Le Fonds monétaire international (FMI) a conclu la sixième revue du programme du Sénégal appuyé par l’instrument de soutien à la politique économique (ISPE), a indiqué l’institution financière sur son site web. Le programme en question vise à faciliter la mise en œuvre de la politique économique et des réformes structurelles afin d’atteindre les objectifs macroéconomiques du Plan Sénégal Emergent (PSE) et de remplir les critères budgétaires régionaux fixés par l’UEMOA. Selon le directeur général adjoint du FMI, le Sénégal a enregistré une forte croissance de 7,2% en 2017, qui sera maintenue à moyen terme.
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La sélection féminine de football qui s’est brillamment qualifiée pour la Coupe d’Afrique des nations CAN-2018 sera honorée par la Fédération algérienne de football mercredi à 18h00 au Centre technique national de Sidi-Moussa (Alger), a indiqué la FAF mardi.
Le président de la FAF, Kheïreddine Zetchi, rendra, à cette occasion, hommage aux joueuses de la sélection nationale, à son staff technique emmené par Azzedine Chih et à tous ceux qui ont contribué à ce succès en leur remettant des récompenses représentant la prime de qualification décidée lors du dernier bureau fédéral, souligne la même source.
Cette cérémonie se déroulera en présence de Mohamed Hattab, ministre de la Jeunesse et des Sports, des membres du bureau fédéral et de la présidente de la commission du football féminin, Radia Fertoul
La sélection algérienne féminine s’est qualifiée pour la phase finale de la CAN-2018 prévue au Ghana du 17 novembre au 1er décembre, en dominant en aller et retour son homologue éthiopienne (3-1, 3-2). APS
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L’armée d’occupation israélienne a arraisonné mardi un bateau palestinien parti du port de pêche de Ghaza dans le but de dénoncer le strict blocus israélien qui étouffe l’enclave depuis plus de dix ans. Le navire, parti en matinée, a été arraisonné en fin d’après-midi par l’armée d’occupation israélienne, qui a « arrêté tous les passagers ainsi que le capitaine », ont rapporté les organisateurs, lors d’une conférence de presse à Ghaza. Saluée par des centaines de Palestiniens, l’embarcation avait pris la mer avec à son bord neuf passagers, dont quatre Palestiniens blessés par des soldats israéliens et des étudiants.
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La Coke sale d’Amérique du sud et les 10% sur les marchés publics, tous les deux jouent un rôle important dans la culture du Business algérien à travers ses utilisations rituelles. Si la première est considérée comme le gain rapide pour grimper l’escalier des milliardaires, la deuxième est utilisée pour blanchir la saleté de la première.
La notion de la drogue et de l’immobilier s’applique pleinement chez nous. Les Algériens ont tendance à minimiser ce que l’on appelle discrètement « les affaires », et scandalisent le mot « corruption », réservé particulièrement aux pays sous-développés. Un goût de somnifère vanté pour déformer la perception de la réalité des affaires et masquer la nature et l’ampleur de cette corruption qui gangrène le pays.
La corruption en Algérie, on ne peut même plus en parler publiquement tellement elle est devenue toute puissante et tellement protégée et rentrée dans la normalité de notre vie, qu’on finit par la prendre pour ‘’cadeau’’.
Seules quelques activistes, journalistes ou hommes politiques informés ou encore les grandes gueules, qui osent la dénoncer et qui parfois risquent gros. Il faudra voir si tous ceux qui sont en possession de preuves et qui pleurent cette corruption, auront toujours le courage de la dénoncer officiellement devant le parquet …
Malheureusement, le citoyen est pieds et poings liés et se lève chaque matin la tête conditionnée dans son relevé de compte comment finir ses fins de mois, enchaîné par les dettes et embourbé par les charges de l’électricité, l’eau et le téléphone. Tout comme cette jeunesse endormie par le Facebook et le net, en train de rêver un mariage blanc ou discuter des derniers styles de coiffures et de pantacourt. Tous en mode de veille, pendant que d’autres prennent de l’ascension impunément dans leurs cages dorées.
Tant que les ‘’cons’’ ne s’arrêteront pas d’applaudir cette bande de corrompus et blanchir leur politique pour les exposer en gentlemen bienfaiteurs à l’image de Kamel Bouchi ou l’ancien premier flic de l’Algérie aux mains propres ou le fils de l’ancien premier ministre réformateur, il est conseillé de rester chez soi, ne surtout pas allumer la télé, se déconnecter du net, éteindre les portables , mais surtout laisser la radio arabe en mode ‘’On’’, car on sait jamais dans quelle fin s’achève la saga des corrompus !
Si la partie visible de cette corruption qui ulcère le corps de notre société, sont les pots de vin qui font courir les petits fonctionnaires, le cirque des affaires en fait autant de casse que le terrorisme.
Si le cercle des affaires politico-financières a été considéré longtemps en Algérie comme le noyau de l’influence et de l’argent, la nouvelle débarquée dans notre pays , la COCA, qui a été déchargée des containers des frères Chikhi sur les côtes d’Oran et qui a rendu obèse certains de nos responsables corrompus, a failli faire basculer la stabilité du pays et vient de démontrer clairement que nous sommes devant un nouveau mode de terrorisme !
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Les éléments de la protection civile de Aïn Defla ont repêché, mardi après-midi, le corps d’une personne retrouvée inanimée au niveau d’une retenue collinaire située dans la commune de Bordj Emir Khaled (sud de la wilaya), a-t-on appris auprès de la Direction locale de ce corps constitué.
La victime, une personne aux besoins spécifiques âgée de 32 ans, est tombée dans la retenue collinaire de 3 m de profondeur (non entourée par une clôture) implantée non loin d’un groupement d’habitations du douar Kouassah de la commune en question, a-t-on précisé de même source.
La dépouille a été transférée à la morgue de l’hôpital de Khémis Miliana, a-t-on précisé.
Au total, sept interventions ont été effectuées par la protection civile de Aïn Defla depuis le début de l’année en cours, a-t-on souligné, faisant état de six (6) personnes décédées et de deux (2) autres sauvées d’une mort certaine.
Les éléments de la protection civile sont également intervenus au niveau de la cité Cherchali de Khémis Miliana, pour procéder au transfert vers la même structure hospitalière d’un homme (60 ans) électrocuté, alors qu’il se trouvait sur la terrasse de sa maison, a-t-on ajouté de même source. APS
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Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a accordé samedi un entretien à l’agence de presse chinoise Chine Nouvelle (Xinhua), dont voici le texte intégral, tel que repris et publié par l’APS sur son site web:
Chine Nouvelle (Xinhua) : L’Algérie célèbre cette année le 60e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques algéro-chinoises: comment se déroulent les préparatifs?
M. Messahel Abdelkader: J’aimerai en premier lieu vous remercier pour cette louable initiative et pour l’occasion que vous m’accordez pour revenir sur les relations exceptionnelles qui unissent nos deux pays et aux liens d’amitié et de solidarité entre le peuple algérien et le peuple chinois frère auquel nous vouons un profond respect.
En effet, la célébration du 60e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques algéro-chinoises est une occasion qui nous est très chère pour les significations nobles et profondes qu’elles véhiculent et qui reflètent la solidité des liens entre les deux pays et peuples amis, des liens qui n’ont vu à travers leur histoire que distinction et excellence.
Elle est également une aubaine pour réitérer l’attachement des deux pays aux mêmes principes et la concordance de leurs vues vis à vis des questions internationales et régionales d’intérêt commun, ainsi que leur souci constant à aller de l’avant vers la consolidation du partenariat stratégique global qu’ils entretiennent depuis 2014.
Pour fêter cet important évènement, une série de manifestations et d’activités seront organisées tout au long de l’année dans les deux pays et dans différents domaines, notamment, l’échange de visites des troupes culturelles, le lancement de quelques projets bilatéraux et l’émission de timbres postaux.
Ma visite en Chine les 11 et 12 juillet 2018 s’inscrit également dans le cadre de la célébration de cette anniversaire.
La Chine abrite la 8e édition de la réunion ministérielle du Forum de coopération Chine-Etats arabes, quelles en sont vos attentes?
Le Forum de coopération Chine-Etats arabes a contribué, depuis sa création en 2004, au raffermissement des relations entre les deux parties qui englobent aujourd’hui différents domaines de coopération, des relations qui ont dépassé le stade de la concertation et du dialogue politique et porte dorénavant sur l’établissement d’un véritable partenariat sino-arabe. Au regard de la volonté politique manifestée par les deux parties en faveur de la poursuite des relations bilatérales entre la Chine et la Zone arabe, je suis convaincu que la 8e édition du Forum sera couronnée de succès et nous permettra d’esquisser un plan d’action pour les deux années à venir qui répondra aux aspirations de nos peuples.
Quel seront, selon vous, les sujets que devraient discuter les pays arabes avec la Chine lors des travaux du Forum?
La 8e édition du Forum de coopération Chine-Etats arabes intervient alors que la région arabe fait face à des tensions sur les plans sécuritaire et politique, comme elle fait face à une série de défis économique et de développement. C’est pour cela que les participants se pencheront sur la thématique du développement dans la région arabe, l’examen de la situation en Syrie, au Yémen, en Libye et en Palestine occupée et débâteront des questions internationales d’intérêt commun et les voies et moyens pour le renforcement de la coopération bilatérale, notamment en matière d’échange culturel.
Depuis la fin du Forum sino-arabe de Doha en 2016, comment évaluez-vous, M. le ministre, le rythme d’évolution des relations entre l’Algérie et la Chine, en matière des projets communs et au titre de l’initiative « la Ceinture et la Route » ?
L’Algérie considère l’initiative « la Ceinture et la Route », comme étant un projet « stratégique et complémentaire », ayant pour but le renforcement de la coopération entre les Etats au service de leurs objectifs de développement et leur intérêts communs, à travers notamment la multiplication des investissements, dans le sens de servir l’intérêt commun dans le développement et le progrès.
L’Algérie est considérée, au regard de ses relations distinguées avec la Chine et de son rôle pivot dans le monde arabe, comme un acteur majeur à même de booster la coopération sino-arabe. Dans ce cadre, les relations algéro-chinoises ont connu, ces dernières années, une croissance accélérée qui s’est traduite par la préservation par la Chine de la première place au rang des partenaires commerciaux de l’Algérie, avec une moyenne annuelle qui a dépassé 8 milliards USD du total des importations algériennes, ainsi que par la réalisation de plusieurs projets d’infrastructures de base à travers l’ensemble du territoire national. Il a été également, relevé un appui remarquable au cadre juridique de la coopération bilatérale, avec un ensemble d’accords, entre autres, ceux conclus dans le domaine de la pêche et dans d’autres secteurs.
Je tiens ici à saluer les efforts consentis dans le domaine des sciences, technologies et applications de l’espace et qui ont été couronnés par le lancement réussi du premier satellite algérien (ALCOM SAT 1), depuis la Chine le 11 décembre dernier. Cet évènement a été une étape importante dans le renforcement de la coopération bilatérale.
Au titre de la coopération, les deux pays focalisent, à présent, leur intérêt sur le projet du grand Port du Centre, situé à Cherchell dans la wilaya de Tipaza. Où en est-on avec ce projet gigantesque?
Tout d’abord, je voudrais réaffirmer le grand intérêt qu’accordent les hautes autorités du pays à la réalisation du projet « Port du Centre » qui revêt un aspect stratégique sur les plans national et international, car, il permettra de faire la jonction entre les marchés chinois et africains, via la route transsaharienne reliant Alger à Lagos (Nigeria), constituant un pôle pour attirer les investisseurs vers la zone logistique importante entourant le port, et à travers elle, vers les régions méditerranéennes et africaines .
L’Algérie a reporté la mise en œuvre de quelques projets économiques en raison de la crise de financement. La Chine dispose d’un Fonds spécial dans le cadre de la coopération sino-arabe et de la coopération sino-africaine, l’Algérie compte-t-elle sur le financement de ses projets à travers ce fonds?
Le Gouvernement algérien a adopté, au cours de ces dernières années, des mesures financières spéciales en vue de préserver l’indépendance financières du pays et poursuivre le financement de l’édification nationale, dont le remboursement anticipé de la dette extérieure, la création du Fonds de régulation des recettes (FRR) et la gestion prudente des réserves de changes. Elle a également pris récemment, à la suite de l’effondrement des cours des hydrocarbures sur le marché mondial, des mesures exceptionnelles, telles que le contingentement des importations par le biais de licences et le recours exceptionnel aux modes de financement non conventionnel.
Ces mesures s’inscrivent dans le cadre d’un plan global adopté par l’Algérie pour sortir de la dépendance au secteur des hydrocarbures et pour consolider l’investissement dans l’ensemble des secteurs producteurs de marchandises et de services, de façon à contribuer à l’augmentation et la diversification de ses exportations d’une manière considérable, à long et moyen termes, tel que l’industrie, l’agriculture et le tourisme.
En 2016, lors de votre participation, M. le Ministre, à la réunion tenue à Pékin sur la mise en œuvre des résultats du Sommet du forum sur la coopération sino-africaine, vous avez exprimé le souhait que la Chine participe davantage au processus d’industrialisation de l’Algérie, et durant les deux dernières années, les sociétés chinoises ont investi dans plusieurs projets industriels, en l’occurrence les usines de fabrication d’automobile, de l’acier et du ciment, quel est votre commentaire sur ces développements ?
En effet, l’Algérie et la Chine ont signé, en octobre 2016, un accord-cadre pour le renforcement des capacités de production visant à restructurer les relations économiques entre les deux pays, qui s’appuient particulièrement, et depuis longtemps, non seulement sur l’échange commercial, mais aussi, sur la conclusion de contrats des réalisations publiques et l’orientation vers une dynamisme d’investissement et une production commune à travers la mise en place d’un cadre exécutif et une base sur laquelle s’érige le partenariat industriel et technologique entre les deux pays. La convention concerne les domaines de l’industrie de transformation, de l’exploitation des ressources énergétiques (gaz et pétrole), des industries mécaniques, du ferroviaire, du fer et de l’acier, des infrastructures de base, de la pétrochimie, des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, de la transformation des produits miniers, de la construction, des appareils électroménagers et encore de la coopération technique.
La première réunion de la commission mixte chargée de la mise en œuvre de la convention, tenue durant le mois de janvier dernier à Alger, a débouché sur une liste de projets prioritaires dans le cadre du partenariat sino-algérien. Il s’agit, en principe, de cinq (5) projets importants relatifs à la réalisation du port centre d’El-Hamdania, de l’exploitation du phosphate dans l’est du pays, de la sous-traitance dans la construction automobile, des appareils de paiement électronique, de l’exploitation de granit et de marbre. Il a été convenu, dans le même contexte, de relancer plusieurs autres projets industriels par les sociétés chinoises à travers le territoire national.
En outre, il est prévu que de nouvelles perspectives s’ouvrent pour renforcer la coopération bilatérale, à travers la création de partenariats solides avec les entreprises chinoises activant dans les domaines de l’industrialisation, ce qui permettra à l’Algérie de diversifier son économie et devenir une destination privilégiée pour les investisseurs chinois.
Jugez-vous que l’Algérie a besoin d’adopter davantage des politiques d’ouverture économique pour attirer plus d’investissements dans l’avenir ?
Depuis l’adoption de l’économie du marché dans les années 90, l’Algérie a entrepris plusieurs réformes et mesures en vue de l’amélioration du « climat d’affaires » et l’encouragement de l’investissement étranger, en dépit de ce qu’elle a vécu durant la décennie noire qui a eu un impact négatif sur son économie, et de sa position géographique caractérisée par l’instabilité régionale. Et, comme vous le savez, la stabilité politique et sécuritaire demeurent deux facteurs essentiels pour attirer l’investissement étranger.
A cet égard, et outre les avantages et opportunités importantes d’investissement que recèle mon pays, nous œuvrons, en Algérie, à assurer la stabilité du cadre juridique et réglementaire en matière d’investissement en vue de fournir une vision claire aux opérateurs étrangers et d’élaborer une feuille de route pour les opportunités d’investissement à travers le territoire national de façon à orienter et encourager les candidats pour réaliser les projets tout en préservant l’ensemble des avantages fiscaux et parafiscaux établis par le code de l’investissement, y compris les avantages spéciaux accordés au titre de l’encouragement de l’investissement dans les wilayas du Sud, des Hauts-plateaux, de la préservation des avantages complémentaires accordés en vertu dudit code, et du développement des infrastructures de base à travers tout le territoire nationale, notamment les lignes ferroviaires et les ports.
Comment évaluez-vous les échanges humains entre l’Algérie et la Chine? Et quels sont les nouvelles initiatives entreprises par l’Algérie pour renforcer les échanges culturels bilatéraux? Et est-ce que l’Algérie œuvre, dans ce cadre, à adopter des politiques pour faciliter l’octroi des visas aux touristes chinois?
Les échanges humains entre l’Algérie et la Chine ont connu depuis l’établissement de relations de coopération stratégique globale en 2014 une dynamique notable caractérisée par des échanges de délégations d’étudiants entre les deux pays, la coopération en matière d’amélioration des ressources humaines à travers l’organisation des sessions de formation, la coopération inter-universitaires et entre les instituts d’enseignement supérieur, les écrivains et les journalistes, l’organisation des manifestations culturelles, les déplacements dans les deux sens et les échanges entre les organisations locales et des jeunes ainsi que bien d’autres activités.
Dans ce contexte, l’enseignement du mandarin revêt un intérêt particulier chez les Algériens, notamment, chez les jeunes dont le nombre d’apprenants augmente chaque année. Ainsi, les autorités concernées en Algérie œuvrent à promouvoir notre pays en tant que destination pour les Chinois, surtout après que la Chine a qualifié, en 2006, l’Algérie de destination privilégiée. A cet égard, le protocole d’accord visant à encourager des groupes de touristes chinois à se rendre en Algérie, que nous sommes en train de finaliser, est à même d’encourager les citoyens chinois à visiter l’Algérie et découvrir ses sites touristiques et sa diversité culturelle.
Un ressortissant chinois a été, récemment, assassiné à Alger suite un acte de vol. L’affaire fut traitée les services de sécurité un professionnalisme remarquable. Actuellement, des dizaines de milliers de travailleurs chinois se trouvent dans votre pays, formant ainsi la plus grande communauté étrangère en Algérie. Est-ce que vous estimez, votre excellence, que cette communauté a besoin davantage de mesures de protection pour assurer sa protection? Existe-t-il des dispositions particulières dans ce sens?
Tous d’abord, je voudrais renouveler mes sincères condoléances à la famille de la victime pour ce regrettable évènement qui n’a aucun lien avec les valeurs et les traditions d’hospitalité du peuple algérien. Les suspects ont été arrêtés, en un temps record, et traduits devant la justice. Cet acte demeure, de toute façon, un acte isolé. L’Algérie est un pays sécurisé et stable et le gouvernement mobilise tous les moyens humains et matériels pour assurer la sécurité des citoyens algériens et étrangers ainsi que leurs biens sur le même pied d’égalité et sans distinction aucune.
Je tiens, de nouveau, à souhaiter la bienvenue à nos amis chinois des différents horizons résidents en Algérie et qui ont contribué à la consolidation des liens humains entre les deux peuples amis.
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Le Kremlin a dit mardi espérer une « éclaircie politique » après la démission du ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson, jugeant que son apport à l’amélioration des relations entre Moscou et Londres avait été « très modeste ». « Malheureusement, (sa) contribution au développement des relations bilatérales avec la Russie est très modeste, c’est le moindre qu’on puisse dire », a déclaré mardi lors d’un point-presse le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
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Un mort et trois blessés, c'est le bilan d'un accident de circulation survenu, ce mardi 10 juillet 2018, à Fongba, dans la commune de Lokossa. Selon les témoignages, l'éclatement d'un pneu serait à l'origine de cet accident. Les mêmes sources renseignent que les victimes, toutes d'une même famille, voyageaient en direction de Lomé, après des cérémonies funéraires à Toviklin, quand l'accident est survenu.
F. A. A.
Abdelkader Bouazgui estime que la fièvre aphteuse qui touche des bovins est loin de constituer un quelconque fléau, la limitant à une quarantaine de cas enregistrés au niveau de trois wilayas seulement.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche qui s’exprimait, hier lundi, en marge de l’assemblée générale de la Chambre nationale d’agriculture, a estimé, en effet, que la fièvre aphteuse est loin de relever d’un phénomène national à même de susciter «polémique» à chaque fois. Puisque, selon lui, le nombre des cas enregistrés «ne dépasse pas les quarante au niveau de trois wilayas seulement alors que le pays compte pas moins de deux millions de têtes de bovins».
Et de rassurer que les services du ministère, notamment vétérinaires, suivent de près les cas enregistrés, avec des mesures de prévention, entre autres interdictions de circulation pour les animaux malades, notamment aux frontières, et contrôle de la qualité des aliments de bétail par des vétérinaires mobilisés en nombre important pour éviter l’extension de ce virus vers d’autres régions.
Sur un autre plan, le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche a avoué l’impossibilité de prévoir d’éventuels cas de putréfaction de la viande de mouton comme cela a été enregistré l’année dernière lors de la fête de l’Aïd el-Adha.
Il a, néanmoins, rassuré quant à la prise de toutes les mesures de prévention pour que ce scénario de décoloration de la viande de mouton ne se reproduise plus. Ceci à travers le déploiement des vétérinaires dans les marchés, chez les éleveurs avec contrôle des aliments offerts aux bétails.
Bouazgui a exclu toute importation de bétail, le pays disposant d’un nombre suffisant de têtes à même de permettre aux Algériens d’honorer le sacrifice de l’Aïd el-Kebir.
Et dans son intervention à l’ouverture des travaux de cette assemblée générale de la Chambre nationale d’agriculture, le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche a soutenu que le développement de l’agriculture est assujetti, entre autres, au règlement de la tant sensible question du foncier agricole. D’où, selon lui, l’impérative conversion du droit de jouissance des terres agricoles, relevant du domaine privé de l’Etat, en concession. Dans ce cadre, est-il utile de rappeler qu’au 31 décembre 2016, 173 870 actes de concession ont été notifiés aux exploitants, soit un taux de 98%, selon un bilan de l’Onta (Office national des terres agricoles). Une opération qui arrivera à terme cette année et qui a connu moult problèmes liés notamment à la problématique de l’héritage.
Une opération menée en parallèle avec l’autre, celle consistant en la récupération des terres agricoles non exploitées pour les mettre à la disposition des véritables investisseurs à même d’accompagner l’Etat dans sa stratégie d’assurer la sécurité alimentaire du pays et de diversifier l’économie nationale».
M. K.
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«L’or rouge», c’est l’appellation consacrée au safran, un produit agricole classé dans la famille des épices, était hier au cœur d’une rencontre nationale qui s’est tenue au centre culturel de haï Dhaya (ex-Petit-Lac) à Oran. Près d’une centaine de cultivateurs versés dans ce créneau en provenance d’une vingtaine de wilayas du pays, mais aussi des femmes rurales porteuses de projets liés à la culture du safran, se sont réunis pour la troisième fois pour tenter de réussir cette fois-ci de créer l’Association des producteurs de safran.
Amel Bentolba – Oran (Le Soir) – L’appellation «or rouge» n’est pas seulement tirée de la couleur jaune doré du produit mais surtout de son prix sur le marché national et mondial. D’après les estimations de l’un des premiers à s’être versé dans la production du safran en Algérie depuis une dizaine d’années, M. Rouibi Abdellah, un agriculteur de la wilaya de Khenchela, la production nationale de safran pur se situe autour de 10 à 15 kilos. «Il s’agit là de la production de cette année mais d’ici l’année prochaine, ce sera 30 kilos, et l’année d’après 90 kilos, c’est exponentiel, ça se multiplie par trois tous les ans.
Ce qui fait que très rapidement, on va arriver à vendre et exporter». Pratiquement, c’est une plante qui n’a pas besoin de beaucoup d’eau et qui convient au climat en Algérie. Selon l’expérience menée à travers les 25 wilayas du pays, il a été prouvé que cette plante résiste à une température de moins 15 degrés et plus de 55 degrés au Sahara.
Il faut savoir qu’en Algérie en matière de production de safran, le deuxième pôle après Khenchela, c’est Berriane dans la wilaya de Ghardaïa.
Voulant un avis avisé sur la qualité du safran consommé en Algérie, nous avons sollicité M. Rouibi sur le sujet, sur lequel il a un avis bien tranché. «Ce n’est pas du safran ce que vous avez sur le marché, c’est du carthame, une plante complètement différente, c’est un arbuste qui pousse dans les régions chaudes et on prétend que c’est du safran. Alors que le safran pur est issu d’un bulbe qui donne des fleurs et on retire les trois pistils. Il faut à peu près 150 000 fleurs pour faire un kilo de safran.»
S’agissant justement de ce kilo de safran obtenu en fin de culture, quel est son prix sur le marché algérien ? Notre interlocuteur n’hésite pas à donner le chiffre de 450 millions de centimes. Etonnés par un tel chiffre, nous lui avons fait répété ce chiffre plusieurs fois et c’est avec sourire et assurance qu’il nous le confirme : «Moi je le vends à 450 millions de centimes le kilo, oui, c’est très cher.»
Outre les entraves bureaucratiques qu’ont rencontrées jusque-là les initiateurs de la création de l’Association des producteurs de safran en Algérie, d’autres soucis sont signalés dans la culture du safran dont le gain plus qu’intéressant pour beaucoup attire des personnes malintentionnées. Ce que dénonce notre interlocuteur : «Des gens sont allés à Téléouine au Maroc et ont acheté des bulbes de safran malades à bas prix qui les ont fait transiter par la France et fait entrer en Algérie et sont en vente. Ce sont des gens qui veulent détruire la filiale.»
D’où toute l’importance, diront les participants, de créer cette association qui permettra de regrouper tous les safraniers et pouvoir organiser la vente à l’extérieur du pays et vanter le produit algérien.
A l’issue de la cérémonie de création de l’association et après avoir approuvé à l’unanimité les statuts, M. Rouibi Abdellah a été élu président de l’association nationale des producteurs de safran qui a vu le jour hier à Oran.
L’élu dira qu’en plus d’organiser ce secteur et de promouvoir le produit et sa mise en vente à l’intérieur et l’extérieur du pays, l’association projette de créer la maison du safran ici en Algérie.
A. B.
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Pour ces demi-finales entre la France et la Belgique et la Croatie et l’Angleterre, qui de mieux que Dziri Bilal, l’ex-étoile de l’USMA, du NAHD et de l’EN et qui a évolué en France (à Sedan) pour nous donner un avis sur ces rencontres passionnantes à l’issue desquelles on connaîtra les deux heureux finalistes.
Le Soir d’Algérie : Vous avez évolué dans le Championnat français il y a plusieurs années. Que pensez-vous de cette demi-finale France-Belgique ?
Bilal Dziri : Ce sera un match difficile aussi bien pour les Français que pour les Belges. D’ailleurs, à ce stade de la compétition, il n’y a pas de rencontre facile. La Belgique a éliminé le Brésil et la France avait pour objectif d’atteindre la demi-finale, et elle l’a fait. Maintenant, on est à un match de la finale et je dirais que tout est possible pour les quatre qui restent en lice.
La France est donnée favorite par les parieurs. Qu’en dites-vous ?
C’est vrai que la France a séduit par son jeu et ses individualités, mais je pense que la Belgique, qui possède elle aussi de très bons joueurs, peut aller en finale elle aussi. C’est pour cela que je dis que ce sera un match très serré mais aussi une belle rencontre.
La deuxième demi-finale opposera l’Angleterre à la Croatie. Comment voyez-vous ce duel ?
Cela fait longtemps que les Anglais n’avaient pas atteint une demi-finale. Quant aux Croates, ils avaient un complexe vis-à-vis de l’équipe qui avait joué et perdu une demi-finale en 1998 face à la France. Aujourd’hui, les Croates font aussi bien que les Boban, Sucker et les autres. Angleterre-Croatie sera aussi une belle opposition de style entre un football anglais physique et un jeu technique croate.
Vous qui avez été un grand joueur international, ne croyez-vous pas que la Croatie va souffrir physiquement après avoir joué deux prolongations consécutives face à des Anglais plus «frais» ?
Non, aujourd’hui avec les moyens modernes de récupération, je ne crois pas que ce sera un handicap pour les Croates. Ils ont quatre jours de récupération. Maintenant, moi je ne sais pas si leur gardien (Subasic) sera prêt car face aux Russes, il a ressenti une légère blessure musculaire et si c’est le cas je ne sais pas s’il pourra récupérer. En plus, ils vont être privés de leur arrière-droit qui est sorti sur blessure. Bon, c’est vrai qu’ils ont terminé difficilement la rencontre, de même que les Russes, mais on verra bien ce mercredi.
Quelle serait pour vous la finale idéale ?
On ne peut pas prévoir quels seront les finalistes, car ces quatre sélections se tiennent et se valent sur 90 ou 120 minutes et éventuellement la série des penalties, tout est possible.
A ce stade, quel est le meilleur joueur du tournoi pour vous ?
A chaque rencontre on a désigné l’homme du match, alors qu’il y en avait un autre qui méritait aussi d’être distingué. J’ai trouvé que Cherychev, le Russe qui avait débuté le tournoi comme remplaçant et qui a inscrit quatre beaux buts, n’était pas mal de même que Smolerov qui était infatigable. J’ai apprécié la Croatie avec Modric bien sûr de même que la France avec Kante et ces jeunes qui montent, en l’occurrence Pavard et Hernandez.
Et la Belgique de Eden Hazard ?
Oui, comment ne pas citer cette Belgique avec son stratège Eden Hazard et ce Lukaku qui est un véritable bulldozer avec sa vitesse et sa présence ainsi que son abattage.
Qu’avez-vous retenu comme première leçon de ce Mondial ?
J’ai retenu une leçon principale, ce ne sont pas les noms qui font une équipe. C’est le collectif et surtout le groupe qui priment. Par exemple, les «23» Russes étaient pratiquement inconnus, mais ils ont formé un groupe solidaire qui défendait à merveille et qui aurait pu atteindre la demi-finale, alors que lors des matchs amicaux, ils avaient été catastrophiques.
Vous n’avez jamais joué une phase finale de Coupe du monde. Pensez-vous le faire un jour comme entraîneur ?
Pourquoi pas ? Je suis ambitieux et j’espère que cela arrivera un jour inch’Allah.
Propos recueillis par Hassan Boukacem
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