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Trump Should Make the Case for Trade With China

Foreign Policy - Fri, 14/04/2017 - 19:17
Past administrations have made progress in enforcing trade rules with China, but not in convincing the American public of their effectiveness.

Honvédelmi tárca: Biztonságban van az összes Afganisztánban szolgáló szlovák katona

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Fri, 14/04/2017 - 19:13
Az afganisztáni Resolute Support elnevezésű hadműveletben résztvevő összes szlovák katona jól van. A hely, ahova az amerikai hadsereg ledobta tegnap szuperbombáját az Iszlám Állam állásainak megsemmisítése céljából, távol esik attól a vidéktől, ahol a Szlovák Köztársaság fegyveres erőinek katonái tartózkodnak – tájékoztatta a Tasr-t Danka Capáková, a honvédelmi minisztérium szóvivője.

États-Unis : l'enquête sur la mort de la juge Sheila Abdus-Salaam se poursuit

Jeune Afrique / Politique - Fri, 14/04/2017 - 19:10

Les circonstances de la mort de l'Africaine-Américaine, Sheila Abdus Salaam, première juge musulmane des États-Unis, dont le corps a été retrouvé ce mercredi à New York, sont toujours incertaines.

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Categories: Afrique

United Airlines : c'est quoi le problème !

Afrik.com - Fri, 14/04/2017 - 19:02
Categories: Afrique

"Les réseaux sociaux polarisent le débat public plus qu'ils ne l'animent"

Le Point / France - Fri, 14/04/2017 - 18:51
La campagne se conjugue au numérique. Les candidats sont-ils à armes égales ? Que dit le droit ? Entretien avec un avocat spécialisé en droit du numérique.
Categories: France

Présidentielle: Facebook en manque de Perspectives

L`Express / Politique - Fri, 14/04/2017 - 18:50
L'intention était louable: opposer la parole des politiques à ce qu'on leur fait dire, souvent faussement, sur les réseaux sociaux. Pespectives, le comparatif politique et dernière arme anti fake news de Facebook, est décevant.
Categories: France

L'IntelloPol #1 : "souverainisme", par Michel Onfray

Le Point / France - Fri, 14/04/2017 - 18:48
VIDÉO. Le mot "souverainisme" est sur toutes les lèvres. Michel Onfray nous en explique le sens et veut en réhabiliter la portée et la valeur.
Categories: France

Mélenchon : l'Alliance bolivarienne pour les Amériques, c'est quoi ?

Le Point / France - Fri, 14/04/2017 - 18:46
Quitter l'Otan et rejoindre l'Alba : la proposition du candidat de La France insoumise est vivement critiquée ces derniers jours par ses concurrents.
Categories: France

BRRRRR! – Talajmenti fagyok várnak ránk ma este

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Fri, 14/04/2017 - 18:42
A Szlovák Hidrometeorológiai Intézet (SHMÚ) által kiadott figyelmeztetés szerint ma este talajmenti fagyok várnak ránk szinte az egész országban. Csak a Komáromi-, Érsekújvári-, Dunaszerdahelyi-, Szenci-, Pozsonyi-, Galántai- és Vágsellyei járásokra nem vonatkozik a hidegriasztás.

Uber accusé d'espionner les chauffeurs de son rival Lyft

La Tribune - Fri, 14/04/2017 - 18:30
Alors qu'elle enchaîne les déboires, l'application de VTC est suspectée d'avoir espionné les chauffeurs de son concurrent Lyft via un programme secret, baptisé "Hell". Il y a un mois, la société de Travis Kalanick reconnaissait déjà utiliser un logiciel pour éviter la police.
Categories: France

Egypt's shaken Copts mark Good Friday after double bombing

BBC Africa - Fri, 14/04/2017 - 18:21
Islamist suicide bombers killed 45 people at two churches on Palm Sunday - the start of Easter Week.
Categories: Africa

Brit pavlovi reflex: ha húsvét, akkor csokitojás

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Fri, 14/04/2017 - 18:17
A britek háromnegyedének mindenekelőtt a csokoládétojás jut eszébe a húsvétról.

Strange Bedfellows Teaming up to Support Embattled Soros-linked University

Foreign Policy - Fri, 14/04/2017 - 18:11
Central European University may be saved from Hungary’s illiberal government by —the country’s far-right party?

Atlétika-vb - Sebastian Coe elégedett a biztonsági előkészületekkel

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Fri, 14/04/2017 - 18:09
A Nemzetközi Atlétikai Szövetség (IAAF) elnöke, Sebastian Coe elégedett az augusztusi, londoni világbajnokság biztonsági előkészületeivel.

Aillagon : ce que Macron doit à Chirac

Le Point / France - Fri, 14/04/2017 - 18:07
TRIBUNE. François Fillon a renié l'héritage de Jacques Chirac, celui du dialogue des cultures et de l'ouverture. Un héritage relevé par le candidat d'En marche !.
Categories: France

Kwasi Tabury, l'ex-joueur du FC Nantes derrière l'arrivée de Decathlon au Ghana

Jeune Afrique / Economie - Fri, 14/04/2017 - 17:59

Le 22 avril prochain, le leader français de la vente d'articles de sport ouvrira son premier magasin à Accra. Un projet porté par l'ex-joueur de football Kwasi Tabury, né dans une famille modeste du Ghana il y a quarante ans et revenu au pays pour y implanter la célèbre enseigne.

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Categories: Afrique

Présidentielle - Fillon : "Le sport va bien, mais pourrait aller beaucoup mieux"

Le Point / France - Fri, 14/04/2017 - 17:54
François Fillon livre ses propositions en matière de politique sportive et soutient sans détour la candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024.
Categories: France

Présidentielle : Alain Juppé va s'afficher aux côtés de François Fillon

Le Point / France - Fri, 14/04/2017 - 17:53
Le maire de Bordeaux devrait participer à un déplacement avec le candidat en région parisienne mercredi. En attendant un nouveau soutien de Nicolas Sarkozy ?
Categories: France

EXCLUSIF. Présidentielle : Macron en hausse, Mélenchon dépasse Fillon

Le Point / France - Fri, 14/04/2017 - 17:53
Un sondage Odoxa et Dentsu Consulting pour Le Point.fr confirme la tendance de ces derniers jours : le quatuor de tête se tient dans un mouchoir de poche.
Categories: France

« L’impasse national-libérale » – 4 questions à Jean-François Bayart

IRIS - Fri, 14/04/2017 - 17:45

Spécialiste de sociologie historique et comparée du politique, Jean-François Bayart est professeur à l’IHEID de Genève, où il est titulaire de la chaire Yves Oltramare « Religion et politique dans le monde contemporain ». Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage : « L’impasse national-libérale : globalisation et repli identitaire », aux éditions La Découverte, qui fait suite à « Les Fondamentalistes de l’identité. Laïcisme versus djihadisme », aux éditions Karthala.

On entend souvent que l’État est mis en cause par la mondialisation. Pourtant, vous considérez que cette dernière configure l’État plutôt qu’elle ne le sape. Pouvez-vous développer ?

Depuis le début du XIXe siècle, la globalisation se présente non sous la forme d’un jeu à somme nulle entre la mondialisation des marchés et la souveraineté de l’État mais comme une triangulation entre trois processus synergiques : l’intégration d’un certain nombre de marchés (ou de « paysages », pour reprendre le terme d’Arjun Appadurai), comme celui des capitaux, celui, dans une moindre mesure, des biens, ou encore celui de la foi, avec l’évangélisation de l’Afrique au XIXe siècle ou, aujourd’hui, la vague pentecôtiste ; l’universalisation de l’État-nation ; et la généralisation des consciences particularistes, des identitarismes, comme l’ethnicité en Afrique, le communalisme en Inde, le confessionnalisme au Liban, ou encore les problématiques populistes de l’autochtonie un peu partout dans le monde.

1848 correspond à la concomitance du Printemps des Peuples, du libre-échange et de la sensibilité romantique qui exalte la culture populaire. 1991 équivaut à l’expansion du capitalisme à l’espace soviétique et yougoslave, la mise en place d’un système régional d’États-nations et l’exaltation de définitions ethno-confessionnelles de la citoyenneté. Par ailleurs, dans le monde occidental, la libéralisation économique, depuis 1980, est allée de pair avec le renforcement des capacités répressives de l’État, dont les entreprises privées – les compagnies aériennes, les banques – sont devenues les instruments. L’État n’est pas la victime de la globalisation : il en est le rejeton. Et l’identitarisme n’est pas une réaction à la globalisation : il en est une fonction, une expression idéologique majeure. La globalisation est une machine à trois pistons.

Pourquoi pensez-vous, contrairement à ce que l’on entend également souvent, que le conflit israélo-palestinien demeure central ?

En soi, il aurait dû rester périphérique. Mais le traumatisme de la Shoah, la guerre froide et l’enjeu pétrolier l’ont placé au cœur du système international. Les puissances occidentales sont progressivement devenues les otages de la diplomatie israélienne qui, elle-même, n’a cessé de se durcir, en partie parce qu’elle bénéficiait de cette rente d’impunité. Par ailleurs, les économies occidentales ont longtemps été dépendantes du pétrole arabe. La France, par exemple, en demeure tributaire pour la survie de son industrie de l’armement. Cet effet de ciseaux a contraint les politiques étrangères des États-Unis et de l’Europe, dans les termes imposés par Israël, et a garanti la perpétuation de régimes autoritaires ou autocratiques en porte-à-faux avec les transformations des sociétés. La guerre civile syrienne, le djihadisme, l’incapacité des chancelleries à réinsérer l’Iran dans le concert des nations sont les conséquences de ces contradictions.

En revanche, le conflit israélo-palestinien n’est pas compris dans sa centralité paradigmatique : il n’est que l’avatar d’une rétraction identitaire qui marque le passage d’un monde d’empires – en l’occurrence l’Empire ottoman – à un monde d’États-nations qui définissent la citoyenneté sur un mode ethno-confessionnel et dont la purification ethnique est l’ingénierie de base. De ce point de vue, le conflit israélo-palestinien est de la même encre, ou plutôt du même sang, que la guerre civile irakienne ou syrienne et les guerres de Yougoslavie des années 1990. Nous ne sommes pas sortis du basculement d’un monde d’empires à un monde d’États-nations, qui s’amorce dans la seconde moitié du XIXe siècle et dont le Traité de Versailles, avec sa reconnaissance du droit des nationalités, a été le point d’orgue catastrophique.

En quoi les Occidentaux ont-ils manqué le rendez-vous avec l’Iran et la Turquie ?

Face à la Turquie, l’Europe s’est perdue dans des considérations oiseuses sur son appartenance au Vieux Continent ou sur le coût de son adhésion, sans se poser la question des avantages de cette dernière et surtout sur le coût de sa non adhésion. Le résultat est là. L’Europe s’est privée de toute influence sur Ankara, bâton ou carotte, et doit maintenant composer avec l’hybris d’Erdogan qui pratique le chantage à l’immigration et aux réfugiés, la menace de lui « faire payer » (sic) ses mauvaises manières, envisage de se doter d’un système de défense anti-aérienne russe et lorgne du côté de l’Organisation de coopération économique. On ne peut plus exclure le départ de la Turquie de l’OTAN. En tout cas, sa stratégie est désormais celle du free rider.

De même, la confrontation avec l’Iran a été stérile, en poussant ce pays vers les entreprises asiatiques et en privant les chancelleries occidentales d’un levier précieux dans la crise syrienne. L’Europe a réussi le tour de force de s’aliéner les deux seuls pôles de stabilité étatique en Asie antérieure.

Vous décrivez les djihadistes et laïcistes comme des ennemis complémentaires. Qu’entendez-vous par là ?

Laïcisme versus djihadisme ne signifie pas « égal », en bon français. Il ne s’agit pas de les mettre sur le même plan – bien que nous ayons tendance à occulter les pertes humaines qu’engendrent les politiques étrangères et les interventions militaires occidentales au Moyen-Orient – mais de rappeler que ces deux fondamentalismes identitaires procèdent par invention de la tradition. Ils participent de la même matrice historique qui se met en place au XIXe siècle – cette triangulation que je qualifie de national-libérale – et deviennent en effet des « ennemis complémentaires » qui se nourrissent l’un et l’autre, par un effet d’homologie antagonique. Les salafistes s’imaginent la Médine de leurs rêves identitaires de born again de l’islam. Les laïcistes fantasment une IIIe République qui n’existent que dans leur esprit et transforment l’idée laïque de la Séparation, celle de la loi de 1905, en nouvelle religion nationale, la laïcité, avec son credo et son orthopraxie : le burkini tu ne porteras pas, du porc tu mangeras, de l’alcool tu boiras. Rappelons que la IIIe République ne reconnaissait pas aux femmes les droits civiques que les religionnaires de la laïcité opposent à l’islam…

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