Le magazine américain Forbes vient de dévoiler son classement 2019 des grosses fortunes dans le monde. Et selon cette nouvelle édition du rapport, la fortune de l’homme d’affaires Issad Rebrab et PDG du groupe privé Cevital a été évaluée à 3,7 milliards de dollars.
La fortune du PDG du groupe Cevital aurait ainsi diminué de 300 millions de dollars par rapport à l’année dernière. Elle reste cependant supérieure à sa fortune évaluée en 2017 à 3,1 milliards de dollars.
La fortune d’Issad Rebrab est classée la sixième fortune en Afrique, et l’homme d’affaires demeure le seul milliardaire algérien figurant officiellement dans la liste des milliardaires publiée chaque année par Forbes.
Sans plus attendre voici la liste des 20 milliardaires africains de 2019
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Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a indiqué jeudi à Alger, que l’Autorité de régulation de l’audio-visuel (ARAV) «tente» de jouer son rôle en fonction de la réalité des choses à la lumière de l’existence des chaines de télévision privées, de droit étranger, activant en Algérie.
Lors d’une plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, le ministre a répondu à deux députés du parti du Front de libération national (FLN) et de l’Union Nahda-Adala-Bina, concernant «le non respect» par les chaines de télévision privées des spécificités du mois sacré et des us et coutumes des familles algériennes que ces chaines, qui ont une jeune expérience «diffusent par satellites et sont de droit étranger», ajoutant dans ce sens que l’ARAV, «tente de jouer son rôle en fonction de la réalité de ces chaines».
Admettant la médiocrité de certains programmes diffusés sur ces chaines privées, M. Kaouane a néanmoins estimé que ceci n’occulte pas d’autres programmes «qui méritent d’être salués». «Affirmer que tout le contenu de leurs programmes étaient mauvais est un jugement sévère au vu de leur jeune expérience audio-visuelle, a-t-il déclaré.
Il a soutenu, à ce propos, que «tout travail humain était perfectible, d’où la nécessité de rechercher les causes entravant la réalisation du bond qualitatif auquel nous aspirons pour hisser notre pays au rang des producteurs de la matière médiatique dans un monde en mutations accélérées en raison de la révolution numérique».
Pour le Premier responsable du secteur de la Communication, les établissements de production en Algérie «manquent actuellement des éléments qui leur permettent de répondre à tous les besoins des médias nationaux, et partant satisfaire les goûts de toutes les composantes de la société». Une situation qui requiert, selon le ministre, «le temps qu’il faut, la disponibilité des ressources humaines qualifiées, ainsi que le financement qui est, souvent, un facteur déterminant».
Soulignant, à cette occasion, l’importance de faire la distinction entre l’Etablissement public de télévision (ENTV) et les chaînes privées, il a précisé que l’activité du premier repose sur les règles énoncées dans son Statut particulier et son cahier de charges.
Les chargés des programmes au sein de cet établissement, poursuit M. Kaouane «veillent à ne diffuser aucun produit susceptible de porter atteinte aux valeurs de la société algérienne, à la morale ou d’inciter à la violence, sous n’importe quelle forme». Ces règles président le travail de l’ENTV, «pas uniquement pendant le mois sacré de Ramadhan, mais tout au long de l’année», a-t-il insisté.
Dans ce cadre, le ministre a rappelé les différentes commissions mises en place pour permettre à l’ENTV de choisir des programmes diffusables, en partant de l’idée et du texte jusqu’au produit final, à l’instar de la Commission de sélection des projets de programmes, de la Commission de lecture, de la Commission de vérification des productions télévisuelles. APS
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Les deux représentants algériens en Ligue des champions d’Afrique, le CS Constantine et la JS Saoura, tenteront de réussir leurs débuts en phase de poules, en se rendant respectivement à Sousse et à Dar es Salaam, à l’occasion de la 1re journée prévue vendredi et samedi.
Le CS Constantine, qualifié aux dépens des Ougandais de Vipers SC, se rendra à Sousse pour défier le Club Africain de Tunis dans un derby maghrébin indécis et ouvert à tous les pronostics, dans le cadre du groupe C.
« Nous sommes sur une bonne dynamique avec cinq victoires de suite, on doit en profiter pour enchaîner un autre succès face au Club Africain. On sait bien que l’adversaire va essayer d’imposer son style de jeu. Nous avons une bonne défense qui tiendra le coup, tout en profitant des espaces qu’ils vont laisser pour les surprendre », a affirmé l’entraîneur français du CSC, Denis Lavagne, dont le vécu sur le plan continental reste un atout important pour le champion d’Algérie en titre.
Rien ne va plus en revanche pour le Club Africain, battu dimanche dernier dans le derby de la capitale par son voisin l’ES Tunis (2-1), en mise à jour de la 11e journée de la Ligue 1 tunisienne. Les coéquipiers de l’international algérien Mokhtar Belkhiter pointent à la 7e place au classement.
Le match, qui sera dirigé par l’arbitre gabonais Eric Arnaud Otogo Castane, assisté de son compatriote Moussounda Montel et de Souru Phatsoane (Lesotho), aura lieu vendredi (20h00) à Sousse, les stades d’El Menzah et de Radès à Tunis n’étant pas disponibles pour des travaux d’aménagement, rappelle-t-on.
L’autre rencontre de cette poule opposera l’ogre TP Mazembe (RD Congo) aux Egyptiens d’Al-Ismaïly.
De son côté, la JS Saoura, qui a atteint la phase de poules aux dépens des Marocains de l’IR Tanger, effectuera un déplacement périlleux à Dar es Salaam pour affronter les Tanzaniens de Simba SC (groupe D).
L’entraîneur de la JSS, Nabil Neghiz, a relevé la nécessité de bien entamer l’aventure face à l’actuel 3e du championnat tanzanien qui reste sur une victoire à domicile sur le plan local contre Singida United (3-0).
« Nous veillerons à ce que l’équipe progresse vers les 1/4 de finale. Nous nous battrons très forts dans ce groupe pour réaliser notre objectif. J’ai une équipe extrêmement motivée, nous avons besoin de nos supporters pour soutenir l’équipe », a indiqué pour sa part l’entraîneur belge de Simba, Patrick Aussem, dont la formation a éliminé les Zambiens de Nkana FC au précédent tour.
La rencontre sera dirigée par un trio botswanais, sous la conduite de Joshua Bondo assisté d’Oamogetse Godisamang et de Moemedi Monakwane.
L’autre match du groupe D mettra aux prises le finaliste de la précédente édition, Al-Ahly du Caire, et l’AS Vita Club (RD Congo).
APS
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La commission d’audit de la Ligue de football professionnel (LFP) a donné son accord pour l’homologation du nouveau stade d’Aïn M’lila, a indiqué jeudi l’instance chargée de la gestion de la compétition nationale.
La formation de l’ASAM jouera son premier match à domicile contre l’Olympique Médéa pour le compte de la 18e journée du championnat de Ligue 1, programmé le 19 janvier à 15h00.
Ce stade, doté d’une pelouse en gazon naturel, répond « désormais » aux normes pour accueillir les matchs de Ligue 1. Il reste à le pourvoir du système d’éclairage, dont le projet est pris en charge par les autorités locales qui comptent le réaliser avant la nouvelle saison, précise la même source.
Le nouveau stade porte le nom du Chahid Khelifi Touhami Zoubir, tombé au champ d’honneur en 1958. C’était un champion en cyclisme.
Pour mémoire, l’ASAM accueillait cette saison ses adversaires au stade 1er-Novembre de Batna, la LFP ayant jugé que l’ancien stade d’Aïn M’lila, en l’occurrence Demmen-Debbih-Chérif, « ne répondait pas aux exigences du championnat de Ligue 1 ».
L’ASAM (18 pts) occupe la 13e place au classement en compagnie de quatre autres équipes, à la veille de la 17e journée du championnat de Ligue 1 qui débutera vendredi.
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Le coup de starter du championnat du monde de handball sera donné ce jeudi. Organisée conjointement par le Danemark et l’Allemagne, cette 26e édition verra la participation de 24 pays, scindées en 4 groupes, parmi eux trois nations africaines : la Tunisie, l’Egypte et l’Angola.
La course à la succession de la France, double tenant du titre, sera lancée cet après-midi. Pour cette première sortie, les pays hôtes, l’Allemagne et le Danemark, ouvriront le bal en affrontant respectivement la Corée et le Chili.
Pour sa part, le continent africain sera représenté par trois nations, comme à l’accoutumé. Le trio composé de la Tunisie, de l’Egypte et de l’Angola, podium de la dernière Coupe d’Afrique des nations, est présent dans ce rendez-vous germano-danois avec l’ambition d’aller le plus loin possible et pourquoi pas atteindre le dernier carré.
Pour sa 13e participation au Mondial de la petite balle, la Tunisie, championne d’Afrique en titre, a hérité du groupe C. Les Aigles de Carthage auront à en découdre avec le Danemark, pays hôte, la Norvège, l’Autriche, le Chili et l’Arabie Saoudite. Le premier match des Tunisiens aura lieu ce vendredi (20h30) face à la Norvège.
De leur côté, l’Egypte et l’Angola ont été versés dans la poule D en compagnie de la Suède, de la Hongrie, du Qatar et de l’Argentine, Egypte, Angola. Les Pharaons, qui disputent leur 14e mondial, joueront leur première rencontre dimanche (15h30) face au Qatar, tandis que l’Angola, qui va honorer sa 3e participation à un Mondial, donnera la réplique à la Hongrie, le même jour à 18h00.
Pour rappel, lors de la dernière édition, disputée en France et qui a vu la participation du même trio africain, l’Egypte, 13e au classement général, a réalisé le meilleur parcours en passant en 8es de finale. Quant au duo Tunisie-Angola, il a été éliminé au premier tour. La Tunisie a fini à la 19e position alors que l’Angola a terminé à la 24e et dernière place après avoir disputé les matchs de classement.
Composition des groupes :
Groupe A : Allemagne, France, Russie, Serbie, Corée, Brésil
Groupe B : Espagne, Croatie, Macédoine, Islande, Bahreïn, Japon
Groupe C : Danemark, Norvège, Autriche, Tunisie, Chili, Arabie Saoudite
Groupe D : Suède, Hongrie, Qatar, Argentine, Egypte, Angola
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La rencontre, CRB Baraki – HBC El Biar, se jouera le mardi 15 janvier (18h30) à Baraki, a indiqué mardi la Fédération algérienne de la discipline (FAHB) sur sa page facebook.
Ce derby de la capitale, comptant pour la 11e journée (groupe A) du championnat national de handball, division Excellence, devait avoir lieu samedi dernier, cependant, le match n’a pas eu lieu en raison de l’absence des arbitres.
Concernant les autres parties, cette 11e manche a été marquée par la première défaite de la saison de l’ES Ain Touta. Le patron de la poule A s’est incliné sur le parquet du nouveau promu, la JS Saoura.
La prochaine sortie dans la Division Excellence, qui coïncidera avec la 12e journée, aura lieu ce vendredi.
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Dix-huit communes de Ain Defla seront privées de gaz durant une durée de 22 heures à compter de ce vendredi à 8h jusqu’à samedi 6h du matin, a indiqué la correspendante de la radio Chaine 3. La Sonelgaz qui s’excuse auprès de sa clientèle explique que cette coupure est dictée par la nécessité de changer un ancien gazoduc atteint de vétusté.
« Cette opération consistant en la mise en service d’un nouveau gazoduc de 16 pouces au niveau de Sidi Lakhdar, nécessite la coupure du gaz », explique Mohamed Said Helassa, directeur de l’énergie à la wilaya d’Ain Defla.
Pour atténuer les souffrances des foyers concernés, particulièrement, en cette période de froid, Naftal rassure que toutes les dispositions ont été prises pour les alimenter en gaz butane, rapporte Rym Rahmani, correspondante de la radio Chaine 3.
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Le président de la Commission de l’Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, a adressé jeudi ses « félicitations » au peuple et aux acteurs politiques congolais « pour la tenue des élections dans des conditions jugées satisfaisantes par la mission d’observation électorale de l’UA.
« La situation en République démocratique du Congo exige, quelle que soit l’issue définitive des élections, la recherche d’un véritable consensus national fondé sur le respect des principes démocratiques et des droits de l’homme, ainsi que sur la préservation et la consolidation de la paix », a-t-il ajouté.
La commission électorale congolaise (Céni) a proclamé l’opposant Félix Tshisekedi vainqueur de la présidentielle du 30 décembre, d’après les résultats provisoires.
Mais cette victoire a aussitôt été contestée par l’autre grand candidat de l’opposition Martin Fayulu, qui a dénoncé un « putsch électoral » dans une interview à la radio RFI.
« Toute contestation des résultats proclamant l’opposant Félix Tshisekedi vainqueur de l’élection présidentielle en République démocratique du Congo (RDC) ne peut se faire que « pacifiquement », a encore indiqué M. Moussa Faki.
Rappelant la nécessité de « consolider la démocratie et préserver la paix » en RDC, il a estimé dans un communiqué qu’il « est important que toute contestation des résultats proclamés, notamment celle portant sur leur non conformité avec la vérité des urnes, se fasse pacifiquement, par le recours aux procédures prévues par les textes en vigueur et le dialogue politique entre toutes les parties prenantes ».
Avec deux ans de retard, le président Joseph Kabila avait accepté de se retirer, contraint par la Constitution qui lui interdisait un troisième mandat d’affilée. Il est au pouvoir depuis l’assassinat de son père et prédécesseur Laurent Désiré Kabila début 2001.
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190 g de farine, 150 g de sucre, 3 œufs, 1/2 paquet de levure, 15 cl de crème liquide, 75 g de beurre, 2 pommes
1 – Battre le sucre avec le beurre mou jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajouter les œufs un à un. Lorsque le mélange est homogène, ajouter la crème liquide . Mélanger.
2 – Mélanger la farine avec la levure chimique et l’ajouter progressivement à la pâte, tout en remuant.
3 – Beurrer et fariner un plat rectangulaire d’environ 30 cm sur 20 cm. Verser la pâte et lisser.
4 – Éplucher les pommes, les couper en quartier, retirer la partie centrale puis couper chaque quartier en tranches épaisses. Disposer les tranches de pommes en ligne sur le dessus de la pâte, en les enfonçant légèrement.
5 – Enfourner à 200°c pendant 30-35 minutes. Couvrir avec une feuille d’aluminium si le dessus du gâteau bronze trop vite. Vérifier la cuisson en piquant la lame d’un couteau, elle doit ressortir sèche.
Pour finir
Laisser tiédir le gâteau puis le saupoudrer de sucre vanillé. Couper le gâteau en bouchées lorsqu’il est froid.
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Les pays limitrophes avec le Niger observent avec inquiétude la remontée massive de migrants africains vers Agadez transformée, depuis un moment, en réceptacle pour réfugiés attirés par les fausses promesses européennes.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Alger, Tunis et Rabat estiment que le temps a finalement donné raison à leur décision de ne pas céder aux pressions européennes pour l’ouverture de camps de réfugiés sur leur territoire. L’expérience nigérienne le prouve largement aujourd’hui. Agadez, où s’est ouvert il y a quelques mois l’un de ces camps, assiste à une migration massive de populations bercées par le doux rêve de pouvoir un jour reconstruire leur vie sur l’autre continent. L’idée est venue de plusieurs dirigeants européens, animés, disaient-ils alors, de bonnes intentions destinées à «humaniser l’immigration» et d’éviter aux concernés des traversées périlleuses au cours desquelles des centaines d’entre eux trouvent la mort. Une manière aussi, affirmaient ces derniers, de couper l’herbe sous le pied des réseaux de passeurs en passe de se transformer en véritables bandes criminelles transnationales.
Emmanuel Macron avait notamment insisté sur tout le sérieux et l’engagement français à faire de ces lieux de transit des campements provisoires, le temps que doit durer l’étude des dossiers des demandeurs d’asile. Au cours de l’année précédente, le Président français s’était également engagé à accueillir dans son pays 10 000 personnes d’ici la fin de l’année 2019. Celles-ci étaient censées provenir du Niger mais aussi du Tchad, deux pays ayant accepté d’ouvrir les campements tant souhaités par Paris et ses alliés.
D’autres pays, parmi lesquels la Grande-Bretagne et l’Allemagne, avaient promis d’en faire de même. Des missions dépêchées par ces Etats au Niger ont pris le temps d’évaluer la situation à Agadez, d’observer les fonctionnaires du HCR, étudier les dossiers des demandeurs d’asile. Une «étude» qui «se résume en fait à écouter le récit de ces pauvres femmes et hommes ayant traversé de vastes territoires dans l’espoir d’une vie nouvelle, meilleure, et ces derniers sont jugés uniquement sur leur bonne foi. Bien sûr, il y a des vérifications d’identité, mais en général, tout s’arrête à ce niveau», confient des sources bien au fait des procédures en cours. Moins de deux cents personnes ont eu le privilège de voir leur «dossier» accepté par les autorités françaises au cours des mois précédents.
La procédure s’est faite ensuite plus lente, puis plus rien depuis décembre passé. Agacées, les autorités nigériennes ont fini par réagir, alerter, réclamer que les promesses européennes se concrétisent. En vain. Le piège d’Agadez s’est refermé sur des milliers d’apatrides au statut flou. Plus de mille Soudanais ayant fui la région du Darfour se trouvent ainsi dans l’expectative. D’autres sont en passe d’arriver. Au cours de l’année 2017, un millier d’autres personnes en provenance de pays africains en guerre contre les groupes terroristes ou en proie à une profonde misère ont rejoint elles aussi Agadez. Le bureau du HCR (Haut Commissariat aux réfugiés) ploie sous les demandes d’asile.
La population locale, elle-même confrontée à la malvie, s’est d’ailleurs épanchée dans les journaux français en quête de vérité sur la situation en cours dans cette région. Il en ressort une inquiétude exprimée également par le maire de cette localité qui évoque «l’appel d’air» déclenché depuis la mise en place du campement pour migrants.
L’afflux est massif, «les familles vivent dans l’insécurité car parmi les réfugiés, une partie des hommes maîtrise parfaitement le maniement des armes», avouaient encore des responsables locaux ne cachant pas que les responsables d’Agadez sont aujourd’hui débordés.
La pression se fait ressentir fortement chez les réfugiés aussi. Beaucoup projettent de poursuivre leur route et de remonter plus haut, vers des territoires encore plus proches de l’Europe. Aux frontières algériennes, les soldats de l’ANP sont en alerte maximum. Ici, les forces de sécurité qui font cordon autour du pays refoulent chaque semaine des centaines de tentatives d’entrées irrégulières.
La pression qui monte à Agadez inquiète. «L’Europe a tout simplement créé une arrière-cour en Afrique, et ils voulaient en faire de même avec l’Algérie, ce qui a été fermement refusé. La présence du HCR à Agadez est un signal qui a attiré les réfugiés, des malheureux à la recherche d’une vie meilleure, mais ils ont été arnaqués, comme ces pays qui ont accepté l’ouverture de campements.
Actuellement, il y a des déplacements massifs, Agadez ne pourra pas les contenir plus longtemps, l’Europe n’a pas tenu ses promesses. Le chaos d’Agadez risque de déborder de ce territoire», affirme à Alger un spécialiste du dossier.
A. C.
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500 g de pois chiches en conserve, 1 oignon rouge, 1 gousse d’ail, 15 g de persil plat, 1 cuillère à café de cumin en poudre, sel, poivre, huile pour la cuisson
Trempez les pois chiches dans un bol d’eau froide pendant toute une nuit.
Le lendemain, rincez-les à l’eau froide puis égouttez-les bien.
Passez les pois chiches au mixeur pour obtenir une purée.
Ajoutez alors dans le mixeur l’oignon rouge pelé et émincé, le persil ciselé, le cumin, du sel et du poivre et mixez à nouveau jusqu’à obtention d’une pâte bien lisse, épaisse et homogène.
Mettez la préparation au réfrigérateur pendant 30 minutes.
Avec vos mains, confectionnez ensuite 35 à 40 boulettes avec la préparation, en les applatissant légèrement.
Faites chauffer un peu d’huile dans une poêle et faites-y cuire les falafels 5 minutes de chaque côté, jusqu’à ce qu’elles soient dorées.
Servez chaud ou froid avec une sauce allégée ou une salade verte pour le repas.
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Ils prétendent guérir, prédire l’avenir, se disent dotés d’un don divinatoire et d’un grand pouvoir spirituel, ceux qui exercent cette pratique bien médiévale, encore très répandue dans la société, sont légion.
Ces voyantes et cheikhs disent avoir la solution pour toutes les préoccupations de la vie : problèmes sociaux, maladies, malchance, divorce, mauvais œil, mariage, chômage… Ils font croire au remède «miracle» qu’ils vendent… à bon prix. Les voyantes pullulent en Kabylie. Il n’y a pratiquement pas de localité qui n’en compte pas.
A Azazga, à une trentaine de kilomètres à l’Est de la ville de Tizi-Ouzou, chef-lieu de wilaya, s’étend cette belle citée réputée pour son civisme, ses bons restaurants et sa bonne bouffe. Paradoxalement, elle est aussi connue pour ses multiples voyantes et cheikhs. Ceux qui connaissent les lieux savent que chaque quartier, que ce soit de l’ancien village (Tadarth), ou de la nouvelle ville (Tizi Bouchène), abrite au moins une ou un.
En empruntant les ruelles étroites de l’ancien village, le potentiel client n’a qu’à demander aux passants de le guider chez la voyante du coin. Là, il s’aperçoit de l’embarras du choix. L’la Ouardia a une réputation qui dépasse les frontières de la localité. La porte de sa maison franchie, une dizaine de personnes était déjà dans la cour, les hommes d’un côté, les femmes de l’autre.
L’ambiance est plutôt tendue, rappelant celle des salles d’attente des hôpitaux ou des cabinets médicaux. Bizarrement, la clientèle est, majoritairement, de la gent féminine, plutôt jeune et citadine. Il a suffi d’un simple échange pour que les uns et les autres se livrent.
Zohra raconte son histoire : «Je suis enseignante de français, je travaille dans un CEM. Je ne pensais pas venir un jour ici. Je suis toujours célibataire malgré mes multiples prétendants que j’ai eu !», raconte-t-elle en soupirant. «C’est cette voyante qui m’a ouvert les yeux. J’ai appris qu’on m’a jeté un mauvais sort depuis mon adolescence», lance-t-elle. La jeune femme semble convaincue de ce qu’elle avance. Zohra, apprend-on, est à sa quatrième visite chez cette voyante. D’après ses dires «c’est important de suivre le traitement pour chasser définitivement le mauvais sort.»
Le dernier consiste à «prendre une douche sous la Baraka de la voyante, ses mains sont bénies et l’eau est mélangée à beaucoup d’herbes, faire fondre du plomb et utiliser les B’khors», et pour tout couronner, «un hidjab à porter avec soi». Zohra, la quadragénaire, y croit très fort et ne désespère pas de rencontrer l’âme sœur grâce à la bénédiction de «L’la Ouardia». Ferroudja, quant à elle, livre une autre bataille, face à «la stérilité». Mariée depuis 10 ans, elle n’a pas encore d’enfants.
Le patient face au désespoirLa pression familiale l’a poussée dans les bras des voyantes et cheikhs. Elle en a vu plusieurs, avant d’entendre parler de L’la Ouardia. Seule contre tous, elle dit «qu’après Dieu, elle compte sur cette voyante». Désespérée, elle applique toutes les recettes qu’elle lui prescrit mais sans résultat pour le moment. «Grâce à ces rites, j’ai au moins la paix chez moi, ce qui n’était pas le cas auparavant», dit-elle.
En réponse à la question de ne pas avoir recouru aux méthodes scientifiques, elle explique : «Je ne perds rien à essayer, j’ai vu des médecins et je verrai aussi des voyantes : pourvu que ça marche». Un jeune homme à l’autre bout de la cour capte attention. Il semble très agacé par l’attente. Lui, avec un sourire, raconte sa mésaventure avec… le travail. Il a occupé plusieurs postes importants vu qu’il est ingénieur de formation, mais n’arrive à en garder aucun. Pour lui, c’est évident «il s’agit d’un sortilège».
Son objectif est donc de «se libérer de ce sortilège». Il vient pour la première fois après que son ami l’ait convaincu. Notre tour est venu de rencontrer cette mystérieuse dame. Plutôt belle, la cinquantaine, maigrichonne avec un regard troublant, ce qu’elle a tenu à faire savoir, est que la relation entre elle et le client est avant tout une «relation de confiance». Elle dit jouer le « rôle du psychologue». Elle nous apprendra, toutefois, que «les traitements prescrits aux malades sont inoffensifs», réfutant l’utilisation de «la magie noire». «Mon rôle c’est de guérir, apporter du bonheur et améliorer au mieux que je peux la vie de ces malheureux», affirme-t-elle, ajoutant : «c’est ma destinée, je n’ai pas fait le choix.Depuis que j’avais 8 ans, les signes commençaient à apparaitre, je m’isolais, et je faisais des rêves prémonitoires. Avec le temps, les choses s’accentuaient et le résultat est devant vous», murmure-t-elle. Quittant la demeure de la voyante, on s’est rendus chez un cheikh tout aussi connu dans la région et ailleurs. Il habite une cité pas loin de l’arrêt des fourgons de Fréha. Il a aménagé son F3 familial pour accueillir sa clientèle qui se compte en dizaines par jour. L’ambiance est différente, chez lui.
Les adeptes sont pour la plupart des «envoûtés ou possédés par des Djins» et «des gens auxquels on a jeté des sorts maléfiques», explique-t-il. Utilisant le Coran mais aussi d’autres rites, ce Cheikh accompli «des miracles», selon certains. Les expériences des uns et des autres sont différentes. On a d’un coté, ceux qui y croient et qui semblent donner du crédit à ces pratiques pensant même aux bienfaits de «la thérapie». D’autres moins convaincus, voire septiques, essaient sans grande conviction. La tentation, la curiosité en sont les principales motivations.
Entre l’interdit du religieux et l’ambigüité du juridiqueLe phénomène du point de vue religieux est «illicite», nous dira un Imam. Du point de vue juridique, la loi ne parle pas précisément de «voyance» ou de «sorcellerie», nous dira maitre Merah. Expliquant que la loi parle toutefois de certaines pratiques incriminées, liées à cet exercice, comme porter atteinte aux cimetières, dont l’exhumation des morts, passible de prison ferme. Ce vide juridique explique pourquoi ces voyantes et ces cheikhs ne sont pas inquiétés et exercent au vu et su de tous.
Pour les spécialistes en anthropologie sociale comme le Pr Youcef Hantabli, le recours à cette pratique dénote d’une «perte de contrôle de la réalité physique, qui incite à la recherche des solutions méta-réalistes». «Le recours à la magie du point de vue anthropologique, est un phénomène humain connu des sociétés primitives, mais aussi des sociétés développées», explique-t-il. «Les horizons de changement et de localisation de soi, ainsi que la recherche d’une reconnaissance sociale, sont devenus insaisissables de manière rationnelle, en fonction des réalités et des possibilités de réalisation».
Cette pratique moyenâgeuse considérée comme du charlatanisme, attire beaucoup d’adeptes prêts à débourser des sommes colossales dans l’espoir de voir leur vie améliorée et leurs soucis résolus. Les voyantes et Cheikhs, de leurs cotés, promettent monts et merveilles aux clients et profitent de leur naïveté et crédulité pour leur soustraire le maximum. Alors que la clientèle était, il ya des années de cela, réduite à une tranche d’âge définie, à savoir les femmes âgées, aujourd’hui, la pratique s’est étendue à toute la société, même des intellectuels. Désespoir quand tu nous tiens !
Kamela Haddoum.
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Pour rejoindre leurs écoles, les collégiens et lycéens de Boukhelifa, inscrits dans les établissements de la commune voisine, Tichy, vivent un «calvaire quotidien».
Afin de rejoindre leurs écoles le matin, ou retourner chez eux le soir, ils doivent, à l’aller comme au retour, soit prendre place à bord des bus desservant Béjaïa aux communes côtières de l’Est ou faire le trajet à pied. Cependant, quelques transporteurs rechignent à marquer des arrêts au PK07 et El-Djabia pour embarquer les adolescents. Une situation qui pénalise fortement ces derniers, contraints parfois à faire le trajet à pied. Un trajet éreintant et dangereux et suscitant l’inquiétude des parents. Ces derniers interpellent les autorités municipales de Boukhelifa et la direction des Transports de Béjaïa sur cet état de fait : «Les transporteurs refusent de faire des arrêts au PK7 et El-Djabia pour transporter nos enfants jusqu’à Baccaro et Tichy.
Les parents véhiculés assurent le transport de leurs enfants, mais qu’en est-il pour ceux qui n’ont pas ce moyen ?», s’indigne un parent d’élève, scolarisé dans un collège à Tichy, invitant le maire de Boukhelifa à mettre à la disposition de ces élèves un bus de ramassage scolaire. Faute de moyens, la municipalité se trouve dans l’incapacité de mettre un bus à leur disposition. «Nous sommes une commune sans ressources. Nous vivons des subventions d’équilibre allouées par les pouvoirs publics. Certes, nous assurons le ramassage scolaire, mais uniquement dans les zones rurales. Pour les élèves de la commune scolarisés dans les collèges et lycées de Tichy, nous n’avons, hélas, pas de moyens pour leur assurer du transport scolaire», indique la maire de Boukhelifa, expliquant que le transport des élèves doit être assuré par les transporteurs des communes de la côte Est de Béjaïa.
En réponse aux doléances des parents des collégiens et lycéens de Boukhelifa, un responsable à la direction des transports de la wilaya souligne qu’ «il est du devoir des transporteurs intervenant sur les lignes Béjaïa et toutes les communes situées à l’Est du chef-lieu de wilaya d’assurer le transport de ces élèves», tout en les invitant à faire part de leur requête «par écrit pour enquêter et prendre les mesures qui s’imposent».
F. A. B.
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Avec le concours de la maison de jeunes de Snadla et plusieurs associations locales, l’association culturelle Idlès de Sidi Boubekeur, dans la commune de Draâ El-Gaïd (daïra de Kherrata), a concocté un riche programme pour Yennayer qui s’étalera sur trois jours.
Ainsi, aujourd’hui, une exposition sur l’historique de la lutte du Mouvement berbère et une autre concernant les objets traditionnels de la région seront organisées au niveau de la maison de jeunes. Durant l’après-midi, un match entre deux équipes locales se déroulera au niveau du stade communal.
Dans la soirée de demain, le film «La montagne de Baya» sera projeté et précédé d’une déclamation de poèmes en langue kabyle par le poète Isaoune Mohamed. Le même jour, l’association CMS Draâ El-Gaïd organisera une exhibition de Vo Viêtnam et un couscous traditionnel sera servi aux participants et à tous les invités à l’heure du dîner. Dans la matinée du samedi 12 janvier, une exposition de gâteaux traditionnels est prévue au niveau du hall de la maison de jeunes de Snadla, en sus d’une conférence-débat sur l’histoire de Yennayer qui sera assurée par Fateh Heril, maître de conférences à l’université de Béjaïa.
Dans la soirée, un monologue sera présenté par l’association Kalima de Béjaïa. Pour la clôture, une soirée musicale, animée par le chanteur Salim B Nabi, est programmée. «Ces festivités sont une manière et une occasion de célébrer nos coutumes et honorer la mémoire de nos aïeux qui ont résisté pour qu’elles puissent traverser les temps. A notre tour de les pérenniser et de passer le flambeau aux générations futures», a déclaré Fateh Saït, président de l’association culturelle de Draâ El Gaïd.
Sami D.
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Ces jours-ci à Kantidja, un village du douar de Boumahni, le thermomètre indique des températures très basses. Un froid glacial sévit, en effet, dans cette localité haut perchée, rendant la scolarité des enfants de l’école Frères Titouche, non raccordée au gaz naturel, très pénible. «Ils souffrent du froid. Est-ce qu’on peut réellement chauffer une salle de plus de 40 mètres carrés avec un bain d’huile?», s’interrogera un parent d’élève.
Celui-ci nous apprendra que, selon les informations qu’il détient, les poêles à mazout vétustes sont en panne : «On nous a dit qu’elles sont en réparation. Pourquoi attendre ces moments de grands froids pour penser à ces enfants? Vraiment, il est impossible à ces petits chérubins d’assimiler leurs cours correctement dans des conditions pareilles.
Le directeur a fait des écrits à l’APC et à l’inspecteur administratif de la circonscription, en vain», confiera le parent qui s’est enquis de ce problème. Pour le même interlocuteur, il fallait tout préparer avant l’arrivée du froid. «Les services météorologiques prévoient encore une baisse sensible des températures dans les prochains jours, pour ne pas dire dans les prochaines heures. Nous exhortons les responsables locaux à agir vite», soulignera la même personne. A noter que si les classes sont très peu chauffées, les repas servis à la cantine sont chauds.
Dans cette commune, il y a quatre écoles du versant de Boumahni qui ne sont pas encore alimentées en gaz naturel. D’ailleurs, le jour même de l’installation de l’exécutif communal, après une année de blocage, ce point a été évoqué par de nombreux intervenants. Tous les responsables présents à la cérémonie avaient promis d’aider l’exécutif afin de rattraper le retard. Le premier jour de la rentrée des vacances scolaires d’hiver, une commission, composée d’élus et de représentants des services techniques, ont visité toutes les écoles de la commune, où ils ont recensé les manques à combler et des réparations à opérer dans l’immédiat.
À souligner que les cinq autres écoles de la commune, dont deux du chef-lieu communal, sont alimentées en gaz naturel depuis déjà quelques années. La généralisation de cette commodité à travers tous les villages se poursuit toujours.
Amar Ouramdane
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La commune d’Aokas vient de consacrer une enveloppe de cinq millions de dinars, puisée du fonds commun des collectivités locales, pour la réhabilitation du marché hebdomadaire de la localité. L’entreprise retenue aura à refaire tous les étals et bitumer les artères, entre autres. Il est utile de souligner que le marché hebdomadaire d’Aokas rapporte annuellement à la commune, dans le cadre de sa location, une importante somme qui lui permet d’équilibrer sa trésorerie.
Par ailleurs, toujours dans le cadre des aménagements, les mêmes services ont engagé une entreprise pour rafistoler le quartier de Tala Khaled, dont la programmation a été faite pour l’année dernière. Le retard est dû au déplacement d’un câble électrique reliant la station d’Aguemoun, au centre-ville. Le financement du projet est réparti sur deux tranches, dont la première est financée dans le cadre des PCD. Ainsi, les habitants de Tala Khaled peuvent enfin se réjouir de la prise en charge de leur quartier.
G. A.
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La maison de jeunes Seddar Slimane, au chef-lieu de la daïra de Maâtkas, compte célébrer Yennayer avec faste, cette année.
C’est à travers l’amélioration et l’enrichissement du programme initial tracé il y a plusieurs jours que les responsables et adhérents de la maison de jeunes ont décidé fêter le nouvel an berbère. Même si les activités ne s’étaleront que sur la seule journée de demain, il n’en demeure pas moins que celles-ci sont nombreuses et diversifiées entre celles strictement relatives au traditionnel et celles ayant trait au livre, aux conférences et à la poésie. La journée de demain sera donc marquée par des expositions (Tuga et Tagula) de plantes et des plats traditionnels les plus prisés par les Kabyles.
Toujours au volet traditionnel, on notera la programmation d’une parade représentant le rituel d’Anzar, qui sera exécutée par des enfants adhérents de la maison de jeunes en question, en plus d’un banquet traditionnel en l’honneur des citoyens et invités à cet événement festif. Par ailleurs, une conférence-débat sera animée par Omar Sider sur le thème «Origines et symbolique de Yennayer». Celle-ci sera précédée d’une projection d’un film documentaire retraçant la vie des villageois et habitants de la région de Maâtkas vers la fin des années soixante et celles de la période post-indépendance. Le poète Guechtouli Lyès assurera, en outre, une vente-dédicace de son recueil de poésie qu’il a tout récemment édité.
Ce programme sera prolongé par un récital de poésie par un ensemble de jeunes poètes issus des divers villages de la daïra de Maâtkas, avec, en guise de clôture, un gala Chaâbi, qui sera également animé par de jeunes chanteurs du cru et formés au sein de la maison de jeunes organisatrice. «Depuis l’année passée, Yennayer a pris une autre dimension, et cette année, nous avons préféré enrichir cet évènement par rapport au programme que nous avons mis au point initialement, il y a une quinzaine de jours. Nous avons tenu à étoffer les activités pour mieux marquer l’occasion et lui donner plus d’envergure d’année en année», dira Rachid Malek, directeur de ladite structure de jeunes.
Rabah A.
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Une enveloppe financière de l’ordre de 350 millions de centimes vient d’être consacrée par l’Assemblée Communale Populaire d’Oued Ghir pour le renouvellement des équipements des cantines scolaires de ses écoles primaires, a indiqué le maire Yacine Ramdani.
Cet argent est destiné à l’acquisition de nouveaux ustensiles de cuisine : fourchettes, cuillères, assiettes, plats, robots électriques et autres équipements. Cette opération s’inscrit, indique-t-on, dans le cadre des efforts fournis par l’APC d’Oued Ghir pour améliorer les conditions de la restauration scolaire des écoliers de la commune.
Par ailleurs, l’APC d’Oued Ghir contribue à hauteur de pas moins de 10 DA/repas pour garantir aux élèves des plats consistants et adéquats. Dans un autre chapitre, un budget similaire, soit 350 millions de centimes, a été alloué par l’exécutif communal pour doter les salles de classe de plusieurs écoles primaires de nouveaux tableaux, chaises et tables afin d’améliorer les conditions de scolarité des écoliers et de travail des instituteurs.
Pour rappel, l’APC d’Oued Ghir a bénéficié, également, à l’instar de toutes les communes de la wilaya de Béjaïa, d’un montant financier dans le cadre du FCCL, destiné au lancement de travaux de rénovation des écoles primaires, comme la plomberie, la boiserie, l’étanchéité et la peinture.
B. S.
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Le nouvel an berbère est souvent célébré dans l’aârch N’ath Béni Douala suivant un programme d’activités très riche, concocté par le mouvement associatif et les différents comités de village. Dans le but de préserver les traditions séculaires kabyles, les citoyens du village Taourirt Moussa ont déjà lancé une semaine culturelle, qui s’étalera jusqu’à samedi (12 janvier), au siège de l’association Tagrawla. Là, des films sur l’événement et la société kabyle, en général, sont projetés, en sus de pièces théâtrales et d’ateliers d’apprentissage de Tamazight.
À Ath Zmenzer, les citoyens d’Ath Anane seront égayés par une mosaïque d’activités, alliant plusieurs rites et traditions, durant les deux journées du 11 et 12 janvier, avec des expositions de robes Kabyles, la projection du film «Le chant des cigales», des pièces théâtrales et un gala artistique pour clôturer les festivités. Initiée par l’association Assirem de Thighzert, dans la commune d’Ath Aïssi, la première édition du Concours du meilleur «Couscous Yennayer» sera organisée à cette occasion. Les inscriptions seront clôturées aujourd’hui. Les meilleurs plats seront connus durant une cérémonie spéciale Yennayer, après-demain samedi.
Une journée lors de laquelle les membres de ladite association réservent beaucoup de surprises aux présents. A rappeler que Yennayer est le premier jour de l’an du calendrier agraire amazigh, qui correspond au 12 janvier du calendrier grégorien. Il sera fêté dans la commune d’Ath Douala avec l’organisation un carnaval en souvenir, selon la légende, de Chechanq (Sheshong), le fondateur, d’origine berbère, de la XXIIe dynastie des Pharaons. Comme chaque année, ce rendez-vous incontournable sera célébré dans la convivialité et la solidarité des habitants, autour de plats traditionnels spécialement préparés pour l’occasion pour renouer avec une communion ancestrale.
Lyes M.
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Eu égard à la promiscuité de la mairie de M’Kira, une opération d’extension a été retenue et sera lancée bientôt, indique le staff municipal. «C’est une opération déjà inscrite par l’ancienne équipe.
Dès notre installation, nous avons poursuivi les procédures. Hier (avant-hier, ndlr), j’ai récupéré tous les plans du CTC. Tout est prêt pour le lancement du projet, scindé en deux tranches», confiait avant-hier Hocine Bassaïd, adjoint au maire. Et de préciser: «Pour chacune des tranches, nous avons six millions de centimes».
Selon notre interlocuteur, les travaux seront lancés incessamment. «Une fois le projet réalisé, de nombreux services seront créés dans cette antenne», dira-t-il encore, en évoquant la probabilité de transférer l’état civil vers d’autres locaux du même édifice. Dans cette municipalité rurale, il y a un grand manque en matière d’édifices publics pendant que certains bureaux sont trop exigus. «Quand on a assez d’espace, le personnel travaillera dans le confort et les citoyens seront accueillis dans des conditions optimales», estime-t-il. À noter que l’ancien siège APC est actuellement occupé par une section d’intervention spéciale de la Gendarmerie nationale.
Par ailleurs, la bibliothèque communale est fermée depuis plus de deux ans. «Nous demandons aux autorités locales de la rouvrir parce qu’elle est indispensable dans notre chef-lieu. Ell a fonctionné quelques années et depuis l’expiration des contrats des employés qui y officiaient, ils n’ont pas été remplacés», déclarera un jeune étudiant accosté devant les locaux. En tout cas, même si cette extension a été accordée à l’APC, il n’en demeure pas qu’il est temps de doter le chef-lieu de cette municipalité rurale d’autres services afin de rapprocher le citoyen de l’administration quand on sait que la création de cette municipalité remonte déjà à plus de trente années.
Par ailleurs, tout le monde estime que le rapprochement des citoyens de l’administration passe aussi par la création d’antennes administratives dans les villages les plus peuplés. C’est l’avis d’un habitant de Tamdikt : «En principe, notre localité devrait avoir une annexe administrative. Pour se faire délivrer un certificat de résidence, nous faisons plus de dix kilomètres pour rallier le chef-lieu communal (Tighilt Bougueni). Pourtant, une population importante réside dans cette vallée jusqu’à la frontière avec Chabet El-Ameur (Boumerdès). Et puis, ce sera une antenne qui rendra aussi des services à nos voisins de la commune de Tizi-Gheniff, tels ceux de Marako, Adila et les hameaux environnants».Amar Ouramdane
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