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Afrique

Niger : Lamine Zeine dénonce la « mauvaise foi » de la CEDEAO qui regrette l’absence de sa délégation et se justifie

BBC Afrique - Fri, 01/26/2024 - 17:00
Six (06) mois après le coup d'Etat au Niger qui a renversé le président Mohamed Bazoum, Une délégation de la CEDEAO devrait se rendre à Niamey ce jeudi 25 janvier 2024 pour négocier avec les nouvelles autorités militaires au pouvoir. Mais la rencontre a connu un échec.
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Approché par la FAF, Zinédine Zidane aurait répondu à l’intérêt de l’Algérie

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 16:54

Désormais vacant, le poste du sélectionneur national est au centre de toutes les rumeurs et fantaisies. En effet, après l’officialisation du départ de Djamel Belmadi […]

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Le Calf Tox : cette nouvelle tendance TikTok qui inquiéte les médecins à travers le monde

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 16:38

À l’ère des médias sociaux, les tendances émergent rapidement et captivent des millions d’utilisateurs à travers le monde. Cependant, derrière l’engouement souvent visuel et attractif […]

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Faute de visa algérien, Russell Cook risque d’abandonner sa course à pied en Afrique

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 16:14

Les déserts époustouflants, les forêts gigantesques ou encore faunes dangereuses… sont autant d’obstacles rencontrés lors de la plupart des road-trips. De nombreux globe-trotteurs ont répondu […]

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Les agriculteurs français en colère bloquent les routes menant à Paris

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 16:10

Les agriculteurs français en colère contre la politique du gouvernement français et de l'Union européenne ont commencé à bloquer les routes menant vers Paris, a annoncé BFMTV.

L'autoroute A1 (nord) a déjà été bloquée. Prochainement seront aussi bloquées les autoroutes A6 (sud), A10 (sud-ouest), A13 (ouest) et A15 (nord-ouest). Les agriculteurs ont commencé à bloquer les autoroutes à 14h00 (UTC+1) et promettent de faire durer le blocage jusqu'à minuit.

Le premier ministre français Gabriel Attal a rencontré jeudi les ministres de l'Agriculture et de la Transition écologique pour discuter des revendications des syndicats agricoles. Il a l'intention de faire une déclaration officielle vendredi pour annoncer les mesures que le gouvernement pourrait prendre.

Des manifestations massives d'agriculteurs ont lieu en France en raison du mécontentement des professionnels du secteur face à la baisse des revenus due à l'inflation et à l'augmentation des importations de produits agricoles en provenance d'Ukraine vers la France. Ils sont également favorables à une simplification des procédures administratives liées aux exigences de l'UE et à une réglementation moins stricte de l'agriculture. En signe de protestation, les agriculteurs utilisent des tracteurs pour bloquer les autoroutes et organisent des manifestations devant les bâtiments gouvernementaux. Les manifestations devraient couvrir 85 des 96 départements du pays, selon les agriculteurs.

TASS

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A-t-on vraiment besoin du vaccin RTS,S contre le paludisme en Afrique ? Est-il réellement utile pour nos pays ?

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 15:45


Les pays africains, dans la quête du bien être de leurs populations dans le volet santé ont consenti d'énormes moyens matériels financiers et humains tout au long du temps dans la lutte contre les maladies. Des plans d'actions se sont succédé pour donner place à une politique stratégique de lutte contre chaque maladie. Et parmi ces maladies tueuses il y'a le paludisme.

Le paludisme est une maladie infectieuse causée par 07 plasmodiums différents dont le falciparum, vivax, malaria, ovale etc. Il se transmet à l'homme par la piqure d'un moustique infecté (anophèle femelle). Une fois dans l'organisme, il attaque le foi et les globules rouges où il se multiplie rapidement. Installé, il éclate les globules rouges, ce qui conduit à l'anémie. Et si le patient n'est pas traité rapidement, les globules rouges infectées peuvent obstruer les vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau, on parle alors de neuropaludisme.
En Afrique subsaharienne, le paludisme apparait comme la principale cause de consultation. Il tue à lui seul et chaque année autant que le diabète le cancer, le vih et la tuberculose réunis. En 2022, selon les statistiques de l'Organisation Mondiale de la Santé(OMS), le paludisme a contaminés 233 millions de personnes et tué 580000 d'entre eux, la grande majorité étant des enfants de moins de 05 ans.
Avec un tel bilan, on est tenté de croire que les Etats africains au sud du sahara ont '' carrément baissé les bras'' dans la lutte contre le paludisme. Que non ! Beaucoup a été fait et continue d'être fait à travers les Ministères en charge de la santé et les différents Programmes Nationaux de lutte contre le Paludisme. Et parmi ces efforts, on peut citer l'introduction de la prise en charge de la maladie dans le panier des différentes Couvertures Santés qui se mettent progressivement en place dans nos pays. Plus récent encore, l'achat et la livraison du vaccin contre le paludisme appelé RTS,S
Mais au-delàs de la raison et du réalisme qui voudraient que ces vaccins soient les bienvenus chez nous, et dans un autre sens, ce vaccin contre le paludisme suscite des questionnements et des incompréhensions qui n'aident pas le citoyen lamda à comprendre les enjeux et à prendre des décisions, parce que disons-le, la vaccination n'est pas encore obligatoire dans la majorité des pays africains.

D'où vient ce vaccin, est-il efficace ?

Livré en milliers de doses dans nos pays( Ghana, Kenya, Malawi, Burkina Faso, Niger, Sierra Léone, Cameroun) et parfois devant un parterre de média, le vaccin dénommé RTS,S au nom commercial de MOSQUIRIX est le premier vaccin antipaludique recommandé par l'OMS. Il est également recommandé en seconde ligne pour l‘immunisation contre l'hépatite B.

Il a été mis au point par la firme pharmaceutique Glaxo Smith Kline(GSK) qui d'ailleurs a fait don de 10 millions de doses pour les campagnes de vaccinations pilotes qui ont débuté en 2019 au Ghana, Malawi, Burkina Faso, Libéria, Kenya, le Niger, la Sierra Léone et qui se poursuivront au premier trimestre 2024 au Cameroun. Selon Kate O'Brien, alors Directrice du département vaccination de l'OMS, le RTS,S est efficace à 40% et peut réduire de 13% la mortalité des cas les plus sévères de la maladie. Selon l'OMS, MOSQUIRIX ne confère pas une protection complète contre le paludisme causé par le plasmodium falciparum. La protection du vaccin s'affaiblit avec le temps et la vaccination peut retarder l'acquisition de l'immunité naturelle. Le projet MVIP qui est chargé de l'organisation des campagnes de vaccination au niveau mondial du vaccin RTS,S est coordonné par l'OMS en collaboration avec PATH, UNICEF, et financé par GAVI, le Fonds mondial, UNITAID et bien sûr GSK.

Quelle est la composition du vaccin contre le paludisme RTS,S dénommé MOSQUIRIX ?

Ce vaccin est de la classe des protéines recombinante, il se présente sous forme de poudre blanche suspension injectable opalescent, incolore à brunâtre pâle. Une dose de MOSQUIRIX contient après reconstitution de : les antigènes - 25 microgrammes de RTS,S renforcé avec ASO1E31- une portion de la protéine circumsporozoide de Plasmodium falciparum fusionnée avec l'antigène de surface de l'hépatite B(RTS) et combinée avec l'antigène de surface de l'hépatite B(S). C'est la technologie de l'ADN recombinant qui a été utilisé. Il doit être réalisé par injection intramusculaire uniquement au niveau de la région antérolatérale de la cuisse chez les enfants âgés moins de 5 mois. Pour dire simple, ce vaccin est essentiellement composé des germes de plasmodiums falciparums et ceux de l'hépatite B inactifs. C'est la raison pour laquelle il est également recommandé pour immuniser contre l'hépatite B.

Où et comment se sont fait les essais du vaccin ?

C'est au Mozambique et dans 07 autres pays africains au sud du sahara non divulgués en 2004, 2009 et 2015 que les essais contrôlés du vaccin RTS,S ont été réalisés auprès de 8922 jeunes enfants et 6537 nourrissons âgés entre 0 et 12 semaines. Il était question d'élever les moustiques infectés par les différentes formes de plasmodium et surtout de type falciparum et ensuite les laisser piquer les cobayes. Bien sur, après avoir pris le vaccin. Tout ceci avec un suivi médical très rapproché pour des cas qui s'aggraveraient. Au finish, o4 doses ont fait l'unanimité. Ce qui signifie que le vaccin RTS,S nécessite 04 doses d'injection pour être efficace reparties ainsi qu'il suit : 03 doses dès l'âge de 5,6 et 7 mois et un dernier rappel vers 18 mois. En somme et selon les mêmes experts de l'OMS et ceux chargés des essais, le RTS,S sauverait une vie sur 200 enfants vaccinés pour une efficacité estimée à 40%. Il est utile de noter que le RTS,S est le premier vaccin contre le paludisme homologué et recommandé par l'OMS.

Combien coûte le RTS,S ?
D'après les responsables du projet (GAVI, GSK, le Fonds Mondial, Fondation Bill et Mélinda Gates etc.), tous occidentaux et vendeur du vaccin, le prix de celui-ci a été arrêté entre 1,65 et 3,30 euros par doses c'est-à-dire entre 1080 et 2160 FCFA, pour les pays africains au sud du sahara qui constituent le grand marché visé.

Ce vaccin est-il rentable et nécessaire pour nos pays en dehors des intérêts particuliers des uns et des autres ?
Si on s'en tient aux déclarations de GSK et de l'OMS qui affirment après des essais réalisés, que le RTS,S sauve 01 vie pour 200 enfants vaccinés, on peut aisément dire que le profit des porteurs du projet a été bien calculé. Si ce vaccin sauve réellement une vie sur 200 enfants vaccinés, cela revient à dire que GSK et ses partenaires pourront sauver seulement 2900 enfants sur les 233 millions de contaminés enregistrés en moyenne chaque année en Afrique, contre une rondelette somme de 100 milliards 656 millions de FCFA (233millionsx4x1080fcfa). Pour bien comprendre, disons simplement que si les pays africains au sud du sahara adoptent officiellement ce vaccin, ce qui est peut etre déjà fait, en plus de ses autres charges régaliennes, isl devront également acheter chaque année une vie de ses jeunes compatriotes auprès des porteurs du projet à un prix très élévé. Et si nos pays veulent réellement diminuer le nombre de décès dus au paludisme (580 000 en 2022) et limité les 233 millions de cas enregistrés chaque année, les pouvoirs publics devraient verser presque l'équivalent du budget des ministères en charge de la sante pris individuellement, rien qu'à l'achat de ce vaccin.
Pour répondre à la question, nous disons que l'option d'introduire ce vaccin dans les campagnes des Programme Elargi de Vaccination de nos Etats chaque année est louable, mais l'objectif sera difficilement atteint voire impossible, même en tenant compte des mécanismes d'acquisition contraignantes des vaccins de GAVI et du Fonds Mondial. D'ailleurs GAVI envisagerait ne plus financer les vaccins dans certains pays africains d'ici 2027. Ces Etats devront être prêts à passer à l'autofinancement de ses vaccins, ce qui coûtera trop cher pour un rendement très médiocre. D'ailleurs Benoit Gamain chercheur à l'Institut Pasteur de Paris et directeur de recherche au CNRS a dit ceci parlant du RTS,S ou MOSQURIX : ‘'Avec son efficacité limité ce n'est pas le vaccin idéal, cela ne va pas révolutionner la santé en Afrique subsaharienne mais il faut le voir comme une nouvelle arme dans la lutte contre la malaria''

Y a-t-il un autre moyen d'éradiquer le paludisme en afrique en dehors du vaccin ?
Nous disons oui. La réponse est bel et bien positive. D'autres pays l'ont fait et continuent à le faire. On peut citer la Cap Vert qui d'ailleurs un de nos Etats, la Chine, la Malaisie, l'Iran, ile de la Réunion, le Myanmar, l'Azerbaïdjan, le Tadjikistan et bien d'autres. Là-bas, les autorités publiques ne font pas la magie, ils ont juste imposé des politiques réalistes de lutte contre le paludisme. Des politiques aussi vielles que le monde. Le succès de ces pays qui luttent réellement contre le paludisme repose essentiellement sur la bonne réactivité associée à la facilité d'accès aux services de santé en plus de la bonne sensibilisation des populations. Une bonne chaine de riposte sanitaire avec des structures sanitaires d'appui efficaces , la prise en charge gratuite des enfants de0 à 5 ans ; la distribution gratuite des moustiquaires imprégnées à longue durée d'action(MILDA) ; La pulvérisation permanente intra domiciliaire avec des produits à effet rémanent ; La pulvérisation par des drones des zones endémiques ; l'Organisation permanente des campagnes de prophylaxie ; le renforcement des capacités techniques des prestataires en matière de diagnostic, de prise en charge des cas et de prévention ; la bonne gestion de l'information dans le processus de veille sanitaire ; le renforcement des stocks de médicaments nécessaires au traitement des patients ; le traitement préventif intermittent(TPIN) chez les nourrissons et la sensibilisation permanente en milieu scolaire et professionnel sans oublier la refonte organique du Programme Elargi de Vaccination(PEV) et du Programme de Lutte contre le Paludisme(PNLP). Sous leurs formes actuelles, ces structures sont incapables d'atteindre les objectifs attendus.
Au vu de tout ce qui précède il est claire que les pays africains concernés peuvent s'en passer de ce vaccin qui coûte extrêmement cher au profit des mesures habituelles et peu couteuses. Notons-le, les occidentaux ne se sont pas débarrassés du paludisme grâce à un vaccin, mais par des méthodes de prophylaxie et de soins efficaces. S'ils ont réussi, nous aussi nous pouvons y arriver sans le vaccin.

Pourquoi ce vaccin est-il interdit d'utilisation en dehors des pays africains au sud du sahara et aux voyageurs ?
Les promoteurs du vaccin une fois le produit homologué et recommandé par l'OMS, attirent l'attention du grand public à travers certains avertissements : que le vaccin RTS,S est interdit d'être administré hors zone pays d'Afrique subsahariens, mais également aux voyageurs. La raison évoqué étant que Mosquririx a été élaboré par le plasmodium falciparum qui est la forme la plus tueuse en Afrique subsaharienne. Si on peut comprendre ce raisonnement, par contre il ouvre d'autres questionnements et affirmations. Ceci amène à croire que ce vaccin a été élaboré uniquement pour le grand marché Afrique subsaharien ( avec plus de 600 millions d'habitants) alors qu'on trouve ce type de plasmodium dans d'autres zones géographique du monde(Asie, Amérique latine, proche et moyens orient, les pays de l'Est de l'Europe), malheureusement là-bas le marché ne peut être très rentable à cause du faible taux de contamination, ce qui ne pourra pas faire l'affaire des promoteurs. On comprend donc pourquoi, on nous dit que ce vaccin est interdit d'utilisation dans ces autres pays mais uniquement en Afrique noire où le marché est important et la valeur ajoutée énorme. Le prétexte stupide de sauver des vies des jeunes africains toujours avancé repose sur des intérêts purement économique et financier aux profits de ceux qui fabriquent et commercialise ce vaccin. D'autant plus que, ces experts et promoteurs dudit vaccin demandent aux Etats marchés africains de combiner les méthodes classique de lutte contre le paludisme à ce vaccin. Or, nous savons tous que les outils utilisés jusqu'aujourd'hui dans la lutte contre le paludisme en Afrique subsaharienne viennent de ces pays développés concepteurs du vaccin. Qu'il s'agisse des moustiquaires imprégnées, des myriades de formes d'antipaludéens, des consommables médicaux, etc. En plus des lourdes dépenses déjà consenti par nos pays dans la lutte contre le paludisme, il faut maintenant ajouter le poids des coûts de vaccins qui sont très élevés. Donc, le fait de nous demander, nous pays noirs africains d'accepter ces vaccins peut paraitre anodin, mais lourd de significations. Cette offre apparait comme un piège pour endetter un peu plus nos Etats et les appauvrir jusqu'à la lie, sans pitié pour ses populations qui croupissent déjà dans une misère ambiante et choquante.
Très loin d'être complotiste, ce vaccin pourrait entrainer des effets secondaires importants, raison pour laquelle il est recommandé uniquement aux jeunes enfants noirs africains vivants dans ces pays. Parce que le vaccin a été fait uniquement pour eux, et non pour les autres. Mêmes les voyageurs qui migrent de pays en pays sont interdits de prendre ce vaccin comme mesure préventive contre le paludisme, parce qu'il serait dangereux pour eux, en plus qu'ils risqueraient de propager les effets secondaires sur leur parcours.
Et jusque là, cela n'attire toujours pas l'attention de nos autorités. Etonnant et vraiment surprenant !
Jean Marie MEYO

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De quoi éclaircir l'avenir des agriculteurs d'Afrique

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 14:24

C'est désormais une évidence : les conditions météorologiques sont de plus en plus capricieuses partout dans le monde. Mais en Afrique, où 282 millions de personnes ne mangent pas à leur faim, d'après les estimations des Nations unies, l'aggravation des inondations et des sécheresses risque de compliquer une situation déjà désastreuse.

Dans le cadre de l'initiative « Vision for Adapted Crops and Soils » (VACS), les États-Unis, l'Union africaine et l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) planchent avec le secteur privé et des instituts de recherche sur les moyens d'adapter les cultures au changement climatique de façon à garantir la stabilité de l'approvisionnement alimentaire en Afrique.

« L'agriculture est confrontée à une conjugaison de problèmes sans précédent dans l'histoire », a résumé Cary Fowler, envoyé spécial des États-Unis pour la sécurité alimentaire mondiale, lors du Sommet de la mission d'innovation agricole pour le climat qui s'est tenu le 9 mai à Washington.

Pour relever ces défis, il faut des sols fertiles et des cultures résistantes adaptées au changement climatique, a-t-il ajouté.

Afin d'encourager les investissements dans les cultures africaines traditionnelles de grande qualité nutritive, l'initiative VACS, lancée le 1er février, va :
recenser les cultures les plus importantes et les plus nutritives dans chacune des cinq sous-régions de l'Union africaine ;
évaluer les impacts nutritionnels et socio-économiques du changement climatique sur ces cultures ;
mobiliser des ressources publiques et privées pour l'adaptation de ces cultures par le biais de la sélection végétale et d'autres investissements.
collecter, cartographier et analyser les données relatives aux sols afin de déterminer la manière d'améliorer la qualité des sols et d'augmenter les rendements des cultures.

Réduire la faim

Les États-Unis prennent de nombreuses mesures pour faire face à la crise alimentaire mondiale provoquée par des conditions météorologiques extrêmes et les conflits, dont la guerre brutale de la Russie contre l'Ukraine, qui a détruit des terres cultivées dans l'un des principaux pays exportateurs de produits agricoles au monde.

Lors du sommet des dirigeants États-Unis-Afrique tenu en décembre 2022, le président Biden a annoncé l'octroi d'une aide d'urgence à la sécurité alimentaire de plus de 2,5 milliards de dollars pour l'Afrique, dans le cadre d'un financement de 2,76 milliards de dollars au titre de la lutte contre l'insécurité alimentaire dans le monde.

Lors de la 27e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP27) qui s'est tenue en Égypte en novembre 2022, Joe Biden a annoncé une enveloppe de plus de 150 millions de dollars pour accélérer l'adaptation et la résilience dans toute l'Afrique. Ce financement, qui s'inscrit dans le cadre du Plan d'urgence du président pour l'adaptation et la résilience (PREPARE), soutient de nombreuses initiatives visant à améliorer la sécurité alimentaire grâce à une agriculture résiliente face au changement climatique.

Lors du lancement de la VACS*, le 1er février, Cary Fowler a fait observer que la recherche scientifique avait négligé certaines cultures nutritives qui pourraient être plus productives en Afrique si elles faisaient l'objet d'investissements ciblés. Le haut responsable a souligné « le besoin urgent de développer des cultures qui soient prêtes à résister aux effets du changement climatique et aux exigences de productivité agricole d'une population croissante ».

I had the honor to provide my remarks at the VACS initiative led by U.S. Special Envoy Dr. @CaryFowler_ also moderated by Dr. Lindiwe Sibanda, @CGIAR chair &AGRA alumni. #VACS focuses on advancing #climate_smart orphaned crops & I call on African #NARS to support the initiative. pic.twitter.com/A8ZnnSH3Oe

— Amb. Josefa Sacko (@JosefaSacko) May 10, 2023

Adapter les cultures

Dans le cadre d'un atelier organisé à Rome le 19 mai, la VACS a réuni des agriculteurs ainsi que des experts en nutrition, en agronomie et en climatologie, qui ont sélectionné une soixantaine de cultures candidates, sur la base de divers facteurs, dont la nutrition, le potentiel de reproduction, la qualité marchande, la géographie et le type de sol. La liste finale des cultures qui auront été retenues fera l'objet d'une analyse plus approfondie, notamment d'une modélisation des effets climatiques attendus au cours des 30 prochaines années.

Les États-Unis se sont engagés à verser une première enveloppe de 100 millions de dollars à la VACS, ce qui permettra d'établir la cartographie de sols sains et fertiles, capables de retenir l'eau, de résister à la sécheresse et de produire des cultures plus nutritives. En outre, cet investissement favorisera la sélection de variétés de cultures pouvant mieux résister aux effets du climat, notamment à la hausse des températures, aux conditions météorologiques extrêmes et aux pressions accrues exercées par les nuisibles et les maladies.

S'exprimant lors du sommet du 9 mai, Josefa Sacko, commissaire de l'Union africaine chargée de l'économie rurale et de l'agriculture, a mis l'accent sur « la grande importance [de la VACS] pour l'Afrique dans le cadre de ses efforts d'adaptation au climat ». Elle a appelé les institutions du continent à jouer un rôle majeur dans les travaux de recherche.

« Nous devons nourrir notre population. Nous devons nourrir l'Afrique, a-t-elle insisté. Il est donc très important que nous trouvions des cultures adaptées afin de pouvoir continuer sur notre lancée. »

Source :https://share.america.gov/fr/de-quoi-eclaircir-lavenir-des-agriculteurs-dafrique/?utm_source=cision&utm_medium=referral

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Jürgen Klopp annonce qu'il quitte Liverpool

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 14:24

A compter de ce vendredi 26 janvier 2024, Jürgen Klopp entame ses dernières semaines sur le banc de touche des Reds de Liverpool. Le technicien allemand a annoncé son départ il y a quelques instants. Il a d'ailleurs soutenu sa décision par mots forts.

On l'a pas vu venir. Jürgen Klopp, le coach de Liverpool qui a tout gagné avec le club anglais (Ligue des champions, Supercoupe de l'UEFA, Premier League, FA Cup, League Cup, Community Shield, Coupe du monde des clubs), va bien quitter les Reds à la fin de la saison. Le technicien allemand a même pris le temps d'expliquer longuement aux médias du club sa décision.

« Je comprends que c'est un choc pour beaucoup de gens en ce moment, quand vous l'entendez pour la première fois, mais évidemment je peux l'expliquer – ou du moins essayer de l'expliquer. J'aime absolument tout de ce club, j'aime tout de la ville, j'aime tout de nos supporters, j'aime l'équipe, j'aime le personnel. J'aime tout. Mais le fait que je prenne encore cette décision montre que je suis convaincu que c'est celle que je dois prendre. C'est parce que je suis, comment puis-je le dire, à court d'énergie. Je n'ai aucun problème maintenant, évidemment, je le savais déjà depuis longtemps que je devrais l'annoncer à un moment donné, mais je vais très bien maintenant. Je sais que je ne peux pas faire ce travail encore et encore et encore et encore. Après les années que nous avons passées ensemble et après tout le temps que nous avons passé ensemble et après tout ce que nous avons traversé ensemble, le respect a grandi pour vous, l'amour a grandi pour vous et le moins que je vous dois est la vérité – et c'est la vérité. », a-t-il exliqué.

Jürgen Klopp révèle qu'il a averti Liverpool depuis novembre 2023 : « J'ai dit au club déjà en novembre. Je dois expliquer un peu que peut-être le travail que je fais, les gens le voient de l'extérieur, je suis sur la ligne de touche et lors des séances d'entraînement et des trucs comme ça, mais la majorité de toutes les choses se passent autour de ces choses. Cela signifie qu'une saison commence et vous planifiez déjà à peu près la saison suivante. Quand nous étions assis ensemble en parlant des possibles recrues, du prochain camp d'été et pouvons-nous aller où que ce soit, l'idée est venue, ‘Je ne suis pas sûr d'être encore là' et j'ai été surpris moi-même par cela. J'ai évidemment commencé à y penser. Cela n'a pas commencé [à ce moment-là], mais bien sûr la saison dernière a été une saison super difficile et il y a eu des moments où dans d'autres clubs probablement la décision aurait été, ‘Allez, merci beaucoup pour tout mais probablement nous devrions nous séparer ici, ou mettre fin ici.' Cela n'est pas arrivé ici, évidemment. »

J.S

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Des individus armés coupent un réseau GSM à Monsey

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 14:23

L'antenne d'un réseau de communication mobile (GSM) a été détruite dans la nuit du 24 au 25 janvier 2024 à Loumbou-Loumbou dans l'arrondissement de Monsey, commune de Karimama. Ce serait l'œuvre d'Individus Armés Non Identifiés.

Le réseau de communication d'un opérateur GSM est actuellement coupé dans l'arrondissement de Monsey, commune de Karimama. C'est à la suite de la destruction des installations du réseau GSM aux environs de 2 heures dans la nuit du 24 au 25 janvier 2024.
L'antenne du réseau GSM installée dans la zone à été détruite par des charges explosives posées par des Individus Armés Non Identifiés.
Réveillés par le bruit de l'explosion, les habitants se sont rendus sur les lieux. Mais ceux-ci disent avoir été repoussés par des tirs des bandits armés.

Une équipe des Forces Armées Béninoises est descendue sur les lieux le jeudi 25 janvier 2024, selon Daabaaru.
M. M.

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Le mariage d’un Algérien refusé en France: Robert Ménard ne reviendra pas sur sa décision

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 14:05

Du nouveau dans l’affaire du mariage annulé d’un jeune Algérien en situation irrégulière en France. Le maire de Béziers, Robert Ménard, sera auditionné par la […]

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Categories: Afrique

Délais de livraison des véhicules : Chery Algérie rassure ses clients

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 13:20

Chery Algérie a publié un communiqué visant à rassurer ses clients et le public sur son engagement envers la livraison en temps opportun des véhicules. […]

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Crise au Mali : Bamako annonce « la fin avec effet immédiat » de l’accord d’Alger

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 12:47

La junte malienne a annoncé, jeudi 25 janvier 2024, la fin de l’accord pour la paix et la réconciliation, communément appelé l’accord d’Alger, signé en […]

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Rebondissement dans le dossier : Djamel Belmadi refuse de résilier son contrat

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 11:53

Jusqu’au moment où nous mettons sous presse, Djamel Belmadi n’a pas encore résilié son contrat avec la fédération algérienne de football. Aux dernières nouvelles, il […]

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Alerte météo en Algérie : des vents violents prévus dans 2 wilayas

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 11:23

Dans le cadre des prévisions météorologique, l’ONM a lancé un alerte météo, et ce pour deux villes en Algérie. En effet, une alerte météo a […]

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Faute d'accord, Hervé Renard privé d'un retour en Côte d'Ivoire

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 11:07

La rumeur a pris l'ampleur ces dernières heures avant de se confirmer dans la soirée de ce jeudi 25 janvier 2024. Hervé Renard a été approché par la Fédération Ivoirienne de Football pour prendre en charge les Éléphants de la Côte d'Ivoire jusqu'à la fin de la CAN. Ce qui n'a pas abouti faut d'accord entre la FIF et la Fédération Française de Football.

Alors que la Côte d'Ivoire s'est séparée de son sélectionneur Jean-Louis Gasset malgré sa qualification (certes étriquée) pour les 8es de finale de la CAN, la Fédération ivoirienne a tenté de récupérer Hervé Renard, sélectionneur de l'équipe de France féminine, en prêt pour la fin de la compétition. Cependant, elle n'a pas réussi à trouver d'accord avec la FFF selon Le Figaro et beIN Sport.

Il y aura pas de retour express en Afrique pour Hervé Renard. Emerse Fae devrait bien assurer l'intérim pour le huitième de finale de la CAN 2024 lundi soir sur le banc de la Côte d'Ivoire contre le Sénégal. Approché par la Fédération Ivoirienne, Hervé Renard ne pourra pas redevenir sélectionneur des Éléphants de si tôt. Et ceci, en raison de désaccord entre la FIF et la Fédération Française de Football.

Hervé Renard est en effet actuellement en poste avec l'équipe de France féminine, avec un contrat qui court jusqu'à la fin des Jeux Olympiques de Paris 2024. "Les négociations n'ont pas abouti favorablement, c'est que cela ne devait pas se réaliser. J'aurais adoré mais le destin en a choisi autrement.", a même clarifié Hervé Renard dans CanalplusFoot.

J.S

Categories: Afrique

Des tonnes de médicaments consumés à l'hôpital de zone de Malanville

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 11:06

L'hôpital de zone de Malanville dans le département de l'Alibori a pris feu dans la nuit du mercredi 24 au jeudi 25 janvier 2024.

Le feu s'est déclaré à l'hôpital de zone de Malanville aux environs de 1h dans la nuit du mercredi 24 au jeudi 25 janvier 2024. L'incendie est parti du magasin de stockage de produits pharmaceutiques et médicaments de l'hôpital de zone.

Armées de seaux d'eau, les populations ont tenté d'éteindre le feu avant l'arrivée des sapeurs-pompiers.

Les pompiers quittent Kandi, une commune sise à 5 km des lieux de l'incendie à 1h22 après un appel en renfort des sapeurs de Malanville. La caserne de Malanville ne disposerait pas de véhicule incendie.

Mais arrivée à Pede, le premier village après Kandi, la partie arrière du camion citerne des sapeurs-pompiers de Kandi a pris feu. L'équipe s'arrête pour éteindre l'incendie déclaré sur le véhicule incendie.

C'est finalement les sapeurs-pompiers de Banikoara qui arrivent à l'hôpital de zone de Malanville.

Mais le feu a consumé tout le magasin de stockage de produits pharmaceutiques et médicaments de l'hôpital de zone. La dalle du magasin est tombée sous l'affre des flammes, selon Tchati Honoré, le commandant du groupement des sapeurs pompiers de l'Alibori.

Il n'y a pas de perte en vies humaines.

Plusieurs tonnes de médicaments et autres produits pharmaceutiques sont ainsi partis en fumée à l'hôpital de zone de Malanville.
M. M.

Categories: Afrique

A la GDIZ, ADAMBI évoque la nécessaire transformation des produits locaux

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 11:05

C'est par la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) que le ministre de l'énergie, de l'eau et des mines, Samou Séïdou ADAMBI a entamé jeudi 25 janvier 2024, une tournée nationale en rapport avec le Programme ‘'Eau potable en milieu urbain et en milieu rural au Bénin''. Objectif, visiter les installations pour la fourniture de l'eau au sein de la zone franche industrielle.

Ce jeudi 25 janvier 2024, Samou Séïdou ADAMBI, ministre de l'énergie, de l'eau et des mines, a effectué une première visite au sein de la Zone industrielle de Glo-Djigbé. Au terme d'une séance d'explication et de présentation de la maquette du projet GDIZ avec Létondji BEHETON, directeur général de la Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN), Samou Séïdou ADAMBI a visité le réservoir d'eau de 3000m3, le 7e forage réalisé pour l'approvisionnement en eau au sein de la zone. Par rapport aux ouvrages d'approvisionnement en eau, les travaux sont terminés, et les ouvrages réceptionnés depuis octobre 2023, a rappelé le ministre rassurant que « tout est en place pour que la zone soit donc à l'abri de tous les problèmes d'eau ». « Ce qui est là pourra couvrir tous les besoins de zone jusqu'à ce que l'extension de la dernière phase puisse arriver ; et là, nous allons renforcer », a-t-il ajouté.

En dehors des ouvrages en eau, Samou Séïdou ADAMBI pour sa première visite à la GDIZ, a visité l'usine de fabrication de carreaux, et la 1ère unité intégrée de textile. Très impressionné par la taille de l'usine de fabrication de carreaux, et les autres unités de transformation installées au sein de la zone, l'autorité ministérielle a souligné l'importance de transformer les produits locaux pour créer de la richesse. « Sans industrie, on ne peut pas se développer. Sans transformer ce que nous cultivons, on ne peut pas se développer. Donc, on va cesser d'exporter ce que nous produisons nous-mêmes en état brut. On va transformer pour avoir de la valeur ajoutée et dans cette valeur ajoutée, nous créons de la richesse pour notre pays, et la main d'œuvre », a indiqué le ministre fier de la vision du gouvernement, celle de transformer les produits agricoles et miniers au sein de la GDIZ. Ce qui, selon lui, permettra de « résorber un tant soit peu la question du chômage ».
Pour le ministre ADAMBI, tous les béninois et toutes les béninoises devraient accompagner l'initiative de la GDIZ et la démultiplier à travers le pays ; sensibiliser les parents dans le cadre de la transformation des produits agricoles (le soja, le coton, le cajou, le palmier à huile, etc). « Tout ça doit être transformé au Bénin ici avant d'être exporter pour créer de la valeur, de la richesse, et de la main d'œuvre pour nos jeunes », a-t-il insisté réitérant ses félicitations au directeur général de la SIPI-BENIN et ses collaborateurs.

Le Bénin bientôt grand producteur de carreaux
Selon le ministre de l'énergie, de l'eau et des mines, avec ses matériaux locaux à savoir le granite de Djidja, l'argile de Zogbodomey et le kaolin de Kétou, le Bénin pourra satisfaire ses besoins en matière de carreaux. L'ensemble de ces trois matériaux permettra de satisfaire la demande dans le pays, les pays de la sous-région, et au-delà de toute l'Afrique. « Tout ce qui a été réalisé ici, dans la zone économique spéciale, ce n'est que le début », a-t-il souligné convaincu de la vision du gouvernement à transformer sur place, les produits locaux.

La question de l'énergie et du gaz
Selon le ministre de l'énergie, de l'eau et des mines, ce qui reste à faire, c'est l'énergie. Par rapport à cette préoccupation et celle relative au gaz évoquées au cours de sa visite, il a été rassurant car, selon lui, dans une filature, on ne peut pas couper le courant. Etant donné que le Bénin n'est pas encore totalement à l'abri de l'insuffisance énergétique, le gouvernement rassure-t-il, travaille de jours comme de nuits pour trouver des solutions permettant de « stabiliser la fourniture de courant » dans la zone, et par-delà, tout le Bénin.
A la GDIZ, un dispositif bien pensé est mis en place pour garantir l'accès à l'énergie électrique en quantité, en qualité et à un prix compétitif. Il est prévu l'installation de panneaux solaires sur les toitures des usines (100MW). La zone va également abriter la plus grande centrale solaire en toiture au Bénin ; une centrale solaire photovoltaïque de 300MW sur les 12000 hectares ; une centrale thermique (Glo1) de 143 MW, et 05 sous stations électriques.
Jean-Claude CODJIA, préfet de l'Atlantique, Angelo AHOUANDJINOU et Amadé MOUSSA, respectivement maires des communes d'Abomey-Calavi et de Zè, Sylvain A. MIGAN, directeur général par intérim de la SONEB et plusieurs autres personnalités faisaient partie de la délégation du ministre.
Quelques images de la visite

F. A. A.

Categories: Afrique

Jérôme Carlos conduit à sa dernière demeure

24 Heures au Bénin - Fri, 01/26/2024 - 11:05

Le journaliste émérite et Directeur de la Radio Capp FM Jérôme Carlos a été inhumé ce jeudi 25 janvier 2024 à Porto-Novo.

Jérôme Carlos a été conduit à sa dernière demeure ce jeudi 25 janvier. C'est après une messe à la Cathédrale Notre-Dame de l'Immaculée Conception de Porto-Novo. Plusieurs autorités dont le président de l'Assemblée nationale Louis Vlavonou, l'ancien président de l'Assemblée nationale Bruno Amoussou, l'ancien président de la Cour constitutionnelle Me Robert Dossou, la ministre Aurélie Adam Soulé Zoumarou et autres ont marqué de leur présence.

Après la messe, le chroniqueur et écrivain béninois Jérôme Carlos a été inhumé à Porto-Novo. Le mercredi 24 janvier, une cérémonie d'hommages a été organisée à l'École normale supérieure à Porto-Novo.

Le Directeur de la Radio Capp FM est passé de vie à trépas à son domicile à Porto-Novo dans l'après-midi du lundi 15 janvier 2024 à l'âge de 79 ans.

A.A.A

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Immigration France : largement censurée, la nouvelle loi sera promulguée

Algérie 360 - Fri, 01/26/2024 - 10:50

Quelques semaines après l’adoption du texte de la nouvelle loi immigration en France, par la commission paritaire mixte, Emmanuel Macron a fait appel au Conseil […]

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Categories: Afrique

Pourquoi l'Alabama a-t-il exécuté un homme en utilisant de l'azote ?

BBC Afrique - Fri, 01/26/2024 - 10:37
Alors que les États américains cherchent une nouvelle méthode pour mettre à mort les criminels, le gaz d'azote été utilisé pour la première fois.
Categories: Afrique

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