Les unités du groupement territorial des garde-côtes d’Oran ont mis en échec, au large des côtes oranaises, une tentative d’émigration clandestine de dix-neuf « harragas », dans deux opérations distinctes, a-t-on appris samedi de la cellule de communication de ce corps de sécurité.
Le premier groupe, formé de sept personnes dont une femme, qui étaient à bord d’une embarcation pneumatique, a été intercepté, vendredi à deux heures du matin par les garde-côtes, à 14 miles, au nord de Cap de l’Aiguille, (Oran), a indiqué la même source.
Le second groupe, formé de douze « harragas », également à bord d’une embarcation pneumatique, a été intercepté, vendredi après-midi, à 12 miles au nord de Cap Falcon (Aïn El Turck), par les unités du groupement territorial des garde-côtes d’Oran.
Ces candidats à l’émigration clandestine ont tenté de rallier les rivages espagnols, à partir des côtes oranaises « Kristel » (Gdyel) et « Les Coralaises » (Aïn El Turck).
Les services des garde-côtes ont remis ces dix-neuf personnes, après les procédures d’usage, à la gendarmerie nationale pour être présentés devant la justice, a-t-on indiqué.
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Plus de 250 spécialistes nationaux et étrangers prendront part, du 30 novembre au 2 décembre prochains à Oran, au 25ème Congrès national de la Société algérienne de chirurgie orthopédique et traumatologique (SACOT), a-t-on appris samedi des organisateurs.
Cette édition propose plusieurs thèmes, comme « Les fractures diaphysaires du fémur chez l’enfant », « Les grands déficits osseux » ainsi que « Les déformations des membres de l’enfant », a-t-on précisé.
« Le choix des thèmes n’est pas fortuit puisque les déformations ou malformations des membres chez l’enfant sont de plus en plus courantes en Algérie », a-t-on expliqué.
Des spécialistes en orthopédie et traumatologie des différentes régions du pays ainsi que des spécialistes étrangers viendront exposer leurs expériences respectives mais aussi s’informer sur toutes les nouveautés en matière de traitement.
Un riche programme a été tracé pour les trois jours de ce congrès comprenant des tables-rondes, des conférences, des séances thématiques, des communications orales et affichées entre autres.
Des conférences d’enseignement destinées aux médecins résidents seront également animées et porteront entre autres sur « la place de la chirurgie dans le traitement des lésions cartilagineuses », « la gestion des risques en orthopédie » et « la prothèse du genou ».
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Les « gilets jaunes », un mouvement populaire qui conteste la hausse du prix des carburants, continuaient d’affluer samedi à Paris quadrillée par un dispositif sécuritaire, notamment autour et proche du palais de l’Elysée, des périmètres interdits.
Des milliers de manifestants, après une semaine de protestations à travers la France, ont déjà brisé ce dispositif au niveau de l’Arc de Triomphe qui les empêchait d’emprunter l’avenue des Champs-Elysées en direction du palais présidentiel. L’objectif du mouvement des « gilets jaunes », qui n’est encadré ni de partis politiques encore moins de syndicats, est faire entendre au président Emmanuel Macron la colère des Français contre la hausse du prix des carburants et leur ras-le-bol fiscal.
Ce ras-le-bol est résumé par un des manifestants qui a déclaré aux médias : « On donne de moins en moins d’argent pour les hôpitaux, pour les écoles, c’est pourtant l’essentiel, la base de la civilisation, tout cela pour donner aux grosses boîtes. On nous fait survivre et non plus vivre.
Le gouvernement, ce sont les pantins des lobbys industriels ».
Un seul slogan est le mot maître des manifestants : « Macron, démission », « Macron, dehors », alors que le président français n’est même pas au milieu de son mandat.
Lire aussi: Le mouvement des « gilets jaunes », ou l’expression du ras-le-bol fiscal des Français
Les « gilets jaunes » sont soutenus par plus de 70 % des Français, selon des sondages, rappelle-t-on.
Les forces de sécurités ont pratiquement bloqué tous les accès menant vers le palais de l’Elysée, utilisant les moyens forts pour faire reculer les manifestants qui, par milliers, arrivent à la place de la Concorde, toute proche de l’Elysée.
La tension commence à monter et les forces de sécurité, en situation tendue, n’ont pas manqué de charger les manifestants à coup de gaz lacrymogène.
A Matignon, à des dizaines de mètres du palais présidentiel, l’affrontement a gagné en violence entre les manifestants, jeunes et moins jeunes, et les forces de l’ordre qui les poussent avec des lances à eaux, alors que les « gilets jaunes » lancent des pavés en direction de la police.
Des centaines membres de l’ultra-droite, équipés de lunettes de protection et de foulards, ont été identifiés parmi les foules, qui elles restent pacifiques, et l’inquiétude monte craignant le pire.
Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, qui avait indiqué que sa maison a été « attaquée » par des « gilets jaunes », n’avait pas caché son inquiétude en autorisant les rassemblements à Paris au niveau de Champ-de-Mars, la République et Nation. Il avait même évoqué l’éventuelle présence dans les foules des éléments de l’ultra-droite.
Le gouvernement redoute les violences qui ont fait, depuis une semaine, deux morts et plusieurs centaines de blessés, dont des policiers.
« De la fermeté et de l’équilibre, on ne veut surtout pas de violences », a déclaré vendredi le ministre Castaner, qui vient à peine remplacer Gérard Collomb.
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Le ministère des Affaires étrangères de la Palestine a demandé au Conseil de sécurité des Nations Unies d’assumer ses responsabilités envers le peuple palestinien, a rapporté l’agence palestinienne WAFA.
« Le ministère des Affaires étrangères a demandé au Conseil de sécurité des Nations Unies d’assumer ses responsabilités juridiques et morales envers le peuple palestinien et de prendre des mesures urgentes et immédiates pour lui assurer la protection internationale contre les gangs de colons terroristes » a indiqué Wafa.
Dans un communiqué publié vendredi soir, le ministère a « condamné les attaques de colons et de leurs bandes terroristes contre le village de Beit Iksa, au nord-ouest d’El Qods, en endommageant plusieurs véhicules des citoyens et l’inscription de slogans racistes incluant des menaces de mort et d’expulsion des arabes, en plus de la tentative d’incendier une mosquée ».
Le ministère a ajouté que cette attaque « brutale et violente intervient dans le contexte de l’escalade des colons terroristes contre les citoyens palestiniens en Cisjordanie occupée, y compris El Qods-Est, comme c’est le cas récemment dans le sud-ouest de Naplouse ».
Le ministère a affirmé que ces opérations terroristes étaient menées « sous la protection des forces d’occupation israéliennes et sous les yeux des autorités israéliennes et de ses diverses branches ».
Dans son communiqué, le Ministère s’est demandé « à quel point la communauté internationale et les organisations de défense des droits de l’homme étaient concernées par de telles attaques continues et répétées.
Qu’attend la communauté internationale pour agir et exercer une pression maximale » sur les autorités israéliennes « afin qu’il mette fin aux attaques des colons », tout en mettant en garde sur les dangers et les conséquences de cette escalade de colons racistes.
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La direction du MC Oran poursuit la purge entamée au sein de son effectif après avoir terminé à la 9e place (18 pts sur 45 possibles) la phase aller de la Ligue 1 Mobilis au moment où un nouveau «clash» se profile à l’horizon entre le président de la société sportive par actions (SSPA) du club, Ahmed Belhadj, et la majorité des autres membres du conseil d’administration.
Après avoir annoncé la libération, à l’occasion du mercato hivernal, du Malien Kodjo et Ziri Hamar, voilà que Belhadj rajoute de nouveaux éléments à la liste «noire» dont la plupart d’entre eux ont été recrutés lors du précédent mercato estival. Il s’agit de Chibane, Mansouri, Yettou, Bouchar, Boudbouda, et probablement Aït Ouameur. Un véritable remue-ménage opéré par le boss oranais, estiment les observateurs, alors qu’ils sont nombreux dans le fief des Rouge et Blanc à croiser les doigts, allant jusqu’à qualifier de «très risquée» cette décision. Mais si l’on se réfère au patron des «Hamraoua», les joueurs suscités doivent quitter le navire pour «n’avoir rien apporté à l’équipe au cours de la phase aller». Une décision, selon ses dires «mûrement réfléchie». Evidemment, en vidant son effectif, Belhadj est en train de mettre dans l’embarras son entraîneur Omar Belatoui. Ce dernier s’est d’ailleurs déjà plaint du «déséquilibre» de son groupe, et table sur le mercato hivernal pour engager de nouveaux joueurs, notamment dans le secteur offensif, «le maillon faible de l’équipe», a-t-il déploré. Seulement, les règlements de la fédération algérienne de football n’autorisent pas pour le moment les clubs à recruter plus de trois joueurs lors de la période des transferts hivernale qui sera ouverte le 1er décembre prochain.
Comme un château de cartes
Le risque de déséquilibrer davantage l’effectif oranais est ainsi bien présent, commentent encore les spécialistes, non sans, du côté de la galerie du club, se précipiter pour tirer la sonnette d’alarme. Parallèlement à cette «révolution» que prépare Belhadj au niveau de son effectif, l’homme devra faire face à une énième guerre des tranchées avec ses opposants au sein du conseil d’administration. Les interminables conflits entre les deux parties ont fait qu’aucune réunion du conseil d’administration de la SSPA/MCO n’a pu avoir lieu depuis un peu plus d’une année, ce qui est contraire aux dispositions réglementaires régissant les sociétés commerciales. Mais des membres du conseil d’administration laissent entendre qu’ils préparent désormais une réunion décisive de leur instance au cours de la trêve hivernale, avec comme ordre du jour l’ouverture du capital social de la société, «quitte à ce que le conclave ait lieu sans la présence du président», confie l’un des membres du conseil d’administration. Dans le camp des supporters, l’on est persuadés qu’au train où vont les choses leur club risque de connaître des jours encore durs, alors que ses ambitions avant le début de cet exercice furent grandes. Le président Belhadj, qui avait lors de l’été dernier recruté une douzaine de joueurs ainsi que l’entraîneur marocain Badou Zaki, tout en promettant de revenir au-devant de la scène, voit tout simplement son projet de reconstruction du club phare de la capitale de l’Ouest du pays s’effondrer comme un château de cartes
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L’ES Sétif vit une situation délicate ces dernières semaines notamment depuis son élimination des demi-finales de la Ligue des champions d’Afrique à domicile. Une situation critique engendrée par les résultats en dents de scie qu’enregistrent les camarades de Djabou que ce soit en championnat ou en Coupe arabe.
Cette situation s’est dégradée davantage suite à la défaite de l’ESS jeudi à Béjaïa devant le MOB (1-0). «Ce n’est plus l’équipe qui jouait au début de la saison. Certains joueurs ont perdu complètement l’envie qu’ils affichaient au début de la saison. Je dirai même que nous avons perdu cette âme qui a fait notre force et grâce à laquelle nous avons réalisé un bon début de saison, tel est le constat de Rachid Taoussi, l’entraîneur de l’Entente qui avoue ne pas reconnaître son équipe. En un mot, je ne reconnais plus mon équipe. On a cherché à trouver des solutions pour nous permettre de rebondir, en vain». Voilà pour résumer la situation de l’ESS qui a perdu son âme. Un constat partagé par le président Hamar qui se dit très déçu des derniers résultats de l’équipe. «Je ne suis pas satisfait des résultats», a-t-il souligné en affirmant que les arguments de l’entraîneur «ne l’ont pas convaincu». A ce sujet, nous apprenons que la décision de se séparer de Rachid Taoussi est déjà entérinée au niveau du conseil d’administration de l’ESS. Une décision à laquelle le technicien marocain s’attendait en affirmant bien avant la défaite devant le MOB qu’il était prêt à partir. «Je le dis haut et fort, si c’est moi le problème, je suis prêt à partir (…) Je suis quelqu’un qui ne fuit pas ses responsabilités. J’assume entièrement les conséquences. Comme vous le savez, quand une équipe est dans une situation comme celle où se trouve l’ESS, c’est l’entraîneur qui paye les pots cassés. De toutes les manières, j’ai la conscience tranquille. Je pense avoir donné le meilleur de moi-même pour tenter de redresser la situation», a-t-il déclaré avant la rencontre de la 15e journée, puisqu’après cette défaite, Taoussi a refusé de faire de déclarations à la presse. «De toutes les manières, il y aura des changements au mercato», a par ailleurs souligné Hamar qui prépare déjà l’après-Taoussi. La phase aller, étant terminée pour l’ESS, en dehors du match retard face à l’USM Alger programmé le jeudi, Hamar explique que plusieurs joueurs «qui n’ont pas donné le plus escompté seront libérés. Nous comptons également recruter d’autres éléments pouvant donner un nouveau sang à l’équipe. Je suis en contact avec quelques joueurs dont deux Africains». C’est dire que beaucoup de choses vont changer à Sétif ces jours-ci !
Ahmed Ammour
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Le président du TAJ et ancien ministre Amar Ghoul a rendu visite, à son domicile, au secrétaire général du FLN, Djamel Ould-Abbès, en convalescence depuis le 14 novembre dernier. Selon des indiscrétions, les deux hommes, qui sont également sénateurs dans le tiers présidentiel, ont longuement discuté des questions de l’actualité brûlantes de l’heure, eux qui sont également membres de la coalition présidentielle.
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C’est enfin chose faite, depuis ce jeudi, le berceau de la clémentine accueille le premier salon dédié à cet agrume tant apprécié. Une vingtaine d’agriculteurs, producteurs d’agrumes, centres de formation en agriculture et instituts techniques ont pris part à cet évènement.
Amel Bentolba – Oran (Le Soir) – Organisé par la Chambre d’agriculture d’Oran, le salon consiste en une exposition de production de différents types d’orange et de citron, mais surtout une «exposition» de soucis où se débattent les agrumiculteurs. Ces derniers nous confient attendre toujours que les pouvoirs publics les appuient financièrement et les aident à développer leur travail qui est loin d’être facile, s’agissant de l’orange, et de la clémentine en particulier dont ils tentent de perpétuer la production, en pérennisant son goût né justement sur les hauteurs de Misserghine qui obtint son appellation clémentine en 1902. Un nom qu’elle doit au Père Clément qui était directeur de culture de l’orphelinat de Misserghine.
Selon l’histoire qui se raconte à Misserghine, Père Clément a découvert un arbre étrange, qui résulterait d’une greffe de mandarinier sur un bigaradier. A l’époque, c’est tout naturellement que ce fruit prit le nom de celui qui l’a découvert et sera ainsi connu sous l’appellation «clémentine».
Pour revenir aux préoccupations des agrumiculteurs, qui continuent malgré les difficultés à cultiver la clémentine, cela n’empêche pas l’arrivée de nouveaux venus, des jeunes, des femmes comme notre interlocutrice, qui s’intéressent à la culture de l’orange. C’est muni de son diplôme de pépinière obtenu en 2016, que Mme Ferzali Badya s’est lancée dans la culture de la clémentine. «Je suis au tout début de mon projet. On essaye de recréer la clémentine de Misserghine. Ici, vous ne trouverez que de la clémentine de premier choix». Pour elle, à travers un tel salon, les agrumiculteurs espèrent voir consacrée une journée nationale de la Clémentine.
C’est avec fierté que la jeune femme nous révèle préserver près de 10 arbres fruitiers produisant la clémentine, le plus vieil arbre qu’elle possède et qui se meurt dit-elle est âgé d’un siècle et 19 ans. Ce qui l’attriste, car, explique-t-elle «il s’agit d’un porte-greffe bigaradier, qui donne meilleur goût à la clémentine».
Pour l’heure, nous confie cette agrumicultrice, elle n’a obtenu aucune subvention de la part de la chambre de l’agriculture, et confie qu’elle et ses semblables diplômés ont fait une proposition à ladite direction afin de leur procurer des serres pour qu’ils puissent perpétuer la clémentine. «A ce jour on attend, ils disent étudier notre demande».
Très apprécié par les stagiaires qui ont suivi des formations pour obtenir leur diplôme de pépiniériste et qui l’ont eu comme formateur, tous ceux présents nous orientent vers celui qui leur a donner l’envie de continuer dans cette voie. «Le médecin des arbres», nous dira l’une de ses anciennes stagiaires présente à ce premier salon dédié à la clémentine.
Il s’agit de M. El Hadj Ali Bachir, ingénieur et ancien formateur au CFPA de Misserghine. Il nous dira que cette rencontre est bénéfique car dit-il «Misserguine est le berceau de la clémentine, et nous ici nous avons toujours voulu préserver et perpétuer cet agrume surtout dans cette région. Car ici la région est connue par son porte-greffe bigaradier, qui est «l’enfant» du pays. C’est celui qui a le plus de résistance contre les maladies et contre l’insuffisance de l’eau». Il espère que les agriculteurs de la région puissent préserver davantage ce porte-greffe.
Toutefois, il explique que dans le cadre de la formation dédiée à l’agrumiculture, des essais ont été réalisés en obtenant d’autres espèces de porte-greffe telles que la volkameriana, ou la trifoliata mais ça n’a pas marché comme le bigaradier. Il insiste sur le fait que les pouvoirs publics devraient rebooster davantage le secteur en appuyant les agrumiculteurs pour élargir l’extension des surfaces de la clémentine.
«Vous vous rendez compte que dans la wilaya d’Oran on ne trouve que 250 hectares qui lui sont consacrés, alors qu’il y a dix ans la superficie était de 600/700 hectares !?»
En réponse aux différentes préoccupations des agrumiculteurs présents ce jour-là, Miloud Chérifi, wali d’Oran, nous dira qu’il s’agit là à travers cette journée d’un signe fort des pouvoirs publics pour apporter aide et soutien à ces agriculteurs. «On s’est engagé aujourd’hui à mettre les financements nécessaires pour encourager et accompagner les agriculteurs pour les campagnes de renouvellement de réhabilitation de la variété».
Une autre décision prise ce jeudi, l’organisation d’une journée d’étude et de vulgarisation qui sera consacrée à cette variété. Les experts seront mis à contribution pour étudier les meilleures pistes et voies de développement de la clémentine et encourager son exportation à l’étranger.
Une exportation qui nécessitera de passer par l’étape de sa labélisation. Aussi et dans le cadre de la valorisation des produits agricoles, une proposition de labélisation de la «Clémentine-Misserguine» sera soumise prochainement au ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, a-t-on appris durant cette journée.
A. B.
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A Tizi Rached, agglomération située à une vingtaine de kilomètres de Tizi Ouzou, M. Hadj Djilani, premier secrétaire, et Ali Laskri, coordinateur de l’instance présidentielle du FFS, ont dénoncé la politique du tout répressif adoptée par le pouvoir pour asservir et empêcher la société de s’émanciper, de prendre son destin en main et empêcher toute alternance au pouvoir, ont expliqué les dirigeants du parti qui ont illustré leurs propos par la vague d’arrestations des journalistes et des artistes et la répression des militants des droits de l’Homme et de tous les activistes politiques de ces derniers jours.
Cette méthode de gouvernance qui est une constante depuis l’indépendance et qui a privé le peuple de sa souveraineté et de ses droits est à l’origine des blocages que connaît le pays sur les plans politique, social et économique, selon les dirigeants du parti de Hocine Aït Ahmed. «Nous sommes face à un pouvoir qui utilise la politique de la force contre la force de la politique», assénera M. Hadj Djilani pour qui «tout indique que le pays est en danger et vit une crise politique qui s’exprime par la rupture de confiance entre le peuple et les gouvernants, et le seul souci de ces derniers est de perdurer au pouvoir qui recourt à la répression et l’emprisonnement de toutes les voix qui s’opposent à sa volonté», dira encore le premier secrétaire du FFS qui dénonce le dévoiement du rôle des institutions car frappées d’illégitimité, gangrenées par la corruption et le clientélisme et dépourvues de toutes prérogatives, fera observer le premier secrétaire du FFS qui dénonce toute fermeture au dialogue et à la concertation par le pouvoir qui a choisi la stratégie «de la diversion, de la répression et de la peur (…) Le pouvoir fait tout pour empêcher l’émergence de toute initiative qui milite pour une alternative politique, instaurant un immobilisme ruineux pour l’avenir du pays et la cohésion nationale», expliquera M. Hadj Djilani qui déplore l’opacité qui caractérise la préparation de la présidentielle du printemps prochain, en raison de la fermeture du champ médiatique et du jeu politique qui permettrait une compétition loyale entre les candidats.
Même constat de la part du coordinateur de l’instance présidentielle, Ali Laskri, pour qui la situation est intenable. Le pouvoir a mis le pays devant une impasse ; il fait tout pour neutraliser et diviser le peuple pour l’empêcher de se déterminer et de prendre son destin en main, expliquera le coordinateur de l’IP du FFS qui accuse les tenants du régime de «reprendre à leur compte toutes les méthodes éculées de l’administration coloniale française ; favorisant l’allégeance et les archaïsmes politiques pour empêcher une véritable représentation sociale et politique basée sur le militantisme et la conviction». La manœuvre est récurrente et risque de se répéter à l’occasion de la prochaine élection présidentielle, selon Ali Laskri.
Evoquant les scénarios qui sont fuités au sujet de la prochaine élection présidentielle, le coordinateur de l’IP du FFS n’hésitera pas à dénoncer ce qui s’apparente, selon lui, à un flou artistique entourant la préparation de ces élections qui n’augurent d’aucun changement et ne serviront qu’à la pérennisation du système.
S. A. M.
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Une pétition est lancée à travers les réseaux sociaux pour boycotter la banane. En effet, alors même qu’en Europe son prix ne dépasse pas les 0,75 euro, en Algérie ce fruit est proposé à plus de 700 DA le kilo. A rappeler que cinq importateurs se partagent ce marché. Le ministère du Commerce va-t-il les rappeler à l’ordre ?
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La flambée des prix des fruits et légumes est bien ancrée dans les mœurs des marchands de fruits et légumes. Presque plus aucune marchandise n’enregistre une baisse. Entre légumes, fruits, produits de saison ou produits de hors saison, le constat est le même : les prix sont élevés. Idem pour le poulet dont le prix fait de la résistance bien que la fête du Mawlid Ennabaoui soit passée.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Hier, jour de repos hebdomadaire, le marché de fruits et légumes de Aïn Benian, à l’ouest d’Alger, était noir de monde. L’occasion pour nombre de ménages, notamment pour les couples qui travaillent, de faire leurs emplettes pour toute la semaine. Seulement, cette mission n’est pas toujours facile à accomplir. Souvent exagérés, les prix des marchandises affichés n’encouragent point à ouvrir son porte-monnaie. Les clients «butinent» ainsi d’un étal à un autre à la recherche de meilleurs produits à des coûts moindres.
Les marchands, eux, se sont apparemment convertis en «spécialistes» pour expliquer la hausse des prix de leurs marchandises. Ils trouvent toujours les meilleurs arguments et justificatifs. Entre la pluie, la grêle, la canicule, le manque de production, la baisse de l’offre, l’approche des fêtes religieuses et autres arguments, les vendeurs s’arrangent, à chaque fois, pour s’en laver les mains de ces flambées.
Sur les étals, le poivron et le piment sont proposés à 150 dinars le kilogramme. La courgette, l’aubergine et la laitue affichent 120 dinars et le concombre est vendu à 100 dinars. La carotte, le navet et la carde sont au prix de 80 dinars alors que le chou-fleur et la betterave sont cédés à 60 dinars. A 50 dinars le kilo, le fenouil et l’oignon sont ainsi les légumes les moins chers du marché. Fraîchement arrivé sur les étals, l’artichaut est vendu à 260 dinars.
Quant à l’indispensable tomate, elle reste toujours chère. Après avoir atteint les 180 dinars le kilogramme la semaine dernière, son prix a légèrement baissé pour afficher 120 dinars. «Bezzaf ghali (c’est trop cher) !», réplique une dame au vendeur de légumes qui venait de lui annoncer le prix.
Rebutée par les prix proposés, la quadragénaire se détache vite de l’étal et se dirige vers la sortie du marché. Elle ira probablement faire ses courses chez les vendeurs informels des camionnettes garées pas loin de ce haut lieu de commerce. Ici, les prix sont moins élevés que ceux du marché officiel.
La pomme de terre toujours chère
La pomme de terre fait toujours de la résistance. Son prix est maintenu à la hausse bien que la période de soudure (période précédent les premières récoltes) soit bien terminée. La preuve : la nouvelle production est déjà arrivée sur le marché comme l’a confirmé, la semaine dernière, le président de la Chambre d’agriculture de la wilaya de Aïn Defla. Selon lui, la première production de pomme de terre d’arrière-saison est disponible et provient de Mostaganem. «Son prix chez l’agriculteur varie entre 30 et 35 dinars», a-t-il précisé. Pourtant, le tubercule continue d’afficher un prix élevé sur le marché de détail. Sur les étals du marché de Aïn Bénian, il ne descendait pas à moins de 70 dinars le kilogramme.
Les fruits ne dérogent pas à la règle
Réputés pour leurs bienfaits contre les coups de froid, les agrumes sont sur le marché depuis maintenant quelques semaines. Leur prix par contre reste toujours élevé. Il ne descend pas à moins de 120 dinars pour la mandarine mais également pour l’orange. Des prix qui semblent pour certains plus ou moins accessibles seulement la qualité de ces marchandises reste à désirer.
Au même prix est vendue la grenade. Quant à la pomme, elle affiche 150 dinars le kilo.
Attendue pour février, la fraise sera cette année précocement prête pour fin novembre. Les premières récoltes de ce fruit sont déjà exposées sur les étals des marchés. Son prix reste tout de même assez élevé puisque une barquette contenant approximativement 800 grammes est proposée à 300 dinars.
Flambée du prix du poulet
Le Mawlid Ennabaoui (naissance du prophète Mohamed) est bien passé mais le poulet, tant prisé durant cette fête, ne voit pas son prix baisser. Il est ainsi cédé entre 360 et 390 dinars le kilogramme. Idem pour les œufs dont un plateau de 30 unités a atteint les 400 dinars.
Une flambée de prix que le Conseil national de la filiale avicole explique par un manque du poussin d’un jour sur le marché mais aussi par l’augmentation de son prix. En attendant de pallier cette pénurie, le consommateur continue à payer le poulet ainsi que les œufs au prix fort.
Ry. N.
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Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale fait part de 1 859 procès-verbaux portant des infractions contre les entreprises et les sociétés qui exercent dans la seule wilaya de Ouargla et ce, jusqu’à la fin du mois d’octobre écoulé, pour défaut de communication des postes vacants aux organismes habilités.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Mourad cc, qui intervenait, jeudi, à l’Assemblée populaire nationale, dans le cadre d’une séance de questions orales, a soutenu qu’il fera montre de fermeté contre les agents de l’administration dont seront prouvées la mauvaise gestion et l’absence de transparence et d’équité dans les opérations de recrutement. Le ministre a annoncé dans la foulée que des sanctions sur la base de preuves et de faits matériels ont été prises à l’encontre de cadres et de fonctionnaires qui n’ont pas respecté les règles de transparence et les instruments juridiques encadrant le marché de l’emploi.
Des sanctions allant de la traduction devant les commissions de discipline au licenciement et enclenchement de procédures judiciaires. Des résultats qui font suite au renforcement et à l’intensification des opérations de contrôle par les services de l’Inspection générale du travail dans le cadre du suivi de la mise en œuvre de l’instruction du Premier ministre, notamment en ce qui concerne le recrutement direct par les sociétés et les entreprises exerçant au Sud.
Et à Zémali de souligner que l’emploi n’est pas du ressort exclusif de son département ministériel puisque concernant également les autres ministères, faisant part de la mise en place en 2013 d’un dispositif spécial de gestion de l’emploi dans les 10 wilayas du Sud, y compris Ouargla, et ce, en application de l’instruction du Premier ministre du 11 mars 2013 prévoyant plusieurs mesures visant essentiellement à garantir «une gestion transparente et rigoureuse du marché du travail dans les wilayas du Sud, étendue, par la suite, aux wilayas des Hauts-Plateaux.
M. K.
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De fortes pluies, parfois sous forme d’averses, affecteront à partir de samedi plusieurs wilayas du pays, indique un bulletin météorologique spécial (BMS) émis par l’Office national de météorologie.
Les wilayas concernées sont Laghouat, Djelfa, Ghardaïa et le nord de Ouargla.
Les cumuls estimés atteindront ou dépasseront localement 20 mm durant la validité du bulletin qui s’étale jusqu’au samedi à 18h00, précise-t-on de même source.
Ces prévisions concernent, également, les wilayas de Chlef, Tipasa, Alger, Médéa, Blida et Aïn Defla où les cumuls estimés atteindront ou dépasseront localement 25 mm durant la validité qui s’étale samedi de 15h00 à 23h00.
Les pluies toucheront, ensuite, les wilayas de Boumerdès, Tizi-Ouzou, Bejaia, Jijel et Bouira où les cumuls estimés atteindront ou dépasseront localement 25 mm durant la validité qui s’étale du samedi à 18h00 au dimanche à 03h00.
L’Office national de météorologie note que le BMS relatif aux pluies sur les wilayas de Bechar, le nord d’Adrar et El Bayadh reste en vigueur.
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La crise qu’amorce actuellement le marché pétrolier risque de rappeler violemment les failles de l’économie algérienne, prisonnière de la manne des hydrocarbures.
Le coup pourrait être d’autant plus rude pour le pays que la rente pétro-gazière, plutôt florissante depuis l’été jusqu’à ces toutes dernières semaines, a vu les autorités du pays tabler sur un projet de loi de finances 2019 qui rompt désormais, dans une très large mesure, avec l’austérité budgétaire.
Les rédacteurs du projet de loi de finances, adopté la semaine dernière par l’APN, seraient-ils allés un peu trop vite en besogne ? Tout prête à le croire, du moins jusqu’à ces derniers jours marqués par une dégringolade des prix du pétrole du genre à rappeler de mauvais récents souvenirs.
Prises par l’euphorie de la remontée des prix, les autorités du pays ont donc consacré pratiquement un retour à la normale, c’est-à-dire à l’avant-2014, sur le plan budgétaire en évitant surtout l’instauration de nouveaux impôts et taxes qui nuiraient à leurs intentions à peine un peu plus d’un trimestre du rendez-vous électoral le plus incertain. Bien sûr, précaution a été prise dans l’établissement du projet de loi de finances de tabler sur un baril à 50 dollars, mais cela n’empêche pas de rappeler le scénario de la crise née en 2014 lorsque le pétrole s’était déprécié de la moitié de son prix au quatrième trimestre 2014, puis en quelques semaines à peine en 2015 lorsque les cours avaient chuté de 9%, le Brent tombant en dessous des 50 dollars le baril au début de l’année 2015, donnant lieu à un impact terrible, d’une intensité variant selon les pays exportateurs, comme c’était le cas en Algérie où l’on a commencé à prendre la mesure réelle du sens du mot «austérité» jusqu’à l’introduction de la recette miracle : le financement non conventionnel.
Certes, pour le moment, il est un peu tôt pour spéculer sur les contours que prendra le prix du pétrole, mais il convient de rappeler le constat émis, pas plus tard qu’il y a une dizaine de jours, par le FMI dans son étude de conjoncture lorsqu’il avertissait sur l’incertitude globale entourant la trajectoire future des cours ainsi que le risque de pressions baissières engendrées par la montée des tensions commerciales, qui constituent des sources de vulnérabilité importantes pour les économies des pays exportateurs de pétrole de la région dont fait partie l’Algérie. Il n’est un secret pour personne que l’évolution des prix du pétrole est le facteur majeur dont dépend la croissance économique en Algérie ; la hausse des prix des hydrocarbures impacte positivement les recettes d’exportation et les produits de fiscalité pétrolière répartie entre les recettes budgétisées et les recettes affectées au Fonds de régulation des recettes (FRR).
Un impact qui résulte, donc, de la croissance spécifique du secteur des hydrocarbures eu égard à ce que celui-ci représente dans le PIB, et la fiscalité des hydrocarbures grâce à laquelle sont financés les grands programmes publics générateurs de croissance, nonobstant l’usage de la planche à billets. C’est dire donc si lors de la préparation du projet de loi de finances 2019, tout semblait aller dans le meilleur des mondes pour ses rédacteurs qui, grâce à l’embellie, ont décidé de maintenir les transferts sociaux à des niveaux qui feraient des jaloux dans bien des pays, envoyer dans le sens de la hausse le budget de fonctionnement de l’Etat qui ne devrait pas être loin des 5 000 milliards de dinars, alors que les dépenses devraient garder leur niveau de cette année. Le tout à des fins électoralistes, s’écrient encore les mauvaises langues.
Voilà donc le capricieux marché pétrolier qui vient remettre en cause l’optimisme des parrains du projet de loi de finances 2019 et du coup donner encore du sens aux avertissements émis en milieu de semaine par l’International Crisis Group, rapport auquel ne semblent pas accorder trop de crédit les autorités du pays.
Azedine Maktour
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Alger a pris tout son temps pour répondre à «l’offre» de Mohammed VI, mais cette réponse est venue comme porter l’estocade à un projet maintes fois qualifié de manœuvrier.
Dans un communiqué émanant du ministère des Affaires étrangères, l’Algérie annonce avoir officiellement saisi le secrétaire général de l’Union du Maghreb arabe (UMA) afin de lui demander d’organiser «dans les délais les plus rapprochés une réunion du Conseil des ministres des MAE» et informe que cette demande a été portée à la connaissance de ces derniers.
La même source explique que «cette initiative s’inscrit en droite ligne de la conviction maintes fois exprimée par l’Algérie de la nécessité de la relance de l’édification de l’ensemble maghrébin et de la réactivation de ses instances. Elle intervient aussi dans le prolongement des conclusions du dernier sommet extraordinaire de l’Union africaine (UA) sur les réformes institutionnelles de l’organisation continentale». «La relance de la réunion du Conseil des ministres, à l’initiative de l’Algérie, est de nature à introduire un effet catalyseur susceptible de redynamiser les activités des autres organes de l’Union du Maghreb arabe», conclut le texte.
La réponse ne souffre aucune ambiguïté et peut être décryptée comme suit : quel besoin avait le Maroc d’appeler à la mise en place de mécanismes destinés à régler les différends entre les deux pays en vue de laisser la région progresser de manière normale ? Pour Alger, c’est aussi une façon très explicite de dire que les cadres de concertation existent déjà, ce qui ne nécessite pas le besoin de mettre en place des organismes parallèles, mais aussi de rappeler que le cadre principal, à savoir l’UMA, est dans l’incapacité de se redéployer en raison des entraves marocaines.
Créée en 1989, l’organisation maghrébine n’a jamais pu démarrer réellement ses travaux, le Maroc ayant toujours posé le règlement du dossier du Sahara Occidental comme préalable à toute discussion. En 2003, le Président Bouteflika avait même tenté le tout pour le tout en tentant d’organiser à Alger une «rencontre d’Etat et non des chefs d’Etat» mais les MAE arabes, alors en réunion à Alger, avaient décidé de «reporter» une nouvelle fois un sommet de l’UMA.
En 2005, la partie algérienne avait entrepris une nouvelle tentative, mais Mohammed VI avait annulé son déplacement empêchant ainsi une troisième fois (depuis 2002) la tenue de la réunion maghrébine. Cette volte-face avait fait dire au ministre mauritanien des Affaires étrangères de l’époque qu’il était désormais «préférable d’attendre que les idées mûrissent et qu’une réunion sans problème puisse se tenir».
De manière très diplomatique, Alger explique donc dans ce communiqué que «l’offre» faite à l’occasion de l’anniversaire de la marche verte n’est rien de plus qu’une nouvelle manœuvre visant à incriminer l’Algérie et à ternir son image.
La sortie du roi est d’ailleurs intervenue au moment où celui-ci fait preuve d’un déchaînement sans pareil contre l’Algérie qu’il veut pousser à accepter de se transformer en partenaire essentiel dans le dossier du Sahara Occidental. Pour ce, Mohammed VI a adressé une lettre virulente au secrétaire général de l’ONU et instruit son représentant permanent auprès des Nations-Unies de mener une offensive pour inverser les rôles et sensibiliser la communauté internationale. Pour accentuer la pression sur Alger, les pays du Golfe ont immédiatement réagi aux propos de leur allié en saluant la proposition du roi et la présentant comme une chance d’avancer. La France sur laquelle Mohammed VI s’appuie également dans sa politique coloniale a très vite fait montre de son «grand intérêt» manifesté par son MAE Jean-Yves Le Drian.
Evoquant la nécessité de maintenir la stabilité régionale, les Nations-Unies et même les Pays-Bas (en dernier lieu) ont applaudi «l’initiative». Et tous attendaient naturellement la réponse officielle d’Alger. Cette dernière est venue comme ils ne l’attendaient pas. A Rabat de réagir à son tour…
A. C.
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Le Président du groupe Cevital, Issad Rebrab, était invité, aujourd’hui vendredi, sur le plateau de la chaîne TV France 24, où il s’est exprimé sur ses projets industriels en France, mais aussi sur le blocage de ses investissements en Algérie. Issad Rebrab accuse une « main invisible » de bloquer les projets de Cevital, et ne pense pas que « le président Bouteflika puisse être au courant » de ces blocages.
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Le conseil des ministres présidé vendredi par le président de la République, Béji Caid Essebsi, a adopté vendredi, le projet de loi sur l’égalité successorale.
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Un centre de recherche en environnement (CRE) a été créé par un décret exécutif publié au journal officiel n 63.
Placé sous la tutelle du ministre chargé de la Recherche scientifique, ce centre (siège à Annaba) est chargé de réaliser les programmes de recherche scientifique et de développement technologique dans le domaine de l’environnement.
Il vise la résolution des problématiques liées à la préservation, au développement et à la valorisation des ressources naturelles, à l’évaluation et à la modélisation des changements climatiques et leur impact sur l’environnement, à la prévention des risques liés aux pollutions et aux technologies de dépollution, au développement de l’économie verte, à la gestion et à la valorisation des déchets, précise le décret exécutif.
Le conseil d’administration de ce centre comprend les représentants des ministres, respectivement, de la Défense nationale, de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire, de l’Environnement et des énergies renouvelables, de l’Industrie et des mines, de l’Energie, des Ressources en eau, de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière.
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La sélection algérienne de football (dames) s’est inclinée face à son homologue malienne sur le score de 2-3, mi-temps (1-0) vendredi à Cape Coast (Ghana) en match comptant pour la troisième et dernière journée du groupe A, de la Coupe d’Afrique des nations CAN2018.
Les buts de la rencontre ont été inscrits par Fatouma Diarra (58′, 90+4 sp), Aissatou Diadhiou (83′) pour le Mali. Lydia Balkecemi (37′) et Imen Merrouche (53 sp) pour l’Algérie.
C’est la troisième défaite de suite des Algériennes en autant de rencontres après celles essuyées devant le Ghana (1-0) et le Cameroun (3-0).
Avec cette nouvelle défaite, la sélection algérienne termine à la dernière place du groupe A avec 0 point. Le Cameroun, auteur d’un nul contre le Ghana (1-1) dans l’autre match termine en tête avec 7 points et valide son billet pour les demi-finales en compagnie du Mali (6 points). Le Ghana, pays hôte de la compétition (4 pts) est éliminé dès la phase de poules.
Les deux qualifiés du groupe B seront connus samedi à l’issue des matchs de la troisième journée: Afrique du Sud (6 pts)- Zambie (3 pts), et Guinée Equatoriale (0 pt) – Nigeria (3 pts).
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Les six escrimeuses algériennes engagées dans l’étape d’Alger de la Coupe du monde de fleuret féminin (seniors), qui a débuté vendredi à la salle Harcha-Hacene (Alger), ont été éliminées dès la phase de poules qui s’est déroulée avec la participation de 156 fleurettistes.
Les Algériennes Meriem Mebarki (69e mondial), Sonia Zeboudj (72e), Inès Jad Fellah (108e), Yasmine Tantast (493e), El Houari Narimène (501e) et Chaïma Nihal Guemmar (506e), n’ont pas réussi à franchir le premier tour qui a regroupé 140 fleurettistes, réparties en 20 groupes, avec des matchs joués en système de 5 touches en 3 minutes de temps et un rajout d’une minute en cas d’égalité.
Le président de la Fédération algérienne d’escrime (FAE), Abderaouf Salim Bernaoui, a indiqué que cette étape de la Coupe du monde va servir de « test » pour les fleurettistes algériennes.
« Cette compétition va leur permettre également de grignoter des points supplémentaires dans le classement mondial, mais aussi de préparer les prochaines échéances », a-t-il ajouté.
Ce premier tour a permis la qualification de 112 escrimeuses auxquels s’ajoutent les 16 exemptées du 1er tour pour constituer le tableau des 128 qui se disputent actuellement, avec élimination directe en 15 touches, pour atteindre en fin de journée le tour des 64.
Lacompétition reprendra samedi à partir de 9h00, avec le tableau 64 qui se poursuivra jusqu’à la finale, programmée en fin d’après-midi (18h00).
Une fois les épreuves individuelles terminées, la compétition par équipes prendra le relais, dimanche (9h00) avec les éliminations directes, à partir du tableau des 16.
Pour l’épreuve par équipes, l’Algérie sera représentée par le quatuor El Houari, Fellah, Mebarki et Zeboudj.
Cette compétition mondiale qui enregistre la participation de 36 pays, est rehaussée par la présence des meilleures fleurettistes de la planète, à l’instar de la championne olympique en titre, la Russe Inna Deriglazova, la vice-championne du Monde l’Italienne Alice Volpi, sa compatriote Arianna Errigo, vice-championne olympique en titre ou encore l’Américaine Lee Kiefer (3e mondiale).
L’étape d’Alger de la Coupe du monde de fleuret féminin (seniors), l’unique en Afrique, en est à sa 6e édition consécutive.
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