TITULAIRE DE LA CHAIRE DE MANAGEMENT-STRATÉGIE ET SOCIÉTÉ À HEC MONTRÉAL
Le professeur algéro-canadien Taïeb Hafsi a été élu par ses pairs à la prestigieuse Société royale du Canada. Il rejoint ainsi quelque 2300 scientifiques, universitaires et autres artistes canadiens qui font partie de cette académie fondée en 1883. Le choix s’est porté sur M. Hafsi pour “ses réalisations remarquables dans le domaine des sciences sociales, au chapitre, entre autres, du vivre-ensemble, de la cohésion sociale et de la quête d’une société plus juste”, souligne la Société royale du Canada dans un communiqué. Auteur prolifique, Taïeb Hafsi a publié plusieurs ouvrages sur le management. Il a notamment consacré trois publications sur Issad Rebrab, Amor Benamor et Hasnaoui.
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Un dispositif sécuritaire renforcé et très visible était déployé durant toute la matinée d’hier autour de la place du 1er-Novembre à Oran. Ce déploiement policier a eu pour premier effet de vider la placette des badauds qui l’y occupent, nombreux, chaque jour. La mobilisation des services de sécurité ainsi observée à Oran a été provoquée, a-t-on appris, par une rumeur sur le rassemblement de dénonciation des atteintes aux libertés et de l’emprisonnement des journalistes au niveau de ladite place.
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Aujourd’hui, la chaîne de valeur de l’industrie des technologies du numérique offre une place exceptionnelle aux fabricants de smartphones. C’est celle de l’innovation technologique. Depuis quelques jours, Royole, une start-up chinoise, et le géant Samsung ont fait des prouesses dans ce secteur. Elles viennent de dévoiler les premiers smartphones qui se déplient comme un livre. Ouvert, il s’agit d’une tablette offrant une expérience sur grand écran. Fermé, c’est un téléphone qui se glisse parfaitement dans une poche. Depuis plus d’un an, les téléphones pliables ont été un sujet récurrent dans le secteur des technologies du digital. Aujourd’hui, dans le monde de l’électronique, la commercialisation des smartphones pliables de la première génération signifie que les ingénieurs de Royole et de Samsung ont réussi à lever la problématique du «double» travail effectué par la batterie dans la gestion de l’affichage et l’exécution des applications sur un écran à taille variable. Des améliorations importantes ont été apportées aux technologies d’affichage de manière à rendre possible le fusionnement d’un écran ultra-fin sur le design d’un terminal mobile pliable. L’objectif ultime est de permettre aux utilisateurs de tirer le meilleur parti de cette réalisation historique, en ayant par exemple la possibilité d’exécuter simultanément jusqu’à trois applications avec une fonctionnalité appelée «fenêtre multi-active». Le lancement des premiers prototypes du terminal intelligent pliable montre parfaitement l’intérêt suscité par les deux compagnies à l’innovation technologique dans le secteur des télécommunications mobiles. Cependant, nous sommes encore loin de l’industrialisation rentable d’une telle performance technologique, et avec la difficulté de mise en place, malgré les assurances apportées par Google, d’une version Android adaptée à toute sorte d’objets connectés pliables. L’industrialisation d’une telle découverte risque de ne pas créer l’enthousiasme souhaité chez les utilisateurs. La réalité virtuelle, les technologies de conduite autonome, smartwatches et lunettes intelligentes ne nous mènent pas encore vers l’après-smartphone et tablette. Même si l’innovation technologique s’appuie sur les valeurs d’une marque comme Samsung ou un autre acteur pour contribuer à son développement économique dans le monde numérique, il ne sera pas facile de créer une expérience utilisateur de qualité autour de la technologie des objets à écran pliable.
F. F.
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Au début de ce mois de novembre, lors d’un événement à San Francisco, Royole, une mystérieuse start-up chinoise qui s’est spécialisée dans la fabrication des terminaux mobiles de nouvelle génération, a mis sur le marché le premier véritable smartphone à écran pliable au monde, vendu au prix de 1300 dollars.
Baptisé FlexPai, ce terminal hybride mobile dont le design est axé sur une combinaison de téléphone mobile et de tablette avec un écran flexible, est doté d’un écran Amoled de 7,8 pouces qui peut se plier à 180 degrés pour basculer de la fonctionnalité d’une tablette à celle d’un téléphone. Déplié, il aura la dimension d’une mini-tablette alors que replié, il se transformera en un smartphone à affichages multiples. Selon un communiqué transmis à notre rédaction, le FlexPai est livré avec un processeur Qualcomm Snapdragon à huit cœurs de 2.8GHz, une batterie de 3 800 mAh, un écran principal de 1 440 x 810 pixels, et un écran secondaire 1440 x 720 pixels, placés respectivement à l’avant et à l’arrière du terminal.
Les deux écrans peuvent soit interagir ou s’utiliser indépendamment, explique la start-up chinoise dans son communiqué. Mieux, le petit bijou de Royole a fait peau neuve avec sa petite zone d’écran interfacée entre ses deux parties une fois plié. Cette zone permet d’afficher les messages et notifications. Le nouveau smartphone, disponible en pré-commande, dans les versions grand public et développeur, sur le site Web de Royole, et attendu courant décembre, intègre également deux caméras de 16 et 20 mégapixels, une mémoire MicroSD extensible à 128 Go, 2Go de mémoire RAM, un lecteur d’empreintes digitales, un chargeur USB-C et des hauts-parleurs stéréo.
Tournant sous la première version d’Android (Water OS 1.0), dédié aux écrans flexibles, le FlexPai symbolise la position de leader de Royole dans la fabrication des écrans flexibles. La compagnie chinoise dispose d’un nouveau site de production de masse, situé dans la métropole de Shenzhen, en Chine, et disposant d’une capacité de 50 millions d’unités par an.
Le Galaxy F dévoilé
Par ailleurs, l’industriel sud-coréen Samsung a, à son tour, dévoilé, mercredi 7 novembre, à San Francisco, lors de sa conférence SDC (Samsung Developer Conference), son tout premier smartphone pliable baptisé Galaxy F. Les représentants de Samsung n’ont mentionné ni une date de lancement ni un prix de vente officiels. Mais, selon l’agence de presse sud-coréenne Yonhap, le Galaxy F sera mis en vente en mars 2019 au prix de 1 770 dollars. Samsung rate ainsi la première place de la course au premier smartphone à écran pliable mis sur le marché. Ce nouveau terminal intelligent dispose d’un écran externe de 4,6 pouces avec une résolution de 840 x 1 960 pixels (densité de 420 dpi), ressemblant à celui d’un smartphone ordinaire, qui se transforme en un écran de 7.4 pouces avec une résolution de 1 536 x 2 152 pixels (densité de 420 dpi), lorsque les deux moitiés du téléphone sont dépliées côte à côte. Les responsables de la division écran de Samsung ont donné le nom de Infinity Flex Display à ce nouvel écran. Avec leurs smartphones pliables, Royole et Samsung ouvrent donc la voie à «une nouvelle plate-forme Android» idéale pour les applications nécessitant des «fenêtres multi-actives». Google sera donc de la partie dans les choix technologiques de l’usage des téléphones intelligents pliables. En effet, lors de sa manifestation Android Dev Summit, Google a annoncé officiellement qu’il va optimiser les ressources de son système d’exploitation mobile pour permettre l’utilisation d’applications insérées dans des terminaux mobiles à écrans pliables.
Google sera de la partie
«Nous avons remarqué que certains fabricants de terminaux Android ont créé une nouvelle catégorie d’appareils dédiés aux écrans pliables. Avantagé par la nouvelle technologie d’affichage flexible, l’écran peut littéralement se plier et se replier. Nous développerons des solutions d’exécution d’applications sans perte de temps», a indiqué Google dans un article publié sur son blog. En clair, la firme de Moutain affirme travailler sur des modifications destinées à aider les développeurs à rendre les applications Android fonctionnelles de façon transparente quand le terminal mobile est plié. Cela signifie qu’une API sera introduite par Google pour permettre aux applications de s’adapter dynamiquement aux différentes tailles d’affichage. Selon plusieurs observateurs, la prise en charge par Android de la nouvelle catégorie de produits pliables est une question des plus fondamentales. Il ne sera pas facile de travailler dans une application avec le terminal ouvert et de maintenir ce fonctionnement quand on plie le téléphone et vice-versa. Aucune démonstration n’a été effectuée à ce jour. Google va-t-il créer un écran d’accueil par défaut pour les écrans pliables ? Les fabricants de terminaux mobiles devront-ils signer un type de licence Android différent pour créer un smartphone pliable ? Attendons pour voir…
F. F.
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L’Association de protection et d’orientation du consommateur et de son environnement (Apoce) a lancé, au début du mois de novembre en cours, une opération de recensement des acteurs du commerce électronique activant en Algérie. La finalité de cette enquête consiste d’abord à identifier tous les acteurs du commerce électronique sur la place, mais surtout d’établir un fichier national des opérateurs fiables du e-commerce en Algérie..
«N ous avons reçu de nombreuses plaintes de la part des consommateurs algériens sur des pratiques de certaines compagnies spécialisées dans le commerce électronique. Certains plaignants affirment même avoir été victimes d’arnaques et d’escroqueries. Ces interpellations nous ont poussés à agir pour protéger le consommateur et à contribuer à réguler ce segment d’activité qui gagne, sans cesse, du terrain en Algérie», indique le président de l’Apoce, Dr Mustapha Zebdi. Il ajoute : «Après réflexion, nous avons décidé de travailler pour établir un fichier national des opérateurs fiables de e-commerce en Algérie. Les données seront publiées et mises à la disposition des consommateurs.» Pour établir ce fichier national, l’association a lancé un appel à tous les opérateurs de commerce électronique activant en Algérie afin de se manifester. «Nous avons demandé aux opérateurs de se manifester et de nous fournir les informations relatives à leurs activités pour qu’on puisse mener correctement notre mission», nous a déclaré notre interlocuteur, avant de préciser que cette démarche «ne vise nullement à se substituer aux organismes étatiques chargés du contrôle de l’activité commerciale». «Nous n’allons pas demander aux opérateurs de commerce électronique de justifier leur existence légale, la qualité de leurs produits et services, ou encore les prix pratiqués. Notre travail s’intéresse au respect des procédures de vente et des engagements pris envers les consommateurs», explique notre source. Le concours des usagers est aussi important dans ce projet. L’Apoce demande ainsi aux consommateurs de contribuer à l’identification et à l’évaluation des opérateurs d’e-commerce avec lesquels ils ont eu à traiter. Un appel a été lancé sur la page Facebook de l’association pour les personnes désireuses de fournir des informations sur ce point. Un numéro vert «3311» est également mis à la disposition des consommateurs pour participer à cette opération, la première du genre en Algérie. Interrogé sur la date de la finalisation de cette opération, le président de l’Apoce nous affirme que l’équipe chargée de l’opération souhaite finaliser le fichier des acteurs fiables de commerce électronique activant en Algérie au début de janvier 2019. «Si tout fonctionne comme nous le prévoyons, nous allons pouvoir établir un fichier final dès janvier prochain. Nous travaillons à un rythme soutenu pour respecter le délai que nous nous sommes imposé», affirme Dr Zebdi qui note que la plupart des opérateurs de commerce électronique «ont accueilli avec satisfaction l’initiative de son association».
«Il ne s’agit pas d’une certification légale»
Une fois finalisé, le fichier sera publié sur le site Web de l’Apoce, rassure son président. «Les consommateurs pourront consulter le fichier des opérateurs fiables de commerce électronique sur le site Web de l’association. Les opérateurs sont également autorisés à mentionner sur leurs sites ou pages Facebook qu’ils figurent sur la liste des opérateurs fiables», souligne la même personne. Toutefois, le président de l’Apoce précise que cette liste n’est pas une certification légalement reconnue. «Il ne s’agit pas d’une certification légale. C’est une liste seulement d’opérateurs crédibles», dit-il. En outre, il affirme que les sites Web vitrine de ventes ainsi que les groupes de vente sur le réseau social Facebook ne sont pas concernés par cette opération. «Les plateformes numériques qui facilitent ou organisent les rencontres entre acheteurs et vendeurs ne sont pas concernées par le fichier. Seuls les opérateurs qui vendent directement aux consommateurs des biens et des services sont concernés», explique-t-il. En clair, des sites Web de commerce électronique comme Ouedkniss, ainsi que la plateforme numérique de vente en ligne Marketplace de Facebook ne vont pas figurer sur le fichier. A une question sur l’avis des autorités sur la démarche de son association, Zebdi dira que ces dernières ne sont pas associées à la campagne d’identification et d’évaluation des opérateurs de commerce électronique. Toutefois, il ne cache pas son souhait d’associer le ministère du Commerce à ce genre d’initiatives dans le futur.
Y. S.
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Sur plus d’une centaine de médias, tous supports confondus (presse écrite, sites d’information, chaînes de télévision et radios), une vingtaine seulement se sont dotés d’applications mobiles. Et pourtant, plus de la moitié des internautes algériens se connectent via leurs smartphones et tablettes.
Une vingtaine de médias algériens (18 plus exactement), pour la plupart des titres de la presse écrite, diffusent leurs informations via des applications mobiles, en plus de leurs sites Web. Sur plus d’une centaine de supports (écrits, électroniques et audiovisuels), rares sont donc à choisir de fidéliser leurs lecteurs-téléspectateurs-auditeurs via une application mobile dédiée.
Pour la plupart de ces applications mobiles, il faut… deviner leur existence, puisqu’elles ne sont pas toutes mises en valeur via un lien de téléchargement sur les sites Web concernés. Dans cette première partie, nous allons faire le tour des applications mobiles des médias algériens, tous supports confondus (télévision, radio, presse écrite et online). Dans une seconde étape, nous allons explorer quelques-unes d’entre elles. Dans la catégorie presse écrite, la plus importante en nombre parmi les médias algériens, seuls treize titres, francophones pour la plupart, ont édité des applications mobiles en support à leurs sites internet. Il s’agit des quotidiens : Le Soir d’Algérie, Liberté, Le Buteur, El Khabar, Echourouk El Yaoumi, L’Expression, El Moudjahid, El Heddaf, L’Est républicain, El Khabar Erriadhi, Le Jeune Indépendant, El Bilad, ainsi que l’application du défunt journal La Tribune qui est toujours disponible en téléchargement sur Google Play.
Pour la presse online, il existe des applications mobiles pour seulement quatre sites d’information. Il s’agit du Huffington Post dont l’application permet d’accéder à «l’ensemble des 16 éditions internationales» du site d’information, et des journaux électroniques Tout sur l’Algérie (TSA), Algérie Patriotique et DZFoot. Dans la catégorie des médias audiovisuels, il n’existe que deux applications mobiles, celles de Ennahar TV et Samira TV. A ces applications, il faut ajouter celle de Echourouk Portail qui permet l’accès aux informations mises en ligne par une dizaine de supports appartenant au groupe éponyme. Cependant, pour quasiment toutes ces applications mobiles, il fallait, pour en connaître l’existence, faire du «porte-à-porte» en tapant le nom du média sur Google Play ou App Store le magasin d’applications iOS d’Apple. Seuls sont indiqués sur les sites web les liens vers les pages Facebook, Twitter, éventuellement Youtube (pour les chaînes de télévision), ou le flux RSS, mais rarement un lien pour télécharger leurs applications mobiles lorsqu’elles existent. Il arrive aussi qu’un lien ne fonctionne pas. Les seuls sites de média qui annoncent sur leur pages d’accueil les liens vers leurs applications mobiles sont : Echourouk Online (Portail Echourouk), L’Expression, L’Est républicain, El Khabar Erriadhi, Le Jeune Indépendant, TSA, Algérie Patriotique, DZFOOT, Ennahar Online (qui donne le lien de Ennahar TV).
Près de 1,5 million de téléchargements
Si les médias francophones sont plus nombreux à avoir des applications mobiles, ils sont bien loin en nombre de téléchargements des médias arabophones. Les dix-huit applications mobiles recensées totalisent près de 1,5 million de téléchargements sur Google Play, dont plus d’un million pour la seule application de la chaîne Ennahar TV. Dans la catégorie de +100 000 téléchargements on retrouve les applications de Echourouk El Yaoumi et Samira TV. Toujours sur Google Play, les applications des quotidiens Liberté et El Khabar totalisent chacune +50 000 téléchargements. Pour la plupart des autres applications mobiles, le nombre de téléchargements est de +10 000. C’est le cas de celles du Soir d’Algérie, L’Expression, El Moudjahid, El Khabar Erriadhi, El Bilad et Echourouk Portail, TSA, Algérie Patriotique, et DZFOOT. Pour les autres applications Android, le nombre de téléchargement est comme suit : Le Buteur (+5 000), L’Est républicain (+1 000), Le Jeune Indépendant (+500). Sur l’App Store d’Apple, on trouve les applications mobiles iOS pour iPhone et iPad iOS de : Le Soir d’Algérie, Liberté, L’Expression, El Moudjahid, TSA, Algérie patriotique, et Dzfoot. Le nombre de téléchargements de l’application mobile du Huffington Post n’est pas pris dans ce décompte car éditée par la «maison mère», elle permet d’accéder à l’ensemble des 16 éditions internationales de ce média. Par ailleurs, concernant les éditeurs de ces applications mobiles, ils sont quelques-uns à en éditer plusieurs.
C’est le cas de Novasup qui édite celles Echourouk El Yaoumi, Le Soir d’Algérie, Liberté, L’Expression, et El Moudjahid. Dzayn.com qui édite les applications Android de Ennahar TV et Le Jeune Indépendant. Et MN DEV (Massib Nasreddine) pour El Khabar, El Haddef, Le Buteur, et L’Est républicain. Par ailleurs, Kreo Agency édite celle d’El Bilad. Smartapps inc pour Samira TV. Sarl Lama.com pour l’application d’Algérie patriotique. Et Dzfoot Labs qui édite l’application Dzfoot.
A. Z.
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Le prince héritier Saoudien , Mohammed Ben Salmane Al Saoud , se rendra en Algérie le 6 décembre prochain. Mis en difficulté après l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, et sur une directive du roi Salmane, il entame une visite de travail dans de nombreux pays arabes. MBS prendra part aussi au prochain du G20 qui aura lieu cette année en Argentine.
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La finance islamique et ses perspectives d’avenir seront au cœur d’un symposium, premier du genre, qui se tiendra le 24 novembre à Alger, au palais de la Culture. Placée sous le thème «Apports de la finance islamique à l’économie nationale, enjeux et opportunités», cette manifestation ouvrira ses portes à toutes les parties prenantes du secteur de la finance et de l’assurance, dans l’objectif de leur permettre de rencontrer des experts aussi bien nationaux qu’étrangers venus de neuf pays.
Au programme, des conférences touchant à divers aspects de la thématique, animées par 25 conférenciers qui se succéderont à la tribune. Parmi eux, ceux venus de huit pays (Tunisie, France, Maroc, Emirats arabes unis, Malaisie, Bahreïn, Sénégal, Arabie Saoudite, Grèce), aux côtés de nombreux nationaux représentant des institutions, des établissements financiers, des banques, la Bourse d’Alger, ainsi que des compagnies d’assurance, dans le but d’établir un benchmark par pays sur les différentes expériences observées à travers le monde, succès ou échecs, dans l’implémentation de la finance islamique, pour en tirer les meilleurs enseignements et mesurer ses retombées et ses apports à l’économie nationale. En Algérie, l’intérêt des autorités pour la finance islamique s’est accru à mesure que grandissait le besoin pour le pays de trouver de nouvelles sources de financement de l’économie ; notamment par la captation de l’argent informel qui échappait au circuit bancaire formel. Après le «succès» relatif de l’inclusion financière, les autorités monétaires, à leur tête la Banque d’Algérie, se sont tournées vers la finance islamique afin de convaincre une partie de détenteurs de capitaux réfractaires au système moderne financier pour des considérations religieuses. Or, la finance islamique, selon ses propres acteurs, ne représente, jusqu’à aujourd’hui, que 3% du chiffre d’affaires de l’activité bancaire. Récemment, la Banque d’Algérie s’est attelée à l’élaboration d’un nouveau régime juridique qui permettrait aux banques publiques de commercialiser des produits de la finance islamique. L’annonce en avait été faite par le ministre des Finances, M. Raouya, en réponse à une question orale, lors d’une plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN), sur les raisons du gel de l’émission de produits islamiques dans les banques publiques. En effet, à la fin de 2017, trois banques publiques (Cnep, BADR et BDL) devaient lancer chacune leurs offres, mais l’opération n’a pas semblé faire des émules. Elle a été simplement suspendue et assujettie à un nouveau régime sur le financement alternatif ou la finance islamique, visant à encadrer l’activité des fenêtres des produits financiers islamiques au niveau des banques publiques. Un cadre juridique organisationnel qui aidera à élargir les transactions financières islamiques, notamment en émettant des emprunts souverains et la création de mutuelles d’assurance et de réassurance, est toujours en cours d’élaboration. En attendant, le premier symposium de l’assurance et de la finance islamique (SAAFI 2018) tâchera de faciliter les efforts des pouvoirs publics dans leur rôle d’intégrer les produits de la finance islamique, conformes aux préceptes de l’Islam, dans le système financier national en vue de l’élargissement de la bancarisation et l’inclusion des ressources financières disponibles. Rendez-vous est donc donné les 24 et 25 novembre prochains.
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Écrit par Farid Messaoud
Les mesures d’austérité prises par les gouvernements qui se sont succédé ces quatre dernières années, ainsi que la mise en œuvre de la planche à billets n’ont pas donné lieu à des tensions inflationnistes. Le dernier indice des prix à la consommation le montre clairement.
Cet indice, qui mesure l’évolution des prix à la consommation en rythme annuel, a été de 4,5% jusqu’à octobre 2018. L’évolution des prix à la consommation en rythme annuel à octobre 2018 est le taux d’inflation moyen annuel calculé en tenant compte des 12 mois allant de novembre 2017 à octobre 2018 par rapport à la période allant de novembre 2016 à octobre 2017.
La variation mensuelle des prix à la consommation, c’est-à-dire l’évolution de l’indice du mois d’octobre 2018 par rapport à celui du mois de septembre 2018, est, elle, minime, se situant à 1,2%. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont subi une hausse de 2,4% en octobre par rapport à septembre dernier. Ainsi, les prix des produits agricoles frais ont augmenté de 4,9% en octobre par rapport à septembre 2018. Mais une analyse produit par produit indique que l’inflation est plus ou moins marquée, et que la variation est importante.
Celle-ci est due, essentiellement, à une hausse des prix des fruits (+15,7%), des légumes (+12,6%), de la viande de poulet (+5,6%) et des œufs(+6%). A l’inverse de la tendance observée au rayon fruits et légumes, l’inflation des prix des produits alimentaires industriels (agroalimentaires), s’est quelque peu atténuée. Ainsi, les prix ont connu une baisse modérée de 0,1%, alors que ceux des produits manufacturés ont enregistré une variation haussière légère de 0,3%. Les prix des services ont connu une relative stagnation. Par groupe de biens et services, les prix du groupe habillement-chaussures ont connu une hausse de 0,6%, tandis que ceux de l’éducation, culture, loisirs ont augmenté de 0,4%. Le groupe produits divers a, quant à lui, observé une variation haussière de 0,5%, tandis que le reste des groupes de produits s’est caractérisé, soit par des variations modérées, soit par des stagnations. L’inflation est, de manière générale, une conséquence d’un déséquilibre réel de l’économie. Certains la lient à la demande, d’autres aux coûts de production, donc à l’offre. On parle ainsi de l’inflation par la demande lorsque, globalement, la demande de produits excède durablement l’offre sur les marchés. Résultat : les prix grimpent. L’excès de demande peut avoir plusieurs origines : accroissement des dépenses publiques avec déficit budgétaire ; accroissement des dépenses de consommation des ménages… Quant à l’insuffisance de l’offre, elle peut résulter de différents facteurs : insuffisance des stocks ou inélasticité de la production ; blocage des importations… D’autres facteurs interviennent aussi dans l’évolution des tendances inflationnistes comme la masse monétaire, les baisses du taux de change (et c’était le cas pour le dinar et cela a été constaté depuis plusieurs mois) et les importations… Ces derniers éléments n’ont eu cependant qu’un impact marginal sur l’inflation, puisque les importations ne représentent que 25% dans le calcul de son taux alors que l’inflation dans les pays partenaires a été beaucoup plus faible qu’en Algérie et que la masse monétaire est restée relativement stable… L’inflation a atteint 5,6% en 2017, contre 6,4% en 2016 et 4,8% en 2015. Il importe de rappeler que, dans son dernier rapport, le Fonds monétaire international (FMI) a relevé que le financement monétaire de l’économie algérienne ne s’est pas traduit par une poussée inflationniste.
Le Fonds a maintenu ses prévisions sur l’inflation à 6,5% en 2018 et à 6,7% en 2019, des taux qui sont en baisse par rapport à ses projections d’avril dernier.
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L’USM Bel Abbès a réussi à quitter la zone rouge après avoir battu le CR Belouizdad (1-0), ce jeudi en match comptant pour la suite de la 15e journée de la Ligue 1. De son côté, le MO Béjaia a réappris à gagner lors de la réception de l’ES Sétif (1-0).
Longtemps plongée dans les abymes du classement, l’USM Bel Abbès est parvenue à sortir la tête de l’eau en enchainant deux victoires de suite. Après avoir joué un mauvais tour au MC Alger (0-1), l’USMBA a fait l’essentiel face au CR Belouizdad (1-0).
Dans ce duel des mal-classés, seule la victoire compte car la manière de gagner importait peu. Les Belabessiens ont pris l’ascendant très tôt en scorant sur penalty à la 7e minute par Thabti.
Cette victoire, ô combien précieuse, permet aux capés de Bouzidi de grimper à la 13e position (15 pts). Pour sa part, le CRB reste bon dernier avec seulement 10 points dans son escarcelle.
Toujours dans la lutte pour le maintien, le DRB Tadjenanet, premier relégable (14e – 14 pts), a fait lui aussi une bonne opération en battant le Paradou AC (1-0). Plus entreprenant que son adversaire du jour, le Difaâ a été récompensé à la 70e minute suite au but inscrit par Terbah, auteur d’une très belle reprise de volet du gauche.
Le MOB réapprend à gagner
A Béjaia, le mouloudia local a fini par mettre un terme à sa série de 5 matchs sans victoire, lors de la réception de l’ES Sétif (1-0). Même si le score ne traduit pas réellement la physionomie du match, les Crabes ont réalisé le plus important face à une équipe de l’Entente en proie au doute.
Les retrouvailles de Khiereddine Madoui avec son ancienne équipe ont tourné à l’avantage de ce dernier, même si la victoire a mis du temps pour se dessiner. En effet, il a fallu attendre l’heure de jeu pour assister à l’unique but de cette confrontation, scoré par Aibout (60’).
Mathématiquement, le MOB engrange son 18e point et se replace dans le ventre mou du classement (10e). Pour sa part, l’ESS (5e – 21 pts) enchaine avec une troisième défaite de suite et s’enfonce dans une crise de résultats.
Lors de la première partie de cette 15e journée de la phase aller, jouée jeudi, le NA Hussein Dey a pris le meilleur sur le MC Oran (1-0), tandis que les deux autres parties, AS Ain M’lila – MC Alger et JS Saoura – O Médéa, n’ont pas connu de vainqueur.
De son côté, l’USM Alger s’est assurée de terminer en tête du classement général à l’issue de la phase aller suite à son succès engrangé à domicile face au CS Constantine, en match avancé joué le 15 novembre dernier.
Cette 15e et dernière manche de la phase aller connaitra son épilogue ce vendredi avec le déroulement du match CA Bordj Bou Arreridj – JS Kabylie. La partie est prévue à huis clos au stade du 20 Aout 1955 (16h00) de Bordj Bou Arreridj.
Résultats des rencontres :
USM Bel Abbès – CR Belouizdad 1 – 0
DRB Tadjenanet – Paradou AC 1 – 0
MO Béjaia – ES Sétif 1 – 0
NA Hussein Dey – MC Oran 1 – 0
AS Ain M’lila – MC Alger 1 – 1
JS Saoura – O Médéa 0 – 0
USM Alger – CS Constantine 2 – 1
Vendredi (16h00) :
CA Bordj Bou Arreridj – JS Kabylie (huis clos)
Mohamed Kermia
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La traditionnelle « Chaîne humaine » de lutte et de sensibilisation contre le Sida, «Yed Fel Yed» (main dans la main) revient, cette année, avec un programme varié et avec la participation d’un grand nombre d’acteurs.
Le rendez-vous pour cette 9ème édition est pris le 30 novembre à 9h du matin sur l’esplanade de Ryad el Feth et le 1er décembre à la salle Atlas pour l’organisation d’un gala artistique.
Wahida Salem Chérif, présidente de l’association Zahra, a annoncé, lors de son passage, mardi 20 novembre, dans l’émission service public de la radio Chaine 3, que le nombre de wilayas participant à cette activité est passé de 15 à 30 wilayas.
Participer à la chaîne humaine, une meilleure façon de rendre hommage à Yazid Ait Hamadouche
L’invité de l’émission n’a pas manqué l’occasion de rendre un hommage chargé d’émotion et de reconnaissance à Yazid Ait Hamadouche, l’un des fondateurs de cette action de solidarité.
«C’est très difficile de préparer cet événement sans la présence de Yazid, sans son énergie et son engagement», regrette avec beaucoup d’émotion Mme Salem Chérif qui appelle ceux qui veulent rendre hommage au célèbre animateur de la Chaîne 3, décédé le 28 août dernier à Alger à perpetuer la tradition qu’il avait fondé. «Il a toujours été le maestro de cette action, le meilleur hommage à lui rendre c’est de porter son combat», déclare l’invitée de l’émission.
Une chaîne virtuelle, en attendant la chaîne humaine
Sur les réseaux sociaux, une chaîne virtuelle s’est déjà constituée avec plus de 9000 abonnés sur la page facebook du collectif «Yed f el Yed». Des jeunes épris de solidarité publient des photos et postent des vidéos portant des messages de sensibilisation à cet événement, désormais, incrusté dans le calendrier des actions de solidarité nationale.
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La Tunisie est paralysée, depuis jeudi matin, par une grève générale de la fonction publique, pour des revendications salariales, à l’appel de l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), le principal syndicat du pays.
Dans une déclaration à l’agence officielle de presse tunisienne (TAP), la Secrétaire général adjoint de l’UGTT chargé de la fonction publique, Monem Amira a estimé le taux de suivi de la grève à 95%.
C’est la première grève de cette ampleur depuis 2013, et selon l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), la première menée par la seule fonction publique dans l’histoire du pays.
Les fonctionnaires tunisiens, représentant plus d’un sixième des travailleurs du pays, réclament des augmentations salariales.
Selon les observateurs, la grève de l’UGTT constitue un fort message de défiance au gouvernement à l’approche d’élections nationales.
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ALGER – Des difficultés liées au déplacement des réseaux enterrés (électricité, gaz et eau) sont à l’origine du ralentissement de la cadence des travaux du dédoublement de la route wilayale numéro 11, reliant Cheraga à Ain Benian (Alger), a-t-on appris jeudi auprès du Directeur des travaux publics de la wilaya d’Alger, Abderrahmane Rahmani.
Les travaux du dédoublement de la route wilayale numéro 11, dite la route du Plateau, reliant Cheraga à Ain Benian (Alger) lancés en septembre de l’année dernière pour un délai de 16 mois ont été retardé par des difficultés liées au déplacement des réseaux enterrés (électricité, gaz et eau), a indiqué à l’APS M. Rahmani.
Soulignant que la régularisation de la situation des propriétaires objet d’expropriation pour utilité publique était également à l’origine de ce retard, il a assuré que les travaux connaitront une accélération pour la livraison du projet le plus rapidement possible dés la finalisation des procédures juridiques et administratives et le déplacement par Sonalgaz des réseaux enterrés.
Le dédoublement de ce tronçon sur 8Km permettra de désengorger la circulation routière au niveau de Chéraga et en direction de la route wilayale numéro 41 vers Ain Benian. Une enveloppe de 50 milliards de centimes a été allouée à ce projet.
Les différents projets routiers à Alger connaissent un taux d’avancement de plus de 90% et 5 grands projets devront être réceptionnés avant fin 2018.
La capitale devra être renforcée par plusieurs axes routiers avant la fin de l’année en cours dont l’échangeur de Zeralda, à proximité du CET Hamici, et l’échangeur de la RN67 menant à Kolea.
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BOUMERDES – Une production de 15.000 tonnes de poissons/an est attendue à Boumerdes dans le cadre de la mise en exploitation de quelque 32 projets d’investissement en aquaculture, adoptés au titre de la stratégie nationale de développement de l’aquaculture, s’étalant de 2014 à 2020, a-t-on appris jeudi auprès de la direction de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya.
L’entrée en exploitation de ces projets, visant le développement de l’aquaculture en tant qu’alternative à la régression persistante de la production halieutique, est attendue pour le « début de l’année prochaine », a indiqué à l’APS Kadri Cherif.
Ces projets s’ajouteront à six autres dans la filière aquacole, entrés en exploitation ces dernières années, a-t-il précisé.
M.Kadri a signalé l’implantation de ces projets dans une vingtaine de sites, mis à la disposition des investisseurs, au niveau des trois barrages de la wilaya (Keddara Bouzegza, Beni Amrane et El Hamiz), des embouchures des cours d’eau, des grands bassins hydriques, des retenues collinaires (naturelles et artificielles) et du littoral de la région, qui peuvent accueillir, à l’occasion, des cages flottantes ou des opérations d’ensemencement en alevins.
D’autres projets d’investissement similaires sont également prévus au niveau de la zone d’activités spécialisée dans les métiers de la pêche et de l’aquaculture de Zemmouri El Bahri, dés parachèvent de son aménagement et équipement, a-t-il fait savoir.
Parmi ces projets ayant bénéficié du droit de concession depuis 2010, le même responsable a cité les fermes d’élevage de daurade (400 tonnes/an) et de moules (120 tonnes/an) ans des cages flottantes respectivement dans la région de Sghirate, sur le littoral de la ville de Boumerdes, et à Cap Djinet.
La ferme d’élevage aquacole en eau de mer de cap Djinet, entrée progressivement en production, demeure, néanmoins, le plus important projet en la matière à Boumerdes. Selon les objectifs qui lui sont fixés, ce projet devrait produire, une fois achevé, près de 1.500 tonnes/an de daurades et de moules.
Les autres projets d’élevage en cages flottantes « partiellement exploités » sont localisés sur le littoral de Zemmouri El Bahri et le lieu-dit « les Salines » du littoral de Dellys, où des fermes aquacoles sont en réalisation, en vue d’assurer une production moyenne de 200 tonnes de moules/an.
L’autre enjeu futur de la valorisation de la filière aquacole consiste dans son intégration dans la fertilisation des superficies agricoles par l’ensemencement en alevins des plans d’eau destinés à l’irrigation agricole, a souligné M. Kadri.
A ce jour, il a été procédé, à cet effet, au lâchage de près de 100.000 alevins dans des bassins d’irrigation agricole, a-t-il signalé.
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Le président de la chambre d’agriculture de la wilaya d’Oran a appelé jeudi à la labellisation de la « Clémentine-Misseghine », produit du terroir par excellence.
« Nous allons soumettre dans les tout prochains jours, dans le cadre de la valorisation des produits agricoles, au ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, un dossier de la ‘’Clémentine-Misserghine’’, un produit de terroir qui remplit tous les critères pour son éligibilité à sa labellisation », a indiqué à l’APS Hadj Meftah Brachemi, en marge de la « fête de la Clémentine-Misseghine ».
Lors de cette manifestation, la première du genre organisée à la place publique de Misserghine, commune située à l’ouest de la ville d’Oran, il a rappelé la labellisation de trois autres produits ayant un signe distinctif de qualité, à savoir « la figue de Beni- Maouche », la datte « Deglet Nour » et l’olive « la Sigoise ».
Cet agrume porte le nom du père Clément qui a réussi à Misserghine un croisement entre la mandarine et le bigaradier (porte-greffe), a-t-on expliqué de même source.
« Nous devons réhabiliter le verger agricole de manière générale et particulièrement la clémentine de Misserghine », a enchainé le directeur des services agricoles de la wilaya, Tahar Kadi, dans une déclaration à l’APS, tout en déplorant le fait que la superficie agrumicole a régressé ces dernières années notamment avec l’arrachage des vielles plantations (plus d’un siècle) et la remontée des sels.
« Une situation qui nous a incité à planter des agrumes, dans le cadre de la concession avec le concours des investisseurs, dont deux porteurs de fonds et de projets ainsi que des propriétaires de la région depuis plus de trois années », a ajouté le même responsable, assurant que pas moins de 80 hectares ont été plantés pour augmenter la surface agrumicole.
Le secrétaire général de la chambre de l’agriculture d’Oran, Lahouari Zeddam, a, de son coté, mis en avant les potentialités agrumicoles des communes de Misserghine et Boutlélis qui renferment, à elles seules, près de 66 % de la superficie agrumicole de la wilaya (275 ha), ainsi que la qualité des variétés « Clémentine », « Thomson Navel », « Washington Navel », « Double fine », « Sanguine » et « Portugaise », estimant nécessaire la récupération des points d’eau, au nombre de huit situés dans les vergers agrumicoles, qui servaient auparavant aux besoins domestiques des populations rurales et aujourd’hui fermés depuis deux années.
Ces puits pourront servir à l’irrigation pour l’extension des superficies en priorité les agrumes, a-t-il expliqué, déplorant la baisse des superficies, qui est passée de 600 à 275 ha à cause de certains impondérables liés également à l’organisation de la filière agrumicole.
Abdelhakim Tahraoui, un agrumiculteur de père en fils, propriétaire d’une exploitation à Misserghine, a estimé qu’il était temps de valoriser les produits agricoles dont la Clémentine de Misseghine, avec en prime l’élargissement des étendues. « Nous disposons d’un savoir-faire et d’une main d’œuvre jeune, qualifiée et qui peut relever le challenge, celui d’exporter », a-t-il affirmé.
C’est le cas de Salem Hamada, un agrumiculteur qui dispose d’une pépinière au niveau d’une exploitation agricole à Misseghine qui a exposé des produits de qualité distinctifs dont la clémentine, le citron sucré, pamplemousse royale, Mandarine et autres variétés « qui méritent d’être préservées », a-t-on soutenu.
Une quarantaine d’exposants parmi les agrumiculteurs, des institutions de formation spécialisée, à savoir l’institut technique de protection de végétaux (INPV) de Misserghine (Oran), l’institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITFVA) de Mohammadia (Mascara), ainsi que d’autres structures financières (CRMA et BADR) ont pris part à cet évènement.
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ALGER – Le ministre de le Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui a annoncé jeudi à Alger la dotation des établissements hospitaliers des wilayas de Tamanrasset et de Béchar de nouveaux équipements médicaux en 2019.
Répondant aux préoccupations des députés des deux wilayas concernant le manque en équipements médicaux et en ressources humaines lors d’une séance plénière de l’Assemblée populaire nationale consacrée aux questions orales, M. Hasbellaoui a affirmé que « la wilaya de Tamanrasset, qui dispose de deux scanners seulement au niveau de l’établissement hospitalier du Chef-lieu de la wilaya et de celui de Ain Salah, « bénéficiera en 2019 d’équipements d’un montant de 50 millions de dinars, outre l’acquisition de 10 ambulances, 5 véhicules légers médicalisés (VLM) et 5 véhicules frigorifiques destinés au transport des vaccins et sérums ».
La wilaya sera renforcée également, a-t-il dit, par de nouveaux établissements hospitaliers se trouvant actuellement en cours de réalisation avec une capacité d’accueil de 120 lits à Ain Salah, 60 lits à Ain Guezzam et 60 autres à Tin Zaouatine, outre des polycliniques, un établissement hospitalier spécialisé dans la psychiatrie d’une capacité d’accueil de 120 lits, un appareil d’imagerie à résonance magnétique (IRM) et un autre pour la radiothérapie au profit des cancéreux, en vue de réduire les déplacements des malades vers d’autres wilayas.
Après avoir rappelé les structures dont dispose la wilaya, le ministre a cité les ressources humaines disponibles, à savoir 148 médecins généralistes et 520 agents paramédicaux, annonçant l’ouverture de nouveaux postes d’emploi pour renforcer la wilaya en médecins spécialistes dans le cadre du service civil.
Concernant l’état critique des établissements de santé dans la wilaya de Béchar, notamment en termes de ressources humaines et d’équipements médicaux, M. Hasbellaoui a affirmé qu’en dépit de la garantie d’une formation continue des facultés de médecine depuis l’indépendance à ce jour, 50% des ressources humaines « exercent dans le secteur public, alors que les 50% autres s’orientent vers le secteur privé ou l’étranger ».
Répondant à une question sur le retard accusé dans la réalisation d’un établissement hospitalo-universitaire (CHU) dans la wilaya, annoncé auparavant par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le ministre de la Santé a indiqué que le Gouvernement avait affecté les fonds nécessaires pour la concrétisation de ce projet, ajoutant que les autorités locales procédaient actuellement à l’aménagement du sol deant abriter cette structure et à l’application des mesures administratives idoines pour le lancement des travaux de réalisation de ce pôle destiné à la formation, à la recherche et au traitement.
Dans le cadre de la coopération entre les ministères de la Santé, de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, le ministre a annoncé que trois régions avaient été choisies pour assurer la formation à distance au profit des praticiens des régions sud du pays.
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TIZI-OUZOU – La 9ème édition du Salon Djurdjura des arts plastiques placée cette année sous le thème « Sur le chemin de tajmaât », s’est ouverte jeudi à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, avec la participation d’une cinquantaine d’artistes de la wilaya.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de l’artiste Denis Martinez, auquel est dédiée cette édition, qui n’a pas caché sa « joie de se retrouver encore une fois en ce lieu (la maison de la culture) » où un grand espace lui a été exclusivement réservé pour exposer ses différentes créations, tableaux et fresques, retraçant son parcours.
Retraçant sa trajectoire à travers ses œuvres qui expriment « la diversité de l’Algérie », l’artiste a plaidé pour « l’émergence de capitales culturelles à travers toutes les wilayas du pays » pour permettre « l’expression de l’algérianité dans sa diversité et le partage entre les artistes et les Algériens ».
Dans son allocution d’ouverture, la directrice locale de la culture, Nabila Goumeziane, a indiqué que le salon demeure « un forum de rencontres et d’échanges entre artistes » et « revêt une importance particulière dans la mesure où il recherche à maintenir une dynamique permanente de création dans le domaine des arts plastiques au niveau de notre wilaya ».
Outre des expositions, ventes-dédicaces, ateliers et plusieurs autres activités, le salon sera ponctué par une table ronde qui sera animée dimanche 25 novembre par les artistes plasticiens, Ouchene Smail, Karim Sergoua et Abdelhalim Kaibeche. Elle sera suivie d’une conférence-débat ayant pour thème « Le rêveur d’impossible : Denis Martinez dans l’aventure du raconte-Arts » qui sera donnée par Hacène Metref et Youcef Merahi.
Des activités destinées à la frange juvénile sont également au programme de cette manifestation, à l’exemple des ateliers de calligraphie, de peinture, de dessin et de lecture qui seront toutes dédiées au thème de Tajmaât et qui seront animées par plusieurs artistes.
Né en 1941 à mers-El Hadjadj, Denis Martinez est l’un des plus importants artistes algériens contemporains. Après une carrière d’enseignants à l’école des Beaux-arts d’Alger de 1963 à 1993, il s’exile en France où il initie plusieurs manifestations culturelles portant sur la culture algérienne. « Culture algérienne, cultures vivantes » en 1995, « Expressions algériennes contemporaines » en 2000 et « Jonctions Djazair » en 2003.
En 2004, il est l’initiateur, avec Hassan Metref et salah Silem, du festival nomade Raconte-Arts qui sillonne depuis, chaque été, un des villages de la wilaya de Tizi-Ouzou. Il se lança également, à la même période, dans une aventure qui l’a amenée à intervenir régulièrement avec des « créations éphémères », en compagnie d’autres artistes, à travers des Tajmaâts de plusieurs villages de la Kabylie.
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Le ministre de la Culture, Azeddine Mihoubi a affirmé, jeudi à Alger, que plusieurs projet culturels dans la wilaya de Béjaïa avaient été reportés pour des « considérations financières ».
Le secteur de la culture s’emploie à pallier le manque en infrastructures culturelles dans la wilaya de Béjaïa en y inscrivant plusieurs projets « en cours de réalisation et dont la livraison est prévue pour 2019 », à l’instar de la réhabilitation de l’ancien tribunal de Béjaïa, converti en conservatoire, a indiqué M. Mihoubi lors d’une séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN), présidée par Mouad Bouchareb et consacrée aux questions orales.
Dans le même contexte, le ministre de la culture a cité d’autres projets réalisés récemment dans cette wilaya, à l’instar de la bibliothèque principale de Béjaïa et le cinéma de Kherrata.
La wilaya de Béjaïa compte 38 monuments historiques et archéologiques, a rappelé le ministre ajoutant que l’ancienne ville avait été classée secteur sauvegardée depuis 2013.
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La ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du numérique, Houda Imane Feraoun, a indiqué, jeudi, que 90% des clients d’Algérie Poste, ayant retiré des sommes ne leur appartenant pas suite à un problème technique survenu au niveau de nombre Distributeurs automatiques (DAB) les avaient restitué « volontairement ».
« 90% des clients d’Algérie Poste, ayant retiré des sommes ne leur appartenant pas suite à une panne technique au niveau de nombre distributeurs automatiques (DAB) les avaient restitué volontairement et les citoyens qui ne l’ont pas fait ont été contactés par SMS », a précisé la ministre lors d’une plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, tenue sous la présidence de Mouad Bouchareb.
Affirmant que pour les réfractaires, « ces sommes seront débitées de leurs comptes CCP (Compte courant postal) », elle a affirmé que cette procédure s’inscrit dans le cadre des prérogatives légales de l’entreprise Algérie Poste.
La ministre a assuré que les fonds retirés d’Algérie Poste suite à cette panne technique « ne représentent pas une grande masse monétaire », précisant que le problème technique, qui a duré trois jours, sur certains DAB, à « un dysfonctionnement entre le système de paiement électronique par la carte Edahabia et le système central des comptes CCP, qui a cessé de fonctionner pendant 30 secondes au lieu de 3 secondes, suite à quoi, les opérations de retrait se sont multipliées spontanément, en raison de cette erreur de programmation, a-t-elle dit.
La ministre a affirmé que son secteur s’emploie à éviter la survenue de telles pannes techniques qui affectent souvent les différents systèmes informatiques, et ce, en veillant à « assurer une formation continue aux ingénieurs du secteur », a-t-elle soutenu.
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Un arbre vieux de 28 siècles, de 56 m de hauteur, a été découvert à Kahramanmaras, province du sud de la Turquie, a rapporté, hier, l’agence de presse turque Anadolu. Il s’agit d’un taxus, conifère de la famille des taxacées, aussi appelé “if”. Découvert dans le quartier de Koklu du district Andirin, l’arbre mesure 56 m de hauteur et 5,4 m d’envergure. Son âge a été estimé à 2800 ans par les experts de la Direction de la protection de la nature et des parcs nationaux de Kahramanmaras. L’arbre a immédiatement été intégré dans un programme de protection pour lequel les universités seront impliquées.
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