Buteur sur penalty contre Levante (1-0), Antoine Griezmann a marqué pour le cinquième match d’affilée avec l’Atlético Madrid, permettant aux «Colchoneros» de revenir provisoirement à deux points du leader Barcelone, hier pour la 19e journée du Championnat d’Espagne.
Dans un match serré au stade Metropolitano, l’Atlético a profité d’une main adverse dans la surface pour obtenir un penalty, que Griezmann a transformé en force (57e), inscrivant son 9e but cette saison en Liga. C’est aussi son sixième but sur ses cinq derniers matchs toutes compétitions confondues, une période où le Français a été l’unique buteur de son club. La nouvelle année n’a pas altéré les bonnes habitudes de l’Atlético, toujours invaincu cette saison à domicile. Et Levante, qui avait battu le Real en octobre et vient de dompter le Barça en huitièmes aller de Coupe du Roi (2-1), n’a pas changé cette dynamique. Malgré la température glaciale, le Metropolitano était bien garni sous le soleil de l’hiver madrilène.
Le stade a vivement conspué l’arbitre en première période lorsque celui-ci a annulé un but de Koke pour une faute préalable (11e), après recours à l’assistance vidéo (VAR). L’Atlético, dominateur, a alors longtemps buté sur la défense de Levante… jusqu’à une percée de Thomas Partey conclue par un centre en retrait qu’un adversaire a détourné du bras (55e). Penalty, donc, et ouverture du score de Griezmann, jusque-là peu en réussite malgré ses nombreuses occasions (5e, 35e, 40e, 41e). Ce but entretient la belle série du champion du monde, qui compte 14 buts toutes compétitions confondues cette saison et a toujours dépassé les 25 unités par an depuis son arrivée à l’Atlético en 2014.
Le seul point noir pour l’Atlético, dimanche, a été la sortie sur blessure du défenseur monténégrin Stefan Savic (8e), un nouveau contretemps alors que l’entraîneur Diego Simeone vient tout juste de récupérer le Français Lucas Hernandez (genou). Ce dernier, en manque de rythme, a été laissé en tribunes. Quant à Thomas Lemar, entré pour les 20 dernières minutes, il s’est montré trop gourmand sur une occasion en or face au gardien (86e)…
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Mardi dernier, en milieu de matinée, le Chef de l’Exécutif de la Wilaya a, a la tête d’une délégation officielle procédé a l’inauguration a Sidi Lakhdhar du 11 eme Bureau Local de la CRMA implanté sur le territoire de la wilaya, en présence des autorités civiles et militaires.
Selon l’exposé présenté par Mr Amine Naci, le Directeur de la Caisse Régionale de la Mutualité Agricole de Khemis Miliana, l’objectif l’organisme qu’il dirige est dont la date de création remonte a 1911, est d’accompagner les agriculteurs en amont et en aval du processus de production, tels que la sensibilisation, la vulgarisation, de nombreux produits d’assurance, la fourniture de services par les cadres de la Caisse, tels les ingénieurs, les vétérinaires Cependant a t il précisé pour ce qui est des assurances, le nombre d’assurés reste faible pourtant les prix sont pratiquement dérisoires.
A titre d’exemple le revenu d’un arbre d’agrumes permet d’assurer un ha du verger pendant une année, que l’assurance ne coute que 2000 DA/an pour un ovin et 10000 pour un bovin avec un rabattement de 40 % pour les sociétaires, que l ‘assurance d’un ha de céréales ne coute que 800 DA/an, celui d’un ha d’agrumes n’est que de 10 000 DA/an, en plus du paiement a terme ou en fin de campagne et même avec un échéancier. Notre interlocuteur précise que le paiement des indemnisations est accéléré Le responsable a tenu a préciser aussi que le but de la CRMA n’est pas d’engranger des bénéfices comme d’autres organisme, mais de développer les actions de mutualité entre les agriculteurs en général et entre les mutualistes principalement tout en ajoutant que le Conseil d’Administration est composé majoritairement de personnes issues du monde agricole et d’ agriculteurs actionnaires A l’actif de la Caisse Régionale on signale que la Caisse a vu son chiffre du montant des cotisations est passé de 22 milliards en 2014 a plus de 31 milliards de Cts en 2018, c’est dire que la CRMA a bien le vent en poupe.
M. Abdenacer Ait Amalou, Directeur Central au niveau de la CNMA (Caisse Nationale), présent pour la circonstance a saisi l’occasion pour évoquer la création de la Maison du Fellah créée a Khenchla et opérationnelle depuis 2 ans Cette structure a t il expliqué offre des services gratuitement aux agriculteurs, de Khenchla et a ceux des 4 wilaya environnantes, Tébessa, Souk Ahras, Batna, Oum El Bouagui. En autres services elle offre la formation, l’information par des experts, les services d’une clinique vétérinaire. un laboratoire en voie de lancement Partant de cette expérience, Mr Ait Amalou formule l’espoir que de tels organismes soient créés dans d’autres régions du pays.
Il a indiqué en outre que 67 Caisses de Mutualité Agricole sont implanté dans chacune des 48 Wilaya du pays et 500 bureaux locaux même a Bordj Badji Mokhtar et cette présence de proximité maximum avec les agriculteurs va se poursuivre a t il poursuivi. Pour l’heure, M. Adenacer Ait Amalou , le Directeur central de la CNMA a fait savoir que le montant des cotisations des adhérents a atteint a la fin de l’exercice 2017 quelques 13 milliards DA.
Karim O.
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Le renforcement de la couverture sécuritaire au niveau de la nouvelle ville Ali-Mendjeli s’inscrit parmi les priorités des autorités locales et sécuritaires de la wilaya. A cet effet, la Sûreté de wilaya annonce l’inauguration et la mise en service aujourd’hui, de la 10e Sûreté urbaine extra-muros au niveau de l’unité de voisinage n°2.
S’inscrivant dans le cadre de la stratégie de la police de proximité, cette nouvelle structure permettra d’améliorer la couverture sécuritaire dans la nouvelle ville d’Ali-Mendjeli, longtemps classée comme zone sensible qui exige une assistance intégrée particulière. A noter l’amélioration sensible de la couverture sécuritaire ces dernières années, et notamment après l’installation d’une brigade de répression du banditisme (BRB), implantée à l’unité de voisinage (UV) 5 en 2016, dont le rôle était de renforcer la sécurité dans cette agglomération en constante expansion démographique. Cette structure de sécurité est venue s’ajouter aux 4 Sûretés urbaines déjà opérationnelles dans cette ville, ainsi qu’une Sûreté de daïra et une brigade mobile de la police judiciaire (BMPJ).
Pour ce qui est de la nouvelle structure mise en service à partir d’aujourd’hui, elle portera le nombre de ce genre de structures sécuritaires à 10 Sûretés urbaines dans cette vaste agglomération qui totalise 20 unités de voisinage (UV), et plus de 400 000 habitants et dont l’objectif serait de doter la nouvelle ville de 12 Sûretés urbaines.
Ainsi, une attention particulière a été accordée à la nouvelle ville Ali-Mendjeli qui figure parmi les zones les plus sensibles de la wilaya au vu du nombre considérable de citoyens qui y résident et qui y transitent quotidiennement, ce qui a incité les pouvoirs à élaborer un plan de sécurité «spécial Ali Mendjeli» dans le cadre de la stratégie nationale de consécration de la police de proximité.
Il est à rappeler la série d’affrontements entre jeunes qui se sont produits entre la fin de l’année 2014 jusqu’à mi-2015, à l’unité de voisinage (UV) n° 14. Ce sont ces événements qui avaient contraint les services de police d’opter pour un nouveau mode opératoire favorisant le contact et la communication avec la population pour apaiser les esprits, et dans une étape ultérieure, prévenir les comportements violents. Aujourd’hui l’UV 14, qui était synonyme de violence et d’agressivité, est devenue un endroit apaisé et les séquelles de la violence ont été oubliées. A ce titre, la Sûreté urbaine opérationnelle sur les lieux n’enregistre plus de grandes affaires liées à la violence, avec le retour du calme dans ce segment précis d’Ali-Mendjeli.
Ilhem Tir
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Un «menteur», une «vraie ordure», un «flic véreux» : Donald Trump s’en est violemment pris samedi à l’ancien directeur du FBI James Comey après de nouvelles révélations du New York Times sur l’ouverture en 2017 d’une enquête de la police fédérale pour déterminer s’il travaillait pour le compte de la Russie.
«Wow, je viens d’apprendre dans le défaillant New York Times que les anciens dirigeants corrompus du FBI, presque tous limogés ou forcés à quitter l’agence pour de très mauvaises raisons, ont ouvert une enquête sur moi, sans aucune raison ni preuve, quand j’ai viré ce menteur de James Comey, une vraie ordure! », a tweeté de bon matin le président des Etats-Unis. Selon le New York Times, l’enquête de la police fédérale américaine a été rapidement fusionnée avec celle ouverte par le procureur spécial Robert Mueller sur des soupçons de collusion entre Moscou et l’équipe de campagne du candidat républicain à l’élection présidentielle de 2016.
Le FBI a ouvert son investigation, qui comportait un volet de contre-espionnage et un volet criminel, à la suite du limogeage de son directeur James Comey par Donald Trump en mai 2017, rapporte le quotidien new-yorkais, citant des sources anonymes. Le volet contre-espionnage devait déterminer si le milliardaire avait consciemment ou inconsciemment travaillé pour Moscou, et le volet criminel portait sur le limogeage de James Comey, écrit le journal, selon lequel on ignore si les investigations sur l’aspect contre-espionnage se poursuivent actuellement. Toujours selon le New York Times, le FBI a eu des soupçons sur d’éventuels liens de M. Trump avec la Russie dès la campagne présidentielle de 2016.
Mais il n’a pas ouvert d’enquête jusqu’à ce que le président limoge M. Comey, qui avait refusé de lui prêter allégeance et de mettre fin à de premières investigations sur une éventuelle collusion avec la Russie. Contacté par l’AFP, le FBI n’a pas souhaité faire de commentaire sur le sujet. «Le FBI était en pleine tourmente (…) en raison de la mauvaise gestion de Comey à sa tête», a commenté samedi Donald Trump sur Twitter. «Mon limogeage de James Comey a été un grand jour pour l’Amérique. C’était un flic véreux», a-t-il ajouté, évoquant dans un autre tweet «les ratés qui ont essayé de (lui) jouer un tour». «C’est absurde. James Comey a été limogé parce que c’est un nullard partisan et discrédité», a renchéri la porte-parole de la Maison Blanche Sarah Sanders.
«L’idée contenue dans l’article du New York Times selon laquelle le président Trump était une menace pour la sécurité des Etats-Unis est ridicule en soi et ne mérite pas de réponse», a déclaré de son côté le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo dans un entretien à la chaîne CBS. Personnellement visé par le locataire de la Maison Blanche, l’ex-patron du FBI James Comey a répondu d’un simple tweet reprenant une célèbre citation de l’ancien président Franklin D. Roosevelt: «Je vous demande de me juger par les ennemis que je me suis fait». De telles réactions de la part du président «n’infirment en rien l’incroyable gravité de ces allégations », a dit le démocrate Jerrold Nadler, président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, dans un communiqué. «Il n’y a aucune raison pour douter du sérieux ou du professionalisme du FBI».
Cette commission judiciaire «prendra des mesures pour mieux comprendre à la fois les actions du président et la réponse du FBI à ce comportement, et pour s’assurer que ces enquêteurs de carrière soient protégés contre les attaques toujours plus outrancières de la part du président Trump», a-t-il prévenu, alors que les démocrates ont décroché la majorité à la Chambre des représentans lors des élections de mimandat en novembre. Donald Trump, qui nie catégoriquement toute collusion avec la Russie, critique régulièrement l’enquête de Robert Mueller -un ancien directeur du FBI-, qu’il considère comme une « chasse aux sorcières» et une machination visant à délégitimer sa présidence.
L’enquête russe a débouché sur de multiples inculpations et sur des condamnations de proches collaborateurs du président. Son ancien avocat Michael Cohen a été condamné à trois ans de prison, notamment pour infractions à la législation sur le financement des campagnes électorales. Paul Manafort, qui a été un temps directeur de l’équipe de campagne de M. Trump, a lui été jugé coupable de malversations financières liées à des activités en Ukraine antérieures à la présidentielle de 2016. Et Michael Flynn, ancien conseiller à la Sécurité nationale du Président, a plaidé coupable d’avoir menti aux enquêteurs sur ses liens avec des responsables russes.
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L’ADE est en passe d’atteindre son objectif pour répondre au besoin d’une population, dont le nombre ne cesse de croître.
Pour réaliser un programme plutôt ambitieux, il a fallu d’abord faire un diagnostic de l’état des lieux et engager une enveloppe conséquente pour réaliser ce programme d’une part, et l’acquisition d’équipements de qualité d’autre part. Le problème de l’alimentation en eau potable des foyers s’est amélioré ces dernières années. Le réseau d’alimentation des foyers a atteint 92%, soit 39 communes sur les 53 de la wilaya. Dans certaines localités, la distribution de l’eau ne connaît pratiquement pas de rupture, les ménages disposent du liquide précieux H24. Les 14 communes restantes sont alimentées deux à trois fois par semaine.
Selon le directeur de l’ADE, M. Houalef Bekkaï, tout le reste des communes sera intégré dans le planning de gestion de l’Algérienne des eaux (sept communes en 2019 et sept autres en 2020). La situation a connu d’importantes améliorations, et ce grâce à la réalisation des deux stations de dessalement de Honaïn et de Souk-Tlata, de forages, des moyens de transfert, ainsi que les stations de pompage de haut débit. Tout ce dispositif ultra-moderne fait l’objet d’une gestion télévisuelle reliée à un centre de données, qui, permet d’intervenir à tout moment.
La station de traitement des eaux du barrage de Sekkak, dans la commune d’Aïn Youcef dotée d’une capacité de 70.000 m3/jour, alimente tout le groupe urbain de Tlemcen (Mansourah Chetouane), Hennaya, et le sillon Terny – Béni -Snous. Dans la commune de Remchi à Sidi Ahmed, une autre station assure un débit de 160.000 m3/j, depuis sa mise en service en 2012 et couvre les besoins du groupement urbain de Tlemcen et la plaine de Remchi. Enfin, grâce à un programme de maintenance préventive, la station de Bouhlou (1952) traite plus de 100.000 m3/j et couvre les besoins d’autres wilayas, Sidi-Bel-Abbès et une grande partie de Aïn-Témouchent.
Cependant, face à cette avancée notable pour une distribution hydrique équitable de cette ressource vitale, il reste à régler un épineux problème, les anciennes conduites doivent être renouvelées, une partie du réseau ne supporte pas la pression et le débit d’eau. Mais, ceci est un autre problème, qui ne concerne pas seulement l’ADE, mais l’ensemble du secteur hydraulique.
M. Zenasni
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Le ministère de l’Intérieur ordonne le gel de l’attribution des registres du commerce pour la vente de tabac dans les librairies, les hôtels ou les parfumeries. Le département de Bédoui a également instruit les walis afin qu’ils veillent à ce que les mineurs n’aient pas accès facilement aux cigarettes.
Nawal Imès- Alger (Le Soir) – Dans une note datée du 6 janvier et signée par le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, les walis sont appelés à veiller à l’application de l’instruction relative à l’interdiction de la vente du tabac aux mineurs, à sa vente et à la publicité qui l’entoure. Le but : limiter l’accès des mineurs au tabac. Pour ce faire, le département de l’intérieur fait savoir que les modalités d’octroi des registres de commerce pour la vente du tabac seront revues dans le cadre de la révision de la nomenclature des activités commerciales.
En attendant, aucune autorisation de vente du tabac ne sera délivrée aux cafés, restaurants, hôtels, librairies, parfumeries ou autres magasins commercialisant des boissons ou autres. Il est question à l’avenir de séparer clairement entre ces activités et la vente du tabac. Le ministère de l’Intérieur appelle les walis à participer activement à la stratégie de lutte contre le tabagisme, en appliquant les textes relatifs à l’interdiction de la vente des cigarettes aux mineurs mais également de l’usage du tabac dans les espaces publics, notamment ceux fréquentés par les plus jeunes. Les lieux publics où il est interdit de fumer ont été fixés par décret. Il s’agit par principe de tous les lieux fermés et couverts affectés à un usage collectif à l’image des établissements de formation et d’enseignement, les établissements de santé, les salles où se déroulent des manifestations sportives, culturelles, scientifiques, économiques et de loisirs. A cette liste s’ajoutent les lieux de travail, les transports en commun et les établissements de santé. L’Algérie a ratifié la convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac, adoptée en mai 2003. Elle stipule clairement que la publicité pour le tabac est strictement interdite de manière directe ou indirecte.
La publicité est définie par ladite convention comme «toute forme de communication, recommandation ou action commerciale ayant pour but, effet ou effet vraisemblable de promouvoir directement ou indirectement un produit du tabac ou l’usage du tabac». Les pays l’ayant adoptée sont également tenus d’adopter et d’appliquer des mesures législatives, exécutives interdisant la vente de produits du tabac aux personnes qui sont encore mineures. Parmi les mesures préconisées, l’obligation d’afficher clairement au niveau des points de vente des avis précisant que les moins de 18 ans ne peuvent acheter des cigarettes avec la possibilité de demander une pièce d’identité en cas de doute. Force est de constater que ces mesures n’ont jamais dépassé le stade de l’intention.
N. I.
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Par suite des tensions constatées sur les équilibres financiers de l’Etat, à partir de juin 2014, la loi de Finances de 2017 avait institué un nouveau cadre budgétaire triennal plafonnant les dépenses publiques à l’effet de prévenir ou, tout au moins, limiter les tensions sur les équilibres internes, une mesures qui n’a pas cependant pas été respectée.
Accueilli, lundi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le directeur général de la prévision au ministère des Finances justifie l’actuel déficit financier, d’environ 11 milliards de dollars, par la baisse de la fiscalité pétrolière compliqué, dit-il, par des ordonnateurs qui ont mis les pouvoirs publics « devant le faits accompli », en libérant des projets censés être gelés.
M. Sidi Mohamed Ferhane explique que des suites des instructions du Premier ministre, ces dépenses, occasionnées par ailleurs par d’importantes surévaluations de projets, de l’ordre de 1.200 milliards de dinars, ont commencé à être plus strictement régulées.
De l’érosion des réserves de change du pays, s’établissant actuellement à environ 82 milliards de dollars, celui-ci considère qu’il existe encore « une marge de manœuvre », estimant que, jusqu’à 2023, l’Algérie a encore la possibilité de « remonter la pente » grâce, selon lui, aux réformes structurelles mises en œuvre au niveau du budget et du commerce extérieur, en particulier.
Les tensions sur les équilibres extérieurs et, par contre coup sur la balance des paiements, sont induits, dit-il, par les importations de marchandises et de services, ces derniers consommant à eux seuls, entre 10 à 15 milliards de dollars annuellement.
Au passage, l’intervenant signale que les transferts sociaux, qui à eux seuls consomment 3.500 milliards de dinars, ont commencé à faire l’objet d’une étude destinée à examiner les conditions de réforme et de ciblage des subventions.
Sur la base d’une enquête de l’ONS relative à la consommation des ménages, il révèle, en outre, que cette réforme devrait toucher en priorité, par le biais de taxes, les produits énergétiques, (gaz, électricité et carburants) subventionnés à hauteur de 1.700 milliards de dinars pour la seule année de 2017. Il y ajoute les autres types de transferts sociaux qu’il évalue également à environ 1.700 milliards de dinars.
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La ministre des Relations extérieures et de la Coopération internationale de la République d’Afrique du Sud, Lindiwe Sisulu, a entamé dimanche soir une visite officielle en Algérie, à l’invitation du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel.
Mme Lindiwe Sisulu, qui effectue une visite officielle de deux jours en Algérie, a été accueillie à l’aéroport international Houari Boumediene par M. Messahel.
Dans une déclaration à la presse, Mme Sisulu a indiqué que « les Algériens sont nos amis les plus proches », ajoutant qu’elle se réjouissait des discussions qu’elle aura lundi avec son homologue M. Messahel.
Cette visite qui s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de fraternité, d’amitié et de coopération qui existent entre les deux pays, permettra aux deux ministres de procéder à une évaluation de l’état des relations bilatérales et de dégager de nouvelles perspectives de partenariat, en vue de les porter au niveau des relations politiques privilégiées qu’entretiennent l’Algérie et l’Afrique du Sud.
Dans le cadre de la coordination et de la concertation permanente entre les deux pays, « les deux ministres s’entretiendront également sur de nombreuses questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment à la veille d’importantes échéances dont la réunion ministérielle Union africaine – Union européenne prévue à Bruxelles les 21 et 22 janvier, ainsi que le 32ème Sommet de l’Union africaine, qui se tiendra les 10 et 11 février 2019 à Addis-Abeba ».
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L’athlète algérien Abed El-Hachemi a remporté la 6e édition du Marathon international des oliviers de Sfax (42 km), organisée dimanche à Sidi Mansour en Tunisie.
Quelque 400 athlètes originaires de dix pays ont pris part à ce marathon international, toutes épreuves confondues, a rapporté dimanche soir l’agence de presse tunisienne TAP, précisant que les participants ont disputé quatre épreuves, à savoir la course de 5 km, la course de 10 km, un semi-marathon de 21 km et le marathon de 42 km.
Dans l’épreuve féminine, la Tunisienne Chefia Hendaoui a gagné le marathon. Le semi-marathon de 21 km a été remporté par les tunisiens Mohamed Kébili chez les messieurs et Nada Omri chez les dames.
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L’ancien chef de gouvernement, Mouloud Hamrouche, brise un long silence, quasiment de cinq années, et livre son analyse de la situation générale du pays, en cette conjoncture politique si particulière. L’homme le fera toutefois à sa manière, via une très longue contribution, publiée par le quotidien El Watan, dans son édition d’hier. «De l’Etat et de la gouvernance», tel est l’intitulé du texte produit par Mouloud Hamrouche.
Kamel Amarni – Alger ( Le Soir) – Sous des dehors d’un travail académique et intellectuel sur les notions de l’Etat, de la gouvernance et du pouvoir en Algérie, cette contribution de l’ancien chef de gouvernement est, en fait, un réquisitoire sans états d’âme, contre Abdelaziz Bouteflika, son bilan et son mode de gouvernance. L’on peut, ainsi, à loisir, y déceler une multitude d’allusions qui ne souffre aucune ambiguïté.
Parlant par exemple de l’évolution des Etats nations en Europe, Hamrouche écrira que «ce modèle d’Etat-nation avait libéré les peuples d’Europe de l’acte d’allégeance à des monarchies divines (…) Cette transmutation a permis aux citoyens de faire acte de fidélité à la communauté nationale, à l’Etat national de leur pays, à sa Constitution et non plus à ses dirigeants ou gouvernants». Il n’y a qu’à voir le comportement et la mode à la glorification quotidienne de Bouteflika, de son programme et de son bilan, chez le personnel politique, syndical et associatif du pouvoir pour saisir au vol cette allusion de Hamrouche.
«Des expériences plus immédiates d’un demi-siècle, dans notre voisinage, pays arabes et autres pays du Sud, ont démontré que tout régime qui ne s’accommode pas d’un ordre national institutionnel, de contre-pouvoir et surtout de contrôle ne peut pas résister aux conjonctures et aux tempêtes, ni lui, ni son armée, ni son peuple. Faute de volonté souveraine exercée en interne et incarnée par un Etat national et un gouvernement comptable.» Et, comme s’il s’adressait directement à l’actuel locataire d’El-Mouradia, l’ancien chef de gouvernement ajoutera : «Ce sont toutes ces raisons qui font que l’Etat et la gouvernance nationale sont deux notions et deux problématiques distinctes.
Pour l’Etat et des hommes d’Etat, il n’y a que des missions et des devoirs, point de pouvoir ( …) L’Etat national sanctionne le crime d’Etat ou le crime constitutionnel parce que ce sont des crimes contre l’Etat que ses fondés avaient commis ou n’ont pas su éviter. L’Etat protège ses serviteurs et ses commis. Et c’est la raison pour laquelle aucun pouvoir et/ou aucune fonction d’autorité de l’Etat ne s’exerce dans l’anonymat, sans habilitation, sans autorisation, sans vérification et sans contrôle a priori et a posteriori. C’est aussi pour que l’Etat ne soit jamais privatisé au profit d’un groupe, un intérêt, une secte ou une influence quelconque.»
C’est exactement ce que reproche l’opposition depuis des années. «Tout pouvoir de secte, d’ombre, ou d’influence non identifiée qui échappe à tout contrôle est une menace traîtresse contre l’Etat (…).» L’ancien chef de gouvernement de Chadli Bendjedid plaide pour la construction d’un Etat moderne, un Etat de droit et estimera, encore, histoire d’enfoncer davantage le clou, qu’en l’état actuel de l’évolution de l’humanité, «aucun humain ne peut plus prétendre être cet Etat ni l’incarner par lui-même.
Encore moins pour lui-même, son groupe ou un groupe d’intérêt particulier. Même si le chef de l’Etat légitime est fondé à l’étranger pour manifester une souveraineté nationale face aux autres souverainetés d’Etat et non face à d’autres pouvoirs». Candidat à la présidentielle d’avril 1999, Mouloud Hamrouche, qui avait dû quitter son poste de chef de gouvernement, en juin 1991, à la suite de la dégénérescence de la situation provoquée par la grève de l’ex-FIS, estime, par ailleurs, que l’armée devrait, dans tous les cas de figure, ne pas trop s’impliquer dans des joutes politiques au risque de perdre de sa capacité opérationnelle.
K. A.
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Suite à un échange houleux, un homme a tué son collègue de travail et ce car il a critiqué l’Algérie devant des personnes d’origine étrangère, rapporte le site d’information ALG24.
L’accusé, M.Khaled, et la victime, B . Djillali, travaillaient dans un grand chantier de construction de logements. Lors d’une discussion concernant la situation politique du pays et les conditions de vie des Algériens, la victime a critiqué l’Algérie devant des étrangers. Suite à ça, son collègue s’est emparé d’un outil en métal puis lui a asséné deux coups sur la tête. Ces coups ont provoqué une fracture du crâne, et B. Djillali a rendu l’âme 10 minutes plus tard, ajoute le média.
Lors de son procès qui s’est ouvert au tribunal criminel de Dar El beida, l’accusé a avoué les faits qui lui sont reprochés, tout en précisant qu’il n’avait pas l’intention de tuer son collègue et que selon lui, il a été victime d’une « provocation ». M. Khaled a été condamné à 18 ans de prison ferme.
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Vieilles pour certaines parmi elles de plus de 16 siècles, les djeddars de Frenda, 13 « pyramides » érigées sur deux collines voisines dans le nord de l’Algérie, gardent de nombreux secrets pour les chercheurs.
Seules certitudes: ces 13 édifices de pierre à base carrée et à élévation pyramidale à degrés, uniques en Algérie et au Maghreb, semble avoir servi de monuments funéraires construits entre le 4ème et le 7ème siècle près de Tiaret, à 250 km au sud-ouest d’Alger, note l’agence AFP qui leur consacre un long papier.
Les avis divergent sur ceux qui y furent inhumés, probablement des dignitaires. A l’époque, des rois berbères régnaient dans la région sur de petites principautés dont l’histoire est mal connue et dont il reste peu de traces.
Ces 13 pyramides ont été construites au cours d’une période de trois siècles à une époque de profonds bouleversements dans le nord de l’Algérie, qui était alors la Numidie romaine : déclin de l’Empire Romain d’Occident, invasions Vandales puis Byzantines et début de la conquête Arabe.
Ces djeddars monumentaux, s’élevant jusqu’à 18 mètres de hauteur et une base variant de 11,5 m à 46 m de côté, sont érigés sur deux collines distantes de 6 km près de Frenda, les trois plus anciens sur le djebel Lakhdar et les dix autres sur le djebel Araoui.
Tous ces monuments renferment une ou plusieurs pièces (jusqu’à 20 pour le plus grand) reliées par un système de galeries, dont des chambres funéraires, donnant à penser à des sépultures collectives. Certaines pièces sont dotées de banquettes et seraient de possibles lieux de culte funéraire, selon certains chercheurs.
Les linteaux de pierre des portes intérieures sont sculptés de motifs traditionnels des édifices Chrétiens (rosaces, chevrons…) mais aussi de scènes de chasse ou de figures animales. Les inscriptions – probablement latines – sont en trop mauvais état pour être interprétées; certains chercheurs y ont vu des caractères grecs, ce que d’autres contestent.
« La particularité de ces djeddars est avant tout la date de leur construction », qui en fait les derniers monuments funéraires érigés en Algérie avant l’arrivée de l’islam et la fin de ce type de construction, relève Rachid Mahouz, archéologue préparant depuis cinq années une thèse de doctorat consacrée à ces pyramides.
La construction de ces dernières est postérieure de plusieurs siècles à celle des autres imposants monuments funéraires pré-islamiques recensés dans le nord de l’Algérie, à l’exemple du Medracen, mausolée numide (3ème siècle av. JC), le tombeau de Massinissa, premier roi de la Numidie unifiée (2ème siècle av. JC) et le Mausolée royal Maurétanien (dénommé « Tombeau de la Chrétienne », 1er siècle av. JC).
La plus ancienne description écrite connue des djeddars est celle de l’historien Ibn Rakik, au 11ème siècle, rapportée au 14ème par Ibn Khaldoun, grand penseur Maghrébin de l’époque. Mais durant des siècles, ces monuments situés dans une région peu peuplée n’ont intéressé personne et ont abandonnés à l’usure du temps et aux pillards.
Ce n’est qu’au 19e siècle, avec les premières fouilles archéologiques modernes que les djeddars ont commencé à susciter l’intérêt des chercheurs.
Il faut attendre les travaux de l’archéologue Algérienne Fatima Kadra – décédée en 2012 ? laquelle étudia en profondeur, à la fin des années 60, les trois djeddars les plus anciens et les seuls fouillés depuis l’indépendance de l’Algérie, contribuant à améliorer considérablement leur connaissance.
Le pillage et la détérioration des djeddars au fil du temps compliquent la tâche des chercheurs. Certains, effondrés, n’ont jamais été fouillés, faute de pouvoir accéder à l’intérieur, et pourraient encore renfermer des restes, estime l’archéologue Rachid Mahouz.
« Les archives Françaises sur les djeddars ne sont pas disponibles et les objets et ossements trouvés dans certains parmi eux à l’époque coloniale ont été emportés en France », regrette-t-il.
Enfant de la région, il déplore le manque de recherches consacrées à ces « merveilles », alors que l’archéologie n’a commencé à être enseignée qu’au début des années 1980 à l’université Algérienne, mais sans qu’aucun spécialiste en monuments funéraires ne soit formé.
Ces monuments figurent au patrimoine national Algérien depuis 1969. Les autorités et archéologues du pays souhaiteraient les faire inscrire sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco, ce qui permettrait de mieux les préserver et les étudier. Le Centre national pour la recherche préhistorique,anthropologique et historique (CNRPAH) prépare depuis plus d’un an le dossier à soumettre à l’Unesco, lequel devrait être déposé « durant le premier trimestre de l’année 2020 », a indiqué fait savoir le ministère de la Culture.
En attendant, recherches et efforts de conservation se poursuivent. A Frenda, une vingtaine d’étudiants en archéologie et leurs professeurs s’affairent autour d’un des plus anciens djeddars, y relèvant et répertoriant les dégradations, nettoyant à la brosse et à l’eau, les symboles gravés sur certaines pierres ensuite mesurées. Une opération minutieuse qui peut prendre deux heures pour chaque inscription.
Pour Mustapha Dorbane, professeur à l’Institut d’archéologie d’Alger, il est important de préserver ce patrimoine, « un legs ancestral d’une valeur inestimable ».
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Par Chaabane BENSACI
«Ces attaques lâches et la répétition délibérée de ces provocations dangereuses montrent la réalité de ce que fait Israël, qui n’est pas différente des actions de l’EI et du Front Al-Nosra affilié à Al-Qaïda», a déclaré le MAE syrien.
Le ministère syrien des Affaires étrangères a qualifié, samedi dernier, les attaques israéliennes qui ont ciblé Damas d’«actions qui ne sont pas différentes de celles du groupe terroriste autoproclamé état islamique (EI – Daesh). C’est ce qu’a rapporté l’agence de presse officielle syrienne Sana. Ces remarques ont été transmises dans des lettres que la Syrie a adressées à l’ONU afin de protester contre une énième agression israélienne à coups de missiles, tirés sur des sites militaires syriens dans la capitale, par des avions qui violent en outre systématiquement l’espace aérien libanais, ainsi que l’a dûment constaté et dénoncé la mission onusienne d’observation au sud-Liban.
«Ces attaques lâches et la répétition délibérée de ces provocations dangereuses montrent la réalité de ce que fait Israël, qui n’est pas différente des actions de l’EI et du Front Al-Nosra affilié à Al-Qaïda», a déclaré le ministère syrien qui a en outre fortement insisté sur le soutien des états-Unis aux dépassements de l’état hébreu qui continue à fouler allègrement la légalité internationale et à perpétrer un «terrorisme d’Etat (…) qui menace la paix et la sécurité dans la région en toute impunité». Le MAE syrien a ainsi mis le Conseil de sécurité devant ses responsabilités et lui demande de prendre les mesures qui s’imposent pour faire cesser de telles agressions. Il y a fort à parier que l’impuissance, devenue proverbiale, de cette instance, dès lors qu’il s’agit d’Israël, sera encore de mise même si le Premier ministre israélien a reconnu en personne cette nouvelle attaque en pleine réunion du Conseil des ministres.
Par ailleurs, plus de 600 personnes ont été évacuées samedi hors du dernier bastion du groupe terroriste autoproclamé Etat islamique (EI/Daesh), dans la province de Deir Ezzor, à l’est de la Syrie, au moment où les Forces démocratiques syriennes (FDS) sont en train de préparer un ultime assaut dans ce secteur. C’est du moins ce qu’indique l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) qui précise que plusieurs dizaines d’éléments armés se trouvaient aussi parmi les personnes évacuées vers des zones à moindre risque.
L’OSDH évalue l’ensemble des évacués à quelque 16 000 personnes dont 760 combattants kurdes et arabes des FDS dans une opération qui a débuté en décembre dernier.
L’observatoire relève en outre que, pour la première fois, les forces kurdes ont utilisé des bus pour cette évacuation de civils et de combattants dans une zone où Daesh reste particulièrement dangereux.
En témoigne la fuite de plus de 25 000 personnes qui ont quitté l’est du pays pour ne pas être pris dans l’étau des affrontements entre Daesh et les forces qui le combattent, sans compter les groupes armés extrémistes qui prétendent garder la maîtrise de leurs bastions. Tous ces réfugiés sont dans des camps de fortune, confrontés aux aléas climatiques difficiles et à des manques sévères de nourriture et de médicaments.
Chassé de Hajine et d’Al Chaafa, les terroristes de l’EI contrôlent encore les bourgades de Soussa et Baghouz, malgré les bombardements continus de la coalition internationale et les frappes des armées syrienne et irakienne qui encerclent ces positions.
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Les cas d’intoxication alimentaire ont reculé en 2018 à Alger, avec 215 cas ( 44 cas d’intoxication collective et individuelle) enregistrés au niveau des restaurants, fast-food et lors des fêtes de mariage, par rapport à 2017 où 385 cas avaient été recensés, a indiqué, dimanche, le Chef de service de prévention à la Direction de la santé de la wilaya d’Alger (DSP).
Quelque 215 personnes ont été victimes d’intoxication alimentaires collectives, en 2018 (janvier-décembre), et ce suite à la consommation de produits périssables à Alger, a indiqué à l’APS , le docteur Aittouares Boudjemaâ, précisant que ces cas avaient été pris en charge à travers les structures de santé pour éviter toute complication.
Tout en rassurant qu’aucun cas de décès n’est à déplorer, le même responsable a expliqué que le recul constaté dans le nombre de cas d’intoxication en 2018, revenait à l’efficacité des campagnes de sensibilisation qui renferment des conseils aux consommateurs, en vue de les avertir des risques d’intoxication et aussi à la culture de « sécurité alimentaire ».
Ces campagnes, rappelle-t-on, sont organisées par le ministère de la Santé, en coordination avec les différents secteurs, à travers les différents espaces publics, instituts universitaires et autres.
Précisant que plusieurs cas d’intoxication alimentaire individuelle » préfèrent recourir à l’automédication et ne consultent pas le médecin qu’en cas d’apparition de complications, » Dr. Boudjemaâ a souligné que le plus grand nombre d’atteintes par intoxication alimentaires, a été enregistré au niveau des restaurants et lors des occasions, telles que les cérémonies de mariage et lors de la saison estivale.
M. Boudjemaa a mis l’accent sur la nécessité de respecter la température et la chaîne de froid pour chaque aliment, cuit ou cru, le stockage selon les normes en vigueur, outre l’hygiène des cuisines, des ustensiles et de la tenue des travailleurs et des chefs-cuisiniers qui sont tenus de porter des gants.
Certains commerçants ne se conforment pas aux normes et conditions de conservation, de la chaîne de froid et de l’hygiène sanitaire, au vu des plats servis aux clients, causant ainsi des intoxications, a-t-il ajouté, appelant les consommateurs à faire preuve de vigilance lors de la consommation des plats, notamment ceux qui sont vendus sur les marchés populaires et qui sont loin d’être contrôlés et dont les normes de conservation et de stockage sanitaire font défaut.
Le même intervenant a également souligné que la Direction du commerce participe au même titre que les bureaux d’hygiène, au niveau de l’ensemble des communes d’Alger, lesquelles sont également composées d’éléments des directions du Commerce et d’Agriculture, de médecins et de vétérinaires, en vue d’intensifier le contrôle de la qualité des repas et des aliments et de s’enquérir du respect des mesures sanitaires, et ce, par souci de préservation de la santé du citoyen, tout au long de l’année, notamment pendant la période estivale.
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L’Algérie est en train de se diriger vers la bourse de l’électricité afin de vendre son excédent en cette énergie pour le Maroc, la Tunisie et l’Europe, a indiqué dimanche à Bouira le ministre de l’Enérgie, Mustapha Guitouni.
« Le dossier relatif à l’exportation de l’électricité est ancien, il remonte à plusieurs années. La nouveauté dans ce dossier est que l’Algérie va aller vers la bourse pour vendre son excédent de l’électricité vers la Tunisie et le Maroc », a expliqué le ministre lors d’un point de presse tenu en marge de sa visite à Bouira, tout en précisant qu’il y’avait « des échanges dans ce domaine ».
Selon les précisions fournis par M. Gutouni, l’Algérie jouit d’une capacité électrique de 19000 mégawat, et un excédent de 9000 Mégawat en hiver.
« Cet excédent, nous allons le commercialiser, nous devons être prêts pour cela avec la préparation des réseaux et la mise en place de mesures de protection nécessaires afin de vendre, à condition qu’il soit mis sur le marché ».
« La bourse de l’électricité est en Espagne, nous allons œuvrer de façon à nous placer dans cette bourse pour vendre notre excédent en électricité », a souligné le même responsable, qui a procédé dans la matinée à Ahnif (Est de Bouira) à la distribution de poêles à gaz pour les établissements scolaires.
Au cours de sa rencontre avec la presse, M. Guitouni a estimé impératif pour l’Algérie de diversifier son économie et d’aller vers des exportations hors hydrocarbures afin de se libérer de la rente pétrolière.
« Nous devons nous libérer de la rente pétrolière. Nous avons exporté hors hydrocarbure deux milliards de dinars, c’est très important », a ajouté le ministre A propos de la baisse des prix du pétrole, il expliqué que cette baisse « est née de quelques problèmes géopolitiques », misant sur un prix oscillant entre 60 et 65 dollars le baril, en 2019.
A une question de la presse liée à la déclaration du ministre saoudien de l’énergie sur ce point des prix du pétrole, M. Guitouni a répondu que « seule l’OPEP est habilitée à décider du prix du pétrole ».
« C’est une organisation qui a fait ses preuves, et nous nous allons œuvrer pour la renforcer dans ses prérogatives », a-t-il dit.
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Le président Macron, qui n’arrive pas à apaiser la colère des Français malgré des mesures sociales décidées, va adresser «une lettre aux Français» à travers laquelle il amorcera le «grand débat national», initiative qui montre qu’il ne veut pas changer de cap dans ses réformes.
La mobilisation des «gilets jaunes» a été en hausse samedi à travers plusieurs en France, dans sa 9e semaine, avec moins de violence, à deux jours de la lettre du président Emmanuel Macron aux Français dans laquelle il expliquera les contours du «débat national». Ainsi, le mouvement redémarre au moment où on commençait à parler de son essoufflement. Ils étaient, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, plus de 84.000 manifestants en France, dont plus de 8.000 à Paris, et les autorités ont mobilisé 80.000 policiers, au bord de la rupture physique, au moment où le gouvernement est en préparation d’une nouvelle loi pour sanctionner les organisateurs, participants et «casseurs» à des manifestations non-déclarées.
Pour la journée, la police a procédé à 240 interpellations, dont deux cents personnes ont été placées en garde à vue. Depuis le début de la contestation populaire, le 17 novembre dernier, née de la hausse des prix du carburants et de la dégradation du pouvoir d’achat des Français, 5.339 personnes ont été gardées en vue, parmi elles 152 ont été placées en mandat de dépôt. 815 ont été jugées en comparution immédiate. La mobilisation de samedi s’est caractérisée par une baisse de violence même si des heurts ont éclaté entre les forces de sécurité et les manifestants dans plusieurs points en France, dont à Paris, Bourges, Nîmes, Rouen, Bordeaux, Toulouse, Montpellier et Marseille.
Les manifestants ont scandé des slogans hostiles au gouvernement tels «Castaner en prison» ou «Macron démission». Lundi, le président Macron, qui n’arrive pas encore à apaiser la colère des Français malgré des mesures sociales décidées, devra adresser «une lettre au Français» à travers laquelle il amorcera le «grand débat national». Une initiative qui montre, selon de nombreux analystes», qu’il ne veut pas changer de cap dans ses réformes, dont la majeur partie est décriée. Ce «grand débat national», rejeté par le mouvement des «gilets jaunes» et une partie de l’opposition, devra contenir tous les sujets ayant trait avec les revendications des Français qui sont dans la rue depuis presque deux mois. Victime de la verticalité de sa gouvernance, le président Macron ne sortira pas indemne, selon les mêmes analystes, de cette crise sociale devenue politique qui «l’obligera à se réinventer».
Les 10 milliards d’euros mis sur la table pour les besoins sociaux des Français, qui n’ont pas réussi à éteindre le feu, montre que la crise est profonde en France et que les Français, derrière le mouvement des «gilets jaunes», ne sont pas prêts à céder devant la dureté de leur vie quotidienne.
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Par Mohamed BENHAMLA
Le Chabab de Belouizdad continue de manger son pain noir. Après avoir concédé le match nul, samedi à domicile, au Paradou AC, l’équipe algéroise a déjà mis un pied en Ligue 2.
Elle ferme toujours la marche au classement général avec 12 points au compteur, après 17 journées jouées. Les protégés de Abdelkader Amrani ont joué sous une forte pression, résultat oblige, ce qui s’est répercuté négativement sur leur rendement et l’issue de la partie. Pourtant, tous les moyens ont été mis à leur disposition, à commencer par la direction du club qui les a mis dans les meilleures conditions possibles, ainsi que les supporters, présents en très grand nombre et qui n’ont cessé de les soutenir jusqu’au dernier instant de la partie.
Face à une jeune et très coriace équipe du Paradou, les Belouizdadis ont brillé par un jeu anarchique, faisant dire à tous ceux qui ont suivi les débats qu’ils (les joueurs du CRB) ne marqueront pas même s’ils jouent 90 minutes supplémentaires. Les occasions gâchées par les attaquants sont la parfaite illustration d’une situation qui devient, désormais, insurmontable. La veille de cette rencontre, les autres concurrents du Chabab ont perdu leurs matchs, ce qui a donné un peu d’espoir de voir ce dernier relancer la course au maintien, dans le cas d’une victoire dans ce derby qu’a abrité le stade du 20-Août.
Peine perdue, puisque les joueurs belouizdadis ont perdu leur jeu, mais aussi leurs nerfs, en témoigne cette attitude, du moins incompréhensible et indigne, du milieu de terrain Adel Djerrar, auteur d’une agression sur un adversaire, ce qui lui a valu un carton rouge direct. Aux dernières nouvelles, et en plus de la sanction de deux matchs de suspension au minimum dont écopera le joueur de la part de la commission de discipline de la LFP, il doit s’attendre, dit-on, à une autre sanction, encore plus lourde, de la part de son entraîneur et de sa direction.
A une journée de la clôture du mercato d’hiver, le Chabab est dans l’obligation de recruter, et au plus vite, un attaquant de pointe capable de solutionner le problème de la ligne offensive. Le jeune Mohamed Attia, recruté en début de saison et qualifié lors de la phase-retour, est loin de faire le poids, lui qui est passé complètement à côté de son sujet pour la deuxième fois de suite, après le match face à l’ASAM à Batna (1-1).
La dernière piste qui reste est celle menant vers Faouzi Yaya, joueur libéré dernièrement par l’USMA. Il a été approché par Saïd Allik et devrait donner sa réponse aujourd’hui au plus tard, comme il l’a laissé lui-même entendre. Entre temps, le Chabab commencera dès aujourd’hui à préparer son prochain derby, programmé ce jeudi face au MC Alger, au stade du 5-Juillet.
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La chanteuse algérienne d’expression kabyle Massa Bouchafa a galvanisé samedi soir à Alger, le nombreux public présent, à travers un répertoire de chansons aux cadences exaltantes, en célébration de «Yennayer 2069». Le public de l’opéra d’Alger Boualem-Bessaïh, venu en tenues traditionnelles, célébrer «Yennayer 2069», placé cette année sous le slogan de «racine, diversité et unité», a pu apprécier la grande chanteuse Massa Bouchafa, et s’est imprégné du patrimoine culturel, à travers des danses folkloriques de différentes régions d’Algérie.
Soutenue par le groupe «Tilanya»(mélodie libre), un orchestre de cinq musiciens, dirigés par Athmane Belaïd, la chanteuse kabyle, habillée, comme à chaque concert, d’une robe traditionnelle berbère, a dès son entrée, enflammé la salle, entonnant une douzaine de chansons, aux atmosphères festives, dédiées à l’identité amazighe, à l’Algérie, au vivre ensemble, à la joie et à l’amour. Durant plus d’une heure de temps, Massa Bouchafa a entonné les titres, «Ayuliw», «Inevgawen», «Tameghra», «Da’L’Mouloud», «Evrou nagh qim», «Anefrah», «Taqvaïlith», «Tighri», «Yedjayi», «Inès, inès», «Mathoufidh» et «Siwlass», que le public reprenait en choeur, dansant au-devant de la scène et dans les allées réservées aux déplacements.
Les instrumentistes, Brahim Medjeber à la basse, Nadjim Souaïli à la batterie, Rafik Naoui à la percussion, Kamel Saaoui à la guitare, ainsi que le maestro Athmane Belaïd aux claviers, ont brillé de maîtrise et de technique, faisant montre de toute l’étendue de leurs talents respectifs dans des tours d’improvisation en solo.
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Le programme se poursuivra toute la semaine dans l’ensemble des salles de répertoire du Centre algérien de la cinématographie avec la programmation de longs métrages, documentaires et courts métrages.
Dans le cadre des festivités de Yennayer 2969 célébrant le Nouvel An berbère, le Centre algérien de la cinématographie (CAC) a établi un programme très riche sur l’ensemble des salles répertoires de la Cinémathèque algérienne à travers le territoire national. Un programme organisé en collaboration avec ses partenaires le Cadc, l’Aarc et le Cnca. Durant une semaine, du 10 au 17 janvier, l’essentiel de la cinématographie algérienne d’expression amazighe et évoquant la culture berbère sera présenté dans les huit cinémathèques du pays: à Alger, Tizi Ouzou, Béjaïa, Oran, Tlemcen, Annaba, Sidi Bel Abbès et Souk Ahras.
«La Colline oubliée» de Bouguermouh, «La Montagne de Baya» de Meddour et «Machaho» de Belkacem Hadjadj sont les trois films qui seront diffusés dans l’ensemble des salles de répertoire du CAC. Mais il y a également «Mimizrane» d’Ali Mouzaoui et «Arezki l’indigène» de Djamel Bendedouche. Les wilayas d’Alger, Tizi Ouzou et Béjaïa ont concocté un programme spécial et plus varié durant cette semaine, avec la projection des films «Fatma N’soumer» de Belkacem Hadjadj, «Ayrouwen» de Brahim Tsaki ou encore la projection du court métrage de Mohamed Yargui «Je te promets».
La cinémathèque de Béjaïa qui accueille Yennayer avec un programme très riche, a débuté ce jeudi 10 janvier avec la projection d’un clip musical en hommage au chanteur Slimane Azem, interprété par l’artiste Yacine Zouaoui et réalisé par Toufik Guelati. Le vendredi, la cinémathèque de Béjaïa a projeté en version 35mm le film précurseur du cinéma algérien d’expression amazighe «la Colline oubliée» au public bédjaoui et pour les responsables locaux qui participent à la célébration de Yennayer. Le samedi, la cinémathèque de Béjaïa a également projeté le film d’expression terguie «Ayrouwen» de Brahim Tsaki en présence du décorateur du film Arezki Larbi. La projection a été suivie d’un débat, puis d’un ciné-dîner (autour d’un bon couscous traditionnel), organisé par l’Association pour la sauvegarde et la promotion du patrimoine culturel de la ville de Béjaïa et l’Association project’heurts.
A Tizi Ouzou, la célébration de Yennayer est également fêtée d’une manière très feutrée par la cinémathèque de la ville des Genêts. Plusieurs films d’expression amazighe sont programmés toute la semaine, avec les meilleurs ambassadeurs du cinéma amazigh Bouguermouh, Hadjadj et Meddour. A cela s’ajoute la programmation de documentaires: «Ça tourne à Alger», qui fait découvrir les making-of des films «Machaho» et «La Montagne de Baya» durant les années 90. Mais également le doc «Assalay» de Djamal Bacha, «Izemulen N Igraren» de Oussama Rai, «Cheikh El Hasnaoui» de Abderrazak Larbi Cherif ou encore le documentaire «La langue de Zahra» de Fatima Sissani qui revient sur la tradition orale kabyle et qui sera projeté dans les cinémathèques d’Alger, Béjaïa et Oran.
Enfin, la cinémathèque d’Alger a célébré à son tour le Nouvel An berbère Yennayer, avec un programme cinématographique quotidien qui a débuté jeudi, avec la projection de deux films d’expression amazighe. La journée de vendredi, la cinémathèque d’Alger a cassé la routine du week-end en organisant en partenariat avec l’Aarc et le Cadc, un programme spécial avec la projection du dernier film de Belkacem Hadjadj «Fatma N’soumer» et le court métrage de Mohamed Yargui, «Je te promets». Le samedi la salle d’Alger du CAC a programmé le film d’expression chaouie «La maison jaune» d’Amor Hakkar et le documentaire «La langue de Zahra» de Fatima Sissani.
Le programme se poursuivra toute la semaine dans l’ensemble des salles de répertoire du Centre algérien de la cinématographie avec la programmation de longs métrages, documentaires et courts métrages.
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Véritable révélation ces dernières années, l’humoriste français Haroun se produira à Alger en février prochain. C’est à l’opéra d’Alger que le comédien au style singulier déposera les armes et ce pour la première fois en allant à la rencontre du public algérois.
L’artiste l’a révélé en effet sur sa page facebook. Il donnera une présentation unique le 22 février prochain. Celle-ci s’inscrit dans le cadre d’une tournée qui le mènera de France au Maghreb puis en Belgique. Du Jamel Comedy Club aux grandes scènes françaises il n’y a qu’un pas, franchi avec intelligence. Le Monde arabe, le harcèlement sexuel, la politique, les armes, YouTube, autant de thèmes sérieux qu’il arrive à vulgariser avec des réflexions sensibles et décalées.
Des sujets qu’il arrive à traiter de façon décomplexée qui font automatiquement mouche là ou il passe. Gageons que son humour ne laissera personne indifférent à Alger. Rendez-vous pris en tout cas pour le 22. Nous on y sera, et vous?
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