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Magyarország nélkül áll fel az Európai Ügyészség

Bruxinfo - Fri, 09/06/2017 - 11:31
A bel- és igazságügyi tanács csütörtöki ülésén húsz tagállam politikai megállapodásra jutott arról, hogy megerősített együttműködés keretében létrehozzák az Európai Ügyészséget. A független uniós főügyész nyomozást és büntetőeljárást indíthat majd az uniós költségvetés kárára elkövetett bűncselekményekben. Magyarország első körben nem csatlakozott a kezdeményezéshez.

EU védelmi unió a napirenden

Bruxinfo - Fri, 09/06/2017 - 11:31
Védelmi és biztonsági unió megteremtése is a lehetséges opciók között szerepel az Európai Bizottság újabb „együtt gondolkodási papírjában”, amelyet szerdán mutatott be Brüsszelben Federica Mogherini külkapcsolatokért felelő bizottsági alelnök, EU külkapcsolati főképviselő, és Jyrki Katainen, gazdasági növekedésért felelő alelnök.

Nagyot szólt az új mobilitási csomag

Bruxinfo - Fri, 09/06/2017 - 11:31
Az Európai Bizottság javaslatának értelmében a helyi bérek illetnék meg a jövőben a kamionsofőröket, ha 3 napnál hosszabb ideig dolgoznak kiküldöttként egy magasabb bérszintet alkalmazó uniós tagállamban. A szociális dömping elleni fellépés mellett a közúti fuvarozók pihenő idéjére, a postafiók cégekre és az útdíjrendszerben a használó-szennyező fizet elvének az érvényesítésére koncentrál a testület által múlt héten javasolt mobilitási csomag.

Nem tántorítja el Brüsszelt a csehek kilépése az áthelyezési programból

Bruxinfo - Fri, 09/06/2017 - 11:31
„Morális, politikai és jogi kötelessége” valamennyi EU-tagállamnak a menekültáthelyezésben részt venni – szögezte le a hétvégi prágai döntésre válaszul az EU bel- és migrációs ügyi biztosa, aki továbbra is kötelezettségszegési eljárással fenyeget.

Jogi vákumba kerülhet az Északi Áramlat

Bruxinfo - Fri, 09/06/2017 - 11:31
Az Európai Bizottság napokon belül előterjeszti azt a jogszabályi javaslatot, amelyben mandátumot fog kérni a tagállamoktól az Északi Áramlat 2 gázvezeték jogi vonatkozásainak kitárgyalására Oroszországgal – erősítette meg kedden a testület szóvivője. Bár Brüsszel nem támogatja a projektet, nem áll módjában annak politikai alapon történő blokkolása.

L'internationale de la Couronne

Le Monde Diplomatique - Fri, 09/06/2017 - 11:27

« Pendant que nous nous préparons à quitter l'Union européenne, nous organisons la prochaine rencontre bisannuelle des chefs de gouvernement des pays du Commonwealth en 2018, un rappel du réseau unique global dont nous sommes fiers », proclama la première ministre conservatrice Theresa May lors de son discours sur le Brexit, le 17 janvier 2017.

Le British Commonwealth of Nations − une association de pays regroupant le Royaume-Uni et ses anciennes colonies − fut officialisé en 1931 par le statut de Westminster selon lequel « tous les pays du Commonwealth reconnaissent la reine Élisabeth II comme leur chef ». La déclaration de Londres de 1949 prend note de la décolonisation en retirant le mot « British » du nom de l'association. Pour autant, le club de « pays libres et égaux », synonyme de décolonisation douce, fut surtout un moyen pour le Royaume-Uni de maintenir son influence économique et culturelle sur une population de 2,4 milliards d'individus.

Dans les années 1960, la volonté du Royaume-Uni de prendre part à la construction européenne a posé problème aux pays du Commonwealth. En 1929, déjà, Leopold Amery, journaliste et membre du Parti conservateur, expliquait : « Autant est grande ma sympathie pour le mouvement paneuropéen, et profond mon sentiment qu'il est juste en lui-même et propre à faire face aux difficultés de la situation mondiale actuelle, autant je combattrai jusqu'à mon dernier souffle l'idée que la Grande-Bretagne se proclame puissance européenne et non puissance mondiale. » Le Canada et l'Australie s'opposeront ainsi à l'entrée du Royaume-Uni au sein des institutions européennes : ils le feront savoir lors de la conférence du Commonwealth de 1962.

Engagée (mollement) dans la lutte pour le respect des droits humains, organisant les Jeux du Commonwealth, l'organisation renvoie au folklore du passé impérial britannique. Mais le Brexit pourrait changer la donne. Mme May ne vient-elle pas de proposer à un nouveau pays d'intégrer le Commonwealth ? Son nom : les États-Unis…

Churchill et l'Empire

Le Monde Diplomatique - Fri, 09/06/2017 - 11:15

Premier ministre conservateur de 1940 à 1945, puis de 1951 à 1955, Winston Churchill — qui expliquait : « J'ai été élevé à ce stade de la civilisation où tout le monde se plaisait à admettre que les hommes naissent inégaux » — a inlassablement défendu l'intégrité de l'Empire britannique. En 1953, un journaliste l'interroge sur son éventuelle retraite : « Pas avant que mon état ne se détériore énormément, et que celui de l'Empire ne s'améliore considérablement. »

Profession de foi :

« Je suis un enfant de l'ère victorienne, une époque où notre pays semblait solidement établi dans ses fondements, où notre domination sur le commerce et sur les mers était incontestée, et où ne cessait de se renforcer notre foi en la grandeur de l'Empire et en notre devoir de la préserver. »

Discours aux Communes, 17 mars 1914 :

« Nous sommes maîtres de tous les territoires auxquels nous pouvons aspirer, mais lorsque nous revendiquons le droit de profiter sans entraves de ces vastes et splendides possessions, acquises en grande partie par la guerre et conservées en grande partie par la force, cela paraît souvent moins raisonnable à d'autres qu'à nous-mêmes. »

Intervention au Parlement, 24 octobre 1935 :

« Les destinées et la gloire de l'Empire britannique sont liées indissociablement aux destinées du monde. Nous prospérerons ou nous périrons ensemble. De fait, si nous survivons aujourd'hui, c'est parce qu'aux temps jadis nos ancêtres ont fait en sorte que, dans l'ensemble, les intérêts particuliers de la Grande-Bretagne coïncident avec les intérêts généraux du monde. »

Au sujet de l'Inde, à laquelle conservateurs et travaillistes veulent accorder l'autonomie interne :

« Si la Grande-Bretagne perdait son Empire, l'Inde, sa part du commerce mondial et sa puissance navale, elle serait comme une immense baleine portée par la marée et échouée dans une de vos baies écossaises, pour s'y asphyxier et pourrir sur la grève. Bien sûr, mon idéal est étroit et limité : je veux voir l'Empire britannique préservé dans sa force et sa splendeur, le temps de quelques générations encore. Seuls les plus prodigieux efforts du génie britannique permettront d'y parvenir ! »

Au consul américain Kenneth Pendar à Marrakech, le 24 janvier 1943 :

« Il y a toujours de vieilles filles consciencieuses en Pennsylvanie, dans l'Utah, à Édimbourg ou à Dublin qui persistent à écrire des lettres, à signer des pétitions et à dispenser ardemment leurs conseils au gouvernement britannique, pour le presser de rendre l'Inde aux Indiens, l'Afrique du Sud aux Zoulous ou aux Boers, etc., mais aussi longtemps qu'il plaira à Sa Majesté le Roi de faire de moi son premier ministre, je ne prendrai aucune part au démembrement de l'Empire britannique. »

Churchill est battu aux élections de juillet 1945, et sous le gouvernement travailliste de son successeur, Clement Attlee, l'Inde accède à l'indépendance, de même que la Birmanie et le Sri Lanka.

« Notre île est envahie par une tribu de philosophes névrosés qui se lèvent chaque matin en se demandant quelle partie de la Grande-Bretagne ils pourraient encore brader, et se couchent chaque soir en regrettant ce qu'ils viennent de faire. »

Source : François Kersaudy, Le Monde selon Churchill, Tallandier, Paris, 2011.

Anarcho-syndicalistes moyenâgeux

Le Monde Diplomatique - Fri, 09/06/2017 - 11:14

Sortie sur les écrans en 1975, la comédie « Monty Python : Sacré Graal ! » narre la légende du roi Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Dans cet extrait, le roi, missionné par Dieu, se met en quête de chevaliers suffisamment preux pour se joindre à lui dans sa quête du Graal. Il tente d'obtenir des renseignements auprès d'une personne qu'il croise en chemin.

Roi Arthur : Vieille femme !

Dennis : Homme.

Roi Arthur : Homme, pardon. Quel chevalier vit dans le château que l'on voit là-bas ?

Dennis : J'ai 37 ans.

Roi Arthur : Pardon ?

Dennis : J'ai 37 ans. Je ne suis pas vieux.

Roi Arthur : Enfin, je ne peux pas vous appeler « Homme ».

Dennis : Vous pourriez dire « Dennis ».

Roi Arthur : Je ne savais pas que vous vous appeliez « Dennis ».

Dennis : Vous n'avez pas trop cherché à savoir non plus !

Roi Arthur : J'ai dit que j'étais désolé de vous avoir appelé « Vieille femme » mais, de dos…

Dennis : Ce qui me pose problème, c'est qu'automatiquement vous me traitez en inférieur.

Roi Arthur : En même temps, je suis roi.

Dennis : Roi, rien que ça ! Et comment est-ce que vous êtes arrivé à ça, hein ? En exploitant les travailleurs. En vous accrochant au dogme impérialiste suranné qui perpétue les inégalités économiques et sociales dans notre société. Si on cherche vraiment à améliorer les choses…

Une paysanne [qui fouille la terre un peu plus loin] : Dennis ! Il y a de la belle saleté par ici… [elle voit le roi Arthur] Oh, bonjour.

Roi Arthur : Bonjour, bonne dame. Je suis le roi Arthur, roi des Bretons. À qui appartient ce château ?

Paysanne : Roi des qui ?

Roi Arthur : Des Bretons

Paysanne : Et c'est qui, les « Bretons » ?

Roi Arthur : Eh bien, c'est nous. Nous sommes tous bretons. Et je suis votre roi.

Paysanne : Je ne savais pas qu'on avait un roi. Je pensais que nous étions une collectivité autonome.

Dennis : Tu te voiles la face. Nous vivons en dictature ! Une autocratie qui s'auto-perpétue, dans laquelle la classe ouvrière…

Paysanne : Et voilà que tu remets ça avec tes classes sociales.

Dennis : Mais parce que tout part de là ! Si seulement les gens…

Roi Arthur : S'il vous plaît ! Mes amis, je suis pressé. Qui vit dans ce château ?

Paysanne : Personne.

Roi Arthur : Mais alors qui est votre seigneur ?

Paysanne : Nous n'en avons pas.

Roi Arthur : Quoi ?

Dennis : Je vous l'ai dit. Nous sommes une commune anarcho-syndicaliste. Nous endossons à tour de rôle la fonction de directeur général, pendant une semaine…

Roi Arthur : Oui…

Dennis : … mais toutes les décisions doivent être ratifiées lors d'une réunion qui se tient deux fois par semaine…

Roi Arthur : Je vois…

Dennis : … à la majorité simple dans le cas de dossiers courants…

Roi Arthur : Taisez-vous !

Dennis : …mais à la majorité des deux tiers pour les…

Roi Arthur : Taisez-vous, je vous l'ordonne !

Paysanne : « Ordonne » ? Mais pour qui est-ce qu'il se prend celui-là ?

Roi Arthur : Je suis votre roi.

Paysanne : Eh bien moi, je n'ai pas voté pour vous.

Roi Arthur : On ne vote pas pour les rois.

Paysanne : Et comment est-ce que vous êtes devenu roi, alors ?

Roi Arthur [alors qu'une musique céleste se fait entendre] : La Dame du lac, le bras vêtu du plus pur brocart, jaillit des profondeurs de l'onde, en brandissant Excalibur, indiquant que la grâce divine avait forgé le projet que moi, Arthur, devienne le porteur d'Excalibur. Voilà pourquoi je suis votre roi.

Dennis : Écoutez. Des donzelles qui se dan-dinent dans des mares en distribuant des épées, ça n'a jamais suffi à forger des systèmes de gouvernement. Le pouvoir exécutif suprême provient d'un mandat des masses, pas d'une quelconque farce aquatique.

Roi Arthur : Taisez-vous !

Dennis : Vous ne prétendez tout de même pas vous emparer du pouvoir exécutif suprême juste parce qu'une godiche humide a lancé une épée dans votre direction !

Roi Arthur : Silence !

Dennis : Enfin quoi ? Si je me promenais en expliquant que je suis empereur juste parce qu'une greluche détrempée m'a balancé un cimeterre, on m'enfermerait !

Roi Arthur [qui empoigne Dennis] : Tais-toi ! Mais tais-toi enfin !

Dennis : Ah, voilà la violence inhérente au système !

Roi Arthur : Tais-toi !

Dennis : Oh ! Oh ! Venez, venez tous observer la violence inhérente au système. À l'aide, à l'aide ! On me réprime !

Roi Arthur : Foutus paysans !

Dennis : Oh, eh bien voilà ! Vous avez entendu ? Vous avez entendu ? C'est de ça dont je vous parle ! Vous l'avez vu me réprimer ? Vous l'avez vu, non ?

Monty Python : Sacré Graal !, de Terry Gilliam et Terry Jones, 1975.

Questions pour un communiste

Le Monde Diplomatique - Fri, 09/06/2017 - 11:14

Dans ce sketch des Monty Python présenté lors de leur spectacle au Hollywood Bowl, en 1982, un journaliste reçoit quatre illustres invités.

Journaliste : C'est un privilège de recevoir ce soir Karl Marx, le fondateur du socialisme moderne et l'auteur du Manifeste du Parti communiste...

[applaudissements]

... Vladimir Illich Oulianov, mieux connu dans le monde sous le nom de Lénine...

[applaudissements]

... dirigeant de la révolution russe, écrivain, homme d'État et père du socialisme moderne ; Che Guevara, le guérillero bolivien [sic] ;

[applaudissements]

et Mao Zedong, secrétaire général du Parti communiste chinois depuis 1949.

[applaudissements]

La première question est pour vous, Karl Marx : les Hammers. Les Hammers est le surnom de quelle équipe de football anglaise ?

Karl Marx : ...

Journaliste : Non ? Pas de chance, Karl. Il s'agit de West Ham United.

[applaudissements]À vous, Che Guevara. Che, Coventry City a remporté la Coupe anglaise de football pour la dernière fois en quelle année ?

Che Guevara : ...

Journaliste : Non ? On peut élargir au reste de nos invités ? Quelqu'un ? Coventry City a remporté la Coupe anglaise de football pour la dernière fois en quelle année ? Non ? Eh bien je ne suis pas étonné que vous n'ayez pas trouvé : il s'agissait d'une question piège ! Coventry City n'a jamais remporté la Coupe anglaise de football.

[applaudissements]

Et avec, à ce stade, tous nos candidats ex aequo, nous passons à la deuxième série de questions. Et Lénine, c'est à vous de commencer, pour 10 dollars. Jerry Lee Lewis a enregistré plus de dix-sept tubes importants aux États-Unis. Quel est le titre du plus connu ?

Lénine : ...

Journaliste : Le gros succès de Jerry Lee Lewis...

[Mao Zedong appuie sur un buzzer jusque-là dissimulé]

Mao Zedong !

Mao Zedong : Great Balls of Fire ?

Journaliste : Oui, c'est bien ça !

[applaudissements]

Très bien vu. Eh bien, nous en arrivons maintenant à notre troisième série de questions. Et notre candidat ce soir, c'est Karl Marx. Et notre prix spécial : ce magnifique ensemble salon « canapé fauteuil » ![applaudissements]

Karl a choisi la série de questions portant sur le contrôle ouvrier des usines. Alors, on y va, avec la question numéro 1. Nerveux, Karl ?

[Karl Marx fait « oui » de la tête]

Un tout petit peu. Ne vous en faites pas, faites de votre mieux. Le développement du prolétariat industriel est conditionné par quel autre développement ?

Karl Marx : Le développement de la bourgeoisie industrielle.

Journaliste : Très bien !

[applaudissements]

C'est bien cela. Bien joué, Karl ! Si vous continuez comme ça, vous allez repartir avec votre ensemble salon.

Question numéro 2 : la lutte des classes est une lutte comment ?

Karl Marx : Une lutte politique.

Journaliste : Très bien !

[applaudissements]

C'est exactement cela. Super, Karl ! Une dernière question et ce magnifique ensemble salon non matérialiste sera à vous. Vous êtes prêt, Karl ?

La dernière question : qui a gagné la Coupe anglaise de football en 1949 ?

Karl Marx : Les travailleurs doivent contrôler les moyens de production ? La lutte du prolétariat urbain ?

Journaliste : Non, il s'agissait de Wolverhampton Wanderers, qui a battu Leicester 3 à 1.

Karl Marx : Oh, merde !

Monty Python, « Questions pour un communiste », « Live at the Hollywood Bowl », 1982.

De Gaulle dit « non ! »

Le Monde Diplomatique - Fri, 09/06/2017 - 11:14

Le 14 janvier 1963, le général de Gaulle (alors président de la République française) est interrogé lors d'une conférence de presse sur son opposition à l'entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen. Voici un extrait de sa réponse.

L'Angleterre est insulaire. Elle est maritime. Elle est liée par ses échanges, ses marchés, ses ravitaillements aux pays les plus divers, et souvent les plus lointains. Elle exerce une activité essentiellement industrielle et commerciale, et très peu agricole. (…) Bref, la nature, la structure qui sont propres à l'Angleterre diffèrent profondément de celles des continentaux.

Comment faire pour que l'Angleterre telle qu'elle vit, telle qu'elle produit, telle qu'elle échange, soit incorporée au Marché commun tel qu'il a été conçu et tel qu'il fonctionne ? Par exemple, les moyens par lesquels se nourrit le peuple de la Grande-Bretagne et qui sont en fait l'importation de denrées alimentaires achetées à bon marché dans les deux Amériques ou dans les anciens dominions, tout en donnant, en accordant des subventions considérables aux agriculteurs anglais. Ce moyen-là est évidemment incompatible avec le système que les Six [États signataires du traité de Rome établissant en 1957 le Marché commun] ont établi tout naturellement pour eux-mêmes. Le système des Six, ça consiste à faire tout avec les produits agricoles de toute la Communauté. À fixer rigoureusement leur prix. À interdire qu'on les subventionne. À organiser leur consommation entre tous les participants. Et à imposer à chacun de ces participants de verser à la Communauté toute économie qu'il ferait en faisant venir du dehors des aliments au lieu de manger ce qu'offre le Marché commun. (…)

On a pu croire parfois que nos amis anglais, en posant leur candidature au Marché commun, acceptaient de se transformer eux-mêmes au point de s'appliquer toutes les conditions qui sont acceptées et pratiquées par les Six. Mais la question est de savoir si la Grande-Bretagne actuellement peut se placer avec le continent et comme lui à l'intérieur d'un tarif qui soit véritablement commun. (…)

Cette question-là, c'est toute la question. On ne peut pas dire qu'elle soit actuellement résolue. Est-ce qu'elle le sera un jour ? Seule évidemment l'Angleterre peut répondre. La question est posée d'autant plus qu'à la suite de l'Angleterre, d'autres États qui sont, je le répète, liés à elle par la zone de libre-échange, pour les mêmes raisons que la Grande-Bretagne voudraient ou voudront entrer dans le Marché commun. Il faut convenir que l'entrée de la Grande-Bretagne d'abord et puis celle de ces États-là changeront complètement l'ensemble des ajustements, des ententes, des compensations, des règles qui ont été établis déjà entre les Six, parce que tous ces États comme l'Angleterre ont de très importantes particularités. (…) D'ailleurs cette Communauté s'accroissant de cette façon verrait se poser à elle tous les problèmes de ces relations économiques avec toutes sortes d'autres États et d'abord avec les États-Unis. Il est à prévoir que la cohésion de tous ses membres qui seraient très nombreux, très divers n'y résisterait pas longtemps. Et qu'en définitive il apparaîtrait une Communauté atlantique colossale sous dépendance et direction américaine, et qui aurait tôt fait d'absorber la Communauté de l'Europe. (…)

Alors il est possible qu'un jour l'Angleterre parvienne à se transformer elle-même suffisamment pour faire partie de la Communauté européenne sans restriction. (…) Il est possible aussi que l'Angleterre n'y soit pas encore disposée et c'est bien là ce qui paraît résulter des longues, si longues, si longues conversations de Bruxelles.

Source : Institut national de l'audiovisuel (INA).

Agenda - The Week Ahead 12 – 18 June 2017

European Parliament - Fri, 09/06/2017 - 11:11
Plenary session and committee meetings in Strasbourg

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

Il faut réveiller la belle au bois dormant ! (Jean-Claude Juncker)

Bruxelles2 - Fri, 09/06/2017 - 11:10

(B2 à Prague) Lors de la conférence de haut niveau sur la défense, organisée par la république Tchèque, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker a appelé à un sursaut, à un réveil européen.

Il n’a pas été le seul. Tour à tour, le Premier ministre tchèque, Bohuslav Sobotka et la Haute représentante de l’Union, Federica Mogherini, ont répété ce message… Il est temps d’agir !

Le partage de la souveraineté ce n’est pas renoncer

En matière de sécurité, « il y a différentes cultures de décision en Europe », a reconnu Jean-Claude Juncker. « Mais, aujourd’hui, nous sommes confrontés à une question de souveraineté. Partager la souveraineté ne veut pas dire y renoncer. Au contraire ! […] Ce n’est plus une question de souveraineté nationale. C’est une question de souveraineté européenne. »

Des menaces communes impose une action commune

« Combien de temps pourrons-nous encore prétendre que des pays qui sont si étroitement liés, comme nous le sommes dans l’Union européenne, ne doivent pas également confronter ensemble les menaces extérieures » a-t-il ajouté

L’OTAN ne doit pas servir d’excuse pour ne rien faire

Si l’OTAN reste « la pierre angulaire » de la sécurité européenne », la concurrence entre l’OTAN et l’UE n’est pas [plus] une option ». Mais ce « respect à l’égard de l’OTAN ne doit plus servir d’excuse facile pour ne pas faire davantage d’efforts au niveau européen »

Pas d’autre choix que devenir adulte

« Nos partenaires américains (…) ne sont plus intéressés à garantir la sécurité de l’Europe à notre place. Nous n’avons pas d’autre choix que de prendre en charge la défense de nos propres intérêts. »

Réveiller la belle au bois dormant

« Depuis 2003 » se rappelle celui qui était là au sommet des Pralines (Lire : Au sommet des pralines. Un état major européen avant la fin 2004 ?), les esprits ont évolué. Il y a « de plus en plus de personnes qui croient à l’Europe de la défense » … « L’heure est venue de réveiller la Belle au bois dormant du Traité de Lisbonne : la coopération structurée permanente (PESCO) ».

En… défense de l’Europe

Et le président de la Commission conclure : « L’appel que je lance aujourd’hui n’est pas seulement un appel en faveur de l’Europe de la défense — c’est aussi un appel en faveur de la défense de l’Europe. »

(Nicolas Gros-Verheyde)

Categories: Défense

Un "maritime support vessel" sera fourni par Offshore Service Vessels

Lignes de défense - Fri, 09/06/2017 - 11:07

En février dernier, j'avais fait état d'un appel d'offres portant sur la fourniture d'un "maritime support vessel" (lire mon post ici).

Ce navire civil battant pavillon US, avec un équipage formé de marins d'Etat, devra opérer dans le Pacifique (US PACOM). Il doit pouvoir embarquer 50 passagers pour 30 jours sans ravitaillement. Ce navire devra aussi embarquer:
- 4 embarcations rapides de 8m à 11m du Naval Special Warfare
- des drones ScanEagle.

Des espaces de conférence et de planification sont demandés, ainsi qu'un TOC (centre tactique d'opérations), un centre médical, des pièces de stockage pour l'armement et les munitions (le pont devra disposer de 4 postes de tir pour des armes automatiques).

Le marché a été attribué à Offshore Service Vessels, L.L.C., une filiale de la société Edison Chouest Offshore (ECO), pour un montant de 41 079 507$. OSV va donc fournir un navire d'une centaine de mètres de long, qui sera le petit frère du Cragside.

Categories: Défense

Trump ügyvédje: az elnök nem követelt lojalitást a volt FBI-igazgatótól

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Fri, 09/06/2017 - 11:05
Donald Trump amerikai elnök ügyvédje, Marc Kasowitz közölte: az elnök soha nem követelt lojalitást a Szövetségi Nyomozó Iroda (FBI) elbocsátott igazgatójától.

Az EU új célja: felére kell csökkenteni a közúti balesetekben súlyosan megsérült személyek számát

Európai Tanács hírei - Fri, 09/06/2017 - 11:03

A Tanács azt a célt tűzi maga elé, hogy 2030-ra a 2020-as adatokhoz képest, a közelmúltban elfogadott közös fogalommeghatározást használva felével csökkenjen az EU-ban a közúti balesetekben súlyosan megsérült személyek száma. Különös aggodalomra ad okot az évente elhalálozott vagy súlyosan megsérült gyalogosok és kerékpárosok száma.

A közúti közlekedés biztonságáról szóló mai következtetéseivel a Tanács jóváhagyja a közúti közlekedés biztonságának javításáról szóló vallettai nyilatkozatot, amelynek az elfogadására az elnökség által 2017. március 29-én rendezett nem hivatalos miniszteri értekezlet keretében került sor. A következtetések alapul szolgálnak majd a közúti közlekedés biztonsága tekintetében elfogadandó uniós stratégiához, amely a 2020 és 2030 közötti évtizedre vonatkozóan kerül majd kidolgozásra.

Portabilität von digitalen Diensten in der gesamten EU: Rat verabschiedet neue Vorschriften

Europäischer Rat (Nachrichten) - Fri, 09/06/2017 - 11:02

Der Rat hat heute neue Vorschriften verabschiedet, damit Verbraucher, die für Online-Inhaltedienste in ihrem Heimatland bezahlt haben, auch auf Reisen in anderen Ländern der EU darauf zugreifen können.

"Reisende in der EU müssen künftig nicht mehr auf Online-Dienste wie Filme, Sportberichte, Musik, E-Books oder Spiele verzichten, für die sie zu Hause bezahlt haben. Zusammen mit der Abschaffung der Roaming-Gebühren ist dies ein wichtiger Schritt auf dem Weg zu einem digitalen Binnenmarkt, der allen zugutekommt."

Maltesischer Vorsitz
Zugang zu Abonnements im Ausland ohne zusätzliche Kosten

Die neue Verordnung wird für mehr Wettbewerbsfähigkeit sorgen, indem sie Innovation bei Online-Diensten fördert und einen Kundenzuwachs bewirkt. Ein Ziel der Strategie für einen digitalen Binnenmarkt besteht darin, einen echten Binnenmarkt für digitale Inhalte und Dienste zu schaffen.

Die Verordnung wird für alle Online-Inhaltedienste gelten, die gegen Zahlung eines Geldbetrags bereitgestellt werden. Frei empfangbare Dienste, etwa jene bestimmter öffentlich-rechtlicher Rundfunkanstalten, werden von der Verordnung profitieren können, sofern sie das Wohnsitzland ihrer Abonnenten überprüfen.

Derzeit rühren die Hindernisse für die grenzüberschreitende Portabilität von Online-Diensten daher, dass die Übertragungsrechte für urheberrechtlich geschützte Inhalte wie audiovisuelle Werke sowie die Rechte für hochkarätige Sportveranstaltungen häufig Gebietslizenzen unterliegen. Die Anbieter von Online-Diensten können sich dafür entscheiden, nur bestimmte Märkte zu bedienen.

Für die Bereitstellung der grenzüberschreitenden Portabilität dürfen keine zusätzlichen Gebühren verlangt werden.

Überprüfung des Wohnsitzmitgliedstaats

Mit den neuen Vorschriften wird gewährleistet, dass Nutzer im Ausland gleichberechtigten Zugang zu Inhalten erhalten, die sie in ihrem Wohnsitzmitgliedstaat rechtmäßig erworben oder abonniert haben, wenn sie sich im Urlaub, auf Dienstreisen oder für eine begrenzte Zeit als Studenten dort aufhalten.

Um Missbrauch zu vermeiden, werden die Anbieter den jeweiligen Wohnsitzmitgliedstaat ihrer Abonnenten überprüfen. Bei der Überprüfung müssen sie sich an die Datenschutzvorschriften der EU halten.

Der Anbieter ist ermächtigt, den Zugang zu dem jeweiligen Online-Dienst einzustellen, wenn der Abonnent seinen Wohnsitzmitgliedstaat nicht nachweisen kann.

Die Methode der Überprüfung muss angemessen, verhältnismäßig und wirksam sein. Es dürfen nicht mehr als zwei Kriterien aus einer Liste von Überprüfungsmitteln dafür verwendet werden. Dazu kann Folgendes gehören: ein Personalausweis, ein Bankkonto oder eine Kreditkarte; der Aufstellungsort des Geräts, das für die Bereitstellung von Diensten verwendet wird; die Zahlung einer Lizenzgebühr durch den Abonnenten für andere Dienste; eine offizielle Rechnungs- oder Postanschrift usw.

Die Inhaber der Urheberrechte haben jedoch die Möglichkeit, die Nutzung ihrer Inhalte zu genehmigen, ohne zur Überprüfung des Wohnsitzes des Abonnenten verpflichtet zu sein.

Inkrafttreten

Die Anwendung der neuen Vorschriften beginnt im ersten Quartal 2018 (neun Monate nach ihrer Veröffentlichung im EU-Amtsblatt).

Die heutige Entscheidung folgt auf die vorläufige Einigung, die am 7. Februar 2017 zwischen dem maltesischen Vorsitz und dem Europäischen Parlament erreicht worden war. Das Europäische Parlament hat seine Stellungnahme in erster Lesung am 18. Mai 2017 angenommen.

Die Verordnung wurde auf einer Tagung des Rates "Justiz und Inneres" ohne Aussprache angenommen.

Hintergrund

Die zunehmende Nutzung mobiler Geräte wie Tablets und Smartphones erleichtert den Zugang zu Online-Inhaltediensten unabhängig vom Standort des Verbrauchers.

Seitens der Verbraucher nimmt die Nachfrage nach Zugang zu Inhalten und innovativen Online-Diensten rasch zu, nicht nur in ihrem eigenen Land, sondern auch, wenn sie unterwegs sind. Dementsprechend müssen die Hindernisse für den Zugriff auf Online-Inhaltedienste und deren Nutzung im Binnenmarkt ausgeräumt werden.

Categories: Europäische Union

Der neue Europäische Konsens über die Entwicklungspolitik – Die EU und die Mitgliedstaaten unterzeichnen eine gemeinsame Strategie zur Beseitigung der Armut

Europäischer Rat (Nachrichten) - Fri, 09/06/2017 - 11:02

Die Europäische Union und ihre Mitgliedstaaten haben heute ein strategisches Konzept unterzeichnet, in dem die Zukunft der europäischen Entwicklungspolitik skizziert wird. Dieser „Neue Europäische Konsens über die Entwicklungspolitik“ besteht aus einer neuen gemeinsamen Vision davon, wie die Armut beseitigt und eine nachhaltige Entwicklung verwirklicht werden kann, sowie einem entsprechenden Aktionsplan.

Der Präsident des Europäischen Parlaments, Antonio Tajani, der Premierminister Maltas, Joseph Muscat – im Namen des Rates und der Mitgliedstaaten – sowie der Präsident der Europäischen Kommission, Jean-Claude Juncker und die Hohe Vertreterin/Vizepräsidentin Federica Mogherini haben die gemeinsam entwickelte Strategie in Form einer Gemeinsamen Erklärung heute anlässlich der jährlich stattfindenden zweitägigen „Europäischen Entwicklungstage“ unterzeichnet.

Der neue Europäische Konsens über die Entwicklungspolitik liefert einen umfassenden gemeinsamen Rahmen für die europäische Entwicklungszusammenarbeit. Er gilt erstmals in seiner Gesamtheit für alle Institutionen der Europäischen Union und alle Mitgliedstaaten, die sich verpflichten, enger zusammenzuarbeiten.

Mit dem neuen Konsens wird nachdrücklich bekräftigt, dass die Beseitigung der Armut nach wie vor das vorrangige Ziel der europäischen Entwicklungspolitik ist. Er bezieht die wirtschaftliche, soziale und ökologische Dimension der nachhaltigen Entwicklung vollständig ein. Dabei stehen die europäischen entwicklungspolitischen Maßnahmen im Einklang mit der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung, bei der es sich ebenfalls um ein Querschnittsthema der Globalen Strategie der EU handelt.

Die Europäischen Staats- und Regierungschefs gingen Verpflichtungen in drei Bereichen ein:

  1. Sie erkennen an, dass die verschiedenen Komponenten dieser Maßnahme eng miteinander verknüpft sind. Dazu zählen Entwicklung, Frieden und Sicherheit, humanitäre Hilfe, Migration, Umwelt und Klima und Querschnittsthemen wie: Jugend; Geschlechtergleichstellung; Mobilität und Migration; nachhaltige Energie und Klimawandel; Investitionen und Handel; gute Regierungsführung, Demokratie, Rechtsstaatlichkeit und Menschenrechte; innovative Zusammenarbeit mit weiter fortgeschrittenen Entwicklungsländern sowie Mobilisierung und Nutzung inländischer Ressourcen.
  2. Mit dem neuen Konsens wird darüber hinaus ein umfassender Ansatz in Bezug auf die Mittel für die Umsetzung - der die traditionelle Entwicklungshilfe mit anderen Ressourcen kombiniert – sowie in Bezug auf solide Strategien und ein verstärktes Konzept für mehr Politikkohärenz verfolgt, wobei zu beachten ist, dass die Entwicklungszusammenarbeit der EU immer im Kontext der eigenen Anstrengungen der Partnerländer gesehen werden muss. Der Konsens bildet für die EU und ihre Mitgliedstaaten die Grundlage für die Nutzung innovativerer Formen der Entwicklungsfinanzierung sowie die Mobilisierung privater Investitionen und zusätzlicher nationaler Ressourcen für die Entwicklung.
  3. Die EU und ihre Mitgliedstaaten werden bedarfsgerechtere Partnerschaften aufbauen, wobei ein breiteres Spektrum von Interessenträgern, einschließlich der Zivilgesellschaft, und Partnerländern in allen Phasen der Entwicklung einbezogen wird. Sie werden außerdem die Umsetzung vor Ort verbessern, indem sie die Zusammenarbeit unter Nutzung ihrer jeweiligen komparativen Vorteile verstärken.
Hintergrund

Als weltweit größter Entwicklungshilfegeber übernimmt Europa eine führende Rolle in der öffentlichen Entwicklungshilfe. Der neue Europäische Konsens über die Entwicklungspolitik wurde gemeinsam von allen europäischen Institutionen und allen EU-Mitgliedstaaten in offener und transparenter Weise, auch in Konsultation mit anderen Partnern, ausgearbeitet. Er ist die Reaktion der EU auf die heutigen globalen Entwicklungen und Herausforderungen und stimmt das auswärtige Handeln der EU mit der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung ab.

Im Mittelpunkt der Agenda 2030, die von der internationalen Gemeinschaft im September 2015 angenommen wurde, stehen die 17 Ziele für eine nachhaltige Entwicklung und die damit verbundenen Zielvorgaben bis 2030. Zusammen mit den Ergebnissen der anderen internationalen Gipfeltreffen und Konferenzen des Jahres 2015 in Addis Abeba und in Paris verfügt die internationale Gemeinschaft damit über einen ehrgeizigen neuen Rahmen für die Zusammenarbeit aller Länder bei der Bewältigung der gemeinsamen Herausforderungen. Zum ersten Mal gelten die Ziele für eine nachhaltige Entwicklung gleichermaßen für alle Länder und die EU ist entschlossen, eine Vorreiterrolle bei ihrer Umsetzung zu übernehmen.

Am 22. November 2016 legte die Europäische Kommission ihre Ideen für ein strategisches Konzept für nachhaltige Entwicklung in Europa und in der Welt vor, darunter einen Kommissionsvorschlag für einen neuen Konsens. Seither haben das Europäische Parlament, der Rat unter dem Vorsitz Maltas und die Kommission eine Reihe intensiver Gespräche auf interinstitutioneller Ebene geführt, um eine neue, gemeinsame Vision für die Entwicklungspolitik zu vereinbaren, die der Agenda 2030 und anderen globalen Herausforderungen gerecht wird.

In Bezug auf die nachhaltige Entwicklung und die Agenda 2030 nimmt Europa durch sein auswärtiges Handeln und sonstige Maßnahmen eine Vorreiterrolle ein.

Weitere Informationen

Gemeinsame Erklärung des Präsidenten des Europäischen Parlaments , Antonio Tajani, des Präsidenten des Europäischen Rates, Joseph Muscat, des Präsidenten der Europäischen Kommission, Jean-Claude Juncker, und der Hohen Vertreterin der Union für Außen- und Sicherheitspolitik/Vizepräsidentin der Europäischen Kommission, Federica Mogherini.

Categories: Europäische Union

A főképviselőnek az Európai Unió nevében tett nyilatkozata egyes harmadik országoknak a líbiai helyzetre tekintettel hozott korlátozó intézkedésekről szóló (KKBP) 2015/1333 határozat módosításáról szóló, 2017. március 31-i (KKBP) 2017/621 tanácsi...

Európai Tanács hírei - Fri, 09/06/2017 - 11:02

A Tanács 2017. március 31-én elfogadta a (KKBP) 2017/621 tanácsi határozatot[1]. A Tanács e határozatával 2017. október 2-ig meghosszabbította az érvényben lévő korlátozó intézkedések hatályát három, a líbiai politikai átmenet sikeres megvalósításának akadályozásáért vagy aláásásáért felelősnek tartott személlyel szemben: utazási tilalmat rendel el ellenük, befagyasztja vagyoni eszközeiket és megtiltja, hogy pénzeszközöket bocsássanak a rendelkezésükre.

A tagjelölt országok: Macedónia Volt Jugoszláv Köztársaság*, Montenegró*, Szerbia* és Albánia*, a stabilizációs és társulási folyamat országa és egyben potenciális jelölt: Bosznia-Hercegovina, valamint az Európai Gazdasági Térség EFTA-tagországai: Izland, Liechtenstein és Norvégia, továbbá Ukrajna, a Moldovai Köztársaság és Grúzia csatlakoznak e tanácsi határozathoz.

A felsorolt országok biztosítani fogják, hogy nemzeti politikáik megfeleljenek e tanácsi határozatnak.

Az Európai Unió nyugtázza és üdvözli ezt a kötelezettségvállalást.

[1] A határozatot 2017. április 1-jén hirdették ki az Európai Unió Hivatalos Lapjában (HL L 89., 2017.4.1., 10. o.).
* Macedónia Volt Jugoszláv Köztársaság, Montenegró, Szerbia és Albánia továbbra is részt vesz a stabilizációs és társulási folyamatban.

Erklärung der Hohen Vertreterin im Namen der Europäischen Union zur Erklärung einiger Drittländer, sich dem Beschluss (GASP) 2017/621 des Rates vom 31. März 2017 über restriktive Maßnahmen angesichts der Lage in Libyen anzuschließen

Europäischer Rat (Nachrichten) - Fri, 09/06/2017 - 11:02

Der Rat hat am 31. März 2017 den Beschluss (GASP) 2017/621 des Rates [1] erlassen. Mit diesem Ratsbeschluss werden die geltenden restriktiven Maßnahmen bis zum 2. Oktober 2017 verlängert. Bei den betreffenden Maßnahmen handelt es sich um ein Reiseverbot, ein Einfrieren von Vermögenswerten und ein Verbot der Bereitstellung von Geldern in Bezug auf drei Personen, die als verantwortlich für die Behinderung oder Untergrabung des erfolgreichen Abschlusses des politischen Übergangs in Libyen betrachtet werden.

Die Bewerberländer ehemalige jugoslawische Republik Mazedonien*, Montenegro*, Serbien* und Albanien*, das Land des Stabilisierungs- und Assoziierungsprozesses und potenzielle Bewerberland Bosnien und Herzegowina und die dem Europäischen Wirtschaftsraum angehörenden EFTA-Länder Island, Liechtenstein und Norwegen sowie die Ukraine, die Republik Moldau und Georgien schließen sich diesem Ratsbeschluss an.

Sie werden dafür Sorge tragen, dass ihre nationale Politik mit diesem Ratsbeschluss in Einklang steht.

Die Europäische Union nimmt diese Zusicherung mit Genugtuung zur Kenntnis.

[1] Am 1.4.2017 im Amtsblatt der Europäischen Union (ABl. L 89, S. 10) veröffentlicht.
*Die ehemalige jugoslawische Republik Mazedonien, Montenegro, Serbien und Albanien nehmen weiterhin am Stabilisierungs- und Assoziierungsprozess teil.

Categories: Europäische Union

J-3 : Politique étrangère, été 2017

Politique étrangère (IFRI) - Fri, 09/06/2017 - 11:02

Découvrez la vidéo de présentation du nouveau numéro de Politique étrangère, n°2/2017, disponible en librairie et en ligne sur le site d’Armand Colin à partir de lundi 12 juin !

 

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