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Union européenne

Highlights - The human rights situation in Venezuela : committee debate - Subcommittee on Human Rights

Meeting room ASP 3G3
The Subcommittee on Human Rights will go over the latest developments in the human rights situation in Venezuela.  The meeting will take place on 16 June 2015 from 15.00 to 16.30 with the participation of stakeholders and experts in the field.
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Draft Programme
Source : © European Union, 2015 - EP
Categories: Union européenne

​Copinage et clientélisme à la Cour de justice européenne

Coulisses de Bruxelles - Mon, 08/06/2015 - 16:07

Comment éviter que ceux qui vous ont fidèlement servi se retrouvent avec un salaire brutalement amputé voir, le cauchemar, sans emploi ? Le président de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) depuis 2003, le grec Vassilios Skouris, qui prend sa retraite en octobre prochain, a trouvé la solution : recaser dans l’administration de la Cour son fidèle chef de cabinet, l’Allemand Dieter Kraus. Mais ça n’est pas simple puisqu’il n’est pas fonctionnaire européen, mais simple contractuel sans garantie de l’emploi, et qu’il bénéficie déjà de l’un des plus hauts salaires de la fonction publique européenne (équivalent au grade AD 15 -pour administrateur-, soit entre 13.000 et 15.000 euros mensuels).

Suivez bien la manœuvre. Début 2015, Agostino Placco, le « représentant juridique » de la CJUE, reçoit une belle promotion : de simple «chef d’unité», il se retrouve propulsé « directeur général » du personnel et des finances sans passer par la case intermédiaire de « directeur ». En salaire, l’homme prend au passage une augmentation comprise entre 1500 et 3500 euros (selon son échelon), un directeur général, la plus haute fonction administrative de l’Union, étant rémunéré entre 15.000 et 18500 euros par mois. Rien à dire, la procédure est régulière.

Puis, le 10 mars 2015, Vassilios Skouris propose d’élever le poste ainsi libéré du niveau de « chef d’unité » (qui va du grade AD 9 à celui d’AD 14selon l’ancienneté, soit entre 6500 et 13000 euros mensuel ) à celui de « directeur » (un grade AD 14 ou AD 15 et un salaire compris entre 13.000 et 15.000 euros). Un long mémo de deux pages explique à quel point cette fonction, qui consiste à représenter la Cour dans les rares recours dirigés contre elle, est « devenue une responsabilité de première importance ». C’est tellement vrai que son service comprend… deux administrateurs et deux secrétaires. Par comparaison, la direction du protocole et de l’information compte 36 fonctionnaires. Plus étonnant encore : l’organisation administrative ne relève pas du président de la Cour, mais de son greffier, l’Espagnol Alfredo Calot Escobar, auquel le représentant juridique est directement rattaché. Skouris évite pourtant soigneusement de le consulter, sans doute parce qu’il connaît son caractère ombrageux. Son but apparaît clairement à tout le monde au sein de la Cour : une fois le poste élevé au rang de directeur, il veut y bombarder Dieter Kraus, son chef cab, qui, ainsi, se retrouvera fonctionnaire et surtout ne perdra pas un euro de salaire…

L’affaire fait grand bruit, au point que le 12 mars, le juge belge du Tribunal de l’Union européenne (le juge de première instance), Franklin Dehousse, se fend d’une note dans laquelle il s’oppose fermement à cette réorganisation, estimant que la petite administration de la Cour risque de se transformer en une armée mexicaine où tout le monde est général et personne soldat… Néanmoins, le 16 mars, le « comité administratif » de la Cour, qui regroupe 5 juges de la Cour de justice (dont Vassilios Skouris et son vice-président et successeur désigné), 2 du TUE, 2 avocats généraux de la Cour et le président du Tribunal de la fonction publique (TFP), accepte la proposition de Skouris, mais de justesse : 6 voix contre 4, celle des avocats généraux et des juges du TUE. Le président de la Cour sait qu’il peut compter sur les juges de la Cour, ceux-ci n’osant jamais s’opposer à celui qui peut leur pourrir la vie en les condamnant à ne traiter que des affaires de troisième zone… Au cours du débat, selon une source qui y a assisté, Skouris a reconnu que c’était le président du TFP, Sean Van Raepenbusch, qui lui avait servi de « conseiller technique » dans cette affaire. Pour rassurer son monde, le président de la Cour annonce que le recrutement au nouveau poste de directeur sera « largement ouvert » sous-entendant ainsi que son protégé Kraus ne sera pas forcément nommé.

Ca ne sera pas le cas. Le 16 avril, un appel à candidatures, limitées au seul personnel de la Cour, est publié. Mais il faut se manifester avant le 5 mai, soit trois semaines en tout et pour tout, une période incroyablement courte. Et la nomination se fera sans concours, comme le permet le statut des fonctionnaires européens (article 29-2) pour les plus hautes fonctions. En clair, ce sera Skouris et ses affidés qui décideront de l’heureux vainqueur dont l’identité ne fait guère de doute... Bien sûr, j’ai demandé officiellement communication de la liste des candidats afin de vérifier si, par le plus grand des hasards, Dieter Kraus y figurait. Réponse : « pour des raisons de protection des données personnelles des candidats concernés, la Cour ne peut divulguer leurs noms dans une procédure en cours ».

Vassilios Skouris

Ce n’est pas la première fois que Vassilios Skouris est soupçonné de favoritisme. Il a ainsi réussi à bombarder un membre de son cabinet, son compatriote Goulielmos Valasidis, directeur du protocole et de l’information. Pas mal pour un référendaire (donc non fonctionnaire) d’à peine 40 ans. Mais le président de la Cour a dû s’y reprendre à deux fois : en 2009, le comité administratif qu’il présidait déjà avait recalé une « short list » de candidats à ce poste qui ne comprenait pas le nom son protégé. Une faute de goût rapidement réparée. Mais la manœuvre avait alors paru tellement énorme à une majorité de magistrats qu’un autre candidat avait été désigné. Cela n’a été que partie remise : lorsque ce dernier a pris sa retraite, en 2013, Skouris est revenu à la charge et a gagné : Valasidis a été nommé par la « réunion générale » de la Cour (juges et avocats généraux de la seule Cour de justice) en janvier 2014, malgré les hurlements du greffier Alfredo Calot Escobar qui a même déposé trois mémorandums de protestation, les 11 novembre et 2 décembre 2013 et le 15 janvier 2014. J’en ai aussi demandé la communication, en vain : « il s’agit de documents contenant pour l’essentiel des données personnelles sensibles des candidats et la réglementation en vigueur ne nous permet pas de les divulguer en l’état ». J’ai donc fait une demande officielle d’accès à ces documents qui ne sont en rien confidentiels. Selon une source qui a assisté à la séance de janvier 2014, Skouris ne s’est même pas retiré lors du vote de désignation de son protégé afin que personne n’ose se révolter…

S’il venait à l’esprit de Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, de placer ses protégés dans l’administration, il aurait le plus grand mal à passer par dessus la tête du secrétaire général de l’administration, du commissaire chargé de l’administration, du collège des 28 commissaires… Et surtout, un recours ne serait pas jugé par la Commission, mais par un Tribunal qui lui est extérieur, sans compter les questions que ne manquerait pas de lui poser le Parlement européen : l’affaire des emplois fictifs d’Édith Cresson qui a abouti à la démission de la Commission Santer en 1999 a montré qu’il y existait des contrepouvoirs. À Luxembourg, ce n’est pas le cas : personne, au sein de l’institution, ne prendrait le risque d’attaquer le président de la juridiction suprême de l’Union qui est aussi le président du comité administratif et donc contrôleur de l’administration. D’autant qu’un éventuel recours devrait être déposé devant le Tribunal de la fonction publique, ce qui signifie qu’il serait jugé par le plus proche conseiller de Skouris, Sean Van Raepenbusch…

Bref, le clientélisme, le copinage, voire la prévarication, peuvent se donner libre cours… Ce qui fait tache pour une institution chargée de dire le droit. Ce n’est pas un hasard si ces affaires fuitent en ce moment : l’atmosphère est de plus en plus délétère à Luxembourg. Profondément divisés sur la nécessité de doubler le nombre de juges (de 28 à 56) du Tribunal de l’Union européenne (TUE), comme le propose Vassilios Skouris (lire ici et ici mes précédents articles sur le sujet), les juges européens se déchirent à belles dents. Et la loi du silence qui régnait sur le plateau du Kirchberg, à Luxembourg, vole en éclat. Ce déballage risque de durablement entacher l’image de la juridiction suprême de l’Union, jusque là immaculée.

N.B.: Une version longue de cet article (reprenant les informations déjà publiées sur ce blog) a été publiée dans Libération de samedi.

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[Revue de presse] Elections législatives turques : Erdogan désavoué

Toute l'Europe - Mon, 08/06/2015 - 09:34
À la suite des élections législatives turques, l’"hyperprésidence" de Recep Tayyip Erdogan se voit sévèrement remise en question. Si le président sortant reste au pouvoir, il a perdu la majorité absolue, tandis que le parti indépendant pro-kurde marque une percée importante.
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At a Glance - Policy Departments’ Monthly Highlights - June 2015 - PE 544.572 - Committee on Constitutional Affairs - Committee on Foreign Affairs - Committee on Development - Committee on Employment and Social Affairs - Subcommittee on Human Rights -...

The Monthly Highlights publication provides an overview, at a glance, of the on-going work of the policy departments, including a selection of the latest and forthcoming publications, and a list of future events.
Source : © European Union, 2015 - EP
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Législatives en Turquie: le parti pro-kurde HDP entre au Parlement

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 22:41
En Turquie, selon des résultats portant sur la quasi-totalité des suffrages, le parti islamo-conservateur AKP du président Erdogan a remporté les élections législatives, mais a perdu la majorité absolue au Parlement où, avec plus de 13 % des voix, le parti pro-kurde HDP fait son entrée.
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Le G7 maintient sa pression sur la Russie

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 20:02
Le sommet du G7 s'est ouvert ce dimanche 7 juin en Allemagne. Pendant deux jours, les puissants de la planète se donnent rendez-vous au château d'Elmau, un hôtel de luxe situé dans les Alpes bavaroises. Lors de cette première journée, les dirigeants se sont penchés sur le cas de la Russie et de l’Ukraine.
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Donner un volet politique à l'euro, c'est maintenant !

Coulisses de Bruxelles - Sun, 07/06/2015 - 19:53

REUTERS/Thomas Peter

Depuis cinq ans, les Cassandre s’en sont données à cœur joie : l’Union et surtout l’euro ne peuvent que disparaître, c’est une question de mois, de semaines, de jours. Car l’Europe n’a pas été le bouclier promis contre la crise, les marchés se méfient de la monnaie unique et surtout les opinions publiques n’y croient plus. Partout, les partis eurosceptiques et europhobes ont prospéré sur la désespérance sociale, accusant l’Union et l’euro de tous les maux et promettant des lendemains nationaux qui chantent. Même les partis de gouvernement ont, pour la plupart, renoncé à défendre la construction communautaire, de peur d’être accusés d’être les fourriers des politiques d’austérité, voire de vouloir détruire leur nation. Proposer davantage d’intégration apparaît désormais comme suicidaire, même si c’est pour pallier les imperfections d’une construction que même ses concepteurs savaient inachevées. François Hollande, le chef de l’État français, est l’incarnation parfaite de ce fédéralisme honteux : ce pro-européen convaincu observe un silence religieux sur le sujet depuis trois ans et préfère renvoyer à des lendemains lointains tout approfondissement de la zone euro. La nouvelle pensée unique en ce début de XXIe siècle est, au pire, eurosceptique, au mieux, eurotiède.

Mais l’année 2015 pourrait constituer un tournant dans le chemin de croix de l’Union et de la zone euro. La crise économique est clairement derrière nous, même s’il faudra du temps pour que le chômage revienne à son niveau de 2008 ; l’Irlande, le Portugal, l’Espagne et bientôt Chypre se sont redressés spectaculairement ; la Banque centrale européenne, accusée d’être la continuatrice des monétaristes rigides de la Bundesbank a montré qu’elle ne s’embarrassait pas du respect des traités dès lors qu’il fallait sauver l’euro et relancer l’économie ; en dépit de leurs divergences, les États de la zone euro ont poursuivi leur intégration (notamment, avec le Mécanisme européen de stabilité et l’union bancaire qui transfère la surveillance des banques à la BCE) ; et surtout, les opinions publiques sont en train de se réconcilier avec l’idée européenne. Un sondage effectué dans les six grands pays de l’Union, dont la France, par le Pew research center, un organisme américain qui scrute les opinions publiques du monde entier, et publié mardi, montre un redressement spectaculaire du sentiment pro-européen après un plus bas atteint en 2013, juste après le pic de la crise de la zone euro (de 52 % à 61 %, y compris en Grande-Bretagne). L’attachement à la monnaie unique n’a jamais été aussi fort (sauf en Italie, mais là aussi le rebond est impressionnant). « Pour paraphraser Mark Twain (…), les récents rapports annonçant la mort de l’UE étaient grandement exagérés » s’amuse l’auteur de l’étude, Bruce Stokes.

Ce n’est sans doute pas un hasard si des politiques osent à nouveau sortir du bois. C’est le cas des ministres de l’économie français, Emmanuel Macron, et allemand, Sigmar Gabriel, qui, dans une tribune publiée jeudi, proposent de réformer les traités afin de doter la zone euro d’un budget propre, de créer un Trésor européen, d’instaurer un contrôle démocratique (inexistant aujourd’hui comme le montrent les négociations avec la Grèce) de la Commission et de l’Eurogroupe, d’harmoniser le salaire minimum et l’impôt sur les sociétés, etc.. Macron veut même aller plus loin et mutualiser une partie de l’assurance chômage. Si la chancelière Angela Merkel est prête à suivre, reste l’inconnu François Hollande qui ne s’est toujours remis du référendum de 2005. C’est pourtant le moment d’achever la construction d’une Europe monétaire bancale afin de réconcilier durablement les peuples avec leur monnaie.

N.B.: version longue de mon éditorial paru dans Libération de samedi

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Turquie: «l’Etat est de plus en plus sous le contrôle de l’AKP»

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 17:56
La Turquie votait ce dimanche pour les législatives. Les résultats sont attendus dans la soirée. Un scrutin à un tour, qui favorise les grands partis dans un pays dont la vie politique est dominée depuis plus d'une décennie par les islamo-conservateurs du Parti de la justice et du développement (AKP) du président Recep Tayyip Erdogan. Entretien avec Dorothée Schmid, responsable du programme Turquie contemporaine à l’Institut français des relations internationales (Ifri).
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Accueil des migrants: en Italie, le Nord traîne des pieds

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 13:03
La marine britannique a porté secours, ce dimanche 7 juin, à quelque 500 personnes à bord de quatre embarcations en détresse au large des côtes italiennes. La veille, l’Italie, appuyée par plusieurs navires européens, a secouru des milliers de candidats à l’exil. Mais dans la péninsule, les élus s’écharpent pour savoir qui les accueillera.
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Elections en Turquie: la fraude dans toutes les têtes

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 09:18
Près de 53 millions d'électeurs se rendent aux urnes ce dimanche pour renouveler le Parlement de 550 sièges. L'enjeu pour le Parti pour la justice et le développement (AKP) est de renforcer sa majorité pour réformer la Constitution dans le but d'adopter le régime présidentiel, mais cet objectif est compromis par l'apparition d'un petit parti pro-kurde, le HDP, qui devrait faire son entrée au Parlement. La campagne s'est achevée dans un contexte tendu avec un attentat à la bombe visant un meeting du HDP vendredi à Diyarbakir et ses soupçons de fraude.
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Sciences: quel avenir pour la fondation russe Dynasty?

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 07:05
Plus de 2 000 personnes se sont rassemblées, samedi 6 juin, à Moscou en soutien à l'un des principaux fonds privés finançant la recherche scientifique en Russie, menacé de fermeture après avoir été classé comme « agent de l'étranger » par les autorités.
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Le Luxembourg se penche sur le droit de vote des étrangers

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 06:59
Les électeurs luxembourgeois sont appelés aux urnes aujourd’hui. Lors de ce référendum ils devront répondre à trois questions. Faut-il abaisser l’âge du droit de vote ? Faut-il limiter les mandats ministériels à 10 ans ? Mais surtout le Luxembourg propose d’ouvrir le droit de vote aux étrangers, un droit encadré de conditions.
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Allemagne: les grandes crises internationales abordées au G7

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 04:59
Le sommet du G7 s'ouvre ce dimanche 7 juin en Allemagne. Pendant deux jours, les puissants de la planète se donnent rendez-vous au château d'Elmau, un hôtel de luxe situé dans les Alpes bavaroises. Un cadre idyllique pour évoquer les grands sujets internationaux comme la Grèce, la crise en Ukraine, la lutte contre le terrorisme ou encore la préparation de la conférence sur le climat à Paris.
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A Sarajevo, le pape a appelé au pardon et à la réconciliation

RFI (Europe) - Sun, 07/06/2015 - 02:16
Le pape était samedi en Bosnie pour une brève visite d’une journée. A Sarajevo, François a demandé aux habitants de rechercher la paix et l'harmonie dans ce pays toujours en proie aux divisions ethniques et religieuses, vingt ans après la fin de la guerre civile.
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Turquie: un scrutin législatif à fort enjeu pour Erdogan

RFI (Europe) - Sat, 06/06/2015 - 22:42
Les Turcs se rendent aux urnes ce dimanche 7 juin pour élire un nouveau Parlement dont dépendra la composition du nouveau gouvernement. L’équipe islamo-conservatrice du parti AKP du président Recep Tayyip Erdogan est au pouvoir depuis 13 ans. Elle se présente aux élections législatives en favori, mais affaiblie.
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Allemagne: une manifestation contre le G7 très symbolique

RFI (Europe) - Sat, 06/06/2015 - 20:04
Près de 4 000 personnes ont manifesté dans le calme contre le G7 ce samedi en Bavière. Le sommet s'ouvre demain dans cette région du sud de l'Allemagne. Il réunira les chefs d'Etat et de gouvernement des grandes puissances au château d'Elmau.
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Législatives en Turquie: fin de campagne dans un climat tendu

RFI (Europe) - Sat, 06/06/2015 - 16:48
Fin de la campagne électorale en Turquie et toujours aucune revendication après l'explosion qui avait fait deux morts et plus de 200 blessés vendredi soir à Diyarbakir, dans le sud-est du pays. C'était lors d'un meeting du principal parti kurde, le HDP, le Parti démocratique du peuple. Les Kurdes de Turquie se sont rassemblés ce samedi sur le lieu des deux explosions.
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Le pape François prêche la paix à Sarajevo

RFI (Europe) - Sat, 06/06/2015 - 13:38
Le pape François est arrivé ce samedi 6 juin au matin à Sarajevo, où il ne reste qu'une douzaine d'heures. Il y a rencontré les autorités de Bosnie-Herzégovine puis célébré la messe dans le stade de Sarajevo, encourageant au dialogue et au pardon, mettant en garde aussi contre ceux qui créent ou attisent volontairement les guerres.
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Russie: professeurs et universitaires battent le pavé à Moscou

RFI (Europe) - Sat, 06/06/2015 - 09:09
Une manifestation pour la science et l'éducation doit avoir lieu ce samedi dans la capitale russe. A l'origine de ce mouvement de colère, la décision du ministère de la Justice de classer comme « agent de l'étranger », une fondation qui finance les sciences.
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Ukraine: l’ONU appelle au respect du cessez-le-feu

RFI (Europe) - Sat, 06/06/2015 - 07:46
Le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni en urgence ce vendredi et a appelé Ukrainiens et Russes à respecter totalement le cessez-le feu qu'ils s'accusent réciproquement de violer. Cette semaine a été la plus violente, avec 28 morts rien que pour la journée de mercredi, depuis la signature des accords de paix signé à Minsk en février dernier. L'ONU craint une reprise de la « guerre totale » en Ukraine.
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