Après sa levée d'immunité parlementaire, ce mardi 24 juillet 2018, le député Valentin Djènontin devra justifier le scandale financier de 125 milliards de francs CFA orchestré à l'ex Sonapra (Société nationale pour la promotion agricole) et à la Caia (Centrale d'achat des intrants agricoles) durant les campagnes agricoles 2013-2014, 2014-2015 et 2015-2016.
A la suite d'une mission d'audit commanditée par le gouvernement en 2017, de graves irrégularités ont été relevées au cours des campagnes sus indiquées. Selon les résultats de l'audit, ces campagnes ont été déficitaires du fait de la gestion exclusive de la filière par l'Etat et les montants des déficits, correspondent aux subventions accordées par l'Etat pendant la période.
Selon le relevé du Conseil des ministres du mercredi 28 juin 2017, des défaillances dans l'organisation du cadre institutionnel transitoire de gestion de la filière ont été relevées et se caractérisent par l'absence de règles précises et des confusions de responsabilités. Ce qui n'a pas permis une gestion transparente et rigoureuse de la filière durant cette période.
La gestion de ces campagnes ont engendré une perte estimé à 125 milliards de francs CFA que le député Valentin Djènontin, alors président de la commission chargée de l'acquisition des intrants au profit du ministère de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche, devra justifier.
F. A. A.
Par 58 voix pour, 18 contre et 00 abstention, la Représentation Nationale a levé l'immunité parlementaire des députés Valentin Djènontin et Idrissou Bako. C'est
suite au rapport d'audits du Cabinet Mazars dans le cadre de l'audit de la gestion de trois campagnes cotonnières de la période transitoire. C'est à dire les campagnes cotonnières 2013-2014, 2014-2015,2015-2016.
Pour permettre aux populations d'apprécier l'acte des députés 7ème législature, votre journal leur a ouvert ses colonnes.
Germain Assogba : Enseignant
« La levée de l'immunité parlementaire à Valentin Djènontin et Idrissou Bako est un acte majeur. Et je pense qu'il faut saluer l'ensemble des députés qui par cette initiative, accompagnent le président Patrice Talon dans la lutte contre l'impunité et la mal gouvernance. C'est inadmissible qu'au moment où les populations manquent d'eau potable, certains individus détournent 125 milliards FCFA. Ils doivent justifier la destination de ces sous. »
Eric Fiogbé : Opérateur économique
« J'avoue que j'ai été séduit par la promptitude avec laquelle les députés ont retiré l'immunité des députés Valentin Djènontin et Idrissou Bako afin de leur permettre de se mettre à la disposition de la justice pour besoin d'enquête. Si les députés cités dans les rapports d'audits du Cabinet Mazars, dans le cadre de l'audit de la gestion de trois campagnes cotonnières de la période transitoire ne se reprochent rien, ils ne doivent pas être inquiétés. Il s'agit d'une perte de 125 milliards FCFA à l'Etat dans l'acquisition et la gestion des intrants. »
Joseph Akan : diplômé sans emploi
« Pour une fois j'apprécie la méthode du président Talon. On peut l'accuser de tout, mais sur ce coup, il n'y a rien à lui reprocher. Le peuple a besoin de savoir la destination des 125 milliards qui ont disparu de façon miraculeuse. »
Clémentine Tossou, Esthéticienne
« Je suis d'accord que les députés du bloc de la majorité parlementaire aient livré les premiers clients à la Haute cour de justice. Je serai encore plus honorée s'ils mettent à la disposition de la justice, des députés issus de leurs rangs qui se seraient impliqués dans des dossiers de malversations. »
Franck Gbéhou : Comptable
« Il fallait que cela commence un jour. Je vous assure que j'apprécie de façon positive le geste des députés. Ce n'est pas bien que des gens pillent l'économie nationale sans être inquiétés. Valentin Djènontin et Idrissou Bako doivent répondre de leurs actes. »
Paulin Agbazahou : Mécanicien diéséliste
« La levée de l'immunité parlementaire à Valentin Djènontin et Idrissou Bako montre une fois encore la volonté du chef de l'Etat d'en découdre avec ses opposants. Pourquoi est-ce que l'affaire Ppea2 dans laquelle l'ancien ministre Barthélémy Kassa a été cité n'a pas été relancée pour que l'intéressé se justifie aussi ? Le président Talon doit faire en sorte que la lutte contre l'impunité ne soit pas sélective. »
Salifou Karimou : Ingénieur informatique
« Je loue l'initiative des députés qui viennent de permettre à Valentin Djènontin et Idrissou Bako de se mettre à la disposition de la justice afin d'expliquer la gestion de trois campagnes cotonnières . »
Propos recueillis par Paul Tonon
TIZI-OUZOU – La 4ème édition de la manifestation « Ciné Plage », destinée à l’animation de la saison estivale, aura lieu du 31 juillet au 4 août 2018, a annoncé mardi la direction de la Culture de la wilaya de Tizi-Ouzou.
Initiée dans le cadre du programme de l’animation de la saison estivale par l’Agence Algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) avec la participation de la direction de la Culture, cette manifestation aura lieu cette année au niveau de la plage d’Azzefoun.
Deux projections, un court et un long métrages, seront programmées chaque soir à partir de 21h000 tout au long des cinq jours que durera cette manifestation. Cinq films sont programmés dans chaque catégorie.
En outre, et dans le cadre de la caravane artistique lancée il y a quelques jours, un gala sera animé par les chanteurs Abdelkader Chaou et Ahcen Ath Zaim, le samedi 28 juillet à partir de 22h00 au niveau du port d’Azeffoun, a indiqué la direction de la Culture.
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ALGER- Le directeur général de l’Office national du hadj et Omra (ONHO), Youcef Azzouza, a exhorté mardi à Alger les membres de la mission algérienne du hadj à faire preuve « d’abnégation et de loyauté dans leur travail au service des hadjis ».
Dans une déclaration à l’APS, en marge de la cérémonie de départ depuis l’aéroport international Houari Boumediene en direction de Médine (Arabie Saoudite) du premier vol de la mission algérienne du hadj 2018 comptant 270 sur un total de 800 membres, M. Azzouza a indiqué que « l’Etat a placé sa confiance dans les membres de la mission qui doivent être à la hauteur de la responsabilité ».
Le directeur général de l’ONHO a relevé que les préparatifs précoces du hadj 2018 ont apporté « des résultats de bon augure » et tous les secteurs concernés s’étaient hâtés de mettre en place les conditions favorables.
Toutes les dispositions ont été prises et tous les besoins ont été satisfaits, a indiqué le même responsable qui a espéré que cette saison de hadj puisse être réussie.
Les membres de la mission algérienne du hadj se répartiront sur les centres de Médine, Mecque et Djedda outre les membres relevant des agences de voyages, a-t-il dit, soulignant qu’une délégation de 30 membres s’est récemment dirigée vers les lieux saints de l’islam pour réceptionner les médicaments au niveau des centres médicaux et obtenir les autorisations pour les membres de la mission algérienne de hadj.
Les 800 membres de la mission algérienne de hadj représentent, a ajouté M. Azzouza, les ministères de l’Intérieur, des Affaires étrangères, des Finances, des Travaux Publics, des Affaires Religieuses, de la Communication et du tourisme ainsi que de la protection civile et de l’ONHO.
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Les 24 candidats au premier tour du scrutin présidentiel du 29 juillet avaient mobilisé tous les moyens d’information et de communication, notamment les médias et les réseaux sociaux, pour présenter aux populations leurs programmes électoraux, ont rapporté des titres de la presse malienne.
Les prétendants à la magistrature suprême avaient animé des meetings et effectuaient des tournées dans les différentes régions afin de convaincre les électeurs de l’importance de ce rendez-vous électoral pour le pays.
Le président candidat Ibrahim Boubacar Keita et son principal opposant, Soumaïla Cissé, considéré comme le chef de file de l’opposition, avaient sillonné l’ensemble du pays pour être au plus près des électeurs, de façon à sortir des grandes villes.
La même démarche avait été suivie par d’autres postulants, à l’exemple de Cheick Modibo Diarra, qui avait mené, selon la presse malienne une campagne électorale réussie marquée par des actions originales, telles que des rencontres ciblant des catégories de la société malienne en vue de s’enquérir de leurs préoccupations et attentes.
Les équipes de campagne des 24 candidats avaient rivalisé également sur les réseaux sociaux et sur les antennes de radio locales. Des médias publics et privés ont organisé pour la première fois au Mali, des débats sur le scrutin avec la présence de certains candidats et de leurs staffs.
Sur le plan organisationnel, les autorités maliennes ont annoncé avoir pris toutes les mesures nécessaires pour le bon déroulement de ce scrutin.
Le Premier ministre malien, Soumeylou Boubèye Maïga, a assuré, lundi, à l’issue d’une réunion portant sur les derniers préparatifs, que le gouvernement veille scrupuleusement pour la transparence du processus électoral et la mise en place des moyens nécessaires.
Réagissant à des accusations de l’opposition sur l’existence d’un second fichier électoral, il a affirmé « qu’il n’y a qu’un seul fichier électoral, celui qui a été audité en fin avril et sur la base duquel les listes électorales et les cartes d’électeurs ont été imprimées ».
Le Premier ministre a invité les électeurs à consulter les listes électorales qui sont maintenant affichées dans les bureaux de vote. « Tout le monde pourra constater qu’il n’y pas d’électeurs fictifs », a défendu M. Maïga qui a également rappelé que les cartes d’électeurs sont distribuées par les représentants des partis politiques.
– Plusieurs organisations internationales dépêchent leurs observateurs–
Pour lever toutes sortes d’équivoques, le Premier ministre a annoncé l’ouverture de l’observation de toutes les phases de l’élection, y compris à la centralisation, à la participation de toutes les organisations internationales, dont l’Union africaine, l’Union européenne, la Minusma (mission onusienne), la CEDEAO et l’Organisation internationale de la francophonie (OIF).
« Leurs observateurs pourront assister en même temps que les représentants des candidats à la centralisation des résultats », a précisé M. Maïga.
Une rencontre est prévue ce mardi à Bamako, pour rassembler les candidats en lice, le regroupement des partis politiques, les partenaires techniques et financiers et les observateurs internationaux afin d’aborder les derniers préparatifs du scrutin.
De son côté, le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Amadou BAH, a souligné que le fichier électoral est fiable pour servir de base à l’organisation des élections de 2018. Ce fichier comportait, a-t-il mentionné, 8 000 462 électeurs pour 23 041 bureaux de vote, tout en assurant que « le Mali a créé les conditions pour des élections apaisées et il est de la responsabilité de chaque acteur de faire en sorte que cet objectif soit atteint ».
La Commission électorale compte au sein de ses structures déployées à travers le pays 4.788 membres permanents en plus du personnel d’appui et des agents de sécurité, a-t-il fait savoir.
S’agissant de la supervision de cette élection, l’Union africaine a annoncé avoir sollicité Thomas Yayi Boni, ancien président du Bénin ayant une longue expérience dans le domaine.
La mission d’observation de l’UA sera associée aux 80 autres observateurs de l’Union Européenne ayant à leur tête Mme Cécile Kyenge, alors que celle de l’OIF elle sera conduite par Dileita Mohamed Dileita.
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NEW YORK (Nations unies) – Le Haut-Commissaire aux droits de l’Homme, a dénoncé lundi l’adoption par le Parlement israélien de la loi sur « l’État national du peuple juif », qui définit Israël comme l’État des juifs et El-Qods occupé comme sa capitale.
« Cette loi ancre la discrimination inhérente contre les communautés non-juives, en particulier les citoyens arabes d’Israël et les résidents d’El Qods-Est occupée« , et « risque d’embraser les tensions« , a averti Zeid Raad Al Hussein, lors de son intervention devant le Comité des droits inaliénables du peuple palestinien, réuni au Siège de l’ONU.
M. Raad Al Hussein s’est indigné aussi de l’expansion des colonies de peuplement en Cisjordanie et à El-Qods-est occupées ainsi que les démolitions de structures (366 structures en Cisjordanie en un an, dont onze écoles).
La présumée loi a été également rejetée par le président Palestinien Mahmoud Abbas. Il a appelé la communauté internationale à intervenir et à assumer ses responsabilités en faisant pression pour bloquer cette loi qu’il juge « raciste ».
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PARIS- Des mineurs marocains sont en errance dans un quartier du nord de la capitale française, où 813 d’entre eux ont été placés en garde à vue en 2017 et 482 déférés au parquet, a-t-on rapporté de sources médiatiques.
Ce sont des enfants des rues, souvent incontrôlables, des jeunes sans-papiers, parfois source de troubles, dans le quartier multiculturel de la Goutte d’Or, dans le nord de Paris. Leur situation inquiète les autorités depuis l’arrivée des premiers mineurs en 2016.
Souvent très jeunes, abîmés par la drogue et agressifs, ils vivent de larcins et dorment dans des squares, refusant toute main tendue, a rapporté l’AFP.
« Ces jeunes représentent une part très importante de l’activité de la permanence pénale du parquet des mineurs de Paris puisque 813 d’entre eux ont été placés en garde à vue en 2017 et 482 ont été déférés au parquet.
Ils refusent en général les prises en charge et fuguent des dispositifs de placement », a précisé le ministère de la Justice français.
Selon des informations rapportées par la presse française, des policiers marocains sont « en mission » depuis le 18 juin à Paris pour « identifier, en vue de leur éventuel rapatriement, ces mineurs marocains en errance dans la capitale française, dont la prise en charge inquiète les autorités ».
Selon le ministère français de la Justice, « cette mission se donne pour objectifs de réaliser, sous l’autorité et avec l’appui des services de police et de justice français, l’identification des jeunes » placés en garde à vue ou présentés à un juge.
Elle tentera « de rétablir, en lien avec les autorités au Maroc, les liens familiaux, et quand cela s’avérera possible, d’envisager le retour » de ces jeunes au Maroc.
L’envoi de ces fonctionnaires marocains dans la capitale française suscite néanmoins de vives critiques dans les rangs des défenseurs des mineurs étrangers.
Ils s’interrogent, en effet, et en particulier, sur le devenir de ces enfants et adolescents si ces derniers retournaient chez eux. Selon les associations, certains de ces jeunes auraient été victimes de violences dans leur famille, voire victimes de réseaux de traite d’êtres humains.
La présence de cette équipe en France suscite des réactions mitigées de la société civile au Maroc qui compte 25 000 enfants des rues, la plupart dans les grandes villes. Isolés après un drame familial, le décès des parents ou une misère profonde, ces enfants arrivés en ville se déplacent en bande et se laissent peu approcher. Le tissu associatif marocain a bien du mal à les réinsérer, souvent violents, toxicomanes et sans aucune attache.
Une étude publique publiée en mai 2018 « Profil de la pauvreté des enfants au Maroc », assure: » Avec plus du tiers de la population âgée de moins de 18 ans (11 millions selon le recensement général de la population et de l’habitat de 2014 du HCP), la population marocaine est jeune et a un fort potentiel ».
Dans cette étude, l’Observatoire national du développement humain a révélé les conclusions de son enquête sur la pauvreté multidimensionnelle chez les enfants, prenant en compte plusieurs indicateurs comme la nutrition, l’accès à l’eau potable et à l’électricité, la mortalité infantile ou encore la scolarité. En somme, des données inquiétantes, au-delà de la pauvreté monétaire, et qui montrent que ce « fort potentiel » risque de se transformer en bombe à retardement sociale au vu de la réalité socio-économique de l’enfance au Maroc.
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PARIS – L’affaire Benalla, à travers laquelle le président français Emmanuel Macron semble être la cible principale, est loin de connaître son épilogue avec les auditions menées par la commission parlementaire d’enquête qui font monter la pression sur l’Élysée en l’accablant davantage.
S’érigeant en véritable tribunal politique, la commission d’enquête parlementaire, dans cette affaire d’été qui s’est transformée en affaire d’État, ne donne pas y aller de main morte. Tout passe en peigne fin pour mettre à nu les dysfonctionnements de l’État, notamment de l’exécutif qui ne semble pas, pour le moment, secoué par la tempête.
L’affaire dite Benalla est venu éclabousser la présidence française suite aux révélations faites par Le Monde qui avait montré le « Monsieur sécurité » de l’Élysée, Alexandre Benalla, agresser violemment des manifestants le 1er mai dernier. Un scandale qui a pratiquement mis le monde politico-médiatique dans un contexte d’hystérie totalequi a fait oublier la dernière conquête footballistique française au niveau mondial.
Le Premier ministre Edouard Philippe, au cours d’une réunion à huis clos avec les députés de La République en marche (LREM), a accusé l’opposition d' »obstruction » et d' »instrumentalisation politique » de l’affaire qui relève actuellement de la justice. Les oppositions « veulent nuire, nuire au président de la République, nuire au gouvernement, nuire à la majorité. Et elles vont feuilletonner pour que la polémique dure le plus longtemps possible« , a affirmé Édouard Philippe, selon les propos des participants à cette réunion rapportés par la presse.
D’ailleurs, le dernier baromètre IPSOS pour Le Point, dont les résultats ont été publiés ce mardi, montre que le président Macron recule de quatre points dans l’opinion dans le sillage de cette affaire inédite depuis le début de son quinquennat. Le sondage fait ressortir que le président Macron accuse un recul de quatre points en un mois parmi les sympathisants de son mouvement (LREM, à 75 % d’opinions favorables, et un décrochage de onze points chez les sympathisants Les Républicains (LR, droite), à 32 %.
Après l’audition, lundi, du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, et préfet de police de Paris, Michel Delpuech, qui ont tenté de défendre leurs périmètres d’actions, plusieurs observateurs politiques concluent que le président Macron doit sortir de son mutisme en « assumant sa part d’erreurs » dans ce scandale. En tout cas, ils restent unanimes à penser que beaucoup de zones d’ombres persistent sur le rôle de chaque institution dans la délivrance ou pas de l’autorisation à Alexandre Benalla « d’opérer » lors des manifestations du 1er mai.
Dans son édition de mardi, Le Figaro (droite) a estimé que « la révélation du comportement douteux d’un rouage important du dispositif de la sécurité élyséenne sidère le pays : rien ne changera donc jamais dans les allées du pouvoir », soulignant que la crédibilité du président est désormais « ébréchée » par la « Benallagate ». Au sein de l’opinion de gauche, L’Humanité souhaite l’audition du président de la République, soulignant que les oppositions, face à l’entêtement de l’exécutif, « ont montré combien l’équilibre des pouvoirs est un bien précieux à conquérir et à promouvoir ».
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Le Ministre de l’Intérieur a appelé les maires à “changer de mentalité”. Et consacrer leurs énergies à développer des stratégies. Et ce, pour attirer les investisseurs, créé des postes d’emplois et partant, des richesses pour leurs communes. “Le Maire se doit de s’investir pour créer des richesses, des emplois. Développer des ressources locales, comme le tourisme, l’agriculture. Et ce, à travers des plans de développements”. C’est sur quoi a insisté Nouredine Bedoui, alors qu’il était en visite, hier mardi 23 juillet, dans la wilaya de Saida. Ainsi, s’adressant à un Maire de la ville, le ministre de l’Intérieur lui lance : “personne mieux que vous ne connait les spécificités de votre commune”. Et de conclure, enfin, que les Maires ne doivent pas attendre à ce que ce soit au niveau Central que soient traitées les questions portant sur l’investissement”.
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Un comité de suivi et de lutte contre l’arbovirose est installé au niveau du département de la Santé et ce, suite à l’Alerte donné par l’Institut Pasteur contre le retour cette saison estivale du moustique tigre signalé dans cinq wilayas du nord du pays, a indiqué le professeur Djamel Eddine Fourar, directeur de la prévention au ministère de la Santé.
Ce moustique offensif et porteur de gênes et de maladies sévit en effet dans cinq wilayas cotières où il a été signalé. Il s’agit des wilays d’Alger, Tizi Ouzou, Jijel, Oran et Annaba.
Toutefois, aucun cas de maladies n’est signalé jusque-là mais la bestiole est décrit comme étant un insecte qui s’adapte parfaitement à n’importe quel milieu aqueux, affirme le professeur Djamel Eddine Fourar, au micro de Hamid Belkassem de la Chaine 3, ajoutant qu’il engendre des désagréments via ses piqures et donc beaucoup de maladies dangereuses comme le Zika, la Magnolia et le Dink.
Il est aussi conu comme étant un animal résistant et difficile à combattre puisqu’il se reproduit rapidement et dans toutes les biotopes urbaines.
Par mesure de prévention, le ministère préconise d’être plus vigilent et de sécher toute ustensile ou toute marre d’eau.
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Pas moins de 7 gares sont en cours de réalisation, a indiqué mardi à Jijel le ministre des travaux publics Abdelghani Zaâlane en déplacement dans la wilaya de Jijel pour inspecter les travaux d’extension du port local.
Le ministre des travaux publics a révélé la réception de deux gares sur les 7 en cours de réalisation à savoir les gares maritimes d’Alger et de Béjaia, indiquant que les travaux avancent à un rythme appréciable.
Une autre gare maritime est prévue, dans le cadre de développement du port de Jijel, le plus grand à l’échelle nationale.
Le ministre des Travaux publics au micro du correspondant de la Chaine 3 Abderlhamid Zouad
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Ceci s’est passé à l’hôpital d’Oran, scandaleux selon ses dires un père filme une scène horrible dans la morgue ou on lui a remis son enfant nouveau-né, décédé, dans une boite en carton.
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