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Cyber response solutions: Waiting in the grass

DefenceIQ - Mon, 20/04/2015 - 06:00
Italy-based Tiger Security caters to international organisations that are at a particularly high-level of risk from cyber attacks, including governments and militaries. Defence IQ spoke with CFO, Partner and Head of Business Development, Damiano Cimignolo, to find out what mak
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Terrorist groups are not terrorists. They’re violent transnational movements bent on creating a new world order

DefenceIQ - Mon, 20/04/2015 - 06:00
The creation of a new world system – not just a change in the current system – is arguably the raison d'être behind the rise in transnational terrorist threats. The

Hitting ISIL where it hurts

DefenceIQ - Mon, 20/04/2015 - 06:00
The functional and institutional nature of hybrid terrorist groups  reveals one of the key ways in which we can understand the changing dynamic of cu
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On the Throes of Transition Part III: Countering the Stereotype of a Tropical Paradise

DefenceIQ - Mon, 20/04/2015 - 06:00
This third installment of the ongoing bi-regional discourse themed “ On the Throes of Transition - Terrorism: Assessment, Analysis, Action ” is ap
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Urgent review of search and rescue operations needed as the Mediterranean migrant crisis worsens

DefenceIQ - Mon, 20/04/2015 - 06:00
Image: MOAS (the Migrant Offshore Aid Station) The humanitarian crisis in the Me
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La Commission européenne déclare la guerre à Google

Coulisses de Bruxelles - Sun, 19/04/2015 - 22:46

Mardi, le site d’information américain Politico va lancer, à Bruxelles, sa première filiale à l’étranger. Tout un symbole : «si les États-Unis font de l’innovation, c’est l’Union européenne qui dicte les règles du jeu», nous explique Matthew Kaminski, le patron du site européen (politico.eu). L’actualité vient démontrer la pertinence de cette analyse : en décidant, hier, de s’attaquer au géant californien Google, la Commission, qui veille au respect des règles de concurrence dans l’Union, s’aventure sur un terrain que les autorités américaines chargées de la concurrence ont désormais déserté : comme l’a révélé le Wall Street Journal, le mois dernier, la Federal Trade Commission (FTC) a établi, en 2013, que le moteur de recherche se livrait à des pratiques anticoncurrentielles. Mais elle a préféré classer l’affaire sans suite…

Ce n’est pas la première fois que les champions américains sont confrontés à une Union devenue beaucoup plus sourcilleuse en matière de concurrence que Washington. Microsoft, l’un des GAFAM américains (Google, Amazon, Facebook, Appel, Microsoft) qui domine le monde numérique, en a fait l’expérience : l’entreprise a été confrontée à une série d’enquêtes de la Commission pour pratiques anticoncurrentielles, entre 2003 et 2013, ce qui lui a coûté une série d’amendes d’un montant total de plus de 2 milliards d’euros. Dans un domaine proche, Intel, le fabricant américain de processeurs, a aussi connu les foudres de l’Union en 2009 avec une amende de plus d’un milliard d’euros pour abus de position dominante. Mais tous les secteurs de l’activité économique sont concernés : en 2001, la Commission a ainsi mis son veto à la fusion de deux entreprises américaines, pourtant approuvée par les autorités locales, General Electric et Honeywell (moteurs d’avions d’affaires et avionique). En 1997, Boeing a dû passer sous ses fourches caudines pour obtenir in extremis un feu vert à sa fusion avec McDonnell-Douglass. Deux cas emblématiques, puisqu’il s’agissait de préserver l’avenir d’Airbus. On pourrait multiplier les exemples de la puissance, souvent méconnue, de l’Union dans le domaine de la concurrence, une puissance que les entreprises du monde entier, et pas seulement américaines, ont appris à redouter.

Des règles de concurrence d’origine américaines

Ironie de l’histoire : les règles de concurrence européennes qui figurent dans le traité créant la Communauté économique du charbon et de l’acier (CECA) de 1951 et qui ont été reprises telles que dans le traité de Rome de 1957 ont été écrites par un jeune professeur de droit de Harvard, Robert Bowie, l’un des meilleurs spécialistes de l’époque. En effet, le contrôle du marché est né outre-Atlantique dès le XIXe siècle, et non en Europe : les Américains ont toujours considéré, contrairement au vieux continent, que le marché n’avait pas toujours raison et qu’il fallait le réguler afin de lutter contre les monopoles ou les oligopoles et les ententes qui étaient quasiment la règle en Europe avant la Seconde Guerre mondiale. Plus prosaïquement, il s’agissait de briser définitivement les Konzerns de la Ruhr, ces cartels qui avaient fait la puissance militaire de l’Allemagne d’avant-guerre. Faute de tradition juridique européenne dans le domaine de la concurrence «libre et non faussée», il a fallu faire appel aux juristes américains. Les articles des traités européens sur le sujet qui donnent du fil à retordre aux géants américains ont «été rédigés par Bowie avec un soin méticuleux. C’était une innovation fondamentale en Europe, et l’importante législation antitrust qui règne sur le marché commun trouve son origine dans ces quelques lignes pour lesquelles je ne regrette pas de m’être battu quatre mois durant», raconte ainsi Jean Monnet, l’un des pères de l’Europe, dans ses Mémoires. Des règles de décartellisation que l’Allemagne n’a acceptée que parce que le chancelier Konrad Adenauer a mis tout son poids dans la balance.

La Commission défend l’économie européenne

Il est amusant d’entendre aujourd’hui Barack Obama, le président américain, prendre la défense de Google, dont il est très proche, comme il l’a fait à la mi-février, en estimant que les règles européennes de concurrence sont «parfois» «davantage dictées par des intérêts commerciaux», puisque «les fournisseurs de services (européens) qui, comme vous le savez, ne peuvent pas lutter contre les nôtres, essaient seulement d’empêcher nos entreprises d’opérer là-bas.» : «nous avons possédé Internet. Nos entreprises l’ont créé, l’ont étendu, l’ont perfectionné, de telle manière qu’ils [les Européens] ne peuvent pas lutter». Autrement dit, la lutte contre les pratiques anticoncurrentielles serait un moyen de priver les entreprises américaines des fruits de leur succès… Une analyse pour le moins curieuse pour le président d’un pays qui n’a pas hésité à démanteler l’opérateur téléphonique ATT en 1984.

En réalité, comme l’a expliqué hier la commissaire européenne à la concurrence, la libérale danoise Margrethe Vestager, «l’objectif de la Commission est d’appliquer les règles européennes (...) de manière à ce que les entreprises opérant en Europe ne privent pas artificiellement les consommateurs européens d’un choix aussi large que possible ou n’entravent pas l’innovation». Car aujourd’hui, on en est là. Le Parlement européen, aussi inquiet que la plupart des États membres, l’Allemagne et la France au premier chef, devant la puissance incontrôlée des géants américains du numérique, souhaite même, dans une résolution votée en décembre, que la Commission ordonne un démantèlement de Google. On n’en est pas là, mais cela donne la mesure de la bataille de Titan que Bruxelles vient d’engager. Chacun a conscience que les menaces ne sont pas seulement économiques, le numérique étant désormais l’un des principaux moteurs de la croissance occidentale, mais concerne aussi les libertés individuelles, comme l’a révélé l’affaire Snowden. Autrement dit, en imposant ses règles du jeu aux GAFAM, l’Union préservera son avenir économique et protégera son État de droit.

NB: version longue de mon article paru dans Libération du 16 avril

Categories: Union européenne

Magyar katonák Irakban

Biztonságpolitika és terrorizmus - Sun, 19/04/2015 - 17:52
Bár ma más sokkal okosabb vagyok a KTCC és a magyar katonák leendő tevékenységét illetően, ez a cikk sem volt rossz, amit a héten írtam és amit a Hir 24 oldalán lehet elolvasni.

Bonyolultabb lesz a magyar katonák feladata, mint hinnénk

A parlamenti felhatalmazás elég bonyolultan fogalmaz, de a kormányzati kommunikáció révén tudni lehet, hogy a magyar katonák alapvető feladata a kurdisztáni főváros, Erbil mellett épülő katonai bázis őrzés-védelme és a kiképzők kísérése. Túl sok részletet már csak azért sem lehet tudni az nemzetközi kiképző misszió kurdisztáni része, a Kurdisztáni Kiképzési Koordinációs Központ (KTCC) annyira új, hogy csak most nyeri el végső formáját. Annyit lehet tudni, hogy német és olasz parancsnokság alatt működik majd felválta, de lesznek britek, amerikaiak és hollandok meg norvég kiképzők is.
Mit fognak a magyar katonák Irakban csinálni?Az őrzés-védelmi feladatok bár a kemény és monoton rutin miatt egyszerű feladatnak tűnhetnek, épp a váratlanság és a kiszámíthatatlan környezet miatt érdekesek. Ha tetszik, a Magyar Honvédség egyik specialitásává vált ez a feladattípus az 1999-es NATO-csatlakozás óta.
Koszovóban 1999 és 2005 között majd 300 emberrel őriztük a KFOR fő bázisát, Afganisztánban 2006 és 2013 között a magyar Tartományi Újjáépítési Csoport (PRT) bázisát, és 2012-ben Kabulban a NATO-erők fő bázisát védték magyar katonák.

Ami általában mindenkinek beugrik az őrzés-védelmi feladatokról, az az, hogy a katonák őrzik a tábor bejáratát, beléptetik az embereket és a járműveket, szigorúan néznek az őrtornyokból kifelé. Ennél azért kicsit összetettebb a feladat, ami például függ a technikai őrzés-védelem minőségétől (mozgásérzékelők, kamerák, riasztók, behatolásjelzők). Emellett a katonáknak biztosítaniuk kell egy úgynevezett QRF-t, azaz gyorsreagálású egységet, amely képes a nap 24 órájában pár percen belül útnak indulni és megtámogatni azokat, akiket megtámadtak.
Categories: Biztonságpolitika

Így lesz a játékpuskából éles lőfegyver

Serbia Insajd - Sun, 19/04/2015 - 15:50

"Egyes srácok túl hamar nőnek fel..."

Elgondolkodtató videót tett közzé a YouTube-on egy szerb fiatalok által alapított internetes kezdeményezés, az Understand 2015 csapata. A felvétel elején normálisnak tűnő, hétköznapi gyerekek játszanak háborúsdit egymás ellen, faágakból rögtönzött játékfegyverekkel. Hirtelen egyenruhás, arc nélküli felnőttek lépnek hozzájuk, akik igazi gépkarabélyokat osztanak ki közöttük. Vajon mi történik ezt követően? (A kisfilm megnézhető a hajtás után.)

[...] Bővebben!


Categories: Nyugat-Balkán

Iráni tisztviselő: az USA le kell álljon a terroristák támogatásával

Hídfő.ru / Biztonságpolitika - Sun, 19/04/2015 - 15:29
Az ISIS mára a legjobban felszerelt és leggazdagabb terrorszervezetté vált, köszönhetően a nyugati koalíció rendszeres támogatásainak.
Categories: Biztonságpolitika

BPC russes :Vers une sortie de crise entre Paris et Moscou ?

MeretMarine.com - Sun, 19/04/2015 - 15:20

Le dossier des navires Mistral entre la France et le Kremlin sera mis sur la table en fin de semaine, selon François Holalnde qui s'exprimait sur Canal+.

Categories: Défense

Amíg mi bevásárolunk, ők varázsolnak

Origo / Afrika - Sun, 19/04/2015 - 13:04
Afrikában a boszorkányság először a 15. században jelent meg az európai gyarmatosítók közvetítésével. A nyugati civilizáció azóta már jóval kevésbé babonás, ám a fekete kontinens társadalmába mélyen beépült a boszorkányhit, amely összefügg egy kegyetlen rituáléval, az albínógyilkosságokkal is.   
Categories: Afrika

Ebook « Été 1914 : un autre monde ? »

EGEABLOG - Sat, 18/04/2015 - 21:38

Fruit d’un long travail de compléments, de mises en forme et d’adaptations, EchoRadar publie sur Amazon son premier dossier consacré aux débuts de la première guerre mondiale durant l’été 1914. Moyennant la somme raisonnable de 3 euros, il est dorénavant possible à tout possesseur d’une tablette Android/iPad ou d’une liseuse Kindle de compléter sa collection d’ouvrages.

Pour acheter l’ebook Détails ci-dessous

En effet, à l’occasion du centenaire de la Première guerre mondiale, EchoRadar a participé à la commémoration de cet événement en proposant le dossier intitulé « Été 1914 : un autre monde ? ». L’idée a ensuite germé d’en proposer une version regroupant l’ensemble des contributions, retravaillées et enrichies dans la mesure du possible. Par ailleurs, et ce fut l’objet récent de l’appel à nous soutenir financièrement (Nous faire un don), il nous a semblé nécessaire de le proposer via une plateforme dédiée. Pour votre parfaite information, sachez qu’élaborer un livre électronique réclame du temps et une connaissance technique liée aux différents formats de fichiers assurant la plus grande portabilité quel que soit le support de lecture. Et que nous regrettons l’absence d’une plateforme équivalente à Amazon en termes d’ergonomie et de puissance en Europe sinon en France.

Synopsis

Si l’on en croit les indices de développement, l’humanité n’aurait jamais été aussi riche en 1914 que dans les périodes précédentes. Toutefois, chacun sait que la guerre reste possible mais chacun l’espère courte, limitée et victorieuse. La paix européenne est celle du monde ! Malheureusement, il s’agira d’une guerre qui traumatisera l’Europe et marquera le début de son déclin relatif.

Ce monde de 1914 – décrit succinctement par cet état des lieux non exhaustif – parait à la fois si lointain et si proche de notre actualité. Il est naturellement apparu comme un sujet d’intérêt pour les blogueurs d’EchoRadar. Cet ebook regroupe les billets couvrant des aspects plus ou moins connus de cette époque dans les domaines des télécommunications et du chiffre, de la guerre navale, de la préparation militaire de certains pays, en ouvrant sur la participation à la Grande guerre. Il ne constitue pas les éléments d’un dossier exhaustif mais bien quelques briques dans l’immense « mur de la mémoire » qui se construit à l’été 2014, en France et dans le monde.

Plan

  • Avant-propos
  • I. Une nation en arme
    • L’armée nouvelle de Jean Jaurès
    • Réservistes d’hier et d’aujourd’hui
    • Des Grandes Écoles à la Grande Guerre : Polytechniciens sous la mitraille
    • Des Grandes Écoles à la Grande Guerre : le sacrifice des Normaliens
    • Les Saint-Cyriens dans la guerre
  • II. Une guerre sur terre
    • Jünger : La guerre comme expérience intérieure
    • Le rouleau compresseur russe
    • Été 1914 : une Entente qui écoute le monde ?
    • 1914-1916 : Les groupes mixtes d’automitrailleuses et d’autocanons de la Marine
  • III. …Et sous la mer
    • Sous-marins et submersibles français à la veille de la Grande Guerre
    • « Deux combats navals – 1914″ de Claude Farrère et Paul Chack
    • 1914-1918 : du sous-marin à la détection sous-marine, une guerre d’innovations
    • L’exploit de l’U-9 : la rupture sous-marine
    • « Les sous-marins allemands devant New-York » d’Adolf Beckmann
  • IV. Quelles leçons ?
    • 1914-1918 : les erreurs des politiques
    • Y a-t-il des leçons stratégiques à la guerre de 1914-1918 ?

Les blogs EchoЯadar : Qui sont-ils ? Que font-ils ?

Categories: Défense

Afrique du Sud: boule de feu dans l'arc-en-ciel

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sat, 18/04/2015 - 17:58
En Afrique du Sud, les dernières violences "xénophobes" ont pris une telle ampleur que le Malawi a décidé d'évacuer ses ressortissants et que le Mozambique a demandé fermement aux autorités sud-africaines d'assurer la protection de ses nationaux. Quant au président Zuma, il vient d'annuler une visite officielle à l'étranger afin de suivre l'évolution de la situation.Un peu partout dans le pays, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les immigrés africains qu'ils soient  Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou encore Nigérians sont en effet pris pour cible, lynchés ou forcés à se réfugier dans les camps militaires cependant que leurs biens sont systématiquement pillés. Au Natal, les pogroms ont été encouragés par le roi des Zulu et ailleurs dans le pays par le propre fils du président Zuma... Dans la "nation arc-en-ciel-", au pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent donc d'autres Noirs, et qui plus est, des Noirs immigrés... Voilà de quoi déstabiliser les bonnes âmes qui pensaient, la main sur le coeur et abreuvées de certitudes morales, qu'une fois le régime blanc d'apartheid balayé, les fontaines sud africaines allaient laisser couler le lait et le miel de la société post-raciale...
Un peu plus d'un an après la mort de Nelson Mandela, le culte planétaire quasi religieux rendu à sa personne apparaît donc en total décalage avec les évènements. Le réel est en effet de retour -une fois de plus et comme toujours-, balayant au passage le mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel » fraternelle et ouverte au monde.Dans un pays où le chômage touche environ 40% des actifs et où le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994, dans un pays où 18 millions de Noirs sur une population de 53 millions d’habitants, ne survivent que grâce aux aides sociales, le Social Grant, quoi d'étonnant à ce qu'éclatent des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres?
L’échec économique sud-africain est en effet total -je développe ce point dans le chapitre IV de mon dernier livre Osons dire la vérité à l'Afrique-. Selon le Rapport Economique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne)l’Afrique du Sud s’est en effet classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland.
Pris dans la nasse de ses propres mensonges, de ses prévarications, de ses insuffisances, le parti gouvernemental, l'ANC -le parti de Nelson Mandela-, ne pourra pas éternellement mettre en accusation le "régime d'apartheid" afin de tenter de dégager ses responsabilités dans la faillite de ce qui fut un pays prospère. D'autant plus qu'en Afrique du Sud, une presse libre existe. Et elle ne se prive pas d'écrire qu'en deux décennies, l'ANC a dilapidé le colossal héritage laissé par le régime blanc et a transformé le pays en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité encore en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits. En France, faire un tel constat est considéré comme une insulte à la Nation arc-en-ciel et à la mémoire de Nelson Mandela.
 Bernard Lugan18/04/2015
Categories: Afrique

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