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Afrique

Le maire de Dangbo désormais dans la barque de la rupture

24 Heures au Bénin - Wed, 16/03/2016 - 23:30

La vague de soutien pour Patrice Talon se multiplie dans le département de l'Ouémé. La journée d'hier a enregistré la déclaration du maire de la commune de Dangbo et celle de l'incontournable, Vincent Lézinmè. Un choix bien pensé selon ce dernier parce que reposant selon ses dires, sur des options de développement qui libèrent le pays de la politique de la main tendue. Celle qu'a condamné dans un passé récent, dès les années 58 le feu président Sékou Touré de la République de la Guinée Conakry. C'est (...)

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L’ANC exige la libération immédiate et sans condition du Pasteur Edoh Komi

Togo Actualités - Wed, 16/03/2016 - 23:15
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COMMUNIQUE

 
 
Le jeudi 10 mars 2016, le Pasteur EDOH Komi, défenseur des droits de l’homme et Président du Mouvement Martin Luther King (MMLK), la voix des sans voix, est invité par téléphone à la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ) où il est maintenu en garde à vue. Le lendemain, il est présenté au procureur de la République qui l’inculpe ‘’d’outrage à magistrature’’ et de ‘’trouble à l’ordre public’’ et le fait déposer à la prison civile de Lomé.
 
L’ANC constate que l’embastillement du pasteur militant des droits de l’homme intervient à la limite de la légalité et dans des conditions de grande confusion et de machination. On note ainsi la procédure viciée d’interdiction du sit-in prévu par le MMLK. On note également l’invitation du ministère de la Justice faite au pasteur EDOH par téléphone.
 
Il est particulièrement scandaleux que la justice et la magistrature togolaises notoirement reconnues instrumentalisées par le régime RPT/UNIR, avec des juges habités par le goût du lucre et l’appât du gain, s’offusquent d’un prétendu ‘’outrage à magistrature’’ pour expédier en prison un militant des droits de l’homme, défenseur et porte-voix des plus faibles.
 
L’ANC dénonce et condamne fermement l’arrestation et la détention abusives du Président du MMLK, le Pasteur EDOH Komi, et exige sa libération immédiate et sans condition.
 
L’ANC fustige la recrudescence des pratiques liberticides que le régime RPT/UNIR met une fois encore en branle, pour renforcer le climat d’intimidation, d’insécurité et de peur, créé et entretenu à dessein, notamment dans la perspective des prochaines élections.
Il apparaît en effet, que les récentes lois votées par la majorité RPT/UNIR, notamment sur le code pénal, la CNDH, la liberté d’accès à l’information, participent de cette stratégie de restriction des libertés et de violation des droits de l’homme en toute impunité.
 
L’ANC demande au gouvernement de respecter les droits et libertés des populations togolaises et de prendre les mesures appropriées pour assurer efficacement la sécurité des citoyens togolais, notamment les responsables politiques et ceux des organisations de défense des droits de l’homme.
 
L’ANC exprime son plein soutien et son entière solidarité au MMLK et à son Président.
 
L’ANC appelle les populations à redoubler de vigilance, à ne pas céder à la peur et à être à l’écoute des mots d’ordre de mobilisation.
 
Fait à Lomé, le 15 mars 2016
 
Pour le Bureau National,
Le Vice-Président
 
Signé
 
Patrick LAWSON-BANKU
 

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Les temps forts de la tournée du tandem Ajavon-Talon dans le Mono Couffo

24 Heures au Bénin - Wed, 16/03/2016 - 22:02

La journée d'hier, mercredi 16 mars, a été intense pour le candidat Patrice Talon et tous ses soutiens des départements du Mono et du Couffo. Le périple dans ces deux départements a pris fin hier aux environs de 21 heures à Azovè dans la commune d'Aplahoué. Mais la campagne de Talon, Ajavon et alliés a démarré par Grand-Popo. Leurs délégations ont reçu un accueil à nul autre pareil de la part des populations presque en transe. La rencontre avec les populations a poursuivi à Comè, Bopa, Houéyogbé, Athiémè, (...)

- Politique
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La BRVM fait un clin d’œil aux opérateurs économiques togolais

Togo Actualités - Wed, 16/03/2016 - 20:59
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© togoactualite – La Bourse régionale des valeurs mobilières bureau du Togo (BRVM-Togo) a organisé hier mardi une journée porte ouverte sur l’institution boursière au Togo. Il s’agit par cette rencontre de permettre à tous les acteurs du marché financier régional de se retrouver dans un endroit pour échanger sur les questions de bourse et de financement par le marché régional.
 
Pour Bertrand Bodet, directeur de l’antenne nationale de la BRVM-Togo, le marché financier apparait pour les entreprises togolaises, comme une véritable alternative au financement bancaire classique qui a ses caractéristiques et leur permet de diversifier les sources de financement en réussissant de nombreux investisseur.
Le Togo, mise à part ECOBANK considérée comme une entreprise togolaise, aucune entreprise togolaise n’est présente en bourse. Au niveau de la BRVM, sur les 39 sociétés cotées à ce jour la Côte d’Ivoire seule compte 31 sociétés, le Sénégal 3, le Burkina Faso 2.
 
lomévi (www.togoactualite.com)
 

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L’acte 9 du festival FIL BLEU lancé

Togo Actualités - Wed, 16/03/2016 - 20:54
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© togoactualite – La 9ème édition Festival international « Les Lucioles Bleues » (FIL Bleues) a été lancée hier mardi à Lomé par le ministre de la Communication, M. Guy Lorenzo et en présence M. Berlanga Martinez, le chef de la délégation de l’UE au Togo en présence de plusieurs personnalités du monde de la culture et des arts et de la politique.
 
Un festival qui s’ouvre alors la chose culturelle dans notre pays traverse des difficultés, ce qui a fait dire au directeur du festival, M. Cyriaque Noussouglo que « Nous avons la forte conviction qu’il reste encore du chemin pour que les arts et la culture acquièrent véritablement leur lettre de noblesse dans notre pays. Non pas que des talents n’existent pas ou que le fleuve de la création ait tari ».
 
L’ouverture a été couplée avec le vernissage de l’œuvre « Je te salue Christiane » de l’artiste Wananu E. Kobla. Pour son auteur, cette exposition propose une série de peinture représentant des personnages féminins et masculins. « Je te salue Christiane » est une lettre ouverte, articulée comme une ode à la liberté et à l’égalité », souligne-t-il.
 
L’Association FILBLEUES a été créée à Lomé le 15 août 2003 à l’initiative de la compagnie Gakokoé, France, de l’atelier de Lomé et de professionnels des arts et de l’art et de la culture. Elle a pour but la promotion et de la diffusion de la culture, des arts de la scène, des arts plastiques ou visuels, de la littérature et la formation.
 
lomévi (www.togoactualite.com)
 

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Afrique du Sud: L'école des Échecs

BBC Afrique - Wed, 16/03/2016 - 18:23
Le jeu d'échecs pour améliorer les résultats scolaires. Exemple en Afrique du Sud où la méthode a déjà fait ses preuves.
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Des rangers pour sauver les éléphants

BBC Afrique - Wed, 16/03/2016 - 18:08
Protéger les pachyderme est une véritable guerre, contre des braconniers nombreux et bien équipés. Reportage au parc de la Garamba
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Missions de maintien de la Paix : des officiers togolais formés aux techniques américaines sur le mouvement des troupes

Togo Actualités - Wed, 16/03/2016 - 14:49
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Des officiers en charge du mouvement des troupes togolaises dans les missions de maintien de la paix ont reçu, en Italie, une formation accélérée de 60h assurée par des instructeurs de l’Armée Américaine section Afrique (USARAF). La formation s’est déroulée du 18 janvier au 11 mars 2016.
 
L’idée de la formation était d’améliorer le mouvement du personnel et de l’équipement lors des opérations. 57 officiers togolais ont été ainsi entretenus par des formateurs de l’Équipe du Partenariat d’Aide au Déploiement Africain, section armée de terre (ADAPT-G) de l’USARAF.
 
« Les élèves ont appris les principes de base des opérations américaines de déploiement », a rassuré le Capitaine Samuel Diaz Torres, instructeur ADAPT-G au 142e Bataillon de Soutien et d’Appui au Combat.
 
Le programme comprenait des opérations ferroviaires, portuaires, le transport aérien et des opérations de convoi, ainsi que le centre d’équilibrage et de planification des mouvements de l’unité. Les soldats togolais ont mis en œuvre ces opérations au port de Lomé et à l’aéroport international de Lomé.
 
Après cette formation, les instructeurs togolais devraient être aptes d’organiser des cours autonomes de formation en mouvement de l’unité, dans le cadre des opérations de maintien de la paix
 
source : fullnews
 

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Le millionnaire de la décharge de Mindoube

BBC Afrique - Wed, 16/03/2016 - 13:45
La quarantaine révolue Bertolin est l’un des millionnaires de la décharge de Mindoube à Libreville. Ce travail lui a permis de construire sa maison et d’acheter deux minibus de transport.
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Sénégal : Teranga Capital officialise son lancement avec 5 millions d'euros

Jeune Afrique / Finance - Wed, 16/03/2016 - 11:55

Doté initialement de 3,2 milliards de F CFA (4,9 millions d'euros), ce véhicule d'investissement va cibler exclusivement les petites entreprises locales. Un segment peu couvert par les capital-investisseurs.

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FMI : après 8,6% en 2015, la Côte d'Ivoire devrait croître de 8,5% cette année

Jeune Afrique / Finance - Wed, 16/03/2016 - 09:23

Le FMI qui était à Abidjan depuis le 29 février a clos sa mission mardi notant de "très bons résultats économiques sur les quatre dernières années". Et renvoyant la négociation d'un nouveau programme de soutien "au plus tard" à cette année.

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United Bank for Africa améliore ses performances africaines

Jeune Afrique / Finance - Wed, 16/03/2016 - 08:51

En 2015, le groupe bancaire panafricain a enregistré 85,3 millions d'euros de profits en Afrique hors Nigeria. UBA Côte d'Ivoire passe dans le vert tandis que les résultats au Congo et en Guinée s'envolent.

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L'invité BBC AFRIQUE 16/03/2016 : Jawad Kerdoudi

BBC Afrique - Wed, 16/03/2016 - 08:50
Président de l'Institut marocain des rélations internationales
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Centrafrique : une experte de l'ONU souligne les défis qui attendent le nouveau gouvernement

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Wed, 16/03/2016 - 06:00
A l'issue d'une visite en République centrafricaine, l'Experte indépendante sur la situation des droits de l'homme dans le pays, Marie-Thérèse Keita-Bocoum, a salué mercredi le nouveau Président élu, Faustin Archange Touadéra, tout en soulignant les nombreux défis qui attendent son gouvernement en matière de renforcement de la sécurité, de l'état de droit et des droits de l'homme.
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Le PAM lance un programme de bons alimentaires pour atteindre un million de Yéménites d'ici fin 2016

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Wed, 16/03/2016 - 06:00
Le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) a annoncé mercredi avoir commencé à distribuer des bons alimentaires pour aider près de 120.000 personnes à Sanaa, au Yémen, avec pour objectif d'atteindre un million de personnes dans tout le pays d'ici fin 2016.
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Envoyé de l'ONU en Centrafrique : « Nous ne pouvons pas passer du rôle de protecteur à prédateur »

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Wed, 16/03/2016 - 06:00
Le Représentant spécial du Secrétaire général pour la République centrafricaine et chef de la Mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies dans ce pays (MINUSCA), Parfait Onanga-Anyanga, occupe ce poste depuis l'été 2015, dans un contexte difficile pour le pays et la Mission onusienne.
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ISA : Learning from the South? The Horn of Africa as a Litmus Test for IR Theories and Frameworks

Good Morning Afrika (Blog) - Tue, 15/03/2016 - 22:09
L’International Studies Association (ISA) organise chaque année une convention réunissant plus de 5000 internationalistes. L'édition 2016 se déroule du 16 au 19 mars à Atlanta (Géorgie/Etats-Unis). Un panel est organisé samedi 19 sur la Corne de l'Afrique : "Learning from the South? The Horn of Africa as a Litmus Test for IR Theories and Frameworks". Vous trouverez la présentation de ce panel ci-dessous. Nous vous invitons à consulter le programme de cette convention dont la thématique cette année est : "Exploring Peace".
Chair: Chair : Terrence P. Lyons (George Mason University)Discussant: Rita Abrahamsen (University of Ottawa)Abstract :Some argue that International Relations (IR) are about the politics of powerful states and that, as a consequence, there is an African exceptionalism which explains IR’s inability to accurately address African experiences. Indeed, Africa has often been neglected by the different theoretical approaches to IR and more generally by the discipline. This is surprising. In contrast, this panel shows that Africa is a productive laboratory for researchers in IR and security studies. While recent events have shifted global attention toward the Sahara, we invite scholars and practitioners to turn their gaze to the Horn of Africa. This region gathers some of the most enduring interlinked political rivalries within the International System. Importantly, it challenges and sometimes clarifies powerful concepts developed by the field (e.g. hegemonic stability, regional security complex, security dilemma, failed states, small state, sovereignty, etc). Thus, the contributors to the panel seek to show that the Horn of Africa is pertinent not only for area specialists but also constitutes a remarkable ground for fieldwork and theory-testing of both old and new approaches. Overall, the panel aims to initiate a new research agenda, which combines deductive and inductive approaches.Papers:
The Lone State: Eritrea's Foreign Policy: Jean-Baptiste Jeangene Vilmer (Sciences Po Paris)Abstract : Eritrea is a totalitarian garrison state. As Hannah Arendt described it, totalitarianism is a quasi-scientific experiment that requires a controlled environment: the country is a laboratory. The first step is therefore to isolate the nation, hermetically sealing it off from the outside world. Controlling the environment allows the production of controllable subjects. Through this process, which prevents those outside the country form entering and those within the country from leaving, an important step to pursue a bellicose foreign policy, waging war to justify the closure of borders and curtailments of liberties. Based on a fieldwork and various primary sources, the purpose of this article is twofold: on the one hand to consolidate and update comprehension of Eritrea’s foreign policy, given the relative scarcity of existing secondary literature; and on the other hand, to present Eritrea’s foreign policy as a means to the totalitarian end of closing off the country. Djibouti as a Small State: Challenges and Limits of an Extraversion Strategy : Sonia Le Gouriellec (IRSEM Institute For Strategic research Ecole militaire Abstract :R. Patman describes the states in the Horn of Africa, and their building, as a "political metaphor". This is especially true for Djibouti. This small state – indeed a microstate even if there is no broad consensus on both definitions – survives in a region where the numbers of states and borders has largely increased. The demarcation of their borders is therefore a very sensitive issue. Since Djibouti’s independence in 1977, its sovereignty has been a subject of discussion. As a consequence, Djibouti has developed strategies to survive and exist in the region. Based on fieldwork (several research trips), this paper aims to explore the dimensions of this strategy and its evolution between independence and today. How does this small state make use of the resources offered by the international system to survive and become a regional actor? What are the threats that jeopardize this strategy?  How can Djibouti contribute to the small states studies? The Little Big Man of Eastern Africa: Explaining the Politics of Personalities in Uganda’s Relations with the Two Sudans: Øystein Rolandsen (Peace Research Institute Oslo)Abstract :Uganda relations with its neighbouring countries and its role in regional co-operation has under Museveni (1986- ) undergone a remarkable transformation. When the rebel movement NRM/A sized power Uganda was a weak country riven by civil war, but it soon changed into a regional bully and has now become a major power within the eastern Africa/Horn of Africa security complex. Friends and foes of the Government of Uganda attribute this change to the personality of the President and his foreign policy ambitions. This runs counter to theories emphasising structural factors when explaining the actions of states in IR. Using Uganda and its relations with the two Sudans as a case this paper argues that the personal power vested in leaders within informal neo-patrimonial nettworks give heads of state considerable room to manoeuvre when handling foreign affairs. But the checks and balances of patron-client relationships constrains the actions of the leader. Security Threats and Alliance Tradeoffs in the Horn of Africa: Ethiopia Vis a Vis Somaliland and Somalia: Andualem Belaineh (PhD student at Institute for Peace & Security Studies, Addis Ababa University, Ethiopia)Abstract : Some argue that International Relations (IR) are about the politics of powerful states and that, as a consequence, there is an African exceptionalism which explains IR’s inability to accurately address African experiences. Indeed, Africa has often been neglected by the different theoretical approaches to IR and more generally by the discipline. This is surprising. In contrast, this panel shows that Africa is a productive laboratory for researchers in IR and security studies. While recent events have shifted global attention toward the Sahara, we invite scholars and practitioners to turn their gaze to the Horn of Africa. This region gathers some of the most enduring interlinked political rivalries within the International System. Importantly, it challenges and sometimes clarifies powerful concepts developed by the field (e.g. hegemonic stability, regional security complex, security dilemma, failed states, small state, sovereignty, etc). Thus, the contributors to the panel seek to show that the Horn of Africa is pertinent not only for area specialists but also constitutes a remarkable ground for fieldwork and theory-testing of both old and new approaches. Overall, the panel aims to initiate a new research agenda, which combines deductive and inductive approaches.


 
Categories: Afrique

Appel à comunication : Les nouveaux visages des armées africaines

Good Morning Afrika (Blog) - Tue, 15/03/2016 - 21:40
L'IRSEM organise les 5 et 6 octobre prochain une conférence internationales sur les armées africaines dont les axes de recherches retenus ainsi que les modalités de participation sont décrites ci-dessous. 

Objectifs de la conférence :Alors que les armées africaines au sud du Sahara ont inspiré récemment des travaux de recherche dans plusieurs domaines des sciences humaines et sociales, elles se trouvent au centre de nouveaux enjeux, avec le développement du terrorisme djihadiste sur fond de renouveau de la concurrence entre puissances internationales et d’intensification des défis liés à la gouvernance. Si les acteurs (semi)privés ou informels sont privilégiés dans ces travaux, les forces de sécurité étatiques et plus particulièrement les armées restent mal connues (Debos et Glasman, 2012). Or, les différentes armées d’Afrique subsaharienne sont aujourd’hui dans une période de transition entre un modèle issu des indépendances et un modèle plus adapté à la conflictualité actuelle. Ces armées incarnent la souveraineté des Etats, bien qu’elles soient parfois négligées par le pouvoir politique et qu’elles servent occasionnellement d’outil de développement ou de maintien de l’ordre. Elles apparaissent depuis la fin de la Guerre froide de plus en plus sollicitées pour améliorer la prévention, contribuer à la résolution des crises sécuritaires sur le continent africain et protéger ou garantir l’évolution politique vers des formes plus démocratiques. Les rapports que les armées africaines entretiennent avec le pouvoir politique constituent une question centrale. Celle-ci a fait l’objet de travaux anciens mais qui restent encore pertinents (Huntington, 1965). Les armées peuvent assurer, à la demande des civils, la transition démocratique (Aka, 1999 ; Bat, 2015) ou s’insérer plus brutalement dans le jeu politique (Moshe 1973 ; McGowan, 2003 ; Decalo, 1989 ; Kandeh, 2004). Enfin, leur formation est devenue le théâtre d’une rivalité inédite entre les puissances internationales (France, Royaume-Uni, États-Unis, Russie, Chine). Cela ne manquera pas d’avoir des conséquences sur les choix économiques et politiques des États qui abritent de nouvelles bases occupées par des forces étrangères ou s’engagent dans des coopérations de défense. Pour les États qui ont un lien historique avec le continent africain, cette nouvelle situation suscite des défis majeurs, tant au niveau politique que stratégique. Organisée par l’IRSEM - dont la vocation vise à rapprocher monde scientifique et monde militaire, mais aussi à produire des réflexions innovantes à même de nourrir le débat stratégique - cette conférence internationale a pour objet d’examiner les transformations des armées d’Afrique subsaharienne au cours des six dernières décennies, à la fois dans une perspective comparatiste (entre pays, entre périodes chronologiques, …) mais aussi et surtout pour comprendre l’évolution des relations entre les armées africaines et les sociétés dont elles sont issues. Trois groupes de question peuvent être distingués. 
1) La naissance et la formation des armées africaines.Un premier groupe de questions abordera la naissance et la formation des armées africaines, c’est-à-dire comment les jeunes États africains souverains ont organisé leur armée nationale. Il s’agit d’étudier le lien entre la construction de ces armées et la formation de l’État, leur capacité à assumer leurs missions et leur contribution au développement intérieur depuis les indépendances. Plusieurs thèses s’affrontent sur les liens entretenus entre les armées africaines et le pouvoir politique. Ont-elles été des spectateurs passifs des processus d’indépendance et de construction des États (Martin, 1975), ou ont-elles joué un rôle moteur dans la modernisation des structures héritées de la période coloniale (Lefever, 1970) ? Les nouvelles armées nationales ont souvent été considérées comme le pur produit de la période coloniale. Peu de recherches sur la continuité entre les organisations militaires pré-coloniales et sur les systèmes militaires issus des indépendances ont été menées. Or Ogot (1972) a montré qu’il était difficile de comprendre la nature et le rôle des militaires dans l’Afrique post-coloniale sans étudier la nature et le rôle du pouvoir militaire dans l’Afrique pré-coloniale et coloniale, et notamment pourquoi même les régimes civils modernes en Afrique doivent compter sur les militaires pour survivre. De nouvelles monographies sur les armées africaines par exemple ivoirienne (Banga, 2014), mauritanienne (Evrard, 2015) permettent un nouveau regard sur la naissance de ces armées et viennent s’ajouter à d’autres plus anciennes – Robin Luckham sur l’armée nigérienne (1970) ou Emmanuel Ela Ela sur le Cameroun (2000) par exemple – pour former un corpus désormais conséquent. Dans le cadre de ce premier groupe de questions, des projets de communication peuvent être proposés sur la contribution des militaires aux indépendances, la création des armées africaines, le rôle des militaires dans les nouveaux États souverains. L’étude structuraliste des armées africaines – l’organisation, l’équipement, le commandement et le financement – sont également des aspects importants de la manière dont s’est opérée la transition sécuritaire en Afrique sub-saharienne. Nous porterons une attention particulière aux communications traitant des pratiques quotidiennes et de la formation notamment des soldats - une perspective souvent négligée dans les recherches sur les armées africaines (Hutchful et Bathily, 1998) – et aux travaux relatifs à la production de normes qu’elles soient issues de pratiques coloniales ou post-coloniales.  2) Les armées africaines face aux influences extérieures.De plus, comme ces armées ont principalement été formées grâce à l’aide fournie par les acteurs extérieurs, la conférence entend, dans un second temps, examiner les questions liées aux influences extérieures à la fois lors de leur formation et de leurs transformations. Nous souhaitons étudier les relations avec les anciennes puissances coloniales, ou avec les nouveaux acteurs extra continentaux (Chine, Inde, Turquie, Japon, États-Unis, Portugal, Union Européenne, Royaume-Uni, Russie, etc.), mais également les liens entre les puissances continentales (Afrique du Sud, Éthiopie, Nigeria, etc). Comment les différents programmes multinationaux et bilatéraux participent à la réforme des armées africaines ? Quelles normes produisent-ils ? Les armées ont été recomposées dans le cadre de la réforme des secteurs de la sécurité (RSS) qui nécessite des recherches renouvelées (Bryden and Scherrer, 2012; Sedra, 2010 ; Egnell and Haldén, 2009). Comment sont planifiés et mis en œuvre les efforts de RSS, le concept de « développement des institutions de défense » (Rand Corporation, 2016) s’y substitue-t-il ? La RSS serait-elle devenue un nouveau paradigme sécuritaire après celui des équilibres financiers (Châtaigner, 2006) ? Quels sont les résultats des politiques d’assistance et de soutien militaire ? Est-il efficace de renforcer plutôt les institutions civiles ou d’instruire les combattants ou encore de former le commandement, professionnaliser la logistique et le soutien afin de donner aux armées africaines la structure d’armées modernes (Doss, Herbst et Mills, 2013) ? La conférence s’intéressera aussi à la coopération entre armées africaines, à différents niveaux (entrainement, formation, opérations). Il s’agit de mieux comprendre comment les armées africaines tissent des réseaux de coopération, qui complètent ou concurrencent les schémas classiques de la coopération militaire dans cette région. Quels rôles y tiennent l’organisation continentale, les Communautés économiques régionales (CER) ou les organisations ad hoc ?  3) L’adaptation des armées africaines.Enfin, les armées africaines ont aussi mué sous la pression de demandes relatives aux conflits extérieurs et intérieurs. Elles se sont donc adaptées à l’évolution de la nature et de la forme de la conflictualité africaine (Straus, 2012 ; Abrahamsen, 2013). Moins d’une centaine d’opérations de maintien de la paix ont été déployées sur le continent depuis 1990 et la majorité des États africains ont fourni des troupes à ces opérations (Williams, 2014). Elles ont également dû composer avec l’apparition de nouveaux acteurs dans la gestion de crise et la résolution des conflits : APSA, CER, CARIC (Franke, 2006 ; Warner, 2015). Les armées africaines évoluent également sous le coup de facteurs politiques internes et externes (Martin, 1989). L’environnement social et l’évolution de la place du militaire dans la société, dans le système économique ou politique contribuent à façonner un nouveau visage aux armées africaines. Nous nous intéresserons donc dans cette dernière partie aux problématiques liées à l’intégration des armées africaines au sein des forces multinationales (Fisher, 2012 ; Wilén, Ambrosetti et Birantamije, 2015) ainsi qu’aux retours d’opérations qui soulèvent des enjeux sécuritaires inattendus pour certains États pourvoyeurs de contingents de maintien de la paix (Dwyer, 2015). Nous attendons également des propositions de communication sur le rôle des armées dans la résolution des conflits internes : par l’intégration des combattants au sein d’une nouvelle armée nationale, dans le cadre des programmes de désarmement, démobilisation et réintégration, une approche encore relativement peu traitée (Wilén, 2015). Ce colloque international sera donc consacré à l’évolution des armées d’Afrique subsaharienne depuis les indépendances. Il vise ainsi à une meilleure compréhension du fait militaire, des armées et de ceux qui les composent. Il est pensé dans une perspective pluridisciplinaire et diachronique. Nous attendons des propositions de communications en sciences politiques, relations internationales, histoire, économie, sociologie, anthropologie, géographie, etc. Nous accorderons une attention particulière aux approches comparatistes, et aux communications s’appuyant sur des études de terrain. Une publication des communications suivra la conférence.  
Proposition de communication :Les propositions de communication (500 mots maximum) peuvent porter soit sur une communication individuelle soit proposer un panel comprenant quatre communications sur un des thèmes retenus pour le colloque. Chaque proposition de communication doit être accompagnée d’une biographie. Elle peut être soumise en français ou en anglais. Elle doit également préciser si l’auteur sollicite une aide de l’IRSEM en ce qui concerne son voyage et/ou son séjour à Paris. Le tout doit être adressé à : Sonia Le Gouriellec (sonia.le-gouriellec@defense.gouv.fr) et Jérôme de Lespinois (jerome.de-lespinois@defense.gouv.fr).  
Calendrier : 10 avril 2016: date limite pour l’envoi des propositions de communication. 1er juin 2016: notification aux auteurs des propositions de communication retenues. 15 septembre 2016 : envoi des versions finales des articles retenus par les coordinateurs et le comité scientifique. 5 et 6 octobre 2016 : conférence internationale « Les nouveaux visages des armées africaines » à l’École militaire (Paris). Bibliographie : Abrahamsen R., 2013, Conflict and Security in Africa, James Currey, 240 p. Assensoh Akwasi B., Alex-Assensoh Y. M., 2001, African military history and politics: coups and ideological incursions, 1900-present, New York, Palgrave. Augé A., Klaousen P. (dir.), 2010, Réformer les armées africaines. En quête d’une nouvelle stratégie, Paris, Karthala. Augé A., Gnanguenon A. (dir.), octobre 2015, Les armées africaines et le pouvoir politique au sud du Sahara, Les Champs de Mars, n°28, 91 p. Baaz M. 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Grand-Bassam: les caméras ont filmé la panique

BBC Afrique - Tue, 15/03/2016 - 19:05
De nouvelles images capturées par les caméras de sécurité de l’hotel Etoile du Sud à Grand-Bassam en Côte d’Ivoire montrent le moment ou les clients se rendent compte qu’ils sont victimes de l’attaque.
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Attaque de Grand-Bassam : Ayrault et Cazeneuve à Abidjan pour exprimer la solidarité de la France

France24 / Afrique - Tue, 15/03/2016 - 17:08
Au surlendemain de l'attaque dans la station balnéaire de Grand-Bassam, en Côte d'Ivoire, les ministres français Jean-Marc Ayrault et Bernard Cazeneuve sont à Abidjan pour témoigner de la solidarité de Paris dans la lutte contre le terrorisme.
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