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Diplomacy & Defense Think Tank News

Travailleurs détachés : la bataille du président

Institut Montaigne - Fri, 27/10/2017 - 19:03
Travailleurs détachés : la bataille du président Institut Montaigne ven 27/10/2017 - 19:03

Dans la nuit du lundi 23 octobre, les ministres du travail des différents États membres de l’Union européenne se sont mis d’accord sur une réforme de la directive sur les travailleurs détachés.

La Chine, nouvel artisan de l’ordre mondial ?

IRIS - Fri, 27/10/2017 - 16:49

Sans surprise, le président de la République populaire de Chine a été reconduit comme Secrétaire général du Parti communiste chinois ce 25 octobre à l’issue d’un 19ème congrès qui n’a pas manqué de susciter l’émoi de la presse internationale. La Chine de Xi Jinping y a affiché la ferme ambition de prendre la tête du leadership économique et technologique. Le peut-elle également sur les questions stratégiques ? Pour nous éclairer, le point de vue de Barthélémy Courmont, directeur de recherche à l’IRIS.

Au lendemain du 19e Congrès du Parti communiste chinois (PPC), Xi Jinping, le président de la République populaire de Chine, est conforté sur le plan politique et idéologique. Le terme « maoïsme » usité largement par la presse internationale au lendemain de sa réélection est-il pertinent pour qualifier ce nouvel horizon politique ?

Tout dépend de ce que l’on entend par maoïsme. S’il s’agit du contenu de la politique de Mao Zedong, alors Xi Jinping avec son socialisme à la chinoise et sa glorification de l’économie de marché en est très éloigné. Il est, sur ce point, plutôt l’héritier de Deng Xiaoping. Si on comprend par maoïsme la tactique politique, qui serait, pour paraphraser Clausewitz, la poursuite de la guerre par d’autres moyens, alors on retrouve sans doute chez Xi des éléments inspirés par Mao, que la campagne anti-corruption de son premier mandat symbolise. Mais de manière générale les comparaisons sont déplacées, et assez simplistes, sans doute par manque de recul et de connaissance sur ce pays. C’est un peu comparable à la tentation pour les observateurs étrangers de vouloir trouver, chez tous les dirigeants français, un peu de Napoléon ou de de Gaulle. Pourquoi faire systématiquement référence à Mao pour chercher à comprendre les dirigeants de la Chine, sinon pour mieux montrer notre incapacité à prendre la mesure des développements exceptionnels de ce pays depuis la mort du Grand timonier, il y a plus de quarante ans ?

Xi Jinping a son propre style, et surtout un contexte que ses prédécesseurs n’ont pas connu, celui d’une Chine en position de force sur la scène internationale, et qui est en voie de devenir la première puissance économique mondiale. Certes, dans la méthode, l’habileté du président Chinois a consisté à réconcilier Mao et Deng, les deux figures de référence de la Chine contemporaine, comme pour mieux s’inscrire dans la continuité de ces dirigeants emblématiques. Mais le qualifier de maoïste est réducteur.

La Chine tend à se débarrasser définitivement de son statut « d’atelier du monde » qui l’a caractérisé au 20ème siècle pour se hisser à la pointe du progrès économique et technologique. Quelle est la Chine du 21ème siècle dessinée par Xi Jinping ?

Il s’agit là d’un vaste projet de reconversion de l’économie chinoise déjà amorcé par Hu Jintao, le prédécesseur de Xi, et son Premier ministre Wen Jiabao. Rappelons d’ailleurs au passage que le Premier ministre actuel, Li Keqiang, est proche de Hu. Les dirigeants de la Chine contemporaine ont compris que l’atelier du monde, s’il a permis à ce pays de sortir de la misère, doit désormais laisser place à une montée en gamme de l’économie. Il s’agit d’ailleurs là d’une réalité en partie consommée, et qui n’a pas attendu le 19e congrès du PCC pour se manifester.

Ces efforts se traduisent par une réduction de la pauvreté, l’émergence de classes moyennes dans des proportions qui donnent le vertige, et une augmentation de la consommation intérieure. Cela se fait au prix d’une croissance moins soutenue et d’une transformation progressive de l’économie chinoise, qui était indispensable. Mais ce sont des tendances amorcées il y a déjà près d’une décennie et que Xi ne fait que conforter, tout en capitalisant sur leurs résultats pour voir plus loin. Car, et c’est l’un des points les plus intéressants de ce congrès, la Chine se projette désormais sur plusieurs décennies, avec notamment les objectifs affichés pour 2049, année qui marquera le centenaire de la République populaire.

Avec le repli des Etats-Unis de Trump, la Chine est-elle la puissance stratégique de demain ? Comment entend-elle se positionner sur la scène internationale ?

Le déclin, relatif mais réel, des Etats-Unis sur la scène internationale, qu’on ne saurait au passage uniquement imputer à Trump et dont il ne serait qu’un accélérateur, laisse un vide. Et comme il coïncide avec la montée en puissance et la mise en avant d’un discours plus volontaire de Pékin, les raccourcis sont rapidement dessinés quant à une transition de puissance qui ferait de la Chine le nouvel artisan de l’ordre mondial. C’est aller vite en besogne.

D’une part, les Etats-Unis resteront encore plusieurs décennies, voire davantage, la première puissance militaire mondiale et ne vont pas s’effacer comme par enchantement (un rêve pour certains, cauchemar pour d’autres). La Chine est en passe de devenir un géant économique, mais elle n’est pas encore en mesure de rivaliser, sur les questions stratégiques, avec Washington. C’est sur cette base que le sinologue américain Michael Pillsbury qualifiait il y a quelques années la Chine de « puissance partielle », dominante dans certains secteurs, mais en retard dans d’autres domaines.

D’autre part, et dans le prolongement de cette idée, doit-on partir du principe que la Chine cherche à s’affirmer comme la puissance stratégique de demain, avec toutes les contraintes que cela impose et dont Washington a fait les frais ? Ne va-t-elle pas, au contraire, se complaire dans ce rôle de puissance partielle, jouant un rôle accru dans les affaires internationales, mais refusant d’être en première ligne ? Des réponses apportées par les dirigeants chinois à cette question dépendra toute l’articulation des relations internationales et de l’ordre mondial (unipolaire, multipolaire ou apolaire) des prochaines décennies.

Rechtspopulismus : Im unheiligen Mäntelchen des Religiösen

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 27/10/2017 - 15:54
Mit der Bundestagswahl vom 24. September 2017 ist erstmals in der Geschichte der Republik eine rechtspopulistische Partei in den Bundestag eingezogen. In Gestalt der AfD wurde eine Partei drittstärkste Kraft im Parlament, die nicht nur in Teilen verfassungsfeindliche, völkische und rassistische Tendenzen an den Tag legt. Sie versucht auch immer wieder, sich nach außen hin einen dezidiert christlichen Anstrich zu verpassen und ihre Anhänger geben sich gerne als die letzten Retter des „christlichen Abendlands“ aus. Aber Rettung wovor?

#MeToo et activisme en ligne : nos cinq lectures clés

Institut Montaigne - Fri, 27/10/2017 - 15:26
#MeToo et activisme en ligne : nos cinq lectures clés Institut Montaigne ven 27/10/2017 - 15:26

Si vous n’avez pas encore entendu parler de #MeToo, c’est que vous n’étiez pas sur les réseaux sociaux la semaine dernière. Le phénomène, qui n’a cessé de s’amplifier, témoigne du potentiel que constitue Internet pour renforcer le débat citoyen.

Keine Stabilität ohne soziale Sicherheit

Bonn, 27.10.2017. Die derzeit laufenden Koalitionsverhandlungen sollten soziale Sicherungssysteme zu einem zentralen Thema deutscher Entwicklungszusammenarbeit (EZ) machen. Selbst wenn sich das globale Wirtschaftswachstum stark beschleunigt, wird es vor allem in Afrika noch sehr lange brauchen, um die dortige Armut zu beseitigen. Darum müssen soziale Grundsicherungssysteme aufgebaut werden, um Gesellschaften und Staaten zu stabilisieren. Denn wenn noch mehr Staaten zerfallen, kann es zu neuen Kriegen und einem weiteren Anstieg der Migration nach Europa kommen. Projektionen der Weltbank zeigen, dass das erste Nachhaltigkeitsziel (Beseitigung der extremen Armut) global nicht bis 2030 erreicht wird, wenn nicht das Wirtschaftswachstum zunimmt und auch erheblich mehr Einkommen zu den Ärmsten umverteilt wird. Dies gilt umso mehr für Subsahara Afrika, wo der Anteil der extrem Armen noch immer sehr groß und das Wirtschaftswachstum volatil ist. Umverteilung kann über staatliche Bildungs- und Gesundheitssysteme stattfinden, v.a. aber über soziale Grundsicherungssysteme, die Bargeldtransfers an arme Haushalte leisten. Diese können, je nach Bedarf, unterschiedliche Zielgruppen begünstigen. Und sie können an eine Bedingung geknüpft sein – zum Beispiel, dass Kinder in die Schule gehen (cash for education) oder Erwachsene Arbeitsleistungen beim Aufbau lokaler Infrastruktur erbringen (cash for work). Lange argumentierten viele Politiker, dass Entwicklungsländer erst ökonomisch wachsen müssten, bevor sie sich Sozialpolitik leisten können. Internationale Vergleiche zeigen jedoch, dass auch arme Länder soziale Grundsicherungssysteme finanzieren können. Im Durchschnitt geben sie hierfür keineswegs einen deutlich kleineren Anteil des Bruttoinlandsprodukts (BIPs) aus als reiche Länder. Und es lässt sich auch mit vergleichsweise kleinen Beträgen viel erreichen. Lesotho zum Beispiel wendet 6% des Bruttoinlandsprodukts (BIPs) für Sozialtransfers auf, obwohl sein Prokopfeinkommen nur rund 1200 US-Dollar pro Jahr beträgt. Es baute u.a. – sogar gegen den Rat der internationalen Geber – ein Sozialrentensystem auf, das heute als äußerst erfolgreich gilt, obwohl es nur 1,8 % des BIP kostet. Malawi und Peru besitzen Sozialhilfesysteme, die nur 0,1-0,2% des BIP kosten. Äthiopiens cash for work-Programm unterstützt sieben Millionen Haushalte, kostet aber ebenfalls nur 0,65% des BIP. Entscheidend ist, dass soziale Sicherung nicht nur eine soziale, sondern auch eine bedeutsame ökonomische und politische Funktion hat. In der globalen Wirtschafts- und Finanzkrise 2008-2009 zeigte sich, dass Länder mit leistungsfähigen sozialen Grundsicherungssystemen externe ökonomische Schocks besser verkraften, weil diese verhindern, dass auch die Binnennachfrage stark nachgibt. Zudem ermutigt der Zugang zu solchen Systemen insbesondere einkommensschwache Haushalte dazu, zu investieren und sich dadurch selbst aus Armut zu befreien. Menschen ohne soziale Sicherheit scheuen Risiken. Können sie überhaupt je Ersparnisse bilden, so horten sie diese, anstatt zu investieren. Denn sie brauchen die Ersparnisse am dringendsten, um Schocks wie Krankheit oder Arbeitslosigkeit zu bewältigen. Erst wenn sie ein Mindestmaß an sozialer Absicherung gegen die wichtigsten derartigen Risiken haben, sind sie bereit, in Produktionsmittel oder eine Ausbildung zu investieren. Hiermit gehen sie nämlich neue Risiken ein: Im günstigen Fall steigern sie ihr Einkommen deutlich, jedoch kann sich die Ausgabe im Extremfall auch als Fehlinvestition erweisen. Soziale Sicherung wird somit nicht erst durch Wirtschaftswachstum ermöglicht, sondern sie ermöglicht Wirtschaftswachstum – und zwar vor allem solches, das breitenwirksam (pro-poor) ist, weil es von den Armen selbst ausgeht. Schließlich ist soziale Grundsicherung auch deswegen eine gute Investition, weil sie Staat und Gesellschaft stabilisiert – und damit auch für Investoren die notwendigen Rahmenbedingungen schafft. Soziale Sicherheit fördert die soziale Inklusion benachteiligter Menschen, indem sie diese soziale Teilhabe ermöglicht. Dadurch steigert sie die Zufriedenheit der Bürger und die Akzeptanz der bestehenden gesellschaftlichen und politischen Ordnung und verringert die Gefahr von Aufstand und Krieg. In den middle-income countries sollte deutsche Entwicklungszusammenarbeit den Ausbau sozialer Grundsicherungssysteme vor allem durch Beratung und begrenzte finanzielle Anreize fördern. Die laufenden Kosten können die meisten dieser Länder durch Umschichtungen im Staatshaushalt finanzieren. Die low-income countries hingegen sind darauf angewiesen, dass die internationale Gebergemeinschaft zumindest für eine bestimmte Zeit auch die laufenden Transferzahlungen finanziert. Zumindest können diese anbieten, eine Aufstockung der Transfers zu übernehmen, wenn Wirtschaftsschocks oder Naturkatastrophen drohen oder auftreten. Nicht nur die Entwicklungsländer, sondern auch Europa sollten größtes Interesse daran haben, soziale Sicherungssysteme zu schaffen und auszubauen. Eine nachhaltige Stabilisierung etwa der Staaten in Afrika hilft auch Europa, weil sie das Risiko neuer Bürgerkriege, des Zerfalls von Staaten und damit einer weiteren Zunahme des Migrationsdrucks auf Europa senkt.

Markus Ferber in Washington: Langer Weg zur Regierungsbildung

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 27/10/2017 - 11:35
Zum Washingtoner Programm von Markus Ferber gehörte auch ein Vortrag bei der Hanns-Seidel-Stiftung über die Konsequenzen der Bundestagswahl. Über 30 hochrangige amerikanische Gäste folgten der Einladung des stellvertretenden Stiftungsvorsitzenden, darunter u.a. der stellvertretende US-Handelsminister Dan Mullaney

¿Por qué aumenta el mercado de la cocaína mientras mejora la eficiencia policial en América Latina y Europa?

Real Instituto Elcano - Fri, 27/10/2017 - 04:45
Comentario Elcano 46/2017 - 27/10/2017
Sonia Alda Mejías

La criminalidad organizada presenta una gran complejidad y debe ser contemplada bajo una perspectiva no sólo integral sino también, sin duda, global.

Collectivités locales : l'exécutif en quête d’un nouveau rapport de force ? Trois questions à Jean-Bernard Auby

Institut Montaigne - Thu, 26/10/2017 - 09:48
Collectivités locales : l'exécutif en quête d’un nouveau rapport de force ? Trois questions à Jean-Bernard Auby Institut Montaigne jeu 26/10/2017 - 09:48

La politique d’Emmanuel Macron à l’égard des collectivités locales est difficile à appréhender.

More development - more migration? The "migration hump" and its significance for development policy co-operation with sub-Saharan Africa

Many view development co-operation as a key to reducing irregular migration from sub-Saharan Africa. However, critics note that increased socio-economic development is likely to lead to more, rather than less, migration. Historical and cross-country comparison studies have shown that emigration initially increases when economic growth and rising income levels enable countries to emerge from the status of a low-income country. Only when the status of upper middle-income country has been achieved can a decrease in international migration be anticipated. Known as a “migration hump”, this correlation between development and migration also applies for sub-Saharan Africa. However, it cannot be explained solely by rising incomes and increased education. It is also driven by other factors, including demographic transition, changes in economic structures, emulation effects in migration processes, rising inequality, credit restrictions and the lowering of migration barriers.
The implication that positive socio-economic development in the countries of sub-Saharan Africa would inexorably lead to an increase in irregular migration to Europe is therefore an oversimplification. Irregular migration in particular is not driven by economic motives alone. Instead this is an example of so-called “mixed migration”, in which the drivers of voluntary and forced migration blend together. Factors such as corruption, weak rule of law, human rights infringements and fragile statehood are key drivers here.
Development co-operation cannot hinder migration, due also to the fact that Africa’s development is not solely dependent on it. Instead, development policy co-operation with sub-Saharan Africa should focus on promoting orderly, safe and legal migration, which in turn offers positive development potential while working to prevent forced and irregular migration. Specific development policy measures should therefore include:
  • Migration processes influenced by development policy: The opportunities for regular migration to Germany and Europe need to be expanded and ac¬companied (for example via qualification measures).
  • Support for intraregional migration: The efforts of the African regional organisations to control intraregional migration – which constitutes a large portion of migration movements – should be supported.
  • Prevention of brain drain: The emigration of skilled personnel required in the countries of origin should be managed via targeted investment in training partnerships in specific sectors.
  • Promotion of good governance, democracy and rule of law: Development policy measures in this area can make a key contribution to reducing human rights violations, and therefore decrease drivers of flight and forced displacement.


More development - more migration? The "migration hump" and its significance for development policy co-operation with sub-Saharan Africa

Many view development co-operation as a key to reducing irregular migration from sub-Saharan Africa. However, critics note that increased socio-economic development is likely to lead to more, rather than less, migration. Historical and cross-country comparison studies have shown that emigration initially increases when economic growth and rising income levels enable countries to emerge from the status of a low-income country. Only when the status of upper middle-income country has been achieved can a decrease in international migration be anticipated. Known as a “migration hump”, this correlation between development and migration also applies for sub-Saharan Africa. However, it cannot be explained solely by rising incomes and increased education. It is also driven by other factors, including demographic transition, changes in economic structures, emulation effects in migration processes, rising inequality, credit restrictions and the lowering of migration barriers.
The implication that positive socio-economic development in the countries of sub-Saharan Africa would inexorably lead to an increase in irregular migration to Europe is therefore an oversimplification. Irregular migration in particular is not driven by economic motives alone. Instead this is an example of so-called “mixed migration”, in which the drivers of voluntary and forced migration blend together. Factors such as corruption, weak rule of law, human rights infringements and fragile statehood are key drivers here.
Development co-operation cannot hinder migration, due also to the fact that Africa’s development is not solely dependent on it. Instead, development policy co-operation with sub-Saharan Africa should focus on promoting orderly, safe and legal migration, which in turn offers positive development potential while working to prevent forced and irregular migration. Specific development policy measures should therefore include:
  • Migration processes influenced by development policy: The opportunities for regular migration to Germany and Europe need to be expanded and ac¬companied (for example via qualification measures).
  • Support for intraregional migration: The efforts of the African regional organisations to control intraregional migration – which constitutes a large portion of migration movements – should be supported.
  • Prevention of brain drain: The emigration of skilled personnel required in the countries of origin should be managed via targeted investment in training partnerships in specific sectors.
  • Promotion of good governance, democracy and rule of law: Development policy measures in this area can make a key contribution to reducing human rights violations, and therefore decrease drivers of flight and forced displacement.


Los retos pendientes del II Plan Nacional de Acción sobre Mujeres, Paz y Seguridad

Real Instituto Elcano - Thu, 26/10/2017 - 06:17
ARI 82/2017 - 26/10/2017
María Solanas

Una valoración inicial del II Plan Nacional de Acción sobre Mujeres, Paz y Seguridad (2017-2023), aprobado el pasado 28 de julio en el Consejo de Ministros, plantea serios interrogantes sobre su impacto en el logro de los objetivos de la Resolución 1325.

La amenaza química del Daesh tras la pérdida del califato

Real Instituto Elcano - Thu, 26/10/2017 - 03:00
ARI 81/2017 - 26/10/2017
René Pita y Juan Domingo

El intento de fabricar un artefacto para la dispersión de una sustancia química tóxica en Australia contó con el asesoramiento directo del Daesh desde Siria. Esto muestra el interés del terrorismo yihadista por adaptar en Occidente distintas tácticas desarrolladas en zonas de conflicto.

Israel vis-à-vis Iran in Syria: The Perils of Active Containment

SWP - Thu, 26/10/2017 - 00:00

The perceived shift from chaos to an evolving order in Syria presents a challenge to Israel’s policy of limited intervention. Iran’s growing influence in Syria and its efforts to improve Hezbollah’s strategic capacities presents Israeli decision-makers with a sense of urgency to act now while the future settlement in Syria is still being shaped in order to avoid a fait accompli of an Iranian stronghold on Israel’s northern border. This notion is further enhanced by a perceived lack of a serious commitment from the main extra-regional powerbroker, Russia, as well as the US to Israel’s national security needs. During the last few months, the first signs of a change became apparent in Israel’s strategic approach as well as a new willingness to take active measures to contain Iran’s strategic efforts in Syria. The combination of a new proactive Israeli policy and the lack of a security regime to regulate the situation increases the likelihood of an unintended escalation between the parties. Germany should use its relations and leverage vis-à-vis the two parties to promote a new security regime between Israel and Iran and help prevent a destructive escalation.

Das Versöhnungsabkommen zwischen Fatah und Hamas von Oktober 2017

SWP - Thu, 26/10/2017 - 00:00

Zehn Jahre nach der gewaltsamen Machtübernahme durch die Hamas im Gaza-Streifen und nach mehreren gescheiterten Versuchen, die innerpalästinensische Spaltung zu beenden, zeichnet sich im Herbst 2017 eine Annäherung zwischen Fatah und Hamas ab. Im September gab die Hamas-Führung die Auflösung ihres im März geschaffenen Verwaltungskomitees bekannt; damit machte sie den Weg frei zur Übernahme der Regierung im Gaza-Streifen durch die Palästinensische Autorität (PA). Mitte Oktober einigten sich Vertreter von Hamas und Fatah unter ägyptischer Vermittlung auf ein Versöhnungsabkommen. Auch wenn hohe Hürden einer Zusammenführung der Sicherheitsapparate, einer Einheitsregierung, der Rückkehr zum demokratischen Prozess und einer umfassenden Aussöhnung entgegenstehen: Die Chance, dass die Annäherung eine weitere kriegerische Auseinandersetzung verhindert und zumindest Fortschritte für die Bevölkerung im krisengeschüttelten Gaza-Streifen bringt, ist gegenüber bisherigen Versöhnungsbemühungen deutlich gestiegen. Deutschland und seine Partner in der EU sollten die positive Dynamik stärken, eine dauerhafte Verbesserung der Situation durch praktische Schritte unterstützen und auf eine umfassende Überwindung der innerpalästinensischen Spaltung hinwirken.

Le Proche-Orient après la dé-certification – une perspective française.

Institut Montaigne - Wed, 25/10/2017 - 20:16
Le Proche-Orient après la dé-certification – une perspective française. Institut Montaigne mer 25/10/2017 - 20:16

La France a joué un rôle significatif dans les négociations qui ont conduit au Plan d'action conjoint avec l’Iran (JCPOA). Sur le fond, elle était partisane d’un "accord robuste".

The Middle East After Decertification: A French Perspective

Institut Montaigne - Wed, 25/10/2017 - 19:06
The Middle East After Decertification: A French Perspective Institut Montaigne mer 25/10/2017 - 19:06

France played a significant role in the negotiations that led to the deal with Iran known as the Joint Comprehensive Plan of Action (JCPOA).

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