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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 days 10 hours ago

Au prix actuel du pétrole : L’Algérie gaspillerait l’équivalent de 3 milliards de dollars de l’énergie qu’elle consomme

Thu, 10/11/2018 - 16:25

Intervenant sur les ondes de la Radio nationale, le professeur Chitour, enseignant à l’Ecole polytechnique d’Alger et expert en énergie, a déclaré que l’Algérie gaspillerait entre 10 à 15% de l’énergie qu’elle consomme. Expliquant qu’en équivalent pétrole, ces taux représentent 60 millions de tonnes de pétrole consommés par l’Algérie annuellement, dont pas moins de 6 millions de tonnes seraient gaspillées.
En termes de cours, cette quantités est l’équivalent de 3 milliards de dollars au prix actuel du pétrole. Abordant les raisons de ce gaspillage, le Professeur Chitour dira que la chose est due, entre autres, au prix dérisoires des carburants, notamment le diesel qui représente, selon lui, 70% du parc roulant.
Le Professeur Chitour a expliqué qu’il serait important de connaitre nos ressources et de savoir où nous voulons aller à l’avenir. « Globalement, nous avons 12 milliards de barils de pétrole ainsi que 2000 milliards de m3 de gaz conventionnel, ce qui veut dire qu’au rythme actuel de la consommation nous en avons encore pour 20 ans», dira-t-il en substance et d’ajouter qu’il serait urgent de régler le modèle énergétique de notre pays avant qu’il ne soit trop tard. S’étalant sur un autre chapitre, l’expert en énergie a estimé que l’Algérie doit prendre le train de la modernité qui est actuellement celui de la révolution électrique, argumentant que pour ce faire il faut mettre à disposition un bouquet énergétique complet composé du solaire, de l’éolien de la géothermie et aussi des gaz non conventionnels, mais accompagné surtout par la formation et de la veille technologique. Pour Chitour, le meilleur gisement de l’Algérie reste la valorisation de l’énergie et aussi des économies d’énergie.
Abordant le sujet du plan national d’énergie renouvelable, adopté par l’Algérie en 2011 et qui vise à produire 22 000 MW d’ici à 2030, M. Chitour a expliqué qu’à l’époque ce même plan avait étonné plus d’un spécialiste, argumentant qu’il devient nécessaire de mettre en place une stratégie ou un modèle économique clair et bien défini.
De l’avis de notre expert, la mise en place d’une centrale de 1000 MW solaire fera gagner à l’Algérie 2 milliards de m3 de gaz, soit 600 millions de dollars. Confirmant qu’avec le gaz que nous consommons on peut financer une partie du plan solaire.
Résumant sa vision globale quand à la stratégie énergétique à mettre à contribution, M. Chitour a fait savoir que l’Algérie gagnerait en s’appuyant sur des grands capitaux d’industries et de grandes locomotives du domaine notamment la Chine, qui est aujourd’hui le premier dans le monde en ce qui concerne le solaire et la locomotion électrique.
Zacharie S Loutari

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Métro d’Alger : suspension du service de métro vendredi entre Hai El Badr et Ain Naâdja

Thu, 10/11/2018 - 16:25

ALGER – Le service du métro d’Alger de transport des voyageurs sera suspendu vendredi entre les deux stations de Hai El Badr et de Ain Naâdja (Alger), en raison des préparatifs d’entrée en service de la station de Gué de Constantine, a indiqué jeudi un communiqué de l’Entreprise Métro d’Alger (EMA).

Selon la même source, le service du métro « sera suspendu » vendredi entre les stations de Hai El Badr et de Ain Naâdja, dans le cadre des travaux de mise en service de la station de Gué de Constantine.

A cet effet, l’Etablissement public de transport urbain et suburbain d’Alger (ETUSA) assurera des bus de transport des voyageurs entre ces deux stations, a conclu le communiqué.

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L’Assemblée populaire nationale (APN) navigue à vue : Toujours si difficile de prédire une fin du blocage

Thu, 10/11/2018 - 16:25

Avec une majorité à l’hémicycle qui hausse le ton et réclame son départ et une opposition parlementaire réduite (de 120 députés) le soutenant, il reste toujours difficile de parier sur l’avenir de Saïd Bouhadja, à la tête de l’Assemblée populaire nationale (APN).

Entre les injonctions fermes de leurs chefs de partis mais en l’absence d’outils juridiques, le retrait de confiance étant non prévu dans la Constitution, les députés à l’hémicycle Zighout Youcef restent perplexes et ne savent plus où donner de la tête.
Les options d’un dissolution de la chambre basse du Parlement ou l’intervention de la Présidence dans ce conflit écartés samedi dernier par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, désormais, il est difficile de conceptualiser des scénarios probables pour dénouer la crise. Mardi dernier dans l’après-midi, les cinq groupes parlementaires de l’allégeance (FLN, RND, TAJ, MPA + indépendants) ont radicalisé leur action de contestation en refusant toutes les médiations partisanes pour forcer ce bras de fer inédit dans l’histoire de l’Algérie indépendante et obtenir une démission de Bouhadja. Avec les épisodes de la rentrée en lice de deux organisations révolutionnaires – l’Organisation nationale des moudjahidine et l’Organisation des condamnés à mort – qui ont exprimé leur soutien à Bouhadja, les évènements se précipitent et risquent de perdurer comme un long feuilleton brésilien. « Tous les scénarios sont faussés. Les jours à venir sont les seuls à nous dire ce qu’il en adviendra », a indiqué au Courrier d’Algérie, mardi dernier, Lakhdar Benkhelaf, député de l’alliance Adala, opposition, et proche du président de l’APN. L’opposition qui a adopté au début une attitude « négative » de cette crise, en se disant « pas concernée par une affaire interne au FLN », a fini par exprimer son mécontentement et ce alors que le blocage de l’institution législative entame sa troisième semaine. Le leader du MSP a qualifié cette situation d’ « humiliation et d’aberration » alors que l’ANR, un parti de l’allégeance mais qui tient ses distances du conflit à l’APN, a estimé que le blocage a véhiculé aux citoyens « une image négative des représentants du peuple». Dans la foulée, des députés de l’opposition ont confié même au Courrier d’Algérie qu’ils ne sont pas contre la dissolution du Parlement, car la situation actuelle donne « vraiment une piètre image » de l’institution législative, générée par une « majorité factice ».
De l’autre côté, les partis de l’allégeance n’ont pas hésité eux aussi à attaquer l’opposition, l’accusant de tenter d’influencer Bouhadja et son refus de démissionner. Abdelhamid Si Affif, député FLN, a estimé, dans des déclarations à la presse hier, que l’opposition « pend en otage » Bouhadja, renouvelant son appel à ce dernier de déposer sa démission sans condition. Il considère également qu’il est du droit du groupe parlementaire du FLN de demander le retrait de confiance à Bouhadja, car il est élu président sur instruction de la direction du FLN, ajoutant « au niveau des députés, nous avons atteint le point de non retour », pointant du doigt Bouhadja comme « la source de blocage à l’APN ».
Hamid Mecheri

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Des députés FLN entrent subrepticement dans le bureau de Bouhadja : Le bal des retournements de veste a commencé

Thu, 10/11/2018 - 16:22

Sentant le président de l’Assemblée nationale plus puissant qu’on l’avait pressenti, et bien vivant et plus droit dans ses bottes que jamais, des députés FLN entrent depuis mardi après-midi dans le bureau de Bouhadja pour lui témoigner leur soutien et l’assurer de leur zèle. Donné pour mort, Bouhadja n’en est pas moins vivant, et mieux portant que de mesure, avec des soutiens aussi lourds que l’Organisation nationale des moudjahidine, l’Association des anciens condamnés à mort, les députés de l’opposition, et même, maintenant certains députés FLN. C’est Bouhadja lui-même qui donne à certains députés de l’opposition cette information, pour démontrer que les choses sont en train de se retourner en sa faveur.

Au moment où les groupes parlementaires donnaient l’image d’un bloc monolithique décidé à faire chuter de son perchoir Saïd Bouhadja, celui-ci les faisait tourner en dérision en contant à qui veut l’entendre que beaucoup d’entre eux se tiennent en file indienne pour venir lui présenter leurs « hommages du matin ». Maintenant, allez savoir de quoi cela retourne ! Chacun campe sur sa position et égrène les mérites et le bien-fondé de sa position, bloquant momentanément l’institution législative pour la troisième semaine de suite. Assistons-nous à une vague, dans l’un ou dans l’autre camp, de retournement de veste ? Il est trop tôt pour le dire. Mais une chose est certaine : personne ne maîtrise les cartes du jeu politique et tout le monde commence à douter de l’issue de ce curieux bras-de-fer, pratiquement inédit dans les annales parlementaires. Cette situation de « ni guerre, ni paix » ouvre les portes de la rumeur et aux supputations, déclenchant les mécanismes irréversibles du chahut parlementaire, où chaque député sera plus occupé à bouger en permanence pour préserver ses acquis et garder son siège à l’hémicycle qu’à se concentrer sur une position fixe et constante.
I.M. Amine

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Elle se montre impuissante à endiguer le mal : La FAF face à la mafia de l’arbitrage

Thu, 10/11/2018 - 16:21

Les saisons se suivent et se ressemblent pour un football, non seulement incapable de répondre aux normes internationalement admises en matière de formation et de «production» de talents exportables, mais alignant, avant tout, surtout, les scandales. à l’instar des précédents exercices où les différents acteurs ont mis un point d’honneur (déshonneur serait plus indiqué) à s’échanger les politesses et jouer, médiatiquement, du muscle sur un sujet récurrent rendant impossible toute lecture objective sur les forces en présence, beaucoup de formations s’adonnant, bon an mal an, à la spécialité en vogue qui est celle d’acheter et de vendre les matches dans un drôle de souk à ciel ouvert où l’acheteur d’hier se transforme en vendeur de … points dans une bourse des valeurs à faire pâlir d’envie «Wall Street» et autres prestigieuses places mondiales condamnées à faire le détour d’Alger et autres escales du pays pour se mettre à jour.

Parti-pris ?
On reprend les mêmes travers et on recommence. La preuve par une contestation quasi-quotidienne que le pire est peut-être devant. Un dossier difficile (impossible ?) à traiter et tendant à s’internationaliser, le dernier documentaire de la BBC, s’il a été diversement commenté, a eu cet effet (bénéfique ?) de faire sortir les plus hautes instances dirigeantes de notre sport (la tutelle, par la voix autorisée de son 1er responsable, le ministre Hattab, s’étant emmêlé les pinceaux avec une réaction maintenant le statuquo plus qu’autre chose) et de cette discipline causant bien des soucis, le président de la Faf qui a promis (sans conviction ou presque), dans la foulée que la structure qu’il dirige «ne restera pas les bras croisés» face à un phénomène prenant de l’ampleur et face auquel on n’y peut pratiquement rien à lire les accusations pleuvant à n’en plus finir sur un corps (l’arbitrage) dans l’œil du cyclone depuis maintenant plusieurs saisons ternies par les rumeurs insistantes de corruption et de combine, les deux «arguments» faisant office de «réalités» à l’heure des grandes cérémonies de remise des «prix» et de «sanctions» toujours contestables et contestées.

Tout récemment encore (lors de la précédente étape de Ligue 2 «Mobilis» justement), le patron de l’USM Annaba, digérant mal (alors là très mal) la défaite de son team, sortira à son tour de son mutisme avec des déclarations fracassantes. Et cette sentence (rien de ce qu’on savait déjà) qu’il assènera sans sourciller, sûr de ce qu’il avancera, que «le football algérien est pourri.» Merci M. Zaim (c’est le nom de celui qui dirige actuellement le onze phare du Seybouse) de nous le rappeler aussi crûment en inventant néanmoins, ni plus ni moins, le fil à couper le beurre. Du réchauffé et donc point de scoop. Un air connu dans une sorte de litanie qui a le don de fatiguer une opinion loin d’être dupe. Il soulignera, un peu plus loin (sa manière à lui, peut-être, de commenter la fameuse liste des 23 «Verts» concernés par la double confrontation contre le Benin en moins d’une semaine, puisque personne ne le lui a demandé et il vient de trouver le bon moment et une occasion inespérée de dire ce qu’il pense en enfonçant un peu plus le clou) que le sélectionneur national, Belmadi (il lui tire même chapeau bas), mérite même les «félicitations» pour n’avoir convoqué «aucun joueur local» non sans s’expliquer, à l’arrivée de la petite défaite concédée samedi à El Eulma face au MCEE local, le geste de ses joueurs qui ne se sont pas privé d’applaudir, au coup de sifflet final, l’homme en noir de la rencontre dont ils estiment (à l’unisson) l’arbitrage plus que partial après avoir accordé à la demi-heure de jeu un penalty longtemps contesté par les Bônois et qui scellera à l’arrivée l’issue de la partie. Non content de dénoncer le parti-pris du directeur de jeu, Zaim aura des mots durs quant au respect des règles du jeu et de l’éthique dans des compétitions nationales chaque jour un peu plus discréditées et placées (on ne cessera jamais de le répéter et ça fait partie des décors) sous le sceau de la suspicion généralisée. On cite en ouvrant bien sûr les guillemets : «Je voudrais juste savoir si le football se joue avec l’argent. Dans ce cas, on n’a qu’à sortir nos chéquiers. Sur le terrain, on est largement supérieurs à l’adversaire et si j’étais joueur je demanderai à mon président de corrompre l’arbitre pour gagner.»

Un «souk» et des sous
Pas grave. Du tout. Encore une fois dans l’air du temps dans un championnat (dans ses deux présumés paliers «pros») qui, plus tôt que d’habitude cette saison, les langues commencent à se délier pour fustiger des pratiques connues de tous. Mais (c’est malheureux) que tout le monde condamne unanimement et à laquelle tout le monde ou presque a recours quand il «faut.» Une foire à laquelle tout le monde participe, nous ajouterions. Le boss annabi (mauvais perdant comme l’écrasante majorité de ses pairs si prompts à monter au créneau pour crier au loup et au «vol» lorsque ça va mal pour leur sigle, la plus belle parade avec le fonctionnement, à fond, du siège éjectable, au passage plus de la moitié des entraîneurs a déjà pris, avant même la fin du 1er tiers de l’exercice, la porte de sortie, pour calmer la rue) s’il dit (peut-être vrai) sans pouvoir fournir les preuves, sans que personne ne s’offusque, sans que la justice ne s’autosaisisse (il est plus qu’urgent que les tribunaux remettent, dans le cadre des lois de la République, tout ce beau monde à sa véritable place), a poussé à son tour un gros coup de gueule dans la continuité d’un débat toujours ouvert et si difficile finalement à refermer.

Des coups de colère et des réquisitoires comme s’il en pleuvait. Toujours dans la même direction. Celle de l’homme en noir qui a pourtant pris des couleurs en troquant le légendaire… noir de circonstance contre des couleurs plus gaies. Bonne idée. Peut-être mais dans un autre contexte où les règles du jeu sont respectées. En jaune, en rouge, vert fluo, le 23e homme a toujours (dans notre si agité «jeu à onze» où l’on n’a pas encore assimilé le sens de la dignité dans la défaite) ce poids, cette position de force (à tort ou à raison, que les intentions soient bonnes ou mauvaises) lui conférant le rôle majeur : celui de peser sur le cours ou le résultat d’une rencontre. Comprendra qui voudra? Connus pour ne pas peser lourd devant cette rue bien envahissante mais maniable ou manipulable à souhait, que font nos présidents quand ils n’achètent pas un officier de jeu? Ruer évidemment dans les brancards avec, et plus souvent que toléré, des colonnes de presse complaisantes. «Clubardes» tout simplement.

Le loup est dans la bergerie depuis assez longtemps pour ne pas craindre le pire pour une discipline déjà gravement mis à mal par une gestion catastrophique ajoutée au bricolage ambiant dont on mesure, saison après saison lamentablement ratée, les conséquences. Fâcheuses à tous les coups. Dans l’obligation impérieuse de remettre un peu d’ordre dans une maison- Faf mal servie par une instabilité chronique (la dernière sortie en date du DTN Saâdane suivie d’une démission publique rendant compte de graves dissensions du côté de la bâtisse de Dely Brahim où les voix dissonantes ne manquent pas et visant indirectement son N°1 qui, sitôt la période de grâce bouclée (que ce fut fastidieux, pénible même pour la nouveau équipe de faire oublier le règne de Raouraoua) mesurera la difficulté de la mission en s’embourbant, à l’image de nombreux bras de fer (des feuilletons toujours en cours et apparemment destinés à perdurer, les parties en présence, lavant leur linge en public et sans retenue, se promettant les pires révélations) engagés dans des affaires discréditant une structure condamnée à la déstabilisation permanente.

Pattes blanches !
Le week-end footballesque, qui vient de s’écouler, encore une fois et sûrement pas la dernière (une tradition bien ancrée), sur fonds de levée de boucliers visant «celui par qui tous les malheurs arrivent» s’il reste dans les normes (un spectacle à la limite de l’affligeant et une violence en sourdine dont le feu est attisé par des déclarations aussi tendancieuses qu’ouvertes sur le pire), n’en délivre pas moins un message claire que «tout le monde triche, tout le monde dénonce la tricherie.» Conclusion, une confirmation plutôt quand on sait que bien souvent, plutôt aussi souvent que possible, les coulisses restant l’argument massue pour nos formations, «tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.» Le tableau (pas beau à voir), planté depuis déjà assez longtemps pour ne pas étonner grand monde, l’homme en noir (certains nourrissant de noirs desseins et se mouillant jusqu’au coup face au poids du bakchich), en homme «orchestre» volant, plus que de raison, la vedette à des «stars» en carton incapables d’assumer leur statut ou de s’assumer lors de la défaite, estimant, avec fracas, être «volées», du moins «lésées», dans les deux cas le sens demeurant le même.

Quel est le président de club, l’entraîneur ou les joueurs à rejoindre les vestiaires sans un mot, sans montrer du pouce, d’un doigt accusateur l’accusé N°1, cet acteur principal et à l’origine de tous les maux? Bien avant d’ouvrir les «hostilités» (c’est le terme qui va le mieux avec les interminables parties de pousse-ballon, une véritable punition pour le public payée au prix fort, entre 300 et 500 da, ce qui n’est pas à la portée de nos jeunes), avec des propos incendiaires, pour ne pas dire des menaces claires relayées par une presse spécialisée appelée urgemment à revoir également sa copie, que nos joueurs, avec la bénédiction de leurs dirigeants, s’en vont hebdomadairement en guerre contre tout le monde, les 1ers visés, dans de sales draps, demeurant ces souffre-douleurs tous désignés dont beaucoup jouent le jeu en participant, contre dinars sonnants et trébuchants, à une mascarade qui n’a que trop duré. Un championnat tenu en otage (en laisse ?) par une mafia de l’arbitrage difficile désormais à débusquer et que la Faf (dans toutes ses versions et cela dure depuis des lustres), n’a pu endiguer.

La suite ? On la connaît et on commence, dès à présent, deux tiers avant le baisser de rideau (dans sept mois, fin mai prochain) à sortir l’artillerie lourde (le fameux chéquier au moment où toutes les clubs sont en situation de faillite et sans liquidités pour terminer la saison) en investissant le «souk» à la recherche d’un arbitre à convaincre et se donner les moyens de crier au complot quand la partie d’en face se montre plus «généreuse.» La baisse inexorable du niveau d’ensemble, les déculottées à l’international, la difficulté manifeste à «vendre» le «made in Algéria» sur lequel et à juste titre, les sélectionneurs qui se sont succédé à la tête de la barre technique des «Verts» ont mis une croix ? Merci. C’est même trop demander à de mauvais génies portés sur la magouille et les coups bas. Le résultat immédiat et les gros dégâts portés à un édifice jamais aussi ébranlé. En passe de s’écrouler sur la tête de responsables surpris éternellement en flagrant délit de bricolage. Y’a-t-il vraiment quelqu’un pour remettre un peu d’ordre dans ce m…rdier ? A la Faf, on en fait la promesse. Avec quels outils et quels moyens ? Tournez manège. Rien à voir apparemment…
Azzouaou Aghilas

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Journaliste saoudien disparu à Istanbul : Une télévision diffuse des images de vidéosurveillance

Thu, 10/11/2018 - 16:17

Des éléments accréditant la thèse de la disparition forcée ou de l’assassinat d’un journaliste saoudien à Istanbul, par des agents de son pays ont été révélés par les médias turcs mercredi, alors que sa fiancée demande l’aide de Donald Trump.

Des télévisions turques ont diffusé des images de vidéosurveillance montrant, notamment l’entrée au consulat saoudien d’Istanbul du journaliste Jamal Khashoggi et de l’équipe soupçonnée d’être responsable de sa disparition. M. Khashoggi, un journaliste critique du pouvoir de Ryad qui écrivait notamment pour le Washington Post, s’est rendu au consulat le 2 octobre, sur rendez-vous, pour des démarches administratives. Selon la police turque, il n’en est jamais ressorti, mais Ryad affirme le contraire. Sur les images, M. Khashoggi apparaît, entrant dans le consulat à 13h14. Un van noir est visible, garé à proximité. D’autres images montrent un van entrer dans le consulat puis en ressortir et se rendre à 15h08, selon la chaîne 24 TV, à la résidence du consul toute proche. Des sources turques, citant l’enquête en cours, ont affirmé durant le weekend que M. Khashoggi avait été assassiné dans le consulat. Mais certains médias ont évoqué mardi la possibilité qu’il ait été enlevé et emmené en Arabie saoudite. Ryad a fermement démenti la thèse de l’assassinat. Le Washington Post a affirmé, citant une source informée, que les services de renseignement américains avaient intercepté avant la disparition de M. Khashoggi des communications entre responsables saoudiens évoquant son enlèvement.

«Equipe d’assassinat»
La police turque avait révélé samedi qu’un groupe de quinze Saoudiens avait fait l’aller et retour à Istanbul et au consulat le jour de la disparition du journaliste. 24 TV et d’autres chaînes ont aussi diffusé des images qu’elles affirment être celles des membres de ce groupe arrivant à l’aéroport d’Istanbul puis à leur hôtel. Selon ces sources, ils ont quitté l’hôtel dans la matinée pour se rendre au consulat puis sont repartis dans la soirée. Le quotidien progouvernemental Sabah avait révélé mardi, que deux avions privés étaient arrivés d’Arabie saoudite à Istanbul ce jour-là et que les personnes à leur bord avaient des chambres réservées dans des hôtels proches du consulat mais qu’ils n’y avaient pas passé la nuit. Mercredi, le même journal a publié les noms, l’âge et les photographies de quinze hommes présentés comme l’»équipe d’assassinat» dépêchée par Ryad. Le nom de l’une de ces personnes, Salah Muhammed Al-Tubaigy, correspond à celui d’un lieutenant-colonel du département de la médecine légale saoudien. Les autorités turques ont obtenu mardi l’autorisation de fouiller le consulat saoudien, mais cette fouille n’a pas encore eu lieu. La fiancée du journaliste a demandé mardi dans le Washington Post l’aide du président américain Donald Trump pour «faire la lumière» sur cette affaire. «J’implore le président Trump et la Première dame Melania Trump d’aider à faire la lumière sur la disparition de Jamal», a écrit Hatice Cengiz dans une tribune publiée par le quotidien auquel collabore M. Khashoggi.

«Moi, je parle»
Le Saoudien s’était exilé en 2017 aux États-Unis, après être tombé en disgrâce à la cour du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, surnommé «MBS». Dans une interview réalisée par la BBC trois jours avant sa disparition, M. Khashoggi a affirmé qu’il n’avait pas l’intention de revenir dans son pays. «Lorsque j’entends parler de l’arrestation d’un ami qui n’a rien fait qui mérite une arrestation, cela me fait penser que je ne dois pas y aller. Moi, je parle, cet ami à moi ne parlait même pas», a-t-il dit pour expliquer sa décision. Au moment où la pression monte sur l’administration américaine pour intervenir sur ce dossier auprès de son allié saoudien, le ministre américain de la Défense Jim Mattis a assuré mardi que les Etats-Unis «suivent de très près la situation». M. Trump s’était dit «préoccupé» lundi par le sort de M. Khashoggi en relevant que «de mauvaises histoires circulent» à son sujet. Déplorant une réaction américaine tardive et timorée, Sarah Margon, de l’organisation Human Rights Watch, estime que Washington «dispose des outils pour répondre rapidement, c’est une question de volonté politique».

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Projet CAPDEL à Ouled Ben Abdelkader (Chlef) : Début d’installation des membres du Conseil consultatif

Thu, 10/11/2018 - 16:13

Des membres du Conseil consultatif pour le développement de la commune d’Ouled Ben Abdelkader à Chlef ont été installés dans le cadre de la première opération du genre inscrite, au profit de dix communes pilotes du pays, au titre du programme de renforcement des capacités des acteurs du développement local (CapDel).

D’une durée de trois jours, cette opération prévoit des assemblées générales avec huit catégories représentatives de la société, au terme desquelles seront sélectionnés une soixantaine de membres pour constituer le Conseil consultatif pour le développement, issu de la Charte de la citoyenneté participative. Des cadres du ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire étaient présents à l’assemblée d’aujourd’hui ayant vue la sélection des représentants des femmes et des jeunes. Sachant que la 2e journée de l’opération verra la sélection des représentants des organisations professionnelles, des dispositifs de soutien, des opérateurs économiques, de l’université et du secteur de la formation professionnelle, tandis que la 3e journée sera consacrée à l’installation des représentants de la société civile, des personnes aux besoins spécifiques, et autres comités de quartiers. Dans son intervention à l’occasion, le président de l’Assemblée populaire communale d’Ouled Ben Abdelkader, Djilali Cherifi, a souligné la contribution de programme dans la consécration d’une démocratie participative au niveau des dix communes ciblées par le CAPDEL. Il a, également, loué les objectifs de ce programme, visant, a- t-il informé, la «mise en place d’un programme de développement local global, sur une durée de cinq années».

«Il s’agit véritablement d’une valeur ajoutée pour la commune, notamment au plan de la consécration d’une démocratie participative, basée sur la concurrence loyale et la recherche des meilleurs plans de développement», -a-t-il, en outre, estimé. Le responsable, qui a souligné l’écho positif réservé à ce programme par tous les acteurs concernés, a également axé sur son rôle dans le financement de certains programmes relevant d’associations, «et non de projets, comme certains l’ont cru», a- t-il expliqué. «Le CapDel vise à consacrer une approche de développement locale susceptible d’appuyer l’APC, dans la mise en place d’une stratégie de développement concertée, attentive aux attentes des citoyens», a estimé, pour sa part Mohamed, un acteur local ayant pris part à la séance d’aujourd’hui. À noter que le CapDel est un programme de renforcement des capacités des acteurs du développement local, dont les jeunes et les femmes notamment, au niveau de dix communes pilotes retenues au niveau national, pour sa mise en œuvre. Son financement est assuré par trois partenaires, à savoir le ministère de l’Intérieur (trois millions de dollars), l’Union européenne (prés de 8,5 millions de dollars) et le PNUD (prés de 200 000 dollars).

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Alger : Près de 60 agréments de crèches octroyés en 2018

Thu, 10/11/2018 - 16:11

La Direction de l’action sociale (DAS) de la wilaya d’Alger a octroyé, depuis début 2018, près de 60 agréments pour la création de centres d’accueil de la petite enfance (jardins d’enfants et crèches) qui répondent à un cahier de charges ayant pour but d’améliorer la performance de ces établissements et couvrir les besoins croissants en la matière, a indiqué la responsable du service de l’enfance et de la jeunesse auprès de la DAS.

Les services de la DAS de la wilaya d’Alger ont délivré 56 agréments pour l’ouverture de crèches et de jardins d’enfants, entre janvier et septembre 2018, tandis que 47 autres dossiers sont actuellement en attente de signature au niveau de la wilaya», a déclaré à l’APS Mme. Ghouilem Hayat, en marge d’une visite des membres de la Commission des affaires sociales et culturelles de l’APW d’Alger au niveau des crèches dans les communes de Bouchaoui, Draria et Hydra. Les établissements d’accueil de la petite enfance existent en trois catégories selon les tranches d’âge. Ainsi, la crèche accueille des enfants de trois mois à trois ans et leur assure un contrôle sanitaire et des activités d’éveil, tandis que le jardin d’enfants accueille des enfants de trois années à moins de six ans et leur assure le développement psychomoteur et les préparent à l’intégration sociale et scolaire.

Après avoir démenti l’existence d’obstacles ou de conditions imposées à l’ouverture de tels espaces destinés aux enfants, la responsable a rappelé «le souci des responsables du secteur à s’assurer que les personnes désireuses d’ouvrir des crèches réunissent toutes les conditions professionnelles et les compétences requises, notamment dans les domaines de la psychologie, de la sociologie et de l’éducation spécialisée». Elle a précisé, à ce titre, que les établissements et centres d’accueil de la petite enfance sont des établissements d’éducation à caractère social visant l’accompagnement des enfants de moins de 5 ans pour les préparer à l’entrée scolaire à travers un suivi psychologique dans le cadre d’un programme pédagogique et éducatif.

S’exprimant en marge de cette visite, la vice-présidente de l’APW d’Alger, chargée des affaires sociales, culturelles, et des affaires religieuses et wakfs, Mme Djebali Farida, s’est félicitée de «l’amélioration notable» enregistrée dans le niveau de prestations fournies, la qualité de prise en charge et l’encadrement au niveau des crèches et jardins d’enfants à Alger. Elle a relevé, en outre, certaines insuffisances se rapportant notamment aux coûts élevés des inscriptions aux crèches et jardins d’enfants qui varient de 10.000 à 30.000 DA, l’hygiène, le stockage de denrées alimentaires avec des produits détergents, l’absence d’espaces verts et l’utilisation d’ustensiles en plastiques ayant un impact sur la santé des enfants, appelant, à ce titre, les directeurs de crèches à mettre à la disposition des enfants des ustensiles de bonne qualité, et à éviter l’utilisation du réchaud à gaz «tabouna» qui constitue un danger pour les enfants.

Rappelant l’interdiction d’ouvrir des jardins d’enfants au niveau des appartements, Mme. Djebali a mis en avant la nécessité, pour les crèches, d’adopter un programme unifié pour cours dispensés dans la phase préparatoire, afin de préserver la personnalité et l’identité de l’enfant, tout en prévoyant l’enseignement des langues. Elle a appelé, en outre, à la nécessité de mettre les établissements d’accueil de la petite enfance sous la tutelle de la Direction de l’action sociale (DAS) de la wilaya d’Alger afin de pouvoir les contrôler avec les autres membres de la commission de la wilaya, composée de représentants des secteurs de l’Action sociale, de la Solidarité, du Commerce, de la Réglementation et des affaires générales, de la Protection civile, de la Santé et de la Sûreté nationale.

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USTO : L’Institut des sciences et techniques appliquées opérationnel en 2019

Thu, 10/11/2018 - 16:11

Le nouvel Institut des sciences et techniques appliquées (ISTA) relevant de l’Université des sciences et technologies Mohamed Boudiaf d’Oran (USTO-MB) ouvrira ses portes à la prochaine rentrée universitaire et permettra de renforcer davantage les liens université/entreprises, a indiqué la rectrice de cet établissement de l’enseignement supérieur. «Nous comptons ouvrir un institut des sciences et techniques appliquées en génie industrielle, maintenance industrielle et gestion des chaînes de production à partir de la rentrée prochaine 2019/2020», a précisé dans une déclaration à l’APS Nacéra Benharrat. Pour elle, l’ISTA sera «un véritable pont» entre l’université Mohamed Boudiaf et des dizaines d’entreprises ayant des chaînes de production dans la région ou sur le plan national.

Sa mise en place vient répondre à un besoin croissant de formation spécialisée dans le secteur économique, notamment avec l’installation de plusieurs constructeurs automobiles dans la région ouest du pays, a-t-elle ajouté. Les futurs partenaires, avec lesquels des conventions de partenariat vont être signées sont le groupe automobile «Renault Algérie» installé à Oran, des groupes automobiles installés dans l’ouest du pays et des dizaines d’autres entreprises ayant des chaînes de production. Il s’agit, entre autres, de l’Algérienne des industries textiles (TAYAL), Textile Algérie Arzew et le groupe Tosyali, a-t-elle fait savoir. «Ces efforts interviennent dans le but de rapprocher davantage l’université de ses partenaires économiques pour satisfaire, d’une part, les besoins en matière de formation spécialisée des entreprises et, d’autre part, améliorer l’employabilité des étudiants et leur intégration dans le monde du travail», a souligné Mme Benharrat. L’Université Mohamed Boudiaf d’Oran s’était lancée en 2011 dans la formation spécialisée, en collaboration avec ses partenaires économiques à travers la création de masters professionnels. Le premier en date ayant demandé ce genre de formation était le groupe cimentier «Lafarge». Une trentaine d’étudiants sont formés annuellement dans le cadre d’un master professionnel en chimie des matériaux industriels lancé à l’occasion.

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Brésil : Jair Bolsonaro est-il vraiment le Trump brésilien ?

Thu, 10/11/2018 - 16:08

Comme Donald Trump, il est accusé de misogynie et de racisme en raison de ses déclarations fracassantes. Adepte des réseaux sociaux, il boude aussi la presse traditionnelle: Jair Bolsonaro mérite-t-il pour autant son surnom de «Trump tropical ?» Le candidat d’extrême droite à la présidentielle au Brésil a obtenu dimanche 46 % des voix au premier tour, avec un discours en faveur de la famille traditionnelle, des valeurs patriotiques et de la libéralisation du port d’arme pour lutter contre l’insécurité.

Au second tour, le 28 octobre, il espère continuer de surfer sur la vague conservatrice qui a déferlé sur le pays pour battre Fernando Haddad, remplaçant de l’ex-président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, incarcéré pour corruption et inéligible. Pour Joao Ferers Junior, professeur de sciences politiques à l’Université de Rio de Janeiro (Uerj), le phénomène Bolsonaro a quelques points en commun avec celui qui a débouché sur l’élection du président américain. Comme Trump, «c’est un histrion, un candidat qui n’y comprend rien aux politiques publiques, qui s’exprime mal, mais pour une raison qu’on ignore, il attire un certain type d’électorat», explique-t-il. «C’est un électorat aux tendances fascistes, qui croit que la solution à tous les problèmes sociaux est l’élimination de l’autre», souligne le chercheur, pointant néanmoins une différence majeure. «La plupart des électeurs de Trump sont des blancs pauvres. Ceux de Bolsonaro sont plutôt des blancs issus de la classe moyenne et des couches aisées», précise-t-il.

Rejet du système
«Bolsonaro incarne un esprit anti-establishment. En ce sens, il ressemble beaucoup à Trump», affirme pour sa part Guilherme Casarões, professeur de sciences politiques et de relations internationales à la Fondation Getulio Vargas (FGV). Mais si le magnat américain de l’immobilier n’avait aucune expérience politique avant d’être élu, c’est loin d’être le cas de Jair Bolsonaro, qui siège à la chambre des députés depuis 27 ans. Par ailleurs, le patrimoine de Bolsonaro n’a rien à voir avec celui de Trump. En déposant sa candidature, Jair Bolsonaro a déclaré des biens de 2,28 millions de réais (495.000 euros). Même si ses détracteurs l’accusent d’avoir largement sous-évalué son patrimoine, il est sans commune mesure avec la fortune du président américain. De même, leur train de vie n’a rien de semblable: pas de jets privés ni de résidences hyper luxueuses dans la vie de Bolsonaro. Autre différence de taille: leurs partis. Donald Trump était porté par le puissant Parti Républicain, tandis que le Brésilien s’est présenté sous les couleurs d’une formation méconnue, le Parti social libéral (PSL), qu’il n’a rejointe qu’en mars. «Bolsonaro a été accueilli par un tout petit parti et a fait campagne avec très peu de temps d’antenne et très peu de fonds publics», souligne Guilherme Casaroes. Il a été privé de campagne dans la rue et de débats télévisés après avoir été poignardé à l’abdomen en pleine campagne le 6 septembre, un mois avant le premier tour.
Admiration mais l’ex-capitaine de l’armée brésilienne a surmonté ce handicap en étant omniprésent sur les réseaux sociaux, avec 7 millions d’abonnés sur Facebook et 4,2 millions sur Instagram. Trump, lui, s’exprime constamment sur Twitter, y compris pour des annonces officielles, une façon de bouder les médias traditionnels. Bolsonaro se méfie également de la presse, qu’il accuse de propager de fausses informations. Même si leurs profils présentent des différences, le candidat brésilien ne cache pas son admiration pour le président américain. «Trump est un exemple pour moi. Je suis conscient de la distance qui nous sépare, mais j’ai l’intention de me rapprocher de lui pour le bien du Brésil et des Etats-Unis», a-t-il déclaré en octobre 2017, lors d’un voyage en Floride. En août, son fils Eduardo, qui a battu dimanche le record absolu de voix pour se faire réélire député, a rencontré à New York Steve Bannon, ex-conseiller en communication du président américain. Si en 2016 Trump scandait qu’il voulait «rendre sa grandeur à l’Amérique» (Make America great again), Bolsonaro fait aussi vibrer la fibre patriotique, avec son slogan «Le Brésil au-dessus de tout», assorti d’un «Dieu au-dessus de tous» pour séduire les millions de fidèles des églises néo-pentecôtistes.

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Venezuela: Caracas sous pression après la mort d’un opposant en prison

Thu, 10/11/2018 - 16:06

De l’ONU à l’Union européenne en passant par l’Organisation des États américains, les demandes d’enquête indépendante se multiplient après la mort de l’opposant vénézuélien emprisonné Fernando Alban, un suicide selon les autorités, un assassinat pour l’opposition. Fernando Alban, 52 ans, était emprisonné depuis vendredi dans l’affaire de l’attaque présumée aux drones explosifs contre le président Nicolas Maduro. Lundi, il «a demandé à aller aux toilettes et une fois là-bas, il s’est jeté dans le vide depuis le dixième étage», a affirmé le procureur général Tarek William Saab, qui a annoncé une «enquête complète». Mardi à la mi-journée, son cercueil recouvert d’un drapeau vénézuélien a été transféré dans les jardins du Parlement, seule institution contrôlée par l’opposition, où les honneurs lui ont été rendus.

Le cercueil a ensuite été acheminé à l’Université centrale du Venezuela, où a été aménagée une chapelle ardente pour une veillée funèbre. Le parti de Fernando Alban, Primero Justicia (La Justice d’abord), a dénoncé un «assassinat». «Nous tenons pour responsable Maduro et son régime tortionnaire», a-t-il indiqué dans un communiqué. Constatant des «informations contradictoires sur ce qui s’est passé», le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a réclamé mardi une «enquête transparente pour clarifier les circonstances de sa mort». «Fernando Alban était détenu par l’État. L’État avait l’obligation d’assurer sa sécurité, son intégrité personnelle», a souligné une porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU, Ravina Shamdasani, lors d’un point de presse à Genève. L’UE a elle aussi appelé à une «enquête approfondie et indépendante afin de clarifier les circonstances de la mort tragique du conseiller Alban», a déclaré Maja Kocijancic, porte-parole de la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini, rappelant qu’»il est du devoir de l’État d’assurer la sécurité et l’intégrité physique de toutes les personnes en détention».

«Pas un suicide!»
Lundi soir, des dizaines de personnes avaient participé avec des bougies à une veillée devant le siège des services de renseignement (Sebin), en criant, sous l’oeil des policiers: «Ce n’est pas un suicide, c’est un homicide!» Le ministre de l’Intérieur et de la Justice, Nestor Reverol, a déclaré que Fernando Alban s’était suicidé alors qu’il allait être déféré devant un tribunal et affirmé qu’il était «impliqué dans des actes de déstabilisation dirigés depuis l’étranger». Ce conseiller municipal d’un arrondissement de Caracas avait été arrêté vendredi. Il était accusé d’avoir participé à une attaque présumée aux drones explosifs, le 4 août, alors que le chef de l’Etat socialiste prononçait un discours lors d’un défilé militaire. L’opposition, qui dénonce une mise en scène, conteste cette version de ce que les autorités appellent un «attentat».
Une trentaine de personnes, dont des militaires en activité, ont été arrêtées dans le cadre de cette affaire. Selon le gouvernement, le fondateur de Primero Justicia, Julio Borges, une figure de l’opposition qui vit en exil en Colombie, est le commanditaire de cette attaque présumée. «Assassins!», a écrit sur Twitter M. Borges, qui avait rencontré Fernando Alban à New York la semaine précédant son arrestation. Selon lui, son corps «a été lancé sans vie depuis l’immeuble du Sebin».
Le chef de l’État socialiste ne s’est pas encore exprimé sur ce dossier.

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Reconduction des migrants aux frontières : Plus de 19 millions d’euro dépensés, selon Benhabiles

Thu, 10/11/2018 - 16:00

«Plus de 19 millions d’euro ont été dépensés par l’Algérie dans les opérations de rapatriement des migrants», a révélé, ce jeudi, la présidente du Croissant rouge algérien, Saida Benhabiles, sur les ondes de la radio Chaine 1.

Dans ce sillage, Mme Benhabiles a rappelé que les opérations de reconduite des migrants illégaux aux frontières ont été organisées sur la demande du Niger et qu’elles se sont déroulées dans le respect de la dignité des personnes et en application des lois de la République.

«L’action humanitaire en Algérie est enracinée dans l’histoire et jouit même de reconnaissance et estime » auprès de la Communauté humanitaire internationale», a-t-elle précisé.

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Le directeur de la prévention au ministère de la Santé: c’est à la vaccination qu’on doit la disparition de nombreuses maladies

Thu, 10/11/2018 - 15:57

En 2017, des discrédits ciblant une opération de vaccination contre la rougeole et la rubéole ont contribué à favoriser l’apparition d’une épidémie de rougeole donnant lieu au décès de 16 petits enfants.    

En dépit des appréhensions cultivées à son encontre, la vaccination a toujours été et restera une priorité du ministère de la Santé pour réduire la mortalité infantile, souligne le directeur général de la prévention au sein de ce département.

Il tient à rappeler que la vaccination a, depuis l’indépendance, contribué à éradiquer le tétanos maternel et néonatal, à réduire la diphtérie et à diminuer « considérablement » la mortalité provoquée par la rougeole.

Intervenant, jeudi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le Dr Djamal Fourar observe que si des personnes se montrent réticentes à faire vacciner leurs enfants, c’est parce que, selon lui, ils n’entendent plus parler de ces maladies « disparues grâce à la vaccination ».

Revenant sur l’épisode du programme de vaccination entrepris en 2017 pour endiguer la transmission des virus de la rougeole et de la rubéole, perturbé, déclare-t-il, par « un certain nombre de facteurs », il observe qu’il a donné lieu à un taux de couverture de seulement 45%, suivi d’une épidémie de rougeole affectant 21.000 enfants et provoquant 16 décès parmi eux.

Commentant la résurgence de certaines pathologies, dont celle justement de la rougeole, ainsi que de la rubéole et de la réapparition récente du choléra, il signale que le programme national de vaccination a été révisé, donnant lieu à un nouveau calendrier d’immunisation lequel, annonce-t-il, commencera à être appliqué à partir du 1er trimestre de 2019.

Il indique que celui-ci va se traduire par l’usage d’un nouveau type de vaccin regroupant six antigènes, permettant de réduire, d’autant, le nombre d’inoculations. Il annonce au passage que 2,5 millions de doses ont déjà été réceptionnés.

Il précise, d’autre part, qu’il faudrait pouvoir réaliser un taux vaccinal de plus de 90% pour éliminer la transmission de divers agents pathogènes contrôlables par ce type de prévention.

Pour amener les parents à faire vacciner leurs enfants, le Dr Fourar tient à souligner la qualité sans faille des vaccins utilisés, conçus par des laboratoires de renommée internationale « et pré-qualifiés, ajoute-t-il, par l’Organisation mondiale de la santé ».

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CAN 2019 (qualifications/4e j): Slimani forfait même pour la 5ème journée

Thu, 10/11/2018 - 15:54

L’attaquant du club turc, Fenerbahçe Islam Slimani, qui souffre d’une blessure à une cuisse, est forfait pour les deux prochains matchs contre le Bénin, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2019), et il a été autorisé à retourner à Istanbul dès ce mercredi, où il poursuivra les soins avec son club employeur, affirme la FAF.

« Le staff médical de la sélection nationale, après auscultation, a préféré ne prendre aucun risque avec Slimani, pour ne pas compliquer sa blessure  davantage. Il a donc préféré le dispenser des deux prochains matchs contre le Bénin, et le remettre à la disposition de son club, dès mercredi, où il poursuivra ses soins » a précisé la même source.

Le forfait de l’ancien buteur du Chabab de Belouizdad pour le match « aller » contre le Bénin était déjà confirmé. Mais le sélectionneur national, Djamel Belmadi, avait entretenu l’espoir de pouvoir le récupérer pour le match « retour », prévu quatre jours plus tard à Cotonou.

Ce retour était cependant tributaire d’un avis médical favorable, mais le dernier examen, effectué mercredi après-midi au Centre technique national  de la FAF à Sidi-Moussa ne l’a pas été, d’où la décision donc de dispenser carrément le joueur du deuxième match.

Pour remplacer Slimani, qui a porté également les couleurs du Sporting Lisbonne (Portugal), Leicester et Newcastle (Angleterre), le staff  technique national a décidé de faire appel à Oussama Darfalou, l’ex-fer de lance de l’USM Alger, qui évolue depuis le début de la saison en cours à Vitesse Arnhem (Pays-Bas).

Cette double confrontation contre le Bénin est prévue les 12 et 16 octobre 2018, pour le compte des 3e et 4e journées des éliminatoires de la prochaine Coupe d’Afrique des nations (CAN-2019).

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Nouvelles cités d’Alger: optimisme quant à l’avancement des travaux

Thu, 10/11/2018 - 15:51

Deux groupes scolaires (primaires) seront livrés dimanche prochain dans le cadre du programme devant être réalisé à la cité 10.000 logements à Sidi Abdallah, en attendant la livraison de 4 groupes scolaires fin octobre en cours et d’un CEM et un lycée en décembre prochain, a annoncé, mercredi, le directeur du logement de la wilaya d’Alger, Smaïl Loumi.

En marge d’une visite sur terrain effectuée par les membres de la commission de l’urbanisme et de l’habitat de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) dans les nouvelles cités de la ville de Sidi Abdallah et Douéra, M. Loumi a déclaré que le programme devant être réalisé à la cité 10.000 logements à Sidi Abdallah consiste en 8 groupes scolaires, 4 CEM et 3 lycées, ajoutant que « deux groupes scolaires seront livrés dimanche prochain, 4 groupes scolaires fin octobre en cours outre un CEM et un lycée en décembre prochain ».

L’Agence de l’Amélioration et du développement du logement (AADL) a pris toutes les mesures pour entamer les travaux de réalisation d’une  polyclinique dans cette cité, a fait savoir le responsable, indiquant qu’il est prévu également une structure de la sûreté et des locaux commerciaux au service du citoyen.

Après la visite de la cité 1602 logements à Douéra  (Logements publics locatifs, LPL), la commission de l’urbanisme et de l’habitat a inspecté les  structures publiques en cours de réalisation, dont des établissements scolaires et un complexe sportif.

M. Loumi a fait savoir, dans ce sens, que 1000 logements publics locatifs ont été livrés à la cité 1602 logements de Douéra, comme première tranche,  précisant que la deuxième tranche (644 logements) sera livrée aux  bénéficiaires lors de la prochaine opération de relogement.

Le même responsable a rappelé, à ce titre, l’attribution d’une première tranche de 1000 logements LPL à la cité 1602 logements (Douéra) et d’une deuxième lors de la prochaine opération de relogement.

Pour sa part, le directeur de l’Office public de la gestion immobilière (OPGI) de Dar El Beida, Mohamed Ismail a fait savoir que les travaux des 644 logements ont atteint 80% et seront bientôt réceptionnés, annonçant,  par la même occasion, la réalisation d’un groupement scolaire de 12 classes, au niveau de la cité 1602 logements à Douéra, dont le taux de  réalisation est à 40%, outre la réalisation d’un établissement d’enseignement moyen (20%).

Les membres de la commission de l’urbanisme et de l’habitat de l’APW ont écouté, au niveau des cités de Sidi Abellah et Douéra, les préoccupations  des habitants relatives notamment aux pannes des ascenseurs (cités AADL), l’absence de ralentisseurs (près des groupements scolaires) en sus des actes de propriété non-attribués.

Les préoccupations des citoyens ont été soulevées aux autorités compétentes, a assuré la présidente de la commission, Kherras Zakia.

Les membres de la commission se sont rendus mercredi au niveau des cités de la nouvelle ville Sidi Abdellah et Douéra pour s’enquérir des différentes structures publiques en cours de réalisation où ils ont exprimé leur optimisme quant à l’avancement des travaux, particulièrement au niveau des établissements d’éducation.

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E-commerce: la BDL lancera une campagne médiatique d’information

Thu, 10/11/2018 - 15:51

La Banque de développement local (BDL) lancera prochainement une campagne d’information sur le commerce électronique (e-commerce) qui entrera en vigueur l’année 2019, a déclaré mercredi à Mascara la directrice centrale à la Banque de développement local (BDL), Nawal Taleb.

Mme Taleb, responsable du développement du paiement électronique à la BDL a souligné, lors d’une journée d’étude sur le paiement électronique  organisée par la chambre de commerce et d’industrie de Mascara, que la BDL a réalisé un sondage pour connaitre l’avis des citoyens sur le paiement  électronique et qu’il a été relevé une réticence de certains quant à l’utilisation de cet appareil par manque d’informations.

La BDL a également constaté, d’après les résultats du même sondage réalisé auprès de personnes concernées par la nouvelle procédure, des appréhensions quant à la sécurité de cette opération.

Pour remédier à cette situation, la BDL a décidé de lancer une campagne médiatique prochainement afin de vulgariser la législation et d’expliquer la procédure, notamment sur les aspects sujets d’appréhensions, a-t-elle précisé.

La directrice a, à cette occasion, rappelé qu’à partir du mois de janvier 2019, chaque commerçant et fournisseur devra utiliser le versement  électronique, sous peine d’une amende de 50 000 DA en cas d’infraction à la loi adoptée par le parlement en 2018.

Elle a encore rappelé que cette loi a accordé un délai aux commerçants et fournisseurs jusqu’à fin décembre prochain pour se doter d’appareils de  paiement électronique, ajoutant que des commissions spécialisées procéderont à partir de janvier 2019 au contrôle de la disponibilité de ces appareils.

Mme. Taleb a, par ailleurs, expliqué les avantages du paiement électronique pour les commerçants et les clients, dont notamment la prémunition contre les faux billets.

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Tlemcen: Une étudiante meurt en chutant de la passerelle de la gare routière

Thu, 10/11/2018 - 12:30

Khaled Boumediene

Une jeune fille de 24 ans, originaire d’Aïn Témouchent, a fait une chute mardi dernier d’une passerelle piétonne enjambant la RN 22 près de la nouvelle gare routière, à la sortie nord de la ville de Tlemcen. Aux alentours de 12 heures, la victime, une étudiante à l’université «Abou Bekr Belkaïd» de Tlemcen, est tombée d’une hauteur d’environ cinq mètres. Des éléments de la Protection civile et de la police ont été immédiatement dépêchés sur place afin de lui porter secours.

«Quand nous sommes arrivés, elle était allongée sur la voie. Elle était polytraumatisée, inconsciente mais vivante », explique un pompier de l’unité de Bab Wahran.

La jeune fille est décédée dès son admission au service des urgences médico-chirurgicales (UMC) du centre hospitalier universitaire (CHU) de Tlemcen. La circulation a été fortement perturbée dans les deux sens entre le rond-point de Koudia et la ville de Tlemcen.

De nombreux automobilistes empruntant cet axe routier très dense ont été marqués par la scène. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.

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Alger: Ils agressaient les passants, 6 arrestations

Thu, 10/11/2018 - 12:26

Tahar Mansour

Après avoir enregistré une première plainte de la part d’un citoyen faisant état du vol de son téléphone portable sous la menace par trois individus au niveau de Baba Hassen, puis d’une deuxième de la part d’un autre citoyen, le même jour et de la même manière à Khraissia, les gendarmes des deux brigades ont initié des enquêtes discrètes.

Au cours de leurs recherches, les gendarmes se rendirent compte que les malfaiteurs ont utilisé la même technique pour les deux victimes et pour trois autres victimes délestées de leurs objets de valeur au cours des trois derniers jours.

En effet, les agresseurs surveillent leurs victimes qui se trouvent au niveau des arrêts de bus ou dans des endroits isolés avant d’utiliser un véhicule pour s’en approcher, les agresser en les menaçant avec des armes puis en les délestant de tout ce qui avait de la valeur.

En utilisant les moyens et les techniques de recherches mis à leur service, les enquêteurs réussirent à arrêter tous les membres des deux bandes, au nombre de six, tous repris de justice. Ils ont aussi déterminé que les agresseurs activaient non seulement à travers la région de la wilaya d’Alger mais aussi dans d’autres wilayas, à l’instar de Boumerdès et Bouira.

Les six mis en cause ont été présentés à la justice qui les a placés en détention préventive sous les chefs d’inculpation de constitution d’association de malfaiteurs et vol sous la menace.

Les deux véhicules utilisés pour les agressions ont aussi été saisis.

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Blida: Agression d’un enfant, l’auteur écroué

Thu, 10/11/2018 - 12:25

Tahar Mansour

  Alors qu’il venait de sortir de l’école primaire située à Bouarfa où il étudie, un élève a été menacé par un individu à l’aide d’une arme blanche avant qu’il ne le roue de coups. Les policiers de la 5e sûreté urbaine (Bouarfa), postés non loin dans le cadre de la sécurisation des abords des établissements scolaires, sont intervenus et ont arrêté l’agresseur de l’enfant. Présenté à la justice, le mis en cause a été placé en détention provisoire en attendant son jugement.

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Saisie de près de 10 kg de kif

Thu, 10/11/2018 - 12:24

Tahar Mansour

Ayant reçu des informations sur la présence d’un individu qui commercialiserait des stupéfiants au niveau de la ville de Blida, les éléments de la Brigade de recherches et d’intervention (BRI) dépendant de la sûreté de wilaya de Blida ont initié une enquête qui a abouti à l’identification du suspect. Placé sous surveillance discrète, il tenta de s’enfuir à bord de sa voiture quand il aperçut les policiers mais ces derniers, rompus à ce genre de situations, ont vite fait de l’arrêter. Lors de la fouille effectuée sur la voiture, les enquêteurs découvrirent et saisirent près de 10 kilos de kif traité soigneusement dissimulés. Le mis en cause a été présenté à la justice qui statuera sur son cas.

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