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AG élective de l’ACNOA: l’Algérien Berraf nouveau président

Thu, 11/29/2018 - 22:24

TOKYO – L’Algérien Mustapha Berraf a été élu président de l’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (ACNOA), jeudi à Tokyo lors de l’assemblée générale extraordinaire et élective de l’instance.

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2 éléments de soutien aux groupes terroristes arrêtés à Bordj Badji Mokhtar

Thu, 11/29/2018 - 15:40

Deux (02) éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés mercredi à Bordj Badji Mokhtar, par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique jeudi le ministère de la Défense nationale (MDN) sur sa page facebook.

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement combiné de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 28 novembre 2018 à Bordj Badji Mokhtar (6e Région militaire), deux (2) éléments de soutien aux groupes terroristes », précise la même source.

Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement de l’Armée nationale populaire « a intercepté, à Tamanrasset (6e RM), sept (7) orpailleurs et saisi un véhicule tout-terrain, cinq (5) motocycles, six (6) groupes électrogènes, six (6) marteaux piqueurs et quatre (4) détecteurs de métaux ». Un autre détachement « a saisi, à Ghardaïa (4e RM), (1.950) paquets de cigarettes ».

D’autre part, des Garde-côtes « ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de douze (12) personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale à Oran (2e RM), alors que sept (7) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Laghouat (4e RM) ».

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Près de sept mois après les élections législatives: Le Liban toujours sans gouvernement

Thu, 11/29/2018 - 15:10

Saad Hariri, le Premier ministre désigné, ne parvient toujours pas à former son gouvernement. Et pourtant, il s’était fixé au début du mois d’octobre un délai de 10 jours pour rendre publique la liste de sa composante. Il semblerait, selon les médias libanais, qu’une tension entre sunnites et chiites prenne forme et accentue les difficultés de Saad Hariri à atteindre son objectif. Des attaques sont menées frontalement contre le Premier ministre désigné, à l’instar de celle lancée par l’ancien ministre prosyrien Wi’am Wahhab.

Selon le quotidien libanais L’Orient-le-jour, qui rapporte l’information, citant une source anonyme du courant du “8-Mars” cette attaque n’est pas fortuite et a pour but de faire avorter les efforts visant à débloquer la situation, notamment l’initiative menée le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil. On apprend également que le Premier ministre désigné aurait mis au point une mouture, qui serait entre les mains du président de la République, et n’attend plus que les noms des ministres du Hezbollah. Mais le parti de Cheikh Nasrallah refuserait toujours de communiquer à ce sujet tant que le nœud sunnite n’est pas réglé.

Pendant ce temps, Saad Hariri refuse de revoir sa formule de composition du gouvernement, car estimant que les six députés sunnites, qui ne forment pas un groupe parlementaire homogène, sont déjà représentés au gouvernement à travers les blocs auxquels ils ont pris part au lendemain des législatives. Devant cette situation de blocage, les médias libanais ont rapporté que le leader des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a appelé le président de la République, Michel Aoun, et le Premier ministre désigné, Saad Hariri, pour leur demander de convaincre le mouvement chiite Hezbollah de communiquer les noms des ministres qu’il a choisis.

Merzak T. 

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Cotisations de sécurité sociale, postes vacants et dépenses fiscales: La Cour des comptes pointe plusieurs insuffisances

Thu, 11/29/2018 - 15:06

Au ministère du Travail, les investigations effectuées ont permis de constater que les cotisations calculées par la Cnas sont inférieures à celles payées par le ministère.

On ne peut pas dire que l’État montre l’exemple. Dans son rapport d’appréciation sur l’avant-projet de loi portant règlement budgétaire de l’exercice 2016, la Cour des comptes relève des manques aux obligations de déclaration et de paiement des cotisations de sécurité sociale de certains ministères. Contrairement aux dispositions de la loi n°83-14 du 2 juillet 1983 relative aux obligations des assujettis, modifiée et complétée, “les ministères de la Communication et des Moudjahidine n’ont pas, procédé à la souscription d’une déclaration annuelle des salaires et des salariés”, souligne la Cour des comptes.   “L’examen des situations relatives aux cotisations de sécurité sociale au titre de l’année 2016 élaborées par la Cnas, les déclaration des ministères de la Santé, du Travail, de la Communication et des Moudjahidine ainsi que la Trésorerie centrale d’Algérie, a mis en en évidence l’existence d’écarts substantiels et des incohérences entre les chiffres présentés”,  constate, également, le rapport.

À titre d’exemple, au ministère du Travail, les investigations effectuées ont permis de constater que les cotisations calculées par la Cnas sont inférieures à celles payées par le ministère. L’écart est estimé à 1 214 539,53 dinars. La Cour des comptes indique, par ailleurs, que le montant des créances détenues par la Cnas à l’encontre des ministères du Travail, de la Santé, de la Solidarité nationale, de la Communication, de la Culture, de la Jeunesse et des sports et des Moudjahidine, relatives aux cotisations de sécurité sociale au 31 décembre 2015 est estimé à plus de 338 millions de dinars.

378 551 postes vacants recensés en 2016
378 551 postes vacants ont été recensés par la Cour des comptes, dans son rapport contre 371  386 postes en 2015 et 360 452 en 2014. Le nombre de poste vacants le plus important est localisé au niveau du ministère de l’Éducation nationale avec 65 866 postes (9,09%), le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique avec 19 291 postes vacants (9,30%) et le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels avec 10 453 postes vacants (15,58%). Au niveau du ministère de la Santé, le nombre des postes vacants est évalué à 4 358. Par catégories professionnelles, les corps spécifiques représentent 26%, suivis des corps communs avec un taux de 5% et des postes supérieurs avec 4%. “L’importance des postes vacants s’explique, d’une part, par le gel du recrutement décidé dans le cadre de la Fonction publique, et d’autre part, par la non promulgation des textes fixant l’organisation de certains organismes publics”, indique le rapport.

Absence de mécanismes de prévision des dépenses fiscales
Les dépenses fiscales accordées en 2016 s’élèvent à 886,325 milliards de dinars indique la Cour des comptes. Les dépenses fiscales sont des avantages fiscaux accordés par l’État en vue d’encourager les activités des régions, des entreprises ou des catégories sociales, en renonçant volontairement à une partie de ses revenus fiscaux. 390,304 milliards de dinars concernent les exonérations fiscales liées aux régimes d’incitation à l’investissement (Andi) et à l’emploi (Ansej, Cnac et Angem). La Cour des comptes signale que “l’administration fiscale se contente de recenser ces exonération sans déterminer les dépenses fiscales associées aux régimes dérogatoires, et ce, en raison des retards qu’elle accuse dans la mise en œuvre d’un système d’information complet et intégré comportant les différents avantages octroyés”.

Le coût des dépenses fiscales accordées par l’administration des Douanes, en 2016, a atteint 496,021 milliards de dinars. Le rapport précise que le total des exonérations fiscales, selon les informations transmises à la Cour des comptes par la Direction générale des Impôts (DGI) et la direction des grandes entreprises, diffère du montant figurant dans le rapport de présentation de l’avant-projet de loi de règlement budgétaire pour l’exercice 2016, émanant du ministère des Finances. La Cour des comptes évoque un écart de 499,632 milliards de dinars.  Le rapport pointe, entre autres, l’absence de mécanismes de prévision des dépenses fiscales et de leur impact. Pour la Cour des comptes, “les dépenses fiscales comportent des risques élevés, liés principalement à l’absence de suivi des avantages accordés par les services de l’administration fiscale, en particulier, le manque de respect des promoteurs des projets d’investissement de leurs engagements durant la période d’exonération”.

Meziane Rabhi

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Prise en charge tardive du cancer du poumon: Les pneumologues tirent la sonnette d’alarme

Thu, 11/29/2018 - 15:04

Les délais tardifs de pose du diagnostic en Algérie aggravent l’état du cancéreux et compromettent l’effet de la thérapie prescrite, y compris les plus innovantes.

Au-delà de la situation épidémiologique qui renseigne sur les impacts du cancer bronchopulmonaire (CBP) en Algérie, de gros efforts doivent être encore déployés pour améliorer le dépistage. L’examen radiologique et cytologique du CBP reste la clé indispensable pour l’aboutissement de toute stratégie thérapeutique. La problématique des délais pour la pose du diagnostic de cette infection foudroyante, dont les symptômes ne sont pas visibles aux tous premiers mois de l’infection, semble sérieusement inquiéter et les pneumologues et les oncologues.

C’est le Pr Taghit-Mahi Samia, chef de service de pneumologie au CHU de Mustapha-Pacha, qui a planté le décor, en intervenant, hier, sur les causes et les retombées fatales de dépistage tardif du carcinome pulmonaire, à l’occasion d’une journée d’information tenue à l’hôtel El-Aurassi. Organisée par l’association Nour-Doha, la rencontre d’hier a été mise à profit pour analyser les facteurs sursoyant le diagnostic. Dans son exposé, présenté dans un langage simple et alerte à la fois, la pneumologue a relevé que les délais de diagnostics de ce cancer sont vraiment longs, ce qui réduit le taux de survie des personnes atteintes, même si elles répondent bien durant les premiers temps au traitement anticancéreux.
Sans détours, elle avouera que le parcours du souffrant du CBP est malheureusement semé d’embûches. Pour elle, la responsabilité de cette situation désolante, mais évitable, incombe aussi bien au malade qu’au médecin qui tarde à diagnostiquer ce mal bronchique qui se propage d’une manière fulgurante dans le reste des parties du corps en donnant des métastases.
Autrement dit, la majorité des souffrants de cette pathologie arrive à l’hôpital, au stade final, et le traitement préconisé n’aura ainsi aucun effet. Malgré les signes cliniques d’appel les plus fréquents qui sont la toux ou le crachat de sang ou encore la perte de poids, le sujet malade reste impavide à ce mal ravageur. Cependant, le médecin traîne, pour sa part, pour diagnostiquer la cellule tumorale au niveau du thorax. La qualité des examens complémentaires (imagerie et anatomie pathologique liés au diagnostic) a été pointée du doigt par la conférencière. “La formation du praticien est pour quelque chose dans l’errance du souffrant”, nuancera-t-elle. “Nous devrons, à cet effet, redoubler d’efforts pour capter la pathologie dans les meilleurs délais, ce qui va augmenter le taux de survie.” Pour étayer son argumentaire, elle indiquera que les délais tardifs de prise en charge de diagnostic en Algérie aggravent l’état du cancéreux et compromettent même la thérapie prescrite même la plus innovante.

Les délais de consultation dépassent les 93,5 jours en Algérie, sans compter la longue période des examens complémentaires nécessaires. Alors qu’ailleurs dans les pays avancés, la période de confirmation du diagnostic ne dépasse pas en moyenne les 9 semaines, soit entre la première imagerie pathologique et le premier traitement. Après ce long exposé, le Pr Taghit-Mahi insistera sur la prévention du cancer bronchopulmonaire. Elle lancera, à cet effet, un appel pour “dénormaliser” le tabagisme au sein de la société. Des actions de sensibilisation devront être, dira-t-elle, menées pour casser l’image positive du fumeur. Dans le même registre, le Dr Bourekoua abordera les facteurs de risque du cancer bronchopulmonaire, en rappelant qu’en dehors du tabac, d’autres causes sont à l’origine de cette maladie : “L’exposition professionnelle et environnementale.” Les effets de la fumée de la chicha ou du cannabis sont aussi néfastes que cette de la cigarette. “La chicha est plus nocive que la cigarette”, alerterale  le Dr Bourekoua.

Hanafi H.

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Question: Fumer fait-il maigrir ?

Thu, 11/29/2018 - 14:57

Eh oui, la cigarette brûle des calories ! Un paquet de cigarettes équivaut à 250 kcal, soit l’équivalent en énergie dépensée d’une demi-heure de marche ou de 20 minutes de natation.

Par ailleurs, le tabac augmente le métabolisme de base d’une personne et favorise la mobilisation de ses réserves adipeuses. En plus de son effet déstressant et anxiolytique, la nicotine est un excellent coupe-faim. Elle augmente le taux de sucre dans le sang, ce qui réduit l’appétit. Mais elle entraîne également une perte progressive de l’odorat et du goût… Pas étonnant donc que l’on mange moins.

En contrepartie, les fumeurs ont le teint et les cheveux ternes, les dents jaunes, des problèmes de peau, une bouche pâteuse… Sans parler des risques de cancer. La minceur sans le glamour en vaut-elle la peine ?

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Recette: Pain frit à l’indienne et sauce piquante

Thu, 11/29/2018 - 14:54

1 baguette de pain coupée en tranches de 1 cm
Pour la pâte : 1/2 c. à c. d’ail écrasé, 4 c. à s. de poudre de pois chiches,
30 cl d’eau, 1 c. à c. de sel
Pour la sauce piquante : 1 grosse tomate bien mûre, 1 gros piment vert, 7 branches de coriandre fraîche, 5 branches de menthe fraîche, 1/2 petit oignon, 1/2 gousse d’ail, 1 c. à c. de sel

Mélangez tous les ingrédients pour la pâte et laissez-la reposer 10 min. Trempez les tranches de pain dans cette pâte et dorez-les à la poêle à feu moyen. Mixez au robot tous les ingrédients pour la sauce piquante. Servez les pains dorés avec. Un délice, spécialité indienne. A consommer sans modération !

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Palais de la culture d’Alger: Riche programme aux Journées culturelles japonaises

Thu, 11/29/2018 - 14:53

Des Journées culturelles japonaises sont prévues  du 29 novembre au 1er décembre 2018 au Palais de la culture Moufdi-Zakaria d’Alger.
Au programme de cette importante manifestation  figurent des ateliers de dessin manga, d’origami et de calligraphie.  une démonstration de gastronomie japonaise ainsi qu’une démonstration de port de kimono figurent également au programme de ces journées.
Ainsi,  une manga-ka (dessinatrice de manga), Mme Yoshimi Katahira, et une spécialiste d’habillage en kimono, Mlle Ryoko Hayashi, présenteront  leur métiers au public algérien.
La mangaka japonaise Yoshimi Katahira est née à Tokyo. Sa passion pour le manga date de  l’adolescence. Elle travaille d’abord et durant plusieurs années comme assistante dans des studios de manga au Japon.  elle se lance ensuite  en tant que freelance, dessinant des sujets de genres fort divers pour de multiples magazines et revues.
Elle décida ensuite d’entamer des études de français et de vivre en France. Elle anime aujourd’hui  des  ateliers pour les jeunes qui souhaitent apprendre l’art du dessin du manga, organise des expositions et participe aussi aux événements en rapport avec le  manga dans différents  pays.
Ryoko Hayashi est née elle aussi à Tokyo en 1991. Elle a vécu dans plusieurs pays aux différentes  cultures, dont l’Indonésie, les Etats-Unis, le Canada et l’Inde pour diverses activités culturelles et un stage. Ces expériences lui ont donné la motivation de travailler en tant que «passerelle culturelle» entre le Japon et le monde. En 2014, elle a commencé à travailler à Itochu Corporation en suivant parallèlement  des cours d’apprentissage à l’école du kimono.
En 2018, elle quitte ce travail  pour se concentrer sur les activités qui font connaître la culture et la technique traditionnelle du Japon dans le monde ainsi que sur l’organisation de  différents évènements culturels à l’étranger et des visites touristiques à Tokyo.
Le programme des Journées culturelles japonaises à Alger comporte des concours de cosplay, de discours de la langue japonaise, ainsi que du dessin manga qui seront organisés par l’ambassade du Japon.
Kader B.

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Clôture des journées nationales du film court-métrage: Pour que Bouira retrouve son lustre d’antan de ville des arts et de culture

Thu, 11/29/2018 - 14:50

«La ville de Bouira sera à jamais reconnaissante à Mme Cherbi Saliha pour avoir enfin réussi à ressusciter un festival qui était un jour lancé avant d’être mis aux calendes grecques durant les années 1990, à cause du terrorisme qui avait frappé le pays en général et la wilaya de Bouira en particulier.»
L’auteur de cet hommage n’est autre que le fondateur justement du premier festival du court-métrage qui a eu lieu à Bouira en 1990, Rachid Larbi. Une année plus tard, une deuxième édition a été organisée à Tikjda, mais, malheureusement, pour cause des événements tragiques qu’a connus le pays avec le terrorisme qui l’avait menacé jusqu’à ses fondements, en ayant justement pour cible tout ce qui était créatif, en visant entre autres, les artistes, le festival fut jeté aux oubliettes.
Aussi, c’est tout naturellement que la directrice de la Maison de la culture Ali-Zamoum avait pensé à dédier ces journées du film de court-métrage à ce digne enfant de la wilaya de Bouira.
Tout au long de ces trois jours, une exposition montrant le parcours de cet artiste hors pair, cet universitaire, grand commis de l’Etat pour avoir exercé comme chef de daïra pendant plusieurs décennies, avant de prendre sa retraite bien méritée en 2015. Du haut de ses 61 ans, Rachid Larbi, qui a été honoré comme il se doit durant ces journées, n’a qu’une seule obsession : voir le festival du film court-métrage perpétué à Bouira pour devenir, pourquoi pas, un festival international.
D’ailleurs, lors d’une discussion à bâtons rompus, Rachid, toujours souriant et jovial, nous fera un long voyage à travers le temps pour nous replonger dans la ville de Bouira des années 1970. A l’époque déjà, alors qu’il était encore collégien, il se rappellera ses premiers pas faits dans le monde de l’art ; lui qui a vécu et grandi à la rue de France mais, surtout, le boulevard Mouzai-Abdelkader ; aujourd’hui pratiquement réduit à néant et où subsiste juste l’hôtel Toumi. A l’époque, se rappelle-t-il, le boulevard avait, à lui seul, quatre institutions culturelles : les SMA, la JFLN, les Arts lyriques et l’auberge de jeunes.
Durant ces années d’or de la culture tant à Bouira que dans le pays, le jeune Rachid Larbi avait la chance de côtoyer durant sa scolarité beaucoup de personnalités tout aussi géniales parmi les artistes algériens, comme feu Ali Matouk, chef d’orchestre d’une troupe chaâbie à Bouira, les Snow Boys qu’étaient les frères Bouchia de la ville de Bouira en compagnie d’Aït Oumghar Mouloud, qui ont fondé une troupe moderne à Bouira, mais aussi, plus tard, Rachid a été affecté durant son service national, en 1983, à l’école militaire de musique. Mais auparavant et grâce à ces contacts permanents avec les professeurs allemands et russes qui enseignaient à Bouira, au CFPA de la ferme école, mais également au lycée Mira, Rachid Larbi a pu faire éclore son génie dans le théâtre en créant des pièces théâtrales telles que «Chikh Bouferka» qui appelle à l’éveil contre le charlatanisme ou encore «L’émigré» pour dénoncer les attitudes des émigrés de retour dans leur pays.
Poursuivant son amour pour l’art et la culture, et après sa sortie de l’université avec une licence en sciences politiques et des sciences appliquées en 1982, et après la période du service national, il travaillera comme conseiller au cabinet du wali avant d’être promu chef de daïra dans plusieurs wilayas du pays.
Pour son expérience dans le cinéma amateur, c’est en 1986 qu’il réussira son premier court-métrage L’huilerie, un documentaire qui retrace les étapes à suivre pour avoir de l’huile d’olive ; une sorte d’hommage à l’huile de Kabylie et les huileries traditionnelles. D’ailleurs, ce court-métrage raflera plusieurs médailles et distinctions, avec une médaille de bronze au festival d’Aïn Defla en 1987, un deuxième prix au festival d’El-Harrach en 1988, un troisième prix toujours à El-Harrach en 1989 et un prix d’encouragement à Tiaret dans la même année.
Entre-temps, il réalisera également en 1988 un autre court-métrage intitulé Thamaghra Ouaejmi (la fête avec un bœuf comme bête à sacrifier) signe d’abondance de la viande ; un court-métrage qui relate une tradition des fêtes de mariage en Kabylie. Ensuite, un troisième court-métrage La poudre pour attirer l’attention sur les dangers de l’utilisation abusive de la poudre à canon durant les fêtes, et qui a créé beaucoup de dégâts dans les fêtes avec parfois des drames …
Rachid entamera plusieurs autres courts-métrages mais sans jamais les achever pour cause de problèmes liés à la situation du pays qui prévalait à l’époque des années 1990. Il participera, cependant, à la réalisation du premier film d’expression amazighe, aux côtés du réalisateur Achour Kassas à Ighil Imoula intitulé Le vendeur de la neige. Pour revenir aux journées du film court-métrage, et d’après les jeunes présents issus de 14 wilayas du pays, la réussite consiste justement en l’existence d’un tel espace de débats et de critiques objectives entre les jeunes talents venus de divers wilayas du pays pour, d’abord, échanger leurs idées, mais également pouvoir présenter leurs travaux et les évaluer devant des spécialistes qui sont présents comme Houria Khadir, scénariste, Belkacem Chihaoua, réalisateur cinématographique, et Mohamed Yargui, producteur ; des spécialistes qui ont animé, durant ces journées, des ateliers très bénéfiques pour ces jeunes mais également pour le public qui était, certes, peu nombreux mais très attentif.

Et  justement, après trois jours de projection des 22 courts-métrage mis en compétition, le jury a choisi deux films courts-métrages qui sont sortis du lot en gagnant le premier prix à ex æquo  : le premier film court-métrage de 25 minutes et 35 secondes est l’œuvre de Laâmad Ghedjati de Guelma intitulé Laânatoun bayna adhdhalal (Malédiction dans un monde de lâcheté) qui parle de la Palestine ; et le deuxième film court-métrage de 29 minutes est l’œuvre de Mustapha Cherbal de Sétif, intitulé Rissala (Message). A la fin, tout le monde a souhaité que ces journées du film court-métrage de Bouira, nouveau look, soient maintenues et transformées en festival national du film court-métrage, afin que Bouira, qui était appelée dans les années 1970 la ville des arts et culture, retrouve son lustre d’antan.
Y. Y.

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Recette: Sauce au fromage

Thu, 11/29/2018 - 14:48

150 g de fromage râpé, 50 g de beurre, 50 g de farine, 550 ml de lait, sel et poivre 

Faire fondre le beurre dans une casserole, ajouter la farine peu à peu en mélangeant et laisser cuire 1 min environ sans cesser de remuer, jusqu’à obtention d’un mélange mousseux.

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L’Assemblée nationale améliore la prise en charge santé des chibanis

Thu, 11/29/2018 - 14:44

La mesure votée concerne 330 000 pensionnés, dont 240 000 résident au Maghreb, principalement en Algérie, au Maroc et en Tunisie.

L’Assemblée nationale a voté mercredi 28 novembre une extension de la prise en charge des frais de santé des chibanis, ces immigrés du Maghreb qui ont travaillé en France pendant des dizaines d’années avant, pour certains, de retourner dans leur pays. Cet amendement gouvernemental s’inscrit dans le cadre du projet de budget de la Sécurité sociale qui a été adopté en seconde lecture dans la soirée par l’Assemblée nationale par 39 voix contre 24.

Le texte, porté par la ministre de la santé, Agnès Buzyn, va maintenant retourner au Sénat en nouvelle lecture jeudi, avant sa lecture définitive programmée à l’Assemblée lundi 3 décembre. Le rapporteur du texte, Olivier Véran (La République en marche, LRM), a salué dans l’Hémicycle le vote de l’amendement chibanis comme « une avancée extrêmement importante ».

« Les cheveux blancs »

« Ceux qu’on appelle “les cheveux blancs” sont venus en France dans les années 1960-1970. Ils ont effectué des métiers pour lesquelles la France avait besoin d’eux et, après toute une vie de labeur, ont exprimé le souhait de pouvoir rentrer chez eux », a-t-il rappelé. Mais « ils étaient jusqu’ici traités distinctement de tous les autres, ce qui n’était pas normal », a souligné l’élu, citant l’obligation qui leur était faite de résider sur le territoire français pour bénéficier de la couverture santé.

L’amendement adopté vise « à étendre la prise en charge des frais de santé des pensionnés résidant à l’étranger et ayant travaillé plus de quinze ans en France lorsqu’ils sont soignés lors de leur séjour temporaire en France »« Dans ce cas, la France prendra en charge unilatéralement les soins de ces personnes », a expliqué la secrétaire d’Etat auprès de la ministre des solidarités et de la santé, Christelle Dubos. « Cet amendement permet également de rétablir la prise en charge des enfants mineurs de ces pensionnés », a-t-elle précisé.

Quelque 750 000 personnes titulaires d’une pension vieillesse française et pouvant justifier de quinze ans de cotisations résident aujourd’hui en dehors de la France. Parmi eux, 420 000, installés dans l’Union européenne, sont déjà couverts. La mesure votée concerne les 330 000 pensionnés restants, dont 240 000 résident au Maghreb, principalement en Algérie, au Maroc et en Tunisie, a précisé Mme Dubos.

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Campagne de sensibilisation pour lutter contre les dangers du monoxyde de carbone

Thu, 11/29/2018 - 14:30

Chaque année, au cours de la période de chauffe en gaz naturel ou en gaz butane, des centaines de personnes dans tout le territoire du pays sont victimes d’une intoxication liée au monoxyde de carbone.
Les services de la protection civile de la wilaya de Mostaganem ont commencé à mener une campagne d’information et de sensibilisation qui consiste à faire adopter les bons gestes et à informer sur les règles de sécurité concernant le fonctionnement des appareils de chauffage et des chauffe-bains et qui concerne un grand nombre de communes dont particulièrement celles rurales où des habitations viennent d’être raccordées au gaz naturel. Invisible, inodore et insipide, le monoxyde de carbone est un gaz indétectable pour l’être humain. Ce gaz peut être émis par un appareil endommagé, mal entretenu ou par une mauvaise ventilation.
La prévention sur les dangers au monoxyde carbone revient au sein des familles qui doivent par conséquent faire preuve d’une bonne vigilance pour éviter le pire.
L’inhalation de monoxyde de carbone est la principale cause d’empoisonnement. Le bilan établi par le service prévention relevant de la direction de la protection civile de wilaya au cours de la saison hivernale 2017-2018 relève plusieurs cas d’asphyxie qui ont causé plusieurs victimes sauvées in-extrémis d’une mort certaine et d’autres ont succombé à ce gaz mortel. L’objectif de cette campagne de sensibilisation, c’est de faire connaître les dangers du monoxyde de carbone afin d’améliorer la protection de tout un chacun contre ce gaz toxique.
A. B.

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Violence contre la femme à Jijel: 106 cas recensés en dix mois

Thu, 11/29/2018 - 14:23

L’officier Laouir Ikram de la police judiciaire de la Sûreté de wilaya de Jijel a affirmé que le service a enregistré 106 cas de violence contre la femme dans la wilaya de Jijel, durant les dix premiers mois de l’année en cours tandis que l’année écoulée on a enregistré 158 cas.
Mlle Laouir Ikram a souligné lors de la journée d’étude organisée par la direction de l’action sociale sur la violence contre les femmes au centre culturel islamique Ahmed-Hemani de Jijel que sur les 158 cas de l’année en cours , le principal acteur de cette violence est le fiancé, ajoutant que cette violence a plusieurs aspects dont entre autres la violence verbale et physique, harcèlement sexuel.Elle a révélé, par ailleurs, que de nombreux victimes refusent de voir le médecin légiste pour délivrer un certificat médical en raison de la pudeur, la nature conservatrice de la société, surtout que l’auteur de cette violence est un proche. Pour sa part, la psychologue Fatima Merimeche est revenue longuement sur la problématique, la violence conjugale contre la femme qui, de plus en plus, prend de l’ampleur ces dernières années .La conférencière a abordé cette question dans notre société d’essence patriarcale où parler de la violence contre la femme est un tabou.
Elle a ensuite tracé le profil des hommes auteurs de cette violence contre la femme qui constitue souvent une proie pour ces séducteurs qui ont l’obsession d’exercer ce pouvoir d’agresseur dans un milieu social truffé de non-dits.
Bouhali Mohammed Cheri

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M’sila: Un regroupement régional des chargés de la communication des pompiers

Thu, 11/29/2018 - 14:20

La direction générale de la protection civile (DGPC) organise une session de formation au profit des officiers chargés de l’information des wilayas du centre et centre-est du pays du 28 au 29 novembre 2018 au niveau de la direction de la protection civile de la wilaya de M’sila.

Onze wilayas ont pris part à cette session, les wilayas participantes sont : M’sila, Alger, Boumerdès, Médéa, BBA, Sétif, Biskra, Ouargla, Béjaïa, Tizi Ouzou, Djelfa, qui rentre dans le cadre du développement et de la modernisation du secteur de la protection civile, particulièrement dans le domaine des ressources humaines, selon le communiqué remis aux différents représentants des organes médiatiques activant dans la wilaya,afin de renforcer les capacités des officiers à la gestion de l’information préventive, opérationnelle, ainsi que le management des crises à travers les différents médias, en particulier dans le domaine de l’utilisation des médias sociaux.

Cette session de formation permettra aux participants d’acquérir un savoir-faire mais également des capacités et des compétences pour être aptes à élaborer des plans de communication et mettre en place les actions permettant d’atteindre les objectifs fixés,de choisir et mettre en œuvre les bons outils et actions de communication, établir des relations de confiance avec les différents partenaires en vue de favoriser une image positive de l’institution, de préparer et conduire une démarche de communication préventive et opérationnelle ,mettre en place des dispositifs d’écoute et d’appréhender la nature et les principales caractéristiques des situations de crise pour y faire face.
Cette rencontre est la première organisée par la DGPC qui prépare deux autres, une pour les wilayas de l’Est et une pour les wilayas de l’Ouest, selon le colonel M.

Farouk Achour, sous-directeur des statistiques et de communication qui voit que cette opportunité profite aux officiers chargés de la communication, des directions de la protection civile des 48 wilayas du pays, pour être formés sur l’utilisation des techniques optimales en leur possession de communication notamment à travers les réseaux sociaux en leur donnant des principes à faire passer le message le plus important en expliquant que la plupart des accidents sont évitables, seulement après une bonne communication en matière de sensibilisation, ajoute ce responsable, tout en améliorant les relations de partenariat avec les médias conclut-il.
A. Laïdi

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Marseille : l’imam Ghoul aurait obtenu ses papiers de façon illégale

Thu, 11/29/2018 - 14:18
Pour obtenir ses papiers français, le vice-président du Conseil régional du culte musulman aurait fourni des documents non-conformes. Il est rentré en Algérie

Ghoul, le vice-président du conseil régional du culte musulman. Ghoul, l’imam et président de la mosquée Tahara, rue de l’Académie (Marseille 1er) ; l’intervenant quotidien sur les ondes de Radio Gazelle, le président de l’association « la Mosquée de Marseille » ; Ghoul encore, qui souvent apparaît en bonne place dans les dîners amicaux, à la table de dignitaires religieux, aux côtés de politiques aussi, dans les inaugurations, les conférences sur la radicalisation… Abderrahmane Ghoul, partout.

Plusieurs sources concordantes nous l’ont confirmé hier : mardi matin, l’imam rentrait d’un voyage en Turquie lorsqu’à Marignane, les services compétents ont entrepris un contrôle poussé de ses papiers d’identité française. Renversante découverte : c’est à partir de documents non conformes qu’il les aurait obtenus. Ses papiers français retirés, Abderrahmane Ghoul aurait alors rejoint le pays dont il est citoyen de fait, l’Algérie.

Dès lors, tout espoir de retour en France ne saura être satisfait qu’à l’issue de la procédure qui incombe à tout citoyen algérien : l’obtention d’un visa… Abderrahmane Ghoul vivait en France depuis les années 90.

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Le HUAWEI P20 Pro élu «Meilleur smartphone de l’année» par l’Association Européenne de l’image et du son (EISA)

Thu, 11/29/2018 - 13:43

Le groupe HUAWEI Consumer Business Group (CBG) a récemment reçu un prix de l’Association Européenne de l’Image et du Son (EISA), groupe regroupant 55 des magazines électroniques grand public les plus respectés dans le monde.

Le HUAWEI P20 Pro a été nommé e «Meilleur smartphone EISA 2018-2019» par l’association en reconnaissance de l’engagement de HUAWEI en matière de qualité, de design et de performances, ainsi que de sa longue expérience en matière d’introduction d’appareils stylés et puissants. C’est la sixième année consécutive que HUAWEI est reconnu par l’EISA.

«Pour nous, la plus importante des récompenses est la fabrication de produits permettant aux consommateurs d’apprécier et d’expérimenter l’intelligence de nos appareils ainsi que la photographie. Le HUAWEI P20 Pro fournit une multitude de fonctions de photographie permettant de capturer et de partager les moments qui comptent le plus pour nos utilisateurs », a déclaré Li Changzhu, vice-président des activités de combinés à HUAWEI Consumer Business Group (CBG).

EISA a sélectionné le HUAWEI P20 Pro comme le meilleur smartphone de l’année en tant que «smartphone le plus avancé, innovant et techniquement supérieur», ainsi que «le compagnon idéal des utilisateurs mobiles, mais aussi un pionnier dans le domaine de la photographie mobile».

La révolutionnaire Leica Triple Camera sur le HUAWEI P20 Pro affiche le nombre total de pixels le plus élevé de tous les appareils photo pour smartphones du marché. En outre, il prend en charge le zoom optique 3x et le zoom hybride 5x, ainsi que des fonctionnalités innovantes, notamment le système de stabilisation d’image AI HUAWEI.

Le design élégant du HUAWEI P20 Pro présente de toutes nouvelles couleurs dégradées. Aussi grâce au micro-processeur doté de l’intelligence artificielle qui permet une expérience douce et rapide.

Les caractéristiques exceptionnelles de l’appareil photo permettent une photographie de qualité supérieure en basse luminosité, ce qui en fait l’un des rares appareils capables de prendre des photos en pose longue réussies sans trépied, grâce à la technologie AI exclusive de HUAWEI. De plus,  sa batterie de 4 000 mAh place le HUAWEI P20 Pro parmi les smartphones les plus intéressants en termes d’autonomie. Le HUAWEI P20 Pro représente «une combinaison gagnante de performances, d’optiques et de design», a noté EISA.

Les membres d’EISA regroupent des experts médias couvrant tout le spectre de l’électronique grand public de 27 pays. Chaque membre contribue à un ou plusieurs des six groupes d’experts de l’EISA, aux connaissances en termes de photographie, des appareils mobiles, chaînes hi-fi, home-cinéma, les téléviseurs grands écrans et l’électronique embarquée. Chaque année, les membres de l’EISA proposent une liste de produits qu’ils considèrent comme des artistes hors pair dans chacun de ces groupes d’experts. Les candidatures sont ensuite présentées à l’AGA de l’EISA, au cours de laquelle les membres mènent une délibération approfondie avant de voter pour le gagnant de chaque catégorie.

Le prix a été remis à HUAWEI lors de la cérémonie de remise des prix EISA lors de l’IFA Berlin le 31 août 2018.

À propos de Huawei Consumer Business Group (CBG) Huawei Consumer Business Group (CBG) est l’un des trois groupes d’activités de Huawei, proposant une gamme de produits comprenant des téléphones portables, des appareils portables, des tablettes et des ordinateurs portables. Les produits et services de Huawei sont disponibles dans plus de 170 pays et sont utilisés par un tiers de la population mondiale, se classant au troisième rang mondial des envois de téléphones mobiles en 2016. La croissance d’une année sur l’autre se reflète dans la montée en puissance de Huawei en tant que marque premium mondialement reconnue. En 2017, Huawei a été désignée numéro 49 parmi les 100 marques les plus précieuses au monde par BrandZ, numéro 88 dans les marques les plus précieuses de Forbes et numéro 40 sur la liste des 500 marques les plus précieuses de Brand Finance. Au classement Fortune 500 de cette année, HUAWEI a grimpé à la 83e place de la 129e place de l’année dernière avec un chiffre d’affaires de 78,51 milliards de dollars, ce qui en fait pour la première fois la première place mondiale. En tant que société technologique de premier plan, Huawei investit une part importante de son chiffre d’affaires annuel dans la recherche et le développement et a créé 16 centres de recherche dans le monde entier. Le Centre de recherche en esthétique Huawei à Paris fait partie de ces installations. Le plus récent centre de R & D de Huawei est le Max Berek Innovation Lab de Wetzler, en Allemagne, où Huawei et Leica étudient conjointement des technologies permettant d’améliorer la qualité de l’appareil photo et des appareils mobiles.

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Coupe Arabe des Clubs Champions: Ooredoo félicite le Mouloudia d’Alger suite à sa qualification aux quarts de finale

Thu, 11/29/2018 - 12:10

Suite à sa précieuse victoire lors du match retour des huitièmes de finale de la Coupe Arabe des Clubs Champions face au Nasr saoudien, disputé le mercredi 28 novembre 2018 à Alger, Ooredoo, Sponsor officiel du Mouloudia Club d’Alger (MCA), adresse ses chaleureuses félicitations aux joueurs et au staff technique et administratif du Doyen.

Dans son message de félicitations au Mouloudia d’Alger, le Directeur général de Ooredoo, M. Abdullatif Hamad Dafallah, a déclaré : « Ooredoo est heureuse de ce nouvel exploit des Champions Mouloudéens et les félicite pour cette qualification amplement méritée aux quarts de finale de la Coupe Arabe des Clubs Champions. Cette deuxième victoire du Doyen face au club saoudien confirme l’énorme potentiel des joueurs algériens et la force de l’équipe et sa suprématie au niveau arabe. Ooredoo réitère son engagement dans le soutien au sport national et sa fierté d’accompagner les grands clubs sportifs algériens qui honorent le football national en portant le drapeau algérien très haut dans les compétitions footballistiques régionales et continentales. »

A la veille de cette rencontre, une délégation de Ooredoo, à sa tête le Directeur général, a effectué une visite de courtoisie au centre d’entrainements du Mouloudia Club d’Alger afin d’encourager les joueurs de l’équipe. Une délégation de Ooredoo a également assisté au match au stade du 5 Juillet. Dans le même cadre, une campagne de communication d’encouragement au Doyen a été diffusée à travers les journaux sportifs.

Pour rappel, Ooredoo a signé en octobre dernier un contrat de sponsoring avec le MCA dans le cadre de la mise en œuvre de sa stratégie de soutien au football national.

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Construction d’une usine de polypropylène en partenariat avec sonatrach : La Turquie investit 1,2 milliard de dollars

Thu, 11/29/2018 - 12:10

Après la raffinerie d’Augusta acquise récemment en Italie, Sonatrach pousse les feux en Turquie avec, comme perspective quasi garantie, l’implantation d’une usine de polypropylène sur le sol turc.

Le conglomérat turc Ronesans Holding et la compagnie algérienne Sonatrach vont investir plus d’un milliard de dollars dans la construction d’une usine de polypropylène en Turquie. L’installation sera construite dans la zone industrielle de Ceyhan, dans la province d’Adana au sud de la Turquie. C’est pour la première fois que le montant d’investissement du groupe Sonatrach en Turquie a été annoncé. Il a été donné, hier, par le président de Ronesans Holding, Erman Ilicak, et qui porte sur un investissement de 1,2 milliard de dollars au total, rapporte l’agence Reuters. Le contrat avec le partenaire turc sera signé “dans un avenir proche”, à en croire le patron du groupe Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kadour. “Nous sommes bien avancés dans nos discussions avec le partenaire turc, et je crois que nous allons signer, incessamment avec le partenaire turc pour la réalisation d’une unité de propylène en Turquie”, a précisé
M. Ould Kaddour dans un point de presse tenu à l’issue de la cérémonie de signature d’un contrat entre une filiale de Sonatrach et le britannique Petrofac pour l’augmentation des capacités de production du gaz des champs de Tinhert. Après la raffinerie d’Augusta acquise récemment en Italie, Sonatrach pousse les feux en Turquie avec, comme perspective quasi garantie, l’implantation d’une usine de polypropylène sur le sol turc. La compagnie publique des hydrocarbures continue ainsi de réorienter ses activités vers l’international. Cet investissement permettra au groupe d’Abdelmoumen Ould Kaddour de réduire ses importations des produits propylènes en provenance notamment de la Chine. Le projet turc de Sonatrach acte par la même la volonté du groupe d’accélérer sa stratégie d’internationalisation avec, comme premier élément de conquête, l’acquisition de la raffinerie Augusta en Italie, la création d’une joint-venture dédiée au négoce international et à la commercialisation de produits raffinés, l’ouverture de l’activité de l’exportation de gaz naturel aux partenaires étrangers et l’investissement dans une plateforme de production de polypropylène en Turquie. Ces investissements illustrent en tout cas la conviction de Sonatrach que seuls les investissements à l’international pourraient compenser, en partie, la chute des revenus du pays en devises conséquemment à la baisse des cours du brut sur le marché international. La stratégie de Sonatrach, équilibrée entre la réduction des importations de certains produits qui seront fabriqués dans ses installations à l’étranger et conquérir des marchés extérieurs dans le domaine du raffinage et des produits pétroliers, semble gagnante, du moins sur papier. Dans son projet en Turquie, en association avec Ronesans, Sonatrach sera actionnaire avec 30% et fournira la charge qui est de 450 000 tonnes de propane pour l’unité. Un mémorandum d’entente avec la société turque a été signé en août 2017 pour la réalisation d’une étude de faisabilité sur un projet d’installation de déshydrogénation du propane en Turquie. En tout cas, l’appétit de Sonatrach pour la pétrochimie n’a jamais été aussi féroce, notamment à l’international où le groupe a été jusqu’ici quasi absent, à l’heure où nombre de sociétés nationales d’hydrocarbures accéléraient dans les acquisitions et les joint-ventures à même de peser sur l’échiquier mondial de produits raffinés.

Ali Titouche

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Université de Tizi Ouzou: Plaidoyer pour la réorganisation de l’enseignement de tamazight

Thu, 11/29/2018 - 12:01

«Vers une didactique des langues maternelles : quel impact sur l’enseignement de tamazight et sa promotion ? Quel est le rôle du numérique pour favoriser sa diffusion ?» est le thème du colloque qui se tient depuis hier et se poursuivra aujourd’hui à l’Université de Tizi Ouzou (UMMTO).

Durant cette rencontre, la onzième du genre qu’organise le CNLPET, centre national linguistique pédagogique de l’enseignement de tamazight, les spécialistes en sciences du langage et des didacticiens issus des universités algériennes sont invités à réfléchir sur les bonnes pratiques pédagogiques et didactiques les mieux adaptées pour l’enseignement de tamazight, en tenant compte des données sociolinguistiques inhérentes au champ linguistique amazigh, en particulier, et algérien en général, tout en considérant le facteur neurolinguistique propre à l’apprentissage des langues maternelles et secondes.

«L’idée de ce colloque est de faire réfléchir les acteurs scientifiques dans les départements universitaires chargés de l’enseignement de tamazight et les autorités (MEN et MESRS) sur la nécessité de réorganiser le cursus de formation des formateurs de manière à prendre en charge les différentes variantes linguistiques de tamazight qui ne sont pas prises en charge actuellement», dira le Pr Dourari, directeur du CNLPET qui préconise non pas de faire table rase de l’expérience de l’enseignement de tamazight tel que pratiqué jusque-là sur le territoire national mais d’y apporter les adaptations et les correctifs nécessaires qui ne mettent pas de côté la réalité et les besoins des locuteurs et des apprenants qui ont en commun l’usage de tamazight avec ses différentes variantes.

«L’Etat algérien a le devoir de travailler pour la formation des formateurs en tamazight pour l’école et l’administration dans les différentes variantes de cette langue, tout en faisant un travail dans le sens de la convergence linguistique (standardisation) étalé sur le long terme», préconisera le directeur du CNLPET, rappelant que «le législateur a raison de mentionner que tamazight a été consacré langue officielle dans ses différentes variantes et non pas dans une seule forme (…) la pluralité des variantes implique des approches didactiques différentes et adaptées à chacune des ces variantes», expliquera Pr Dourari qui met l’accent sur les considérations neurolinguistiques, à savoir les facteurs d’efficacité d’attractivité et de motivation à susciter chez l’apprenant de cette langue.
S. A. M.

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Bouira: Piquet de grève des travailleurs de la DSP

Thu, 11/29/2018 - 12:00

Hier matin, une vingtaine de travailleurs du siège de la DSP de Bouira ont observé sur les lieux, un piquet de grève de deux heures pour protester contre certaines décisions de la directrice, qu’ils jugent excessives à leur égard. Et justement, l’action d’hier est venue après le refus de la directrice d’autoriser les travailleurs affiliés au Snapap de participer à une action de wilaya prévue par ce syndicat pour ce jeudi.

D’après le représentant de cette section installée récemment au niveau du siège de wilaya du Snapap, le refus de la directrice de leur donner l’autorisation pour organiser leur assemblée au sein du siège de la direction les a poussés à faire cette réunion au niveau du siège de wilaya du Snapap en présence d’un huissier de justice. Or, après cette assemblée au cours de laquelle la section syndicale Snapap de la DSP de Bouira a été installée, et après que la directrice eut été destinataire du P-V d’installation de cette section, par voie postale après son refus d’accepter le P-V par voie de huissier, celle-ci vient de leur signifier qu’elle ne reconnaît pas cette section pour la simple raison que celle-ci a été organisée en dehors des structures de direction de la santé.

Et justement, lors de notre entrevue sur ce sujet avec la directrice de la DSP, celle-ci a avancé les mêmes raisons qui l’ont poussée à ne pas reconnaître cette section syndicale puisque, selon elle, les textes de loi sont clairs : la section syndicale doit être installée et l’assemblée organisée à l’intérieur des structures de la DSP et ce n’est pas le cas.
En somme, un imbroglio puisque les travailleurs disent que c’est suite au refus de la directrice de les autoriser à organiser cette assemblée qu’ils se sont rabattus sur les locaux du Snapap, mais la directrice nous affirme le contraire, soutenant qu’elle n’a jamais refusé aux travailleurs de s’organiser et de s’affilier avec quelque syndicat que ce soit, pourvu que celui-ci soit reconnu par l’Etat. Cela étant, outre ce problème, les travailleurs et les travailleuses rencontrés lors de ce piquet de grève se disent lésés et subissent, pour certains d’entre eux, des pressions de la part de cette responsable.

Sur ce point, la directrice qui indique que les grévistes représentent une minorité sur la soixantaine de travailleurs qui exercent au niveau de la direction, rappelle qu’elle ne fait qu’appliquer les lois et qu’elle n’a jamais lésé quiconque dans son salaire, ni défalqué un centime de sa paie.
Quant à certaines décisions prises par ses soins comme le refus d’accepter un congé de décès d’un parent pour quelqu’un qui est en congé annuel, ou le fait de transférer un autre de son poste vers un autre poste de même catégorie, cela relève de ses prérogatives.
Mais malgré toutes ces réponses, les grévistes persistent sur le fait que leur directrice fait des pressions insupportables sur certains employés, alors que d’autres, ceux qui sont affiliés à un autre syndicat, l’UGTA en l’occurrence, sont plutôt choyés.
Y. Y.

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