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Diplomacy & Defense Think Tank News

Kuba »aktualisiert« sein Wirtschaftsmodell

SWP - Tue, 07/02/2017 - 00:00

Kuba bemüht sich um eine stärkere Einbindung in internationale Wirtschaftsbeziehungen, nachdem die Eiszeit im Verhältnis zu den USA während der Obama-Ära zu Ende gegangen ist. Programmatisch hält sich Havanna dabei an seine 2011 verabschiedeten »Leitlinien« zur Aktualisierung des nationalen Wirtschaftsmodells. Wichtige Ziele sind, die eigenen Exporte zu steigern, Importsubstitution zu schaffen und mehr ausländische Direktinvestitionen anzulocken. Auf diese Weise soll Kubas Devisensituation verbessert, die Wertschöpfung im Land erhöht und die Abhängigkeit von Venezuela reduziert werden. Die Leitlinien schaffen dabei mehr Raum für private Aktivitäten; erstmals wurde etwa »Selbstbeschäftigung« erlaubt.

Vor diesem Hintergrund will Kuba auch die Wirtschaftsbeziehungen und den politischen Dialog mit der EU stärken – dem wichtigsten Handelspartner des Landes neben Venezuela. Grundlage dafür ist das europäisch-kubanische Kooperations- und Dialogabkommen von 2006. Die weiteren Perspektiven der Zusammenarbeit hängen aber stark davon ab, ob Kuba seine Wirtschaftsreformen weiter vorantreibt und dauerhaft verankert. Noch immer gibt es in dem Inselstaat ein hohes Maß an Reglementierung, das negative Voraussetzungen für interne Wirtschaftsakteure ebenso wie für externe Investoren schafft. Die Restriktionen entspringen dem Wunsch der politisch-militärischen Elite, die Kontrolle über die weitere Entwicklung zu behalten und eigene Machtquellen zu sichern. Somit steht die politische Ausgangslage in einem starken Spannungsverhältnis zu den außenwirtschaftlichen Zielen der Regierung. Positive Folgen können Kubas Abkommen mit internationalen Partnern nur dann entfalten, wenn auch die internen Rahmenbedingungen verbessert werden. EU und Deutschland sollten den politischen Dialog mit Kuba nutzen, um die Regierung in Havanna zu entsprechenden Reformschritten zu ermuntern.

Faraway, So Close: Approaching the Endgame in the Cyprus Negotiations

SWP - Tue, 07/02/2017 - 00:00

Substantial progress was achieved in the bicommunal negotiations that were ongoing for almost two years and led to the decision to continue the talks in Switzerland. The aim was to create conditions conducive to a final bargaining agreement between the Greek Cypriots and Turkish Cypriots and the three guarantor states of the Republic of Cyprus: Greece, Turkey, and the United Kingdom. Although recent talks in Switzerland failed to deliver a breakthrough, negotiations continue, and hope survives. With the exception of negotiations on security and guarantees – a chapter whose negotiation inevitably also involves Cyprus’ three guarantor states – convergence on negotiations in all other chapters, namely territory, property, governance and power sharing, as well as economic and EU matters, have resulted in agreement or have brought the positions of the parties within the radius of an agreement.

S.E. Friis Arne Petersen: Klarer proeuropäischer Kurs Dänemarks

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 07/02/2017 - 00:00
Über Deutschland und Dänemark in Europa sprach Dr. Hans-Gert Pöttering am 6. Februar mit dem Botschafter des Königreichs Dänemark, S.E. Friis Arne Petersen.

Europa: 25 Jahre Maastrichter Vertrag

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 07/02/2017 - 00:00
Am 07. Februar 1992 Außen- und Finanzminister der 12 EG-Staaten unterzeichnen in Maastricht den Vertrag über die Europäische Union (EU).

Christen in Syrien: Aktuelle Lage und Perspektiven

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 07/02/2017 - 00:00
Syrien sei ein säkulares Land, die Religionsfreiheit werde garantiert. Auch wenn das so nie gestimmt hat, konnten Christen in Syrien bis 2010 ihren Glauben ohne massive Probleme leben. Viele Kirchenführer hoffen, dass das so bleibt, auch viele Christen – manche kämpfen dafür. Der Bürgerkrieg hat bereits mehr als 500.000 Opfer gefordert, 6,5 Mio. Syrer zu Binnenflüchtlingen und fast 5 Mio. zu Flüchtlingen gemacht. Die Zahl der Christen hat um mindestens 50% abgenommen. Sie sind geflohen vor dem Krieg, dem Regime, den Islamisten. Werden sie nach dem Ende des Konflikts nach Syrien zurückkehren?

Les programmes “Désarmement Désengagement et Réinsertion” : l’exemple ivoirien

IRIS - Mon, 06/02/2017 - 16:54

Général Bruno Clément-Bollée est vice-président de Sovereign Global France. Il répond à nos questions à l’occasion du séminaire “Trafic d’armes en situation post-conflits : Etude de cas et enjeux”, organisé par l’IRIS et le GRIP, avec le soutien de la DGRIS, le mardi 24 janvier 2017 :
– En quoi constitue un programme DDR (Désarmement – Démobilisation – Réintégration) ?
– Est-il facile de réintégrer des combattants dans la société civile ?
– Vous étiez en Côte d’Ivoire entre 2013 et 2016. Comment le processus DDR a dû s’adapter aux particularités du tissu social et communautaire du pays ?

Les 144 engagements de Marine Le Pen : à gauche toute !

Fondapol / Général - Mon, 06/02/2017 - 16:36

Ce week-end constitue un temps fort de la campagne de Marine Le Pen puisque ont lieu à Lyon des « assises présidentielles », qui offre l’occasion à la candidate FN de dévoiler ses « 144 engagements » pour son quinquennat. Méluch, nous voilà ! Atlantico : D’une manière générale, quel regard peut-on porter sur les 144 « engagements » de Marine […]

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Jérôme Jaffré présente sa note : Le Front national face à l’obstacle du second tour

Fondapol / Général - Mon, 06/02/2017 - 15:42

Jérôme Jaffré présente sa note : Le Front national face à l’obstacle du second tour

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La mondialisation donne un autre sens aux frontières

IRIS - Mon, 06/02/2017 - 14:47

N’y a-t-il jamais eu autant de migrations et de murs ?
Proportionnellement, la part des populations migrantes était plus importante au début du XXe siècle. Mais à l’époque, il y avait moins d’images, d’informations, également moins de problèmes économiques et sociaux, de chômage. La situation n’est donc pas comparable. Ce qui est certain, c’est qu’après une période d’optimisme, sur la fin des frontières, la liberté de circuler, après la chute du mur de Berlin et le démantèlement du Rideau de fer, on revient à une époque où un peu partout dans le monde se dressent des murs.

À quoi sert un mur aujourd’hui ?
Pendant longtemps, les frontières ont servi à retenir les citoyens, à l’image de l’Union soviétique. Aujourd’hui, on cherche plutôt à éviter que les autres rentrent. La mondialisation donne un autre sens aux frontières, alors, on en recrée. Mis à part le cas israélo-palestinien qui est un problème géopolitique, les riches se protègent des pays pauvres. Les États-Unis se protègent du Mexique et, au-delà, de toute l’immigration d’Amérique centrale et même latino-américaine. À Ceuta et Melilla, deux enclaves espagnoles en terre marocaine, des murs très hauts empêchent une immigration maghrébine et africaine au sens large.

Pourquoi nos sociétés ont-elles aussi peur de l’immigrant ?
Les murs sont à la fois physiques et dans les têtes. Plusieurs inquiétudes se rejoignent, socio-économiques, géopolitiques, sur l’avenir. Il est de plus en plus facile de se déplacer et de savoir ce qu’il se passe dans les pays riches. La première chose que fait un réfugié quand il arrive à un hotspot (un centre d’accueil européen des migrants), c’est de demander, peut-être à boire et à manger, mais surtout de recharger son téléphone portable.

On revient à un défi Nord – Sud…
Charles Aznavour chantait “emmenez-moi car la misère est plus supportable au soleil”. Les gens au soleil ne pensent pas ça et vont où il y a de la richesse. Mais les ouvertures sont unilatérales. Si on veut aller dans un pays africain, on paiera quelques centaines d’euros mais la plupart des Africains paient des milliers d’euros pour avancer avec des passeurs et mettent beaucoup plus de temps. Le Nord ferme ses frontières. C’est un signe d’absence de confiance en soi, dans l’avenir et l’humanité.

Les murs sont-ils efficaces ?
La nature humaine s’adapte toujours et trouvera d’autres moyens. Dans un monde globalisé, est-il possible de vivre dans une bulle entièrement protégée de l’extérieur ? Trump dit que la suspension des visas envers sept pays musulmans, sert à lutterc ontre le terrorisme, est-ce que ça ne va pas développer, au contraire, un sentiment antiaméricain ? Les derniers attentats commis aux États-Unis n’ont pas été commis par des gens venant de l’extérieur mais par des gens nés sur le sol américain. L’amalgame fait entre terroristes et réfugiés fuyant les persécutions risque de faire grossir l’opposition. À une autre époque, la guerre entre les États-Unis et le Japon à la fin des années 30 a débuté avec l’arrêt de l’immigration japonaise et chinoise. Ces mesures impersonnelles ne vont pas servir dans la lutte contre le terrorisme.

Pourquoi Donald Trump s’engage-t-il sur cette ligne dure, notamment avec le Mexique et la Chine ?
Il n’a pas des convictions idéologiques très affirmées puisqu’il est passé avant par les démocrates et les indépendants. Là, il a fait sa religion sur les questions d’islam et de murs, par une sorte de pragmatisme à lui. Il nous promet que ça va marcher et que ça marche déjà. On risque de voir très rapidement que cela pose plus de problèmes que cela n’apporte de solutions. Dans sa politique spectacle, le Mexique est une bonne cible. Mais insulter une nation n’apporte jamais de fruits positifs sur le long terme. Il montre qu’il est en charge, qu’il est le boss et applique son programme. Mais on peut penser que le mur le plus haut qui va se dresser contre Donald Trump sera le mur des réalités.

La opción nuclear en la estrategia energética del Reino Unido

Real Instituto Elcano - Mon, 06/02/2017 - 13:21
DT 2/2017 - 6/2/2017
Claudio Aranzadi

En el marco de un programa nuclear único en Europa Occidental, Reino Unido ha iniciado un nuevo ciclo inversor en reactores de tercera generación que prevé conducirá a un parque de generación nuclear de 14 Gw en 2035.

Jérôme Jaffré – Le Front national face à l’obstacle du second tour

Fondapol / Général - Mon, 06/02/2017 - 13:01

Dans le système majoritaire qui caractérise les scrutins de la Ve République, le second tour a changé depuis peu de nature. Avec la tripartition de l’espace politique, les duels gauche-droite, totalement dominants durant la période 1962-2012 (cinquante ans !), ne sont plus la règle absolue ni même la configuration dominante. Avec la montée du Front […]

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Séminaire des ambassadeurs, 2 février 2017

IHEDN - Mon, 06/02/2017 - 12:42

Trente ambassadeurs et ambassadrices, nouvellement nommés, ont pris part, le 2 février 2017, à un séminaire sur les questions de défense,...

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Marokko: Rückkehr in die Afrikanische Union

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 06/02/2017 - 10:36
„Der Tag, an dem man nach einer langen Abwesenheit nach Hause kommt, ist schön. (…) Afrika ist mein Kontinent, mein Zuhause“, mit diesen enthusiastischen Worten bedankte sich König Mohammed VI. am 31. Januar 2017 vor den versammelten Staats- und Regierungschefs der Afrikanischen Union (AU) für den herzlichen Empfang und die Wiederaufnahme in die afrikanische „Familie“.

Friedensvertrag in Kolumbien – wie weiter?

Bonn, 06.02.2017. Die gute Nachricht zuerst: Im November 2016 hat der kolumbianische Kongress den Friedensvertrag zwischen der Regierung Santos und der größeren Guerillabewegung Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia (FARC) ratifiziert. Im Februar dieses Jahres beginnen Verhandlungen mit der ELN (Ejerzito de la Liberación nacional), der kleineren linksgerichteten Guerilla. Der Konflikt in Kolumbien begann Mitte der 1960er Jahre, kostete tausende Menschen das Leben und zwang über vier Millionen von ihnen zur Flucht. So spiegelte sich die Länge und Komplexität des Krieges in den Verhandlungen wider. Denn die Annahme des Friedensvertrages ist das Ergebnis eines langwierigen Prozesses, der 2012 in Havanna begann. Der vierjährige Weg zum Friedensabkommen war von vielen Höhen und Tiefen begleitet: Feuerpausen wurden verkündet und wieder beendet, lokale Politiker entführt und wieder freigelassen, Guerilla-Kommandeure getötet.  Bis zum Ende war nicht sicher, ob es zum Friedensschluss kommen würde. Denn die Regierung suchte eine Legitimierung des Friedensvertrages durch die Bürgerinnen und Bürger. So stimmten die Wahlberechtigten am 2. Oktober 2016 über den Vertragstext ab –  und lehnten ihn mit knapper Mehrheit überraschend ab. In einer gegenläufigen Entwicklung in jener Woche beschloss das Nobel-Komitee in Oslo, Präsident Santos den Friedensnobelpreis zu verleihen. Am 24. November 2016 wurde der Vertrag dann schließlich in geänderter Form, ohne eine weitere Volksbefragung vom Kongress angenommen. Nicht jeder ist für Santos‘ Frieden Es erscheint zunächst verwunderlich, warum eine große Gruppe von Kolumbianerinnen und Kolumbianern den Friedensvertrag abgelehnt hat. Diese Ablehnung hat einen räumlichen Grund. Der Krieg zwischen der kolumbianischen Regierung und den FARC konzentrierte sich zumeist auf ländliche Gebiete, in denen Rohstoffe gefördert werden oder Koka angebaut und transportiert wird. In diesen Randzonen, die zum Teil schwer zugänglich sind, bündelt sich die Gewalt der Kriegsparteien, der FARC, aber auch gewöhnlicher Banden. In solchen Gebieten litt die Zivilbevölkerung Jahrzehnte lang besonders stark unter dem andauernden Konflikt. In den großen Städten jedoch, in denen die Mehrheit der Bevölkerung lebt, hat sich die Präsenz der Guerilla in den letzten Jahren merklich verringert. Auch die Entführungen, etwa auf Überlandstraßen, haben deutlich abgenommen. Für viele Kolumbianerinnen und Kolumbianer, die in urbanen Zentren wohnen, ist der Krieg weniger spürbar. Die Guerilla hat darüber hinaus einen schlechten Ruf, was auf die langjährige Praxis von Entführungen und andere Gewalttaten gegen die Zivilbevölkerung zurückgeht. Diese Bedingungen konnte der rechte Politiker Alvaro Uribe mit seiner Kampagne gegen das Friedensabkommen für sich nutzen und eine knappe Mehrheit des Wahlvolks überzeugen, mit einem „Nein“ zum Friedensvertrag zu stimmen. „Der real existierende Frieden“ Bis jetzt lässt sich die Suche nach Frieden mit den FARC als Tour de Force mit Etappensieg beschreiben. Es ist der kolumbianischen Gesellschaft zu wünschen, dass sie nach Jahrzehnten des Blutvergießens zum Frieden zurückfindet. Und das ist der Aspekt, der die Freude über den Friedensschluss trübt: es gibt noch viel zu tun. Der Friedensvertrag ist erst der Anfang vom Ende des Konfliktes in Kolumbien. Um einen langfristigen Frieden zu schaffen, muss der Friedensschluss auch vor Ort mit Leben gefüllt werden. Die Regierung muss gewährleisten, dass vertriebene Menschen auf ihr Land zurückkehren und dort in Frieden leben können. Sie muss dafür sorgen, dass die FARC ihre Verbrechen an der Zivilbevölkerung materiell und ideell wiedergutmachen (eine Forderung, die übrigens für alle Kriegsparteien einschließlich der offiziell demobilisierten Paramilitärs gilt). Die Regierung ist dafür verantwortlich, dass die im Friedensvertrag ausgehandelte politische Teilhabe auch wirklich umgesetzt wird. Schließlich muss sie den Schutz politischer Gegner sowie sozialer Aktivisten gewährleisten. Es ist zu hoffen, dass auf längere Sicht auch diejenigen vom praktischen Nutzen des Friedens überzeugt werden, die sich bis jetzt uneinsichtig zeigen und im Oktober mit einem „Nein“ gestimmt haben. Werden die genannten Voraussetzungen nicht umgesetzt, bleibt der Friedensvertrag von Havanna nur ein mühevoll errungener Teilerfolg, der von den sozialen, politischen und ökonomischen Verhältnissen schnell zunichte gemacht werden kann. Dieser Beitrag ist am 07.02.2017 auch auf euractiv.de veröffentlicht worden.

Politischer Bericht aus Griechenland: Tsipras Rückhalt schwindet

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 06/02/2017 - 09:23
Seit der Parlamentswahl 2015 sind die Umfragewerte von Aexis Tsipras Linksbündnis abgestürzt. Nur noch gut 16 Prozent der Griechen unterstützen die Regierung. Auch wirtschaftlich bringt das neue Jahr neue Belastungen, denn bei Konsumgütern des täglichen Bedarfs wie Heizöl, Zigaretten, Kaffee oder bei Telefonaten steigen die Preise. Der Ausblick für 2017 ist dennoch positiv: Die Regierung rechnet mit 2,5 Prozent Wirtschaftswachstum.

Antiterrorismo Trump

Real Instituto Elcano - Mon, 06/02/2017 - 03:15
Comentario Elcano 5/2017 - 6/2/2017
Fernando Reinares

La estrategia antiterrorista de Trump estará condicionada por la anómala sobrerrepresentación de la derecha alternativa entre los asesores de seguridad nacional de la Casa Blanca, pero también por la necesidad de que los ciudadanos que le aprueban apoyen su antiterrorismo.

Parlement européen : redistribution des équilibres politiques

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 06/02/2017 - 01:00
Une présidentielle mouvementée Malgré la victoire du Parti Populaire Européen (PPE) aux élections européennes, le PPE a soutenu en juillet 2014 Martin Schulz qui postulait à un second mandat de président du Parlement. Rejoint aussi par les Libéraux (ALDE), Martin Schulz a obtenu 409...

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