You are here

Diplomacy & Defense Think Tank News

Albert Bressand – L’Europe face aux défis du pétro-solaire

Fondapol / Général - Thu, 03/11/2016 - 19:16

Au dérèglement climatique, l’Europe oppose sa transition énergétique. Mais ce sont deux révolutions qui remodèlent la scène énergétique mondiale : d’un côté, les énergies renouvelables et les économies d’énergie ; de l’autre côté, les hydrocarbures dits « non conventionnels », que les Européens ont pris l’habitude de traiter par l’imprécation ou l’ignorance volontaire. Pourtant, en […]

Cet article Albert Bressand – L’Europe face aux défis du pétro-solaire est apparu en premier sur Fondapol.

Quelle politique méditerranéenne de la France ?

IRIS - Thu, 03/11/2016 - 17:43

Puissance moyenne à l’échelle mondiale, la France est une puissance majeure du bassin méditerranéen. Mais le rapport avec la Méditerranée n’est pas qu’une question d’intérêt et de « hard power » : il s’agit aussi de la capacité de la France à imposer sa puissance d’influence dans son environnement proche.

Si du point de vue strictement géographique, la France est plus atlantique que méditerranéenne (avec un littoral sud qui la rattache à la fois à la rive nord de la Méditerranée et à sa façade occidentale), son histoire est intimement liée au monde méditerranéen, comme l’attestent le rôle prédominant des « Francs » dans les diverses croisades lancées sur les rives est et sud, le Traité d’Alliance entre François Ier et l’Empire Ottoman de Soliman le Magnifique, l’expédition de Bonaparte en Egypte, la réalisation du Canal de Suez et surtout l’instauration de l’Empire colonial.

Son statut d’ancienne puissance coloniale d’actuels Etats méditerranéens et la fonction qu’elle s’est arrogée en matière de protection des Chrétiens d’Orient, placent la France dans une position particulière vis-à-vis d’une région où elle prétend encore pouvoir exercer un pouvoir d’influence (diplomatique, culturel et économique) et intervenir militairement dès lors que ses intérêts sont en jeu (en Libye et au Mali en 2011, en Irak en 1991 et 2014).

Les tensions et conflits dans les régions sahélo-saharienne et syrienne, ainsi que leurs conséquences en termes de trafics et de migrations clandestines confortent l’intérêt stratégique de la Méditerranée.

Il convient néanmoins de s’interroger quant à savoir si la France dispose des moyens (pas seulement militaires, mais aussi diplomatiques et financiers) d’une ambition nationale qui tend à conjuguer stratégies européennes et méditerranéennes. Le cas de l’échec du projet français d’Union de la Méditerranée illustre la difficulté de l’équation.

A défaut de cadre européen effectif pour mener une véritable politique méditerranéenne et l’absence de d’une Europe toute-puissante de nature diplomatique et militaire au sein de laquelle la France jouerait un rôle moteur, la France tente de trouver un équilibre dans une stratégie d’indépendance et de complémentarité avec la superpuissance américaine dans la région.

Le premier axe de cette stratégie est symbolisé par la « politique arabe », qui revêt une « dimension essentielle de sa politique étrangère » (le Président Jacques Chirac, discours au Caire, 1996). Cette idée de « politique arabe de la France », ancienne puissance coloniale au Maghreb et au Liban, renvoie aux liens privilégiés entretenus avec les pays monde arabo-méditéranéen, dont il faut veiller à respecter la souveraineté et l’indépendance.

La diplomatie française à l’Élysée et au Quai d’Orsay suit une ligne gaullo-mitterrandienne depuis le début de la Ve République, elle-même héritière d’une tradition remontant à Napoléon III et à sa politique du « royaume arabe ». Cette tradition est jalonnée d’étapes : de la condamnation de la guerre préventive israélienne en 1967 jusqu’à la décision de François Hollande de soutenir la demande palestinienne de se voir reconnaître un statut d’État (non membre observateur) à l’ONU (novembre 2012), en passant par le « discours du refus » d’une intervention américaine en Irak prononcé par Dominique de Villepin au Conseil de sécurité (14 février 2003).

Cette cohérence est trompeuse, comme le prouve la participation de la France à la coalition internationale pour mener la guerre contre l’Irak (1991). La politique française envers les Arabes varie en fonction des États comme de ses intérêts. Derrière la formule de « politique arabe », la logique qui prévaut est celle de la Realpolitik.

Ainsi, durant l’opération « Bordure protectrice » menée par l’armée israélienne à Gaza (été 2014), Paris a manifesté sa « solidarité » au gouvernement israélien en l’habilitant à « prendre toutes les mesures pour protéger sa population ». Le caractère partiel et partial du communiqué élyséen du 9 juillet 2014 a fait date.

Si la condamnation des tirs de roquettes du Hamas allait de soi, au nom du principe de légitime défense, elle devait être complétée par un rappel du droit international appelant à une riposte proportionnée au nom de la protection des civils. Cette omission volontaire a été interprétée comme un aval en forme de carte blanche donnée au gouvernement israélien.

L’expression de cette indignation sélective a traduit la tentation chez François Hollande d’infléchir notre traditionnelle ligne gaullo-mitterrandienne – une solution prônant deux Etats sur la base de négociations garantissant la sécurité (et donc l’existence) d’Israël et rendant justice au peuple palestinien.

Ne pas être à la hauteur des principes et valeurs que l’on dit incarner, c’est saper sa propre puissance d’influence. Si la France peut encore s’appuyer sur le vecteur linguistique – la langue française et la Francophonie sont bien ancrées sur le pourtour méditerranéen -, elle a plus que jamais du mal à représenter une « terre d’accueil » digne du « pays des Droits de l’Homme ».

L’esprit des Lumières se trouve étouffé par un obscurantisme identitaire et sécuritaire dont les réfugiés venus de Méditerranée paient aujourd’hui le prix.

Brexit: una lección del CETA a tener en cuenta

Real Instituto Elcano - Thu, 03/11/2016 - 13:13
Comentario Elcano 43/2016 - 3/11/2016
Salvador Llaudes
Si un acuerdo con un socio tan similar como Canadá ha estado en grave riesgo de cancelarse, no está nada claro que hay alfombra roja para el acuerdo al que llegue la UE con el Reino Unido, con unas implicaciones sentimentales y políticas mayores.

Europa und der Brexit

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 03/11/2016 - 12:14
Die Ankündigung der britischen Premierministerin Theresa May, Artikel 50 des Vertrages über die Europäische Union auszulösen und damit die Verhandlungen über den Brexit zu eröffnen, wurde durch die Entscheidung des Londoner High Court vom 3. November 2016 in Frage gestellt, da nunmehr das Parlament noch zustimmen muss.

Pariser Klimaabkommen: Früher oder später müssen alle auf Null

SWP - Thu, 03/11/2016 - 00:00
Das Klimaabkommen von Paris tritt in Kraft. Im Vertragstext versteckt steht ein wichtiges Ziel: Alle Emissionen sollen auf Null! Die Klimapolitik muss sich daran messen, meint Oliver Geden.

JugendpolitikTag in Dormagen: „Die Probleme unserer Zeit auf unsere Weise lösen“

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 03/11/2016 - 00:00
Kreativ und verantwortungsbewusst: Nahe Düsseldorf verbrachten 300 Schüler einen gemeinsamen Tag, um über die Zukunft und die Gesellschaft zu diskutieren.

Überblick über die aktuellen Geschehnisse: Politischer Wirbel um die südkoreanische Präsidentin Park Geun Hye

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 02/11/2016 - 15:20
Vergangenen Dienstag, 25. Oktober 2016, hat sich Präsidentin Park Geun Hye bei der Öffentlichkeit für den Skandal um ihre Vertraute Choi Soon Sil entschuldigt. Nur einen Tag zuvor hatte sie eine Verfassungsänderung über die Amtszeit des Präsidenten vorgeschlagen. Berichten zufolge fand man auf dem Computer von Choi Soon Sil mehr als 200 Dokumente, die belegen, dass diese in Regierungsgeschäfte und ‑angelegenheiten involviert war.

Nosotros y los otros

Real Instituto Elcano - Wed, 02/11/2016 - 13:58
Opinión - 2/11/2016
Iliana Olivié
En la actualidad, un Norte con proyección menguante convive, de forma cada vez más integrada, con un gran y muy heterogéneo Sur global. A pesar de esto, no es fácil encontrar una revolución equiparable en la forma de afrontar los estudios y debates sobre el desarrollo.

Alexis Lacroix : journaliste ou porte-serviette de BHL ?

IRIS - Wed, 02/11/2016 - 11:01

La charte de Munich, déclaration des droits et devoirs des journalistes, exige de leur part de publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner – si nécessaire – des réserves qui s’imposent, de s’interdire la diffamation et les accusations sans fondement. De son côté, la charte du syndicat national des journalistes adoptée en mars 2011, tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, l’altération des documents, la déformation des faits, le mensonge, la manipulation et la non-vérification des faits, comme les plus graves dérives professionnelles.

Sans doute Alexis Lacroix n’a jamais lu ni l’une ni l’autre et n’entend pas les respecter. Dans le cas inverse, il n’aurait pas déclaré, le 21 octobre 2016 dans l’émission « Les informés » de France Info (aux alentours de la 44ème minute) :

« Si on cite des politiques, moi je veux bien, c’est l’époque qui veut ça, c’est le populisme déchaîné. Il faut aussi citer des intellectuels. Quelqu’un comme Pascal Boniface qui est un chercheur reconnu, qui a pignon sur rue, il est assez probable que ses liens avec certaines pétromonarchies lui permettent de faire subsister ses activités. »

L’animateur, Jean-Mathieu Pernin, lui a dit qu’il demanderait ce que j’aurai à répondre. Il aurait pu l’interroger sur les sources qui lui permettaient de proférer ces graves accusations contre mon intégrité. C’est quand même assez incroyable ! Des responsables politiques sont gravement accusés par des journalistes réputés – Christian Chesnot et Georges Malbrunot – d’avoir sollicité en échange de leur influence politique des cadeaux du Qatar [1]. Ils ont bien sûr le droit de leur répondre mais en parler c’est du « populisme déchaîné ». Par contre, me mettre en cause alors que je ne suis pas cité dans ce livre, c’est quoi ? De la calomnie pure et simple, contraire à toute déontologie journalistique.

Mais, si Alexis Lacroix se dit journaliste et qu’il n’en respecte pas les règles déontologiques, c’est qu’outre ses fonctions à Marianne, il est l’animateur du cercle La règle du jeu,créé par Bernard-Henri Lévy (BHL). C’est donc plutôt en porte-serviette de BHL et pour complaire à son bon maître qu’il me met en cause. BHL m’attaque depuis 2001. Parce que j’ai prôné une politique moins complaisante à l’égard du gouvernement israélien, je suis l’objet de sa vindicte. Lui qui se prononce contre le boycott des produits des colonies israéliennes pratique, grâce à ses obligés, le boycott des intellectuels français qui lui déplaisent. Il a bien failli réussir à faire mourir l’IRIS. Et je suis depuis accusé d’être « payé par les Arabes » [2]. Il est d’ailleurs assez intéressant de voir que les tentatives de faire disparaître un centre de recherche n’ont fait l’objet d’aucune enquête journalistique dans Marianne ou dans aucun autre journal français mainstream. Ce serait pourtant intéressant sur le plan des principes, de l’information et de la liberté d’expression. Mais nul ne s’y est attelé en France. Un universitaire australien que je n’ai jamais rencontré, Evan Jones, a réalisé l’enquête la plus fouillée sur le sujet [3]. En réalité, la seule. Si, effectivement, l’IRIS a survécu à ces multiples attaques, il ne doit en rien à des financements des pays du Golfe, mais à la qualité de son équipe, largement et internationalement reconnue. L’IRIS serait certes plus développé sans les attaques qu’il a subies, et ma carrière aurait certainement pris une autre dimension. Par ailleurs, si j’ai toujours combattu le Muslim bashing, je n’ai jamais hésité à critiquer la politique des États du Golfe, qu’il s’agisse du système judiciaire saoudien, des bombardements sur le Yémen, du système de la « kafala » du Qatar, de la condamnation du poète dans ce pays pour avoir critiqué l’émir ou du soutien financier de certaines familles du Golfe à l’égard de groupes djihadistes en Syrie.

Ne pas avoir cédé aux pressions, aux chantages et avoir publié les ouvrages « Les intellectuels faussaires » et « Les pompiers pyromanes », dans lesquels j’égratigne BHL sans qu’aucun démenti de ce que j’y ai écrit n’ait été apporté, ont bien sûr aggravé mon cas. Et sans doute Alexis Lacroix espère être récompensé pour avoir, sur une antenne publique, alimenter ces rumeurs.

Je ne suis pas payé pour ce que je dis ou écris ; j’ai payé pour l’avoir fait librement, contrairement à certains courtisans.

[1] CHESNOT (Christian), MALBRUNOT (Georges), Nos très chers émirs, Michel Lafon, 299 pp.

[2] http://www.iris-france.org/43995-oui-javoue-je-suis-pay-par-les-arabes/

[3]http://questionscritiques.free.fr/edito/CP/Lobby_Israel_politique_francaise_CRIF_090714.htm

Gel des dépenses publiques au Brésil : une erreur dommageable sur le long terme

IRIS - Wed, 02/11/2016 - 10:40

Depuis 2014, le Brésil connaît une crise politique majeure. Le scandale de corruption entourant l’entreprise Petrobras, contrôlée par l’État, a éclaboussé la majorité des partis politiques brésiliens et révélé le niveau de corruption de la classe politique. Selon l’ONG Transparency International, 60% des députés et sénateurs sont inquiétés par la justice[1]. Dilma Rousseff, la présidente réélue en 2014, a été destituée par une procédure d’impeachment controversée. Enfin, Michel Temer, son successeur, est aussi impopulaire que Dilma Rousseff, et des manifestations sont régulièrement organisées pour demander sa démission.

Cette crise politique en cache une autre, d’ordre économique : le Brésil est entré en récession, et a enregistré une baisse de son PIB de 3.8% en 2015. Le taux de chômage a atteint 10%, ce qui représente onze millions de personnes sans emploi. De plus, la monnaie brésilienne, le real, s’est dépréciée de 30% en 2015. Surtout, la consommation des ménages, motrice de la croissance au Brésil, a décru de 4.8% en 2015 [ii].

Dans ce contexte économique incertain, Michel Temer a dévoilé, en mai, son programme économique pour remettre le Brésil sur le chemin de la croissance, avec pour mot d’ordre la maîtrise de la dépense publique. Son agenda de réforme se base sur un constat tiré par le président : « Un nouveau cycle de croissance devra s’appuyer sur les investissements privés et sur une meilleure compétitivité à l’international » [iii]. Pour cela, le nouveau ministre de l’Economie a présenté un panel de mesures fortement impopulaires auprès des Brésiliens : réforme du système des retraites, augmentation des impôts, refonte du droit du travail…

Parmi toutes ces mesures, la plus importante reste sans conteste la proposition d’amender la constitution pour y proscrire toute augmentation des dépenses publiques pendant vingt ans. Or, un gel des dépenses publiques signifie moins d’efforts dans des secteurs clés comme l’éducation ou la santé. Par cette mesure, le gouvernement brésilien commet une erreur courante : considérer que l’éducation et la santé ne représentent que des dépenses. Au contraire, toute dépense dans ces deux secteurs doit être vue comme un investissement à long terme.

Selon l’économiste Kamel Ghazouani, une société peut être divisée en quatre institutions : le politique, le marché, l’humain et le socioculturel [iv]. Ce découpage de la société fait apparaître un paradoxe. En effet, le politique et le marché sont les deux institutions à la fois les plus visibles et les plus médiatiques, les plus facilement réformables, mais aussi les moins efficaces en économie. Au contraire, l’humain et le socioculturel, bien que moins visibles, sont plus pertinentes en termes de développement économique et d’attraction des investissements étrangers. Plusieurs études tendent à démontrer cet état de fait : Eckhard Janeba [v] ou Zouhour Karray et Sofiane Toumi [vi] ont montré que les incitations fiscales n’avaient que peu d’effet sur les flux d’investissements étrangers. Au contraire, Miao Wang et Sunny Wong [vii] ou Vibe Pedersen [viii] affirment qu’une politique d’éducation volontariste est efficace pour attirer les investissements privés étrangers.

Le programme économique brésilien est d’autant plus dommageable que le Brésil avait produit des efforts considérables ces dernières années. Si l’on compare les dépenses publiques dans l’éducation des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), entre 2006 et 2012, dernière année connue, le Brésil se distingue. Sur cette période, le pays a accru ses dépenses, passant de 4.8% du PIB dédié à l’éducation à 5.9%. Dans le même temps, l’Inde et la Russie stagnent, passant respectivement de 3.1% à 3.8%, et de 3.9% à 4.2%[ix]. Le Brésil a su mettre en place des programmes d’éducation ambitieux, comme « Ciência Sem Fronterias » (Science sans frontières), dont le but est d’accorder, entre 2010 et 2014, cent mille bourses à des Brésiliens pour étudier à l’étranger. Ce programme correspond précisément au type de politique à mener. Il permettra de former une génération de Brésiliens non seulement éduquée, mais aussi ouverte sur le monde et sur les cultures des pays dans lesquels ils ont étudié, donc plus à même de s’insérer dans la mondialisation et d’en tirer les bénéfices.

En gelant les dépenses publiques dans ces secteurs clés, Michel Temer et son gouvernement privilégient le temps court au détriment du temps long. Cette erreur est bien plus conséquente que la crise politique ou que les difficultés économiques conjoncturelles dont souffre le pays.

[1] TransparênciaBrasil, site consulté le 26 septembre 2016, disponible sur : http://excelencias.org.br/@casa.php?tribs

[ii] Banque mondiale, Indicateurs du développement dans le monde, site consulté le 26 septembre 2016, disponible sur :

http://databank.worldbank.org/data/reports.aspx?source=world-development-indicators

[iii] Agência Brasil, PMDB party circulates document with proposals to revive growth, publié le 31 octobre 2015.

[iv] Ghazouani, Kamel. « L’attraction des IDE est une question d’adaptation institutionnelle : Modèle théorique et estimations pour les régions PECO & MENA ». Revue Tunisienne d’Économie, 2005, 104‑63

[v] Janeba, Eckhard. « Attracting FDI in a Politically Risky World ». Cambridge, MA: National Bureau of Economic Research, juillet 2001.

[vi] Karray, Zouhour, et Sofiane Toumi. « Investissement Direct Etranger et Attractivité : Appréciation et enjeux pour la Tunisie. ». Revue d’Economie Régionale et Urbaine, 2007, 479‑501.

[vii] Wang, Miao, et M. C. Sunny Wong. « FDI, Education, and Economic Growth: Quality Matters ». Atlantic Economic Journal 39, no 2 (28 mai 2011) : 103‑15. doi:10.1007/s11293-011-9268-0.

[viii] Pedersen, Vibe Qvist. « Quality in Education as a Means to Development: The Case of Sierra Leone ». Aalborg University, 2013.

[ix] Banque mondiale, Indicateurs du développement dans le monde, site consulté le 26 septembre 2016.

 

 

Pages