad-Weitwinkel umschaltet. Sprich: Man bringt auch eine ganze Gruppe aufs Selfie-Bild. Gerade für junge Nutzer, die vielleicht gar öfter Selfies schiessen als normale Fotos, eine spannende Alternative.
Die Selfies werden ziemlich gut, da kann das Smartphone locker mit doppelt und dreimal so teuren Geräten mithalten. Auch die 12-Megapixel-Kamera mit automatischem HDR macht anständige Bilder, solange genug Tageslicht vorhanden ist.
Das BLICK-Testfazit: Für 255 Franken gibts bei Alcatel viel Smartphone. Zwar gibts bei der Ausstattung einige Schwächen, mit denen man aber durchaus leben kann. Gut gefallen hat das im Vergleich zur Masse etwas andere Design und die clevere Selfie-Lösung.
VIENNA, 4 July 2018 – With the number of people killed or injured globally by landmines having doubled in the last five years, today’s OSCE Forum for Security Co-operation (FSC) meeting in Vienna, held under Slovenia’s Chairmanship, focused on the threat posed by these “silent killers” and on the different approaches the OSCE is taking in affected states to address this challenge.
Opening the meeting, Ambassador Andrej Benedejčič, Chairperson of the Forum and Permanent Representative of Slovenia to the OSCE, said that demining is of great importance to Slovenia, and in 1998 the country established a humanitarian, non-profit organization - ITF Enhancing Human Security - to support mine clearance in Bosnia in Herzegovina.
“One of the challenges that still affects the Western Balkans, but also concerns other OSCE regions, is the issue of land mines. In fact, this is again becoming an alarmingly topical concern, with the global number of land mine victims doubling in the past five years,” said Ambassador Benedejčič. “The OSCE is well aware of this regrettable trend. A little more than a year ago a member of the Special Monitoring Mission to Ukraine was lost to one of these ‘silent killers.’”
ITF Enhancing Human Security, which is now present around the world, and this year marks its 20th anniversary, has at its core a human-centred approach, as individuals and societies suffer most from landmines and unexploded remnants of war, said the organization’s director, Ambassador Tomaž Lovrenčič.
“It is important to emphasize that humanitarian mine action can only be effective if demining work is complemented by mine risk education, mine victims assistance, stockpile destruction and advocacy,” he said. “Land mines hinder any possible development and importantly aggravate the humanitarian situation in affected countries, so it is of utmost importance for the international community to ensure an environment that is conducive to demining, assisting mine victims and other vital elements of mine action.”
Highlighting the gender perspective in line with the recurring theme of Slovenia’s FSC Chairmanship, Arianna Calza Bini, the Director of the Gender and Mine Action Programme, an international expert organization based in Geneva, said gender has a significant impact on the consequences of conflict and mine contamination: the majority of direct victims are men and boys, whilst the majority of indirect victims are women and girls.
“Including gender in mine action is vital to avoid exacerbating inequalities, but also to make sure that mine action operations and activities reach and benefit all groups in a community,” she said. “By engaging women in all aspects of mine action, from clearance to data collection, victim assistance and mine risk education, mine action operations are more inclusive, and better represent the concerns, and priorities of women and girls.”
The Forum for Security Co-operation then heard from two heads of OSCE Field Operations, who shared perspectives from the OSCE’s work on the ground.
“The OSCE’s added value to mine action stems from its holistic and cross-dimensional approach to security,” said Ambassador Tuula Yrjölä, Head of the OSCE Programme Office in Dushanbe. “In Central Asia, the Programme Office supports Mine Action and Explosive Hazards Reduction as a platform for co-operation, building capacities as well as sharing experience and best practices among governments, ministries and institutions.”
She added that Tajikistan is close to being declared a mine-free country but additional funding and support is necessary to help them reach this goal.
Ambassador Vaidotas Verba, OSCE Project Co-ordinator in Ukraine, highlighted two project proposals developed in 2016 in response to the needs of national authorities in the humanitarian demining.
“The OSCE Project Co-ordinator is supporting authorities in developing national mine action standards, as well as establishing procedures for quality assurance and quality control,” he said. “The projects aim to build humanitarian mine action capacity by focusing on a legal framework for humanitarian demining operations, to set up a mine action information management system and to facilitate the exchange of experiences in this domain.”
Par: N. R.
Il sera difficile au président de convaincre son attaquant de rempiler. En tout cas, les deux hommes ont rendez-vous ce soir pour négocier.
Selon une source proche de la direction du club harrachi, le président Laïb prévoit de rencontrer Bouguèche pour négocier un nouveau contrat, ce jeudi. Ce joueur n’a donné aucune suite pour le moment, préférant accorder la priorité à son club actuel. La même source nous a confié que Laïb songe sérieusement à garder son élément. Il reste seulement à renégocier le contrat. Le président espère convaincre son joueur à accepter une diminution de son salaire. Il faut savoir que Bouguèche touche actuellement un salaire de 120 millions par mois. Et la direction de l’USMH refuse toute négociation de salaire avec Bouguèche à plus de 80 millions de centimes. Il sera difficile au président de convaincre son attaquant de rempiler. En tout cas, les deux hommes ont rendez-vous ce soir pour négocier.The post USMH – Laïb : «80 millions, on ne peut pas donner plus à Bouguèche» appeared first on .
Auteur : T.Che.
Le héros d’Oum Dourman sera présent jeudi pour suivre MCA-Grenoble.
Profitant de la présence de l’US Orléans au Parc Omnisports, Antar Yahia reconverti en manager général, n’a pas manqué l’occasion de se rendre sur le lieu de l’entraînement de l’équipe algéroise. Le héros d’Oum Dourman a tenu à saluer les membres de la délégation, à l’instar de Nabil Boutenoun qu’il a connu en sélection nationale.
Discussion entre Antar et Casoni
Antar Yahia a par ailleurs salué le coach Bernard Casoni. Ce dernier a arrêté son travail le temps de serrer la main à Yahia. Les deux hommes ont eu une petite discussion amicale avant que Casoni ne reprenne son boulot.
Le héros d’Oum Dourman sera présent jeudi pour suivre MCA-Grenoble
Nous avons appris que l’ancien international sera présent ce jeudi à Saint-Etienne pour suivre le match entre le Mouloudia et Grenoble, qui aura lieu dans cette ville.
Il a été sollicité par les fans algériens et français
Antar Yahia reste un monument du football algérien. L’ancien capitaine des Verts a été sollicité pour des selfies et des autographes. Même les fans français n’ont pas raté l’occasion de s’afficher avec celui qui a fait vibrer le cœur de 40 millions d’Algériens.
Hachoud réintègre le groupe
Le capitaine Abderrahmane Hachoud a repris, hier après-midi, du service, après avoir suivi deux jours un travail en solo en plus des soins. L’enfant d’Al Attaf a été de la partie sans sourciller.
Il a salué Antar Yahia
Le capitaine mouloudéen a stoppé net son effort pour saluer Antar Yahia venu suivre la séance du Mouloudia.
Toujours au repos forcé, Arous a suivi la séance sur le banc
Toujours indisponible, Islam Arous n’a pu prendre part à la session d’hier en raison d’une douleur au dos récalcitrante. Le joueur a suivi les exercices du banc, avec une pointe de tristesse et d’amertume.
Plus de peur que de mal pour Nekkache
Lors d’un contact avec un joueur, Hichem Nekkache a eu droit aux soins avant de reprendre sa place avec un bandage au genou gauche.
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Par Tarek-Che.
De nature ambitieuse, ce jeune gardien a endossé le maillot du vieux club algérois pour connaître d’autres sensations et non pour faire banquette, comme il l’affirme.
Recruté pour être la doublure de Chaâl, l’ancien portier de l’OM, Morcely, est animé d’une grande volonté de s’imposer au MCA. De nature ambitieuse, ce jeune gardien a endossé le maillot du vieux club algérois pour connaître d’autres sensations et non pour faire banquette, comme il l’affirme.
Comment se déroulent les choses pour vous avec le MCA durant ce stage de préparation ?
Pour mon premier stage avec l’équipe, les choses se passent bien, et on travaille d’arrache-pied pour qu’on puisse réaliser la préparation souhaitée et être prêts pour la compétition africaine.
Vous affichez une belle forme en vous illustrant dans les oppositions auxquelles vous prenez part avec vos coéquipiers…
J’essaie de donner le meilleur de moi-même pour bien me préparer, mais aussi progresser, car il y a tous les moyens nécessaires pour faire du bon travail. Nous effectuons une bonne préparation avec Nouioua qui nous fait suer et on profite de son expérience, lui qui nous prodigue les conseils nécessaires. Sans parler de la bonne ambiance qui règne au sein du groupe et qui nous a permis de nous y intégrer facilement.
Vous n’avez donc pas trouvé un problème d’intégration…
Sincèrement, je ne me sens pas étranger dans ce groupe et cela à l’image des autres recrues qui se sont intégrées sans le moindre problème.
Tout en travaillant d’une bonne manière, votre mission sera un peu difficile pour décrocher une place de titulaire…
Chaâl est un très bon gardien et il est actuellement le numéro un de l’équipe, mais nous sommes soumis à une concurrence loyale. Personnellement, je ne m’inquiète pas à ce sujet, car je connais bien mes qualités et je vais finir par m’imposer, même si ma tâche ne sera pas facile. Sachez que je ne suis pas venu au MCA pour faire banquette, et je ne vais pas laisser passer ma chance lorsqu’elle se présente.
Quels sont vos objectifs au Mouloudia ?
Il faut parler de chaque chose en son temps, le plus important pour moi et pour toute l’équipe, c’est de bien se préparer durant ce stage, afin qu’on aborde le match du TP Mazembe sous de meilleurs auspices
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Auteur : H.S.
« Je remercie Amrani pour sa confiance et je serai à la hauteur »
Le gardien de but Osmani a signé hier matin au siège du club un contrat de deux ans. Le jeune keeper qui a récupéré ses papiers de l’ESS a été rappelé par Amrani pour continuer l’aventure avec le CSC. Osmani n’a pas refusé son offre surtout qu’il a travaillé sous sa houlette la saison dernière et s’est donc engagé avec l’équipe pour les deux prochaines saisons, avant de rejoindre le groupe à Hammam Bourguiba pour entamer la préparation. Il portera le n° 30 comme c’était le cas la saison passée.
« Je remercie Amrani pour sa confiance et je serai à la hauteur »
Anis Osmani, qui sera en concurrence avec Rahmani et Limane, se dit content de continuer l’aventure et remercie Amrani pour la confiance placée en sa personne : « Je suis très heureux et content de la signature. Je remercie Amrani pour sa confiance placée en moi et je promets de faire tout mon possible pour être à la hauteur. Je vais entamer la préparation avec le groupe en Tunisie et je ferai tout pour progresser davantage. »
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Der Aargauer SVP-Nationalrat Andreas Glarner berichtet von einem Cervelat-Verbot für Schweizer Kinder wegen muslimischer Familien. Die Nachricht geht viral. Doch stimmt sie überhaupt?
Auf dem Handy von SVP-Nationalrat Andreas Glarner (55) ploppt derzeit fast im Minutentakt eine neue Nachricht auf. Ein Facebook-Post des Aargauer Nationalrats sorgt für Aufregung. Im Post, der schon über 4000-mal geteilt wurde, schreibt er von einem angeblichen Cervelat-Verbot für Schweizer Kinder – wegen muslimischer Familien.
Vom Vorfall berichtet hat ihm eine Mutter gestern per Telefon. «Mit tränenerstickter Stimme» habe sie ihm erzählt, dass ihre Kinder an einen Vereins-Anlass «in einer kleineren Aargauer Gemeinde» keine Cervelats mitbringen dürften. Der Grund: Die Schweizer Nationalwurst enthält Schweinefleisch und dürfte deshalb nicht auf dem selben Grill liegen wie das Essen muslimischer Kinder. Sonst würden diese nicht am Fest teilnehmen, soll die Leiterin der Mutter gesagt haben. Alternativ sei der Frau vorgeschlagen worden, einen eigenen Grill für die Würste mitzubringen.
Ob die Geschichte stimmt?Überprüfen lässt sich die Geschichte nicht. Glarner selbst weiss nicht, in welcher Gemeinde sich der Fall zugetragen haben soll. Der Mutter sei Vertraulichkeit sehr wichtig, sagt er. Deshalb habe er das gar nicht wissen wollen.
Zwischen den Hunderten empörten Kommentaren auf Facebook werfen zahlreiche kritische Stimmen Glarner deshalb vor, nicht verifizierte Informationen unverantwortlich weiterzuverbreiten – und damit Hetze gegen Muslime zu betreiben. Doch Glarner winkt ab. «Wenn mich eine Mutter mit tränenerstickter Stimme anruft, dann glaube ich ihr, was sie sagt. Sie war so entrüstet, das muss stimmen», findet er.
«Das geht zu weit!»Ihn habe die Geschichte so empört, dass er sie einfach habe veröffentlichen müssen. «Man soll niemanden dazu zwingen, etwas zu essen, was er wegen seines Glaubens nicht darf. Aber dass man Kindern verbietet, Würste zu essen, geht zu weit», sagt Glarner. Zahlreiche Personen hätten sich seither bei ihm gemeldet und von ähnlichen Vorfällen berichtet. «Offenbar ist das kein Einzelfall!» (lha)
Wissen Sie, in welcher Gemeinde es zum Vorfall kam? Oder haben Sie schon Ähnliches erlebt? Dann melden Sie sich bei uns – über Whatsapp auf die Nummer 079 813 8041 oder per E-Mail an redaktion@blick.ch.
A harmincas éveikben járó gyanúsítottak az iráni rendszer legfőbb külső ellenzékének számító Népi Mudzsahedek találkozóján készültek rajtaütni a Párizshoz közeli Villepinte településen – jelentette a helyi sajtó.
A tájékoztatás szerint szombati őrizetbe vételük során a pár autójában körülbelül fél kiló TATP (triaceton-triperoxid) robbanóanyagot és egy gyújtószerkezetet is találtak. A biztonsági körökben a “Sátán anyjaként” is nevezett TATP alapvető háztartási anyagokból előállítható, ezt használták a 2016-os brüsszeli támadások során is.
A házaspár tagjait terrorista gyilkosság kísérlete, terrortámadás előkészítése miatt előzetes letartóztatásba helyezték.
A vádhatóság arról számolt be, hogy másokat is őrizetbe vettek az üggyel kapcsolatban: egy feltételezett bűntársat Franciaországban, illetve egy iráni diplomatát Németországban. Belgiumban öt helyszínen is házkutatást tartottak a hétvégén, de azt egyelőre nem közölték az illetékes szervek, hogy milyen eredménnyel.
Egyelőre semmi nem utal arra, hogy az Antwerpentől nem messze élő, iráni származású belga házaspár Belgiumra is közvetlen fenyegetést jelentett volna – közölte a szövetségi ügyészség.