K. M.
Bachir Ould Zmirli, membre du bureau fédéral de la FAF, qui occupait aussi le poste de vice-président de la fédération, a démissionné suite à son élection comme sénateur du Rassemblement national démocratique (RND) pour la wilaya d’Alger. Etant élu à la FAF et au RND, Ould Zmirli tombe sous le coup de l’article 122 de la Constitution qui stipule : «Le mandat du député et du membre du Conseil de la nation est national. Il est renouvelable et non cumulable avec d’autres mandats ou fonctions». En ce sens, Ould Zmirli n’a pas le droit de cumuler deux mandats en tant qu’élu et a fini par choisir la politique au sport. La démission d’Ould Zmirli ne contraint pas la FAF à le remplacer. Cependant au cas où plus de trois membres démissionnent du bureau fédéral, la FAF sera obligée d’organiser des élections pour les remplacer. Pour ce qui est du NA Hussein Dey, c’est le frère de Bachir Ould Zmirli, en l’occurrence Mahfoud, qui occupe le poste de président de club.The post FAF: Ould Zmirli démissionne pour se consacrer à la politique appeared first on .
M. Nadir
Le tribunal criminel de première instance près la cour d’Oran a prononcé, hier, la peine de mort contre M. Houari, coupable d’avoir tué le dénommé B. Djameleddine à coups de couteau.La tragédie remonte au mois de septembre 2017 lorsque les éléments de la police de Sidi Benyebka, commune située à une dizaine de kilomètres du chef-lieu de la daïra d’Arzew, ont été alertés sur l’admission aux urgences de l’hôpital d’El Mohguen d’un homme âgé de 28 ans présentant de graves blessures manifestement provoquées par un objet coupant. Après avoir subi deux interventions chirurgicales complexes et un transfert au CHU d’Oran, l’homme n’a pas survécu à ses graves blessures (au cœur, au foie et aux reins) qui ont entraîné une hémorragie massive et la perte de quelque quatre litres de sang.
Les premiers éléments de l’enquête mènent les policiers à une salle de jeu de Sidi Benyebka à proximité de laquelle ils constatent la présence de traces de sang. Interrogés, des témoins désignent le dénommé M. Houari comme étant l’auteur de l’agression mortelle de Djameleddine. Interpellé, le suspect, âgé de 21 ans, reconnaît l’agression et donne sa version des faits : ce jour-là, raconte-t-il, il est entré à la salle de jeux pour quelques parties de billard mais le défunt qui se trouvait déjà sur les lieux l’a empêché de jouer et lui a fait des avances. «Une altercation a éclaté, il m’a donné une gifle et m’a entraîné dehors où il a essayé de me frapper avec une batte de base-ball», affirme le suspect, en ajoutant avoir réussi de s’enfuir chez lui avant de revenir muni d’un couteau pour se venger. Houari, qui précisera avoir agi sous l’effet de la boisson, reconnaîtra avoir donné plusieurs coups de couteau à Djameleddine et avoir pris la fuite en jetant l’arme du crime dans le jardin du quartier. Lors de son procès, l’accusé a répété avoir réagi aux provocations du défunt et ses avances indécentes, et rejeté la préméditation et l’intention de donner la mort. Ce que les témoins, qui se sont succédé à la barre, ont récusé en affirmant que c’est l’accusé qui a fait des avances au défunt et que c’est lui qui l’a appelé dehors pour l’agresser au couteau. Dans sa plaidoirie, l’avocat de la partie civile a affirmé que les faits étaient clairs et qu’il n’y avait aucun doute sur les intentions de l’accusé lorsqu’il est allé chercher un couteau. Le représentant du ministère public a, lui, requis la réclusion à perpétuité en s’appuyant notamment sur les aveux de l’accusé et les dépositions accablantes des témoins. Quant à la défense, elle a tenté de plaider les coups et blessures ayant entraîné la mort sans intentions de la donner et solliciter les circonstances atténuantes pour son jeune client. Après délibérations, le tribunal a décidé que M. Houari était coupable d’homicide volontaire avec préméditation et l’a condamné à la peine maximale. Le condamné dispose de dix jours pour faire appel du verdict.The post Tribunal criminel d’Oran: Peine de mort pour le meurtrier de Sidi Benyebka appeared first on .
M. Zeggai
Quatre joueurs ont quitté le championnat national en ce mercato d’hiver: Tayeb Meziani (ex-PAC) qui a opté pour l’ES Tunis, Aribi (ex-DRBT) pour l’ES Sahel, Nadir Korichi (ex-CRBAF) s’est engagé avec le CS Sfaxien et Mohamed El Amine Hammouche avec Al-Qaisoma (club de 2ème division saoudienne).Douze nouveaux joueurs africains ont été recrutés en cette période hivernale, en attendant, le Sénégalais Boye, annoncé au CRB, en plus du retour du Camerounais Landry Ntankeu, signataire au NAHD, après une expérience avec l’ASMO, en 2015. Cela sans compter le Franco Algérien Roumadi que compte engager l’USMA et deux émigrés. Telles sont les nouveautés de ce mercato hivernal 2019 qui aura été marqué par l’intransigeance de la FAF relative à l’interdiction de recrutement aux clubs endettés.
Quelques heures avant la fermeture officielle du délai, qui était prévue hier à minuit, nous avons enregistré plus d’une centaine de transactions au sein des deux Ligues 1 et 2, alors que l’arrivée de Merouani (ASO) au MCA était encore d’actualité, hier, en début de soirée. Remarque: le Paradou AC et le l’USMBA sont les seuls clubs qui n’ont enregistré aucune arrivée lors de cette période. Le PAC en raison de l’éclosion de ses Académiciens, et l’USMBA à cause de la gestion catastrophique de l’équipe dirigeante et la crise financière qui a influé, négativement, dans cette opération.Managers, agents de joueurs: source de confusion
Quel rôle jouent ces managers dans le développement du football national ? Disposent-ils de la compétence et les connaissances en matière réglementaire exigées pour faire face aux éventuels conflits de joueurs avec leurs employeurs ? Bien au contraire, ils sont en train de nuire à la carrière et à la mentalité des joueurs algériens. Leur seule préoccupation reste la « commission » qu’ils soutirent lors des transactions des joueurs avec la complicité des dirigeants des clubs. Ces pseudo-managers et autres agents de joueurs manquent d’anticipation, car « il est important de différencier la performance du moment et le potentiel à venir », dit-on. Ces intermédiaires disposent-ils d’une connaissance du football, aussi bien tactique que technique ? Nous en doutons.
Combien de joueurs et combien de clubs ont été induits en erreur ? Combien de jeunes ont été victimes de douteuses transactions ? Combien de joueurs ont été soutenus par ces managers dans leurs conflits avec la CRL ? Le plus grave, c’est que certains managers de clubs n’hésitent pas à exiger un mois de salaire aux joueurs devant opter pour leurs clubs. Là, les exemples ne manquent pas. Le tout dernier, on a appris qu’un manager d’un club de l’Ouest a conditionné le recrutement d’un entraîneur par le versement d’un salaire. D’autres jouent sur la prime de match pour prendre un pourcentage. C’est l’amère réalité du football algérien qui a besoin d’une grande lessive pour sortir de son marasme.Directive de l’UNAF: Un vrai casse-tête
La dernière directive de l’Union Nord Africaine de Football (UNAF) concernant la libre circulation des joueurs des cinq fédérations membres (Algérie, Maroc, Tunisie, Libye et Egypte) a ouvert un nouvel horizon aux joueurs vers d’autres cieux. Cette directive a réjoui certains managers et autres responsables de clubs pour se faire une fortune sur le dos des nouvelles recrues venues des pays membres de l’UNAF, mais le Bureau fédéral de la FAF a mis un terme à ce marché juteux, beaucoup plus pour donner la chance aux joueurs locaux et de s’épanouir dans leurs clubs.
A cet effet, la Tunisie a été le premier pays à avoir exploité cette directive à ne plus considérer les joueurs des pays d’Afrique du Nord comme des étrangers, ce qui explique l’arrivée de nouveaux joueurs dans le championnat tunisien.
Certains observateurs estiment que la FAF a pris une décision sage, dans l’intérêt du football national sinon, quel intérêt de submerger le championnat national avec des joueurs étrangers pour ne pas ensuite compter sur eux pour revêtir le maillot national ?
Le patron de la FAF, Kheireddine Zetchi, a confirmé que la mise en application de la dernière décision de l’UNAF n’est pas encore à l’ordre du jour, tout en laissant la porte ouverte en affirmant que la libre circulation des joueurs nord-africains ne pourrait intervenir avant la saison prochaine.
MOB, MCO, USMA et JSK: Les plus actifs sur le marché
Avec cinq nouvelles recrues chacun, ce sont le MOB et le MCO qui ont été les plus actifs lors de ce mercato. Leurs situations au classement en est peut-être la raison principale. Au Mouloudia de Béjaïa, on veut mettre tous les atouts de son côté pour éviter toute mauvaise surprise.
A la question qui s’impose le recrutement est-il étudié pour donner la complémentarité escomptée ? Réponse en fin de championnat. C’est la même question qui taraude l’esprit des fans du Mouloudia d’Oran où on estime que le recrutement n’est pas en conformité avec le rapport départs-arrivées. Deux défenseurs, l’Ivoirien Vivien et Mohamedi, deux milieux de terrain, Benamara et El Mouaden, et un attaquant de couloir, Aouedj, alors que l’équipe manque d’avant-centre, notamment après la libération de Chibane.
L’USMA, quant à elle, semble avoir mal géré cette opération après les voltes-faces de Serrar, chargé de la gestion technique de l’équipe. Pris par le temps et avec des fausses promesses de Belkaroui, Belkhiter et autres joueurs, Serrar s’est contenté d’un Franco-Algérien, à la toute dernière minute, à savoir le défenseur Yanis Roumadi, en provenance de la 2e division roumaine, sans avoir passé les tests. Alors que l’USMA enregistre un déficit dans la charnière centrale, on a fait venir deux attaquants, Zouari et le Libyen Ellafi et Belarbi, un milieu de terrain où l’équipe est bien pourvue avec les Benguit, Kouidri, Chita et Boukhemassa.
De son côté, la JSK n’a pas fait de folies en tenant compte de la réalité du terrain et de l’absence de joueurs répondant aux critères exigés par le haut niveau.
La JSK, en concertation avec son coach Frank Dumas, a opté pour la sagesse avec un recrutement, qui lui a semblé cohérent avec son budget et ses objectifs.
– Ligue 2
En Ligue 2, le WAT s’est parfaitement illustré dans ce domaine en faisant appel à cinq nouveaux éléments et ce, pour se donner les moyens de sa politique.
C’est le cas du NC Magra qui veut confirmer son statut de révélation de son groupe en convoitant des éléments de divisions inférieures, mais dont on dit le plus grand bien, tels que Mebarki (ex-IRBM), Chikhi (ex-NRB Touggourt) et Feggaâs (ex-CRVM). Sur le plan de la qualité, il nous semble que la JSM Béjaïa a fait le bon choix avec l’arrivée de joueurs ayant une certaine expérience, sans pour autant oublier l’USM Annaba. Quant à l’ASMO, victime d’une crise financière sans précédent , a été la grande déception dans ce genre de transactions avec la venue de joueurs inconnus au bataillon et limités techniquement, si l’on croit certains observateurs. Pour ce qui est du leader, l’ASO Chlef, s’est contentée d’engager deux joueurs seulement.
Il est vrai que le team de Samir Zaoui est sur la bonne voie, mais il aurait, peu-être, fallu entrevoir la suite de la compétition, avec notamment le risque des blessures et le cumul de la fatigue, surtout que le championnat et surtout la course à l’accession ne donnera aucun temps de répit aux prétendants. Les autres formations se sont renforcées en fonction de leurs moyens financiers et de leurs objectifs.
Principaux transferts
USMA: Muaid Ellafi (Libye), Belarbi (ex-USMH), Zouari (ex-USMBA), Yanis Roumadi (Franco Algérien).
CSC: Yettou (ex-MCO), Arouna Dang (Cameroun), Bahamboula (Congo).
CRB: Bouchar (ex-MCO), Zerroual (ex-ESM), Sayoud (ex-USMA).
MCA: Mehdi Benaldjia (ex-JSK), Samy Frioui (ex-AEL Larissa-Grèce), Lamara (ex-USMBA), Merouani (ASO).
NAHD: Landry Ntankeu (Cameroun), Yaya (USMA), Bousmaha (JSS).
DRBT: Dellahi Yali (Mauritanie), Benyettou (US Béni Douala).
JSK: Kabari (ex-USB), Benchaïra (ex-ASAM), Belgherbi (ex-JSMB).
MCO: Vivien (Côte d’Ivoire), Mohammedi (ex-USMB), Aouedj (ex-JSS), Benamara (ex-USMH), El Mouaden (ex-CABBA).
CABBA: Kader Bidimdu (Congolais), Isla (ex-ESS), Aissa El Bey (USMB).
ESS: Iviani (Nigéria).
ASAM: Mahious (prêt USMA), Hanifi (émigré).
JS Saoura: Ziri Hamar (ex-MCO), Thomas Ulimwengu (Tanzanie), Boukbouka (USB Douala).
OM: Takfarinas (ex-RCK), Rachedi (ex-USMH), Baouche (ex-USMH), Gueye (Sénégal).
MOB: Boukhanchouche (ex-JSK prêt), Jean Bessan (Bénin), Bentiba (ex-ASMO), Bouazza (ex-MCO), Ali Guechi (ex-Avenir Gabessien).
– Ligue 2
RCK: Ouhadda, Bellatrèche et Ghellab, Djemili (ex-JSS), Metref (ex-JSMS)
USMH: Djerbiaâ (ex-JSMB), Moulhi (ex-MOB), Mellal (ex-MBH), Hachem (ex-RCR).
RCR: Nemdil Zahir (ex-CABBA), Kouriba (ex-ASAM), Nach (ex-USBD).
NCM: Mebarki (ex-IRBM), Bouflih (ex-CABBA), Benkouider (ex-MCEE), Chikhi (ex-NRB Touggourt), Feggaâs (ex-CRVM).
USMAn: Sahbi (ex-ASAM), Boucif (ex-ESS), Brahmia (ex-NCM), Mebarki (ex-ASMO), Bahri (ex-OM).
ESM: Toutaoui (ex-USMMH), Aït Mimoun (ex-SCMO), Khiter (ex-USMH), Aguid (ex-ASMO)
JSMS: Zeghnoun (ex-NAHD), Lemhane (ex-ASAM), Salah Hmida (ex-USBD), Simani (ex-RCR), Zahzouh (ex-ASMO).
ASMO: Tameur (ex-CRBAO), Djafaili (ex-RCB), Ensaâd (ex-RCK), Benbelkacem (ex-CAB).
USMB: Namar (ex-PAC), Maâziz (ex-NAHD), Tchicko (ex-ABS), Habchi (exABS).
ASO: Boucherit (ex-USMAn), Semmane (ex-international U 23), Bengrina.
JSMB: Hichem Mokhtar (ex-DRBT), Maâmar Youcef (ex-WAT), Zenasni (ex-JSS).
MCEE: Bellal (ex-MCO), Ait Abdelmalek (ex-USMH), Aymen Charef (U 21 ex-ESS).
WAT: Benchikhoune (prêt USMA), Hichem Cherif (ex-ASMO), Zerguine (ex-USMB),Toubal (ex-USMAn).
ABS: Bouloudene (ex-CRBDB), Darfelou (ex-NCM), Zermane (ex-NT Souf), Baâli (ex-NAHD).
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Kamel Mohamed
Après la réunion de lundi dans laquelle il a été procédé à l’approbation du procès-verbal de la séance du 27 novembre 2018, avec notamment la confirmation de Djamel Messaoudene au poste de vice-président de la Ligue, de Akli Adrar (président de la Commission chargée de la lutte contre la violence), de Mohamed Boualem (président de la Commission de l’éthique), de Farouk Belguidoum (président de la Commission de l’audit des stades), de Mourad Belakhdar (responsable du département des compétitions) et de Mabrouk Herrada (président de la Commission du marketing), le président de la LFP, Abdelkrim Medouar, devrait réunir demain de nouveau son bureau pour présenter le secrétaire général de la LFP.Il s’agit d’un juriste qui exerçait au sein du Tribunal arbitral sportif, a-t-on indiqué auprès de la LFP. Pour rappel, l’ex-secrétaire général, Omar Aourir, a été désigné le mois de novembre dernier et avait démissionné de son poste moins de 48 heures après sa désignation.
Aourir avait refusé de cautionner la situation qui prévalait au sein de la LFP, d’où son refus d’occuper le poste de SG. Cette fois-ci, Medouar a pu trouver un secrétaire général qui a accepté la mission de SG de cette structure de gestion des championnats de football des Ligues 1 et 2. Medouar a également désigné Djamel Messaoudene au poste de vice-président de la Ligue et a confié les commissions spécialisées de la LFP aux membres de son bureau.
Cela est intervenu six mois après l’élection de la Ligue, alors que la désignation du secrétaire général, du vice-président et des présidents des différentes commissions devait intervenir juste après l’élection de la LFP.
En ce sens, la Ligue a fonctionné sans SG et sans vice-président et présidents des commissions pendant plus de six mois, ce qui explique les problèmes de gestion dans le championnat.
Le président de la LFP avait tout monopolisé à son niveau et les autres membres ne faisaient que subir les décisions prises par Medouar.
La monopolisation des décisions avait amené Medouar à commettre des erreurs qui avait failli emporter la Ligue dans leur sillage, notamment en ce qui concerne le calendrier du championnat.
C’est sous la pression des clubs que le président de la LFP a cédé et a accepté de désigner un secrétaire général et un vice-président. Désormais, les décisions de la LFP devraient être collégiales, sauf si les autres membres continuent de subir le pouvoir sans partage de Medouar, pour ainsi dire.
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K. M.
L’ancien président du MC Alger, Abdelkader Drif, a remis des documents historiques du Mouloudia au Musée olympique algérien, a-t-on appris auprès de cette structure. Originaire de Tissemsilt, Drif (82 ans) a été le président du MCA, premier club algérien à remporter un titre africain, à savoir la Coupe d’Afrique des clubs champions en 1976 (actuellement la Ligue des champions). Il a également remis le diplôme honorifique décerné au MCA quand ce club avait participé à un tournoi international organisé à l’invitation du Real Madrid. Il a également remis d’autres documents historiques quand il a été président dans les années 1970.The post COA – Musée olympique: Des documents historiques du MCA remis par Drif appeared first on .
Abid Djebbar
Le Sari de Mohammadia vient d’obtenir un excellent résultat ce week-end, avec la reprise de la phase retour du championnat. En effet, les gars du SAM sont parvenus à battre, au stade Ouali-Mohamed, l’IRB El-Kerma, une formation coriace qui figure parmi le lot des prétendants à l’accession en Ligue 2, comme l’attestent ses bons résultats et son classement sur le podium. Ce résultat permet au Sari de remonter à la dixième place du classement général du groupe, devant six formations, à savoir le RCBOR, le CRBDB, le SKAF, l’IRBM, le CRBDB et la lanterne rouge l’US Remchi.Les hommes du coach Bouazza Krachaï, certainement revigorés par leur qualification en Coupe d’Algérie, évoluent ces derniers temps dans un climat serein, ce qui n’était pas le cas auparavant. S’ils arrivent à conserver cette même cadence, les protégés du président Habib Benfetta pourraient fort bien améliorer leur classement et rêver à des objectifs plus ambitieux, pour peu qu’ils fassent preuve de volonté.
Cette embellie est de nature à satisfaire le président qui a éprouvé moult difficultés au début de ce championnat pour rassembler les joueurs et trouver des sources de financement. A l’heure actuelle, le SAM se trouve en bonne position et paraît en mesure de conserver sa place dans ce palier.
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M. Lamine
Les semaines se suivent et se ressemblent pour le CRB, qui continue de manger son pain noir. L’espoir de se maintenir en Ligue 1 s’estompe, de plus en plus, à mesure qu’avance le championnat. « A quand le réveil de l’équipe ? », ne cessent de s’interroger les fans belouizdadis, qui viennent de recevoir une douche froide à l’issue du semi-échec enregistré à domicile devant le PAC, qui a forcé le CRB au nul.D’autres fans se demandent si le renforcement de l’effectif par de nouveaux joueurs améliorera le rendement de l’équipe, au moment où cette dernière fait du surplace en championnat. Toujours est-il que le milieu sportif belouizdadi continue de vivre dans l’illusion incarnée par ses dirigeants qui font tout pour remonter le moral des joueurs toujours sous pression, comme l’a souligné le manager général du club Saïd Allik. «On avait espéré que nos éléments remportent ce match contre le PAC, mais cela ne s’est pas réalisé. Pourtant, ils ont bien joué et se sont procuré beaucoup d’occasions, mais le dernier geste leur a fait défaut, malgré le soutien indéfectible des supporters qui continuent de croire au maintien, comme nous le sommes nous aussi. Il faut dire que les joueurs ne manquent de rien et sont mis dans de bonnes conditions de travail avec la régularisation de leurs soldes.
Cela prouve que notre sponsor majeur Holding est toujours derrière le club». Cette déclaration d’Allik, qui est investi du rôle de « pompier » dans cette situation que vit le club, vise à mettre les joueurs devant leurs responsabilités afin qu’ils fassent tout pour éviter, à leur formation, d’être reléguée en Ligue 2 à la fin du championnat. Même l’entraîneur adjoint Lotfi Amrouche reconnaît que ses éléments n’arrivent pas à se mettre en valeur pour récolter les victoires. « La pression empêche nos joueurs de gagner les matchs. Je sais qu’on se retrouve toujours en position de relégable potentiel, mais nous ne baisserons pas les bras, on continuera à se battre pour faire sortir l’équipe de sa situation actuelle », a déclaré Amrouche.
Par ailleurs, le CRB a clos le dossier du recrutement avec l’arrivée officielle de l’attaquant congolais Ousseyna Boye, qui évoluait en division inférieure du championnat danois et jouait comme attaquant. Les dirigeants ainsi que le staff technique souhaitent, ardemment, voir ce joueur régler le problème de l’efficacité dont souffre l’équipe qui jouera ce jeudi contre le Mouloudia d’Alger, au stade du 5-Juillet pour le compte de la 18ème journée du championnat.Un rendez-vous capital pour la formation belouizdadie, qui est condamnée à remporter ce derby pour provoquer le déclic.
Car battre le MCA qui tourne très bien, en ce moment, équivaut à un véritable exploit. Les Belouizdadis sont conscients de l’enjeu que comporte cette empoignade.
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LG Electronics (LG) devrait encore ravir les amateurs de home cinéma du monde entier en présentant sa toute dernière gamme de barres de son au CES 2019.
Les nouvelles barres de son de la société offrent une qualité de son supérieure grâce à une collaboration avec Meridian Audio, pionnier de l’audio haute résolution. Elles arborent fièrement des fonctionnalités intelligentes et un design moderne et élégant. Produisant un son puissant et multidimensionnel couvrant tous les coins de la pièce et fournissant l’incroyable facilité d’usage de l’IA, la gamme 2019 de LG permet une expérience utilisateur vraiment immersive et met en vedette deux lauréats du CES Innovation Award (les modèles SL9YG et SL10YG). La modèle premium SL9 de LG a su surpasser la concurrence dans sa catégorie pour remporter le titre si convoité du Meilleur de l’Innovation.
Oeuvrant en étroite collaboration avec Meridian, LG continue à améliorer la qualité sonore de sa gamme de produits, étendant, cette année, sa technologie sophistiquée à ses trois modèles de barres de son (modèles SL10YG, SL9YG et SL8YG). La collaboration va bien au-delà de la simple mise au point ou de l’adoption de sets de fonctionnalités. Les deux entreprises unissent leurs forces en vue de mettre au point un son de qualité pour une expérience d’écoute véritablement inégalée. Forte de ses 25 ans d’expérience en tant que maître absolu du Traitement du Signal Numérique (Digital Signal Processing), la technologie Bass & Space de Meridian améliore la scène sonore par une image cohérente et des basses puissantes. Avec sa technologie Image Elevation, conçue pour donner à l’image sonore une dimension plus réaliste renforçant le sentiment d’immersion des auditeurs, Meridian crée un véritable espace cinématographique, offrant un son surround puissant à nul autre pareil.
Capable d’amplifier l’audio à deux canaux en audio à plusieurs canaux distincts, sans générer de distorsion et en maintenant l’équilibre tonal, la technologie Upmix de Meridian augmente l’immersion sonore, améliore le champ sonore et la clarté des voix et des principaux instruments. Avec ces exclusives améliorations techniques de pointe, l’expérience utilisateur fournie par la gamme 2019 de LG est encore plus renforcée.
Les barres de son haut de gamme de LG (modèles SL10, SL9 et SL8) s’adaptent à la fois à Dolby Atmos et à DTS:X. Avec ces deux technologies reconnues à bord, les utilisateurs peuvent profiter d’un surround réaliste à couper le souffle, qui semble provenir de multiples directions et profondeurs. De plus, certains nouveaux produits de barre de son premium de LG prennent en charge l’audio haute résolution et disposent d’un algorithme de traitement avancé capable de mettre à niveau les formats de fichiers conventionnels, pour les rapprocher de la qualité studio. Pour renforcer ce résultat déjà extraordinaire et enrichir le paysage sonore nuancé des ultimes barres de son de LG, les utilisateurs peuvent ajouter le kit enceinte arrière sans fil.*
Outre un son de qualité supérieure alliant puissance, clarté et richesse, toutes les nouvelles barres de son de LG offrent les avantages d’une connectivité basée sur l’intelligence artificielle et la reconnaissance vocale, dus à l’Assistant Google intégré. Les utilisateurs peuvent contrôler leur barre de son LG et obtenir des informations, simplement en disant «Hey Google, augmente le volume» ou «Hey Google, qui est l’artiste qui joue ? De plus, la compatibilité avec les produits intelligents, activés par Google Assistant, permet de contrôler les appareils connectés dans toute la maison, via une commande vocale. Adressez-vous simplement à la barre de son en disant : «Hey Google, demandez à LG d’allumer le purificateur d’air», pour effectuer des réglages sans quitter votre canapé.
Les barres de son 2019 de LG ont un design épuré et raffiné qui épouse parfaitement au style chic des exceptionnels téléviseurs OLED de LG, formant avec eux une unité homogène, lorsqu’ils sont placés sous l’un des téléviseurs de la prochaine génération de la firme. Avec ses 57 mm de profondeur, le LG SL9 peut également être installé au ras du mur pour une apparence épurée qui permet d’économiser de l’espace et ajoute une note sophistiquée. Un capteur gyroscopique intégré mesure la position de l’appareil (fixé sur un mur ou sur une surface plane), ajustant la direction du son pour garantir une expérience d’écoute optimale. Avec sa forme distinctive, le SL9 révolutionnaire de LG a gagné le prix du Meilleur de l’innovation au concours de l’innovation du CES 2019.
«Les barres de son 2019 de LG offrent des performances étonnantes conçus en partenariat étroit avec Meridian Audio et une connectivité ingénieuse due à l’intelligence artificielle», a déclaré Kim Dae-chul, responsable des activités audio et vidéo de LG Home Entertainment Company. «Le son de haute qualité et la polyvalence de notre nouvelle gamme confèrent au divertissement à la maison une un niveau inédit et répond à la demande croissante de solutions de barre de son premium, offrant une expérience d’écoute impressionnante, une plus grande commodité et une esthétique élégante et moderne. ”
Les visiteurs du stand de LG au Las Vegas Convention Center (hall central n ° 11100), pendant le CES 2019, découvriront les modèles primés de barres de son LG 2019.
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Un homme, né en 1963, s’est présenté en octobre 2018 au commissariat de police pour porter plainte contre son ex-femme. Depuis juillet 2017, a-t-il expliqué, sa femme aurait emmené leurs trois filles (5, 6 et 10 ans) vivre avec elle en Algérie et ne lui aurait pas permis de les revoir.
La police a tenté à plusieurs reprises de la contacter mais sans succès. Jusqu’à lundi, où la femme, en visite en France, a décidé de se présenter au commissariat, se sachant recherchée.
Lors de son audition, elle a expliqué qu’elle avait reçu l’accord oral de son ex-mari d’emmener ses filles en Algérie. Lui a réfuté.
Elle a été placée sous contrôle judiciaire, avec interdiction de retourner en Algérie. Si elle veut les voir, elle devra faire revenir en France ses trois filles.The post Vaulx-en-Velin : interdiction de retourner en Algérie pour une mère de famille appeared first on .
Les subventions et les transferts sociaux ont commencé à faire l’objet d’une étude destinée à examiner les conditions de réforme et de ciblage.
L’Exécutif serait favorable à un effort de réforme qui toucherait le sacro-saint poste des subventions et celui des transferts sociaux. Embourbé depuis quelques années déjà dans une polémique invoquant l’intention de l’État à remettre en cause sa politique sociale, le gouvernement ne faisait que repousser la fameuse réforme des subventions et des transferts sociaux.
Hier, le directeur de la prévision au ministère des Finances, Sidi Mohamed Ferhane, a soulevé un coin du voile des velléités du gouvernement qui semble vouloir reprendre ce chantier de réforme après avoir soufflé le chaud et le froid pendant plusieurs années.
Sur les ondes de la Radio algérienne, Sidi Mohamed Ferhane a indiqué que les transferts sociaux, qui, à eux seuls, consomment 3 500 milliards de dinars annuellement, ont commencé à faire l’objet d’une étude destinée à examiner les conditions de réforme et de ciblage des subventions.
Plus explicite, le directeur de prévision au ministère des Finances a souligné que sur la base d’une enquête de l’Office national des statistiques (ONS), relative à la consommation des ménages, il ressort que cette réforme devrait toucher en priorité, par le biais de taxes, les produits énergétiques (gaz, électricité et carburants) subventionnés à hauteur de 1 700 milliards de dinars pour la seule année de 2017. Il y ajoute les autres types de transferts sociaux qu’il évalue également à environ 1 700 milliards de dinars.
Ses propos rompent en tout cas avec le discours habituel qui tentait inlassablement de faire croire qu’une réforme des subventions serait synonyme d’une remise en cause de l’action sociale de l’État. Signe de ces interminables revirements du gouvernement sur une réforme aussi sensible que nécessaire, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, s’est permis, il y a quelques mois, un démenti pour le moins sévère, décoché à l’adresse du ministre des Finances, Abderrahmane Raouya.
Ce dernier s’est laissé prendre dans le filet de quelques confidences dites à la presse, laissant entendre que l’État allait faire table rase dès 2019 de ses politiques en matière de subventions et de transferts sociaux. Le patron du gouvernement n’a pas tardé à apporter sa précision, affirmant que l’année 2019 ne connaîtra aucun changement au plan de la politique sociale de l’État. L’Exécutif nourrissait sans relâche la confusion sur ses véritables intentions en la matière, même si le FMI a rapporté à maintes reprises que les autorités algériennes allaient reprendre dès 2019 leur politique d’assainissement des finances publiques.
Laquelle suppose que l’on revienne aux coups de rabot qui toucheraient plusieurs postes de dépenses, dont celui des subventions et des transferts sociaux. Les subventions aux produits énergétiques accaparent l’essentiel de l’engagement volontariste de l’État avec, au compteur, 1 500 à 1 700 milliards de dinars annuellement, alors que l’habitat mobilise une cagnotte de 470 milliards de dinars/an, la santé (320 milliards de dinars), le soutien aux familles et aux produits de base (450 milliards de dinars). En tout cas, l’Exécutif n’a plus le choix que de dégraisser le mammouth pour pouvoir rétablir l’équilibre des comptes publics.
Ali Titouche
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Le commerçant est pénalisé par la présence, en rayon, de produits dépourvus d’étiquettes ou dont le prix est erroné.
Tout agent économique concerné par les ventes en solde, une opération qui a débuté le 6 janvier et s’étalera jusqu’au 2 mars prochain, doit rendre publics, par voie d’affichage sur la devanture de son local commercial et par tout autre moyen approprié, les dates de début et de fin des ventes en solde, les biens concernés, les prix pratiqués auparavant et les réductions de prix consenties qui peuvent être fixes ou graduelles. C’est la procédure établie.
Mais ce n’est automatiquement pas celle qui a été suivie jusqu’à aujourd’hui. Hadj Tahar Boulenouar, président de l’Association nationale des commerçants et artisans (Anca), estime que les gens se font arnaquer dans les magasins par certains commerçants peu scrupuleux. Ces derniers, a-t-il dit, cherchent à tromper les consommateurs sur les prix.
Exemple : un produit donné paraît bon marché, parce que l’ancien prix a été fortement baissé à l’occasion des soldes. Il a été, en fait, étiqueté ou présentée de manière fausse, trompeuse ou mensongère. Comme c’est souvent le cas, c’est la différence entre l’ancien et le nouveau prix qui attire les clients. Selon les règles encadrant l’opération des ventes en solde, des pénalités seront infligées aux commerçants contrevenants qui annoncent des réductions truquées. Le commerçant contrevenant au règlement et coupable de dépassements sera immédiatement mis en demeure.
En cas de récidive, un procès-verbal sera dressé contre le concerné pour publicité mensongère, conformément à la loi 04/02 du 23 juin 2004, relative aux modalités d’exercice des activités commerciales. Le commerçant est aussi pénalisé par la présence, en rayon, de produits dépourvus d’étiquettes ou dont le prix est erroné. Hadj Tahar Boulenouar explique que les représentants de l’association qu’il dirige seront présents dans de nombreuses wilayas pour suivre le déroulement de cet événement commercial.
De même qu’ils établiront des statistiques sur les différents produits proposés à la vente en solde et sur le nombre des commerçants impliqués dans cette opération. Nos représentants, a-t-il poursuivi, vont également discuter avec les consommateurs sur la manière dont se déroule l’opération et sur les prix proposés. Le président de l’Anca souhaite que les producteurs s’associent, comme devrait le faire tout producteur, à cet événement. En tout cas, les dispositions de la loi le leur permettent.
Le producteur désirant réaliser des ventes en magasins d’usines est tenu de déposer, auprès du directeur de wilaya du commerce territorialement compétent, une déclaration accompagnée d’un dossier de pièces requises. Mais dans la pratique, ils s’en détournent. Et ce sont les produits importés qui se taillent la part du lion dans les magasins, notamment au rayon habillement, a souligné Hadj Tahar Boulenouar pour qui ces produits ont le vent en poupe.
L’organisation de ces ventes en solde constitue une opportunité importante pour les commerçants afin de dynamiser et de promouvoir leurs activités et offre aux consommateurs l’occasion de bénéficier d’un choix plus varié et à des prix promotionnels quant à divers biens et services. Les ventes en solde ne peuvent porter que sur des biens acquis par l’agent économique depuis trois mois au minimum à compter de la date du début des ventes en solde.
Youcef Salami
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Institué dans le cadre de la loi de finances complémentaire pour 2018, le droit additionnel provisoire de sauvegarde (Daps) applicable aux opérations d’importation de marchandises se fait toujours attendre par les opérateurs économiques.
Cette taxe est d’autant attendue par les opérateurs qu’elle devait mettre fin à l’interdiction d’importation de plus de 871 produits. Au mois d’octobre dernier, le ministre du Commerce, Saïd Djellab, avait déjà annoncé la levée du gel imposé à l’importation d’une liste de 871 produits, mais sans donner de date précise. Il avait alors expliqué que tous les produits importés devraient être soumis à la nouvelle taxe, le droit additionnel provisoire de sauvegarde (Daps), au lieu de l’interdiction de leur importation.
Il avait aussi déclaré que la liste des marchandises soumises au Daps était finalisée et que les modalités d’élaboration et de fixation de cette liste des marchandises soumises au Daps et les taux correspondants avaient été publiés au Journal officiel n°57 du 26 septembre 2018 après la signature d’un décret par le Premier ministre Ahmed Ouyahia. Pour faire face à la chute des cours du pétrole et limiter les importations, les pouvoirs publics ont fait une fixation sur le commerce extérieur national en instituant une gestion purement administrative pour le contrôler, faite essentiellement d’interdictions. Cela a commencé par les licences d’importation pour ensuite passer aux listes de produits interdits d’importation. Finalement, le gouvernement a estimé que l’interdiction des importations n’était pas la panacée, d’autant que le bilan d’étape de mise en œuvre des mesures d’interdiction n’a pas eu l’effet escompté.
Les économies réalisées sont dérisoires par rapport à ce qui était attendu.
Mais pas que ça. En effet, ces interdictions, censées protéger la production nationale, ont mis sur la brèche nombre de producteurs locaux. C’est le cas des producteurs de la filière lait qui, début novembre dernier, ont lancé un véritable cri d’alarme quant aux difficultés d’approvisionnement en matières premières de production de cette industrie de transformation de lait et produits laitiers. Des difficultés qui, selon eux, mettent en danger la viabilité de l’outil de production et du maintien du niveau de l’emploi direct et indirect.
Contacté hier, Ali Hamani, président de l’Association des producteurs algériens de boissons (Apab), a indiqué que la situation n’a pas changé, déplorant, au passage, le retard mis dans la mise en œuvre du Daps, synonyme de la levée sur l’interdiction d’importation. Selon les informations dont dispose le président de l’Apab, le travail dévolu au ministère du Commerce a été finalisé. Mais le dossier est en souffrance au Premier ministère. Puisque, selon l’article 2 du décret publié au Journal officiel, la liste des marchandises soumises au droit additionnel provisoire de sauvegarde et les taux correspondants sont arrêtés par un comité interministériel, ci-dessous dénommé le “comité”. Ce comité, stipule l’article, est présidé par le représentant du Premier ministre.
Tout porte à croire donc que la mise en œuvre du Daps est suspendue à la réunion de ce comité interministériel. Une réunion qui, mystérieusement, tarde à se tenir.
Saïd Smati
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La peste des petits ruminants menace de décimer des races entières et met la filière dans une situation de grande précarité. Le constat est du vice-président de la Fédération nationale des éleveurs. S’il ne livre pas son propre bilan, il considère que le seuil des 2000 têtes déjà perdues est largement dépassé.
Nawal Imès- Alger (Le Soir) – Face à l’immensité des territoires, à la spécificité de l’activité mais surtout à la prédominance de l’informel, la Fédération nationale des éleveurs affirme ne pas pouvoir pour l’heure faire le point sur les dégâts causés par la peste des petits ruminants ou la fièvre aphteuse. Son vice-président lance néanmoins un SOS au nom de ses adhérents afin que la crise soit rapidement circonscrite. Le risque est, dit-il, énorme : des races entières sont menacées de disparaître si rien n’est fait.
Pour Mezrouna Belkacem , il ne s’agit ni plus ni moins que d’une catastrophe qui menace l’avenir de la filière. Si les statistiques du ministère de l’Agriculture évoquent pas moins de 2 000 bêtes perdues, l’invité du forum du Carrefour d’Algérie estime qu’il est difficile de faire un recensement exhaustif mais il dit être certain que ce chiffre ne représente que les pertes enregistrées au niveau d’un seul «douar». Le risque, dit-il, c’est que la perte massif du cheptel n’entraîne une réaction en chaîne avec des conséquences sur l’ensemble des intervenants y compris les transporteurs et les vendeurs d’aliment de bétail qui voient ainsi leurs activités baisser de manière drastique. Toute la difficulté, explique l’intervenant, réside dans la méconnaissance de la maladie.
C’est la première fois que les éleveurs font face à la peste du petit rongeur et ne savent pas par quels moyens ils peuvent en limiter la contagion, dit-il, sans compter que même les vétérinaires n’ont probablement jamais rencontré de cas auparavant. Selon son analyse, la peste des petits rongeurs aurait pu être introduite par des mouvements non contrôlés du cheptel au niveau des frontières. Interrogé au sujet de la décision de fermeture des marchés aux bestiaux, Mezrouna Belkacem estime qu’il s’agit là d’une mesure salutaire mais qu’elle n’était pas sans conséquence sur les éleveurs.
Ces derniers, dit-il, réclame plus de soutien, notamment en matière d’approvisionnement en aliment de bétail. Le vice-président de la Fédération des éleveurs appelle à augmenter les quotas car, dit-il, actuellement beaucoup de troupeaux sont en quarantaine et ne peuvent de ce fait paître. Il appelle également le ministère de l’Agriculture à accélérer la procédure d’acquisition des vaccins qui, déplore-t-il, accuse un retard tout en s’interrogeant sur les modalités d’indemnisation des éleveurs touchés. Pourquoi les éleveurs ne souscrivent-ils pas à une assurance ? Le vice-président de ladite fédération explique que les assurances ne couvrent pas tous les sinistres et exigent très souvent que l’état de catastrophe naturelle soit déclaré pour indemniser les assurés sans compter, ajoute-t-il, que certaines pathologies ne sont pas prises en compte.
Interrogé sur l’impact de cette épidémie sur la disponibilité du mouton durant les fêtes de l’Aïd, il dira qu’il sera quasi nul car la peste frappe des moutons nés en novembre et généralement non proposés à la vente pour les fêtes car pas encore assez grands.
N. I.
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M. Sirot est spécialiste de l’histoire et de la sociologie des grèves, des syndicats et des mouvements sociaux. Selon lui, le pouvoir politique en France risque de relancer la mobilisation des “gilets jaunes” par le recours à la répression.
Liberté : La France se trouve-t-elle actuellement dans un climat insurrectionnel ?
Stéphane Sirot : Si on entend par insurrection la volonté de prendre le pouvoir par la violence, cela n’est pas le cas. En revanche, une conception démocratique de la notion d’insurrection existe, comme dans le cas des États-Unis ou la Constitution reconnaît au peuple le droit de protester quand le gouvernement qu’il a choisi à un moment donné ne remplit pas ses fonctions. Le peuple a le droit dans ce cas-là, à travers des manifestations, de demander au gouvernement soit de se démettre soit de changer d’orientation. Suivant cette logique, on peut considérer qu’il s’agit effectivement en France d’une insurrection.
Pensez-vous que le mouvement des “gilets jaunes” a le droit de manifester comme il le fait aujourd’hui ? Ses revendications sont-elles légitimes ?
Il faut différencier deux notions : le pouvoir légal et le pouvoir légitime. Le peuple détient le pouvoir légitime qui donne au gouvernement le pouvoir légal, le droit de gouverner. Si le pouvoir légal ne remplit pas son rôle, le peuple a le droit d’utiliser son propre pouvoir et de se révolter. Les Français qui protestent actuellement sont entièrement fondés à le faire.
La révolte est-elle juste dirigée contre Macron ou contre le système tout entier ?
Il est vrai que les protestations d’aujourd’hui résultent d’une accumulation de politiques libérales qui ont fragilisé le corps social. Mais à côté de cet aspect structurel, il y a un autre conjoncturel. Depuis qu’il est au pouvoir, Macron assume de manière très nette une politique qui est surtout destinée à satisfaire les demandes des entreprises, des employeurs et des plus fortunés si nécessaire, au détriment de la fragilisation des plus faibles. Cette politique a peut-être été pratiquée par d’autres, mais elle est aujourd’hui assumée d’une manière beaucoup plus nette qu’elle ne l’a jamais été.
Dans sa parole et pas seulement dans ses pratiques, le pouvoir de Macron donne l’image d’un pouvoir très inégalitaire, très injuste, méprisant. Ceci est un des éléments qui explique la violence des manifestations. D’autres présidents ont fait face à des protestations mais jamais avec autant de degrés de rejet et de haine. Une partie de la population française hait véritablement Emmanuel Macron, et c’est un fait très singulier.
Ce mouvement s’est construit en dehors des partis politiques et des syndicats. Comment voyez-vous l’avenir de ces derniers ?
Les partis politiques et les syndicats sont déconsidérés par beaucoup de Français. Ils sont jugés inefficaces. À la place, l’organisation de la protestation des “gilets jaunes” passe par les réseaux sociaux. Le message qui est envoyé aux syndicats et aux partis politiques est qu’il est possible de se passer d’eux pour se mobiliser et obtenir des résultats.
L’existence des syndicats est-elle par conséquent menacée ?
Peut-être pas, mais les syndicats risquent d’être de plus en plus marginalisés et de moins en moins influents dans leur rôle dans la construction de la société française et les mouvements sociaux.
Le président Macron a essayé de donner des réponses aux “gilets jaunes”, d’abord à travers des mesures financières et en proposant ensuite un débat national. Sa démarche est-elle convaincante ?
Les mesures de Macron concernant la revalorisation du pouvoir d’achat sont minimalistes. Il a reculé sur les augmentations de taxes mais sans donner plus. L’augmentation du SMIG n’en est pas une, puisque cela concerne la prime d’activité, une prestation sociale qui bénéficie uniquement à la moitié des salariés au SMIG. Il avait également annoncé l’octroi d’une prime par les employeurs allant jusqu’à 1000 euros, mais très peu d’entreprises sont prêtes à la donner.
S’agissant du grand débat, celui-ci repose sur le versant politique et institutionnel des “gilets jaunes”. Le mouvement s’est créé autour de revendications liées à la revalorisation du pouvoir d’achat. Mais il a progressivement construit des revendications politiques. Pour Macron, il sera plus facile d’opérer des ouvertures à ce niveau-là. Procéder à quelques changements dans le fonctionnement des institutions françaises sera plus simple que de renier toute sa politique sociale et économique.
Macron ne fera donc aucune concession.
Il pourra faire machine arrière, en dernier ressort, si la pression devient trop forte sur le gouvernement et qu’il n’a pas d’autres solutions.
Comment voyez-vous justement l’avenir du mouvement ?
Ce qui peut être inquiétant est de se trouver dans une situation où la réponse donnée par le politique devienne de plus en plus sécuritaire avec une tentation de recourir à la répression. On voit bien actuellement que la tentation est très forte. Il faut peut-être rappeler qu’on n’a jamais eu, depuis mai 1968 en France, autant de blessés graves pendant les manifestations. Nous sommes à plus de 1000 personnes. Une cinquantaine a subi des mutilations à la suite d’affrontements avec les forces de l’ordre. Le gouvernement pense que le mouvement est en déclin et qu’il ne reste que quelques dizaines de milliers de réfractaires qu’il peut faire rentrer dans le rang. Or le soutien populaire autour du mouvement des “gilets jaunes” reste très important. Il l’a été dès le début, y compris lorsqu’il y a eu des violences. En croyant pouvoir mater la rébellion par la répression, le pouvoir politique risque de creuser davantage le fossé entre lui et les citoyens et relancer la mobilisation.
Le mouvement des “gilets jaunes” a fait des émules dans d’autres pays. Que cela vous inspire-t-il ?
Le mouvement est une réussite sur le plan de la communication. Les “gilets jaunes” ont employé un symbole frappant, et cela est important pour un mouvement social. Par ailleurs aujourd’hui, l’information est mondialisée. Tout le monde ou presque a accès aux réseaux sociaux et sait ce qui se passe. Donc effectivement, le symbole des “gilets jaunes” pourrait être parfaitement utilisé ailleurs.
S. L.-K.
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Mme Benghabrit a affirmé, hier, que le secteur de l’éducation doit en finir avec les agissements dans l’urgence, adoptés par le passé. «Nous avons besoin d’enseignants bien formés, d’où la nécessité de la formation continue ainsi que l’acquisition de nouvelles professionnalités, lesquelles relèvent tout simplement de nouvelles compétences à acquérir.
Ces compétences qui sont, aujourd’hui, imposées par le développement à l’échelle mondiale», dira-t-elle. Et d’ajouter : «Nous sommes en train de récupérer, dans certaines wilayas, les anciens locaux abritant les ITE afin que les nouveaux venus dans le corps enseignant puissent bénéficier d’une immersion dans les dimensions pédagogiques et didactiques.» Plus loin, la ministre insistera sur le rôle des parents d’élèves qu’elle considère comme un partenaire de taille dans la communauté éducative, à côté de l’administration et des enseignants.
«Tout le monde doit aider à réhabiliter le secteur de l’éducation. Cette responsabilité n’incombe pas seulement à l’éducation, mais à toute la société.» Répondant à une question relative à une possible stratégie future afin de limiter les mouvements de grève du corps enseignant, la ministre affirmera: «Nous avons une stratégie fondée sur le dialogue et la défense du droit constitutionnel des enseignants.
Ces derniers sont conscients des répercussions que ces grèves pourraient avoir sur la continuité de l’effort fourni par l’élève et, par conséquent, sur les taux de réussite». Elle a expliqué, par ailleurs, que les engagements du ministère de l’Education envers le corps enseignant seront tenus et la qualité de la performance d’orientation des inspecteurs dans l’amélioration du rendement pédagogique à l’école.
A. Rahmane
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Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a signé 5 décrets présidentiels portant ratification d’accords de coopération et de mémorandum d’entente avec plusieurs pays et ce conformément à l’article 91-9 de la Constitution, indique mardi un communiqué de la Présidence de la République.
Il s’agit de l’accord portant amendement et prorogation de l’accord de la coopération en matière des sciences et de technologie entre le gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique, signé à Alger le 23 avril 2018.
Il s’agit également de l’accord entre le gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le gouvernement de la République populaire de Chine sur l’exemption mutuelle de visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques et de service, signé à Pékin le 11 juillet 2018.
L’autre décret présidentiel signé par le président Bouteflika porte ratification du mémorandum d’entente entre le gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le gouvernement du Royaume Hachémite de Jordanie dans les domaines de la protection du consommateur, de la répression des fraudes et du contrôle des biens et des services, signé à Alger le 17 janvier 2018.
Le chef de l’Etat a signé également le décret présidentiel portant ratification de l’accord de coopération dans le domaine des sports entre le gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le gouvernement de la République de Bulgarie, signé à Alger le 28 février 2014.
Le président de la République a signé, en outre, le décret présidentiel portant ratification de l’accord entre le gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le gouvernement de la République de Belarus, portant création d’une commission mixte pour la coopération économique, commerciale, scientifique et technique, signé à Minsk le 20 février 2018. APS
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L’USM Alger a repris quatre points d’avance en tête du championnat national de Ligue 1 suite à sa large victoire enregistrée face au NA Hussein Dey (4-1), ce mardi, à l’occasion de la 3e partie de la 17e journée. Dans l’autre match joué à Constantine, le CSC confirme sa bonne santé en disposant du CABB Arreridj (1-0).
La défaite concédée à Tadjenanet lors de la précédente journée n’est plus que de l’histoire ancienne pour l’USMA. Les patrons de la Ligue ont fait honneur à leur statu en étrillant le NA Hussein Dey sur le score de 4 buts à 1.
Dans ce derby algérois, l’USMA a été la première à débloquer la situation à la 33e minute par Ibara, sur penalty. Les visiteurs ont réussi à niveler la marque cinq minutes après le retour des vestiaires par Dib (50’).
Toutefois, la joie des Nahdistes a été de très courte durée. Dès la remise en jeu, l’USMA a repris l’avantage par l’entremise de Zouari (51’), qui signe son premier but sous la tunique usmiste. Très en vue dans ce match, le transfuge de l’USM Bel Abbès a fait parler sa technicité pour transpercer la défense husseindéenne et offrir un caviar à son compère, Koudri, qui n’avait plus qu’à pousser le ballon au fond des filets (55’).
Le quatrième et dernier but de l’USMA est l’œuvre de Ellafi (70’). Incorporé quelques minutes au parant, l’international libyen a clôturé le festival offensif de l’USMA en marquant un coup franc direct qui a surpris le portier d’El Nasria.
A la faveur de cette retentissante victoire, l’USMA consolide sa première place au classement et compte désormais 4 unités d’avance sur la JS Kabylie (36 pts).
Le CSC confirme
Du côté de la ville des ponts suspendus, le CS Constantine a pris le meilleur sur le CABB Arreridj (1-0). Les Sanafir qui restent sur deux succès de suite, le premier en championnat face au NAHD et le second en Ligue des champions d’Afrique face au Club Africain, réalisent la passe de trois grâce à la réalisation de Benchrifa signée à la 58e minute.
Ce 6e succès de la saison permet au champion d’Algérie en titre de s’installer aux pieds du podium (4e – 25 pts).
Le CRB en grand danger
Dans les autres rencontres de cette 17e manche, disputées le week-end dernier, la JS Kabylie a remporté le derby de la Kabylie face au MO Béjaïa (1-0), le MC Alger a étrillé le DRB Tadjenanet (4-1) alors que l’O Médéa a pris le meilleur sur l’USM Bel Abbès (2-0).
Pour sa part, le CR Belouizdad a laissé filer de précieux points à domicile après avoir été tenu en échec par le Paradou AC.
Quant au match, ES Sétif – AS Aïn M’lila, ce dernier n’a pas eu lieu en raison des fortes chutes de neige qui se sont abattues sur les Hauts Plateaux.
La tombée de rideau de cette 17e sortie aura lieu le mardi 22 janvier prochain avec le déroulement du derby de l’Ouest prévu entre le MC Oran et la JS Saoura.
Résultats des rencontres : Olympique Médéa – USM Bel Abbès 2 – 0 JS Kabylie – MO Béjaia 1 – 0 MC Alger – DRB Tadjenanet 4 – 1 CR Belouizdad – Paradou AC 0 – 0 USM Alger – NA Husseïn Dey 4 – 1 CS Constantine – CABB Arreridj 1 – 0 Mardi 22 janvier : MC Oran – JS Saoura 17h45 Reporté : ES Sétif – AS Aïn M’lilaClassement :
# ÉQUIPE J G N P BP BC +/- PTS 1 USM Alger 17 11 3 3 31 14 17 36 2 JS Kabylie 17 9 5 3 21 10 11 32 3 MC Alger 17 7 6 4 19 18 1 27 4 CS Constantine 17 6 7 4 17 12 5 25 5 ES Sétif 16 7 3 6 17 14 3 24 6 JS Saoura 16 6 5 5 14 7 7 23 7 NA Hussein Dey 17 6 5 6 14 17 -3 23 8 Paradou AC 17 5 6 6 21 17 4 21 9 Olympique Médéa 17 4 9 4 16 19 -3 21 10 MO Bejaia 17 4 7 6 17 25 -8 19 11 MC Oran 16 4 6 6 16 20 -4 18 12 CA Bordj Bou Arreridj 17 4 6 7 13 17 -4 18 13 AS Ain M’lila 16 3 9 4 9 14 -5 18 14 USM Bel Abbes 17 4 6 7 14 22 -8 18 15 DRB Tadjenanet 17 4 5 8 19 26 -7 17 16 CR Belouizdad 17 3 6 8 13 19 -6 12Mohamed Kermia
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Le GS Pétroliers a renoué avec la victoire en disposant de l’O El Kseur (3-0) à l’occasion de la 7e journée (groupe centre-ouest) du championnat national de volleyball, Super Division, disputée ce mardi.
Battu par le RC M’Sila, à la grande surprise générale, lors de la dernière journée, le GSP a très bien réagi lors de la réception de l’O El Kseur. Les Algérois ont fait cavalier seul dans cette partie dominée de bout en bout (25-17/25-19/25-13).
Dans la poule centre-est, le NR Bordj Bou Arreridj poursuit son parcours sans faute. Le champion d’Algérie en titre enchaine avec un sixième succès de suite en battant l’ES Tadjenanet (3-0).
Résultats complets de la 7e journée :
Poule Centre-Ouest : GS Pétroliers – O El-Kseur 3 – 0 MB Béjaïa – NC Béjaïa 0 – 3 PO Chlef – RC M’Sila 1 – 3 Exempt : WA Tlemcen Poule Centre-Est: NR Bordj Bou Arreridj – ES Tadjenanet 3 – 0 JSC Ouled Adouan – OMK El Milia 2 – 3 EF Aïn Azel – ES Sétif 1 – 3 Exempt : JM BatnaMohamed Kermia
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« Les dossiers de labellisation de l’olive de table de Sig et du fromage de Bouhaza sont finalisés », a fait savoir, mardi à Alger, le directeur de l’organisation foncière et de la protection du patrimoine au ministère de l’Agriculture, Hamid Hamdani au micro de Narimène Mendil de la radio Chaine 3, en marge d’une rencontre sur la labellisation des produits du terroir.
M. Hamdani a annoncé également la publication, pour bientôt, d’un arrêté portant sur les procédures de contrôle et de certification, selon un cahier des charges qui sera, selon lui, rendu public incessamment. Il reconnait, par ailleurs, que ce décret a pris du temps et pour cause, l’Algerac, organisme de contrôle et de certification, était lui-même en attente d’accréditation par l’Union européenne.
Ce decret, ajoute M. Hamdani, permettra de régler une fois pour toute le problème de certification des produits du terroir qui en dépendent étroitement.
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Deux (2) nouveaux cas de peste des petits ruminants ont été enregistrés, cette semaine, au niveau de la wilaya de Mostaganem, ce qui porte le bilan à 303 bêtes touchées, qui ont été incinérées.
« Jusqu’au 15 janvier 2019, on a enregistré 21 foyers de peste des petits ruminants et de fièvre aphteuse, au niveau de 8 communes de la wilaya de Mostaganem », a déclaré l’inspecteur vétérinaire, Rachid Bennacer au micro de Hakima Farah, correspondante de la radio Chaine 3.
Les services vétérinaires de la wilaya de Mostaganem, qui ont mobilisé 6 équipes d’inspection du cheptel, sont dans l’attente de la réception d’un quota de vaccins contre les deux maladies.
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