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Afrique

Walid Regragui suspendu pour quatre matchs

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 19:52

Gros coup dur pour les Lions de l'Atlas du Maroc. Le sélectionneur Walid Regragui est sanctionné par la CAF ce mercredi 24 janvier 2024 pour quatre matchs.

Lors du dernier match des Lions de l'Atlas face à la République Démocratique du Congo, une grosse altercation a eu lieu. C'était notamment en fin de match entre Walid Regragui, le sélectionneur des Lions de l'Atlas, et Chancel Mbemba, le capitaine congolais. Cela a débouché sur un accrochage général entre les joueurs et staff des deux sélections, ce qui n'a visiblement pas été du goût de la CAF.

D'après les récentes informations de beIN Sports, la CAF a frappé fort contre le Maroc. En effet, Walid Regragui va écoper d'une lourde sanction avec quatre matchs de suspension, dont deux avec sursis, le tout accompagné d'une grosse amende.

Cette décision de la CAF est contestée par la Fédération Marocaine de Football. La FRMF a fait appel de la décision de la CAF concernant la suspension de Walid Regragui : « Les faits n'ont montré aucun comportement qui viole l'esprit sportif », explique-t-elle.

J.S

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Vers l'obtention d'un agrément d'établissement financier de cautionnement

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 19:49

Le Conseil des ministres a marqué, ce mercredi 24 janvier 2024, son accord pour le recrutement d'une expertise internationale pour accompagner le Fonds National de Développement Agricole dans le processus d'obtention d'un agrément d'établissement financier de cautionnement.

Le gouvernement béninois autorise le Fonds National de Développement Agricole (FNDA) à obtenir un agrément d'établissement financier de cautionnement. Selon le Conseil des ministres, « nonobstant l'apport qualitatif du FNDA au profit du monde agricole, ses résultats pourraient être améliorés substantiellement si la garantie qu'elle propose était éligible dans le cadre du dispositif prudentiel en vigueur au sein de l'Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) ». « Etant donné que ce n'est pas le cas, cette situation influence négativement son acceptation par les institutions financières partenaires », relève le Conseil des ministres.

Le recours du FNDA à l'agrément de l'Autorité de régulation bancaire de l'UMOA permettra d'améliorer la qualité de cette garantie et d'élargir sa gamme de facilités d'accès aux financements agricoles. Une expertise internationale sera recrutée pour accompagner le FNDA dans le processus d'obtention dudit agrément d'établissement financier de cautionnement.

A.A.A

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COMPTE RENDU DU CONSEIL DES MINISTRES DU 24 JANV. 2024

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 18:37

Le Conseil des Ministres s'est réuni mercredi, le 24 janvier 2024, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République, Chef de l'État, Chef du Gouvernement.

Les décisions ci-après ont été prises :
I- MESURES NORMATIVES.
Création de la Société béninoise de Développement des Semences végétales et Plants, et approbation de ses statuts.
Le constat est fait que le système semencier national est dominé par l'informel et des méthodes d'approvisionnement peu efficaces, les producteurs effectuant des prélèvements directs des semences et plants sur le stock existant dans les champs pour la campagne suivante. Avec ce système, près de 80% des semences végétales sont utilisées dans les exploitations agricoles, ce qui impacte négativement le niveau des rendements.
C'est pourquoi, il est apparu pertinent de mettre en place un système semencier formel afin de garantir la qualité des semences et des plants avec une traçabilité nette depuis la sélection jusqu'à la commercialisation, en passant notamment par la multiplication.
Pour ce faire, le Gouvernement a fait l'option de créer une structure capable de gérer efficacement le dispositif national de production, d'agrégation, d'importation et de distribution de semences et plants. La mise en place de cette société participe donc d'une volonté de conforter durablement les performances de l'agriculture béninoise.
Elle sera dédiée à l'organisation de l'industrie semencière autour des espèces vivrières, horticoles, fourragères, fruitières et forestières pour répondre aux besoins en semences et plants de qualité et améliorer le taux d'utilisation des semences et plants certifiés, hormis les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM).
De façon spécifique, cette société va œuvrer à :
promouvoir le développement des variétés de semences et plants, la conservation des souches des variétés adaptées aux exigences des utilisateurs ainsi qu'au changement climatique ;
appuyer le renforcement de capacités de toutes les catégories d'acteurs impliqués dans le développement des variétés, la production et la gestion des semences et plants ;
créer des réseaux de collecte et de distribution des semences et plants en veillant à prendre en compte des retours d'expérience des utilisateurs pour améliorer la qualité des semences et plants ;
installer des centres modernes de traitement, de conditionnement et de stockage/conservation des semences et plants ;
mettre aux normes les infrastructures existantes de production, de contrôle de qualité, de traitement, de conditionnement et de stockage/conservation des semences et plants ;
renforcer les capacités de contrôle et de certification des semences végétales et plants.

Les ministres concernés par le sujet accompliront les diligences nécessaires à la formalisation de la Société et à son opérationnalisation.

II- Communications.
II-1. Missions de maîtrise d'œuvre complète des projets de réhabilitation de l'Institut Français d'Afrique Noire (IFAN) à Abomey et de construction des commissariats de police de Djègbadji et d'Avlékété à Ouidah
.

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet de réhabilitation des anciens palais royaux, l'UNESCO a recommandé de redistribuer certaines fonctionnalités du musée des rois et des amazones du Danxomè, dont le site se trouve sur la liste du patrimoine mondial, aux anciens palais royaux ainsi qu'à l'Institut Français d'Afrique Noire.
A cet effet, un cabinet spécialisé dans la réhabilitation d'édifices à caractère patrimonial, a été sollicité pour assurer les études architecturales et techniques de même que le suivi des travaux.
S'agissant des commissariats d'Avlékété et de Djègbadji, leur reconstruction se justifie par la présence des bâtiments qui les abritaient dans les emprises du projet d'aménagement d'une station balnéaire d'exception à Avlékété et du projet de construction du complexe touristique « Marina » près de la Porte du non-retour à Djègbadji, dans la commune de Ouidah.
C'est pour mener à bien ces missions que le Conseil a autorisé la contractualisation avec les cabinets identifiés et instruit les ministres concernés de veiller à la bonne exécution de leurs cahiers des charges.

II-2. Signature d'un accord-cadre pour le renforcement du programme nutritionnel des cantines scolaires et l'implantation d'une usine de transformation de produits agricoles locaux en compléments alimentaires.

La malnutrition, en plus d'être la cause sous-jacente de plus de 45% des décès d'enfants de moins de 5 ans est, dans sa forme chronique, un obstacle au développement et à la valorisation des ressources humaines.
Grâce aux interventions de l'Etat, la prévalence de la malnutrition aiguë au Bénin s'est améliorée pour s'établir, suivant la dernière enquête démographique et de santé (EDS) à 5% en 2018, tandis que celle de la malnutrition chronique, suivant la même trajectoire positive, est descendue à 32,2% en 2018.
Malgré ces progrès, l'action de l'Etat doit s'intensifier pour combler rapidement les écarts. En conséquence, le Gouvernement a donné plus d'envergure au Programme national d'Alimentation scolaire intégré qui permet aujourd'hui à plus d'un million d'enfants des écoles primaires publiques, d'être alimentés par jour, puis créé l'Agence nationale pour l'Alimentation et la Nutrition.
Si le modèle des cantines scolaires s'appuie sur l'utilisation des produits locaux pour diversifier et enrichir l'alimentation, la disponibilité des aliments est, cependant, tributaire des saisons.
Pour maintenir la qualité des prestations et les améliorer en dépit de cette contrainte, il est nécessaire de trouver des solutions alternatives sous forme de compléments alimentaires, fabriqués à partir des produits locaux, en vue de garantir la richesse et la qualité des repas servis aux écoliers, quelle que soit la saison.
Par ailleurs, la prise en charge des cas de malnutrition dans nos formations sanitaires se fait par les Aliments Thérapeutiques Prêts à l'Emploi que fournit un groupe spécialisé à l'UNICEF.
Aussi, au regard des quantités utilisées, le Gouvernement a-t-il jugé pertinent de développer une capacité de production sur place au Bénin non seulement pour faciliter la disponibilité permanente de ces produits mais aussi pour renforcer le tissu économique local.
A cet effet, le Conseil a autorisé la signature d'un accord-cadre avec le groupe spécialisé ; ce qui permettra d'engager les discussions spécifiques autour de trois domaines d'intervention retenus que sont :
le renforcement du programme nutritionnel des cantines scolaires ;
l'apport de compléments alimentaires pour améliorer l'état nutritionnel dans la fenêtre d'opportunité des 1000 premiers jours ;
l'installation au Bénin d'une usine de transformation de produits agricoles locaux pour la préparation de compléments alimentaires.


II-3. Contractualisation pour l'obtention d'un agrément d'établissement financier de cautionnement au profit du Fonds National de Développement Agricole (FNDA).

Nonobstant l'apport qualitatif du FNDA au profit du monde agricole, ses résultats pourraient être améliorés substantiellement si la garantie qu'elle propose était éligible dans le cadre du dispositif prudentiel en vigueur au sein de l'Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA).
Etant donné que ce n'est pas le cas, cette situation influence négativement son acceptation par les institutions financières partenaires.
C'est pour améliorer la qualité de cette garantie et élargir sa gamme de facilités d'accès aux financements agricoles que le Gouvernement a autorisé le Fonds à recourir à l'agrément de l'Autorité de régulation bancaire de l'UMOA.
Le Conseil a donc marqué son accord pour le recrutement d'une expertise internationale pour accompagner le FNDA dans le processus d'obtention dudit agrément d'établissement financier de cautionnement.
III- MESURES INDIVIDUELLES.
Les nominations ci-après ont été prononcées :
A la Présidence de la République
Président du Conseil national de l'Education : Monsieur Noël Ahonagnon GBAGUIDI

Au ministère de l'Economie et des Finances, en charge de la Coopération
Directeur général du Centre national d'Investigations numériques (CNIN) : Monsieur Ouanilo MEDEGAN FAGLA

Directeur général de la Société de Développement hôtelier du Bénin : Monsieur Adjélé Aminou MAMAN
Au ministère de la Santé
Conseiller technique au Partenariat et à la Politique sanitaire : Madame Annonciat Sèmèvo AVIANSOU
Directeur adjoint de la Planification, de l'Administration et des Finances : Monsieur Yentabou Florent Jacob AKPLOME
Au ministère du Numérique et de la Digitalisation
Secrétaire général du ministère : Monsieur Marius ATAYI-GUEDEGBE
Au ministère de l'Industrie et du Commerce
Directeur adjoint de cabinet : Madame Emilie TIBOUTE
Conseiller technique aux Accords internationaux : Monsieur Benjamin ALANMENOU
Conseiller technique au suivi des Projets : Monsieur Mohamed Kankou HAMISSOU
Conseiller technique au Commerce : Monsieur Isdine O. Akanni BOURAÏMA
Directeur du Développement industriel : Madame Murielle H. GNAMBLOHOU.

Fait à Cotonou, le 24 janvier 2024,
Le Secrétaire Général du Gouvernement,
Edouard OUIN-OURO.

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Usine de transformation de produits agricoles locaux en compléments alimentaires

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 18:08

L'Etat béninois va signer un accord-cadre pour le renforcement du programme nutritionnel des cantines scolaires et l'implantation d'une usine de transformation de produits agricoles locaux en compléments alimentaires. C'est une décision prise ce mercredi 24 janvier 2024 en Conseil des ministres

« Grâce aux interventions de l'Etat, la prévalence de la malnutrition aiguë au Bénin s'est améliorée pour s'établir, suivant la dernière enquête démographique et de santé (EDS) à 5% en 2018, tandis que celle de la malnutrition chronique, suivant la même trajectoire positive, est descendue à 32,2% en 2018 », informe le Conseil des ministres. En dépit des progrès enregistrés, l'Etat veut intensifier ses actions pour combler rapidement les écarts.

Le Gouvernement a donc résolu de donner plus d'envergure au Programme national d'Alimentation scolaire intégré qui permet aujourd'hui à plus d'un million d'enfants des écoles primaires publiques, d'être alimentés par jour, puis créé l'Agence nationale pour l'Alimentation et la Nutrition. « Si le modèle des cantines scolaires s'appuie sur l'utilisation des produits locaux pour diversifier et enrichir l'alimentation, la disponibilité des aliments est, cependant, tributaire des saisons », relève le gouvernement.

Pour maintenir la qualité des prestations et les améliorer en dépit de cette contrainte, il est nécessaire selon la même source, de trouver des solutions alternatives sous forme de compléments alimentaires, fabriqués à partir des produits locaux, en vue de garantir la richesse et la qualité des repas servis aux écoliers, quelle que soit la saison. « Par ailleurs, la prise en charge des cas de malnutrition dans nos formations sanitaires se fait par les Aliments Thérapeutiques Prêts à l'Emploi que fournit un groupe spécialisé à l'UNICEF », indique le Conseil des ministres.

Aussi, au regard des quantités utilisées, le gouvernement a-t-il jugé pertinent de développer une capacité de production sur place au Bénin non seulement pour faciliter la disponibilité permanente de ces produits mais aussi pour renforcer le tissu économique local.

Le Conseil a autorisé la signature d'un accord-cadre avec le groupe spécialisé. Cela permettra d'engager les discussions spécifiques autour de trois domaines d'intervention retenus que sont : le renforcement du programme nutritionnel des cantines scolaires ; l'apport de compléments alimentaires pour améliorer l'état nutritionnel dans la fenêtre d'opportunité des 1000 premiers jours. A cela s'ajoute l'installation au Bénin d'une usine de transformation de produits agricoles locaux pour la préparation de compléments alimentaires.

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Vers la réhabilitation de l'IFAN à Abomey

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 18:07

Le Conseil des ministres de ce mercredi 24 janvier 2024, a autorisé la contractualisation avec les cabinets identifiés pour des missions de maîtrise d'œuvre complète des projets de réhabilitation de l'Institut Français d'Afrique Noire (IFAN) à Abomey et de construction des commissariats de police de Djègbadji et d'Avlékété à Ouidah.

Le gouvernement béninois annonce la réhabilitation de l'Institut Français d'Afrique Noire (IFAN) à Abomey et la construction des commissariats de police de Djègbadji et d'Avlékété à Ouidah. Dans le cadre de la mise en œuvre du projet de réhabilitation des anciens palais royaux, informe le Conseil des ministres, l'UNESCO a recommandé de redistribuer certaines fonctionnalités du musée des rois et des amazones du Danxomè, dont le site se trouve sur la liste du patrimoine mondial, aux anciens palais royaux ainsi qu'à l'Institut Français d'Afrique Noire. Un cabinet spécialisé dans la réhabilitation d'édifices à caractère patrimonial a été donc sollicité pour assurer les études architecturales et techniques de même que le suivi des travaux.

Le gouvernement justifie la reconstruction des commissariats d'Avlékété et de Djègbadji par la présence des bâtiments qui les abritaient dans les emprises du projet d'aménagement d'une station balnéaire d'exception à Avlékété et du projet de construction du complexe touristique « Marina » près de la Porte du non-retour à Djègbadji, dans la commune de Ouidah.

A.A.A

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Vérifiez ces choses avant d’arrêter de consommer du sucre

BBC Afrique - Wed, 01/24/2024 - 17:58
Les personnes qui consomment de grandes quantités de sucre courent un risque de maladies telles que le diabète, les maladies cardiaques et le cancer... mais cela n'est peut-être pas causé uniquement par le sucre.
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Le MCC Célèbre son 20e Anniversaire et son Partenariat avec le Bénin

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 17:45

Le Millennium Challenge Corporation (MCC) du Gouvernement des Etats-Unis a fêté son 20e anniversaire le 23 janvier 2024. Depuis 2004, le MCC a œuvré à réduire la pauvreté pour des millions de personnes au niveau mondial à travers l'accélération de la croissance économique.
L'ancien président des Etats-Unis George Bush a signé la loi portant création du MCC le 23 janvier 2004, pour combattre la pauvreté dans le monde à travers la prise de décisions basées sur les statistiques et l'analyse coût- bénéfice. Le MCC a commencé ses activités en tant que petite agence composée d'experts motivés par l'idée de trouver des solutions pour produire un changement positif au niveau mondial. L'approche était sans précédent – forger des partenariats avec des pays en voie de développement qui partagent un engagement pour la bonne gouvernance, la démocratie, et les investissements dans leurs populations ; trouver des solutions aux contraintes majeures à la croissance économique qui soient pérennes et conduites par les pays eux-mêmes ; et utiliser les statistiques pour éclairer la prise de décision. L'expérience a fonctionné.
« Le MCC est devenu un endroit spécial », a déclaré la PDG du MCC, Alice Albright. « Le MCC voit des opportunités là où d'autres voient des défis ; cette organisation offre des subventions tandis que d'autres accordent des prêts ; et cette équipe croit au potentiel d'un avenir meilleur, même lorsque les temps sont durs. Il n'existe aucune autre agence de développement international au monde qui incarne autant les valeurs de sélectivité, de transparence et d'appropriation nationale que le MCC, et les résultats de l'agence au cours des vingt dernières années montrent précisément à quel point ce modèle est fiable dans la pratique. »
Au Bénin, le MCC est un partenaire privilégié depuis 2004, avec 900 millions de dollars américains de don à travers trois accords de don, le dernier étant en cours. Le gouvernement du Bénin a contribué à hauteur de 260 millions de dollars américains, à la mise en œuvre des programmes du MCC, y compris à travers une contribution de 204 millions de dollars américains dans le cadre de l'accord de don régional en cours pour la reconstruction du tronçon de la route Bohicon-Dassa Zoumé en quatre voies (2x2). Les programmes du MCC au Bénin sont gérés par des organismes publiques autonomes dénommés Millennium Challenge Account (MCA), avec des équipes composées de professionnels béninois engagés pour le développement de leur pays.
« Le MCC est une pierre angulaire du partenariat entre les Etats-Unis d'Amérique et le Bénin » a déclaré l'Ambassadeur des Etats-Unis près le Bénin, Brian Shukan. « A travers des investissements dans les infrastructures énergétiques et routières, la réforme des politiques, et le renforcement des institutions dans des secteurs tels que le foncier, la justice, le micro-crédit, l'énergie, et le secteur du transport, le MCC a accompagné le gouvernement et le peuple du Bénin dans leur marche vers le développement durable, » a ajouté l'Ambassadeur.
• Le premier accord de don du MCC (2006-2011) a permis l'amélioration de l'accès aux marchés en réhabilitant le Port de Cotonou, facilité l'accès à la terre, à la justice au sein des communautés rurales, et élargi l'accès aux services financiers pour les micro, petites et moyennes entreprises.
L'accord de don du MCC axé sur l'énergie (2017-2023) a triplé la capacité du réseau électrique national et donné l'accès à l'électricité à plus de 200 mille personnes pour la première fois.
• L'accord de don Bénin Régional du MCC (2025-2030) vise la promotion de l'intégration économique à travers la reconstruction du tronçon de la route Bohicon-Dassa Zoumé, et d'importantes réformes du secteur des transports.
Depuis 2004, le MCC a apporté près de 17 milliards de dollars américains d'aide à 47 pays à faible revenu et à revenu intermédiaire inférieur sur six continents, à travers des programmes qui ont permis de sortir plus de 300 millions de personnes de la pauvreté. L'on peut citer comme résultats :

•Près d'un demi-million d'agriculteurs formés, des milliers d'entreprises commerciales et civiques assistées et près de 100 millions de dollars en subventions agricoles et rurales décaissés ;

•Des milliers de kilomètres de routes réalisés
• Près d'un demi-million d'étudiants participant aux activités éducatives financées par le MCC, des dizaines de milliers d'instructeurs formés ou certifiés grâce aux activités soutenues par le MCC, et plus d'un millierd'établissements d'enseignement construits ; et
• Des centaines de millions de litres par jour d'augmentation de la capacité de production d'eau, et près de cent mille personnes formées au changement social et comportemental en hygiène et santé.

Le Millennium Challenge Corporation (MCC) est une agence indépendante du Gouvernement des Etats-Unis qui œuvre à la réduction de la pauvreté dans le monde à travers la croissance économique. Créée en 2004, le MCC accorde des subventions et une assistance limitée dans le temps aux pays qui respectent des normes rigoureuses en matière de bonne gouvernance, de lutte contre la corruption et de respect des droits démocratiques.

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La Côte d'Ivoire limoge son entraîneur Jean-Louis Gasset

BBC Afrique - Wed, 01/24/2024 - 15:55
Jean-Louis Gasset a été limogé de son poste d'entraîneur de la Côte d'Ivoire, hôte de la Coupe d'Afrique des Nations 2023, deux jours après sa défaite 4-0 contre la Guinée équatoriale.
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La Côte d'Ivoire vire son sélectionneur en pleine CAN

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 15:32

C'était dans les tuyaux depuis quelques heures. Mais la Fédération Ivoirienne de Football vient de le rendre officiel. Jean-Louis Gasset n'est plus le sélectionneur des Eléphants de la Côte d'Ivoire.

Après l'humiliation subie lors du troisième match de poules contre la Guinée Équatoriale (4-0), Jean-Louis Gasset était vivement critiqué en Côte d'Ivoire. Arrivé en mai 2022 pour remplacer Patrice Beaumelle, il n'aura donc pas réussi à imprimer sa patte sur le jeu ivoirien et s'en va après 17 rencontres pour un total de dix victoires, trois nuls et quatre défaites. Il est remplacé par Emerse Fae.

La Fédération Ivoirienne l'a annoncé dans une note officielle.

J.S

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Une société créée pour développer les semences végétales et plants

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 15:32

En Conseil des ministres, ce mercredi 24 janvier 2024, le gouvernement béninois a annoncé la création de la Société béninoise de Développement des Semences végétales et Plants.

Pour la gestion efficace du dispositif national de production, d'agrégation, d'importation et de distribution de semences et plants, le gouvernement crée une structure. Selon le Conseil des ministres « le système semencier national est dominé par l'informel et des méthodes d'approvisionnement peu efficaces, les producteurs effectuant des prélèvements directs des semences et plants sur le stock existant dans les champs pour la campagne suivante ». Près de 80% des semences végétales sont utilisées dans les exploitations agricoles, ce qui impacte négativement le niveau des rendements.

Suite à ce constat, le gouvernement a décidé de mettre en place un système semencier formel afin de garantir la qualité des semences et des plants avec une traçabilité nette depuis la sélection jusqu'à la commercialisation, en passant notamment par la multiplication. A en croire le gouvernement béninois, la création de la Société béninoise de Développement des Semences végétales et Plants participe « d'une volonté de conforter durablement les performances de l'agriculture béninoise ».

La structure sera dédiée à l'organisation de l'industrie semencière autour des espèces vivrières, horticoles, fourragères, fruitières et forestières pour répondre aux besoins en semences et plants de qualité et améliorer le taux d'utilisation des semences et plants certifiés, hormis les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM).

Missions de la société

La Société béninoise de Développement des Semences végétales et Plants est chargée de promouvoir le développement des variétés de semences et plants, la conservation des souches des variétés adaptées aux exigences des utilisateurs ainsi qu'au changement climatique. Elle appuie le renforcement de capacités de toutes les catégories d'acteurs impliqués dans le développement des variétés, la production et la gestion des semences et plants. La nouvelle société doit créer des réseaux d-e collecte et de distribution des semences et plants en veillant à prendre en compte des retours d'expérience des utilisateurs pour améliorer la qualité des semences et plants. Elle a aussi pour mission d'installer des centres modernes de traitement, de conditionnement et de stockage/conservation des semences et plants ; de mettre aux normes les infrastructures existantes de production, de contrôle de qualité, de traitement, de conditionnement et de stockage/conservation des semences et plants et de renforcer les capacités de contrôle et de certification des semences végétales et plants.

A.A.A

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Un citoyen demande la modification des vols des voyages officiels

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 15:31

Par un courrier en date du 22 janvier 2024, Romaric Boco, citoyen béninois, a saisi le président de la République Patrice Talon pour demander une modification des vols des voyages officiels.

Les billets d'avion au départ de Cotonou coûtent chers contrairement à ceux achetés au départ de Lomé. Après avoir fait le constat, M. Romaric Boco fait des propositions pour réduire considérablement les coûts des billets dans le cadre des voyages officiels. Le citoyen prie le Chef de l'Etat de bien vouloir instruire les responsables de l'Agence pour la gestion de la logistique des officiels (Aglo) de prioriser dorénavant les vols au départ et à destination de Lomé pour les officiels.

Selon lui, « ceci permettra à l'État béninois de réduire de 50% le coût total alloué aux billets d'avion des officiels ». En passant par l'aéroport de Lomé, explique-t-il, chaque officiel pourrait donc économiser à l'État béninois un montant moyen de 325.000 FCFA par voyage en classe économique et 1.500.000 FCFA en classe affaire. L'Etat béninois pourra fait annuellement une économie de 3 milliards FCFA.
Dans la pièce jointe à son lettre, le citoyen montre que pour un billet d'avion acheté à destination de Brest (France), le coût du billet d'avion au départ de Lomé s'élève à 620 euros soit 406.100 FCFA contre 1439 euro soit 942.545 FCFA pour un départ de Cotonou. Ce qui équivaut à une différence tarifaire de 536.445 FCFA correspondant à un taux de 125%.

L'Agence pour la gestion de la logistique des officiels (Aglo) a été créée par décret n°2019-418 du 25 septembre 2019. Elle est chargée entre autres de veiller à la rationalisation des dépenses, au respect des dispositions relatives aux déplacements du personnel de l'Etat.

A.A.A

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Le Bénin ratifie la Convention de l'Union Africaine sur la cybersécurité

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 15:24

Le Parlement béninois a ratifié, mardi 23 janvier 2024, la Convention de l'Union Africaine sur la cybersécurité et la protection des données à caractère personnel.

Les députés de la 9e législature ont autorisé la ratification de la Convention de l'Union Africaine sur la cybersécurité et la protection des données à caractère personnel. Le Bénin rejoint ainsi la liste des quelques pays ayant ratifié cette convention.

Encore appelée Convention de Malabo, la Convention de l'Union Africaine sur la cybersécurité et la protection des données à caractère personnel
a été promulguée le 27 juin 2014 à Malabo. L'objectif est de renforcer et harmoniser les législations actuelles des Etats membres et des Communautés Economiques Régionales (CER) en matière de Technologies de l'Information et de la Communication.

La convention détermine les règles de sécurité essentielles à la mise en place d'un espace numérique crédible pour les transactions électroniques, la protection des données à caractère personnel et la lutte contre la cybercriminalité. Elle comporte 38 articles regroupés en 04 chapitres dont un article préliminaire. Les termes employés dans la convention sont définis dans l'article préliminaire. Le chapitre 1er (article 2 à 7) est consacré aux transactions électroniques. Le chapitre II (articles 8 à 23) porte que la protection des données à caractère personnel. Le chapitre III (articles 24 à 31) est relatif à la promotion de la cybersécurité et la lutte contre la cybercriminalité. Quant au chapitre IV (articles 32 à 38), il énonce les dispositions finales. La Convention est axée sur un dispositif juridique basé sur cinq (05) orientations stratégiques.

A.A.A

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Le Bénin ratifie l'Accord établissant l'Alliance Smart Africa

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 15:22

L'Assemblée nationale du Bénin a voté, mardi 23 janvier 2024, la loi portant autorisation de ratification de l'Accord établissant l'Alliance Smart Africa.

Les députés ont voté à l'unanimité, mardi 23 janvier 2024, la loi portant autorisation de ratification de l'Accord établissant l'Alliance Smart Africa.
Alliance réunissant 38 pays ; des organisations internationales et autres acteurs, Smart Africa est axée sur le numérique en Afrique. L'objectif est d'accélérer la digitalisation de l'Afrique et créer un marché commun à travers l'accès à l'internet à coût abordable et l'utilisation des TICs.
En ratifiant l'Accord établissant l'Alliance Smart Africa, le Bénin marque ainsi son engagement à être au « cœur de l'agenda des TIC en Afrique et de renforcer sa posture de pays phare devant contribuer à la mise en œuvre du projet pilote d'identité numérique en Afrique », selon le rapport de la commission des lois, de l'administration et de droits de l'homme à l'Assemblée nationale. L'Accord s'inscrit dans la vision de faire du Bénin, la plateforme des services numériques pour l'inclusion sociale et la croissance. « En adhérant à son statut, notre pays donnera une nouvelle dimension internationale à ses efforts pour le développement du secteur numérique. C'est pourquoi ce présent projet de loi a été initié en vue de la ratification dudit Accord », précise le rapport.
L' Accord ratifié comporte un préambule et quinze (15) articles.
M. M.

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11 nominations à la Présidence et dans 4 ministères

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 14:32

En Conseil des ministres, ce mercredi 24 janvier 2024, 11 nominations ont été prononcées à la Présidence de la République, au ministère de l'Economie et des Finances en charge de la Coopération, au ministère de la Santé, au ministère du Numérique et de la Digitalisation, au ministère de l'Industrie et du Commerce.

■ A la Présidence de la République

Président du Conseil national de l'Education

Monsieur Noël Ahonagnon GBAGUIDI

■ Au ministère de l'Economie et des Finances, en charge de la Coopération

Directeur général du Centre national d'Investigations numériques (CNIN)

Monsieur Ouanilo MEDEGAN FAGLA

Directeur général de la Société de Développement hôtelier du Bénin

Monsieur Adjélé Aminou MAMAN

■ Au ministère de la Santé

Conseiller technique au Partenariat et à la Politique sanitaire

Madame Annonciat Sèmèvo AVIANSOU

Directeur adjoint de la Planification, de l'Administration et des Finances

Monsieur Yentabou Florent Jacob AKPLOME.

■ Au ministère du Numérique et de la Digitalisation

Secrétaire général du ministère

Monsieur Marius ATAYI-GUEDEGBE

■ Au ministère de l'Industrie et du Commerce

Directeur adjoint de cabinet

Madame Emilie TIBOUTE

Conseiller technique aux Accords internationaux

Monsieur Benjamin ALANMENOU

Conseiller technique au suivi des Projets

Monsieur Mohamed Kankou HAMISSOU

Conseiller technique au Commerce

Monsieur Isdine O. Akanni BOURAÏMA

Directeur du Développement industriel

Madame Murielle H. GNAMBLOHOU.

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Le secret qui rend les tardigrades, l’un des animaux les plus résistants de la planète, « indestructibles »

BBC Afrique - Wed, 01/24/2024 - 13:59
D’apparence trapue – et surréaliste – les tardigrades intriguent les chercheurs depuis des années.
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Les grandes décisions du Conseil des ministres

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 13:12

Le Conseil des ministres s'est tenu ce mercredi 24 janvier 2024, sous la présidence du Chef de l'Etat, Patrice Talon. Plusieurs décisions ont été prises au cours de cette séance hebdomadaire.

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Faty en concert ce samedi à l'Institut Français

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 12:57

L'artiste béninoise Faty sera en concert samedi 27 janvier 2024, à l'Institut français du Bénin.

Du show avec l'artiste Faty ce week-end. Elle sera au théâtre de verdure de l'Institut français du Bénin ce samedi. D'une voix suave, Faty offrira une fois encore à ses fans et au public béninois un concert mémorable. L'artiste est auteure des chansons telles que : Totché, Papa Yahweh, Nyona et autres. Avec 13 ans de carrière, Faty a à son actif un album, une douzaine singles et plusieurs collaborations.

Le groupe Kumpan et Kaba Groove originaire de Natitingou va assurer la première partie du concert à partir de 20 heures. Lauréat du Tremplin Musique 2023, le groupe est dirigé́ par la chanteuse, percussionniste et danseuse Kumpan. Leur musique est inspirée des peuples du nord du Bénin.

A.A.A

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Accident du bus des journalistes-reporters

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 12:24

Autre malheureux événement ces dernières heures en Côte d'Ivoire dans le cadre de la CAN 2023. Le bus des journalistes qui quittait Yamoussoukro pour Abidjan dans la nuit de ce mercredi a fait un accident.

Le bus qui transportait le convoi des journalistes de Yamoussoukro à Abidjan a fait un grave accident cette nuit. "Le convoi des journalistes revenant de Yamoussoukro pour Abidjan a eu un terrible accident de bus vers 2h", informe le journaliste Ablam Gnamesso sur son compte X. Selon le journaliste béninois, on enregistre beaucoup de personnes légèrement blessées et deux blessés graves. « Le chauffeur et le convoyeur qui avait son pied coincé, finalement secouru et sorti du bus », a-t-il témoigné.

Les hommes de la presse étaient partis d'Abidjan le mardi dans la matinée pour couvrir les rencontres Guinée vs Sénégal et Angola vs Burkina Faso disputées au stade Charles Konan Banny à Yamoussoukro (à 245 km d'Abidjan). Le convoi a repris la route la nuit à la fin du match du Burkina Faso. Ceci, pour rallier la capitale économique du pays. Mais le retour n'a pas été saint et sauf.

J.S

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Le recrutement de Directeurs Techniques au profit du MESTFP lancé

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 12:12

Un appel à candidatures a été lancé pour l'établissement d'une liste d'aptitude de cadres proposables à nomination aux postes de directeurs techniques au profit du Ministère des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle. Les postes à pourvoir et le dossier d'appel à candidature.

1. POSTES OUVERTS

Les postes ouverts et faisant objet du présent appel à candidatures sont les suivants :

• Directeur de l'enseignement secondaire général (DESG) ;

Directeur de l'enseignement secondaire technique et de la formation professionnelle (DESTFP) ;

Directeur de l'alphabétisation et de la promotion des langues nationales (DAPLN) ;

• Directeur des examens et concours (DEC).

2. CONDITIONS DE CANDIDATURES

2.1. CONDITIONS GENERALES

Peuvent faire acte de candidature, les personnes intéressées remplissant les conditions générales ci-après :
être de nationalité béninoise ;

être âgé (e) de 55 ans au plus au 31 décembre 2024 ;

être un cadre de la catégorie A, échelle 1, ayant au moins dix (10) ans d'ancienneté dans la Fonction publique ou être titulaire d'un diplôme de niveau minimum BAC+5 avec au moins dix (10) ans d'expérience professionnelle pour les candidats non agents de l'Etat ;

• justifier d'une bonne connaissance de l'organisation et du fonctionnement de l'administration publique ;

justifier d'une très bonne connaissance du secteur de l'éducation ;

• posséder les compétences et aptitudes requises dans les domaines respectifs d'activités du poste sollicité ;

avoir une connaissance des textes législatifs et règlementaires applicables aux domaines de compétence du poste sollicité ;

avoir un casier judiciaire vierge ;

n'avoir fait l'objet d'aucune sanction disciplinaire ou pénale pour une faute commise dans l'exercice de ses fonctions ;

• être de bonne moralité et jouir de ses droits civiques.

2.2. CONDITIONS SPECIFIQUES

Les conditions spécifiques à chaque poste sont précisées comme ci-dessous :

A. Poste de Directeur de l'enseignement secondaire général (DESG)

Sous l'autorité du Secrétaire Général du Ministère, le Directeur de l'enseignement secondaire général assure généralement la conception, la mise en œuvre et le suivi- évaluation de la politique de l'Etat en matière d'enseignement secondaire général ; la supervision des programmes éducatifs, le leadership administratif, la gestion des ressources humaines de sa direction et le développement de politiques pédagogiques. Le Directeur de l'enseignement secondaire général est également responsable de la coordination entre les établissements d'enseignement secondaire général et de la mise en œuvre des réformes relatives à ce volet de l'enseignement secondaire.

A1. Principales responsabilités

Les principales responsabilités du directeur de l'enseignement secondaire général sont :

❖ Leadership stratégique et administratif :

– fournir un leadership stratégique pour les établissements d'enseignement secondaire général, en contribuant à l'élaboration des politiques éducatives et en coordonnant les activités administratives y relatives ;

gérer efficacement les ressources allouées aux établissements secondaires, en garantissant leur utilisation judicieuse pour soutenir les objectifs éducatifs ; appuyer le recrutement, la formation et l'évaluation des enseignants du secondaire général, tout en favorisant un environnement de travail positif.

❖ Supervision des politiques et programmes éducatifs :

– assurer la qualité et la pertinence des programmes d'enseignement secondaire général en veillant à ce qu'ils répondent aux normes éducatives et aux besoins des élèves ;
contribuer activement à l'élaboration et à la mise en œuvre de politiques éducatives et de réformes visant à améliorer la qualité de l'enseignement secondaire général, en veillant à ce qu'elles soient alignées sur les objectifs nationaux et internationaux ; encourager et intégrer des méthodes d'enseignement innovantes, y compris l'utilisation de technologies éducatives, pour améliorer l'apprentissage dans les établissements d'enseignement secondaire général ;

travailler à garantir l'équité dans l'accès à l'éducation secondaire, en identifiant et en surmontant les obstacles potentiels.

→ Coordination entre établissements et évaluation des performances :

– assurer la tutelle des établissements publics et privés d'enseignement secondaire général ;
faciliter la collaboration entre les établissements secondaires pour favoriser l'échange de bonnes pratiques et la cohérence dans l'application des politiques éducatives ; évaluer régulièrement les performances des établissements et des enseignants, en identifiant les domaines de réussite et en mettant en place des plans d'amélioration le cas échéant.

❖ Communication avec les parties prenantes :

communiquer efficacement avec les parents, les élèves, le personnel éducatif et les autorités éducatives pour assurer une compréhension commune des objectifs et des initiatives éducatives
contribuer à créer un environnement éducatif favorable à l'apprentissage et au développement des élèves.

A2. Qualifications et aptitudes requises

— avoir une formation académique de niveau BAC+5 au moins dans l'un des domaines pertinents de l'enseignement secondaire général, des sciences de l'éducation ou d'un domaine connexe ;

– avoir une très bonne connaissance de l'enseignement secondaire général ;

– avoir un bonne connaissance de la vision et de la stratégie pour l'amélioration continue de la qualité de l'enseignement secondaire général ;

– avoir des connaissances en planification stratégique et en gestion ;

— avoir une capacité avérée à diriger les équipes de travail ;

avoir une capacité à prendre des décisions stratégiques ;

avoir une capacité à mettre en œuvre des réformes

être capable de coordonner le développement et la mise en œuvre des politiques éducatives pertinentes ;

avoir une bonne connaissance des réglementations et des normes en vigueur dans le sous-secteur de l'enseignement secondaire général ;

avoir une expérience significative dans l'enseignement secondaire général ;

avoir une bonne connaissance des enjeux spécifiques à l'enseignement secondaire général ;

avoir de fortes compétences en communication pour interagir avec les parties prenantes, y compris les enseignants, les parents, les élèves, et les autorités éducatives ;

avoir des expériences en création et maintien des relations de collaboration avec d'autres établissements, institutions éducatives et organismes gouvernementaux ; démontrer un intérêt et une capacité à intégrer des méthodes d'enseignement novatrices, y compris l'utilisation de nouvelles technologies dans l'enseignement secondaire général ; savoir utiliser l'outil informatique ;

– la connaissance de secteurs de l'éducation d'autres pays serait un atout.

B. Poste de Directeur de l'enseignement secondaire technique et de la formation professionnelle (DESTFP)

Sous l'autorité du Secrétaire général du Ministère, le directeur de l'enseignement secondaire technique et de la formation professionnelle assure généralement la conception, la mise en œuvre et le suivi-évaluation de la politique de l'Etat en matière d'enseignement et de formation techniques et professionnels. Il joue un rôle clé dans la formation des individus compétents et prêts à répondre aux besoins du secteur professionnel et dans la préparation des apprenants aux carrières techniques et professionnelles, en veillant à ce que les programmes de formation soient pertinents, innovants et alignés sur les besoins de développement du pays.

B1. Principales responsabilités

Les principales responsabilités du directeur de l'enseignement secondaire technique et de la formation professionnelle comprennent :

❖ Leadership stratégique et administratif :

fournir un leadership stratégique pour les établissements d'enseignement secondaire technique et de formation professionnelle, en contribuant à l'élaboration des politiques éducatives alignées avec les besoins du marché de travail et en coordonnant les activités administratives y relatives ;

gérer efficacement les ressources allouées à l'enseignement et la formation techniques et professionnels ;

appuyer le recrutement, la formation et l'évaluation des enseignants du secondaire technique et de la formation professionnelle, en mettant un accent particulier sur les compétences techniques nécessaires et en favorisant un environnement de travail positif ;
être informé des évolutions du marché du travail et proposer l'ajustement des programmes de formation en conséquence pour garantir la pertinence des compétences enseignées.

❖ Supervision des politiques et programmes éducatifs :
veiller à la qualité et à la pertinence des programmes d'enseignement secondaire technique et de formation professionnelle en veillant à ce qu'ils répondent aux normes éducatives et aux besoins du marché du travail ;
contribuer activement à l'élaboration et à la mise en œuvre de politiques éducatives et de réformes visant à améliorer la qualité de l'enseignement secondaire technique et professionnel, en veillant à ce qu'elles soient alignées sur les objectifs nationaux et internationaux ;

coordonner la conception, le développement et la mise en œuvre des programmes de formation technique et professionnelle alignés sur les normes industrielles et les évolutions technologiques ;

– veiller à l'intégration dans les pratiques de formation, des méthodes d'enseignement innovantes, y compris l'utilisation de technologies éducatives, pour améliorer l'apprentissage dans les établissements d'enseignement technique et de formation professionnelle ;

contribuer à la mise en place de mécanismes pertinents d'assurance qualité des programmes de formation technique et professionnelle ;

travailler à garantir l'équité dans l'accès à l'enseignement secondaire technique et professionnel, en identifiant et en maîtrisant les obstacles potentiels.

❖ Coordination entre établissements et évaluation des performances :

assurer la tutelle des établissements publics et privés d'enseignement secondaire technique et de formation professionnelle ;

faciliter la collaboration entre les établissements secondaires techniques et de formation professionnelle pour favoriser l'échange de bonnes pratiques et la cohérence dans l'application des politiques éducatives ;
contribuer à l'évaluation régulière des performances des établissements et des enseignants de l'enseignement et la formation techniques et professionnels, en identifiant les domaines de réussite et en mettant en place des plans d'amélioration le cas échéant.

→ Communication avec les parties prenantes :

communiquer efficacement avec les parents, les élèves, le personnel éducatif, le monde industriel et les autorités éducatives pour assurer une compréhension commune des objectifs et des initiatives en matière d'enseignement et de formation techniques et professionnels ;

établir et entretenir des partenariats avec des entreprises et des organisations industrielles pour s'assurer de la pertinence des programmes de formation par rapport aux exigences du marché ;
contribuer à créer un environnement éducatif favorable à l'apprentissage et au développement des apprenants.

❖ Orientation et insertion professionnelle :

fournir des services d'orientation professionnelle aux apprenants, les aidant à choisir des formations alignées sur leurs compétences et intérêts et sur les besoins futurs du marché de travail ;

travailler à faciliter l'insertion professionnelle des diplômés en établissant des liens avec les employeurs et en offrant des opportunités de stage en milieu professionnel.

B2. Qualifications et aptitudes requises

– avoir une formation académique de niveau BAC+5 au moins dans l'un des domaines pertinents de l'enseignement et la formation techniques et professionnels, des sciences de l'éducation ou dans un domaine connexe ;

– avoir une très bonne connaissance de l'enseignement secondaire technique et professionnel ;

avoir une bonne connaissance de la vision et de la stratégie de développement de l'enseignement secondaire technique et professionnel,

être capable de coordonner l'élaboration et la mise en œuvre des programmes de formation technique et professionnelle conformes aux normes éducatives et aux exigences du marché du travail ;

avoir des connaissances en planification stratégique et en gestion ;

avoir une expérience significative dans le sous-secteur de l'enseignement technique et de la formation professionnelle ;

avoir une connaissance approfondie des domaines techniques pertinents, ainsi qu'une compréhension des besoins du marché du travail en termes de compétences ;

justifier d'excellentes compétences en gestion, y compris la gestion des ressources humaines, financières et matérielles spécifiques à l'enseignement et la formation techniques et professionnels ;

avoir une capacité avérée à diriger les équipes de travail ;

avoir une capacité à prendre des décisions stratégiques ;

avoir une capacité à mettre en œuvre des réformes ;

être capable de coordonner le développement des programmes adaptés aux besoins de l'industrie, tout en assurant la qualité de leur enseignement et de l'apprentissage ; avoir une bonne connaissance des réglementations et des normes en vigueur dans le sous-secteur de l'enseignement secondaire technique et de formation professionnelle ; contribuant à l'adaptation du sous-secteur de l'enseignement et la formation techniques et professionnels aux évolutions technologiques, aux changements dans l'industrie et aux demandes changeantes du marché de l'emploi ;

démontrer un intérêt ou une capacité à intégrer des méthodes d'enseignement novatrices, y compris l'utilisation de nouvelles technologies dans l'enseignement secondaire technique et de formation professionnelle ;

avoir de fortes compétences en communication pour interagir avec les parties prenantes, y compris les enseignants, les parents, les élèves, les professionnels de l'industrie et les autorités éducatives ;
être capable d'établir et de maintenir des partenariats avec des entreprises et des organisations du secteur pour faciliter la mise en œuvre des politiques éducatives de l'enseignement technique et de la formation professionnelle ainsi que l'insertion professionnelle des apprenants ;
savoir utiliser l'outil informatique ;
la connaissance de secteurs de l'éducation d'autres pays serait un atout.

C. Poste de Directeur de l'alphabétisation et de la promotion des langues nationales
(DAPLN)

Sous l'autorité du Secrétaire général du Ministère, le directeur de l'alphabétisation et de la promotion des langues nationales assure généralement la conception, la mise en œuvre et le suivi-évaluation de la politique de l'Etat en matière d'alphabétisation et de promotion des langues nationales. Il joue un rôle crucial dans la promotion de l'éducation inclusive et de la diversité linguistique, contribuant ainsi au renforcement de l'identité culturelle et linguistique
de la nation. Il contribue à renforcer les compétences de lecture et d'écriture au sein de la population tout en valorisant et préservant l'importance des langues nationales.

C1. Principales responsabilités

Les principales responsabilités du Directeur de l'alphabétisation et de la promotion des langues nationales comprennent :

❖ Leadership stratégique et administratif :

– fournir un leadership stratégique pour les établissements d'alphabétisation et d'éducation des adultes, en contribuant à l'élaboration des politiques éducatives visant à promouvoir l'alphabétisation, à renforcer l'utilisation des langues nationales dans l'éducation et en coordonnant les activités administratives y relatives ;

gérer efficacement les ressources financières allouées à l'alphabétisation et à la promotion des langues nationales, en veillant à une utilisation efficiente des fonds ; mettre en place des programmes de formation pour les enseignants alphabétiseurs afin d'améliorer leurs compétences en matière d'enseignement de l'alphabétisation dans les langues nationales ;

appuyer le recrutement, la formation et l'évaluation des enseignants alphabétiseurs en favorisant un environnement de travail positif ;

— encourager l'utilisation des langues nationales dans divers contextes, y compris dans les médias, la littérature et la vie quotidienne.

❖ Supervision des politiques et programmes éducatifs :

contribuer à la qualité et la pertinence des programmes d'alphabétisation et de promotion des langues nationales ;

développer des programmes d'alphabétisation adaptés à divers groupes de population, en mettant l'accent sur l'inclusion et l'équité ;

coordonner les initiatives d'alphabétisation et de promotion des langues nationales au sein du ministère, en collaborant avec d'autres structures et organisations ;

évaluer régulièrement l'efficacité des programmes d'alphabétisation et de promotion des langues nationales et apporter des ajustements pour garantir des résultats optimaux ; préparer des rapports réguliers sur les progrès réalisés dans les programmes d'alphabétisation et présenter des évaluations périodiques aux autorités éducatives ; explorer l'intégration des technologies éducatives pour renforcer les programmes d'alphabétisation et de promotion des langues nationales.

Coordination entre établissements et évaluation des performances :

assurer la tutelle des établissements publics et privés d'alphabétisation et d'éducation des adultes ;

faciliter la collaboration entre les établissements d'alphabétisation et d'éducation des adultes pour

favoriser l'échange de bonnes pratiques et la cohérence dans l'application des politiques éducatives en matière de promotion des langues nationales ; évaluer régulièrement les performances des établissements et des maîtres alphabétiseurs, en identifiant les domaines de réussite et en mettant en place des plans d'amélioration le cas échéant.

❖ Communication avec les parties prenantes :

– mettre en œuvre des campagnes de sensibilisation au niveau communautaire pour encourager la participation à des programmes d'alphabétisation et d'éducation des adultes ;

travailler en étroite collaboration avec les communautés locales pour comprendre leurs besoins spécifiques en matière d'alphabétisation et de promotion des langues nationales.

C2. Qualifications et aptitudes requises

– avoir une formation académique de niveau BAC+5 au moins dans l'un des domaines pertinents de l'alphabétisation ou de l'éducation des adultes, de la promotion des langues nationales, des sciences de l'éducation (linguistique appliquée, didactique des langues africaines) ou dans un domaine connexe ;

avoir une bonne connaissance de la vision et de la stratégie d'alphabétisation, de l'éducation des adultes et de la promotion des langues nationales ;

avoir une très bonne connaissance des enjeux actuels de l'alphabétisation, de l'éducation des adultes et de la promotion des langues nationales ;

avoir des connaissances en planification stratégique et en gestion ;

avoir une capacité avérée à diriger les équipes de travail ;

avoir une capacité à prendre des décisions stratégiques ;

avoir une capacité à mettre en œuvre des réformes ;

avoir une solide compréhension des théories et des pratiques en matière d'alphabétisation, d'éducation des adultes ou de promotion de langues nationales ;

être capable de coordonner l'élaboration des programmes efficaces d'alphabétisation ou d'éducation des adultes pour différents groupes de population ;

être capable de promouvoir l'alphabétisation des adultes et de contribuer à l'utilisation des langues nationales dans l'éducation ;

démontrer un intérêt pour l'intégration de méthodes innovantes dans les programmes d'alphabétisation et de promotion des langues nationales ;

être à même de travailler en étroite collaboration avec les communautés locales pour comprendre leurs besoins spécifiques en matière d'alphabétisation ;

avoir d'excellentes compétences en communication interculturelle pour faciliter le dialogue entre les différentes communautés linguistiques ;

être capable de s'adapter aux changements socioculturels et aux évolutions dans le domaine de l'alphabétisation ;

savoir utiliser l'outil informatique ;

la connaissance des politiques ou pratiques d'autres pays en matière d'alphabétisation, de l'éducation des adultes ou de la promotion des langues nationales, serait un atout.

D. Poste de Directeur des examens et concours (DEC)

Sous l'autorité du Secrétaire général du Ministère, le Directeur des examens et concours supervise l'ensemble du processus d'évaluation éducative au sein du ministère. Il joue un rôle essentiel dans la préservation de l'intégrité, de l'équité, de la transparence et de la validité du processus des évaluations certificatives du sous-secteur des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle.

D1. Principales responsabilités

Les principales responsabilités du Directeur des examens et concours comprennent :

❖ Leadership stratégique et administratif :

fournir un leadership stratégique en proposant des politiques et des plans stratégiques pour la planification, l'organisation et la mise en œuvre efficace des examens et concours du sous-secteur et en coordonnant les activités administratives y relatives ; – gérer efficacement les ressources nécessaires à la réalisation des examens, en optimisant l'efficacité de leur utilisation ;

organiser des formations pour le personnel impliqué dans la préparation et l'organisation des examens, en mettant l'accent sur les meilleures pratiques et les innovations ;

– gérer les situations d'urgence pendant les périodes d'examens et assurer la
communication efficace en cas de d'urgences ;

– veiller à l'intégration des technologies innovantes pour moderniser et améliorer le processus d'administration des examens, y compris la notation automatisée et la gestion électronique des données ;
promouvoir l'innovation continue dans le domaine de l'évaluation certificative, en explorant de nouvelles approches de technologies pour améliorer la qualité et la fiabilité des examens.

❖ Supervision des politiques d'évaluation des apprentissages :

assurer la qualité et la pertinence des processus d'organisation des différents examens des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle en veillant à ce qu'ils répondent aux normes éducatives ;

– superviser la conception des examens en collaboration avec les structures techniques du ministère pour garantir qu'ils sont conformes aux normes éducatives, équitables et appropriés ;
superviser la conception des épreuves, en veillant à leur pertinence, leur équité et leur conformité aux normes éducatives ;

superviser le personnel impliqué dans l'administration des examens, y compris les surveillants, les correcteurs, et le personnel administratif ;

mettre en place des protocoles et mesures de sécurité pour prévenir la fraude et assurer l'intégrité des examens et des conditions équitables pour tous les candidats.

❖ Coordination et évaluation des performances :

élaborer des calendriers d'examens, coordonner la planification logistique et assurer l'administration efficace des épreuves ;

– veiller à l'intégration des technologies modernes pour faciliter la gestion électronique des examens, y compris la notation automatisée et la sécurisation des données ; superviser le processus d'évaluation des copies, s'assurer de la conformité aux critères établis, et publier les résultats de manière transparente ;

analyser les résultats des examens pour identifier les tendances, les forces et les faiblesses, et informer les réformes éducatives si nécessaire.

❖ Communication avec les parties prenantes :

informer de manière transparente les écoles, les enseignants, les élèves et les parents sur les détails logistiques, les procédures, les calendriers et les résultats des différentes évaluations certificatives du sous-secteur des enseignements secondaires ;

collaborer efficacement avec toutes les directions et structures techniques du ministère impliquées dans la formation et l'évaluation des apprentissages des apprenants ainsi que dans l'organisation des examens et concours.

D2. Qualifications et aptitudes requises

– avoir une formation académique de niveau BAC+5 au moins dans l'un des domaines pertinents du sous-secteur des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, gestion des évaluations certificatives, en administration de l'éducation ou dans un domaine connexe ;

– avoir des connaissances en planification stratégique et en gestion ;

avoir une capacité avérée à diriger les équipes de travail ;

avoir une capacité à prendre des décisions stratégiques ;

avoir une capacité à mettre en œuvre des réformes ;

avoir une connaissance des méthodes d'évaluation, de conception des examens et de gestion des processus de notation ;

avoir une expérience dans le domaine de l'administration des examens et concours, de préférence à des niveaux éducatifs variés ;

avoir une expérience dans l'organisation pratique des évaluations certificatives ; avoir une bonne connaissance des réglementations éducatives liées aux examens et concours, avec la capacité de garantir le respect des normes et des délais ; savoir utiliser l'outil informatique ;

avoir la facilité à collaborer avec d'autres directions ou structures du ministère, les établissements éducatifs, et d'autres parties prenantes pour assurer la coordination efficace des examens ;

être capable de gérer les situations d'urgence ou les problèmes imprévus pendant les périodes d'examens ;

avoir d'excellentes compétences en communication écrite et orale.

3. DOSSIER DE CANDIDATURE

Le dossier de candidature devra comporter les pièces suivantes :

• une lettre de motivation adressée au Ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, signée, datée et précisant le poste sollicité et l'adresse complète du candidat (02 pages au maximum) ;

un curriculum vitae détaillé signé comportant les noms et contacts de trois (03) personnes de référence qui ont connaissance des qualifications et expériences professionnelles du candidat ;

les copies légalisées des diplômes exigés ;

les copies légalisées des attestations de travail et/ou des références professionnelles ;

une photocopie de l'acte de naissance sécurisé ou une copie légalisée de l'acte de naissance ou du jugement supplétif ;

une copie légalisée du certificat de nationalité béninoise ;

un extrait du casier judiciaire datant de trois (03) mois au plus à la date de publication de l'appel à candidatures ;

un certificat de visite et de contre-visite délivré par des médecins agréés par l'Etat, de préférence exerçant dans un centre public de santé ;

une copie du dernier acte administratif pour les agents de l'Etat (avancement,
promotion, …).

4. PROCEDURE DE SELECTION

La liste d'aptitude de chaque poste est établie à l'issue d'une procédure comprenant les étapes suivantes :
acte de candidature par le dépôt d'un dossier dont les pièces constitutives sont précisées ci-dessous ;
étude des dossiers par des jurys ;

entretiens individuels portant sur la compétence matière avec des jurys de spécialistes pour ceux dont les candidatures, après étude des dossiers, sont jugées recevables au regard des conditions spécifiées ci-dessous ;

enquête de moralité ou de commune renommée sur les candidats retenus à l'issue des entretiens individuels ;

sélection et classement des meilleurs candidats par poste ;

obtention de l'avis du Conseil National de l'Education ;

proclamation des résultats ;

inscription sur la liste d'aptitude des candidats dont les résultats de l'enquête de moralité ou de commune renommée sont satisfaisants.

5. DEPOT DES DOSSIERS DE CANDIDATURE

Les dossiers physiques de candidatures seront reçus du lundi 22 janvier au vendredi 02 février 2024 ; les matins de 08 heures à 12 heures et les soirs de 14 heures à 16 heures (heures béninoises).
Les postulants déposeront leur dossier électronique de candidature par mail à l'adresse mail mestfp.postuler@gouv.bj. Les dossiers en courrier électronique devront avoir pour objet : << Dossier de candidature au poste de (préciser le poste auquel le candidat postule) du MESTFP ». Tous les éléments du dossier de candidature, scannés en un seul fichier au format PDF, seront envoyés en pièce jointe, et ce en une seule fois (un seul Email). En cas d'envoi multiple de dossier électronique, seul le dernier mail reçu sera pris en compte.

La version physique du dossier de candidature est déposée sous pli fermé contre décharge au bureau 312 sis au 3ème étage de la Tour Administrative A abritant le Ministère des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, avec la mention << CANDIDATURE AU POSTE DE (inscrire l'intitulé du poste auquel l'on postule) DU MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRE, TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE >>.

Tout pli physique portant mention de l'identité du candidat sera écarté.
Seules les candidatures en ligne suivies de dépôt de dossiers physiques seront prises en compte.

6. PRECISIONS COMPLEMENTAIRES

chaque postulant doit préciser le poste auquel il postule et ne peut postuler qu'à un et un seul poste ;
les diplômes nationaux délivrés par les Etablissements Privés d'Enseignement Supérieur doivent être cosignés ou authentifiés et ceux obtenus à l'étranger admis en équivalence ;
l'absence ou la non validité de l'une quelconque des pièces requises est éliminatoire ; seuls les candidats présélectionnés seront contactés pour la suite du processus.
Pour la Commission de sélection, Le Président

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Le secrétaire d'État Blinken félicite Félix Tshisekedi pour sa réélection

24 Heures au Bénin - Wed, 01/24/2024 - 12:11

Le secrétaire d'État Antony J. Blinken s'est entretenu, lundi 22 janvier 2024, avec le président de la République démocratique du Congo (RDC), M. Félix Tshisekedi, afin de le féliciter de sa réélection.

Le secrétaire d'État a encouragé le président Tshisekedi à répondre aux préoccupations soulevées par les missions d'observation des élections en prenant des mesures de nature à promouvoir la confiance dans le processus démocratique à l'avenir. Les deux dirigeants ont également discuté de la crise actuelle dans l'est de la RDC et de la voie à suivre pour y apporter une solution par la diplomatie.

Source : https://www.state.gov/translations/french/appel-du-secretaire-detat-blinken-au-president-de-la-republique-democratique-du-congo-m-tshisekedi/?utm_source=cision&utm_medium=referral

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