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Diplomacy & Defense Think Tank News

Culture, Festival d'opéra à Riga

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/06/2017 - 02:00
Jusqu'au 18 juin se tient le Festival d'opéra de Riga. La 20e édition de ce festival organisé par l'opéra national détaille une belle programmation .

Culture, Jazz Fest Wien en Autriche

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/06/2017 - 02:00
Jusqu'au 10 juillet se tient le festival de jazz de Vienne, dont les concerts investissent les lieux les plus prestigieux de la capitale autrichienne comme le Staatsoper mais aussi des scènes en plein air ou l'Hôtel de Ville.

Culture, Bergenfest

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/06/2017 - 02:00
Du 14 au 17 juin, la ville de Bergen accueille son festival de musique (pop, rock, blues, world, électro, hip-hop, folk...). Des concerts sont organisés en plein air, dans la forteresse médiévale, dans le château, et dans les clubs et théâtres.

Culture, Rencontres internationales Paris Berlin

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/06/2017 - 02:00
Du 13 au 18 juin se tiennent à la maison des cultures du monde de Berlin (Haus der Kulturen der Welt) les rencontres internationales Paris Berlin sur le cinéma et l'art contemporain.

Culture, Fête de la musique au Luxembourg

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/06/2017 - 02:00
Du 16 au 21 juin, des musiques résonneront partout au Luxembourg, à l'occasion de la fête de la musique.

Präsident mit Strahlkraft: Jedem Anfang wohnt ein Zauber inne

Konrad Adenauer Stiftung - Sat, 10/06/2017 - 00:00
Die deutsch-französische Partnerschaft erfährt nur einen Monat nach der Wahl eine Dynamik, die nicht nur in Macrons Ministerpostenbesetzung zum Ausdruck kommt.

Le Royaume-Uni dans le flou

IRIS - Fri, 09/06/2017 - 18:53

Jeudi 8 mai se sont déroulées les élections législatives au Royaume-Uni. Theresa May y a laissé sa crédibilité et sa majorité politique. L’analyse d’Olivier de France, directeur de recherche à l’IRIS.

Comment expliquer la défaite des Tories et le pari manqué de Theresa May d’organiser des élections anticipées ?

L’objectif premier de ces élections anticipées était de donner davantage de légitimité populaire et un mandat politique plus solide à Theresa May, afin qu’elle puisse entrer en négociation avec l’Union européenne (UE) en position de force. Rappelons d’une part qu’elle avait été nommée Première ministre par défaut, sans avoir été élue. D’autre part, qu’elle s’était opposée au Brexit – certes du bout des lèvres – dans le gouvernement de David Cameron. Non seulement l’objectif de ces élections n’a pas été atteint mais il s’est retourné contre elle. C’est donc un pari manqué pour May.

C’est la deuxième fois successive qu’un Premier ministre britannique convoque des élections sans y être contraint, et contre qui le vote populaire se retourne. Pourquoi depuis 2015 les dirigeants britanniques se tirent-ils des balles dans le pied sans y être contraints ? Est-ce dû à un manque de sens politique ? L’hypothèse avancée récemment par The Economist est un manque de qualité du personnel politique britannique. Theresa May a été nommée par défaut, justement parce qu’elle n’avait exprimé aucune opinion forte sur le sujet principal alors à l’ordre du jour, à savoir le Brexit. Jeremy Corbyn n’a certes pas beaucoup de charisme mais il a le mérite d’afficher des principes auxquels il se tient. La Première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, est davantage charismatique et s’est proposée d’aider Corbyn à former une alliance progressiste, qui pourrait peut-être construire les prémices d’un Brexit moins dur. Quant au nouveau maire de Londres, il incarne un véritable renouveau et parait posséder un certain sens politique.

Avoir un sens politique signifie deux choses pour un dirigeant. Tout d’abord, être capable de comprendre son pays : notamment le fait qu’aujourd’hui, le Royaume-Uni est un pays parcouru de fractures, y compris aujourd’hui parfois au sein d’une même famille ou d’une même communauté. Deuxièmement, il faut un dirigeant qui ait conscience des enjeux internationaux qui pèsent sur son pays. Or, Theresa May n’a jamais compris Bruxelles et le fonctionnement de l’UE. Elle a mis six mois pour réaliser qu’elle serait contrainte de sortir du Marché unique et elle n’a toujours pas formulé de plan pour le Brexit.

Aujourd’hui, sans leader fort et dans un pays divisé, les dirigeants britanniques n’arrivent pas à sortir le Royaume-Uni de cette situation chaotique. Enfin, rappelons que le chaos politique actuel a été provoqué par les conservateurs puisque c’est David Cameron qui a convoqué le référendum du Brexit. Ce sont donc les conservateurs eux-mêmes qui l’y ont plongé au départ. Sans cette erreur non forcée, le pays n’en serait pas là.

Doit-on interpréter ce résultat comme un rejet des Britanniques de la voie du hard Brexit au profit de celle du soft ?

Pour l’instant, la première certitude est que ces élections vont retarder les choses du point de vue de Londres. Côté européen, Jean-Claude Juncker a déjà dit que l’UE était prête et que l’article 50 avait été activé. Le délai de deux ans est donc déjà en train de s’écouler. Or, avec ces élections, la formulation d’une position britannique est encore retardée. Va-t-elle s’effectuer dans le délai de deux ans ? Rien n’est moins sûr et le calendrier se resserre davantage. Ce scrutin a donc empiré la situation car la position de négociation du Royaume-Uni est maintenant encore plus faible.

La deuxième certitude, c’est que ces élections compliquent encore davantage la situation. Alors que Theresa May voulait raffermir sa position sur le Brexit par ces élections, elles l’ont affaiblie au final.

Comment se profile l’avenir politique du pays ?

Trois hypothèses sont envisageables. La première serait celle d’un gouvernement May construit avec le soutien des unionistes d’Irlande du Nord (DUP), qui sont pro-Brexit et très conservateurs. Dans ce cas, on passerait d’un gouvernement majoritaire à un gouvernement de coalition, ce qui serait un pis-aller par rapport à la situation précédente.

La deuxième option consisterait en un gouvernement travailliste soutenu par le Parti national écossais (SNP). On est loin de savoir si ce cas de figure est possible et quelles en seraient les conséquences. Même dans l’hypothèse où les travaillistes avaient obtenu la majorité absolue, il n’est pas sûr qu’ils aient pu remettre en cause le principe même du Brexit. Ils ont déclaré souhaiter respecter la souveraineté populaire. Au mieux, ils auraient pu adoucir le Brexit, notamment sur les questions d’union douanière, de Cour européenne de justice, etc.

Ces deux options auraient non seulement des conséquences sur le plan européen mais également sur le plan interne au regard de la question écossaise et de la question irlandaise. En effet, si le DUP s’allie avec les Tories, cela aurait des implications sur les questions de réunification entre la République d’Irlande et l’Irlande du Nord. Si le Labour Party s’allie avec et le SNP, cela aurait un impact sur les négociations pour un second référendum écossais. Les enjeux européens et internationaux sont donc inextricablement liés avec des conséquences à la fois à Bruxelles, à Edimbourg et à Belfast.

La troisième hypothèse serait celle d’un gouvernement conservateur minoritaire faible, qui ne parviendrait pas à gouverner et qui serait donc dans l’obligation de provoquer de nouvelles élections dès cet été.

Au final, alors que ces élections étaient censées clarifier les choses, elles les ont rendues encore plus floues, tant sur les négociations du Brexit, que sur le plan intérieur pour les questions écossaise et irlandaise. Ainsi, l’argument de campagne principal voire exclusif construit par Theresa May, qui se présentait comme la seule à proposer un leadership stable et ferme, est remis en question par ce scrutin de manière possiblement irrévocable.

L’Iran, pièce maîtresse de nombreux enjeux régionaux et internationaux

IRIS - Fri, 09/06/2017 - 16:29

La République islamique d’Iran est régulièrement sous les feux de l’actualité diplomatique, de par son importance stratégique tant sur le plan régional qu’international. Le point de vue de Didier Billion, directeur adjoint de l’IRIS.

Trump, mise au ban du Qatar… Pourquoi la République islamique iranienne cristallise-t-elle beaucoup de tensions diplomatiques dans la région ?

Depuis plusieurs jours, beaucoup évoquent une crise diplomatique. Il s’agit, en réalité, bien plus d’une crise politique profonde, susceptible d’entraîner des conséquences économiques.

Contrairement à ce que l’on entend régulièrement, la véritable obsession que conçoit l’Arabie saoudite à l’égard de l’Iran ne s’explique pas essentiellement par des raisons confessionnelles, de rivalité sunnite-chiite, mais bien par des raisons politiques et géopolitiques. Si le paramètre religieux est bien sûr à prendre en compte, il s’agit d’un paramètre parmi d’autres. Riyad éprouve une véritable inquiétude, une peur même, à voir Téhéran s’imposer comme la force déterminante des équilibres régionaux dans les années à venir. Il s’agit donc d’une classique question de rapport de puissance.

L’inquiétude des Saoudiens est, en ce sens, compréhensible. L’Iran jouit d’une histoire multiséculaire et c’est probablement l’un des seuls pays de la région à posséder une tradition d’État, contrairement aux monarchies pétrolières arabes du Golfe. L’Iran compte par ailleurs 80 millions d’habitants, une main d’œuvre qualifiée, d’importantes richesses en hydrocarbures (gaz et pétrole), autant d’éléments objectifs de concurrence avec Riyad. Par ailleurs, si l’Iran est bien une république, islamique, une consultation électorale a eu lieu en moyenne tous les ans depuis la Révolution de 1979. S’il ne s’agit certes pas d’une démocratie à l’occidentale, le régime bénéficie d’une légitimité populaire, doublée d’une légitimité théocratique.

L’Iran va probablement s’imposer dans la région dans les 10-15 ans à venir, ce qui n’est évidemment pas du goût des Saoudiens. Raison pour laquelle ces derniers – avec les Israéliens et les néo-conservateurs américains, à l’époque opposés à Barack Obama – n’ont cessé de tenter d’empêcher, sans succès, la signature de l’accord sur le nucléaire en juillet 2015.
Depuis son arrivée au pouvoir, Donald Trump tente de détricoter méthodiquement ce qu’avait réalisé son prédécesseur. Dans cette veine, le président américain a prononcé un tissu de stupidités lors de sa visite officielle en Arabie saoudite, où il a notamment déclaré que l’Iran était le foyer du terrorisme. Depuis, des attentats, revendiqués par l’Etat islamique, ont frappé le Parlement iranien et le mausolée de l’imam Khomeini…

Trump a soutenu de façon inconsidérée la politique de Riyad, alors que nous savons parfaitement que des hommes d’affaires saoudiens – il ne s’agit pas d’accuser le gouvernement sans preuve – ont soutenu, notamment en Syrie, les groupes les plus extrémistes de la rébellion, des djihadistes. Le président américain ne devrait par ailleurs pas non plus oublier que lors des attentats du 11 septembre à New York, sur les 19 kamikazes qui sont allés s’écraser sur les Twin Towers 15 étaient d’origine saoudienne. Aussi, sans verser dans une comptabilité macabre, si des individus ou des groupes d’intérêt ont déjà directement soutenu des groupes terroristes, ils ne sont probablement pas iraniens mais plutôt issus de certaines monarchies arabes du Golfe.

Quelles peuvent être les conséquences de l’isolement de l’Iran entrepris par les États-Unis et par certains pays voisins ? Comment le régime peut-il réagir ?

Contrairement à ce que l’on entend fréquemment ces dernières semaines, l’Iran ne semble pas être un pays isolé, ce pour deux raisons. Premièrement, les tentatives de l’administration Trump, des Saoudiens et des Israéliens n’ont pas encore abouti. L’accord sur le nucléaire iranien en date du 14 juillet 2015 est encore en vigueur ; bien que Trump essaie de le vider de sa substance, cela s’annonce compliqué. Deuxièmement, dire que l’Iran est isolé traduit une vision américano-centrée ou occidentalo-centrée. Téhéran continue d’entretenir des relations importantes avec de grands pays tels que la Russie, la Chine, des pays d’Asie et d’Amérique du Sud. Quant à l’Union européenne, elle a eu un rôle positif – bien que tardif – dans la signature de l’accord du 14 juillet 2015 et elle devrait tenter d’approfondir la mise en œuvre de la réinsertion de l’Iran dans le jeu international. L’Iran est donc tout sauf isolé, même si de fortes pressions s’exercent à son encontre.

Non seulement l’Iran est un pays d’une importance géopolitique déterminante, c’est aussi une puissance potentiellement stabilisatrice. Aujourd’hui, les dirigeants iraniens ont tout intérêt à poursuivre leur réintégration dans le jeu régional et international.

Depuis près de deux ans, il y a eu beaucoup d’illusions côté iranien concernant les suites de l’accord sur le nucléaire, la population espérant que les investissements directs étrangers augmenteraient massivement en Iran. Mais la réalité est plus complexe, car nombre d’entreprises ou de banques françaises et européennes hésitent par exemple encore à investir en Iran par crainte de sanctions américaines. Les Européens devraient aujourd’hui faire preuve de plus de courage car il n’y a aucun intérêt à maintenir une politique d’ostracisme à l’égard de Téhéran, bien au contraire.

La réaction des Iraniens s’est déjà exprimée, le 19 mai dernier, lors des élections présidentielles puisque le président sortant, Hassan Rohani, a été réélu dès le premier tour. Or, sa ligne politique est celle d’une ouverture au reste du monde et d’une volonté de réinsérer le pays au sein de ladite communauté internationale, d’un point de vue économique, politique et diplomatique. Le peuple iranien a ainsi démocratiquement infligé une défaite à ceux qui restent en faveur d’une stratégie de la citadelle assiégée.

Quel rôle peut jouer l’Iran dans la lutte contre le terrorisme ?

L’Iran joue d’ores et déjà un rôle positif dans la lutte contre le terrorisme. En Syrie, Téhéran soutient certes Bachar al-Assad, ce qui marque une réelle divergence politique avec les Européens. Mais la question à poser consiste plutôt à se demander qui aujourd’hui en Syrie, voire en Irak, est notre ennemi principal ? Ce sont bien les groupes djihadistes, en particulier Daech, position qui a été défendue par François Hollande et désormais par Emmanuel Macron. Dès lors, nous sommes dans le même camp que l’Iran pour lutter contre cet ennemi commun ; cela n’exclut pas des divergences politiques concernant le régime d’Assad. En politique, il s’agit de faire preuve de réalisme et de hiérarchiser les défis et les objectifs. Les attentats ayant touché Téhéran indiquent également clairement que l’Iran est un ennemi de Daech, tout comme la France, le Royaume-Uni, etc.

Il est par ailleurs dans notre intérêt de raisonner politiquement avec l’Iran. Sur le dossier anti-terroriste, établir le maximum de contacts permettrait aux services de renseignements d’échanger des informations plus complètes, ce qui rendra la lutte contre le terrorisme plus efficace.

Notre intérêt n’est donc véritablement pas d’isoler l’Iran mais de tout faire pour le réintégrer pleinement sur tous les dossiers au sein de l’échiquier international et, par conséquent, de s’opposer à ceux qui s’opposent à cette vision. Dans le même mouvement il convient aussi, sans ultimatum ni condescendance, d’aider à l’élargissement des droits démocratiques individuels et collectifs dans ce pays.

L’extrême droite en plein doute dans le Gard

Fondapol / Général - Fri, 09/06/2017 - 13:56

FRANCE : L’ancienne torera Marie Sara (En Marche !) pourrait terrasser Gilbert Collard. Sur ces terres sourcilleuses de l’identité et des traditions, Marine Le Pen est arrivée en tête à la présidentielle. Mais le FN pourrait refluer, emporté par la vague Macron et une certaine désillusion. Sur la place Saint-Louis, la plus touristique d’Aigues-Mortes, on fait […]

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De la désillusion électorale à la bataille de l’opposition

Fondapol / Général - Fri, 09/06/2017 - 13:55

Sur le moral des militants du Front national, la deuxième lame du rasoir électoral fera peut-être plus mal encore que la première. Le revers de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle avait douché les espoirs de ceux qui croyaient infinie la progression du FN. Le verdict du second tour des législatives risque […]

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Séminaire bilatéral IHEDN – BAKS (7 juin 2017)

IHEDN - Fri, 09/06/2017 - 11:45

Le 2e séminaire bilatéral de dialogue stratégique, entre l’IHEDN et la Bundesakademie fur Sicherheitspolitik (BAKS) allemande, s’est déroulé le mercredi 7 juin 2017, ...

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Podiumsdiskussion zur Menschenrechtslage in Manila: Kriegsrecht im Süden der Philippinen

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 09/06/2017 - 10:56
Nachdem die IS-nahe Maute group Teile der Stadt Marawi unter ihre Kontrolle gebracht und besetzt hatte, rief Präsident Duterte am 23. Mai 2017 das Kriegsrecht (martial law) für Mindanao im Süden der Philippinen aus. Mindanao, mit seinen insgesamt ca. 20 Millionen Bewohnern, ist die zweitgrößte Insel der Philippinen. Sie gilt als Heimatregion von Präsident Duterte und wird von Christen (geschätzt 60 – 80 Prozent) und Muslimen (geschätzt 20 – 40 Prozent) bewohnt.

Korruption in Brasilien – ein Fass ohne Boden

SWP - Fri, 09/06/2017 - 00:00

In Brasilien gerät Präsident Michel Temer aufgrund von Korruptionsvorwürfen zu­nehmend unter Druck. Bereits im Mai wurden strafrechtliche Ermittlungen gegen ihn aufgenommen. Nun rückt auch eine Entscheidung des Obersten Wahlgerichts über den Vorwurf illegaler Wahlkampffinanzierung näher. Der Wahlsieg, den Temer 2014 zusam­men mit Dilma Rousseff errang, könnte annulliert werden. Zugleich sind die regionalen Verzweigungen des Bestechungssystems in den letzten Monaten immer deutlicher geworden. Dafür sorgten Aussagen, die verurteilte Manager des Odebrecht-Konzerns gegen Strafminderung machten. Die brasilianische Justiz hat diese Informa­tionen jetzt ausländischen Staatsanwaltschaften zugänglich gemacht, so dass auch in anderen lateinamerikanischen Ländern mit neuen Prozessen gegen mutmaßlich korrupte Poli­tikerinnen und Politiker zu rechnen ist. Angesichts der Affäre sollte Deutschland in der Zusammenarbeit mit Brasilien und Lateinamerika noch stärker die Umsetzung von Antikorruptionsmaßnahmen fördern. Darüber hinaus gilt es dafür zu sorgen, dass deutsche Unternehmen sich nicht an illegalen Praktiken in der Region beteiligen.

Irans Unsicherheit wächst

SWP - Fri, 09/06/2017 - 00:00

 

 

Unterhauswahl mit Überraschungen: Großbritannien: was nun?

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 09/06/2017 - 00:00
Das Wahlergebnis widerspricht allen Erwartungen und zeigt ein gespaltenes Land. Eindeutiger Wahlverlierer sind die Conservatives und Theresa May.

Einheit in Vielfalt: Plädoyer für eine integrative Identität für ganz Europa

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 09/06/2017 - 00:00
In Lemberg warb Dr. Hans-Gert Pöttering für eine europäisch-integrative Identität, die sich mit den Identitäten der Nationen und Regionen Europas verbindet.

Was ist konservativ heute?: Wandel verträglich gestalten

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 09/06/2017 - 00:00
Wie sich Konservative von Traditionalisten und Reaktionären unterscheiden lassen, erläuterte Professor Andreas Rödder am Donnerstagabend in Krefeld.

Ausweitung der Proteste in Marokko: „Wachsender Unmut“

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 09/06/2017 - 00:00
Die Regierung hat zwar Reformen verkündet, aber „die Entwicklung geht den meisten Bevölkerungsgruppen nicht schnell genug“, berichtet Helmut Reifeld aus Rabat.

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