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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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EHU «1er Novembre 1954»: Ouverture, cette semaine, de l’unité de soins palliatifs au profit des cancéreux

Sun, 11/25/2018 - 10:03

J. Boukraâ

  Une nouvelle unité de prise en charge des soins palliatifs et de support destinés aux personnes atteintes des maladies graves, évolutives ou terminales, notamment les cancéreux, sera inaugurée, cette semaine, dans l’Etablissement hospitalier universitaire ‘1er novembre 1954′. Selon la cellule de communication de l’EHU, l‘unité qui sera inaugurée, le 29 du mois en cours, est destinée aux personnes atteintes des maladies graves, évolutives ou terminales. « La création de cette entité qui est un élément du plan ‘Cancer’, a pour objectif d’apporter au patient l’assistance nécessaire afin d’alléger ses souffrances, améliorer le confort des patients porteurs des pathologies lourdes et procurer le soulagement de la douleur et des autres symptômes gênants, en mettant à leur disposition tout l’arsenal de soins palliatifs et de soutien.

Les spécialités impliquées, dans une première phase, sont : l’Oncologie, la Médecine interne et la Réanimation médicale. L’entité pourrait, ultérieurement, faire participer d’autres spécialités dans le cadre de l’élargissement de ses missions. L’entité de soins palliatifs et de support est constituée d’une unité d’hospitalisation classique, une unité d’hôpital du jour, une unité de prise en charge de la douleur et un bloc technique de mise en condition pour la réalisation des actes médicaux » selon la même source. Cette unité, première du genre au niveau national, créée dans le cadre du Plan national anti-cancer, permet d’accompagner des malades atteints de cancer en phase terminale, mais aussi des malades chroniques en état très avancé, en leur fournissant des traitements contre la douleur avec un accompagnement psychologique adéquat à leur situation. Louverture de cette unité est très attendue surtout que le nombre des cas de cancer ne cesse d’augmenter. Après la pathologie cardio-vasculaire, le cancer vient en 2ème position, dans la morbidité générale.

En Algérie, des milliers de nouveaux cas de cancer sont enregistrés annuellement. Le Service d’Oncologie médicale de l’établissement hospitalier ‘1er novembre 1954′ a enregistré durant le premier semestre de l’année en cours, près de 9.000 consultations et près de 6.000 hospitalisations du jour avec des séances de cure de chimiothérapie. Dans le même cadre une journée de réflexion sur les soins palliatifs, sera organisée jeudi 29 novembre, à l’EHU. « Cette journée vise à déterminer la notion d’accompagnement palliatif, ce nouveau concept de soin correspond à une vision humaniste de la médecine préoccupée de la prise en charge de la souffrance globale du malade traversant une phase critique d’une affection, potentiellement, mortelle ou vivant la période terminale de sa vie, en sus, ces soins peuvent, indubitablement, influencer de manière positive l’évolution de la maladie et augmenter le taux de survie tout comme les autres traitements », selon un communiqué de l’EHU.

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Djamel Belmadi: « Les places seront très chères en sélection »

Sun, 11/25/2018 - 10:00

Par Mohamed BENHAMLA

«Je le dis et redis, tout le monde aura sa chance, qu’il s’agisse de joueurs locaux ou expatriés», a indiqué le sélectionneur national, Djamel Belmadi.

Le sélectionneur national, Djamel Belmadi, a poussé un grand ouf de soulagement après la qualification de son équipe pour la phase finale de la CAN-2019. Il a affirmé qu’un nouveau souffle a été donné au groupe des Verts par les joueurs eux-mêmes, animés d’une grande volonté pour aller de l’avant et honorer les couleurs nationales. Dans un long entretien accordé à la télévision nationale, le driver des Verts dira: «Après la défaite face au Bénin, j’étais vraiment très touché. A notre arrivée à Alger, j’ai trouvé des supporters avec le drapeau algérien en train de nous attendre et nous encourager. Il fallait, donc, leur rendre la pareille. Lors du match face au Togo, j’étais très stressé parce qu’il fallait gagner, chose que nous avons réussi à faire».

«Les supporters ont le droit de voir plus grand»
Après la victoire au Togo (4-1) et la qualification pour la CAN-2019, les supporters algériens voient, désormais, plus grand et espèrent voir leur sélection brandir le trophée pour la seconde fois de leur histoire. Et cette revendication ne semble pas pour autant inquiéter Belmadi qui dira dans ce sillage: «Parfois, nous avons besoin de cette pression de nos supporters pour réaliser de bons résultats. Il s’agit là d’une pression positive et les supporters ont le droit de demander à voir leur sélection au-devant de la scène. Nous allons faire de notre mieux afin de les ravir, comme nous l’avions fait lors du match face au Togo.»

«Ceux qui méritent seront au Cameroun»
Maintenant que les Verts sont qualifiés pour la phase finale de la CAN, les joueurs doivent cravacher dur pour mériter leur place dans le groupe qui sera retenu pour ce tournoi continental. «A la fin du match face au Togo, je me suis réuni avec les joueurs. Je les avais félicités, mais en leur demandant d’oublier vite cette qualification pour se consacrer à la préparation de la CAN et à chacun de prouver, désormais, qu’il mérite de figurer sur la liste des joueurs qui feront le déplacement du Cameroun», a indiqué Belmadi. Pour lui, ceux qui ont contribué à la qualification pour le tournoi final ne sont pas assurés de faire partie du groupe retenu. «Les places seront très chères. L’avantage que j’ai, c’est de disposer de plusieurs bons joueurs à chaque poste, ce qui me donne l’embarras du choix», a-t-il averti.

«Tout le monde aura sa chance»
Le premier responsable technique des Verts a évoqué, par la suite, le niveau du championnat algérien. «Quand on dit que le niveau du championnat algérien est faible, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de bons joueurs. J’ai repéré plusieurs bons joueurs et j’attends le stage des locaux le mois prochain pour voir à l’oeuvre encore d’autres joueurs. Je le dis et redis, tout le monde aura sa chance, qu’il s’agisse de joueurs locaux ou expatriés. Celui qui sera convoqué, et s’il veut réussir, doit jouer sans complexe, comme le font ceux qui forment actuellement cette sélection», rappelle-t-il encore.

«Qu’on laisse Mahrez tranquille»
L’intervenant a profité de ce passage à l’ENTV pour évoquer le cas de son pro dige, Ryad Mahrez, critiqué sévèrement par certains consultants: «Il faut savoir critiquer d’une manière constructive. Arriver jusqu’à consacrer des émissions complètes pour le critiquer, cela devient inacceptable. Je sais comment faire avec lui et le pousser à sortir le grand jeu, mais je ne le dis pas en public. Cela reste en interne.»

«C’est l’amour de mon pays qui m’a ramené»
Belmadi est revenu sur son intronisation à la tête de la sélection nationale. «Déjà en tant que joueur, je suis venu en sélection à l’âge de 20 ans. A l’époque, seul l’amour du pays a tranché dans mon choix. Presque 20 ans plus tard, je reviens en tant que sélectionneur et avec la même ambition, celle de servir mon pays. Au Qatar, j’étais très à l’aise et j’yai gagné plusieurs titres, mais quand il y a un appel de mon pays, il passe avant tout. Les joueurs actuels ont, eux aussi, la même motivation, ce qui est un très bon signe nous permettant de travailler dans le même sens», a affirmé encore le successeur de Rabah Madjer.

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Journée mondiale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes

Sun, 11/25/2018 - 10:00

La journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes est célébrée le 25 novembre et soutenue par l’Organisation des Nations unies.

La violence à l’égard des femmes et des filles constitue une atteinte grave aux droits fondamentaux. Ses conséquences sur la santé physique, sexuelle et mentale des femmes et des filles sont multiples ; elles peuvent être immédiates ou de long terme. La violence a des effets négatifs sur le bien-être général des femmes et les empêche de participer pleinement à la vie sociale.

De nombreux pays  disposent de lois contre la violence domestique, les agressions sexuelles et les autres formes de violence. Toutefois, il reste plusieurs défis à relever pour faire appliquer ces lois afin que les femmes et les filles puissent jouir de la sécurité et de la justice.

En Algérie il existe de nombreuses associations qui prennent en charge les femmes victimes de violence conjugale. Sur le plan juridique de nombreuses lois protègent la femme contre la violence.

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Bilan des dernières intempéries: 14 morts à déplorer

Sun, 11/25/2018 - 09:59

Par Madjid BERKANE

La vague de pluie ayant marqué certaines wilayas du pays durant ces dernières 48 h n’ a pas été sans dégâts à signaler. Ce sont pas moins de 14 personnes qui ont perdu la vie à cette occasion. Le bilan le plus lourd a été causé comme de coutume par les accidents de la route. Les services de la Protection civile ont rendu public dans l’après-midi d’hier, un communiqué de leurs interventions où ils ont fait part de 11 décès et neuf blessés. La capitale arrive en tête des wilayas concernées par ces accidents avec deux décès.

Pour ce qui est des autres victimes enregistrées durant cette même période, le communiqué de la Protection civile a précisé que trois personnes ont trouvé la mort à cause de l’inhalation du monoxyde de carbone. Les victimes ont été enregistrées à Constantine (deux personnes) et Batna (une personne). «Dans la wilaya de Constantine, le drame a eu lieu au niveau de la nouvelle cité de Ali Mendjeli (commune d’El-Khroub). Il s’agit de deux femmes. A Batna, la victime a été enregistrée au niveau de la cité de Kechida au centre-ville de Batna», a précisé le communiqué.
Par ailleurs, le même communiqué a indiqué que les éléments de la Protection civile ont été sollicités pour l’évacuation de six (6) personnes retrouvées décédées à l’intérieur d’une habitation à la cité Chéraga dans la commune de Ghazaouet à Tlemcen. «Les causes du décès de ces personnes demeurent inconnues», note le communiqué. Il faut dire que ce bilan n’est malheureusement pas le premier que les services de la Protection civile ont enregistré cette année à cause des pluies diluviennes.

De nombreuses victimes ont été répertoriées depuis le mois de septembre dernier à travers le pays. Ces bilans macabres continuent à être enregistrés hélas en dépit de toutes les campagnes de sensibilisation initiées jusque-là aussi bien par la Protection civile que par la police à l’intention des citoyens, quant à la prudence et à la bonne utilisation des appareils de chauffage.
Doit-on changer les procédés de communication? La question mérite débat. En outre, il est à rappeler que des pluies assez marquées sous forme d’averses orageuses ont été enregistrées hier, dans pas moins de 26 wilayas du pays. Les wilayas côtières et proches-côtières du nord et du centre du pays ont été cette fois-ci les plus concernées. «Les cumuls enregistrés dans les wilayas de Chlef, Tipasa, Alger, Medéa, Blida, Aïn Defla, Boumerdès, Béjaïa, Bouira, Tizi Ouzou et Jijel ont atteint et dépassé les 25 mm», a précisé l’ONM dans un bulletin métrologique spécial(BMS) émis dans la matinée. «La validité dudit BMS devrait prendre fin dans les wilayas respectives aujourd’hui dimanche à 3 h du matin», a précisé la même source. Les pluies enregistrées dans ces wilayas ont été accompagnées de chutes de températures.

Dans beaucoup de wilayas, la circulation a été réduite à son strict minimum, a-t-on appris de sources sûres. Par ailleurs et dans le même BMS, l’ONM a indiqué que des cumuls atteignant et dépassant les 20 mm ont été enregistrés dans les wilayas de Laghouat, Djelfa, Ghardaïa et le nord de Ouargla. La validité du BMS dans ces wilayas devait prendre fin, précise l’ONM, vers 18h. Il est à rappeler en outre que les wilayas de Béchar, le nord d’Adrar, Naâma et El Bayadh ont connu depuis vendredi dernier une vague de pluie sans pareille.Les services de l’ONM ont fait part des cumuls ayant atteint 30 mm. Le ciel s’est toutefois éclairci dans ces wilayas depuis hier, à partir de 12h. A noter que la saison hivernale n’a pas encore commencé. Elle entrera en vigueur à partir du 21 décembre prochain.

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Routes impraticables, manque de structures sanitaires, d’un lycée…: Les habitants de «Hai El Istiklal» à Hassiane Toual interpellent le wali

Sun, 11/25/2018 - 09:58

K. Assia

Les habitants des 510 lotissements ‘Hai El Istiklal’ de Hassiane Toual (ex Fleurus) ont lancé, hier, un appel pressant au wali d’Oran pour leur venir en aide. Les riverains dénoncent l’état alarmant des chaussées et le manque de commodités alors qu’ils sont bénéficiaires d’actes de propriétés depuis les années 80. Les voies d’accès sont impraticables surtout en hiver où ils faut porter des sachets en plastique pour traverser les ruelles parsemées de nids de poule, a indiqué, hier, l’un des habitants. Outre l’état déplorable de la voirie, les concernés dénoncent, également, l’absence d’un lycée puisque les élèves sont contraints de parcourir, chaque jour, 2 km pour rallier les bancs de leur établissement à Benfreha. Une situation pénalisante, à la fois, pour les élèves et pour les parents, ajoute-t-on. Désespérés de la détérioration de leur cadre de vie, ils signalent, également, l’absence d’un dispensaire, structure indispensable pour les soins d’urgence en cas d’accidents. Les riverains doivent aussi se déplacer à Benfreha, parfois, dans les communes avoisinantes, en cas de blessures ou de malaises explique-t-on. A cela s’ajoutent les coupures répétées dans le réseau d’alimentation en eau potable et les désagréments qu’elles occasionnent.

Ainsi et tout en précisant que ces doléances ont été, déjà, transmises aux autorités locales, les familles ont souhaité qu’une solution soit apportée afin d’y remédier. Par ailleurs, les familles ont également, évoqué l’autre problème des cambriolages signalés dans ce quartier. Contacté hier, pour d’amples informations, le maire de Benfreha était injoignable.

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Sécurité alimentaire: L’Algérie sur le point d’atteindre l’autosuffisance

Sun, 11/25/2018 - 09:55

Dossier préparé par Ammar Zitouni

Ces dernières années, l’Algérie s’est engagée  dans  d’importants processus  de transformation et de modernisation de son agriculture Les efforts immenses qui ont été, ainsi, déployés ont été  restitués  dans leurs fondements, leur portée et leur finalité vers l’autosuffisance alimentaire menés conformément aux  orientations définies par le programme présidentiel. Tous les moyens et conditions sont réunis En ce sens, le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, M. Abdelkader Bouazgui ne s’est pas trompé  dès sa prise de fonction à la tête de ce département ministériel en disant  que l’Algérie est  sur le point  d’atteindre l’autosuffisance alimentaire  en produits  agricoles  et que tous les moyens et les conditions  sont favorables    pour atteindre  cet objectif. Les statiques en présence finalisent cet objectif  à un taux de plus de 80% pour atteindre prochainement  son objectif qui est de 100 %. Les investissements concrétisés dans le secteur de l’agriculture ont été de fait une base et un moyen pour contribuer efficacement à la croissance économique. La mise  en œuvre de l’important programme de soutien  au développement agricole annoncé  par le président de la République, Monsieur Abdelaziz Bouteflika à Biskra, en 2009  a permis  à l’économie agraire de faire un saut  qualitatif avéré. L’agriculture qui constituait en 2016  plus de 12 %  du PIB, représente désormais  une production proche de  3000  milliards de dinars. Elle est aussi le premier  secteur économique  fournisseur d’emplois  dans le pays. C’est donc une dynamique  que l’actuel ministre de l’Agriculture  s’attèle à maintenir  et à accroître conformément au programme de soutien  à l’agriculture mis en place par  le chef de l’Etat  en 2009  à savoir : l’extension  des surfaces  agricoles irriguées  pour les porter  à un million  d’hectares, grâce à la valorisation  et la consolidation  du potentiel  existant sur une surface de 261 000 hectares ; la création de  nouveaux périmètres avec la mise en valeur  effective de 370 000 hectares et la création de nouveaux périmètres  d’irrigation totalisant 331 000 hectares ; la poursuite de la valorisation du développement de l’agriculture saharienne  par la création  de  nouveaux périmètres  de mise en valeur ; la mise en valeur    des fermes-pilotes par le biais de leur concession  à des  investisseurs sur la base d’un cahier des charges ; la résorption de la jachère sur une surface de 550 000 hectares consacrés aux légumineuses fourragères ;le renforcement  sanitaire et  phytosanitaire, le développement de la  mécanisation agricole, ainsi que le développement  et l’utilisation  de semences à haut potentiel  productif . Un marché plus large pour la production agricole En parallèle, l’action du ministère de l’Agriculture se focalise sur le développement des industries agro-alimentaires  à l’effet d’assurer en aval un marché plus large  pour la production agricole en croissance continue, et cela par la transformation et par la promotion  des exportations. Il s’agit de mettre en relief sur le terrain  les porteurs de projets et des entreprises qui sont capables de  contribuer  au développement du secteur agricole et du monde rural. Parallèlement à la performance politique et démocratique, l’Algérie  s’est engagée à d’importants défis socio-économiques. La croissance économique ne peut être durable  sans le développement et la modernisation du secteur agricole tout comme les disparités régionales ne peuvent s’équilibrer sans ce secteur. Ce tableau est aujourd’hui positif et devrait se maintenir sous l’angle de nouveaux aspects positifs liés  à l’œuvre de renouveau  agricole qui est en  train de s’opérer. Ainsi, la bonne gouvernance du renouveau agricole connaît un élan appréciable à travers de nombreuses filières. Elle montre que les efforts consentis pour rétablir le secteur agricole et le monde rural, les équilibres macro-économiques, améliorer le  climat des investissements, valoriser le potentiels de la terre, développer les  nouvelles technologies, n’ont pas été vains. Le plus important défi : l’autosuffisance alimentaire Le plus important de ces défis est, sans nul doute, l’autosuffisance alimentaire du pays. D’ailleurs une stratégie qui repose sur  le développement durable, le renouveau rural, le renouveau de l’économie agricole, un tout qui vise notamment  le renforcement de la sécurité alimentaire du pays. Cette stratégie s’articule  autour  de quatre  principaux axes : la promotion d’un environnement incitatif pour les exploitations  agricoles, les opérateurs  de l’agro-alimentaire et d’une politique de soutien adaptée.  La mise en œuvre de divers programmes d’intensification  des productions et de plans spécifiques. Le rajeunissement des exploitations agricoles et le renforcement    de leurs  capacités  techniques, grâce  à une dynamisation de l’appui à la formation, de recherche  et de vulgarisation. La modernisation de l’administration agricole, le renforcement des institutions  publiques  concernées  (administration forestière, services vétérinaires, services  phytosanitaire, labellisation…) . Cette politique  vers une agriculture moderne, diversifiée et mobilisatrice pour la croissance économique a été aussi une nouvelle chance  donnée aux fellahs et aux éleveurs de mieux s’imprégner de ce renouveau agricole grâce à l’effacement de la totalité de leurs dettes  et qui s’est élevée à plus de 41 milliards de dinars  et qui a été suivie  par d’autres mesures d’aide par le biais  des exemptions et allégement fiscaux sur beaucoup d’intrants agricoles. Objectif : atteindre  l’autosuffisance agricole à 100 % Les différentes étapes, réalisations et autres respectives dans le secteur de l’agriculture, leur bilan donne  à leurs impacts  toutes les conditions favorables  à ce succès ou à leur perfectionnement  afin de réajuster au mieux la démarche en question et pour offrir plus de résultats en ce domaine, qui pourront  être utiles  à l’étape suivante d’atteindre l’autosuffisance  en produits agricole à 100%. Selon le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et la Pêche, M. Abdelkader Bouazgui : « Ce qui a été réalisé  et les résultats obtenus à ce jour par le secteur de l’agriculture est une véritable révolution  qui a eu un impact positif en termes de produits agricoles. Le monde rural qui  était à l’origine de l’exode vers les villes est aujourd’hui plus productif et dynamique grâce aux sommes importantes  du secteur  public  débloquées pour être injectées  dans le secteur de l’agriculture et du monde rural ; La politique de bonne gouvernance  , décidée par le président de la République, Monsieur Abdelaziz Bouteflika , à travers  tous les programmes  réservés à l’agriculture  depuis 2000, vise un seul objectif réaffirmé par le plan d’action du gouvernement  qu’est  le développement rural  et l’autosuffisance «  Mettre un terme à l’importation des produits agricoles d’ici trois ans L’autosuffisance  alimentaire demeure un défi national, la croissance du secteur agricole, la production  locale est en phase de couvrir une part importante  de la demande d’où l’engagement de l’Algérie à s’investir dans la sécurité alimentaire et le développement du monde rural, sur les enjeux    du développement  de la production nationale, la céréaliculture en particulier. En effet, si les quantités de fruits et légumes produites localement sont appréciables, avec un taux de couverture de près de 80 %, les autres filières stratégiques, à l’instar  de la production céréalière, sont en deçà des attentes. L’Algérie continue  d’importer plus de 50 %  de blé dur, alors que la totalité de son blé tendre provient de l’étranger. Mais la hausse de la production agricole est en train de rapprocher l’Algérie de sa sécurité alimentaire. L’affirmation du ministre de l’Agriculture, M. Abdelkader Bouazgui :  » Nous sommes sur le point d’atteindre  l’autosuffisance  en produits agricoles. L’Algérie est en mesure de répondre à environ 70 % de la demande nationale  et mettre un terme  à l’importation de produits agricoles  d’ici trois ans « . Hausse de la production agricole C’est ce que vient de  confirmer un rapport d’Oxford  Business Group (OBG) qui souligne  que  » L’Algérie  a enregistré  une production nationale record au cours de la campagne agricole  2017-2018, récoltant  6,1 millions de tonnes de céréales entre juin  2017 et juin 2018, soit une augmentation de 74 % par rapport aux 3,5 millions de tonnes récoltées au cours de la saison précédente. Selon le rapport d’OBG, cette forte production a permis à l’Algérie d’atteindre, avant l’heure, l’objectif de produire 5,3 millions de tonnes de céréales par an avant 2022, ajoutant que les récoltes de légumes ont également été abondantes. La même source indique que la hausse de la production coïncide  également  avec une importante  augmentation des recettes d’exportations des produits agricoles. Le rapport qui fait référence  à Ali Bey Nasri, le président  de l’Association  nationale des exportateurs algériens, qui avait déclaré  que la valeur des exportations agricoles  avait grimpé  de 50%    en glissement annuel au cours des premiers mois de 2018. Selon ses prévisions, les recettes d’exportations atteindraient de 75 à 80 millions de dollars à la fin de l’année 2018, contre  57 millions  de dollars en 2017 Une croissance annuelle moyenne de 6,5 % Le  secteur  agricole  contribuait à quelque 13 % du PIB,  employant  10,8 %  de la population active. Dans le cadre du Nouveau Modèle de Croissance publié mi-2016 par le gouvernement, les autorités visent une croissance annuelle moyenne de 6 ,5 % pour le secteur  agricole entre 2020 et 2030, indique encore le rapport d’OBG. Plus loin le rapport  rappelle que si le soutien  de l’Etat a eu une incidence positive sur la récente croissance  de la production, certains chiffres montrent que la stratégie la plus efficace afin de pallier  les difficultés rencontrées  par les producteurs algériens en matière d’accès au financement, aux équipements, et au savoir -faire notamment, passe par la recherche  d’une plus grande participation des investisseurs étrangers. A. Z.

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Lutte contre le squat des espaces publics et le commerce informel: Près de 1.000 interventions et 60 commerçants contrevenants traduits en justice

Sun, 11/25/2018 - 09:36

J. Boukraa

  Dans le cadre de la lutte contre le commerce informel, l’assainissement du secteur et la lutte contre l’occupation illégale des trottoirs et des espaces publics, la direction du commerce a effectué depuis le mois de janvier de cette année près d‘un millier d’interventions.

L’opération en question est inscrite dans le cadre de la lutte contre la prolifération du commerce informel et vise à mettre fin aux désagréments occasionnés par l’occupation des trottoirs, l’obstruction des édifices publics et des voies. Ces interventions se sont soldées par l’établissement de 60 procès verbaux, pour occupation des trottoirs et exposition de produits périssables sur la chaussée. Le commerce informel, de toute nature que ce soit, ne semble pas aller vers l’éradication que souhaitaient les pouvoirs publics dans leurs diverses actions pour endiguer le phénomène. D’autre part, malgré les efforts que déploient les autorités locales pour faire face à l’exploitation illicite de la voie publique, ce phénomène n’a jamais pu être éradiqué. Cette situation est à l’origine d’un préjudice financier. A titre d’exemple, les terrasses de cafeterias poussent comme des champignons à Oran.

Profitant de l’absence de mesures de dissuasion, nombre de gérants investissent dans l’illicite. Ils décorent les trottoirs et achètent de nouvelles tables et chaises de différentes couleurs, donnant certes une belle image aux rues mais créant de multiples désagréments à la circulation des piétons et des automobilistes.

Les gérants de magasins se dépêchent eux aussi pour s’accaparer de l’espace. Ils font sortir leur matériel pour réserver la place, alors que certains s’entendent entre eux pour se partager l’espace devant leurs commerces. La réalité est que ce phénomène a relativement diminué au centre-ville, mais a pris une nouvelle dimension dans d’autres quartiers où les habitants ont à plusieurs reprises, dénoncé cette situation qui est à l’origine de plusieurs autres problèmes. Pour mettre un terme à ces agissements, une commission chargée de contrôler les espaces sera installée par la commune d’Oran. Cette commission aura pour mission d’assainir cette situation. Des sanctions, mises en demeure et amendes seront prises contre les contrevenants.

Cette mesure entre aussi dans le cadre de la lutte contre l’informel qui pullule. Dans ce cadre, une large opération d’assainissement est projetée dans les jours à venir. A ce titre, des sorties sur le terrain vont toucher l’ensemble des secteurs urbains pour contrôler les commerçants squattant le domaine public. Des mises en demeure de 24 heures seront adressées aux contrevenants pour libérer l’espace public. Le cas échéant, il sera fait appel à la force publique pour la saisie de toutes les marchandises et la fermeture des commerces.

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Irrégularité des rotations de collecte des ordures et insuffisance de balayeurs: Les habitants de Aïn El Turck irrités par la dégradation du cadre de vie

Sun, 11/25/2018 - 09:33

Rachid Boutlelis

  La flagrante irrégularité de la rotation des camions chargés de la collecte des ordures ménagères et la criarde insuffisance de cantonniers, voire carrément leur absence dans la grande majorité des quartiers de la municipalité d’Aïn El Turck, contribuent grandement à une situation de pourrissement dans le véritable sens du terme. Exaspérée au plus haut point, la population ne cesse par le biais de ses représentants et de requêtes de décrier la dégradation du cadre de vie. Ce piteux état de fait est relevé à travers le sordide, qui enlaidit les rues et les boulevards de cette municipalité où désormais il ne fait plus bon d’y vivre. Selon le constat établi sur le terrain, dans certaines zones, les trottoirs sont en grande partie tapissés d’ordures, provenant des sachets poubelles éventrés par des animaux nuisibles et de cannettes de bière. Et comme le ridicule ne tue point, des dépotoirs en parpaing, ressemblant à s’y méprendre à de petits mausolées, décriés par la population, réalisés contre vents et marées sur les trottoirs des principales artères et autres rues, sont venu ajouter leur grain de sel à cette anarchie nauséabonde et ce, en se transformant comme prévu en de véritables points noirs, où les chiens errants, les chats de gouttière et les rats se disputent rageusement la pitance.

Ce piteux désordre aux odeurs pestilentielles est majoré avec les avaloirs obstrués, qui sont à l’origine de la stagnation de liquide visqueux, ayant découlé des sachets poubelles, mélangé avec les eaux pluviales, qui ruissèlent le long des caniveaux longeant les trottoirs. Dans certains quartiers, les habitants mènent régulièrement des opérations de volontariat, qui s’avèrent malheureusement insuffisantes en raison de la limite de leurs moyens matériels, pour tenter un tant soit peu de redorer le blason terni de leur lieu de résidence. « Cela fait très longtemps que nous avons perdu espoir quant à une réaction des responsables concernés, à priori beaucoup plus occupés à une guerre des tranchées, pour endiguer cette situation de déliquescence à l’extrême, qui n’a que trop perduré et ce, sans susciter le réveil de l’hibernation, qui a plongé cette prestigieuse municipalité dans la décadence », ont fait remarquer des riverains, dépités au plus haut point, du quartier Commandant Ferradj, communément appelé douar Maroc, qui végète dans la désuétude la plus exécrable à l’instar des autres zones du chef-lieu de la daïra d’Aïn El Turck. Il importe de noter également sur un autre volet, qu’en toute vraisemblance tous les ingrédients d’un comeback de la mémorable curée estivale de l’année précédente se profilent d’ores et déjà à l’horizon.

La cruelle déchéance dans laquelle végètent aujourd’hui les plages de la contrée d’Aïn El Turck, qui n’ont pas été ciblées par aucune quelconque opération de nettoyage, risque probablement de gâcher lamentablement une fois de plus le séjour d’agrément pour les dizaines de familles, qui viendront de toutes les régions du pays et même de l’étranger, pour déstresser et profiter des plaisirs que procure la mer. La saleté repoussante des plages a figuré en pole position dans l’éventail de contraintes et de désagréments, qui ont suscité un tollé de mécontentement chez les vacanciers au cours de la dernière saison estivale.

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Aïn El Beida: La deuxième décharge de déchets inertes opérationnelle

Sun, 11/25/2018 - 09:30

D. B.

  Pour mettre un terme aux rejets des déblais dans le domaine forestier, ou sur les espaces publics, la deuxième décharge des déchets inertes réalisée a Ain El Beida a été mise en service et reçoit quotidiennement des dizaines de camions, a-t-on appris hier de sources proches de la commune d’Es Sénia. Nos sources indiquent que cette décharge prend en charge les déchets du groupement centre d’Oran, après la saturation de la première décharge localisée dans la même commune. Notre interlocuteur signale que cette nouvelle décharge, qui s’étend sur une superficie de trois hectares, prendra en charge les mêmes communes du groupement centre d’Oran, à savoir Oran, Es-sénia, Sidi Chahmi et Bir El Djir. La première décharge, d’une superficie de huit (8) hectares, a été saturée au bout de trois (3) années. Le terrain récupéré devra revenir à sa vocation initiale dans le domaine de l’agriculture. Le nouveau centre devra atténuer le phénomène de dépôt anarchique de déblais sur les bords des routes et dans les forêts urbaines dans le groupement centre qui connaît une accentuation du problème en raison de l’importance des projets de construction. Réglé au groupement centre, le problème reste posé aux parties est et ouest qui n’ont pas encore leurs décharges des déchets inertes. A ce titre, des sources proches de la direction de l’environnement indiquent que la direction est en prospection au groupement ouest pour en ériger un CET de déchet inertes. Signalons que la deuxième décharge de Ain El Beida va accueillir les déchets inertes qui proviennent principalement des chantiers des travaux publics, du génie civil et du bâtiment. Les déchets sont générés lors de la construction, de la rénovation, maintenance ou réhabilitation de ces ouvrages et bâtiments puis lors de leur fin de vie (déconstruction, démolition). La wilaya d’Oran a bénéficié ces dernières années de l’inscription de nombreux projets (BTP, routes, infrastructures…). Ces méga-chantiers en cours ou en voie d’achèvement produisent de grandes quantités de détritus (béton, ciment, enrobés bitumineux…) qui représentent un casse-tête pour les autorités locales. Auparavant, les déchets inertes et autres déblais étaient acheminés vers la décharge d’El-Kerma. Les déchets inertes sont des déchets minéraux non souillés dont le caractère polluant et la nature évolutive sont très faibles. Le programme euro-méditerranéen pour l’environnement avait recommandé, dès l’année 2006, la création d’une nouvelle décharge pour les déchets inertes dans la wilaya d’Oran. La grande agglomération d’Oran, qui compte 1,2 million d’habitants (chiffre officiel) et 7 zones industrielles, est confrontée en effet à de sérieux problèmes environnementaux. Il est à noter que, selon le Cadastre national des déchets spéciaux, les wilayas d’Alger, Béjaïa, Skikda, Annaba, Tlemcen et Oran produiraient à elles seules près de 87% de déchets, soit 282.800 t/an et détiennent un stock estimé à 1.905.200 t.

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Port d’armes prohibées, commerce de stupéfiants, CBV, vols… 30 individus arrêtés en trois jours

Sun, 11/25/2018 - 09:28

K. Assia

  Dans le cadre de la lutte contre la criminalité et la délinquance juvénile, 24 individus ont été arrêtés de la période allant du 21 au 23 novembre par les services de la police judiciaire de la sûreté de la wilaya d’Oran. Ainsi cinq personnes ont été appréhendées pour port d’armes prohibées.Trois autres personnes faisant l’objet de mandats d’arrêt ont aussi été arrêtées et six dealers ont été placés sous mandats de dépôt pour détention et commercialisation de stupéfiants. Les policiers ont saisi 96 comprimés psychotropes de différentes marques. Pour ce qui est affaires de vol par effraction ou avec violence, le bilan de la sûreté de la wilaya d’Oran fait état de l’arrestation de deux individus et de la récupération d’un véhicule. D’autre part, les services de la 3e, 13e, 2e et 18e sûreté urbaine ont mis hors d’état de nuire 8 individus pour CBV. Toujours dans le cadre de la lutte contre la criminalité, 13 opérations de police ont été menées durant ces trois jours par les services de la Sûreté de la wilaya d’Oran dans plusieurs quartiers de la ville. L’objectif était de renforcer la sécurité urbaine et améliorer le rapprochement des citoyens des services de la police. Ainsi, et selon le bilan de ces opérations, on apprend que 2 personnes ont été arrêtées pour détention et commercialisation de stupéfiants et 4 autres font l’objet de recherches. Au total, les policiers ont arrêté 30 individus en trois jours pour différents délits liés au vol, aux coups et blessures volontaires (CBV), à l’usage et à la détention de stupéfiants.

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Seddik Chiheb à Oran: Le cinquième mandat, la planche à billets et les attaques contre Ouyahia

Sun, 11/25/2018 - 09:26

Houari Barti

Le porte-parole du Rassemblement National Démocratique, RND, M. Seddik Chiheb a défendu, hier, le choix de son parti de soutenir Abdelaziz Bouteflika pour un cinquième mandat à l’occasion de la présidentielle de 2019.

Lors d’une session extraordinaire du Conseil de wilaya, élargi aux cadres du parti, tenue à la Cinémathèque d’Oran, en présence de membres de l’APN et du Sénat et des militants de la wilaya d’Oran, M. Seddik Chiheb a, tout d’abord, exprimé la confiance « totale et absolue » du RND au Président Bouteflika, depuis 1999 jusqu’à ce jour et le renouvellement de cette confiance, en prévision du prochain mandat.

La projection, en début de rencontre d’un reportage qui met en relief les différentes réalisations et projets dont la wilaya d’Oran a bénéficiés durant les deux dernières décennies, a constitué une bonne matière pour le porte-parole du RND, dans son argumentaire de soutien au 5ème mandat. «Ensemble pour la continuité » a été, ainsi, le leitmotiv de cette rencontre avec les militants de base et son slogan officiel. « N’ayez pas honte et n’ayez aucun complexe de ce choix pour la continuité qu’il faut assumer, pleinement et fièrement. Et soyez convaincus que c’est le choix le plus approprié, » a-t-il lancé à l’adresse de ses militants. Soulignant la clairvoyance du parti d’Ahmed Ouyahia, à travers des positions qui privilégient, avant tout, l’intérêt de la Nation, Seddik Chihab n’a pas omis de rappeler « le choix du parti à défendre le recours au mode de financement non-conventionnel (la planche à billets) pour faire face à la crise financière que traverse le pays. Un choix souverain pour lequel on a opté, en dépit de tous les avis alarmistes. Un choix qui a été, surtout, préféré à l’option de l’endettement auprès du Fonds Monétaire International, auquel l’Algérie a déjà fait appel par le passé mais qui l’a payé très cher », a-t-il martelé. Et d’ajouter : « Nous défendons, donc, nos choix et nous les assumons complètement, car nous estimons qu’ils sont les mieux à même de garantir les intérêts suprêmes du pays ». Répondant aux questions des journalistes présents lors d’une conférence de presse, organisée à l’issue de cette rencontre, le porte-parole du RND a affirmé que l’objectif premier de cette session extraordinaire du Conseil de wilaya, élargi aux cadres du parti est « de se rapprocher des militants de la base pour les convaincre du bien-fondé de nos décisions. C’est un travail auquel contribue l’ensemble des cadres du parti qui sortent sur le terrain et animent des assemblées pour expliquer et vulgariser, au maximum, la pertinence des choix adoptés au niveau des instances ». Une précision qui sonne comme un appel à serrer les rangs, dans une conjoncture marquée par la défection, dernièrement, d’élus locaux du RND, à Oran, ayant fait le choix de rallier les rangs du frère ennemi, le FLN, mais aussi et surtout, par les attaques portées par le ministre de la Justice et un des actuels ténors du FLN, Tayeb Louh contre le chef du RND, Ahmed Ouyahia. A ce propos, M. Seddik Chiheb rappellera que « l’alliance entre le RND et le FLN ne date pas d’aujourd’hui ». « C’est un parti nationaliste de la même mouvance que nous et avec lequel on partage les mêmes référents, » a-t-il souligné. « Beaucoup de dénominateurs communs nous unissent, même si dans nos relations, nous avons, bien évidemment, des hauts et des bas ». Cependant, a-t-il précisé, « l’objectif que nous nous sommes assigné dépasse de loin les considérations d’ordre personnel. On ne s’arrête pas sur des déclarations mal comprises ou mal reprises.» Par conséquent, « on fait toujours preuve de maturité politique pour ne pas tomber dans le piège de la surenchère. Nous restons attachés à notre alliance stratégique avec le FLN, au-delà de tout ce qui peut émaner des personnes », a-t-il souligné.

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Ils revendiquent une hausse des salaires: Protesta annoncée des imams

Sun, 11/25/2018 - 08:55

Yazid Alilat

Menaçant de recourir à un sit-in national des imams si leurs revendications ne sont pas satisfaites, Djelloul Hadjimi, secrétaire général de la Coordination nationale des imams, en a gros sur le cœur, et s’interroge sur la passivité et le refus du ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aïssa, de satisfaire la revendication de hausse des salaires des imams. Il a expliqué hier samedi dans une déclaration au Le Quotidien d’Oran que le ministre «nous a donné des assurances quant à la satisfaction de nos revendications», mais il a par la suite fait machine arrière, alors qu’il y a «des PV de réunions sur ce dossier» avec la société civile et l’association des Imams. «Le ministre n’a pas à nous refuser cette hausse des salaires, il doit soumettre nos revendications au gouvernement», estime encore M. Djelloul Hadjimi selon lequel l’autre importante revendication de la fédération des imams est la révision du statut particulier de l’Imam. «Il (le ministre) ne veut accéder à notre demande de révision du statut particulier de l’imam», précise t-il avant de souligner qu»’un imam, qui a un grade de professeur, est payé en moyenne à 30.000 dinars. Ce n’est pas normal.» «Nous revendiquons autant une hausse des salaires des imams que la mise en place d’un nouveau statut particulier», explique M. Djelloul Hadjimi, qui a indiqué que «nous avons demandé une intervention du président Bouteflika, pour satisfaire la principale revendication de la fédération des imams algériens.

Après une période d’accalmie qui aura duré deux à trois ans, après la promulgation fin 2008 du dernier statut particulier de l’imam du temps de l’ex-ministre des Affaires religieuses et des Waqfs Bouabdallah Ghlammallah, le bras de fer entre la fédération des imams et le ministère a repris en mai dernier, lorsque l’imam de la grande mosquée d’Alger, Ali Ayya, avait publiquement dénoncé les conditions de vie des imams, et appelé à une amélioration de leur pouvoir d’achat et de leurs conditions de vie. Sur un plateau de télévision le 16 mai dernier, il s’était emporté, et a lancé que «l’imam a honte devant l’épicier, devant le vendeur de légumes, l’Etat doit donner à l’imam de quoi suffire à ses besoins». Globalement, les salaires des imams, qui sont des fonctionnaires, varient de 30.000 DA à 40.000 DA, plus les primes. La revendication de la profession à une amélioration des salaires n’est pas nouvelle, et dure depuis la dernière revalorisation des salaires en 2008 avec les nouveaux statuts des imams, payés selon les barèmes de la fonction publique, puisqu’ils émargent au budget du ministère des Affaires religieuses et des Waqfs.

En 2008, le département des Affaires religieuses avait proposé dans le projet de statut particulier des fonctionnaires du secteur, et selon les grades, des primes entre 6 000 et 10 000 DA, alors que le salaire de base des imams est de 28.000 dinars. Signé le 24 décembre 2008 par Ahmed Ouyahia, Premier ministre, le décret exécutif n° 08-411 du 24 décembre 2008 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques de l’administration chargée des affaires religieuses et des wakfs prévoit en son chapitre III quatre corps pour les imams (art.33), à savoir le grade d’imam instituteur (catégorie 10, mis en voie d’extinction), le grade d’imam Mouderess (instructeur, catégorie 11) ), le grade d’imam professeur (catégorie 13) et celui d’imam professeur principal (catégorie 14). Quant aux postes supérieurs, le même décret exécutif fixe le salaire de l’Imam Mufti (niveau 9), l’imam agréé (niveau 7) et le Premier imam de la mosquée.

Le même décret portant statut particulier des imams a fait passer la liste des postes de dix à dix-neuf, selon la responsabilité et l’importance de la tâche. Mais, le décret exécutif du 24 décembre 2008 portant statut particulier de l’Imam interdit à cette profession toute action de protestation. Ce statut particulier des fonctionnaires des affaires religieuses interdit ainsi aux hommes de culte l’adhésion à des organisations à caractère politique, le recours à la grève et les astreint au respect de la référence religieuse officielle. D’où le recours, a annoncé au Le Quotidien d’Oran Djelloul Hadjimi, à un sit-in national de protestation si les revendications de la fédération ne sont pas satisfaites, ou prises en considération. «Nous allons déterminer avec les imams la date et le lieu de ce rassemblement de protestation», a-t-il ajouté. «Ce n’est pas au ministre de nous refuser une hausse des salaires, ou la révision des statuts de la profession», estime-t-il par ailleurs, avant de dénoncer les niveaux bas des salaires des imams algériens.

Déjà, au mois de mai dernier, durant le mois sacré de ramadhan, la coordination nationale des imams et des fonctionnaires des Affaires religieuses avait organisé un sit-in devant le siège de l’Union générale des Travailleurs algériens (UGTA), à laquelle elle est affiliée, à l’appui de revendication portant sur l’amélioration de leur situation socioprofessionnelle. «Nous sommes affiliés à l’UGTA», a insisté M. Hadjimi, qui a appelé le ministère de tutelle au dialogue afin de trouver des solutions urgentes aux doléances des imams, dont le logement. Il y a également la «dépénalisation du métier de l’imam», car le statut particulier prévoit en cas d’incitation à la violence, des poursuites judiciaires, l’ouverture d’une formation continue dans les universités et l’application du principe d’égalité des chances. Dans son coup de gueule du 16 mai dernier, l’imam de la Grande mosquée d’Alger Ali Ayya avait proposé pour les imams un salaire mensuel de 80.000 dinars, un logement et une voiture de fonction. «C’est un minimum. L’imam doit également pouvoir bénéficier d’un logement social», a-t-il ajouté.

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Adlene Guedioura confiant pour l’Equipe nationale

Sun, 11/25/2018 - 08:50

H. Hichem

Pourquoi Adlene Guedioura ne fait plus partie de la liste de Belmadi ? Une question qui en remorque d’autres, qui n’ont pas pour objectifs de perturber la liste du sélectionneur, nous-dit-on, mais les fans de ces joueurs bénéficie de beaucoup d’éloges des Britanniques, notamment des médias et des supporters.

Ils ne souhaiteraient pas qu’il y ait une cassure entre le terrain national et cet homme qui a évolué face à la Gambie, où il n’aurait pas fourni le meilleur jeu qui aurait fait la différence. Adlene se dit qu’il est «un joueur, un être humain où il y a des moments où on n’est pas en forme, cela ne veut pas dire que ne je ne suis pas honoré de porter le maillot de l’Equipe nationale». Un ex-international jugera Adlene, comme le joueur qui ressemblerait à des Mahrez ou Brahimi qui ne paraîssent pas sur le terrain et provoquent toute la nation qui crie sa colère sur ces joueurs qui ne produisent pas grand-chose sur le terrain. En janvier, l’international algérien est revenu à Forest après avoir accepté un accord qui le maintiendrait au City Ground jusqu’en 2020-21.

«Depuis qu’il a rejoint les hommes d’Aitor Karanka, l’ancien joueur du Sporting Charleroi a déjà marqué 13 fois en championnat et il est heureux de continuer son séjour avec l’équipe du championnat. En football, on ne sait jamais ce qui va arriver. Je ne pensais pas partir en premier lieu. Mais quand quelque chose de spécial se produit, quand vous vous sentez bien quelque part, vous voulez revenir» déclarait-t-il à un journal anglais «C’est pourquoi, je suis revenu et c’est pourquoi je suis très heureux d’être ici. C’est un de mes clubs préférés pour lequel j’ai joué». Ainsi Guedioura devrait être impliqué lors de la visite de la forêt de Nottingham au stade KCOM pour affronter Hull City.

Un média s’est aussi interrogé sur le «pourquoi Adlene Guedioura est devenu l’un des prénoms de la feuille d’équipe de Nottingham». Lors du premier passage d’Adlene Guedioura à Nottingham Forest, il était de trop, un homme de spectacle que de joueur d’équipe. Dans diverses interviews enregistrées auprès de ses coéquipiers, tous évoquent un Guedioura qui a amélioré son jeu jusqu’à devenir un homme incontournable. «J’ai toujours senti qu’il passait trop de temps à chercher cette longue balle parfaite. Quelqu’un m’a dit un jour que la passe la plus difficile à choisir était parfois la plus simple. Vous n’avez pas toujours besoin de chercher le ballon parfait.

Et c’est quelque chose qu’Adlene a évidemment appris pendant son séjour loin de City Ground. Parce que maintenant, quand on le voit jouer pour les Reds, il a trouvé le bon équilibre. En fait, il est un très bon fabricant de jeu. Il maintient le ballon en mouvement avec une simple passe quand il le souhaite et, de temps en temps, il tentera quelque chose de plus spectaculaire. Nous savons tous qu’il a ce meurtrier dans son casier, mais il a apparemment appris que ce n’est pas quelque chose qu’il doit essayer à chaque fois qu’il joue le ballon. Mais Guedioura a atteint le point où il doit être l’un des premiers noms de la feuille d’équipe. Guedioura, Yacob et Colback auront tous un rôle important à jouer. Et il est toujours un bon joueur et un homme qui sait ce qu’il faut pour réussir à ce niveau et au-dessus. Il a de la qualité.» Cet extrait d’une interview d’un de ses coéquipiers illustre parfaitement qu’il restera un joueur qui devra avoir sa place parmi les Verts qu’il a de tout honorés lorsqu’il est appelé.

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Victimes percutées par des véhicules à Alger: 26 morts durant les 10 premiers mois écoulés de 2018

Sat, 11/24/2018 - 21:25

Les accidents de la route ont fait 26 morts, percutées par des véhicules, au cours des dix (10) premiers mois écoulés, dans la wilaya d’Alger, sur un total de 53 victimes déplorées dans la wilaya, a-t-on appris samedi d’une source à la Direction de wilaya de la Protection civile.

Le nombre d’accidents de la circulation enregistré dans la wilaya d’Alger, de janvier jusqu’à octobre dernier, a atteint 5019 accidents ayant fait 53 morts (38 hommes, 9 femmes et 6 enfants), et 5123 blessés, sachant que les accidents de la route où les victimes ont été percutées par des véhicules, ont causé le plus grand nombre de victimes (26 morts), a indiqué le Chargé de Communication à la Direction de wilaya de la Protection civile, le lieutenant Khaled Benkhalfallah, dans une déclaration à l’APS.

La même source indique qu’en ce qui concerne les victimes percutées par des véhicules, il a été enregistré 1139 blessés, 26 morts, contre 2148 blessés et 17 morts, suite au télescopage de véhicules, ainsi que 275 blessés et 4 morts, victimes de renversement de véhicules, outre 1561 blessés et 6 morts, suite à d’autres accidents.

Le nombre d’interventions enregistré, au cours des 10 premiers mois écoulés de l’année en cours 2018 à Alger, en matière de secours et d’évacuation, a atteint 43.002 interventions lors desquelles, 34.333 personnes ont été secourues, mais 975 décès sont à déplorer, précise-t-on de même source.

D’après le bilan des interventions de la Protection civile d’Alger, les services mêmes services ont effectué 7784 interventions et ont fait état, de 4062 incendies, au cours desquels 139 victimes ont été secourues et 5 victimes déplorées. Quant au nombre des incendies industriels survenus dans la capitale, ils sont au nombre de 3, contre 230 incendies urbains.

Le nombre total des feux de végétaux, de forêts, de récoltes et de palmiers dans la wilaya, s’élève à 2411, outre 458 divers véhicules, ainsi que 14 engins, ayant pris feu.

D’autre part, 2207 personnes ont été secourues, dont des personnes sans abris, souligne-t-on de même source.

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El Tarf : arrestation d’un criminel objet de 10 mandats d’arrêt

Sat, 11/24/2018 - 21:24

Les services de la gendarmerie de la wilaya d’El Tarf ont arrêté, récemment, un dangereux criminel qui faisait l’objet de dix (10) mandats d’arrêt pour divers crimes et délits, a-t-on appris samedi auprès de ce corps de sécurité.

Se déployant dans le cadre de leurs activités visant la lutte contre la criminalité dans toutes ses formes, les gendarmes ont intercepté un véhicule, immatriculé dans la wilaya d’Annaba, « en stationnement suspect sur la route menant à la daïra de Dréan », a ajouté la même source, détaillant qu’après vérification d’usage de l’identité du conducteur, il s’est avéré que le conducteur était un criminel activement recherché.

L’individu en question, répondant aux initiales A.D, âgé de 37 ans, fait l’objet de mandat d’arrêt pour, entre autres, homicide volontaire, vol de bétail, non-assistance à personne en danger, tentative de cambriolage, coups et blessures, a-t-on précisé.

Présenté devant le procureur de la République près le tribunal de Dréan, le mis en cause dans ces affaires criminelles a été placé sous mandat de dépôt, a-t-on indiqué de même source.

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Etude de la possibilité d’exploitation de la mine de Ghar Djbilet

Sat, 11/24/2018 - 21:23

 Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Youssfi, a annoncé, samedi à Oran, l’étude de la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet (dans le sud-ouest du pays).

Inaugurant la 3e phase d’investissement au complexe d’acier de l’opérateur turc « Tosyali », le ministre a déclaré « nous avons entamé l’étude sur la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet en adéquation avec le développement de la dynamique de fabrication de l’acier en Algérie », soulignant qu’il est nécessaire de réfléchir à l’exploitation de la mine de Ghar Djebilet.

« Nos capacités productives actuelles estimées à 5 millions de tonnes/an de fer et d’acier atteindront 12 millions de tonnes dans 4 à 5 années et 16 millions à l’horizon 2030, ce qui nécessite de fournir 20 millions à 25 millions de tonnes/an », a-t-il ajouté.

Youcef Yousfi a estimé que l’exploitation des mines d’El Ouenza et de Khadra, dans l’Est du pays, « ne peuvent pas couvrir les besoins pour développer l’aciérie et la sidérurgie », d’où la nécessité de réfléchir à la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet. « Faisons que ce grand projet dans le Sud-ouest équivaut à celui du phosphate dans l’Est du pays. Deux projets qui peuvent opérer un immense changement au développement économique des deux régions », a-t-il soutenu.

« Nous demandons à nos partenaires, spécialisés dans ce domaine, surtout dans l’aciérie à contribuer à réfléchir au projet de l’exploitation de la mine Ghar Djebilet », a indiqué le ministre.

Par ailleurs, Youcef Yousfi a mis en exergue l’importance de la 3e phase d’investissement au complexe Tosyali qui traitera des minerais, saluant la programmation d’une 4e phase d’investissement permettant d’atteindre une capacité productive de 6 millions de tonnes/an dans deux ans et demi.

Le ministre a affirmé, dans ce cadre, que Tosyali satisfait les besoins nationaux en ce produit, valorisant l’exportation de son surplus.

Youcef Yousfi a annoncé que la quatrième phase permettra de couvrir d’autres besoins du marché national, de se diriger vers  l’exportation pour toucher les marchés étrangers et de satisfaire les besoins de l’industrie automobile en Algérie.

Le ministre a, au passage, appelé à réhabiliter cet investissement pilote reflétant le développement de l’industrie algérienne à la faveur de la politique du pays qui encourage les investissements nationaux et étrangers, sur laquelle veille le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.

« La dynamique que connait l’investissement de l’opérateur Tosyali est le meilleur exemple de l’encouragement de l’Algérie à l’investissement », a-t-il déclaré dans ce sens, tout en exprimant sa satisfaction quant au développement de l’industrie algérienne de manière continue.

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Les fonds en circulation en dehors des banques estimée à 31% de la masse monétaire

Sat, 11/24/2018 - 21:22

 Le Directeur du Crédit et de la Régulation bancaire à la Banque d’Algérie (BA), Mohamed Lahbib Koubi a indiqué, samedi à Alger, que le taux d’épargne nationale en circulation en dehors des banques était estimé à 31% de la masse monétaire en Algérie.

Intervenant lors du premier Symposium algérien sur les Assurances et la Finance islamiques (SAAFI 2018), M. Koubi a qualifié cette part de « très élevée », préconisant de drainer ces ressources vers les banques pour mieux financer l’activité économique notamment en matière d’investissement.

« Dans un contexte caractérisé par un défaut de ressources bancaires conventionnelles, la collecte des ressources via la diversification et l’adaptation des produits d’épargne et de financement afin de répondre aux attentes de l’ensemble des opérateurs et citoyens, s’avère une nécessité impérieuse pour l’économie nationale », a-t-il soutenu.

A ce propos, le responsable a fait état d’un nouveau règlement devant être publié prochainement dans le journal officiel, un texte définissant les règles applicables aux produits dits participatifs, approuvé le 4 novembre par le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC).

Ce système définit ces produits et leur cadre procédural, tout en les distinguant des activités bancaires conventionnelles.

M. Koubi a estimé que ce nouveau texte, élaboré par la BA, ne prenait pas en compte toutes les opérations bancaires participatives à l’instar des opérations en Open Market et des opérations interbancaires, ce qui requiert « de fournir davantage d’efforts afin d’aboutir à de nouveaux textes complémentaires à l’arsenal juridique et encadrer l’ensemble du financement participatif ».

Pour ce faire, une méthode proposée par la BA a été adoptée, basée sur les principes de la graduation dans l’application, la consultation dans l’élaboration, et l’inclusion de l’ensemble des opérateurs économiques et sociaux.

Le responsable a estimé, par ailleurs, que la mise en place d’un cadre organisationnel et comptable complémentaire couvrant cette activité « prendrait plus de temps et requerrait un souffle long et plus d’efforts, de patience et de persévérance ».

La réussite du projet du financement participatif repose également, selon M. Koubi, sur l’efficacité d’un personnel qualifié et formé de manière « suffisante et globale ».

Lors des travaux du symposium, des représentants des banques ont relevé une hausse de la demande sur ce genre de produit, puisque les actifs des banques « Al Baraka » et « Essalem » -seules banques islamiques activant en Algérie- ont atteint respectivement 270 milliards de dinars et 100 milliards de DA.

Concernant l’assurance islamique « Takaful », Mohamed Benarbia, directeur de Salama assurances Algérie, la seule compagnie qui active dans ce domaine en Algérie, a fait observer le manque d’outils juridiques permettant sa croissance, étant actuellement encadrée par les lois destinées aux assurances conventionnelles.

M. Benarbia a déploré s’est plaint du fait que les textes actuels imposent à son entreprise, à l’instar des autres compagnies d’assurances l’investissement de 50% de ses actifs dans les bons de trésor adossés d’intérêts même si celle ci n’est pas conforme à la charia, en l’absence de sukuks sur la place financière algérienne, ce qui impose la déduction des rendements de ces investissements des résultats financiers de cette compagnie.

Le responsable a évoqué l’absence de compagnies de réassurance Takaful et l’existence de deux banques islamiques sur la scène financière algérienne, en dépit du fait que le règlement impose la diversification des banques qui traitent avec les compagnies d’assurance pour réduire les risques.

Pour combler ce vide législatif, le conseil national des assurances (CNA) a récemment proposé une série de mesures pouvant être introduit lors de la prochaine révision du code des assurances pour traiter ces insuffisances, selon le même intervenant.

De son côté, le directeur général de la Société de gestion de la bourse des valeurs (SGBV), Yazid Benmouhoub a précisé que la Bourse d’Alger s’intéresse au lancement des sukuk, toutefois la législation en vigueur ne le permet pas.

La bourse s’attelle actuellement en collaboration avec un laboratoire relevant de l’Université de Sétif à « élaborer un projet portant sur une nouvelle approche organisationnelle qui sera présentée à la commission de surveillance des opérations en bourse (COSOB) pour défendre un éventuel lancement des sukuk.

M. Benmouhoub a mis l’accent sur le rôle de la Bourse dans le financement de l’économie notamment dans le cadre du recul de la liquidité monétaire de 75% suite au choc pétrolier subi par l’Algérie.

Il a, par ailleurs, révélé que la Bourse d’Alger sera totalement numérisée début 2019 et que les opérateurs pourront gérer les opérations boursières de manière électronique.

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Le Syndicat des imams menace d’une grève !

Sat, 11/24/2018 - 21:14

Après le rejet de leurs revendications par le ministère des Affaires religieuses, et en vu des problèmes socioprofessionnelles qui mettent en déficit le cadre de vie et le travail de l’imam, le Syndicat national des imams accélère le ton et menace d’une grève pour faire entendre leurs revendications.

En effet, le porte-parole et secrétaire général du Syndicat des imams Djelloul Hadjimi, a dénoncé vivement l’attitude du ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, qui a catégoriquement rejeté la revendication d’augmentation de salaires. Mais Djelloul Hajdimi assure que les revendications des imams ne se limitent pas à la question salariale. Il s’agit de revendications plus larges et plus globales directement liées au cadre du travail de l’imam et aux moyens matériels mobilisés pour lui permettre de réussir sa mission. Djelloul Hadjimi impute l’entière responsabilité au ministère de tutelle en cas de recours à des actions de protestation. Il n’écarte d’ailleurs pas le recours à des actions de rue. Le secrétaire général du syndicat des imams se dit «étonné» par la réaction du ministre des Affaires religieuses, qualifiant  d’erreur «la fermeture des portes du dialogue» afin de trouver «ensemble» des solutions adéquates aux problèmes des imams qui persistent depuis de très longues années. Selon le même responsable, les imams n’ont réclamé que leurs droits ignorés depuis de longues années. La revalorisation salariale, le logement de fonction, un véhicule de service et plus de sécurité sont autant de revendications soulevées par le Syndicat des imams.

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Ces produits malsains qui inondent nos marchés !

Sat, 11/24/2018 - 21:08
Trop de produits alimentaires  se vendent sans la moindre insouciance  par  des  commerçants si incrédules. Lait, biscuits, boîtes de conserve, jus, chocolats, fromages, viandes d’origine fort douteuses,  et pains   demeurent  les principales denrées  vendues   dans des locaux  où l’hygiène est quasi absente  ou  carrément  à la criée et à même le sol.  Alors  que les textes  qui régissent l’activité commerciale sont si clairs  et interdisent de telles pratiques  et les instances  concernées sur la certification et l’étiquetage révèlent que tout produit doit être retiré de la vente trois  mois avant la date d’expiration. Malheureusement, la réalité est tout autre, tout  se vend  sans se référer à ces mesures, et la loi de la jungle semble dominer. Notons encore  que certains  commerçants  ne se gênent  point de vendre  sur le marché des produits alimentaires impropres à la consommation.  Ils sont si nombreux les  consommateurs  qui  s’étonnent de voir sur les emballages les dates dépassées des aliments destinés à la consommation. Ce phénomène a tendance encore à  prendre  de l’ampleur  où  les restaurants des résidences universitaires semblent  se mettre de la partie, en négligeant carrément la moindre règle d’hygiène, en goinfrant les étudiants avec du ‘’n’importe quoi’’. Malheureusement, ces  produits périmés, malsains et si mal conservés  sont interdits de vente car ils ne peuvent que nuire à la  santé  et  mènent  souvent à la mort.  Ces derniers  deviennent toxiques et ne peuvent plus être consommés, ils deviennent des poisons.  Ignorant  l’origine de  ces produits frauduleux, le consommateur  se laisse souvent prendre  et risque fort de finir à l’hôpital, en souffrant  juste  avoir pris un bout du produit douteux .Alors, où sont  toutes  ces personnes censées défendre  le consommateur et le protéger contre  toutes ces nuisances, et où sont ces directions de commerce, censées également   à l’application stricte  des règles commerciales. Le citoyen finit souvent par être dupé  par  ces  commerçants, juste aguichés par  le profit, quitte à fourguer n’importe quoi sur le marché. N’est-il pas temps   de prendre de plus sévères mesures  contre ces marchands  de la mort !

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Education : De nouvelles conditions pour la titularisation des enseignants !

Sat, 11/24/2018 - 19:38
La ministre de l’Éducation Nationale, Nouria Benghabrit, interdit  les   » Zardas  » lors de la titularisation des enseignants et prévoit des sanctions contre toute personne qui s’adonne à ce genre de pratique.  Ainsi, le département de Benghabrit s’engage à instaurer de nouvelles conditions pour la titularisation des enseignants. Le  but  de cette nouvelle mesure est de « préserver la crédibilité de l’ »inspection », indique la ministre, soulignant qu’un tel comportement est contraire à l’ « éthique »  professionnelle des enseignants et affecte la « crédibilité »  du système de titularisation dans les écoles algériennes. L’évaluation dépend, seulement, des résultats obtenus lors des examens de titularisation, a soutenu Me Benghabrit. Ce phénomène est devenu monnaie courante dans le milieu scolaire, déplore-t-on.

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