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Jövő hét elején, június 8-án a szóbeliknek megfelelő kompetenciavizsgákkal kezdődik az érettségi: a román nyelv és irodalom próbát június 10–12-én a magyar nyelv és irodalom vizsga követi, ezt 15–19-én az informatika.
Kategória: Aktuális/Udvarhelyszék

Le pr�sident burundais, Pierre Nkurunziza, a sign� jeudi un d�cret officialisant le report sine die des �lections l�gislatives et communales. Les 17 partis et organisations de l'opposition ont quant � eux r�cus� la m�diation de Sa�d Djinnit, l'envoy� sp�cial du secr�taire g�n�ral de l'ONU pour la r�gion des Grands Lacs

Les questions de défense seront abordées lors du Conseil européen qui se tiendra les 25 et 26 juin prochains. Depuis le traité de Lisbonne, seule une rencontre avait eu lieu en décembre 2013 sur ces questions. Comment expliquer ce manque de dynamisme ?
Il est vrai que la dernière rencontre des chefs d’État et de gouvernement consacrée principalement à ce sujet avant décembre 2013 s’était tenue en 2008. Cela est à la fois parfaitement dommageable et parfaitement légitime. Dommageable, car il est difficile de faire avancer les questions de défense sans une impulsion au plus haut niveau politique européen. La défense, domaine régalien par excellence, est marquée par les inerties, les intérêts constitués et les chasses gardées de toute nature. C’est aussi tout un tissu économique et des industries nationales. Ce sont là des choses que les ministres de la Défense eux-mêmes peuvent difficilement faire avancer au niveau européen. D’ailleurs, à la différence des ministres des Affaires étrangères, ils ne disposent pas même d’un format propre à Bruxelles. Ce ne sont pas non plus des états-majors nationaux que viendront les ruptures nécessaires. Et lorsque, comme avec la fusion BAE/EADS en 2012, c’est l’industrie qui veut créer la rupture nécessaire à la survie de l’industrie de défense européenne dans un marché de plus en plus concurrentiel, le politique l’en empêche. Il y a un paradoxe structurel à l’œuvre ici : les seuls qui puissent véritablement faire bouger les lignes sont aussi ceux qui ne sont pas disponibles pour ce faire ou n’y sont pas particulièrement enclins.
Parfaitement légitime aussi, car c’est le propre d’une démocratie qui fonctionne que de répondre aux attentes à court-terme de ses citoyens. Les chefs d’État sont comptables de ces attentes, qui sont d’ordre économique et social avant tout, a fortiori en période de crise. C’est sur la question du chômage et de la croissance qu’ils sont attendus au tournant, et qu’ils seront jugés par les urnes. On peut le regretter, comme ont tendance à le faire la plupart des commentateurs des questions de défense, qui déplorent que le sujet soit devenu périphérique, mais il y a là quelque chose de parfaitement naturel. L’ennui, c’est lorsque la gestion de ces attentes à court-terme met à mal les outils dont nous disposons pour influer sur les choses à long terme. Continuer à faire vingt-huit fois la même chose en Europe en matière de défense, c’est en fait mettre en danger nos intérêts nationaux car cela nous empêche d’investir dans les capacités modernes nécessaires. Le statu quo deviendra un problème à court terme lorsque nous n’aurons plus les moyens de maintenir des armées cohérentes au niveau national. Plus cette prise de conscience tardera, plus le prix à payer sera élevé au niveau des viviers de compétences nationaux, des sous-traitants de l’industrie de défense, du maintien en condition des armées et de la cohérence de nos outils de défense.

A l’occasion de ce Conseil européen, les questions de défense ne risquent-elles pas d’être évincées des discussions par d’autres plus immédiates, comme celles du « Grexit » ou du « Brexit » ?
Elles risquent en effet d’être réduites à la portion congrue, bousculées par les questions du
« Grexit », du « Brexit » et des crises en Méditerranée. Là encore, cela est à la fois dommage et parfaitement légitime. Que les chefs d’État et de gouvernement débattent des questions de défense leur permet de s’approprier le sujet et de s’inquiéter des enjeux qu’il pose à long terme. Cela permet de faire le suivi des progrès accomplis depuis décembre 2013, de demander des résultats : l’absence d’avancées véritables leur pose alors un problème de crédibilité.
En même temps, pour les raisons déjà citées, il est difficile d’imaginer qu’un Conseil européen puisse se dérouler sans qu’il ne soit bousculé par les questions d’actualité, et les crises qui préoccupent les citoyens, et par ricochet naturel les chefs d’État. Le sommet de décembre 2013 n’avait pas fait exception à la règle, et avait pourtant accouché d’un agenda relativement ambitieux. Au-delà de la discussion entre chefs d’État elle-même, l’important est qu’ils donnent mandat pour continuer ces travaux. C’est cette impulsion politique au plus haut niveau qui permet de faire travailler tout le monde en aval. Il est douteux cependant que cette impulsion aille au-delà de la gestion des affaires courantes. Il n’y aura pas de rupture.

Il est finalement difficile de concevoir une Europe de la défense sans véritable vision stratégique commune. A défaut de concilier les intérêts des vingt-huit États membres de l’UE, faudrait-il selon vous abandonner l’idée d’une Europe intégrée en matière de défense ?
Il faut discuter, débattre, et échanger le plus possible. Il n’y a que de cette façon que l’on pourra ébaucher une ambition et des priorités communes reposant sur des intérêts communs aux Européens. Si cette approche n’accouche que d’un chapelet d’intérêts nationaux, et ne résout à proposer que leur plus petit dénominateur commun, cela ne présente pas d’intérêt et pas de plus-value. Alors effectivement, il faut envisager une approche à plusieurs vitesses. A la condition que ceux qui ne souhaitent pas avancer ne puissent pas empêcher les autres d’avancer. Le traité de Lisbonne a donné les outils aux États pour ce faire, cela s’appelle la coopération renforcée, l’article 44, ou la coopération structurée permanente. Il suffit de les appliquer. Mais en a-t-on échangé au point de comprendre et d’accepter les ressentis et les perceptions des uns et des autres sur ce sujet, pour essayer d’avancer ensemble ? Je n’en suis pas sûr.

A trianoni békediktátum egy hosszú folyamat következménye volt, Magyarország sorsa nem a békekonferencia néhány hónapja alatt dőlt el – mondta Raffay Ernő történész szerdán este Szegeden a Fidesz és a KDNP szegedi szervezetének a trianoni békediktátum aláírása 95. évfordulójának előestéjén rendezett megemlékezését követő beszélgetésen.

C’est la dernière ligne droite dans le processus de désarmement, démobilisation et de réintégration des ex-combattants de Côte d’Ivoire. A la fin du mois de juin, le processus ADDR est censé être terminé : 78 000 ex-combattants ont été recensés et 64 000 d’entre eux ont normalement été réinsérés dans la vie active, l’armée ou bien dans les grands corps de l’administration. Mais ceux qui n’ont pas encore été identifiés par les autorités ivoiriennes ne seront pas pour autant laissés pour compte.

Nem volt szerencsés a csütörtöki nap az Orosz Légierő számára, ugyanis egymástól függetlenül két repülőgépét is baleset érte, azonban szerencsére a balesetekben érintett összes pilóta életben van.

Athènes a demandé et obtenu du FMI de regrouper les paiements du mois de juin à la fin de celui-ci. L'échéance du 5 juin n'existe donc plus et est reportée au 30 juin. Il faudra alors payer 1,6 milliard d'euros.

Tucatnyi charterjárattal küldik vissza nyáron Magyarországra a német, svájci és francia hatóságok azokat a menekülteket, akiket illegális határátlépés után először nálunk vettek nyilvántartásba – erről Kósa Lajos, a Fidesz alelnöke beszélt a TV2 Mokka című csütörtöki műsorában.

A környezetvédelmi világnap alkalmából ma a Szabadkai Városi Múzeumban megnyílik a Naša radost Iskoláskor Előtti Intézmény és a Múzeum által közösen kiírt „Az erdő és én” című rajzpályázatra beérkezett munkákat bemutató tárlat. A pályázat témáját a „Szecesszió és természet” című vendégtárlat ihlette, s a beérkezett 115 gyermekrajz e tárlat keretében kerül bemutatása három héten át. A megnyitó után, a pályázaton résztvevő gyerekek a múzeum tárlataiban különféle játszóházakban vehetnek részt. A 4 és 7 év közötti korosztály színes munkáit a következő összetételű bírálóbizottság nézte át: Szalma Viktória és Emil Kadirić képzőművészek, Violeta Odri Vrcelj pedagógus és Ljubica Suturović óvónő a Naša radost IEI  képzőművészeti szakmunkatársa, valamint Ljubica Vuković Dulić, a Szabadkai Városi Múzeum művészettörténésze. A tizenkét díjazott rajz, illetve festmény, alkotói és az azokat felkészítő óvónők névsora: Barna Márk és Tóth Kiss Bence, Gyurcsik Katalin óvónő, Barabaš Lana, Kovács Anikó óvónő, Ana Kostić, Edin Tahiri és Lena Vujačić, Dijana Burnać és Aleksandra Radić óvónők, Lena Perčić, Ana Pertet i Livia Tričko Stantić óvónők, Dimitrije Dragojević, Kmezić Aleksandra és Kolar Tanja óvónők, Luka Arsenić és Nikola Gligorić, Biljana Pilipović és Magdalena Vujević óvónők, Jovana Šustran, Vanja Zelić, Ivona Miljački, Biljana Mamužić és Sandra M. Sarić óvónők.

A Szabadkai Városi Múzeum a Naša radost Iskoláskor Előtti Intézmény közreműködésével, a fenti programon kívül, A szecesszió világnapja alkalmából, június 11-én, 18 órai kezdettel megismétli az Otthonom szívében a szecesszió dobog elnevezésű műhelymunkát családok számára.

A szervezők kérik az érdeklődőket, hogy részvételi szándékukat előre jelezzék a 024-555-128-as telefonszámon. A műhelymunka előkészítői és kivitelezői: Biljana Pilipović óvónő-képzőművészeti specialista és Violeta Vrcelj Odri pedagógus, a Naša radost Iskoláskor Előtti Intézmény munkatársai, valamint Bába Anikó múzeumpedagógus, Ljubica Vuković Dulić és Ninkov K. Olga művészettörténészek, a Szabadkai Városi Múzeum munkatársai. Az első ilyen műhelymunka május 15-én a Család Nemzetközi Napján lett megtartva és nagyon sikeresnek bizonyult.

A mederkotrásból származó hordalék, iszap, szemét, nád foglalja el egy mezei út helyét a kicsi Olt mellett Csíkszeredában. A járművek ezért a szomszédos kaszálón közlekednek, amelynek tulajdonosa a helyzet rendezését szeretné.
Kategória: Aktuális/Csíkszék

Général : Des smartphones transparents, des avions plus légers,... Cela pourrait bientôt devenir possible grâce au graphène. Le 2 juin, les députés européens ont échangé avec des experts sur son potentiel dans différents secteurs. « La science, c'est la partie facile. Pour développer une technologie, vous devriez savoir quels sont les produits que vous visez, et cela devrait venir de l'industrie » a déclaré le co-inventeur du graphène et lauréat du Prix Nobel de physique Konstantin Novoselov.

Source : © Union européenne, 2015 - PE

Les observateurs attendaient un accord imminent entre la Grèce et ses créanciers. Il n’en est rien : le gouvernement grec a demandé hier au Fonds monétaire international de regrouper le paiement de ses créances à la fin du mois de juin. Une demande quasi inédite qui permet au Premier ministre grec de gagner du temps alors que son pays est menacé par la faillite.

Dix films sont au programme. Le coup d’envoi a été donné jeudi 4 juin au soir avec Jimmy Goes to Nollywood au cinéma L'Arlequin à Paris. Du 5 au 8 juin, la troisième édition de la Nollywood Week vise à faire connaître l'industrie du cinéma nigérian, désormais classée deuxième dans le monde en nombre de films produits par an, après Bollywood, et avant Hollywood.

June 4, 2015 (KHARTOUM) - Sudanese security service prevented the leader of the National Consensus Forces (NCF) Farouk Abu Issa from travelling to Cairo for medical treatment, said the opposition coalition.

Sudanese opposition leader Farouk Abu Issa arrives at court for a hearing in his trial in Khartoum on 23 February 2015 (Photo: AFP/Ebrahim Hamid)

Abu Issa and a prominent human rights activist Amin Mekki Madani were in detention from December 2014 to April 2015 for the signing of the Sudan Call declaration with the rebel groups in Addis Ababa.

Also, the security agents prevented Madani from flying to Cairo on 4 May. According to statement released by the Sudan Call forces, he was told by the airport authorities he was still subjected to a ban travel imposed against him since December 2014.

The travel ban against Abu Issa is "a flagrant violation of the constitutional and legal rights, and coincided with the farce Field Marshal Bashir's inauguration after boycotted elections that showed the isolation of his regime and the position of the Sudanese people rejecting him and his party," said the NCF in a statement issued on Thursday.

During his imprisonment, Abu Issa,81-year-old, was transferred to hospital following deterioration of his health condition.

At the time, his family said he suffered from cardiac arrhythmia in addition to other health problems.

The opposition leader used to travel to Cairo and London for medical treatment during the past years.

(ST)

Exclusif. Le « rapport des 5 présidents », qui doit être publié en juin, propose d’accélérer l’intégration de la zone euro, mais reste discret sur l’enjeu social.

A francia Lazard Freres SAS pénzügyi tanácsadó cég – amely elnyerte a Szerbiai Telekom privatizációbiztosának tisztségét – a napokban teszi közzé a postaforgalmi és telefonszolgáltató közvállalat eladási modelljét – jelentette be Miroslav Joksimović, a Telekom szakszervezeti elnöke.

Joksimović úgy véli, hogy a Lazard több magánosítási változatot is asztalra tesz, ezek közül a szerb kormány választja majd ki a legmegfelelőbbet.

The first European Games is an important event in Azerbaijan’s history, Azerbaijani president’s aide for public and political affairs, Ali Hasanov said.

The West has launched a new propaganda campaign against Russia, State Duma speaker Sergei Naryshkin said in a newspaper article published on Friday.

A jubileumi színházfesztivál zsűrije – Branka Krilović színházkritikus elnökeletével, Olga Dimitrijević drámaíró, Darko Lukić teatrológus, Igor Bojović drámaíró és Milivoje Mlađenović teatrológus – a kilenc, versenyprogramban részt vevő előadás közül díjazta szerda este a kiemelkedő előadásokat és színészeket.

Samuel Dossou-Aworet, l'ex-magnat du pétrole au Gabon, aurait-il été doublé par Bolloré sur la partie béninoise de la boucle ferroviaire ouest-africaine ?

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