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Diplomacy & Defense Think Tank News

Eurostat, 6 États membres sans salaire minimum

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 13/02/2017 - 01:00
Selon les données publiées par Eurostat le 10 février, au 1er janvier 2017, 22 des 28 États membres de l'Union européenne appliquaient un salaire minimum national : seuls le Danemark, l'Italie, Chypre, l'Autriche, la Finlande et la Suède n'en disposaient pas.

Culture, Le carnaval de Venise arrive !

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 13/02/2017 - 01:00
Le célèbre carnaval de Venise se déroule du 18 au 28 février avec de nombreux spectacles, défilés, soirées, fêtes et bals.

Culture, Exposition "David Hockney" à la Tate Britain

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 13/02/2017 - 01:00
Jusqu'au 29 mai , la Tate Britain accueille les œuvres de David Hockney, artiste majeur du XXe siècle, au sein d'une exposition ambitieuse.

Culture, Exposition Caesar van Everdingen à Helsinki

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 13/02/2017 - 01:00
Du 16 février au 14 mai, une exposition est consacrée à l'oeuvre de Caesar van Everdingen, peintre flamand contemporain de Rembrandt, au musée Sinebrychoff d'Helsinki. Il s'agit de la première exposition regroupant 30 œuvres de l'artiste.

Culture, Festival international du film de Dublin

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 13/02/2017 - 01:00
Du 16 au 26 février se tient la 15ème édition du Festival international du film de Dublin avec de nombreux films internationaux.

Culture, Festival Sónar Reykjavik

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 13/02/2017 - 01:00
Du 16 au 18 février se tient le festival Sónar à Reykjavik, l'un des plus importants festivals de musique électronique en Europe. Créé à Barcelone, il s'exporte dans des villes européennes depuis 15 ans et fait partie du programme "Creative Europe" de la Commission européenne.

Culture, Tanzolymp - Festival international de la danse de Berlin

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 13/02/2017 - 01:00
Du 16 au 20 février a lieu Tanzolymp, festival international de danse à Berlin. De jeunes danseurs venus du monde entier vont concourir afin d'obtenir une bourse ainsi que la possibilité d'être entraînés par les meilleurs professionnels de la danse.

Culture, Art Capital à Paris

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 13/02/2017 - 01:00
Du 15 au 19 février, le Grand Palais de Paris accueille de nombreux artistes lors de son Art Capital 2017. L'exposition s'organise en quatre salons : "artistes indépendants", "comparaisons", "artistes français", "dessin & peinture à l'eau".

Die EU-Zusammenarbeit beim Kampf gegen den internationalen Terrorismus

SWP - Mon, 13/02/2017 - 00:00

Der Anschlag auf den Berliner Weihnachtsmarkt im Dezember 2016 hat nicht nur eine nationale Debatte über die innere Sicherheit angestoßen, sondern gibt auch Anlass zur Überprüfung der europäischen Anstrengungen gegen den internationalen Terrorismus. Die seit 2015 ergriffenen Maßnahmen zur Verbesserung des Austauschs polizeilicher Informationen und zur Verschärfung der Personenkontrollen beginnen zwar Früchte zu tragen. Die zusätzlich geplante Einführung intelligenter Kontrollsysteme an den EU-Außengrenzen kann jedoch nur bedingt als Antwort auf die aktuelle Bedrohungslage gelten. Intensiver diskutiert werden sollte stattdessen über die Koordinierung von Rückführungen von Drittstaatsangehörigen, über den Beitrag, den die EU-Außenpolitik zur Erhöhung der Sicherheit in Europa leisten könnte, und über die Intensivierung der europäischen geheimdienstlichen Zusammenarbeit.

Digitales Lernen

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 13/02/2017 - 00:00
„Digitalisierung ist für eine zukunftsfähige Schule wichtig. Erfolgreiches digitales Lernen hängt aber nicht nur von moderner Technik ab, sondern vor allem auch von den Lehrpersonen, die die neuen technischen Möglichkeiten in Lehr- und Lernkonzepte integrieren. Untersuchungen belegen, dass Technik allein noch kein Erfolgsgarant ist. Kompetenz und Haltung der Lehrpersonen sind entscheidend. „

L’Arabie saoudite et la Nouvelle Route de la Soie : vers un rôle accru ?

IRIS - Fri, 10/02/2017 - 14:27

L’Arabie saoudite va-t-elle participer au projet de zone économique de la Nouvelle Route de la Soie (NRS) ? Le projet saoudien « Vision 2030 » et le projet pharaonique chinois « une ceinture, une route » peuvent-ils s’imbriquer ? Le projet saoudien vise à rendre l’économie saoudienne plus robuste et sortir de l’ère tout pétrole. Les entreprises chinoises sont déjà présentes sur le marché saoudien et souhaitent participer aux développements d’infrastructures : réseaux ferroviaires, des malls (centre commerciaux), usines de dessalement d’eau, raffineries.

En janvier 2016, Xi Jinping avait visité l’Egypte, l’Arabie saoudite et la République islamique d’Iran, avec l’idée de construire de nouveaux tronçons d’une nouvelle voie de communication. La (NRS) s’appuie sur l’antique « route de la soie » et une voie maritime, imaginée par le célèbre amiral musulman Zheng He au XVe siècle. Elle traversait historiquement, entre autres, l’Iran, l’Irak et la Syrie, et permettrait aujourd’hui de sécuriser les approvisionnements énergétiques chinois et « bousculer » les équilibres internationaux.

La Chine entretient de bonnes relations avec l’Iran, tout en restant extérieur au conflit actuel entre Téhéran et Riyad. Dans le même temps, Pékin développe des exercices inédits de coopération militaire avec Riyad, tout en construisant des bases militaires le long des océans Indien, Atlantique et Pacifique, notamment à Djibouti et le port de Gwadar au Pakistan. La NRS offrirait à la Chine d’être moins vulnérable dans les détroits d’Ormuz et de Malacca, zone potentiellement conflictuelle des approvisionnements énergétiques.

La coopération sino-saoudienne

La Chine est le plus grand importateur mondial de pétrole, 80 % de ses importations proviennent du Moyen-Orient, principalement d’Arabie saoudite (70 milliards de dollars), par le biais de ses grandes entreprises publiques, telles SINOPEC ou la CNPC. La Saudi Aramco, plus grande compagnie de pétrole au monde, envisage d’approfondir ses investissements dans les secteurs de la raffinerie, de la pétrochimie avec les entreprises chinoises. La première grande raffinerie saoudienne de Yanbu est entrée en fonction le 20 janvier 2016 avec d’importants capitaux de SINOPEC. Ces deux compagnies ont signé un nouvel accord stratégique de coopération pour se déployer dans les marchés mondiaux. Ainsi, la relation pragmatique sino-saoudienne pourrait être un levier pour l’économie saoudienne hors pétrole.

Les comptes du royaume se sont fortement dégradés, depuis la chute vertigineuse du prix du baril (juin 2014), et Riyad privilégie aujourd’hui, au sein de l’OPEP, une augmentation des cours avec l’objectif d’atteindre les 70 dollars. Ce prix garantirait une marge de profit aux fabricants chinois et le financement de projets d’infrastructure en Arabie saoudite.

Pour financer les projets d’infrastructure, les entreprises chinoises bénéficient de la fameuse Exim Bank (Export-Import Bank of China), qui disposerait de plus d’un tiers des liquidités mondiales, ce qui permettrait d’investir dans les infrastructures ferroviaires en Arabie saoudite. Cette perspective permettrait à la fois aux saoudiens d’accompagner le plan « Vision 2030 » et aux Chinois de compléter le maillage de la Nouvelle Route de la Soie à travers le royaume pour ouvrir d’autres voies terrestres et maritimes aux marchandises chinoises à destination de l’Afrique dans laquelle elle est déjà fortement implantée.

En 2009, la China Railway Engineering avait remporté la première phase d’un contrat de 1,8 milliards de dollars pour la construction d’une ligne à grande vitesse entre la Mecque et Médine. La Chine se verra-t-elle attribuer le pharaonique projet international ferroviaire qui traverserait les six pays du Conseil de coopération du Golfe ?

Pékin a créé un outil puissant dans la stratégie de la NRS, la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (AIIB en anglais), concurrente implicite de la Banque mondiale. Elle compte parmi ses 57 membres l’Arabie saoudite, le Pakistan, l’Indonésie, la Malaisie, Oman et l’Iran, pays clefs de la route de la Soie. La Chine entend assumer le leadership mondial dans le domaine du financement des infrastructures mais elle a besoin d’une stabilisation du Moyen-Orient pour déployer ses investissements économiques, et l’Arabie saoudite est un acteur clef de cette région.

La majorité des musulmans habitent le long de la Route de la Soie

La Chine compte 20 millions de musulmans, et la majorité d’entre eux (les Ouïghours) sont dans la région autonome du Xinjiang, qui constitue le cœur de la NRS du XXIe siècle avec les villes d’Urumqi et de Kashgar. Cette région autonome connait des troubles violents réguliers qui trouvent écho dans le monde musulman. Des milliers de Ouïghours combattent au nord de la Syrie et leur retour suscite la plus grande vigilance de Pékin. Chaque année, plus de 15000 Chinois se rendent à la Mecque pour effectuer le pélerinage, et environ 80% des musulmans dans le monde habitent le long de la route de la Soie : Turquie, Indonésie et Pakistan.
Le port en eau profonde pakistanais de Gwadar, proche du détroit d’Ormuz, est aujourd hui géré par une compagnie chinoise. Prochainement relié par voie ferroviaire au Xinjiang, Gwadar est stratégique pour l’importation de pétrole par la Chine.

Le soft power chinois au Moyen-Orient

La télévision nationale chinoise a diffusé une série en 59 épisodes (en 2009) sur la vie et les voyages de Zheng He en soulignant le caractère pacifique de ses expéditions maritimes sur la route maritime de la Soie.

Dans le film à grand spectacle chinois « Dragon Blade » (2015), les célèbres acteurs Jackie Chan et John Cusak délivrent un message géopolitique au monde que l’on pourrait interpréter, du moins vu de Pékin, par « les Empires ne sont pas ennemis, et peuvent coopérer dans leur intérêt réciproque », faire du « gagnant gagnant » dans un esprit pacifique avec la Nouvelle Route de la Soie, et que chaque nation puisse en tirer profit.

Si un blocus maritime des États-Unis en mer de Chine devait subvenir, la route terrestre par le Pakistan deviendrait cruciale pour un accès de la Chine à l’océan Indien et le golfe Arabo-Persique. L’influence de l’Arabie saoudite dans le monde musulman et sa relation privilégiée avec le Pakistan ferait de Riyad un acteur incontournable de la Nouvelle Route de la Soie et le Moyen-Orient, qui demeure une zone sismique des relations internationales, à l’heure où la politique étrangère américaine devient une inconnue. Va-t-on assister à la construction d’une convergence d’intérêts entre la Chine et l’Arabie saoudite ?

Sous-marins norvégiens : l’Allemagne devient-il le pays qui organise la coopération en matière d’armement en Europe ?

IRIS - Fri, 10/02/2017 - 13:02

Après l’annonce du choix de l’entreprise allemande TKMS par la Norvège, le 3 février 2017, pour la fourniture de 4 sous-marins, la première réaction serait de dire « 1 partout » entre TKMS et DCNS. En effet, l’Australie avait choisi en avril 2016 l’entreprise française DCNS pour lui fournir 12 sous-marins. On ajoutera aussitôt que le nombre de sous-marins dans le contrat australien est plus important et que les bâtiments commandés sont d’un tonnage supérieur au bateau norvégien, l’impact économique du contrat australien est bien plus grand pour DCNS que celui du futur contrat norvégien pour TKMS. Ces comparaisons sont utiles si on essaie d’analyser la compétition que se livre l’entreprise allemande et l’entreprise française sur le marché des sous-marins à l’exportation. On ajoutera aussi à cette comparaison que DCNS estime que son offre à la Norvège était supérieure notamment dans le domaine de la lutte anti sous-marine. Pour autant, la décision norvégienne appelle d’autres commentaires que cette stricte analyse comptable dans le sens où ce choix révèle peut-être un changement dans le mode de coopération et d’acquisition des pays européens dans le domaine de la défense.

En effet, après avoir lancé un appel d’offre pour la fourniture de ces sous-marins, la Norvège a pris la décision de sortir de l’appel d’offre et de nouer une coopération avec l’Allemagne sur la base d’une évolution du sous-marin T-212, actuellement en service dans les marines allemande et italienne.

Même si la Norvège n’est pas membre de l’Union européenne et que le droit communautaire ne lui est pas applicable, on ne peut s’empêcher de penser que ce pays s’est inspiré de la faculté offerte par l’article 13 de la directive européenne 2009-81 sur les marchés de défense et de sécurité qui permet d’exclure du champ de la directive « les marchés passés dans le cadre d’un programme de coopération fondé sur des activités de recherche et développement ». Dans ce cas, le lancement d’un appel d’offre n’est plus nécessaire puisqu’un des objectifs de la directive – favoriser la coopération en matière d’armement et la mutualisation des capacités militaires -, est rempli puisque la Norvège et l’Allemagne bénéficieront à partir des années 2025[1] d’un sous-marin identique. Simplement, la mutualisation capacitaire s’inscrit plus dans le cadre de l’OTAN, la Norvège étant membre de cette organisation, que dans celui de l’Union européenne.

On peut se demander d’ailleurs si le choix des Norvégiens pour un sous-marin fabriqué par TKMS n’est pas « framework nations concept (FNC) compatible ».

FNC est une initiative qui a été lancée par l’Allemagne en septembre 2014 dans le cadre de l’OTAN. Elle vise à insérer les forces armées des pays européens de l’Otan qui ont les capacités les plus faibles dans le cadre d’une capacité commune organisée par une nation cadre qui dispose de forces armées plus importantes. 16 pays sont aujourd’hui partie prenante au concept FNC[2], dont le plus important est l’Allemagne. Cette initiative s’est focalisée dans un premier temps sur les capacités structurelles et logistiques, ce que l’on appelle les enablers, dans le cadre de quatre clusters portant sur le déploiement des quartiers d’état-major, sur les effecteurs, sur la protection (défense aérienne et défense anti-missile) et sur les capacités de soutien en opération (qui comprend notamment les capacités patrouille aérienne et les systèmes de drones MALE). Même si FNC porte sur la mutualisation des forces, on peut estimer que l’initiative ne sera pas sans conséquence en termes de coopération européenne sur les équipements du futur et donc sur la consolidation industrielle dans le domaine de l’armement.

De ce fait, même si la capacité sous-marine ne fait pas partie des clusters formellement identifiés dans FNC, on ne peut s’empêcher de penser que le choix des Norvégiens s’inscrit dans une démarche similaire à celle qui a présidé à la constitution de FNC. En effet, la Norvège appartient au club FNC, la Pologne, qui a lancé un appel d’offre pour la fourniture de sous-marins, est également partie prenante à FNC et pourrait se joindre à cette coopération, ainsi que les Pays-Bas[3], et ce dans ce qui serait le cadre d’un « cluster sous-marin » qui serait créé et piloté par l’Allemagne.

En conclusion, il est fort probable que l’offre de TKMS sur le sous-marin norvégien s’inscrit dans le cadre d’une stratégie politique plus globale de l’Allemagne visant à mieux organiser les mutualisations capacitaires, par ailleurs souhaitées par l’Union européenne, l’OTAN ainsi que les Etats membres de ces organisations, autour de Berlin, « les petits s’agrégeant derrière un plus gros ».

La France serait donc bien inspirée de prendre en compte ce facteur non comptable dans l’organisation de ses coopérations et exportations d’armement futurs au sein de l’Union européenne.

[1] La livraison des bâtiments devrait s’étaler entre 2025 et 2030.
[2] Allemagne, Belgique, Bulgarie, République Tchèque, Danemark, Estonie, Hongrie, Luxembourg, Lithuanie, Lettonie, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Roumanie, Slovaquie
[3] Ce dernier pays est cité dans le communiqué publié par le ministère de la Défense norvégien rendant public la décision de la Norvège : Germany chosen as strategic partner for new submarines to Norway.

Syrie : solution politique ou somalisation ?

IRIS - Fri, 10/02/2017 - 12:10

Le point de vue de Pascal Boniface, directeur de l’IRIS.

Sahel-Sahara-Raum: Fluchtursachen-Bekämpfung konkret

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 10/02/2017 - 10:28
Bei allen Diskussionen über Migration und ihre Folgen wird der Blick selten auf die Ausgangs- und Durchgangsländer der Fluchtrouten gerichtet. Ganze Gesellschaftsgruppen leben dort davon, Menschen per Lastwagen nach Norden zu verfrachten – und auf dem Rückweg Waffen oder Munition mitzubringen. So wird das Leben in den betroffenen Regionen immer unsicherer, der Migrationsdruck steigt weiter.

L’IHEDN au salon Euromaritime /Eurowaterways2017

IHEDN - Fri, 10/02/2017 - 06:31

Les transformations majeures de sécurité et de défense ont donné une importance stratégique croissante aux espaces échappant à la souveraineté des États au premier rang desquels ...

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Energy in the German-Polish Relationship

SWP - Fri, 10/02/2017 - 00:00

Germany and Poland stand as examples of the differing interests of individual European Union (EU) member states in energy policy. However, both countries are crucial for filling an Energy Union with substance. Yet, progress in bilateral engagement has stalled, as controversies, for example over Nord Stream II, threaten to distract attention from other issues and avenues for energy cooperation. While acknowledging disagreements, the focus should be on identifying areas of agreement and opportunities for cooperation. Although the difficulty of resolving highly controversial issues is not to be discounted, addressing them will require taking steps to establish trust while designing programs and projects to transform the idea of solidarity from rhetoric into reality.

Libanon: Ein Land zwischen Hoffnung und Herausforderung

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 10/02/2017 - 00:00
Die Konrad-Adenauer-Stiftung fördert mit ihrem langjährigen Partner "Maison du Futur" den Dialog der Kulturen im Libanon, dem Nahen Osten und Nordafrika.

Islamistischer Terrorismus in Europa: Radikalisiert unterm Radar

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 10/02/2017 - 00:00
Europa ist keine Keimzelle des Terrorismus. Aber Parallelgesellschaften und wenige Schlüsselfiguren trugen zur Entstehung dschihadistischer Netzwerke bei.

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