Bonne nouvelle pour les citoyens qui n’ont pas eu la chance d’accomplir le rite du pèlerinage.
Le Conseil interministériel présidé par le Premier ministre, jeudi dernier, a recommandé au ministre des Affaires religieuses et des Wakfs la mise en place d’un mécanisme. Ce dernier permettra aux citoyens n’ayant pas été tirés au sort pendant dix années d’exhausser finalement leur vœu. C’est ce qu’a annoncé le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs dans une réponse à une question du député Abdelhamid Abbès, du FFS, sur le commerce des passeports du hadj et le quota limité. Mohamed Aïssa a assuré que «cette pratique était révolue».
Il a ensuite indiqué qu’une solution à ce problème pourrait intervenir d’ici à la fin du mois de février prochain, avec la possibilité de recourir au tirage au sort électronique par la commission du hadj. Il a, par ailleurs, annoncé que le quota de l’Algérie pour le hadj 2017 sera augmenté, en raison de la fin des travaux d’extension aux Lieux Saints. Le député a également critiqué le niveau des encadreurs et la désignation des mêmes responsables. Le ministre a assuré que tous les imams, dans la campagne du hadj 2016, ont été sélectionnés et soumis à des tests dans la culture générale, les questions religieuses et même l’adaptation physique sous la supervision de la Protection civile.
«Le Conseil interministériel présidé par le Premier ministre a évalué positivement le hadj 2016. Notre objectif est d’assurer un hadj de qualité, tel que prévu dans le programme quinquennal du président de la République de manière à préserver la dignité des hadjis et permettre aux citoyens de choisir les formules d’inscription au hadj. Les réformes se poursuivent toujours.» Enfin, le ministre est revenu sur la numérisation, cette année, du système du hadj notamment les inscriptions de près de 800.000 pèlerins via le Net et la réservation des hôtels et des moyens de transport. Mohamed Aïssa a soutenu que le plan de travail s’améliore.
L’Armée a procédé à l’identification des deux terroristes criminels abattus le 11 janvier dernier à Skikda.
Il s’agit de « Ch. Massaoud» allias «Abou Tamim » et «Dj. Idris» allias «Abou Oumeir», a annoncé, ce vendredi 13 janvier, un communiqué du ministère de la défensa nationale.
Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des éléments de la Gendarmerie Nationale ont intercepté, le 12 janvier 2017 à Tlemcen/2°RM,
Par ailleurs, un narcotrafiquant à bord d’un véhicule chargé de huit (08) quintaux de kif traité a été intercepté jeudi 12 décembre à Tlemcen. D’autre part, plusieurs tentatives de contrebande de 13316 litres de carburant ont été déjouées par la Gendarmerie Nationale à Souk-Ahras, Tébessa, El-Tarf, El-Oued et Tlemcen.
Dans les cartons depuis une cinquantaine d'années, le pont de 1 461 mètres doit remplacer la traversée par bac entre le Sénégal et la Mauritanie à échéance 2020.
Cet article Infrastructures : le Sénégal et la BAD signent les accords de prêt du pont de Rosso est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Ce n’est pas une blague belge mais une déclaration officielle émanant du premier responsable du football africain. En effet, le président de la Confédération africaine de football Issa Hayatou a révélé que l’Algérie fait partie des cinq pays favoris pour l’organisation du Mondial 2026 bien sûr à condition que l’Algérie présente sa candidature.
« L’Afrique espère avoir 9,5 à 10 places pour la nouvelle formule de la Coupe du monde à 48 équipes à partir de l’édition de 2026. Concernant l’organisation, pour moi ce sera l’un de ces 5 pays : le Maroc, l’Egypte, l’Afrique du Sud, l’Algérie et le Nigeria. », a-t-il déclaré à RFI, il y a quelques jours seulement. Le pays organisateur de la Coupe du Monde 2026 sera choisi par la haute commission de la FIFA le en Mai 2020.
Cette déclaration pour le moins que l’on puisse dire surprenante intervient quelques années après avoir privé l’Algérie d’organiser la CAN 2017 tout en décidant d’attribuer la Coupe d’Afrique de l’édition 2017 au Gabon. Une décision qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive. D’autant qu’à l’époque du ministre Tahmi, l’Algérie avait déposé un dossier solide et cela n’a pas suffi pour accueillir une compétition aussi prestigieuse (l’Algérie n’a plus abriter une coupe d’Afrique depuis 1990).
L’on se rappelle que le motif invoqué était le volet sécuritaire en rappelant le nombre de policiers blessés lors de chaque rencontre de championnat. A l’époque, l’Algérie sortait d’un drame avec la mort tragique du joueur camerounais Albert Ebossé. En tous cas, le Maroc et l’Egypte sont prêts à présenter leur dossier.
Les journalistes des deux pays nous ont confirmé l’intention de l’Egypte et le Maroc à organiser le Mondial 2026 (l’Afrique a abrité une seule fois une coupe du Monde : c’était en 2010). Arrivé à Libreville le 12 janvier dernier, le président de la CAF s’est contenté à une brève déclaration aux médias (les envoyés spéciaux de Liberté étaient présents sur place) ou il a indiqué que le Gabon est fin prêt pour l’entame du tournoi africain avant de prendre place dans sa voiture pour rejoindre l’hôtel Radisson Blue. Il sera rejoint quelques instants plus tard par le président de la FAF Mohamed Raouraoua (membre exécutif au sein de la CAF).