Une énorme faille dans le système des iPhone et iPad vient d’être révélée ce mardi. Et elle est d’autant plus préoccupante qu’elle permet d’espionner une personne via le micro, voire-même la caméra de son téléphone.
En raison d’un bug qu’Apple n’a pas encore résolu, il est possible d’espionner une personne en utilisant l’application de conversation FaceTime sur iPhone ou iPad. En lançant une conversation de groupe, il est possible d’espionner votre interlocuteur via son micro, avant même que ce dernier ne décroche. Pire, la caméra présente sur le devant du téléphone peut s’activer dans certaines situations. La fonctionnalité d’appel de groupe est disponible sur FaceTime depuis octobre 2018 : la faille a donc existé pendant environ quatre mois.
Le procédé, qui tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis ce matin, est assez simple. Il faut appeler un de ces contact via FaceTime, cliquer sur « Ajouter une personne à FaceTime » et s’ajouter soi-même à la conversation. Le micro de votre interlocuteur s’active alors et il est possible d’entendre tout ce qu’il dit. Si votre contact décide de de décliner l’appel ou d’appuyer sur un bouton de contrôle du volume, la caméra s’active à son tour et vous pouvez non seulement l’entendre, mais aussi le voir !
Apple a rapidement réagit face à la découverte de cette faille et à sa diffusion massive sur internet. La firme a la pomme a indiqué qu’elle était au courant du bug et travaillait sur un correctif qui sera mis en place avec la prochaine mise à jour du logiciel iOS. Cette mise à jour devrait être disponible « au plus tard cette semaine », précise Apple. En attendant, les conversations de groupe sur FaceTime ont été désactivées pour tous les détenteurs d’un iPhone ou d’un iPad.
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How can we build on the achievements of the Universal Declaration of Human Rights (UDHR)? This was the topic of this January 29th forum entitled “The UDHR: A Legacy Continued for Development and Human Rights Protection.” The event marked the 70th Anniversary of the Declaration, which was December 2018.
The forum was held at the Royal University of Women (RUW) in collaboration with the National Institute for Human Rights (NIHR); the Ombudsman’s Office, United Nations Bahrain; the Embassy of the Federal Republic of Germany to the Kingdom of Bahrain; and IPI MENA.
Dr. Pasquale Borea, Dean of the College of Law at RUW, stressed the educational value of the declaration as a seminal international legal instrument whose influence can be seen in regional conventions, national legislations, and instruments of soft law.
“Spreading knowledge and awareness of the UDHR among the youth can be an antidote to extremism, radicalism, and intolerance,” Dr. Borea stated. “It represents a fundamental step to inculcate values such as dialogue, respect, and tolerance in the next generation.”
Focusing on Article 7 within the Declaration, United Nations Resident Coordinator Amin El Sharkawi underlined its connection to the fifth Sustainable Development Goal, gender equality, and the role women played in conceptualizing the UDHR.
Mr. Sharkawi highlighted the roles of Hansa Mehta of India, Minerva Bernardino of the Dominican Republic, and Begum Shaista Ikramullah of Pakistan who fundamentally transformed the UDHR by including women.
German Ambassador to the Kingdom of Bahrain Kai Boeckmann offered examples of how his government urged companies to implement human rights. He also highlighted the private sector’s responsibility in upholding and promoting human rights.
Noting that International Holocaust Remembrance Day was on January 27th, Mr. Boeckmann pointed to the achievements of the international community in working together following the mass violations of human rights. “We need to resolutely defend all that we have achieved,” he stated.
After noting the gender imbalance on the panel, moderator and IPI MENA Director Nejib Friji gave the floor to IPI MENA Program Assistant Dalya Al Alawi to deliver IPI MENA’s statement and reiterated the importance of including women and youth to build on the legacy of the UDHR.
Ms. Al Alawi emphasized the connection between respect for human rights, peacefulness, and “positive peace,” and she advocated for the participation of women and youth in leadership to whom the 2030 Agenda’s pledge to “leave no one behind” applies.
Mr. Abdulla Ahmed Alderazi, Vice Chairperson of the NIHR’s Council of Commissioners reminded citizens and civil society of their duties to uphold human rights and in particular the importance of Article 29 of the UDHR.
Mashael Al Qutami, Specialist Investigator at the Ombudsman Office, pointed to the timeliness of the UDHR and drew on the example of how the 1970s international feminist movement gave way to the Convention on the Elimination of All Discrimination Against All Women (CEDAW), a significant treaty born from the UDHR.
In attendance were parliament representatives, private sector representatives, diplomatic corps, students, media, and the first female judge in the Kingdom of Bahrain, Mona Al Kawari.
WASHINGTON-L’Algérie et les Etats-Unis d’Amérique se sont engagés, mardi à Washington, à renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines, notamment politique, sécuritaire, économique et culturel.
« Les deux gouvernements sont convenus de poursuivre leur coopération afin de promouvoir leur intérêt commun à la stabilité régionale et à la défaite des groupes terroristes, notamment AQMI et l’EI », ont affirmé Alger et Washington dans un communiqué conjoint publié à l’issue de la 4ème session de leur dialogue stratégique tenue, lundi à Washington, sous la coprésidence du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel et du secrétaire d’Etat américain, Michael Pompeo.
Les deux parties ont souligné, à l’occasion, leur « ferme soutien à un engagement accru des entreprises, à un commerce libre, juste et réciproque et à un partenariat économique plus étroit ».
Les deux Gouvernements ont également examiné, lors de cette nouvelle session de leur dialogue stratégique, « les programmes culturels et éducatifs entre les deux pays » et sont convenus d' »intensifier les efforts communs pour promouvoir les échanges éducatifs et protéger le patrimoine culturel ».
Le chef de la diplomatie algérienne, Abdelkader Messahel et le secrétaire d’Etat américain, Michael Pompeo ont souligné « leur attachement à une relation de longue date entre l’Algérie et les Etats-Unis », réitérant leur volonté de « poursuivre les consultations sur les sujets examinés lors de cette session du dialogue stratégique ».
La 4ème session du dialogue stratégique algéro-américain a été également l’occasion pour les ministres des deux pays d’examiner « le partenariat étroit et productif entre l’Algérie et les Etats-Unis » et de « débattre des domaines de coopération algéro-américaine future ».
Les deux ministres se sont entretenus, au siège du département d’Etat, sur les relations bilatérales et les questions régionales et internationales d’intérêt commun.
Cette session du dialogue stratégique s’est déroulée autour de la réunion de quatre commissions sectorielles portant respectivement sur les questions politiques, sécuritaires, économiques et commerciales ainsi que celles liées à l’éducation et à la culture.
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Amateur de grosses coupures, apprêtez-vous à verser une larme. Depuis ce dimanche, 17 des 19 banques centrales des pays de la zone euro ont mis fin à l’impression des billets de 500 euros.
Seules les banques centrales allemande et autrichienne continueront d’émettre le billet violet jusqu’au 26 avril 2019, au grand désespoir des habitants de ces deux pays, où des pétitions avaient même été lancées pour protester contre sa disparition. En effet, Allemands et Autrichiens utilisent plus que la moyenne des Européens l’argent liquide dans la vie courante, y compris pour le règlement de fortes sommes.
Après l’arrêt total de l’émission des billets de 500 euros, ces derniers continueront d’avoir cours légal et ils garderont leur valeur. Ils pourront donc toujours être utilisés pour payer ou pour mettre de l’argent de côté. De plus, la coupure de 500 € pourra être échangée auprès des banques centrales nationales de l’Eurosystème pendant une période illimitée.
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