Kuba bemüht sich um eine stärkere Einbindung in internationale Wirtschaftsbeziehungen, nachdem die Eiszeit im Verhältnis zu den USA während der Obama-Ära zu Ende gegangen ist. Programmatisch hält sich Havanna dabei an seine 2011 verabschiedeten »Leitlinien« zur Aktualisierung des nationalen Wirtschaftsmodells. Wichtige Ziele sind, die eigenen Exporte zu steigern, Importsubstitution zu schaffen und mehr ausländische Direktinvestitionen anzulocken. Auf diese Weise soll Kubas Devisensituation verbessert, die Wertschöpfung im Land erhöht und die Abhängigkeit von Venezuela reduziert werden. Die Leitlinien schaffen dabei mehr Raum für private Aktivitäten; erstmals wurde etwa »Selbstbeschäftigung« erlaubt.
Vor diesem Hintergrund will Kuba auch die Wirtschaftsbeziehungen und den politischen Dialog mit der EU stärken – dem wichtigsten Handelspartner des Landes neben Venezuela. Grundlage dafür ist das europäisch-kubanische Kooperations- und Dialogabkommen von 2006. Die weiteren Perspektiven der Zusammenarbeit hängen aber stark davon ab, ob Kuba seine Wirtschaftsreformen weiter vorantreibt und dauerhaft verankert. Noch immer gibt es in dem Inselstaat ein hohes Maß an Reglementierung, das negative Voraussetzungen für interne Wirtschaftsakteure ebenso wie für externe Investoren schafft. Die Restriktionen entspringen dem Wunsch der politisch-militärischen Elite, die Kontrolle über die weitere Entwicklung zu behalten und eigene Machtquellen zu sichern. Somit steht die politische Ausgangslage in einem starken Spannungsverhältnis zu den außenwirtschaftlichen Zielen der Regierung. Positive Folgen können Kubas Abkommen mit internationalen Partnern nur dann entfalten, wenn auch die internen Rahmenbedingungen verbessert werden. EU und Deutschland sollten den politischen Dialog mit Kuba nutzen, um die Regierung in Havanna zu entsprechenden Reformschritten zu ermuntern.
Substantial progress was achieved in the bicommunal negotiations that were ongoing for almost two years and led to the decision to continue the talks in Switzerland. The aim was to create conditions conducive to a final bargaining agreement between the Greek Cypriots and Turkish Cypriots and the three guarantor states of the Republic of Cyprus: Greece, Turkey, and the United Kingdom. Although recent talks in Switzerland failed to deliver a breakthrough, negotiations continue, and hope survives. With the exception of negotiations on security and guarantees – a chapter whose negotiation inevitably also involves Cyprus’ three guarantor states – convergence on negotiations in all other chapters, namely territory, property, governance and power sharing, as well as economic and EU matters, have resulted in agreement or have brought the positions of the parties within the radius of an agreement.
Général Bruno Clément-Bollée est vice-président de Sovereign Global France. Il répond à nos questions à l’occasion du séminaire “Trafic d’armes en situation post-conflits : Etude de cas et enjeux”, organisé par l’IRIS et le GRIP, avec le soutien de la DGRIS, le mardi 24 janvier 2017 :
– En quoi constitue un programme DDR (Désarmement – Démobilisation – Réintégration) ?
– Est-il facile de réintégrer des combattants dans la société civile ?
– Vous étiez en Côte d’Ivoire entre 2013 et 2016. Comment le processus DDR a dû s’adapter aux particularités du tissu social et communautaire du pays ?
Ce week-end constitue un temps fort de la campagne de Marine Le Pen puisque ont lieu à Lyon des « assises présidentielles », qui offre l’occasion à la candidate FN de dévoiler ses « 144 engagements » pour son quinquennat. Méluch, nous voilà ! Atlantico : D’une manière générale, quel regard peut-on porter sur les 144 « engagements » de Marine […]
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Jérôme Jaffré présente sa note : Le Front national face à l’obstacle du second tour
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N’y a-t-il jamais eu autant de migrations et de murs ?
Proportionnellement, la part des populations migrantes était plus importante au début du XXe siècle. Mais à l’époque, il y avait moins d’images, d’informations, également moins de problèmes économiques et sociaux, de chômage. La situation n’est donc pas comparable. Ce qui est certain, c’est qu’après une période d’optimisme, sur la fin des frontières, la liberté de circuler, après la chute du mur de Berlin et le démantèlement du Rideau de fer, on revient à une époque où un peu partout dans le monde se dressent des murs.
À quoi sert un mur aujourd’hui ?
Pendant longtemps, les frontières ont servi à retenir les citoyens, à l’image de l’Union soviétique. Aujourd’hui, on cherche plutôt à éviter que les autres rentrent. La mondialisation donne un autre sens aux frontières, alors, on en recrée. Mis à part le cas israélo-palestinien qui est un problème géopolitique, les riches se protègent des pays pauvres. Les États-Unis se protègent du Mexique et, au-delà, de toute l’immigration d’Amérique centrale et même latino-américaine. À Ceuta et Melilla, deux enclaves espagnoles en terre marocaine, des murs très hauts empêchent une immigration maghrébine et africaine au sens large.
Pourquoi nos sociétés ont-elles aussi peur de l’immigrant ?
Les murs sont à la fois physiques et dans les têtes. Plusieurs inquiétudes se rejoignent, socio-économiques, géopolitiques, sur l’avenir. Il est de plus en plus facile de se déplacer et de savoir ce qu’il se passe dans les pays riches. La première chose que fait un réfugié quand il arrive à un hotspot (un centre d’accueil européen des migrants), c’est de demander, peut-être à boire et à manger, mais surtout de recharger son téléphone portable.
On revient à un défi Nord – Sud…
Charles Aznavour chantait “emmenez-moi car la misère est plus supportable au soleil”. Les gens au soleil ne pensent pas ça et vont où il y a de la richesse. Mais les ouvertures sont unilatérales. Si on veut aller dans un pays africain, on paiera quelques centaines d’euros mais la plupart des Africains paient des milliers d’euros pour avancer avec des passeurs et mettent beaucoup plus de temps. Le Nord ferme ses frontières. C’est un signe d’absence de confiance en soi, dans l’avenir et l’humanité.
Les murs sont-ils efficaces ?
La nature humaine s’adapte toujours et trouvera d’autres moyens. Dans un monde globalisé, est-il possible de vivre dans une bulle entièrement protégée de l’extérieur ? Trump dit que la suspension des visas envers sept pays musulmans, sert à lutterc ontre le terrorisme, est-ce que ça ne va pas développer, au contraire, un sentiment antiaméricain ? Les derniers attentats commis aux États-Unis n’ont pas été commis par des gens venant de l’extérieur mais par des gens nés sur le sol américain. L’amalgame fait entre terroristes et réfugiés fuyant les persécutions risque de faire grossir l’opposition. À une autre époque, la guerre entre les États-Unis et le Japon à la fin des années 30 a débuté avec l’arrêt de l’immigration japonaise et chinoise. Ces mesures impersonnelles ne vont pas servir dans la lutte contre le terrorisme.
Pourquoi Donald Trump s’engage-t-il sur cette ligne dure, notamment avec le Mexique et la Chine ?
Il n’a pas des convictions idéologiques très affirmées puisqu’il est passé avant par les démocrates et les indépendants. Là, il a fait sa religion sur les questions d’islam et de murs, par une sorte de pragmatisme à lui. Il nous promet que ça va marcher et que ça marche déjà. On risque de voir très rapidement que cela pose plus de problèmes que cela n’apporte de solutions. Dans sa politique spectacle, le Mexique est une bonne cible. Mais insulter une nation n’apporte jamais de fruits positifs sur le long terme. Il montre qu’il est en charge, qu’il est le boss et applique son programme. Mais on peut penser que le mur le plus haut qui va se dresser contre Donald Trump sera le mur des réalités.
En el marco de un programa nuclear único en Europa Occidental, Reino Unido ha iniciado un nuevo ciclo inversor en reactores de tercera generación que prevé conducirá a un parque de generación nuclear de 14 Gw en 2035.
Dans le système majoritaire qui caractérise les scrutins de la Ve République, le second tour a changé depuis peu de nature. Avec la tripartition de l’espace politique, les duels gauche-droite, totalement dominants durant la période 1962-2012 (cinquante ans !), ne sont plus la règle absolue ni même la configuration dominante. Avec la montée du Front […]
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Trente ambassadeurs et ambassadrices, nouvellement nommés, ont pris part, le 2 février 2017, à un séminaire sur les questions de défense,...
La estrategia antiterrorista de Trump estará condicionada por la anómala sobrerrepresentación de la derecha alternativa entre los asesores de seguridad nacional de la Casa Blanca, pero también por la necesidad de que los ciudadanos que le aprueban apoyen su antiterrorismo.