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Diplomacy & Defense Think Tank News

Dr Thanos Dokos analyses on Euronews the forthcoming visit of President Putin in Greece, 18/05/2016

ELIAMEP - Mon, 23/05/2016 - 08:18

Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos gave an interview on Euronews analysing the forthcoming visit of President Vladimir Putin in Greece. You can watch the video here.

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on the objectives of Greek foreign policy, 18/05/2016

ELIAMEP - Mon, 23/05/2016 - 08:10

You can read here the article on the objectives of Greek foreign policy, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in the Greek daily Kathimerini on 18 May2016 [in Greek].

¿Por qué Panamá no está en las listas de paraísos fiscales?

Real Instituto Elcano - Mon, 23/05/2016 - 08:07
ARI 40/2016 - 23/5/2016
Aitor Pérez
La pregunta planteada por distintos medios de prensa tras el escándalo de los papeles de Panamá tiene dos lecturas: (1) Panamá es un paraíso fiscal, ¿sí o no?; y (2) ¿realmente se está combatiendo el problema de los paraísos fiscales de forma contundente?

¿Brexit o Bremain? Una decisión con consecuencias para todos

Real Instituto Elcano - Mon, 23/05/2016 - 08:06
Opinión - 23/5/2016
Salvador Llaudes
En un mes se celebra el referéndum en el que los ciudadanos británicos decidirán si su país sigue formando parte de la Unión Europea o no.

Catorce dilemas de la cooperación española en la nueva legislatura

Real Instituto Elcano - Mon, 23/05/2016 - 07:30
ARI 39/2016 - 23/5/2016
Iliana Olivié y Aitor Pérez
El futuro de la política española de cooperación internacional para el desarrollo requeriría abordar políticamente una serie de dilemas referidos, por ejemplo, a la asignación geográfica de la ayuda, a la conexión entre la política de desarrollo y otras políticas de la acción exterior, y la combinación adecuada de instrumentos y actores.

Sylvain Boulouque présente sa note : « La gauche radicale : liens, lieux et luttes (2012-2017) »

Fondapol / Général - Mon, 23/05/2016 - 07:22

Sylvain Boulouque présente sa note : La gauche radicale : liens, lieux et luttes (2012-2017).

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Glaubwürdige Abschreckung stärken: Was die NATO tun muss

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 23/05/2016 - 00:00
Die Annexion der Krim durch die Russische Föderation hat die NATO-Prioritäten geändert. Für die NATO ergibt sich nach Jahren der Einsätze außerhalb des Bündnisgebietes die Notwendigkeit, der territorialen Bündnisverteidigung neue Aufmerksamkeit zu widmen. Der NATO-Gipfel in Wales 2014 stand ganz im Zeichen der verbesserten Verteidigung und Abschreckung an den Bündnisgrenzen. Eine glaubwürdige Abschreckung setzt Willen, Ressourcen und realistische Planungen voraus.

Was uns prägt - was uns eint

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 23/05/2016 - 00:00
Der Jahresbericht gibt wieder Zeugnis von vielen Aktivitäten, herausragenden Ereignissen und Projekten, von der hohen Sachkompetenz und Expertise der Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter und ihrem weltweiten Engagement für Demokratie, Menschenwürde, Freiheit und Rechtsstaatlichkeit. Sie alle haben unseren großen Dank mehr als verdient.

Associate Professor Dim. A. Sotiropoulos gave lecture on the quality of democracy in the Balkans in Podgorica

ELIAMEP - Sun, 22/05/2016 - 10:29

On Wednesday 19 May 2016, Dimitri A. Sotiropoulos gave a lecture on ‘The Quality of Democracy in the Western Balkans’ in Podgorica, Montenegro, upon the invitation of the Faculty of Political Sciences of the University of Montenegro. The lecture was attended by professors and students of political science.

The relevant study of Dimitri A. Sotiropoulos is available here.

Sommet humanitaire mondial : quels enjeux en période de crise ?

IRIS - Fri, 20/05/2016 - 15:08

Michel Maietta, directeur de recherche à l’IRIS et directeur Analyse et stratégie d’ACF international, répond à nos questions à l’occasion de sa participation au Sommet humanitaire mondial qui se tient à Istanbul les 23 et 24 mai 2016 :
– En quoi consiste l’Inter Agency Analyst Network, l’initiative que vous présenterez au Sommet humanitaire mondial ?
– Quels sont les enjeux de ce Sommet ?
– Pourquoi l’ONG Médecins sans frontières a-t-elle décidé de boycotter le Sommet humanitaire mondial ?

Luces y sombras en la integración de los migrantes en España

Real Instituto Elcano - Fri, 20/05/2016 - 13:34
ARI 38/2016 - 20/5/2016
Carmen González Enríquez
España puede presumir de haber logrado la incorporación a su sociedad de una oleada migratoria de singular intensidad. Sin embargo, está todavía lejos de esos países en los que inmigrantes de primera o segunda generación han logrado un papel relevante en la vida pública.

Quel état des lieux diplomatique en Iran ?

IRIS - Fri, 20/05/2016 - 12:26

Vous revenez d’un séjour de plusieurs jours en Iran. À travers vos rencontres et vos conférences, quel climat social et politique avez-vous ressenti ? Les frictions entre les tendances réformatrices et conservatrices au sommet du pouvoir sont-elles aussi vives au sein de la société iranienne ?
J’ai effectivement séjourné en Iran, sur invitation de l’Iran-Eurica (Iranian Institute for European & American Studies), pour donner trois conférences au siège de l’Eurica, à l’Université de Téhéran et au Centre d’études stratégique de la présidence de la République à Téhéran. Les thématiques abordées portaient sur les conflits régionaux, la Syrie notamment, et sur les relations entre la France et l’Iran dans le conflit syrien. Mon dernier voyage en Iran remontant à plus de 10 ans, j’ai été particulièrement frappé par les changements visibles aussi bien à Téhéran que dans les villes que j’ai visitées. La capitale iranienne n’a cessé de grandir : les grattes ciels, les parcs, les jardins et la nouvelle autoroute ont fait de Téhéran une véritable mégapole, un développement d’autant plus impressionnant qu’il s’est produit sous embargo.
Mais ce qui m’a certainement le plus frappé, c’est de trouver une société plus ouverte, libérée même car, selon un haut dirigeant iranien, « la société s’est imposée au pouvoir politique ». Les jeunes, nombreux dans les restaurants et les coffee shops du Nord de la ville, ressemblent aux jeunes des quartiers branchés européens, le voile islamique étant seulement là pour respecter symboliquement l’ordre légal.
Je pense que l’Iran traverse une période de grande importance avec beaucoup d’espoirs et d’inquiétudes mélangés. Les dernières élections législatives et l’élection du Conseil des experts, qui a compétence pour choisir un nouveau Guide en cas de décès ou d’incapacité de l’actuelle autorité suprême, ont redistribué les cartes. Si le réformateur Mohammad Khatami a su promouvoir des notions telles que la démocratie, la société civile et le dialogue entre les civilisations, il n’avait pas l’habilité politique du président Hassan Rohani, un conservateur modéré longtemps proche du Guide, qui a réussi à façonner une grande alliance entre les réformateurs, les centristes et les conservateurs modérés. La défaite cuisante des proches du Guide à Téhéran et l’élimination des figures les plus dures du régime ont affaibli le Guide qui, de plus en plus, sort de son rôle d’arbitre suprême et prend position sur des sujets mineurs.
La rivalité entre les réformateurs et les conservateurs n’a pas pour autant disparu. L’élection du nouveau président du Parlement sera un enjeu important en la matière. M. Aref, chef de file des réformateurs, ancien vice-président de M. Khatami, mais aussi leader de la coalition « Espoir » qui a gagné la totalité des sièges de Téhéran, est bien placé pour être élu au poste de président du Parlement. Cependant, certains de mes interlocuteurs pensent que le président Rohani pourrait pencher en faveur de l’ancien président du Parlement Ali Laridjani, rallié au camp présideniel. La prochaine élection présidentielle ayant lieu dans un an, la cohésion de l’actuelle coalition sera déterminante pour la réélection du président Rohani, populaire à l’heure actuelle.

Alors que la France défend des positions « presque totalement alignées » sur l’Arabie saoudite, pour reprendre les termes du ministre des Affaires étrangères saoudien, les désaccords diplomatiques entre l’Iran et la France, notamment à propos de la Syrie, sont-ils insurmontables ? Y a-t-il des discussions sur un éventuel rapprochement des lignes politiques ?
L’agitation actuelle de l’Arabie saoudite est considérée en Iran comme une tentative de maintenir la région dans l’instabilité afin de modifier la position désormais stratégique des Etats-Unis. Il s’agit en effet de se tourner davantage vers l’Asie et l’Océanie plutôt que de se concentrer sur le Moyen-Orient où plus aucun pays ne peut menacer la sécurité d’Israël et où les besoins en pétrole provenant d’Arabie saoudite ne sont plus aussi importants qu’auparavant. Curieusement, les officiels iraniens, rencontrés à l’occasion de ma visite, cultivent l’espoir que la France joue un rôle de modérateur de la politique de l’Arabie saoudite, longtemps favorable à divers mouvements djihadistes.
Les Iraniens pensent que la France a plus de points communs avec l’Iran qu’avec l’Arabie saoudite en Syrie. Désormais, l’Iran et la France ont un ennemi commun : le terrorisme alimenté par l’Etat islamique et Al-Nosra (affilié à Al-Qaïda) et, au-delà, le djihadisme soutenu par différents milieux en Arabie saoudite. Si les Iraniens ne sont pas prêts à lâcher Bachar al-Assad – et se félicitent de ne pas l’avoir fait, sans quoi la Syrie et la Libye seraient aujourd’hui gouvernées par Daesh m’a affirmé un haut responsable iranien -, ils ne rejettent pas une élection libre sous la surveillance de l’ONU dans les zones tenues aussi bien par le régime que par l’opposition et dans les camps de réfugiés des pays voisins. C’est une position importante et je ne vois pas comment ceux qui sont pour une solution politique la refuseraient. Mais les Iraniens n’accepteraient pas que Bachar al-Assad soit exclu d’avance de se représenter, comme d’autres, à cette élection libre.

Quels sont les freins qui empêchent encore le décollage économique de l’Iran ? Comment les autorités iraniennes comptent-elles faire coïncider développement militaire, sanctions américaines et développement économique ?
Les Iraniens, l’homme de la rue aussi bien que les responsables politiques, ne sont pas satisfaits des lenteurs de la mise en œuvre du Barjam (l’accord global sur le programme nucléaire iranien). Les conservateurs, le Guide en tête, critiquent notamment « la duplicité » de l’administration américaine et la frilosité des milieux économiques européens. La réunion entre John Kerry et les dirigeants des principales banques européennes pour les assurer que leurs activités en Iran ne seraient plus sanctionnées par Washington, a été considérée par les Iranien comme un manque d’indépendance des milieux économiques européens vis-à-vis des Etats-Unis. Ils ne comprennent pas cette apparente frilosité car l’accord sur le nucléaire a été l’objet d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU qui, en même temps, a rendu caduque les anciennes résolutions qui instauraient des sanctions à l’encontre de l’Iran.
Au contraire, le camp présidentiel défend les acquis du Barjam et souligne le chemin parcouru. Plusieurs milliards d’avoirs iraniens ont déjà été débloqués et les sociétés étrangères rivalisent pour avoir une part de l’immense marché iranien. Des dirigeants européens et surtout asiatiques se succèdent en Iran et désormais, il n’est pas aisé de trouver une chambre d’hôtel à Téhéran. Des groupes de touristes européens, français en particulier, sont visibles aussi bien à Téhéran que dans les villes touristiques iraniennes d’une richesse inestimable.
Si les conservateurs américains ont trouvé un autre cheval de bataille contre l’Iran, à savoir son programme de développement de missiles balistiques, ce dernier n’est pas contraire à l’accord sur le nucléaire selon John Kerry lui-même. Il est donc hors de question que l’Iran cède sur ce point. Finalement, mis à part les Etats-Unis qui n’ont pas encore levé leurs sanctions unilatérales, rien n’empêche l’Iran de diversifier leurs achats d’armements pour ne plus dépendre de la Russie sur ce point.

Biodiversitätsforschung: Sozialwissenschaften unterrepräsentiert

Bonn, 20.05.2016. Der 22. Mai steht jedes Jahr im Zeichen des Internationalen Tags der biologischen Vielfalt. Der rasante Verlust biologischer Vielfalt ist auf den Menschen zurückzuführen. Aber gerade Sozialwissenschaftler, die sich u.a. mit den Auswirkungen des gesellschaftlichen Zusammenlebens der Menschen auf die Umwelt auseinandersetzen, sind in der Biodiversitätsforschung unterrepräsentiert. Klimawandel, die Zerstörung von Wäldern und wichtigen Lebensräumen, Verschmutzung und Übernutzung oder Wilderei tragen direkt zum Artenschwund bei. Indirekt üben noch andere Faktoren, Druck auf die Artenvielfalt aus. Zum Beispiel kann die steigende Nachfrage nach Fleisch nur durch die Gewinnung neuer Weideflächen und eine gesteigerte Produktion von Futtermitteln gedeckt werden. Natürliche Lebensräume und Biodiversitäts-Hotspots müssen weichen. Aber auch gut gemeinte Klimamaßnahmen, wie zum Beispiel der Anbau von Bioenergiepflanzen, können zum Verlust von Biodiversität beitragen, da sie große Landnutzungsänderungen erfordern.

Schätzungen zufolge verlieren wir bereits bis zu 2000 Arten pro Jahr. Und das ist nur eine grobe Schätzung, denn ein Großteil aller existierenden Arten wurde vermutlich noch gar nicht entdeckt. Insgesamt wissen wir immer noch wenig darüber, wie wir Biodiversität am besten schützen können und den politischen Akteuren mangelt es an Entscheidungshilfen.

2012 gründete die Staatengemeinschaft unter dem Dach der Vereinten Nationen daher die Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services, kurz IPBES. IPBES ist ein zwischenstaatliches Gremium zur wissenschaftlichen Politikberatung, das sich mit Biodiversität beschäftigt – vergleichbar mit dem Weltklimarat IPCC. IPBES soll als Schnittstelle zwischen Politik und Wissenschaft unabhängige, glaubwürdige Informationen über den Zustand und die Entwicklung der Artenvielfalt, über die Ursachen des Verlustes und über mögliche Handlungsoptionen auswerten, um somit der Politik eine bessere Grundlage für informierte Entscheidungen zum Schutz der Artenvielfalt zu bieten.

124 Regierungen und 1000 Experten beteiligen sich an IPBES. Der erste große Bericht des Gremiums zur Artenvielfalt von Bestäubern wurde im Februar 2016 veröffentlicht. Er sorgte für Aufsehen und unterstreicht die Bedeutung der Artenvielfalt für das menschliche Leben: 40 Prozent der bestäubenden Insekten sind vom Aussterben bedroht. Obst, Gemüse, Samen, Nüsse und Öle, aber auch Kaffee und Kakao sind von diesen Bestäubern abhängig; insgesamt zwischen 235 und 577 Milliarden US-Dollar der globalen Nahrungsmittelproduktion.

Die Verbindungen zwischen Mensch und Artenvielfalt sind deutlich. Deshalb war die ursprüngliche Idee bei der Gründung von IPBES: Wissenschaftler unterschiedlichster Disziplinen – Naturwissenschaftler, Sozialwissenschaftler und Geisteswissenschaftler – sowie Vertreter indigener und lokaler Gemeinschaften sollten in diesem Gremium mitarbeiten. In der Realität sieht es anders aus. Schätzungen zufolge sind weniger als 10 Prozent der IPBES-Experten Sozialwissenschaftler. Wissenschaftler fordern aber eine Quote von mindestens 30 Prozent. Die ungleiche Verteilung spiegelt sich auch in der Biodiversitätsforschung insgesamt wider. Für Naturwissenschaftler stehen wesentlich mehr Forschungsgelder zur Verfügung, was wiederum den Pool der naturwissenschaftlichen Experten vergrößert.

Bislang werden 80 Prozent der Experten durch die Mitgliedsstaaten vorgeschlagen; 20 Prozent von Umwelt- und Wissenschaftsorganisationen. Es werden daher nur die Experten einbezogen, die bereits mit Regierungen zusammenarbeiten und als Biodiversitätsexperten anerkannt sind. Da die Terminologie der IPBES-Ausschreibungen sehr naturwissenschaftlich geprägt ist, fühlen sich bestimmte Wissenschaftsgruppen (z.B. Anthropologen oder Ethiker) nicht angesprochen. Doch das Gremium hat in seiner aktuellen Ausschreibung bereits umgesteuert. Über neue Netzwerke sollen auch Sozialwissenschaftler angesprochen und gewonnen werden. Letztlich liegt die Verantwortung dennoch wieder bei den Regierungen: Sie müssen die Experten nominieren.

Biodiversitätsforschung braucht Vielfalt. Um die Voraussetzungen für eine bessere Einbindung von Sozialwissenschaftlern zu gewährleisten, müssen dringend mehr Forschungsgelder für die sozialwissenschaftliche Dimension in der Biodiversitätsforschung bereitgestellt werden. Aber auch IPBES und die Mitgliedsstaaten müssen mehr Anstrengungen unternehmen, Experten zu mobilisieren und sorgfältig auszuwählen. IPBES hat den Anspruch, mit seinen Berichten und Bewertungen zukünftige Politik- und Forschungsagenden zu beeinflussen. Es wäre ein Zeichen, anzuerkennen, dass wir die globale Artenvielfalt nur schützen können, wenn wir auch die Vielfalt an Erfahrungen und wissenschaftlichen Methoden bei der Bearbeitung solch weitreichender Fragestellungen zusammen bringen.

Dieser Beitrag ist am 20.05.2016 auch auf den Seiten der Deutschen Gesellschaft für die Vereinten Nationen e.V. erschienen. Sie können ihn hier lesen.

Der Papst und Europa

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 20/05/2016 - 00:00
Papst Franziskus und die EU - ein Plädoyer für ein mutiges, offenes und zukunftsfähiges Europa

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