Larmes, abattements, chocs émotionnels, dégâts matériels incommensurables, dettes…, l’incendie survenu le 31 octobre 2015 au marché Dantokpa, le plus grand du Bénin et d’Afrique de l’Ouest a été cruellement dévastateur.
TIARET – La Société nationale de véhicules industriels (SNVI) a bénéficié d’un financement gouvernemental de 91 milliards DA, destiné à la mise à niveau de ses structures, au renouvellement des moyens de travail et à l’extension de ses investissements, a-t-on appris dimanche à Tiaret du Président directeur général du groupe, Malek Salah.
Intervenant à l’occasion de la célébration du double anniversaire de la création de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et de la nationalisation des hydrocarbures à l’unité de fabrication des véhicules industriels à Ain Bouchekif (Tiaret), Malek Salah a souligné que ce financement permettra, aux cinq unités de ce groupe, de mettre à niveau leurs structures, les étendre et leur dotation en machines et matériel nouveau.
Le même responsable a indiqué que la priorité pour ce groupe sera l’utilisation des technologies de pointe dans la production à travers l’acquisition de machines et moyens sophistiqués.
Ce soutien financier accordé par le Gouvernement au groupe permettra d’élargir les investissements avec des partenaires étrangers, à l’instar du partenaire allemand « Daimler » aux unités de Rouiba et de Tiaret, le partenaire émirati de Tiaret à travers l’usine de fabrication de Mercedes 4×4 et de Mercedes Benz, ainsi qu’un partenaire français en matière de wagons du tramway, a-t-il ajoute.
Le même responsable a également évoqué la possibilité d’élargir les investissements et partenariats avec d’autres partenaires dans différents domaines liés à la fabrication de véhicules industriels dont des voitures, des camions, des wagons, des semi-remorques, des remorques et des rames du tramway.
Malek Salah a ajouté que parmi les projets du groupe, la création de sous-traitance en pièces à l’intérieur et à l’extérieur du groupe pour la fourniture de pièces maitresses de produits mécaniques fabriqués par les unités du groupe.
Le groupe de la SNVI emploie à travers, ses cinq unités, 7.000 travailleurs.
La célébration du double anniversaire de la création de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures a été mise à profit pour honorer des travailleurs et des syndicalistes retraités, en présence de syndicalistes et d’autorités locales
Près de 300 étudiants ont répondu, hier, à l’appel du Comité autonome des étudiants de l’université Akli-Mohand-Oulhadj de Bouira, à l’organisation d’une marche pour “l’égalité entre les langues” arabe et tamazight. Cette initiative coïncide avec la Journée internationale des langues maternelles, célébrée le 21 février.
Le long de l’itinéraire, qui a débuté de l’université jusqu’au siège de la wilaya, les marcheurs ont scandé des slogans exhortant les hautes autorités de l’État à instaurer une “égalité” entre les deux langues officielles, dans tous les domaines. “L’État doit aller plus loin. Nous, nous ne voulons pas d’une officialisation biaisée”, affirment les manifestants. Ils précisent que l’officialisation de tamazight doit intégrer les domaines éducatif, administratif et politique.
En outre, ces étudiants appellent les plus hautes instances du pays, notamment le chef du gouvernement et la ministre de l’Éducation nationale, à œuvrer afin de faire annuler le caractère facultatif de l’enseignement de tamazight et sa généralisation à travers tout le territoire national.
Dans la même optique, les marcheurs ont aussi soulevé la problématique de la transcription de tamazight qui, selon eux, devrait se faire en caractères latins ou tifinagh et non en arabe. Ce dernier, qui a été expérimenté chez nos voisins marocains, est un véritable échec, selon nombre de spécialistes. Cette marche que les organisateurs voulaient apolitique n’a pas échappé aux slogans hostiles au pouvoir, lorsque les étudiants ont commencé à scander les habituels “Pouvoir assassin”, “Révisez l’histoire, l’Algérie n’est pas arabe” et autres “Système corrompu”.
Une fois devant le siège de la wilaya, l’un des organisateurs de la manifestation prendra la parole pour lire une plateforme de revendications, qui comprend, notamment, l’égalité entre l’arabe et tamazight, l’annulation du caractère facultatif de l’enseignent de tamazight, la mise en place d’une académie pour traiter des mécanismes de tamazight et l’augmentation des postes d’enseignement, etc. Enfin, il y a lieu de signaler que cette marche a été encadrée par un imposant dispositif sécuritaire et qu’elle s’est déroulée dans le calme.
RAMDANE B.
ALGER- Le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, a réaffirmé dimanche à Alger l’engagement des pouvoirs publics à accompagner les personnes en situation d’handicap.
Cette déclaration a été faite lors de la réunion tenue au siège de son département avec Mohamed Madoun, président de la Fédération sportive des sourds d’Algérie qui a présenté les grandes lignes du programme de son instance.
Le ministre de la Jeunesse et des Sports est revenu, à cette occasion, sur la convention signée entre son département ministériel et le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme en vue de développer l’activité physique et sportive en faveur des personnes en situation d’handicap.
A cet effet, M. Ould Ali a encouragé la Fédération à travailler en étroite collaboration avec les Directions de la jeunesse et des sports et les Fédérations sportives spécialisées.
Il a également exprimé le soutien de son département à l’organisation en Algérie de l’assemblée générale élective de la Confédération africaine des sports des sourds.
La commission des lois, de l’administration et des droits de l’homme de l’Assemblée nationale est une fois encore mise devant ses responsabilités par rapport au dossier de démission d’office du député Jacques Yempabou.
Décidément, les histoires de Constitution se multiplient !
Cet article La règle du « je » est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Pour la seconde fois face à la presse dans le cadre de l’initiative « Les mardis et vendredis de la Plateforme électorale des Osc » les acteurs de la société civile béninoise ont évoqué vendredi 19 février des situations inquiétantes dont le cafouillage dans la distribution des cartes d’électeurs devant permettre aux Béninois de voter le 06 mars prochain, jour du premier tour de la présidentielle.
Il comprend ceux qui ont fait le choix des armes, mais ne s'y résout pas : le président du Cnared veut croire que toutes les voies du dialogue avec le pouvoir n'ont pas été épuisées.
Cet article Léonard Nyangoma : « Il est encore possible de négocier » au Burundi est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Dans la perspective de faire le KO pour le candidat Sébastien Germain AJAVON dans la commune d'Avrankou et plus précisément dans l'arrondissement d'Atchoukpa, le Mouvement des jeunes Leaders d'Atchoukpa (MJLA) en collaboration avec le président de la Jeunesse Dynamique Romaric BOCO, a décidé de rassembler les militants et sympathisants de l'homme afin de partager avec eux la vision de ASG. Occasion pour les organisateurs de réaffirmer leur soutien indéfectible à l'homme. C'était en présence de quelques (...)
- PolitiqueDepuis la diffusion des images fabuleuses des reportages de « Thalassa » sur France 3 et les documentaire de Yahn Arthus Bertrand, plusieurs artistes algériens, principalement des jeunes réalisateurs et des photographes se sont illustrés ses derniers mois en captant des images saisissantes de l’Algérie en l’a filmant du ciel.
Ainsi après les images réalisées par un drone de la ville de Constantine, voici une nouvelle vidéo réalisé par un jeune producteur Lahlali Yacine, qui a filmé le centre de la capitale à l’aide d’un drone. Le résultat est saisissant! Voici donc les trois vidéos qui sont publiés par ce jeune producteur, qui a tenu à faire partagé avec les algériens les images captés du ciel d’Alger.
Après les sacres de 2010 et 2011, le Tout-Puissant Mazembe de la République démocratique du Congo (Rdc) a décroché samedi dernier à Lubumbashi sa 3ème Super Coupe d’Afrique de football de la Caf.
ORAN – Un colloque international sur « le cinéma et les enjeux de citoyenneté » sera organisé en début mai à Oran, a-t-on appris des organisateurs.
Initiée du 7 au 9 mai par le laboratoire des films révolutionnaires du cinéma algérien de l’université d’Oran 1 « Ahmed Benbella », cette rencontre verra la participation de chercheurs nationaux et étrangers, a indiqué le directeur du laboratoire.
Ce colloque débattra de la citoyenneté du point de vue artistique et cinématographique où se mêlent les composantes de l’acte civilisationnel et le civisme acquis et hérité, a souligné le professeur Aissa Ras El Ma.
Le débat traitera des portées politique, sociale et économique et leur relation avec le cinéma en tant que moyen pour faire connaitre les cultures héritées et acquises dans des contextes du monde de la citoyenneté qui se distingue par sa singularité et son exclusivité, a-t-on ajouté.
Les participants aborderont aussi l’acte d’humanisme dans la citoyenneté à travers des approches des cultures de générations où le cinéma joue un rôle de transmetteur visuel.
Une série de communications s’articulant autour de cinq axes principaux sont programmées abordant « le cinéma et l’appartenance civilisationnelle », « le cinéma de citoyenneté et l’idée de patries », « l’icône cinématographique et la manifestation de la citoyenneté », « La citoyenneté et le dualisme: le moi, l’autre, ici, là bas » et « les portraits de l’identité dans la technologie de l’image cinématographique ».
Cet article Togo-Politique/Koffigoh : «J’ai tout fait pour éviter la guerre civile» est apparu en premier sur Togoactualite.
CONSTANTINE- Un colloque international sur « les femmes résistantes » sera ouvert lundi dans le cadre de la manifestation « Constantine, capitale de la culture arabe », a annoncé, dimanche, Ouarda Siari-Tengour, membre du comité d’organisation de l’événement.
Des conférences portant sur l’histoire des femmes algériennes dans le mouvement national et durant la Révolution armée , sur les autres voix de la résistance, celles de la Palestine, du Liban de l’Angola, du Mozambique, de la Tunisie, de la Syrie et d’autres pays, et sur les luttes des femmes dans le monde pour l’accès à une citoyenneté pleine entière, inaugureront cette rencontre de trois jours, a précisé Mme Siari-Tengour, au cours d’une conférence de presse organisée au siège du commissariat de la manifestation.
Soutenant que l’histoire a retenu des noms des femmes résistantes à travers le monde, mais en a « omis une grande majorité », la conférencière a ajouté que ce colloque « ouvrira des voies » à des recherches scientifiques et historiques qui mettront en lumière des résistantes « oubliées ».
Elle a également ajouté, dans ce contexte, qu’au delà du devoir de mémoire, le colloque vise, à travers les communications programmées et les débats, une « meilleure visibilité » de femmes ayant marqué l’Histoire de l’humanité par leurs luttes et leur résistance.
Siari-Tengour a fait savoir que Fadwa Barghouti, l’épouse de Marouane Barghouti, le leader palestinien incarcéré depuis 2002 en Israël, n’ayant pu effectuer le déplacement à Constantine, traitera par visioconférence de la résistance des Palestiniennes.
Elle a également indiqué que le documentaire « 10.949 femmes » de Nassima Guessoum, consacré aux femmes durant la guerre de libération nationale sera projeté et suivi d’un débat.
Organisé par le département Colloques de la manifestation ‘‘Constantine, capitale 2015 de la culture arabe’’, ce colloque international se poursuivra jusqu’au 24 février dans un grand hôtel de la ville du Vieux Rocher.
Celtus Dossou-Yovo et Hyacinthe Mivogbo, deux athlètes judokas béninois seront admis dans quelques jours à un stage de formation d’une année au Centre international de formation des athlètes pour la compétition de haut niveau en Hongrie.