You are here

Afrique

À quelques heures de leur grand match: Les Croates ne ressentent aucune pression

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 10:45

«La plus grosse pression» c’était «avant le Danemark» en 8es de finale, mais avant la demi-finale contre l’Angleterre ce soir, la Croatie «se sent mieux», à en croire les propos de son attaquant Mario Mandzukic, dont les coéquipiers «profitent vraiment d’être à ce stade de la compétition».

Pour le Croate de la Juventus, «la plus grosse pression était avant le match contre le Danemark, là il y avait beaucoup de pression. On se sent mieux à ce stade, il y a un peu de pression mais on profite vraiment du fait d’être à ce stade de la Coupe du monde». Pour son coéquipier Andrej Kramaric, «on n’imaginait pas être à ce stade de la compétition» pendant la phase de poules «tout comme on n’imagine pas maintenant être en finale, on ne se focalise que sur le match qui vient», a encore déclaré le joueur d’Hoffenheim. Tout en reconnaissant que ce serait «une magnifique réussite de disputer une finale de Coupe du monde et on va faire tout ce qu’on peut pour essayer d’y parvenir».

L’Angleterre «affamée»
L’adversaire? «Je pense que l’Angleterre faisait partie des favoris dès le début de la compétition», explique Kramaric. «C’est une équipe jeune, affamée, sans super stars de cinéma international. Ce ne sera pas facile pour nous». «On les respecte beaucoup, on a une bonne opinion d’eux à la fois comme équipe et comme individualités», abonde Mandzukic. Interrogé sur la différence d’expérience entre les jeunes Anglais et les Croates, plus matures, Mandzukic a balayé l’argument. «Peut-être que nous avons plusieurs joueurs plus expérimentés, mais nous avons aussi de jeunes joueurs. C’est du 50-50 car les deux équipes ont mérité d’être en demi-finale. «Je pense que les deux équipes ont de l’expérience donc je ne pense pas que cela fera forcément une différence», complète Kramaric.

«Si Modric a le Ballon d’or…»
«Je connais Luka en sélection nationale mais aussi en club», Mandzukic ayant évolué une saison avec le N°10 chevelu au Dinamo Zagreb, en 2007-2008. «Il a travaillé très bien et très dur pour être à ce niveau, c’est notre capitaine, notre leader et nous le suivons. Et s’il gagne le Ballon d’or, il l’aura mérité.» Le grognard de la Juve a aussi rendu hommage à son sélectionneur Zlatko Dalic, «très accessible et très calme». «On croit en lui et, avec tout le staff technique, il est l’une des raisons du succès de la Croatie jusque-là dans cette compétition».

Des absents à l’entraînement
Lors du quart d’heure ouvert à la presse à l’issue de la conférence de presse, ils n’étaient que 19 à l’entraînement, 17 joueurs de champs et deux gardiens.
Les absents? Les deux joueurs touchés face à la Russie, le latéral droit de l’Atletico Madrid Sime Vrsaljko – qui pourrait être indisponible en demi-finale selon le quotidien espagnol Marca – et le gardien Danijel Subasic. Apparemment touché derrière la cuisse, le portier de Monaco avait pourtant tenu sa place pendant toute la prolongation contre la Russie, ainsi que lors de la séance de tirs au but victorieuse.
Il n’était en tout cas pas à l’entraînement à deux jours de la demi contre les Trois Lions.
Enfin, le défenseur de Liverpool Dejan Lovren manquait lui aussi à l’appel.

The post À quelques heures de leur grand match: Les Croates ne ressentent aucune pression appeared first on .

Categories: Afrique

Malgré une prestation décevante de l’argentine au mondial: Sampaoli maintenu à son poste

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 10:44

Avec l’Espagne et l’Allemagne, l’Argentine restera parmi les plus grandes déceptions de la Coupe du monde 2018.

Malgré le triste visage affiché par la sélection nationale au cours de la Coupe du monde, et l’élimination dès les 8es de finale contre la France (4-3), Jorge Sampaoli a été conforté au poste de sélectionneur de l’Argentine. Avec l’Espagne et l’Allemagne, l’Argentine restera parmi les plus grandes déceptions de la Coupe du monde 2018. La Furia Roja avait au moins l’excuse d’avoir changé de sélectionneur juste avant le début du tournoi, Julen Lopetegui ayant été évincé au profit de Fernando Hierro pour avoir signé avec le Real Madrid, mais les deux autres ne peuvent se cacher derrière une quelconque justification valable.
Depuis, Joachim Löw, qui avait prolongé avant la compétition, a été confirmé à son poste et sera chargé de reconstruire l’équipe qui avait remporté le Mondial il y a 4 ans avant de terminer dernier de la poule F, derrière la Suède, le Mexique et la Corée du Sud. Les Argentins ont eux poursuivi une triste série de rencontres assez insipides, qui avaient déjà failli coûter le voyage en Russie pendant la campagne des éliminatoires en Amérique du Sud.
Depuis sa prise de fonction à l’été 2017, en remplacement de Edgardo Bauza, Jorge Sampaoli n’avait suscité que très peu d’éloges de la part de la presse spécialisée au pays, et encore moins venant des supporters de l’Albiceleste. Ses schémas de jeu parfois improbables, avec Angel Di Maria latéral gauche par exemple, avaient suscité moult nterrogations. Les prestations de Nicolas Otamendi et consorts au cours du dernier Mondial n’avaient finalement levé aucun doute. Un nul (1-1) contre l’Islande et une petite humiliation face à la Croatie (3-0) avait poussé l’ancien coach du Séville FC à revenir à un système plus classique pour la «finale» face au Nigeria.
Avec quatre défenseurs, les Argentins étaient passés, pour tomber ensuite en 8es de finale au profit des Bleus de Didier Deschamps (3-4). Malgré cet échec, Jorge Sampaoli a été conforté dans ses fonctions par sa fédération, rapportent les médias locaux. L’AFA, à l’issue d’une rencontre avec le principal intéressé, a pris la décision de lui laisser les rênes de l’équipe nationale. Un nouveau chantier va donc débuter, sans Lucas Biglia et Javier Mascherano, qui ont annoncé leur retraite internationale, alors que Lionel Messi (31 ans) n’a lui pas encore communiqué son choix. Sous contrat jusqu’en 2022, le licenciement de Sampaoli aurait coûté près de 7 millions d’euros, ce qui a peut-être aussi fait pencher la balance en sa faveur. Et il faut dire par ailleurs que depuis Gerardo Martino, les dirigeants argentins semblent manquer d’idées ou de prétendants de qualité.

The post Malgré une prestation décevante de l’argentine au mondial: Sampaoli maintenu à son poste appeared first on .

Categories: Afrique

Poterie, bijoux, tapis, racont’ars… »Tizi Ouzou renoue avec les festivals »

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 10:43

Par Aomar Mohellebi.

La wilaya de Tizi Ouzou renouera, dans une semaine, avec la saison des festivals. La majorité des daïras que compte la wilaya abritera un ou plusieurs festivals.

Ces derniers sont devenus désormais des rendez-vous annuels fixes et grandioses dans certains cas, grâce à la volonté dont est dotée la population locale. Une population qui ne lésine sur aucun effort pour conférer à ces festivals des dimensions parfois nationales. C’est le cas, entre autres, du festival de la poterie de Maâtkas, le festival du bijou d’Ath Yenni, le festival du tapis traditionnel d’Ath Hichem en plus bien sûr de l’incontournable festival Racont’arts. Ainsi, l’un des plus importants rendez-vous culturels dans la wilaya de Tizi Ouzou, prévu cet été, est sans doute la 8e édition du festival culturel local de la poterie de Maâtkas qui se tiendra du 25 au 29 juillet prochain. Il y a lieu de rappeler que, depuis que ce festival a été institutionnalisé officiellement par l’ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, il a pris une dimension beaucoup plus importante. Il est désormais régulièrement organisé sous l’égide du ministre de la Culture et sous le parrainage direct du wali. L’événement en question est organisé par plusieurs parties prenantes dont le commissariat du festival avec l’apport de la population locale, des comités de villages, de l’APW de Tizi Ouzou ainsi que des APC de Maâtkas et Souk El Thenine. Jusqu’à il y a quelques semaines, l’avenir de ce festival était incertain. Plusieurs voix ont laissé entendre qu’il allait être sacrifié dans le sillage des mesures d’austérité ayant touché de plein fouet le secteur de la culture. Finalement, il n’en est rien. Le festival de la poterie de Maâtkas est maintenu au grand bonheur aussi bien de la population de toute la daïra de Maâtkas, mais aussi de l’ensemble des artisans qui attendent cet événement avec impatience afin d’écouler leurs produits. Presque durant la même période, le chef-lieu de la daïra d’Ath Yanni abritera pour sa part la 15e édition de la Fête du bijou. Cette édition s’étalera jusqu’au 3 août.
Ce qui permettra à un maximum de citoyens de rendre visite aux différents stands de la fête. Cette édition se prépare depuis plus de trois mois sous la supervision du maire et de ses collaborateurs ainsi que des comités de villages et autres associations locales qui n’hésitent pas à retrousser les manches, chaque année, pour la réussite de cet événement. La fête du bijou permet aussi de faire sortir Ath Yenni de sa léthargie. Les organisateurs ont précisé que désormais, des efforts seront déployés afin d’aboutir vers le classement du bijou d’Ath Yenni comme patrimoine de l’humanité auprès de l’Unesco. Pour cette année, la fête du bijou d’Ath Yenni verra la participation de 150 artisans entre locaux et ceux qui viendront des autres wilaya du pays. Ces trois dernières années, la Fête du bijou d’Ath Yenni fait face à de nombreuses difficultés engendrées d’abord et avant tout par le déclin notable que connaît le métier d’artisan bijoutier. Celui-ci est devenu de moins en moins rentable pour une multitude de raisons. La principale reste la cherté de la matière première. A chaque fois qu’un ministre se rend à Ath Yenni pour l’inauguration de la Fête du bijou, il lance des promesses. Ces dernières s’avèrent quelques mois plus tard sans lendemain. C’est le cas d’ailleurs du mort-né projet du musée du bijou d’Ath Yenni, plusieurs fois promis par différents ministres, mais jamais réalisé. Par ailleurs, l’un des plus grands festivals populaires qu’abrite chaque année un village de la région, Racont’Art en l’occurrence aura lieu cet été au village Tiferdout, en Haute Kabylie du 19 au 26 juillet prochain. Selon les organisateurs, plus de 500 festivaliers-participants seront au rendez-vous dont des chanteurs, des musiciens, des photographes, des écrivains, des poètes, des hommes de théâtre, etc. Il s’agira de participants majoritairement algériens, qui viendront des quatre coins du pays, mais aussi de l’étranger. Ce festival est organisé par des citoyens bénévoles dont l’infatigable Hacène Metref avec d’autres figures culturelles dont l’artiste Denis Marinez, un fidèle de ces Racont’arts. Toujours au volet des festivals, qui foisonnent en été à Tizi Ouzou, il y a lieu de rappeler le rendez-vous avec le tapis d’Ath Hichem, la Fête de la robe kabyle, la Fête de la figue, «Assensou n Wzrou n Thour», la Fête du burnous et la liste est encore longue.

The post Poterie, bijoux, tapis, racont’ars… »Tizi Ouzou renoue avec les festivals » appeared first on .

Categories: Afrique

Les plages de plus en plus dangereuses pour les baigneurs: Un plaisir ou une menace?

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 10:39

Par Kamel Boudjadi.

Dans son récent rapport, l’APW a demandé de relever le salaire des surveillants afin que le métier puisse attirer plus de jeunes.

La baignade qui est initialement un plaisir, peut devenir l’une des plus grandes sources de malheurs. Et, c’est ce qui risque d’arriver dans les prochaines années. Les statistiques sur les accidents et autres noyades donnent déjà un avant-goût de cette escalade de drames. Cette dégradation de la situation dans les plages qui ne dit pas encore son nom a à l’origine des causes objectives déjà signalées par les services de la Protection civile dans ses recommandations. La baignade devient de plus en plus dangereuse parce que d’abord, les moyens des surveillants de baignade ne leur permettent pas de faire leur travail avec une totale efficacité. Leurs capacités à réagir sont grandement dépendantes, donc entravées par la vétusté des moyens à leur disposition. D’ailleurs, afin de prendre de l’avance avant que cela ne devienne grave, la direction de ce corps réclame le renouvellement de ces matériels et son renforcement par des moyens plus modernes. Toujours parmi les causes relatives aux conditions de travail des surveillants de baignades et autres personnels en charge de la sécurité des estivants, l’on relève aussi le nombre insuffisant de leur effectif. Dans son récent rapport, l’APW a demandé de relever leur salaire afin que le métier puisse attirer plus de jeunes. Jusqu’à présent, leur nombre ne permet pas de veiller efficacement sur la sécurité des baigneurs. La troisième cause derrière cette situation est relative à l’organisation au niveau des plages. L’occupation anarchique et accentuée de l’espace par les parasols devient de plus en plus un danger pour les baigneurs. Etant nombreux, les locataires de parasols occupent le moindre centimètre de sable. Certains arrivent même à toucher l’eau. Cette occupation anarchique entrave le travail de surveillance en obstruant les voies d’accès à l’eau et la visibilité à même de surveiller de plus en plus d’espace. Cette occupation anarchique n’est pas uniquement signalée sur le sable. Un autre danger, et pas des moindres, guette le baigneur dans l’eau. L’utilisation trop rapprochée des engins à moteur par certains estivants est un très grand danger. D’ailleurs, rien qu’à Tigzirt, plusieurs accidents du genre ont survenu lors des saisons estivales passées faisant même des morts. Cependant, le problème le plus grave et qui ne semble pas retenir l’attention nécessaire, est relatif aux plages interdites. Jusqu’à aujourd’hui, les autorités et services concernés continuent de croire que la plage interdite est simplement interdite oubliant que même interdite c’est une plage. Donc, pour plusieurs raisons objectives, elle attire des baigneurs qui bravent l’interdit. L’interdiction dissuasive et les campagnes de sensibilisation ne semblent pas atteindre l’objectif. Preuve en est que la majeure partie des noyades survient sur les plages interdites et non surveillées. D’aucuns pensent que la solution est dans la mise en place d’une politique globale d’adaptation du maximum de ces espaces aux normes pour en faire des plages autorisées. Enfin, il convient de signaler que ce dernier point est un véritable problème national qui devra susciter l’attention la plus grande. Sur tout le littoral algérien, seules 398 plages sont autorisées sur un total de 610 plages. Le reste est interdit mais attire les estivants quand même.

The post Les plages de plus en plus dangereuses pour les baigneurs: Un plaisir ou une menace? appeared first on .

Categories: Afrique

L'armée mauritanienne considérée comme un gage de sécurité

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 07/11/2018 - 10:35
Deutsche Welle - La présidentielle de 2019 pourrait mettre fin à 40 ans de présence de l’armée au pouvoir. Mais au vue de la situation...
Categories: Afrique

Ennahda menacée de disparition: La nébuleuse islamiste s’effrite

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 10:34

Par Hocine NEFFAH.

L’union Adala-Ennahda-Binaa est reléguée aux calendes grecques, la fusion d’Ennahda version Douibi n’a pas été suivie de concrétisation comme c’était le cas pour l’ancien transfuge du FC.

La crise au sein de la mouvance islamiste s’installe dans la durée, les coups qu’elle vient de subir lors des joutes électorales des législatives et les locales de l’année précédente semble avoir eu son effet de boomerang sur ce qu’elle traverse comme «enlisement» et déconfiture menaçant ainsi son existence en tant qu’entité politique comme c’est le cas pour le mouvement Ennahda qui se livre à une véritable «anthropophagie» et coups de couteaux en plein jour.
Le mouvement de Mohamed Douibi, le secrétaire général actuel d’Ennahda est dans une tourmente organique et politique qui renseigne sur la faillite de cette «nébuleuse» et l’impasse qui taraude ses promoteurs.
Plus d’une cinquantaine de membres de la direction nationale d’Ennahda demandent et exigent le départ sine die du secrétaire général Mohamed Douibi pour «permettre à la structure d’entreprendre une autre voie dans le sens du redressement du parti après la cassure à laquelle il assiste depuis deux ans», attestent les cadres de ce mouvement islamiste qui ont cure de cette situation et de la gestion «chaotique» du parti depuis que Mohamed Douibi est à la tête du mouvement.
La cinquantaine de membres de la direction nationale d’Ennahda qualifient le secrétaire général en place d’illégal dans la mesure où Mohamed Douibi a eu à recourir à des démarches organiques et des décisions en contradiction avec les textes qui régissent le fonctionnement du mouvement. Dans ce sens, les membres qui s’insurgent contre Douibi indiquent que «l’ensemble des décisions prises dernièrement, notamment la mise en place de la commission de préparation du congrès et la convocation de ce rendez-vous pour novembre prochain, sont illégales», note le communiqué rédigé par lesdits cadres qui demandent la démission du secrétaire général qui a consommé son mandat selon ses adversaires.
Douibi est dans de sales draps, surtout que pour la majorité de la direction nationale la ligne qui était censée être respectée par le dépositaire de la confiance en sa qualité de premier responsable du mouvement quant à l’accélération des rencontres et des contacts avec les deux autres partis islamistes, à savoir le Front pour la justice et le développement (FJD), de Abdallah Djaballah et le mouvement el Binaa pour sceller l’union entre ces trois variantes, n’a pas été réalisée à cause des tergiversations et des hésitations du secrétaire général Mohamed Douibi qui voulait selon certaines sources faire l’union et la fusion avec le Mouvement de la société pour la paix (MSP) en rééditant l’expérience de l’unité et la fusion entre le MSP et le front du changement présidé par un ancien transfuge du parti de Nahnah, Abdelmadjid Menasra en l’occurrence.
L’imbroglio est tel que la nébuleuse islamiste ne sait plus à quel saint se vouer à cause de ses tiraillements et de ses divisions profondes. L’union Adala-Ennahda-Binaa ne s’est pas réalisée, voire est reléguée aux calendes grecques, la fusion d’Ennahda version Douibi n’a pas eu le mérite de suivre le chemin de sa concrétisation comme c’était le cas pour l’ancien transfuge du FC.
La mouvance islamiste prouve s’il en est que la débâcle est bel et bien consommée, après avoir subi une véritable descente aux abysses après les échecs successifs qu’elle vient d’essuyer lors des rendez-vous électoraux de l’année précédente.
Le mouvement Ennahda s’est transformé en une véritable loque politique à mesure que la crise se fait exprimer de la manière la plus spectaculaire à cause d’absence d’organes exécutifs légitimes comme cela est signalé dans le dernier communiqué rédigé par la majorité des membres de la direction nationale de ce mouvement. Dans ce sillage, «les insurgés» d’Ennahda contre leur secrétaire général ont indiqué que «la démission des deux tiers des membres du bureau national rend les décisions prises durant toute cette période, nulles et non avenues, d’autant que le secrétaire général représente une institution qui n’a plus aucune existence», ont martelé les cadres de la direction nationale du mouvement.
Mohamed Douibi est accusé par la majorité de la direction nationale de faire dans la violation des prérogatives du conseil consultatif. C’est dire que le pourrissement a atteint son paroxysme et que le blocage présage une implosion certaine avec des conséquences néfastes.
Il s’agit d’un vrai syndrome qui s’empare de la mouvance islamiste en général et de la variante radicale en particulier.
Hormis le MSP qui fait prévaloir dans sa gestion la notion des institutions du parti comme critère d’alternance, les autres variantes, à l’image d’Ennahda font dans le despotisme et l’unilatéralisme et le pouvoir personnel. En tout cas, Ennahda, El Islah et le PLG sont issus de la même origine, ce sont le produit de la conception autoritaire et despotique de Abdallah Djaballah qui a montré ses déboires et ses limites.
D’ailleurs, ces pratiques se font vérifier à travers l’installation de la commission mixte pour accélérer la réunification et sceller le principe de l’union entre les trois mouvements en question, mais l’égoïsme était le maître-mot de tous les leaders de ces trois mouvements. Dans ce sillage, la majorité des signataires du communiqué où il est exigé la démission de Douibi souligne que «le secrétaire général actuel a tout fait pour saboter l’initiative rien que par égoïsme de vouloir rester aux commandes au détriment du projet», ont asséné les membres de la direction nationale d’El Ennahda.
La mouvance islamiste montre on ne peut mieux que la pratique politique n’est que le prolongement de comportements qui font dans «l’absolutisme» et la frénésie se cachant derrière le fallacieux prétexte consistant à propager des semblants de «vertus» de la morale en confondant ainsi le contexte religieux avec l’exercice politique comme moyen sournois dans la perspective de régenter la société par une démarche obscurantiste des plus ravageuses.
La dislocation de cette nébuleuse montre encore une fois que l’islamisme n’est pas soluble dans la démocratie et le pluralisme c’est l’antithèse même de l’esprit démocratique et la diversité politique.

The post Ennahda menacée de disparition: La nébuleuse islamiste s’effrite appeared first on .

Categories: Afrique

Les spécialistes lancent l’alerte: Le cancer progresse en Algérie

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 10:32

Par Ilhem Terki.

Les spécialistes indiquent que cette maladie pourrait connaître une progression constante dans les 10 prochaines années.

Après la pathologie cardio-vasculaire, le cancer vient en 2e position dans la morbidité générale. Les chiffres avancés par les spécialistes sont glaçants. En Algérie, des milliers de nouveaux cas de cancer sont enregistrés annuellement. Les spécialistes indiquent que cette maladie pourrait connaître une progression constante dans les 10 prochaines années. En chiffres, plus de 50 000 nouveaux cas de cancer par an sont attendus à partir de 2025. Dans une récente déclaration, le professeur Kamel Bouzid, chef du service d’oncologie du Centre Pierre et Marie Curie (Cpmc), a tiré la sonnette d’alarme en dénotant une augmentation continue des cas de cancer. Actuellement, entre 42 à 45 nouveaux cas de différents types de cancer sont enregistrés chaque année et affectent tous les âges et les deux sexes. Selon le même spécialiste, le Cpmc compte 300 nouveaux cas. A ce propos, selon le professeur Bouzid, les causes de la hausse des tumeurs cancéreuses, d’une année à l’autre, «sont dues au changement du mode d’alimentation, d’où le taux élevé de cancers du côlon et du rectum après 40 ans, et qui se classe en deuxième position après le cancer du sein chez la femme et avant le cancer du poumon chez l’homme».
Il révèle, dans ce même sillage que l’utilisation des pesticides dans le secteur agricole entraîne une augmentation significative des différents types de cancer, il cite notamment, que tous les secteurs sont concernés pour réduire l’exploitation de ces pesticides, qui «amplifient le taux d’atteinte cancéreuse».
On observe surtout une recrudescence de cas de cancer du sein et de l’appareil reproductif chez les femmes. Alors que les hommes sont souvent atteints de cancer du poumon, de la vessie, de l’appareil digestif, du colon et de la prostate. On remarque que les cas ne cessent d’augmenter partout dans le pays. Selon le professeur Bouzid, le taux de mortalité est estimé à 50% au cours des cinq premières années de la maladie, soit un malade sur deux meurt durant une période de moins de cinq années, précisant que le cancer le plus répandu à l’échelle nationale est celui du sein, avec environ 12 000 cas recensés annuellement, suivi par le cancer du côlon, du rectum et du poumon.
Optimistes, les spécialistes trouvent que nous pourrons éviter cette maladie au moyen d’un dépistage précoce que chaque femme, homme doivent effectuer dès l’âge de 40 ans. Selon les experts en oncologie, les cancers les plus fréquents, comme celui du sein ou des poumons, peuvent être détectés précocement, ce qui permettrait d’en réduire les cas de décès. Les pouvoirs publics ont mobilisé d’importants moyens pour la prise en charge des différents types de cancer. On rappelle que la première initiative prise par l’Etat remonte à 2010 et a consisté en la création d’un Fonds national de lutte contre le cancer en consacrant une enveloppe budgétaire de 35 milliards de DA. Elle était destinée à l’acquisition des équipements de radiothérapie. Dans ce contexte, il est important de noter qu’un seul cas de cancer coûte à l’Etat une enveloppe financière de 5 millions de DA, destinée aux médicaments, à la chirurgie et la chimiothérapie. En plus clair, l’Algérie est l’un des rares pays à travers le monde qui assure la gratuité du traitement aux patients atteints de cancer. Par ailleurs, et dans ce même cadre, plus de 200 nouveaux cas de leucémie lymphoïde chronique sont recensés en Algérie par an. 50% des personnes qui se présentent aux services hématologie sont à un stade avancé de la maladie, affirment les spécialistes en hématologie. La leucémie lymphoïde chronique est un cancer du sang, qui reste peu connue en Algérie par le grand public. A noter que cette pathologie rare touche de façon préférentielle les personnes âgées, plusieurs études internationales ont révélé que le pic de fréquence de cette maladie se situe à l’âge de 65 ans avec une prédominance chez l’homme qui est deux fois plus exposé que la femme. Pour ce qui est de la fréquence de la LLC, elle est estimée à 30 nouveaux cas pour 100 000 habitants. Celle-ci est rare Avant 40 ans. Dans cette optique, des experts hématologues nationaux et internationaux organisent une conférence de presse samedi prochain, 14 juillet à Alger à l’hôtel Sheraton. Cette conférence aura pour objectif de mettre l’accent sur la leucémie lymphoïde chronique, partager avec la communauté scientifique les dernières actualités diffusées lors de la tenue du congrès de l’association européenne d’hématologie(EHA) et de vulgariser auprès du grand public le volet relatif aux aspects de prise en charge de la maladie, notamment les traitements innovants et les besoins médicaux non satisfaits.

The post Les spécialistes lancent l’alerte: Le cancer progresse en Algérie appeared first on .

Categories: Afrique

Malgré leur abondance sur les étals: Les fruits et légumes intouchables

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 10:31

Par Madjid BERKANE.

La création des chambres froides et le professionnalisme des fellahs sont venus à bout de l’époque du bon marché durant l’été.

Les prix des fruits et légumes n’ont pas connu de baisse cet été. Bien au contraire, certains produits ont même connu une légère hausse par rapport aux prix pratiqués durant le mois du Ramadhan. C’est le cas des produits maraîchers, à savoir la tomate, le poivron et le piment. Cédés respectivement à 80, 100 et 110 DA durant le mois de Ramadhan et jusqu’à la fin du mois de juin dernier, ces produits faisaient respectivement hier au marché de Ben Omar à Kouba, 110, 120 et 140 DA. La pomme de terre, la laitue, l’oignon, la courgette, les haricots verts et les aubergines ont été affichés hier à des prix tout aussi élevés que ceux pratiqués durant le reste de l’année, soit par ordre 70, 100, 60, 70, 140 et 120 DA. Le constat est valable aussi pour ce qui est des autres produits, à savoir la carotte, les navets et les radis. Ces derniers ont été cédés contre 80, 100 et 70 DA. Les prix de ces légumes sont exorbitants selon les citoyens, et ce, pour deux raisons. La première est que normalement la saison de l’été est la saison de la production de ces produits. La seconde est que la demande sur ces produits est inférieure en été par rapport à l’offre. Il faut dire à ce propos, que les étals des commerçants que ce soit ceux de l’alimentation générale ou ceux des marchés, ont été hier très bien remplis et la qualité de l’ensemble des produits était très bonne. «Les produits exposés ne sont pas de la serre comme ceux exposés il y a quelques semaines», dira un commerçant en réponse à notre question portant sur la provenance de ses produits. «Les quantités des légumes seront davantage importantes dans les prochains jours. Les champs seront tous mûris d’ici quelques semaines», a ajouté un autre. Interrogés par ailleurs sur la non- baisse des prix des légumes cette année, de nombreux commerçants avec qui nous nous sommes entretenus, se sont accordés à souligner que les temps ont changé. «Le fellah est devenu de plus en plus conscient et professionnel dans sa façon de travailler.Il ne met sur le marché que de petites quantités», ont fait remarquer nos interlocuteurs. Ce qui explique par ailleurs, la hausse des prix des légumes sur le marché, précisent les commerçants du marché de Ben Omar, est le fait que ces derniers sont déjà élevés en amont. «Le fellah ne cède plus facilement. Il ne vend qu’au plus offrant», indique-t-on, soulignant que ce dernier a raison. «Le fellah fait en effet face à de nombreuses dépenses et charges. Il s’acquitte des frais de la semence, de l’eau, de l’électricité et de la main-d’oeuvre devenus de plus en plus chers», explique-t-on en outre. La tendance de la hausse des prix a concerné aussi les fruits. Les prix de ces derniers sont tous chers et loin d’être à la portée des ménages aux revenus modestes.
Le melon, la pastèque, l’abricot, les prunes, le raisin, la pomme et la cerise ont été cédés hier respectivement à 90, 40, 250, 350, 350, 350 et 600 DA/kg. Tous ces fruits sont pour rappel de la saison. Les prix de ces fruits ont toujours été par le passé à pareille période de l’année, à la portée de tous. Le fait que ces produits sont périssables et existent en abondance poussaient les commerçants à les écouler à bas prix. Les prix de ces fruits ne vont pas baisser dans les jours prochains. «L’offre a baissé cette année», affirment les commerçants. «La région de N’gaous qui fournissait les régions du nord en abricots et prunes a vu l’incendie de beaucoup de milliers d’abricotiers et de pommiers», ont fait observer de nombreux commerçants. Pour couvrir les besoins du marché national en ces deux fruits, l’Algérie a permis l’importation de grandes quantités à partir de l’Espagne. Concernant les prix de la banane, la pomme importée et le kiwi, ces derniers ont été affichés à 320, 1200 et 1700 DA. La hausse des prix des fruits a impacté par ailleurs, notons- le, les traditions des Algériens durant les fêtes.
Au lieu de servir les fruits pour les invités, les ménages recourent à présent aux boissons gazeuses et au yaourt. Questionnés sur les solutions pouvant contribuer à la baisse des prix de ces produits, les commerçants ont été unanimes à indiquer que l’Etat doit renforcer son aide à l’égard des paysans. «Les fellahs doivent être les premiers à soutenir et à bénéficier des dispositifs d’aide de l’Ansej et de la Cnac», ont-ils souligné. Il est à rappeler que l’autre raison qui est à l’origine de la non- baisse des prix des fruits et légumes durant l’été comme ça été le cas par le passé, est la création des chambres froides. L’excédent est déposé dans ces chambres et mis sur le marché en temps opportun. «Cette démarche qui a eu des retombées positives sera généralisée à l’avenir pour tous les produits agricoles», a affirmé Bouazghi récemment à partir de la wilaya de Mila. Pour y parvenir ce dernier a fait savoir que beaucoup de chambres froides seront réalisées à l’avenir.

The post Malgré leur abondance sur les étals: Les fruits et légumes intouchables appeared first on .

Categories: Afrique

USMA : Betorangal pourrait être la dernière recrue

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 10:25

Le Franco-Algéro-Tchadien, Morgan Betorangal, pourrait être la dernière recrue de l’USMA lors de ce mercato estival. Le directeur général du club Abdelhakim Serrar est intéressé par ses services.

 

Actuellement, l’effectif de l’USMA renferme 26 joueurs. Il reste à la direction du club une seule licence pour pouvoir recruter. Comme rapporté par nos soins, le directeur général du club algérois Abdelhakim Serrar veut un milieu de terrain à vocation offensive capable de relancer la concurrence avec Amir Sayoud. Selon une source fiable, nous avons appris qu’il a jeté son dévolu sur le Franco-Algéro-Tchadien Morgan Betorangal. Libre de tout engagement après que son contrat avec le club marocain du CR Al-Houceima ait expiré, le joueur en question, qui a déjà fait un passage dans la Ligue 1 Mobilis avec le RC Arba et le MOB, est très emballé à l’idée de jouer à l’USMA vu le grand challenge sportif de ce club qui sera engagé sur trois fronts la saison prochaine. A noter que Betorangal était très proche d’opter pour le CSC il y a quelques semaines, mais les négociations avec les responsables constantinois n’ont pas abouti en ce qui concerne notamment l’aspect financier.

 

Serrar compte entamer les négociations à son retour du Rwanda

Jusqu’au moment où nous mettons sous presse, il ne s’agit que d’un contact entre Serrar et Betorangal. Les deux hommes n’ont pas encore négocié car le DG usmiste est actuellement occupé par d’autres dossiers. Par la suite, il s’envolera pour la capitale rwandaise Kigali le 16 juillet pour assister au match qui opposera l’USMA à Rayon Sport. A son retour à Alger, il entamera les négociations avec Betorangal et dans le cas où les deux parties parviendraient à trouver un accord, le joueur officialisera son arrivée au club algérois, c’est-à-dire signer son contrat. En somme, Morgan Betorangal est bien parti pour renforcer l’effectif usmiste la saison prochaine, reste à savoir s’il se mettra d’accord avec Abdelhakim Serrar lors de l’entrevue prévu entre les deux hommes après le 18 juillet prochain. Nous y reviendrons…

  1. S.

Il aurait signé hier soir

Prince Ibara est là !

Comme il fallait s’y attendre, c’est hier après-midi que l’éventuelle nouvelle recrue de l’USMA, en l’occurrence, l’attaquant congolais Prince Ibara, est arrivée à Alger. Une fois arrivé à l’aéroport Houari Boumediene, le joueur a trouvé l’un des dirigeants du club qui l’ont amené à l’hôtel Dar Diaf dans lequel il élira domicile. Comme rapporté par nos soins, Prince Ibara a tout conclu avec le directeur général de l’USMA Abdelhakim Serrar et il ne lui reste désormais que d’officialiser son arrivée au club algérois, c’est-à-dire signer son contrat. Il devait le faire hier soir. Il est à rappeler que Prince Ibara est un international congolais qui a évolué la saison écoulée dans le championnat qatari avec Al-Wakrah. On dit beaucoup de bien de lui et il semble avoir le profil pour devenir le nouveau buteur de l’USMA et faire ainsi oublier aux supporters le départ d’Oussama Darfalou qui est allé monnayer son tallent dans le championnat hollandais avec Vitesse Arnhem.

Il devrait rejoindre aujourd’hui l’équipe à Nairobi

Si tout se déroule comme prévu, Prince Ibara devrait s’envoler aujourd’hui pour la capitale kenyane Nairobi pour prendre part au stage d’intersaison. Ce sera une occasion pour le premier responsable du staff technique du club, Thierry Froger, de s’arrêter de près sur le niveau de l’international congolais.

  1. S.

Ardji depuis hier à Nairobi

Après avoir récupéré son nouveau passeport, c’est hier après-midi que Walid Ardji s’est envolé pour le Kenya pour rejoindre ses coéquipiers pour le stage d’intersaison qui se déroule à Nairobi. Le jeune attaquant usmiste ne sera pas concerné par la rencontre amicale de ce soir mais il devra fournir plus d’efforts afin de rattraper le retard physique qu’il accuse.

Tournoi Cecafa Kagame

Rayon Sport éliminé, Gor Mahia poursuit l’aventure

 

Le prochain adversaire de l’USMA en coupe de la Confédération africaine de football, en l’occurrence, le représentant rwandais Rayon Sport, a pris part au tournoi régional Cecafa Kagame. Il a été éliminé dans les quarts de finale de ce tournoi après avoir concédé une lourde défaite de quatre but à un face à son homologue tanzanien Azam FC. L’autre adversaire de l’USMA en phase des poules de la compétition continentale le club kenyan Gor Mahia a également pris part audit tournoi. Le représentant kenyan s’est qualifié pour les demi-finales de la Cecafa Kagame après avoir battu son homologue ougandais Viper sur le score de deux buts à un. Il affrontera en demi-finales l’Azam FC. Ce qui prouve donc que les adversaires de l’USMA sont compétitifs et sont capables de revenir en force lors des trois dernières journées qui restent à disputer de la coupe de la Confédération africaine de football.

  1. S.

En amical : USMA-Sofapaka à 18h (16h heure algérienne)

L’équipe type se dessinera aujourd’hui

 

Par Anis S.

 

La formation usmiste croisera le fer ce soir à partir de 18h (16h heure algérienne) avec l’équipe kenyane de Sofapaka. Une joute amicale à l’issue de laquelle l’équipe type qui débutera la nouvelle saison se dessinera.

A Nairobi depuis dimanche, les joueurs usmistes sont en train de se préparer dans de très bonnes conditions et le moins que l’on puisse dire, ils sont en train de cravacher dur car ils sont conscients que ce stage constitue une étape très importante avant de renouer avec la compétition officielle la semaine prochaine. Aujourd’hui, ils seront au rendez-vous pour disputer un match amical qui les opposera à la formation kenyane de Sofapaka. Une joute amicale sur laquelle mise beaucoup le premier responsable du staff technique du club, Thierry Froger, car il aura l’occasion de jauger le niveau de la préparation de chaque joueur mais aussi de parfaire les derniers réglages et essayer de combler le maximum de lacunes décelées en prévision de l’important match face au représentant rwandais Rayon Sport, prévu mercredi prochain à Kigali. Une rencontre amicale qui prendra sans nul doute des allures d’un match officiel car on s’attend à ce que la concurrence va battre son plein. Autrement dit, chaque joueur va donner le meilleur de lui-même afin de séduire le coach dans la mesure où ce dernier compte dégager son onze-type qui débutera la nouvelle saison à l’issue de la rencontre amicale de ce soir. Selon les informations qui nous sont parvenues, le technicien français ne devrait pas aligner tous les joueurs, mais plutôt ceux sur lesquels il compte miser le 18 juillet prochain face au Rayon Soleil.

Sofapaka, un adversaire coriace

Le Sofapaka est l’une des plus prestigieuses équipes du Kenya puisqu’il joue les premiers rôles chaque saison. D’ailleurs, il est détendeur du titre de champion du Kenya la saison passée et renferme d’excellents joueurs dans son effectif. Ainsi, les Rouge et Noir de l’USMA seront appelés à défier un adversaire d’un grand calibre et le moins que l’on puisse dire est que la rencontre amicale de ce soir sera un véritable test pour eux à une semaine de renouer avec la compétition officielle.

  1. S.

John Baraza (ent. Sofapaka) :

«On va se mesurer à l’une des meilleures équipes africaines»

 

Dans une déclaration accordée aux médias kenyans, l’entraîneur de Sofapaka John Baraza, se dit content d’affronter en amical l’USMA car il s’agit de l’une des meilleures équipes du continent africain. «Ce sera une bonne occasion pour nous de nous mesurer à l’une des meilleures équipes du continent africain. Comme vous le savez, on jouera la Ligue des champions africaine la saison prochaine et défier un adversaire comme l’USMA en amical ne pourra que permettre aux joueurs de gagner une certaine expérience et d’apprendre beaucoup de choses. Ce sera un test riche en enseignements pour nous», a déclaré le technicien kenyan.

  1. S.

The post USMA : Betorangal pourrait être la dernière recrue appeared first on .

Categories: Afrique

Mauritanie : 1/3 des candidats de Tawassoul aux municipalités, des descendants d’esclaves

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 07/11/2018 - 10:00
Alakhbar - Le parti d’opposition mauritanien Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (Tawassoul), 2e force politique du...
Categories: Afrique

Une étude internationale place le gouvernement de la Mauritanie dans la section "mort clinique"

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 07/11/2018 - 09:30
Adrar Info - Une nouvelle étude préparée par l’entreprise internationale "Burson Cohn & Wolfe", intéressée par les sites de...
Categories: Afrique

Petite catégorie : ASAC Concorde champion 2017-2018

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 07/11/2018 - 09:00
Rimsport - Après la défaite de Nouakchott King’s et la victoire de l’Asac contre la Police, les poulains de Lassana Cissokho et d’Adama...
Categories: Afrique

Migration en Mauritanie, du sécuritaire vers une vision de développement

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 07/11/2018 - 08:30
Le Courrier du Nord - Jusque-là parents pauvres des politiques migratoires, notamment dans la Stratégie nationale de gestion de la migration de...
Categories: Afrique

M’Bagne : Un jeune opérateur des pêches investi député

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 07/11/2018 - 08:00
Le Calame - Niang Mamadou Youssouf, opérateur dans le secteur des pêches a été investi candidat à la députation pour le département de...
Categories: Afrique

Interview : Med Hondo, Je n'ai pas peur...

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 07/11/2018 - 07:30
Traversées Mauritanides - Il est comédien et aussi doubleur prolifique (la voix française d’Eddy Murphy, c’est lui !). Mais voilà avant...
Categories: Afrique

l’Union pour la Démocratie Nationale (UDN) : Déclaration

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 07/11/2018 - 07:00
L'Authentique - La Mauritanie s’apprête à vivre des moments mémorables de son histoire avec la tenue en septembre 2018, des premières...
Categories: Afrique

Cinq éleveurs tués à Cobly

24 Heures au Bénin - Wed, 07/11/2018 - 03:22

La communauté peulh de Cobly a été victime d'une attaque sanglante au cours du week-end écoulé. L'affrontement a fait au moins cinq morts dans le rang des éleveurs. Cette agression a entraîné plusieurs milliers de déplacés et des habitats de fortunes réduits en cendre.

Cinq morts et des milliers de déplacées dans le rang des éleveurs peulhs. C'est le bilan des attaques contre ces derniers dans la commune de Cobly. Selon les informations livrées par l'Abp, c'est à la suite de la découverte, samedi dernier, du corps éventré d'un homme dans sa ferme dans le village de Tchamonga, arrondissement de Datori, dans la commune de Cobly que la population s'est déchaînée contre les éleveurs peulhs. Les accusant de ce crime crapuleux, les populations sont sorties, armées de coupe-coupe, de haches, de fusils artisanaux et autres armes blanches pour attaquer cette communauté d'éleveurs avec qui elles cohabitent depuis des années. Dans leur sale besogne, les populations ont tout saccagé sur leur passage. Ils n'ont épargné aucuns biens. Des enfants et des femmes sont portés disparus et des habitations saccagées et brûlées. Les éleveurs ont fui par milliers pour aller se réfugier à Matéri et Cobly centre.
Une délégation conduite par le préfet Lydie Déré Chabi Nah, accompagné d'un détachement militaire s'est rendue sur les lieux pour constater les faits. La désolation était au rendez-vous au regard des constats. Aussi bien à Matéri, sur le site de Gouandé ayant accueilli 35 personnes que ceux de Tcharikouanga (150) Kouforpissiga (41) et Samahoum (50). Le maire de la commune de Matéri, Sorikoua Sambiéni, a pris des dispositions pour accueillir les victimes et leur apporter les premiers secours.
« L'agence nationale de la protection civile est déjà à pied d'œuvre pour apporter du soutien et la Croix rouge sera là également », a rassuré l'autorité préfectorale.
Le préfet a ajouté que des dispositions sont aussi prises pour apporter des moustiquaires et des soins surtout aux enfants et aux malades.
Face à la persistance de ces affrontements, l'autorité préfectorale a confié que l'urgence serait de déplacer tous les peulhs de la commune de Cobly. Pour le moment grâce au dynamisme des autorités et des forces militaires, le calme est revenu dans la localité.

G. A.

Categories: Afrique

Arrivée de Vahid Halilhodzic chez les verts : Les supporters algériens croisent les doigts

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 02:43

Quel que soit le futur sélectionneur de l’Algérie, en dehors de Vahid Halilhodzic, il aura comme premier handicap celui de convaincre, voire conquérir les fans du Bosnien.

Ses fans n’arrivent pas du tout à encourager un autre que lui depuis qu’il a su monter cette sélection algérienne qui a arraché de fort belle manière sa qualification au Mondial 2014. Ces fans ne peuvent donc pas oublier le bon travail effectué par le coach bosnien, Vahid Halilhodzic depuis 2011, année de son engagement avec la sélection algérienne. On se rappelle bien des circonstances dans lesquelles a travaillé «Halilo» avec les Verts alors que la sélection algérienne était «vieillissante». Halilhodzic décida, alors, d’appliquer une discipline de fer au sein des Verts. Il renouvela alors l’effectif suite à la retraite des cadres Belhadj, Matmour et Antar Yahia. Il a même eu le courage d’écarter, entre autres, le capitaine Ziani et Djebbour, préférant de nouveaux joueurs avec une «nouvelle mentalité»: celle de gagneurs. Et c’est ce qui a valu au sélectionneur bosnien des critiques acerbes de la part des journalistes avec lesquels il y a eu des rapports très tendus. Et son idée «géniale» était juste d’avoir décidé également de faire évoluer les Verts de manière plus offensive. Mais son travail n’a pas donné les résultats escomptés lors de la CAN 2013. l’EN algérienne est éliminée au premier tour, après s’être inclinée face à la Tunisie et au Togo. Lors du 3e match, elle obtient un nul 2-2, contre la Côte d’Ivoire. Et en dépit de la déception des supporters algériens, le président de la FAF d’alors, Mohamed Raouraoua fait confiance au technicien bosnien en le maintenant à la barre technique. En novembre 2013, l’Algérie arrache son billet pour le Mondial 2014 prévu au pays du «Roi Pelé» après avoir battu le Burkina Faso lors du 3e tour des éliminatoires. Halilhodziæ, qui fond en larmes à l’issue de la rencontre, s’apprête à disputer son premier Mondial en tant que sélectionneur, contrairement à son aventure avec la Côte d’Ivoire. En effet, en février 2010, quelques mois avant le début de la Coupe du monde, le président de la Fédération ivoirienne de football, Jacques Anouma, annonce le limogeage du Halilhodziæ, qui dit avoir appris la nouvelle par l’intermédiaire d’un simple fax. Avec la sélection algérienne, il est sévèrement critiqué sur son choix des joueurs dont la majorité étaient des jeunes manquant visiblement d’expérience dans ce genre de compétition. Lors du premier match, les Verts s’inclinent devant la Belgique de Hazard et Fellaïni (2-1). Puis, une victoire face à la Corée du Sud (4-2), et un nul 1-1 contre la Russie, leurs permettent d’atteindre les 8es de finale. Là, les Fennecs fournissent leur match de référence, ironie du sort, après leurs prédécesseurs en 1982, contre l’équipe d’Allemagne. Slimani et ses compatriotes résistent durant 90 minutes, avant que les Allemands ne prennent l’avantage en prolongations. L’Algérie est éliminée sur le score étrique de deux buts à un. De retour à Alger, stupéfaction pour Vahid qui est reçu par les fans des Verts comme un président. Il en garde d’ailleurs un souvenir impérissable qu’il raconte et rappelle à chaque occasion. Et c’est ce «lien indéfectible» qui le lie justement à ces fans des Verts qui ne veulent que Halilhodzic comme sélectionneur des Verts. Aujourd’hui, les discussions vont bon train entre le président de la FAF Kheïredine Zetchi et lui. Certains veulent faire croire que la piste Halilhodzic est tombée à l’eau, citant même Christian Gourcuff comme probable successeur de Madjer. Mais ces derniers oublient ou font exprès de le faire: Christian Gourcuff se trouve au Pays-Bas, avec son nouveau club, Al Gharafa, avec qui il est bien sous contrat. Et il va falloir d’abord le résilier pour pouvoir coacher les Verts. Et on voit vraiment mal le président de la FAF, Kheïreddine Zertchi privilégier un coach toujours sous contrat, laissant celui qui est libre et surtout si demandé par les fans des Verts.

Par Saïd MEKKI

The post Arrivée de Vahid Halilhodzic chez les verts : Les supporters algériens croisent les doigts appeared first on .

Categories: Afrique

Les algériens refusent que leur baguette de pain fasse l’objet de chantage : Ne touchez pas au sacré!

Algérie 360 - Wed, 07/11/2018 - 02:37

S’il estime la hausse des prix comme la plus mauvaise des solutions, le gouvernement n’en est pas moins obligé de trouver une réponse à l’équation complexe de la baguette.

Le prix du pain en Algérie relève de la décision politique. Ce n’est pas un produit comme les autres. Il a une histoire, une signification sociale, sociétale et même politique. Les Algériens y sont attachés, jusqu’à l’inclure dans leur lexique au quotidien. Tous les gouvernements de ces 20 dernières années s’en sont tenu au tarif où ils l’ont trouvé. Codifiées par décret, les spécificités de la baguette de pain sont, quelque part une affaire d’Etat. Même si, au quotidien, beaucoup de commerçants prennent quelques libertés avec les spécifications du produit, il reste que les Algériens tiennent fermement à leur décret. Qu’importe s’ils payent leur pain plus de deux dinars au-dessus du prix fixé par la réglementation, ils refuseront de voir celle-ci s’adapter à la réalité et reconnaître le prix pratiqué par les boulangers et les revendeurs qui, pour «habiller» une hausse illégale, se sont multipliés aux quatre coins du pays.
Tous les gouvernements qui se sont succédé à la tête du pays font le constat de cette «triche» et notent l’énorme gaspillage qui touche cette denrée, pourtant lourdement subventionnée au plan économique et sacralisée par le commun des Algériens. Mais ils tiennent tous au prix administré et annoncent régulièrement leur intention d’en finir avec cette situation «provisoire» d’anarchie et de marge bénéficiaire exagérée au regard du décret qui fixe le poids et le prix de la baguette de pain. En face, les boulangers qui disent «ne rien gagner» à pratiquer une activité pas du tout rentable, interpellent les pouvoirs publics aux fins de revoir à la hausse, soit le prix du pain, soit les subventions. En attendant un retour «d’ascenseur» de l’Etat, ils se sont servis dans la poche des citoyens par le truchement d’une augmentation qui ne dit pas son nom.
La multiplication des intermédiaires, la formule de «pain amélioré» et autres pratiques «grises» ont permis au boulanger de grignoter quelques dinars dans le prix final de la baguette. Mais, il semble que cette stratégie soit arrivée à ses limites.
En effet, les 2,5 dinars de différence entre le prix administré qui est de 7,5 DA et celui de la vente fixé à 10 DA, ne peuvent pas assurer la pérennité de la profession de boulanger. Ils proposent d’élever le prix à 12 DA, voire 15 DA pour certains. Objectivement, la proposition des boulangers n’est pas dénué de sens.
A voir le niveau extravaguant du gaspillage, l’augmentation des prix réduira certainement la consommation et aura un effet direct sur la boulimie des Algériens qui ne peut s’expliquer qu’à travers la valeur financière «insignifiante» du pain. Mais l’Etat refuse d’acter cette proposition et reste attaché à son décret. Il refuse toute discussion avec les boulangers sur la structure des prix de ce produit stratégique. Cette posture est amplement compréhensible au sens où l’élévation, ne serait-ce que, de 5 centimes du prix de la baguette, aura l’effet d’une bombe. Aucun gouvernement ne se risquerait à prendre une décision aussi sensible.
Ce qui est en jeu, n’est pas moins le prix actuel du pain que la symbolique qu’il représente pour la population. Tout le sens de l’engagement social de l’Etat est résumé dans le fameux décret. C’est dire à quel point, le prix du pain en Algérie prend une signification hautement politique. Dans l’esprit des Algériens, le fait de toucher à cette denrée populaire, équivaut à briser un pacte historique entre les gouvernants et la société.
De fait, les boulangers seraient inconscients de prendre unilatéralement la décision d’augmenter les prix du pain. L’on se souvient de l’émoi provoqué par pareille initiative prise il y a quelques mois par quelques commerçants. La réaction du gouvernement était d’une fermeté remarquable, de sorte que les contrevenants ont certainement compris le sacrilège qu’ils avaient commis à l’encontre de la société algérienne en touchant au produit, dont la symbolique est vraisemblablement très pesante dans l’esprit de chacun.
Le round de négociation qu’ils engagent à partir d’aujourd’hui avec le ministère du Commerce relève certainement de leurs prérogatives, mais quelles que soient les propositions qu’ils feront au gouvernement, la question du prix leur échappe complètement. De son côté, le gouvernement s’il estime, à juste titre, la hausse des prix, dans le contexte actuel, comme la plus mauvaise des solutions, il n’en est pas moins obligé de trouver une réponse à l’équation complexe de la baguette. La farine spéciale-pain, peu coûteuse, devrait être une réponse à la situation de crise que vivent les boulangers. Le gouvernement pourrait l’importer à moindre frais, la distribuer aux professionnels qui trouveraient leur compte à travers une marge bénéficiaire convenable. Mais depuis plusieurs années qu’il promet de passer à cette solution et qu’il ne le fait pas, l’Exécutif porte la responsabilité de cette crise.

Par Saïd BOUCETTA

The post Les algériens refusent que leur baguette de pain fasse l’objet de chantage : Ne touchez pas au sacré! appeared first on .

Categories: Afrique

La liste des rues à asphalter ou à paver à Porto-Novo

24 Heures au Bénin - Wed, 07/11/2018 - 02:34

Le démarrage des travaux d'asphaltage ou de pavage des rues dans les grandes villes du Bénin est imminent. Après la publication de la liste des entreprises attributaires des différents lots[https://www.24haubenin.info/?Liste-des-entreprises-attributaires-par-lot-du-projet-Asphaltage-des-rues-de]votre journal publie ici en exclusivité la cartographie ainsi que la liste des rues retenues à Porto-Novo.
Le projet est structuré autour de types de rue. Il y a des rues primaires à paver ou à asphalter, des rues secondaires à paver ou à asphalter ainsi que des rues tertiaires à paver ou à asphalter.

PORTO-NOVO
La cartographie des rues

Typologie des rues

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.