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L'Europe politique et de la défense (par Nicolas Gros-Verheyde)
Updated: 11 hours 52 min ago

La fin du rêve Vestager à la tête de la Commission 2019 ?

Thu, 07/02/2019 - 17:15

(B2) En endossant le refus de la fusion entre les deux industriels français et allemand du rail, Alstom et Siemens, la Danoise Margrethe Vestager, commissaire à la Concurrence, a-t-elle signé la fin de ses espoirs d’être un jour à la tête de la Commission européenne ? En fait les jeux étaient faits d’avance et l’hypothèse Vestager à la tête de la Commission en 2019 tenait plus du leurre chimique que d’une réalité politique possible

(crédit : Commission européenne)

Le choix d’un président de la Commission européenne est souvent une alchimie complexe, mais qui ressort d’éléments à la fois objectifs (politique, national) et plus subjectifs (carrière personnelle). Les oublier expose à l’erreur…

Premier élément, d’ordre politique, le poste de président de la Commission européenne est normalement réservé au parti majoritaire arrivé en tête, ou plutôt celui qui peut synthétiser une majorité de coalition. Sauf évènement de dernière minute, ce sont les chrétiens-démocrates du Parti populaire européen (PPE) qui devraient arriver en première position aux élections, à bonne distance de leurs premiers poursuivants (les sociaux-démocrates). Et le PPE a clairement indiqué qu’il revendiquait la tête de la Commission pour un des siens, et n’entend pas faire ce ‘cadeau’ aux libéraux et démocrates (auquel appartient l’intéressée).

Deuxième élément, d’ordre national, le gouvernement danois n’a pas vraiment l’intention de renouveler M. Vestager au poste de commissaire. Non qu’elle ait démérité, au contraire. Mais son parti (social libéral), classé au centre-gauche, est dans l’opposition. Le gouvernement, qui a une autre composition politique, plus à droite, entend promouvoir un des siens, et non pas faire ce ‘cadeau’ à un potentiel adversaire politique. Cette condition basique, mais absolue, pour être nommée à la Commission européenne n’est pas remplie.

Troisième élément, d’ordre personnel, M. Vestager a prouvé ses compétences à la Commission européenne, elle est ancienne ministre (Éducation, puis Économie et Intérieur), mais elle n’a jamais été Premier ministre. Et le Conseil européen aime bien choisir parmi les membres du ‘club’, un ancien, le plus à même de comprendre leurs préoccupations. C’est une tradition ininterrompue depuis Jacques Delors. La Danoise peut soigner son image, prendre soin d’obtenir des portraits flatteurs dans la presse. Cela ne suffit pas à convaincre.

Quatrième élément, européen, qui n’est pas à négliger, le Danemark n’est pas un élément du cœur européen. Il ne participe ni à l’Euro,  ni à la politique de défense, du fait de ses choix internes, à une partie de la politique de justice, et n’a jamais marqué, contrairement à plusieurs autres ‘petits’ pays, sa volonté de renforcer l’intégration européenne. De par ces nombreuses ‘opt-outs’, et prises de position, c’est un outsider dans le jeu européen. Donner à un de ses nationaux le soin de conduire la politique de l’exécutif européen qui est l’élément le plus intégré de la politique européenne serait assez peu justifiable.

Dernier élément, plus géopolitique, le départ du Royaume-Uni prive le camp ‘nordique’ d’un poids non négligeable. Dans ce camp, un Finlandais ou un Irlandais, voire un Néerlandais serait plus ‘indiqué’ pour occuper un poste de tête européen, que ce soit à la Commission ou ailleurs (Conseil européen, Parlement, etc.).

Conclusion : rien n’est jamais impossible au niveau européen. Mais Margrethe Vestager avait très peu de chances, ne remplissant pas plusieurs des critères fondamentaux, pour accéder à la fonction suprême européenne. Ce bien avant sa décision dans la fusion Siemens-Alstom. Rien ne justifiait donc de sa part une quelconque mansuétude dans l’analyse de la concurrence. Ceux qui ont suggéré cette idée dans l’entourage de Emmanuel Macron, comme dans la presse, devaient savoir pertinemment ces éléments. Cela ressort davantage des ballons d’essai, ou des idées de comptoir, des quelques leurres qu’on lance avant d’aborder les ‘vrais’ choix.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Lire aussi : Comment est nommé le président de la Commission. Quelques points oubliés.

Centrafrique. Gouvernement et groupes armés signent un accord de paix. Le huitième du genre

Thu, 07/02/2019 - 12:53
(B2) Le gouvernement centrafricain et les quatorze principaux groupes armés ont signé, à Bangui, mercredi (6 février), un nouvel accord de paix. Un moment solennel. La cérémonie a eu lieu dans l'Assemblée nationale, les chefs des groupes armés se levant tout à tour pour signer le document. L'engagement à mettre fin aux violences est inscrit […]

L’adhésion de la Macédoine signée. En route vers une OTAN à 30

Wed, 06/02/2019 - 20:42
(B2) Les ambassadeurs des pays membres de l'OTAN ont signé ce mercredi (6 février), le protocole d'adhésion de la Macédoine du Nord à l'Alliance atlantique. Un évènement historique ont souligné de concert le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, et le ministre macédonien des Affaires étrangères présent à la séance Le long voyage de Skopje […]

Une DG défense et sécurité d’ici la fin de l’année ?

Wed, 06/02/2019 - 14:37
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Huit représentants spéciaux de l’UE enkystés dans le paysage. Efficacité ?

Wed, 06/02/2019 - 14:05

(B2) L’Union européenne dispose aujourd’hui de huit représentants spéciaux (Bosnie-Herzégovine*, Kosovo*, Processus de paix au Moyen Orient, Asie centrale, Sud Caucase et crise en Géorgie, Corne de l’Afrique, Sahel, Droits de l’Homme)

Le représentant spécial pour l’Asie centrale Peter Burian à New-York (crédit : SEAE)

Des super-diplomates à l’efficacité invisible

Ces ‘super diplomates’, compétents, se sont tellement ‘incrustés’ dans le paysage, dans une fonction quasi permanente, qu’on a cependant bien des difficultés à situer leur utilité dans le paysage européen (1). Leur activité réelle reste d’ailleurs un grand mystère. Aucun compte-rendu d’action n’est disponible : ni oral (conférence de presse, etc.) ni écrit (rapport annuel).

Une superposition plutôt qu’une simplification

Leur existence — prévue par le Traité européen — se superpose aujourd’hui tellement aux structures existantes — délégation de l’UE + division ou département ‘géographique du siège du SEAE + missions ou opérations PSDC — qu’elle complique réellement le paysage local plutôt qu’elle ne le simplifie. Leur rôle de coordination se révèle un leurre car toutes ces structures obéissent à des impératifs et des chaînes de commandement totalement différents. J’ai été apostrophé par plusieurs Africains par exemple me demandant qui était le représentant européen dans leur pays. Belle question.

Un coût non négligeable

Le coût de ces structures n’est cependant pas négligeable. En 2018, selon le dernier état des lieux dressé par la Commission européenne, le budget se montait à 20,745 millions d’euros ! Pourtant peu d’États membres sont disposés à supprimer cette modalité qui représentante un ‘fromage’ pas désagréable à se répartir.

Une rationalisation nécessaire ?

De façon concrète, la question de supprimer la plupart de ces postes au profit d’un ‘bon’ ambassadeur local, doté d’un rôle de coordination régionale, ou tout simplement du directeur ou chef de division au siège du service diplomatique européenne, dont c’est un peu le rôle (2). Cela aurait le mérite à la fois de rationaliser le système diplomatique européen, et de dégager des marges budgétaires pour faire autre chose. NB : Ramené au salaire moyen d’un diplomate (6-7000 euros), on pourrait engager une équipe d’au moins 200 diplomates… ce n’est pas négligeable

(Nicolas Gros-Verheyde)

  1. Deux de ses représentants disposent d’un double chapeau (marqué *), assurant aussi le rôle de chef de délégation. Il existe aussi des envoyés spéciaux au sein du SEAE (pour l’espace). D’autres sont rattachés à la Commission européenne tels Jan Figel, envoyé spécial pour la liberté de religion dont le rôle est tout aussi confus. Là on est  davantage dans un rôle de circonstance destiné à récompenser un ‘ami’.
  2. Les États membres sont souvent contre la suppression des RSUE non par souci d’efficacité, mais tout simplement pour conserver la chance d’obtenir des postes supplémentaires, de grade supérieur et d’influence, pour leurs diplomates nationaux, qui peuvent ainsi se déplacer, sous étiquette européenne, sans réel contrôle.

Carnet (06.02.2019). Confidentiels (EUFOR Althea, déclaration INF, COPS). Défense (Coût bâtiment OTAN, Espagne budget, Allemagne investissements, Belgique F-35 et nucléaire, Estonie chasseurs de mines). Diplomatie (Venezuela contact, Israël colonies,...

Wed, 06/02/2019 - 09:20
(B2) Parus récemment : (blog) Good bye Tornado Un homme d’affaires syrien obtient le dégel de ses avoirs, pour manque de preuves (blog) L’aéroport de Bamako équipé de détecteurs de faux documents Il manque 7 et 14 milliards à la défense britannique pour s’équiper. Les yeux plus gros que le ventre ? Commission 2019. Les […]

Good bye Tornado

Wed, 06/02/2019 - 07:35

(B2) Les Tornado de l’armée de l’air britannique sont rentrés de leur dernier déploiement en Irak ce mardi (5 février). Ils seront retirés du service fin mars, indique la Royal Air Force dans un communiqué.

Un tornado au décollage (crédit : Royal Air Force – Archives B2 – 2007)

Entrés en service en 1979, leur standard le plus récent (GR4) a volé au Kosovo, en Afghanistan, en Libye, en Irak et en Syrie. La relève au Moyen-Orient est assurée par les Typhoon (alias Eurofighter), en attendant les F-35. Ce chasseur multirôle européen continue de servir en Allemagne, en Italie… et en Arabie Saoudite.

(RM)

Un homme d’affaires syrien obtient le dégel de ses avoirs, pour manque de preuves

Tue, 05/02/2019 - 16:45
(B2) Dans deux décisions liées, le tribunal de l'UE annule jeudi (31 janvier) le gel des avoirs de l'homme d'affaires syrien Mouhamad Wael Abdulkarim et de la société Alkarim for Trade and Industry Une décision similaire a été rendue par le Tribunal de l'Union européenne en mai 2017. Mais elle portait sur une période distincte des […]

L’aéroport de Bamako équipé de détecteurs de faux documents

Tue, 05/02/2019 - 16:00

(B2) L’aéroport international de Bamako-Senou est désormais équipé en appareils permettant de détecter les faux documents. Ce qui a permis une chute appréciable de la fraude documentaire

(crédit : EUCAP Sahel Mali)

La livraison des matériels s’est accompagnée de plusieurs actions de formations complémentaires sur la thématique de fraude documentaire par les conseillers et formateurs « frontières », ainsi qu’un accompagnement hebdomadaire sur place. En 2019, ces actions devraient se poursuivre avec la mise en place de la première formation diplômante d’analyste en fraude documentaire (AFD).

« Grâce à ces appareils dotés avec des logiciels très sophistiqués, nous pouvons détecter non seulement les faux passeports mais aussi les faux visas » confirme le commissaire principal de police aux frontières (PAF) de l’aéroport de Bamako. « Si on regarde les statistiques, on constate que depuis 2016 le nombre des personnes qui utilisent des faux documents a diminué d’une manière remarquable. »

Un point dont se réjouit la mission de l’UE présente sur place, EUCAP Sahel Mali, chargée de la formation et de l’assistance des forces de sécurité intérieure maliennes : « cela a un impact significatif dans l’ensemble des aéroports européens ». L’objectif est en effet non seulement d’améliorer la sûreté aéroportuaire à Bamako mais aussi de lutter contre l’immigration irrégulière vers l’Europe.

(MHA / NGV)

Il manque 7 et 14 milliards à la défense britannique pour s’équiper. Les yeux plus gros que le ventre ?

Tue, 05/02/2019 - 12:32
(B2) La défense britannique présente toujours un écart persistant entre son plan d'équipement et son budget disponible pour les dix à venir. Un 'trou' qui pourrait menacer certains programmes comme les nouveaux avions F-35, prévient un rapport cinglant du Parlement britannique Un déficit compris entre 7 et 14 milliards de livres sterling Il manque, en […]

Commission 2019. Les candidats au poste de Haut représentant ne se bousculent pas. Six noms possibles et éventuels ?

Tue, 05/02/2019 - 09:40
(B2) S'il reste encore quelques mois avant la prise de décision possible (juin ou juillet 2019) et la prise de fonction (1er novembre 2019), les candidats au poste de Haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères restent discrets. B2 a détecté trois candidats potentiels remplissant les principaux critères écrits ou non-écrits à ce poste (1) […]

N°68. L’Europe face à la crise au Venezuela

Tue, 05/02/2019 - 07:30
(B2) Cela fait plus de deux ans que la crise vénézuélienne est à l'agenda des Européens. Les ministres ont d'abord misé sur un trio de médiateurs (avec l'ancien Premier ministre José Luis Zapatero), puis, faute d'aboutissement, ont prononcé des sanctions, voulant faire pression sur Maduro pour finir par reconnaitre Juan Guaido comme le président légitime […]

L’ancien ministre ukrainien de l’énergie obtient le dégel de ses avoirs

Tue, 05/02/2019 - 06:10
(B2) Le Tribunal de l'UE a annulé ce mercredi (30 janvier) le gel des fonds prononcé à l'encontre de l'ancien ministre ukrainien de l'Énergie et de l'Industrie du charbon du président Viktor Ianoukovytch La deuxième tentative a été la bonne Après un premier recours rejeté devant le Tribunal en mars 2018 (2), Edward Stavytskyi s'est finalement vu […]

Union européenne et Ligue Arabe tentent d’avancer vers davantage de coopération

Mon, 04/02/2019 - 23:00
(B2) Réunis à Bruxelles, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne et la Ligue Arabe se sont engagés à renforcer leur coopération pour renforcer paix et stabilité au Moyen-Orient, ainsi que favoriser le développement économique, social et technologique. Les différents n'ont pas été absents Cette réunion fait partie du travail de préparation au sommet entre […]

La position européenne au Venezuela : difficile à saisir

Mon, 04/02/2019 - 22:37

(B2) L’attitude des Européens face à la situation au Venezuela laisse un tantinet perplexe. Autant la position a été assez claire au début, en faveur d’un dialogue, appelant Maduro à respecter les droits de l’Homme et l’opposition, etc.. Autant on reste dubitatif face au tournant pris ces derniers jours

Réfugiés franchissant la frontière colombienne en provenance du Venezuela (crédit : ECHO/CE, mars 2018)

Une position qui lambine

Cela fait plus de deux ans que la crise vénézuélienne est à l’agenda des Européens (lire notre dossier n°68 : les Européens face à la crise au Venezuela). Et ceux-ci n’ont pas réussi à imprimer leur rythme et leur méthode. Ils ont longtemps tergiversé, avant finalement d’annoncer vendredi dernier, (1er février), à Bucarest, à l’occasion de leur réunion informelle, la création d’un groupe de contact international, composé de façon pléthorique de huit pays côté européen. Il serait faux de croire qu’il s’agit d’un groupe de médiateurs. L’ambition n’est « plus d’avoir un dialogue, c’est trop tard, mais de faire pression sur le régime pour obtenir des élections » explique un haut diplomate européen.

Puis une reconnaissance au pas de course

Dans le même temps, les principaux pays européens (Espagne, France, Allemagne, Royaume-Uni) suivis par une quinzaine d’autres ont décidé, ont décidé de reconnaitre le président de l’assemblée Juan Guaido, comme seule entité légitime (1). Le délai de huit jours laissé au régime Maduro de huit jours pour changer de position n’était pas acceptable, et ressemble largement à une volonté d’ingérence démocratique. Une position davantage liée à la politique américaine d’intervenir directement dans la crise. Les Européens ne voulant pas apparaitre à la traîne de Washington (2).

Une position contradictoire

Cette position double — d’un côté le groupe de contact qui peine à se mettre en place, de l’autre la reconnaissance au pas de course — est difficile à comprendre, voire contradictoire. Certes les Européens peuvent espérer couper l’herbe sous le pied à une tentation d’intervention militaire. Mais le jeu est éminemment risqué. Car cette ultime tentative, en forme de coup de poker, pourrait apparaître rapidement un leurre.

Un pari risqué

Si Nicolas Maduro, soutenu par la Russie de façon indirecte et quelques gouvernements latino-américains, joue l’épreuve de force et fait intervenir l’armée, suscitant au besoin une réplique américaine, que vont faire les Européens ? L’intervention est hors de portée. On en reviendra donc aux fondamentaux européens : appel au calme,  à la restriction de l’usage de la force, et… envoi d’aide humanitaire. Les Européens seront, alors, contraints de faire aveu de faiblesse, en étant les spectateurs de la force. Une nouvelle fois. Comme ils l’ont fait déjà en Libye, en Syrie et en Ukraine. Et chacun se posera alors la question : les Européens, combien de divisions ?

(Nicolas Gros-Verheyde)

  1. Une reconnaissance effectuée de façon étonnante : via twitter, dans des déclarations à des médias, etc. Sans position gouvernementale explicitée, écrite, authentifiée.
  2. On peut aussi y voir une sorte de ‘contrepartie’ diplomatique à la décision courageuse des E3 (France, Allemagne, Royaume-Uni) d’affronter nettement le régime Trump sur la question du nucléaire iranien. Lire : La mise en place du SPV, l’instrument de troc avec l’Iran, une symbolique forte

Les conclusions adoptées sur l’Iran

Mon, 04/02/2019 - 19:30
(B2) Les 28 ont, enfin, réussi ce lundi (4 février) à adopter des conclusions sur l'Iran Le texte des conclusions, tel que relaté dans notre article détaillé, publié le 26 janvier, reste quasi-identique à deux ou trois exceptions près. On peut noter la disparition de trois éléments : la reconnaissance du rôle de l'Iran dans […]

Les douze pistes du commandant Coppola pour mieux gérer les missions civiles

Mon, 04/02/2019 - 17:40
(B2) Les missions civiles de la PSDC souffrent encore de difficultés de recrutement, de manque de flexibilité et de certains défauts de gestion. Ces 'vieux' problèmes nécessitent une solution. Le général Vincenzo Coppola, commandant des opérations civiles de l'Union européenne, met les points sur les 'i' Pour son premier échange avec les députés européens de […]

La priorité de la prochaine présidence : le futur cadre budgétaire (Juha Sipilä)

Mon, 04/02/2019 - 16:20
(B2) L'adoption du prochain cadre financier pluriannuel est en tête de liste des priorités de la présidence finlandaise du Conseil au 2e semestre 2019 a annoncé son Premier ministre, Juha Sipilä, devant la plénière du Parlement européen à Bruxelles, jeudi (31 janvier). Pour le leader du parti du centre, le respect de l'Etat de droit est aussi […]

Venezuela : plusieurs pays européens reconnaissent Juan Guaido. Mais pas tous ?

Mon, 04/02/2019 - 11:05
(B2) De façon coordonnée, plusieurs gouvernements européens (Espagne, France, Royaume-Uni) ont officiellement reconnu, lundi (4 février) matin le président de l'assemblée venezuelienne, Juan Guiado, comme président par intérim, avec mandat de convoquer des élections. NB : ce papier sera réactualisé dans la journée « Je ne ferai pas un pas en arrière. Pour la liberté, […]

Carnet (04.02.2019). Confidentiels (EUTM Somalia, Iran). PESC (sanctions Irak, Venezuela reconnaissance, Russie JAI) Opérations (Minusma renforts, Yemen mission ONU, RD Congo prospective). Défense (Autriche hélico, Arabie saoudite export). Diplomatie ...

Mon, 04/02/2019 - 10:45
(B2) Parus récemment : (blog) Une défense européenne pour après-demain. Cycle de conférences (blog) Dernières nouvelles des missions de maintien de la paix de l’UE – PSDC (janvier 2019) Carnet spécial. Les petites phrases de l’informelle Défense (31 janvier 2019) Le retrait américain du traité inquiète. L’Europe ne veut pas redevenir un champ de bataille […]

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