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Diplomacy & Defense Think Tank News

Fronleichnam: Jüngstes Hochfest der katholischen Kirche

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 14/06/2017 - 11:45
In jedem zweiten Bundesland wird Fronleichnam als gesetzlicher Feiertag begangen. In unzähligen katholischen Kirchengemeinden werden in prunkvollen Prozessionen barock geschmückte Monstranzen durch die Straßen getragen. Allein in München nehmen jedes Jahr um die 10.000 Gläubige an dem feierlichen Umzug teil. Woher kommt der Brauch, was bedeutet „Fronleichnam“ und warum konnte Martin Luther diesem kirchlichen Brauch nichts abgewinnen?

Afrique / France : une relation nouvelle ?

IRIS - Wed, 14/06/2017 - 11:04

Le président français, Emmanuel Macron, va effectuer son deuxième déplacement en Afrique en un mois, après avoir reçu à Paris les présidents ivoirien et sénégalais. En conformité avec son annonce de campagne électorale, il fait ainsi du continent africain une priorité.

Nul n’est besoin de rappeler la longue histoire qui unit la France à l’Afrique, ses pages parfois glorieuses et parfois honteuses, ses bienfais et ses méfaits. Mais, ce socle historique ne peut être suffisant pour déterminer l’avenir des relations franco-africaines. En Afrique francophone, la France ne bénéficie plus du monopole stratégique, économique et culturel dont elle disposait auparavant. L’Afrique est entrée de plain-pied dans la mondialisation et multiplie les partenariats avec des puissances non européennes. C’est une opportunité pour les pays africains et un challenge pour la France. À cette dernière de le relever. De son côté, la France ne peut pas se contenter de son pré-carré francophone et doit également se tourner vers l’Afrique anglophone et lusophone.

Au sein de la zone sahélienne, où va se rendre E. Macron, la véritable bataille à mener – et à gagner – par la France et ses partenaires africains est celle de la sécurité et du développement. Ces deux voies ne sont pas antagonistes mais, au contraire, fondamentalement complémentaires. Il faut agir sur les deux fronts de manière simultanée afin de provoquer un cercle vertueux : une sécurité qui permet le développement, gage lui-même de sécurité, et non pas se laisser entraîner dans le cercle vicieux de l’insécurité et du sous-développement.

La France bénéficie d’une présence militaire ancienne de soutien à la sécurité et la stabilité au sein du Sahel et du Sahara, renouvelé après 2013 et l’opération Serval. Lors de sa visite aux troupes françaises à Gao, E. Macron a déclaré : « J’agirai en Afrique en toute transparence loin des réseaux de connivence ». Il n’y a qu’envers l’Afrique que de tels propos sont régulièrement émis, soit pour les justifier, soit pour les critiquer. Il faut « simplement » traiter l’Afrique comme les autres pays, dans le même esprit de partenariat aux intérêts réciproques.

Né une génération après les indépendances de 1960, E. Macron doit éviter les discours largement ressassés sur le passé et ceux dépassés de culpabilisation qui arrangent et déresponsabilisent les élites dirigeantes en Afrique sans régler les problèmes de fond politiques et économiques. Il ne s’agit pas de nier l’Histoire mais de se projeter vers un avenir où chacun assume sa part de responsabilité immédiate et future.

L’Afrique a besoin de moins d’État si cela signifie une bureaucratie étouffante et paralysante mais plus d’État s’il s’agit de mettre en place les infrastructures nécessaires. La consolidation des administrations est indispensable afin d’éviter un retour aux clans et tribus de la période précoloniale. Les armées des pays africains doivent être non seulement plus professionnelles mais également plus nationales avec des bases moins ethnico-régionales ou religieuses.

La lutte contre le terrorisme ne doit pas plus justifier aujourd’hui les manquements à la bonne gouvernance, au respect des droits de l’homme et à l’État de droit que ne le faisait la lutte contre le communisme hier. Cette dernière a permis de blanchir le soutien à des régimes détestables qui ont laissé des héritages catastrophiques, source de nombreux maux actuels. Les pratiques flagrantes de corruption qui discréditent les régimes, désespèrent les jeunes, en les poussant à la rébellion, au trafic divers ou à l’immigration, doivent être combattues.

Le combat indispensable contre le terrorisme ne peut se faire en acceptant les pratiques délétèrent qui le nourrissent. La France n’a pas à choisir les régimes africains à leur place mais, au moment où elle connaît un renouvellement de son personnel politique de très forte magnitude, elle ne peut soutenir de façon inconditionnelle tous les régimes africains. Elle doit avoir des relations avec tous mais conserver ses distances avec certains. Il faut surtout, dans les pays où la démocratie est encore imparfaite, développer les liens avec la société civile. Il ne s’agit pas ici de moralisme mais de realpolitik.

Article co-signé avec Ahmedou Ould Abdallah, ancien Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique de l’Ouest et président du Centre pour la stratégie et la sécurité dans le Sahara Sahel (Centre4s).

War da was? Welttag für die Bekämpfung von Wüstenbildung und Dürre

Bonn, 14.06.2017. Mit Welttagen ist es wie mit katholischen Heiligen und mit UN-Organisationen – es gibt viele und für alle Sorgen einen. Sie alle unterliegen Moden, Zyklen und politischem Gezerre. Wüstenbildung und Dürre könnten dabei derzeit eine Renaissance erleben. Den Welttag für die Bekämpfung von Wüstenbildung und Dürre gibt es erst seit 1995. Er ist damit das Pendant der ebenfalls 1994 verabschiedeten internationalen Konvention zur Bekämpfung der Wüstenbildung, die im vollen Titel (United Nations Convention to Combat Desertification in Those Countries Experiencing Serious Drought and/or Desertification, Particularly in Africa, UNCCD) ebenfalls das Doppelproblem Wüstenbildung und Dürre thematisiert. Diese wiederum ist eine der drei aus dem Erdgipfel in Rio 1992 hervorgegangenen Umwelt- und Entwicklungs-Konventionen, gemeinsam mit den Abkommen zum Klimawandel (UNFCCC) und zur Biologischen Diversität (CBD). Deutschland und Bonn haben einen besonderen Bezug zum dem Thema, denn sie beherbergen seit 1999 das UNCCD Sekretariat. Damals war Verwüstung ein besonders brisantes Thema. So erklärte der Wissenschaftliche Beirat der Bundesregierung Globale Umweltveränderungen (WBGU) anlässlich des Weltwüstentages 1996: „Die weltweit zu beobachtende Desertifikation und Degradation von Böden wird nach Ansicht des WBGU in den nächsten zwei bis drei Dekaden sehr viel deutlicher zu spüren sein als die Folgen des globalen Klimawandels“. Doch schon bald nach der Verabschiedung wurde es relativ still um Konvention und Gedenktag. Wüstenbildung und Dürre galten hauptsächlich als Probleme in und für arme Länder, während es schien, als hätten die Industrieländer diese hinter sich gelassen beziehungsweise im Griff. Sinnbild der Wüstenbildung war damals die sich nach Süden ausbreitende Sahara, nicht der Dustbowl des mittleren Westens der USA. Der weiter gefasste Begriff der (Boden- und Vegetations-) Degradation wurde nicht gewählt, obwohl er oft die bessere Bezeichnung für die Art von Prozessen ist, die durch die Konvention bekämpft werden soll. Auch die Reduzierung auf trockene und halbtrockene Standorte schloss viele Länder der gemäßigten Breiten aus. Mit der Namenswahl der Konvention hatte man daher eine thematische und geographische Verengung in Kauf genommen, die für die globale Relevanz der Thematik nicht förderlich war. Nachteilig für die globale Unterstützung war auch, dass Wüstenbildung und Dürren vordergründig vor allem lokale Effekte haben: der degradierte Boden, das verendende Vieh, die reduzierte Agrarproduktion sind lokal verortet und schaffen – wenn man es zynisch betrachtet – sogar Nachfrage und Wettbewerbsfähigkeit andernorts. Schließlich ist die Bekämpfung von Wüstenbildung und Dürren vornehmlich eine lokale Angelegenheit, und die UNCCD setzt sogar besonders stark auf Aktionspläne von unten. Schon in entwickelten Staaten ist das schwierig und einer der Gründe, warum auch bei uns Bodenschutz oder Dürremanagement nicht sehr weit entwickelt sind. Aber auch für eine internationale Agenda wie die UNCCD hat dies Nachteile: Die multi-sektoralen Pläne haben kein „natürliches“ Leit-Ministerium, das sich die gesamte Agenda – jenseits des eigenen Mandats – ohne weiteres aneignen würde. Damit fehlt eine starke Verhandlungsposition des verhandelnden Ministeriums – oft zuständig für Umwelt oder Agrar/Forst – in den internationalen Verhandlungen. Ebenso ist es nicht einfach, internationale Gelder für solche Pläne bereitzustellen, eben weil kein spezielles Ministerium für die Umsetzung existiert und territoriale oder integrierte Ansätze wegen der sektoralen Aufgabenteilung der Geber selten sind. So erklärt sich, warum die Themen Wüstenbildung und Dürre keine Senkrechtstarter waren. Sie kamen in den einzelnen Ländern nicht in Fahrt, und waren international von Desinteresse, Steuerungsproblemen und Verteilungskonflikten zwischen Nord und Süd geprägt. Die UNCCD wurde „die arme kleine Schwester der Rio-Konventionen“. Eine Renaissance könnte sich aus Veränderungen des internationalen Kontextes ergeben. Die Agenda 2030 hat den Themenkomplex Bodenschutz und Artenvielfalt im Nachhaltigkeitsziel 15 gebündelt und ihm dadurch neue Sichtbarkeit und Kohärenz gegeben. Im Rahmen der Agenda wird auch der Zusammenhang zwischen Wüstenbildung und Bodendegradation, Artenschwund und Treibhausgas-Emissionen wieder klarer. Eine gewisse Internationalisierung bestimmter Maßnahmen, beispielsweise Wiederaufforstungen durch Investoren und ihre Finanzierung durch Klimafonds, führt zu mehr internationale Aufmerksamkeit, Sorgfalt und für neue Akteure. Der Klimawandel verstärkt Dürren und die Veränderung regionaler Vegetationsmuster. Er bringt, wenn schon nicht Hunger, so doch bisher in diesem Ausmaß nicht mehr erinnerte ökonomische und ökologische Probleme auch in die reichen Länder. Und im Süden werden Dürren und ökologische Degradation (wieder) zunehmend als Teil der Destabilisierung von Bevölkerungen und ganzen Nationen gesehen. Diese werden spätestens dann zu internationalen Problemen, wenn sie Terroristen und Migranten hervorbringen. Das Lexikon der katholischen Heiligen führt übrigens gleich fünf Helfer gegen Dürre ins Feld: Armagillus von Boschaux, Gerhard, Hugo von Nucaria, Isidor von Madrid, und Odo von Cluny. Viel hilft vielleicht doch manchmal viel!? In der realen Welt aber bitte koordiniert.

La geopolítica de la energía vuelve al Golfo, razón Qatar

Real Instituto Elcano - Wed, 14/06/2017 - 04:03
Comentario Elcano 32/2017 - 14/6/2017
Gonzalo Escribano

La crisis qatarí nos recuerda que el Golfo Pérsico sigue albergando latencias geopolíticas capaces de perturbar los mercados energéticos mundiales.

Deutsch-Chinesische Beziehungen: People-to-People Dialog

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 13/06/2017 - 13:14
Seit 45 Jahren unterhält Deutschland diplomatische Beziehungen zur Volksrepublik China. China ist Deutschlands wichtigster Wirtschaftspartner. Die politischen Kontakte sind enger als je zuvor. Von diesem Jahr an soll ein hochrangiger People-to-People Dialog dazu beitragen, den gesellschaftlichen Austausch zu intensivieren.

101e cycle IHEDN-Jeunes à Autun

IHEDN - Tue, 13/06/2017 - 12:02

Du lundi 12 au samedi 17 juin, cinquante jeunes gens, actifs et étudiants, âgés de 20 à 30 ans, participent au 101e cycle IHEDN-Jeunes, ...

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Präsident Nana Addo Dankwa Akufo-Addo: „Ghana beyond aid“

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 13/06/2017 - 00:00
Ghana geht als eines von sieben Ländern mit den G20 eine Partnerschaft ein: Bessere Rahmenbedingungen und Privatinvestitionen sollen die Wirtschaft ankurbeln.

Le jour se lève en Macédoine

IRIS - Mon, 12/06/2017 - 18:43

Après une décennie de ce que la Commission européenne a elle-même fini par nommer une « capture de l’État » par le parti au pouvoir nationaliste VMRO-DPMNE, un nouveau gouvernement issu des élections de décembre dernier a finalement été formé. Il est dirigé par Zoran Zaev, président du parti social démocrate SDSM, en coalition avec plusieurs partis albanais ; cela malgré les résistances du président Gjorge Ivanov, homme de paille du VMRO-DPMNE et de son leader, Nikola Gruevski.

Ce dénouement est le résultat à la fois de pressions venues d’en haut, en particulier de Bruxelles et de Washington, puisque le sous-secrétaire d’État en charge de l’Europe est toujours en place et que les États-Unis n’ont pas prévu de changements majeurs dans leur attitude vis-à-vis des Balkans ; mais aussi d’en bas, de la société civile et des milliers de citoyens qui sont descendus dans la rues ces deux dernières années pour réclamer le départ du VMRO et la fin de son système.

C’est en soi une excellente nouvelle dans une région où les pratiques autoritaires se sont fortement développées ces dernières années ; cela non pas en dépit mais grâce au processus d’intégration européenne, dans la mesure où Bruxelles préfère donner quitus à des hommes forts au nom d’une illusoire stabilité, plutôt que de favoriser l’enracinement de pratiques démocratiques et libérales.

Pour autant, c’est maintenant que le plus dur commence pour le nouveau gouvernement macédonien, tant la tâche est immense pour remettre le pays sur les rails économiquement et sur le chemin de l’intégration euro-atlantique. Cela implique une double dimension dans l’action.

En interne, la priorité est de restaurer l’État de droit, c’est-à-dire à la fois en finir avec les pratiques de népotisme et de corruption, et surtout faire en sorte que la justice passe. La procédure de limogeage du procureur général Marko Zvrlevski va dans ce sens, tant ce dernier n’a cessé de faire obstruction à toutes les procédures touchant le VMRO. Celles-ci sont désormais traitées par un bureau du procureur spécial (SPO), qui travaille tant bien que mal dans un univers judiciaire peuplé de fidèles du VMRO. La marge de manœuvre est étroite dans la mesure où le SPO, dont la création était une exigence européenne dans le cadre des accords de Przino de 2015, a besoin d’un large consensus politique pour survivre. Or, la tentative de prise d’assaut du Parlement par des hommes de main liés au VMRO le 27 avril dernier montre que ses leaders ne sont pas du tout prêts à abandonner le pouvoir, et encore moins à se laisser traîner en justice.

Sur le plan extérieur, le nouveau gouvernement macédonien devra œuvrer sur deux fronts. La principale priorité est de relancer le processus d’intégration euro-atlantique bloqué depuis des années par la Grèce, en raison de la querelle sur le nom même de Macédoine. Sur ce point, les premiers contacts entre Skopje et Athènes semblent indiquer de la bonne volonté des deux côtés. Dès lors, un accord pour débloquer les processus vers l’Union européenne (UE) et l’OTAN ne posant pas comme condition préalable la résolution de la question du nom serait un signal très fort. Le nouveau ministre des Affaires étrangères Nikola Dimitrov, ancien négociateur très respecté sur le sujet, est la personne idéale pour mener à bien cette tâche. L’autre priorité sera d’apurer les relations de voisinage, en particulier avec la Serbie dont on a appris qu’elle avait, avec l’aide de la Russie, cherché à soutenir coûte que coûte le VMRO ; y compris par la présence le jour de la prise d’assaut du Parlement d’un membre de ses services de renseignement. La presse tabloïd serbe, sous contrôle de Belgrade et en étroite liaison avec les organes de propagande russe, n’a pas ménagé sa peine pour répandre le spectre d’une grande Albanie et attaquer Zoran Zaev.

Le compte à rebours est donc lancé pour un gouvernement fragile, dont la majorité ne tient à rien et sur lequel repose une responsabilité immense. De ce point de vue, il y a une fenêtre d’opportunité historique et sans doute éphémère pour les acteurs occidentaux de reprendre pied dans la région, avec d’autres intentions affichées en matière d’exigence démocratique, un véritable plan et un calendrier, afin de contrer l’influence d’autres acteurs comme la Russie qui profitent du vide politique laissé par Bruxelles.

Personne n’oublie que l’assassinat de Zoran Djindjic en Serbie en 2003 a fermé une fenêtre d’opportunité pro-européenne et politiquement libérale historique, au cours de laquelle le destin de la Serbie, et sans doute de la région, aurait pu basculer du bon côté avec davantage de soutien international.

Ni les Balkans ni l’Union européenne ne peuvent plus se permettre de voir les fenêtres s’ouvrir puis se fermer, pendant que des dizaines de milliers de jeunes diplômés quittent la région par la porte de derrière.

Quelles solutions à la crise environnementale en Chine ?

IRIS - Mon, 12/06/2017 - 18:31

Jean-Francois Huchet est vice-président du Conseil scientifique de l’INALCO. Il répond à nos questions à propos de son ouvrage « La crise environnementale en Chine : Evolutions et limites des politiques publiques », Presses de Sciences Po (2016) :
– Comment la crise environnementale en Chine a-t-elle atteint une telle ampleur ? Quel a été le déclic pour que le gouvernement s’attaque au problème ?
– Quelles sont les politiques chinoises mises en place ? Sont-elles efficaces ?
– Le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris est-il l’occasion pour la Chine de devenir le leader mondial dans la lutte contre le réchauffement climatique?

New Pact for Europe National Report – Greece

ELIAMEP - Mon, 12/06/2017 - 17:50

This is the fourth in a series of National Reports to be published as part of the new phase of the New Pact for Europe project.*

Greece continues to be in a state of vulnerability, primarily the result of severe domestic errors, but also glaring gaps in the EMU architecture, and unfortunate Eurozone crisis management. Even though the crisis was also produced by EMU systemic failures, adjustment has been highly asymmetric, focusing almost exclusively on the national level. The sense of vulnerability is exacerbated by the effects of the refugee and migration crisis. Despite the disenchantment, a solid, though weakening, majority of Greeks continue to support the country’s participation in the EU institutions and the euro. Drawing on the discussions held amongst the members of the group, the report presents a set of conclusions on how to address the key challenges in strengthening Greece-EU relations:

  • To help deficit countries shoulder the burden of adjustment, Europe needs a growth- and investment-friendly policy mix, greater fiscal integration, a financial union, and a drive to integrate digital, energy, and capital markets.
  • A common migration policy should be based on proper burden-sharing, and solidarity, constituting an organising principle.
  • Security is an area where European citizens demand a truly common European policy. The common tools that have been created must be utilised fully, providing incentives for closer cooperation.
  • Europe needs to deliver effective EU policies in foreign affairs and security policy, defence, the protection of the multilateral global order and the environment, and, at the same time, promote greater risk-sharing though the fiscal and the financial channels.

*After a first successful period in 2013-2015, which included more than 80 events in 17 EU countries and the publication of two major reports, which elaborated five strategic options on the future of the EU, the New Pact for Europe project entered a new phase in 2016-2017. The ultimate aim of this new phase of the NPE project is to work out the details of a wider ‘package deal’ to equip the EU with the tools it needs to meet the internal and external challenges it faces. This proposal will contain solutions generated by connecting the discussions on the key policy challenges, and propose changes in the way the EU and its policies are defined to avoid future fundamental crises.

 

National Reflection Groups have been created and met specifically for this purpose in ten EU countries (Belgium, Estonia, Finland, France, Germany, Greece, Italy, Poland, Portugal and Slovakia), followed by transnational exchanges between these groups. This national report is the result of the work and discussions of one of these National Reflection Groups.

 

For more information on the NPE project, please see the project website: www.newpactforeurope.eu

 

Click here to download the publication.

Législatives : les raisons d’une abstention record

Fondapol / Général - Mon, 12/06/2017 - 15:25

Sentiment que le match est plié, « non-vote » contestataire, désaffection pour la politique après un trop grand nombre de scrutins… L’abstention record du premier tour des élections législatives peut s’expliquer de diverses manières. 19,24 % de participation à midi ; 40,75 % à 17 heures ; 48 %71 % au final. Ce dimanche, les chiffres ont évolué au fil des heures, mais […]

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Législatives 2017 : « Défaite historique » pour Les Républicains, « chaos » au PS, « hégémonie » de LREM, les réactions de Dominique Reynié

Fondapol / Général - Mon, 12/06/2017 - 15:08

Le politologue Dominique Reynié répond aux questions du « Cercle Les Echos » après le premier tour des élections législatives. Emmanuel Macron est en passe de réussir son pari. La République en marche (LREM) a obtenu 28,21% des suffrages exprimés au premier tour des élections législatives, marqué par une abstention record. Le mouvement présidentiel devance Les Républicains-UDI (15,77 %), le Front […]

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The impact of the Serbian presidential election

ELIAMEP - Mon, 12/06/2017 - 14:28

In ELIAMEP Briefing Note 53/2017, Maja Maksimović, Research Associate of the South-East Europe Programme, analyses Serbian presidential elections held on 2 April 2017. She argues that the victory of Aleksandar Vučić, leader of the Serbian Progressive Party (Srpska Napredna Stranka – SNS) and former Prime Minister of Serbia, could lead to further consolidation of a one-man regime in Serbia and the country’s additional sliding towards an autocratic rule.

New politics by the new FYROM government?

ELIAMEP - Mon, 12/06/2017 - 14:12

In his Working Paper Ambassador (retired) Alexandros Mallias analyses the perspectives for  improving the relations between Greece and the former Yugoslav Republic of  Macedonia the day after the formation of a new Government in Skopje. Alexandros  Mallias , who was first Head of Mission of Greece to Skopje ,1995-1999, suggests that the two governments should not raise high expectations  .They should work to enhance and expand  the Confidence Building Measures’ Process  and  rather opti for a quiet diplomacy on the name issue He stresses that  fYROM’s  1991 Constitution  is a bad one ,being the root cause of problems  with  its neighbors as well as of the  endemic interethnic conflict. It was already amended  30 (thirty) times within 15 years .He is of the opinion that there are still some extra miles to go.

Mallias, former Ambassador to Albania,  analyses the Political Declaration of the Albanian Leaders in the former Yugoslav Republic of Macedonia, stressing  its importance for   addressing the interethnic tensions between Slavs and Albanians and for solving the name issue with Greece.

Mallias, who also served as Ambassador of Greece to Washington  (2005-2009),stresses that  early -since 2007- Greece’s warnings , grievances  and reactions to former P.M. Gruevski’s irredentism, nationalism and provocations proved now  to be accurate and right. Yet, the former Prime Minister was not alone in this course of action. He was supported by those  in Skopje who today disapprove him ,including some international actors. Greece will wait to see if the words of the new government in Skopje will be matched by deeds. Nationalism is still omnipresent in the former Yugoslav Republic of Macedonia starting from  school  textbooks.

2e tour des élections législatives

Institut Montaigne - Mon, 12/06/2017 - 11:00
Date: Dimanche 18 Juin 2017

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