Dix (10) personnes sont mortes et 13 autres ont été blessées lors de 7 accidents de la circulation survenus ces 24 dernières heures à travers le territoire national, selon un bilan établi lundi par les services de la Protection civile.
Durant la même période, deux personnes sont décédées intoxiquées par le monoxyde de carbone émanant de chauffages à Béjaïa et Sétif, déplore la Protection civile, affirmant avoir secouru 19 personnes incommodées par le monoxyde de carbone au niveau des wilayas d’Alger, Sétif, Tébessa et El Oued.
The post Accidents de la route : 10 morts et 13 blessés ces dernières 24 heures appeared first on .
A l'initiative de l'Institut Culturel Roumain de Paris, Cercle invite l'artiste de musique électronique roumain BOg pour un concert exceptionnel à 18h30, dans le cadre de la Saison France-Roumanie 2019.
Vous pourrez également assister au concert de chez vous, grâce à un live que l'Institut Culturel Roumain partagera sur sa page Facebook, à partir de 20h30.
Hôtel de Béhague
123 Rue Saint-Dominique - 75007 (...)
Les réserves nationales estimées en hydrocarbures non conventionnelles ont été considérablement revues à la hausse permettant à l’Algérie de se hisser à la 3ème position pour le gaz et la 7ème position pour le pétrole au classement mondiale, a indiqué une nouvelle étude de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures « Alnaft », dévoilée lundi à Alger.
Selon cette étude présentée par le directeur de la promotion du domaine minier à Alnaft, Mahmoud Djidjeli, lors d’un atelier technique sur les géosciences, les ressources non conventionnelles algériennes sont estimées à 9.818 TCF (Trillion cubic feet) de gaz et 1.194 milliards de baril de pétrole, contre 6.025 TCF de gaz et 176 milliards de baril de pétrole dans les anciennes études réalisées dans la période 2012-2013.
Les ressources calculées dans le cadre de cette étude se répartissent sur les zones d’Ahnet-Timimoune (2.954 TCF de gaz/225 milliards baril de pétrole), d’Oued Mya-Mouydir (2.125 TCF de gaz /307 milliards barils de pétrole) de Tindouf (1.574 TCF de gaz /47 milliards barils de pétrole) de Reggane (1607 TCF de gaz/202 milliards barils de pétrole) et de Berkine-Illizi (1.587 TCF de gaz /393 milliards barils de pétrole).
Toutefois, en excluant les zones sous-terraines risqués (prendre en considération uniquement les profondeurs entre 800 et3.600 mètres), le potentiel non-conventionnel total est estimé à 4.456 TCF de gaz/329 milliards barils de pétrole.
Comparativement aux anciennes études, il s’agit un bond significatif des réserves non conventionnelles (dans les zones non risquées) qui s’élève à 30% pour le gaz et 250% pour le pétrole.
Avec ces nouvelles données, l’Algérie passera de la 4ème à la 3e place dans le classement mondiale des réserves en matière de gaz de schiste, après les Etats-Unis et la Chine.
Pour le pétrole de schiste, l’Algérie passera au 7ème rang mondial contre le 11ème rang dans le classement précédant, après la Russie, les Etats-Unis, la Chine, l’Argentine, la Libye et l’Australie.
Menée en collaboration avec trois compagnies pétrolières internationales, cette étude a couvert plus d’un (1) millions de Km2.
Elle fait partie d’une série d’études d’Alnaft sur le potentiel minier algérien en hydrocarbures, qui inclue également quatre études sur le potentiel en gaz et pétrole offshore.
Lors de son bilan sur l’état du domaine minier national en hydrocarbures, M. Djidjeli a indiqué que le groupe Sonatrach opère actuellement 13 autorisations de prospection avec 56 périmètres en phase de recherche et 122 périmètres en exploitation.
En outre, le groupe national opère « en partenariat « , 2 autorisations de prospection attribuée en décembre 2018, avec 8 périmètres en phase de recherche et 49 périmètres en exploitation.
Cependant, toutes ces activités sont concentrées dans les zones Est du pays, qui totalisent 29% seulement du domaine minier national.
Les 71% restants ne sont pas couvert par des contrats de recherche ou d’exploitation, explique le responsable.
The post Gaz et pétrole : les réserves algériennes revues à la hausse appeared first on .
Les acteurs intervenants dans le Projet d'enregistrement à titre dérogatoire à l'état civil (Pedec) ont tenu en fin de semaine écoulée au siège de l'Agence nationale d'identification (Anip), un atelier technique. Objectif de cette rencontre, discuter de la dernière étape du processus devant permettre la délivrance d'actes de naissance à plus de deux millions de Béninois.
Le président du comité technique, Jean Aholou, a souligné qu'il s'agit des Béninois recensés à l'occasion du Recensement initial administratif à vocation d'identification de la population (Ravip), mais ne disposant pas d'acte de naissance.
Cyrille Gougbédji, rapporteur du comité national de suivi, a indiqué que le gouvernement a pris des mesures dérogatoires afin de doter les citoyens béninois de cette pièce importante.
Pour Jean-Claude Ahouanvoébla, chef de l'Agence nationale de traitement, cette dérogation est faite pour voir dans quelles mesures et suivant quel processus doter les citoyens de leur acte de naissance afin d'éviter des confusions par rapport à ce qui existe déjà.
La base de données Ravip selon lui, est disponible et on connaît ceux qui doivent en bénéficier.
Pour la suite, les procureurs seront saisis et les actes seront produits par commune, a-t-il informé avant de préciser que les maires ont déposé les signatures pour que les personnes concernées bénéficient de leurs pièces.
Evoquant le travail abattu pour parvenir à cet atelier, le directeur général de l'état civil, Abdon Marius Mikpon'aï, a expliqué qu'un draft a été soumis aux techniciens pour disposer d'un document qui recueille l'assentiment de tous. Plus rien ne devrait désormais entraver la finalisation du processus, surtout qu'un spécimen a été déjà adopté, a rassuré le directeur général de l'état-civil.
La distribution d'actes de naissance aux citoyens enregistrés à titre dérogatoire, pourra être effective d'ici les prochaines semaines.
F. A. A.