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Afrique

Ligue des champions d’Afrique / Difaâ El Jadidi – ES Sétif, demain à 19h au stade M’hamed El Abdi: L’Entente en quête de confirmation

Algérie 360 - Thu, 07/26/2018 - 12:17

La rencontre, qui sera dirigée par les arbitres mauritaniens, à savoir Ali Lemghaifry, Abderahmane Warr et Hamedine Diba, s’annonce difficile pour les deux formations, lesquelles visent évidemment le même objectif, à savoir la victoire.

L’Entente de Sétif, qui a battu il y a une dizaine de jours l’équipe marocaine du Difaâ El Jadidi (2-1) au stade du 8-Mai 1945, devra confirmer en jouant demain à 19h00 le match retour face à cette même formation marocaine au stade M’hamed El Abdi, El Jadida, pour le compte de la 4e journée du groupe «B» des qualifications de la Ligue des champions. La rencontre, qui sera dirigée par les arbitres mauritaniens, à savoir Ali Lemghaifry, Abderahmane Warr et Hamedine Diba, s’annonce difficile pour les deux formations, lesquelles visent évidemment le même objectif, à savoir la victoire. Les Sétifiens, se sont relancés dans la course à la qualification au prochain tour en arrachant cette dernière victoire, après deux revers de suite enregistrés, respectivement, face au TP Mazembe et le MC Alger. Ainsi, l’Aigle noir a fini par prendre son envol dans la plus prestigieuse des compétitions continentales. Cependant, cette première sortie officielle, sous l’ère du coach le Marocain Rachid Taoussi (engagé au début du mois de juin dernier) n’a pas été une partie de plaisir pour Djabou et consorts. Ayant concédé un but dès la 4′, les Sétifiens ont dû, petit à petit, reprendre confiance avant de remettre les pendules à l’heure par Bouguelmouna et l’emporter grâce à un but de Ghacha dans les ultimes minutes. Et c’est justement grâce à cette victoire étrique que l’ESS glane ses trois premiers points dans ce groupe B pour quitter la dernière place. Le DHJ, quant à lui, se trouve à la dernière position avec un seul point au compteur.
La première place est occupée par le TP Mazembe avec 9 points alors que le MCA le talonne avec un total de 4 points avant leur prochaine confrontation samedi au stade Mustapha-Tchaker de Blida.

Malik Zorgane: «La récupération nous préoccupe»
Ces donnes veulent dire que demain, la défaite est bel et bien interdite pour les Sétifiens sous peine de voir leurs espoirs d’une éventuelle qualification au prochain tour s’évaporer. Il sont depuis mardi dans la ville d’El Jadida, où il ne leur reste que quelques heures pour préparer ce match d’importance. Ce que confirme le coach adjoint de l’équipe, Malik Zorgane: «Notre équipe a joué son dernier match amical il y a trois jours et cela ne suffit pas pour récupérer d’autant qu’il a fallu effectuer ce déplacement au Maroc avant de se retrouver dans la ville d’El Jadida. Trois jours sont bien insuffisants pour préparer un match de cette importance». Et d’ajouter qu’en dépit de cet état de fait «notre objectif est de représenter dignement les couleurs nationales et ce, jusqu’à la dernière minute du jeu».

Rachid Taoussi: «Rien n’est laissé au hasard»
Pour le coach Rachid Taoussi, il se base sur deux paramètres: «Nous avons axé notre préparation sur l’aspect défensif au vu des erreurs qu’ont commis les joueurs lors du dernier match. De plus, j’ai remarqué qu’on a bénéficié de beaucoup de balles arrêtées. Nous avons donc aussi travaillé cet aspect du football moderne».

Mustapha Zeghba: «Nous visons la victoire»
Pour sa part, le gardien de but, Zeghba, n’a pas hésité à annoncer que son équipe n’a d’yeux que sur les trois points. «Nous visons la victoire au Maroc. Nous allons faire de notre mieux pour enregistrer un bon résultat et poursuivre sur cette dynamique», a-t-il dit.
Ça ne serait pas facile de gagner en déplacement face à cette coriace formation du DHJ, certes, mais c’est une mission bien dans les cordes de ces très courageux et décidés joueurs sétifiens.

Par Saïd MEKKI

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ElMina promu parmi l'élite !

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 07/26/2018 - 12:14
Rim Sport - Après l'AS Armée, la Jeunesse d'El Mina a validé ce mercredi (25 juillet 2018),son billet pour la Super D1. J. A. H. E. a...
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Amical : Mahrez et Man City chutent face à Liverpool. Salah buteur 52 secondes après son entrée en jeu

Algérie 360 - Thu, 07/26/2018 - 12:12

Riyad Mahrez n’a toujours pas connu la victoire avec Manchester City. L’international algérien était une nouvelle fois titulaire à l’occasion de cette rencontre

Dans la nuit de mercredi à jeudi, on a pu assister à la revanche de la double confrontation des derniers des quarts de finale de la Ligue des Champions entre Liverpool et Manchester City. Pendant la C1, les Reds de Jürgen Klopp s’étaient imposés par deux fois (3-0 et 2-1). Cette fois ce fut rebelote pour le club de la ville du nord-ouest de l’Angleterre comme l’indique Footmercato.

La première période était plutôt équilibrée, mais surtout sans but malgré cinq frappes de chaque côté. Les hommes de Klopp ont donc construit leur victoire en seconde période. Si Leroy Sané a bien ouvert le score (57e), Mohamed Salah, une minute après être rentré en jeu lui répondait (63e). En fin de rencontre, Sadio Mané, sur penalty, offrait la victoire aux derniers finalistes de la Ligue des Champions une victoire méritée.

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Ba Amadou Racine, ancien ministre, membre fondateur de l’Union Pour la République : "La redynamisation de l’UPR a été faite à l’improviste, avec, en seule ligne de mire, les prochaines échéances électorales"

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 07/26/2018 - 12:12
Le Calame - L’UPR a publié, il y a quelques jours, ses listes candidates pour les prochaines élections. Le moins qu’on puisse dire est...
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MO Constantine: Le Mouloudia sur la bonne voie

Algérie 360 - Thu, 07/26/2018 - 12:10

Par A. Mallem

  Après avoir clôturé la liste des joueurs que les dirigeants et le staff technique avaient visés et recrutés, le MOC a débuté les entraînements le samedi 21 juillet au stade Benabdelmalek Ramdane de Constantine, sous la houlette de l’entraîneur Youcef Mechehoud, un ancien joueur des « Bleu et Blanc ».

Ce dernier travaillera en collaboration avec l’ex-gardien de but du Mouloudia, Mounir Laouar, en tant qu’entraîneur des gardiens de but. « Ils ont grandi chez nous et on peut leur faire confiance », nous a confié un dirigeant au MOC, faisant allusion à une publicité qui était en vogue dans le pays à une époque pas lointaine.

Pour revenir à l’effectif réuni par Mechehoud, disons que celui-ci comporte également d’anciens éléments de retour au bercail tels que Bouharbit, Brahmia, le gardien Bouloudnine, pour ne citer que ces joueurs. Mechehoud a composé un ensemble de 25 joueurs, en gardant seulement cinq éléments de l’effectif de l’année passée.

C’est dire que l’équipe a été fortement remaniée. Par ailleurs, il est à noter qu’un joueur émigré est venu tenter sa chance avec le MOC. Il s’agit de Iheb Ouznadji, un élément qui aurait évolué au club parisien du Racing de Paris, le même club où avait évolué Rabah Madjar au début des années 80 avant son départ pour Porto.

Interrogé dimanche, l’entraîneur du MOC a parlé de l’effectif en le qualifiant « d’amalgame de joueurs, regroupant l’expérience et la jeunesse ». Il ambitionne ainsi de former un groupe de qualité et une équipe compétitive pour affronter le rude championnat de la division nationale amateur, groupe Est, le plus dur des trois régions, selon les observateurs. « Avec ces joueurs, venus de différents horizons, nous allons travailler pour créer la symbiose et un esprit d’équipe », a-t-il ajouté. D’après le programme tracé par Mechehoud, le MOC passera une dizaine de jours au stade Benabdelmalek en travaillant le volet physique et en disputant des matchs d’application, avant de prendre le départ pour la Tunisie le 6 août. Sur place, l’équipe sera soumise à un travail spécifique plus intense, notamment en ce qui concerne le volet technique. Le retour se fera le 19 du même mois.

« Lors de ce second stage en Tunisie, nous comptons disputer le maximum de matchs amicaux. Et c’est à l’issue de ce regroupement que nous définirons réellement nos objectifs », a terminé Mechehoud. Pour Mohamed El Hadi Belegherabli, le président du MOC, l’opération de recrutement s’est passée sans accrocs. « Les choses se sont déroulées normalement et sans le moindre problème », nous a-t-dit.

En tous cas, maintenant que le programme de préparation est lancé, les supporters qui suivent quotidiennement l’évolution de leur équipe favorite, sont très optimistes quant à l’avenir du MOC.

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L’Etat Major Général des Armées / 3° Bureau communique

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 07/26/2018 - 12:04
Armée - Il est porté à la connaissance des jeunes mauritaniens âgés de 18 ans au minimum et 25 ans au plus au 31 Décembre 2017, désireux de...
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Le RAVEL prend fin le 31 juillet courant (SOURCE)

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 07/26/2018 - 12:02
Tawary - Selon une bonne source, bien placée au sein de la commission électorale nationale indépendante (CENI), l’opération en cours du...
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Akpakpa Dodomè retenu pour une station balnéaire et un lac marin

24 Heures au Bénin - Thu, 07/26/2018 - 10:11

L'information est tombée ce mercredi 25 juillet 2018 en Conseil des ministres. Le gouvernement sort un nouveau projet d'envergure et ambitieux. Faire du secteur touristique une réalité à travers la réalisation d'une station balnéaire à Akpakpa Dodomè, à l'Est de Cotonou.
15. 832. 225. 860 FCFA, c'est le montant alloué par le gouvernement pour valoriser le potentiel balnéaire du périmètre protégé à l'Est de Cotonou. Le secteur touristique reste pour le gouvernement, un volet essentiel de son programme d'actions qui tient à cœur au chef de l'État, Patrice Talon.
La mise en valeur du potentiel touristique et attractif de certains points est l'objectif visé à travers un site d'Akpakpa Dodomè qui sera bientôt transfomé. Ce domaine public fluvio-maritime d'Akpakpa-Dodomè que vise ce financement s'étend sur une superficie d'environ 8 hectares. Un site qui offre une double façade sur la lagune de Cotonou et son chenal d'une part, et sur l'Océan Atlantique d'autre part. On y découvre aussi une zone balnéaire de développement de lac marin d'une attractivité rayonnante. Confiant de l'importance de ce site pour son programme touristique, le gouvernement s'investit pour sa valorisation.
Pour y arriver, il sera procédé à la densification du réseau d'épis en y construisant de nouveaux épis dans le but de réaliser les travaux d'assainissement de la berge jouxtant le site à aménager. Pour ce faire, il va falloir créer un lac marin dans la zone balnéaire de Donaten par la construction d'une digue immergée entre les musoirs de l'épi de Siafato et l'épi N°1 puis renforcer la réserve sédimentaire par dragage. Au regard de l'envergure du projet, le gouvernement a autorisé la signature de contrats additionnels avec l'entreprise Bellsea Limited en charge des travaux et le bureau d'études INROS LACKNER, responsable du contrôle pour les nouveaux travaux.
Une fois de plus le chef de l'État, sort un autre projet ambitieux suivi du financement et de l'attribution du marché pour la réalisation effective du pôle d'attraction touristique.

Giscard AMOUSSOU

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Dr Zul Kilf Salami fait le bilan du SEMICA 2018

24 Heures au Bénin - Thu, 07/26/2018 - 10:01

Le gouvernement béninois a organisé la première édition du Salon international des mines, des carrières et du pétrole (SEMICA 2018) du 29 au 20 juillet 2018, à Cotonou. Placé sous le thème « Partenariat public-privé pour le décollage économique de l'Afrique » ce séminaire s'est achevé sur une note de satisfaction pour les participants et organisateurs. Dr Zul Kilf Salami, chargé de mission du chef de l'Etat et président du présidium a exposé au terme de ce salon les aboutissements du SEMICA 2018.

Allocution du Ministre des mines

Le président du directoire du SEMICA, Dr Zul Kifl Salami, a d'abord remercié le chef de l'Etat, Patrice Talon pour son leadership éclairé, sa détermination pour faire du pays un foyer, un joyau du développement à l'échelle non seulement de la sous-région mais international. Il a félicité le ministre des mines et de l'eau du Bénin Samou Séidou Adambi, pour son sens de l'initiative, sa capacité d'organisation et de fédération des forces qui ont permis le déroulement fluide du séminaire. Zul Kifl Salami a également exprimé ses sincères gratitudes aux participants et acteurs internationaux ainsi qu'aux sponsors qui ont tenu à apporter leur contribution surtout financière à cette organisation.

Le compte rendu du president du présidium

Le séminaire a été organisé en 04 panels. Le premier est intitulé panel de haut niveau sur les opportunités d'investissements dans les secteurs minier et pétrolier. « Panel de haut niveau dont les travaux ont été essentiellement focalisés sur les problèmes de stratégies et de politiques », a déclaré le président du directoire du SEMICA.
A cet égard, il a remercié le ministre du Cameroun qui au-delà de son manteau politique a utilisé son expertise pour faire avancer les travaux au côté de ses paires.
Le deuxième panel porte sur l'état des lieux de la recherche géologique et minière. A ce niveau, Zul Kifl Salami a félicité les cadres nationaux qui ont démontré d'une manière éloquente la profondeur et l'éminence de leur expertise dans le domaine de la géologie de la recherche minière et pétrolière.
Le troisième panel est relatif aux opportunités d'investissements dans le domaine du pétrole et des mines dans les pays. Sur ce point qui constitue le cœur des débats, les acteurs internationaux ont été interpellés car affirme le président du directoire, « ce séminaire, nous l'avons fait pour eux ». Ce salon permet de faire redécouvrir aux acteurs internationaux les potentialités du pays et ceux de la sous-région afin qu'ils puissent reformuler leur engagement pour que le pétrole, les mines et les carrières deviennent réellement le vecteur de la croissance économique dans ces pays. Dr Zul Kifl Salami reste persuadé que ces acteurs partent avec la conviction qu'ils passeront à l'action dans les semaines et les mois qui viennent.
Le quatrième panel s'est penché sur le cadre réglementaire, la matrice même qui porte l'industrie pétrolière et minière dans les pays.
Pour le président du directoire, « rien ne peut se faire sans la loi, rien ne peut se faire sans la réglementation ». Ce dernier panel a permis de toucher du doigt les problèmes de fond.

Renaissance de la production minière et pétrolière

« A l'entame de ce séminaire, notre souci était d'abord de nous fixer un objectif qu'on puisse atteindre assez rapidement (...).
L'objectif est de faire en sorte que ce salon, débouche effectivement sur la renaissance de la production minière et pétrolière dans notre pays et dans la sous-région », a affirmé Dr Zul Kifl Salami.
Des réflexions ont été menées sur les voies et moyens qu'il faut activer pour effectivement atteindre cet objectif. Ce qui a permis de relever quelques facteurs déterminants pour la renaissance de l'industrie pétrolière et minière dans les pays.

Nécessité de reformatage des codes miniers et pétroliers

Concernant les acteurs internationaux, le premier facteur est relatif à l'urgence d'assainir l'environnement institutionnel et celui des affaires. « L'investisseur ne viendra jamais prendre le risque d'investissement dans un environnement qui est chaotique, dans un environnement qui ne garantit pas le retour sur investissement, la stabilité fiscale, la stabilité des institutions, la stabilité du cadre légal », a souligné le président du directoire. Ainsi, il a été retenu que deux documents de référence soient examinés de fond en comble. Il s'agit des documents du code minier et du code pétrolier car mentionne-t-il, ce sont ces deux documents qui encapsulent les devoirs et les droits de chaque partie lorsqu'on veut investir dans le domaine minier et pétrolier.
Le pouvoir public doit donc fournir des efforts pour procéder au reformatage des codes miniers et pétroliers pour générer l'enthousiasme des investisseurs.
Après le code minier et pétrolier, Dr Zul Kifl Salami a abordé les problèmes de gouvernance.
« Tant que la gouvernance n'est pas renforcée, l'Etat de droit n'est pas au rendez-vous, le fonctionnement des institutions n'est pas fluide, il est évident que l'investisseur, encore une fois, ne sera pas en confort pour prendre le risque de l'investissement », a-t-il clarifié. D'autres aspects ont été soulevés parmi lesquels le problème de la sécurisation des investissements à travers les garanties. A ce sujet, la satisfaction est totale parce qu'il existe des structures internationales, nationales, sous-régionales qui sont capables de fournir les garanties nécessaires aux investisseurs dans le domaine des mines et de l'énergie.
« Ce séminaire nous l'avons voulu (...), ce qui signifie que le Bénin a une volonté réelle d'aller de l'avant sur le front de la recherche minière et pétrolière et surtout la production », a martelé Dr Zul Kifl Salami.
Pour l'ancien ministre du plan, le Bénin a une volonté inoxydable de la part des pouvoirs publics. « La gouvernance est au rendez-vous, le leadership est fort et productif, le rôle du secteur privé est magnifié », a-t-il ajouté. Aussi, a-t-il mentionné qu'une lutte implacable est menée contre la corruption.
Le président du directoire du SEMICA invite les partenaires à investir dans ce secteur à risque.

Akpédje Ayosso (Stagiaire)

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Misère et bonheur de la presse écrite

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 07/26/2018 - 09:12
L'Authentique - Cela fait plusieurs semaines que la presse écrite nationale a disparu des kiosques. Raison de cet état de fait : la grève qui...
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Toujounine : une énième victime de l’expropriation foncière à Bouhdideu, l’ADU indexée

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 07/26/2018 - 08:29
Personne ne sait qui est derrière cette affaire, sauf que c’est une femme qui tire les ficelles, jusqu’à l’agence de développement urbain...
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Entretien avec Ahmed Samba, candidat APP pour la mairie et la députation de Rosso

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 07/26/2018 - 07:45
Le Calame - "Flétrie par les politiques publiques d'appauvrissement et d'exclusion menées par le pouvoir, notre ville est restée une...
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Escroquerie et abus de confiance

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 07/26/2018 - 07:00
L'Authentique - Un Mauritanien de France, originaire de la région du Gorgol, est tombé dans le piège de deux dinosaures. Il s’agit d’un...
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Grâce à Talon, le Parlement cesse d'être un refuge pour des indélicats

24 Heures au Bénin - Thu, 07/26/2018 - 03:39

La lutte contre la corruption prend corps à l'Assemblée nationale. Et pour cause, les députés Valentin Djènontin, Idrissou Bako et Mohamed Atao Hinnouho ont vu leur immunité levée pour répondre des faits à eux reprochés devant la justice. Désormais, leur honneur et leur crédibilité sont en jeu.

"Ils se rassemblent contre la vie du juste et condamnent le sang innocent", a déclaré le député Valentin Djènontin, mardi dernier, après le vote de ses collègues pour la levée de son immunité au parlement.
L'élu des Fcbe veut ainsi clamer son innocence devant les parlementaires sans oublier que c'est la justice qui décidera de son sort.
M. Djènontin rend hommage à la commission spéciale de l'Assemblée pour avoir fait preuve d'impartialité pour ne l'avoir pas culpabilisé. Mais dans cette commission, certains ont voulu qu'il aille laver son honneur devant la justice. Il clame son innocence devant les députés alors qu'il pouvait le faire avec autant de vigueur devant la justice. "Je n'a jamais été nommé ministre de l'agriculture, ni secrétaire général du ministère", indique-t-il. Quand le passé rattrape, il faut l'assumer pour s'en sortir heureux. Il n'est donc pas question de fuir son destin.
Valentin Djènontin doit garder son son sang froid s'il est conscient de son innocence. La gestion des affaires de l'État au cours des dix dernières années pourrait rattraper beaucoup de personnalités.
En dehors de Djènontin, son collègue Idrissou Bako, qui avait dirigé la Sonapra, clame aussi son innocence. Selon lui, il faut protéger l'élu "pour que le député ne tombe pas sous les coups politiques. Les votes émis par les députés béninois sont sanctionnés, la roue tourne. Quel que soit ce qui sera fait contre, nous sommes confiants que nous serons sous la protection de Dieu et chacun à sa conscience". Des paroles de victimisation alors qu'ils ont une parcelle de de responsabilité dans la filière coton.
En suivant les déclarations des députés Djènontin et Bako, il est difficile de croire en la franchise des hommes politiques. Ayant longtemps géré avec complaisance, ils se disent écoeurés de voir le comportement de leurs collègues face à la demande de levée d'immunité adressée par le procureur de la République au président de l'Assemblée nationale.
Il faut alors saluer la promptitude du président Adrien Houngbédji qui a montré et continue de démontrer qu'il faut toujours respecter les textes. Selon les propos de ces deux députés dont l'immunité à été levée, il ne fallait pas qu'ils aillent répondre de leur gestion antérieure. Toute chose déplorable qui donne raison à ceux qui prennent l'hémicycle comme le refuge des délinquants financiers.
La lutte contre la corruption et la constitutionnalisation de la Cour des comptes étaient pourtant prônées par le gouvernement qu'ils ont eu a servir avec dévouement.
On se rend compte aujourd'hui que la peur a gagné le rang de ces opposants qui crient le nom du président Talon sur tous les toits. Il faut désormais désengorger l'hémicycle de ces hommes qui ont mal géré les ressources publiques et prennent le palais des gouverneurs comme le lieu de refuge de toute poursuite. Il est plus préférable que les députés versent à la justice les preuves de leur innocence que de prendre l'hémicycle comme un refuge. Comme le stipule un proverbe togolais, "celui qui veut taquiner un nid de guêpes doit apprendre à courir vite"

G.A.

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Le Procureur rappelle à l'ordre les Elus locaux, les banques et les compagnies d'assurances

24 Heures au Bénin - Thu, 07/26/2018 - 03:16

Le Procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Cotonou, Ulrich Gilbert Togbonon, à travers les communiqués de presse N°009/CAB/PR/02018, N°0010/CAB/PR/02018 et N°0011/CAB/PR/02018 du 25 juillet 2018, a rappelé les élus locaux, les banques et les compagnies d'assurance à l'ordre en ce qui concerne l'exercice de leurs activités.
Pour ce qui concerne les élus locaux, le procureur de la République observe que des pratiques et actes administratifs ainsi que la gestion des collectivités, sont empreints de légèreté et de graves dysfonctionnements. Selon le communiqué, le parquet dans son rôle pédagogique invite les élus locaux et communaux à accomplir suivant les règles établies, leurs obligations relatives à l'état civil, au foncier et à l'environnement. Il tient à leur rappeler que le code des personnes et de la famille, le code foncier domanial et la loi-cadre sur l'environnement doivent régir leurs activités.
Dans le secteur des banques, le procureur de la République constate qu'il résulte de plusieurs procédures actuellement en cours devant les tribunaux, une absence de rigueur tant du point de vue déontologique que des normes administratives dans le traitement des opérations bancaires. Le parquet de Cotonou, selon le communiqué, sera plus regardant et plus exigeant dans l'appréciation des comportements déviants qui conduisent au détournement de crédit ou autres actes d'enrichissement illicite qui engendre des difficultés et des dysfonctionnements au sein du système bancaire. Il les invite à s'approprier la loi sur le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, la loi sur la corruption, le code du numérique et le code foncier et domanial qui accroissent leur responsabilité et font d'eux des acteurs essentiels dans la chaîne lutte contre les infractions susvisées.
M. Togbonon convie aussi les assureurs à plus de rigueur et de diligence dans le traitement des dossiers de sinistre sous peine de poursuites judiciaires en raison des irrégularités observées dans la gestion de certains dossiers.
Le procureur de la République souligne qu'au cours des diverses rencontres avec les assureurs, le parquet de Cotonou les a instruit à s'approprier les textes communautaires législatifs et règlementaires gouvernant leurs activités, notamment la loi sur le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. Il rappelle aux populations de Cotonou que des procédures sont initiées contre plusieurs occupants du domaine public naturel constitué de bas-fond pour prévenir les drames comme celui survenu récemment en Côte d'Ivoire. Il en est de même pour ceux qui ont vendu ou acheté les réserves administratives en méconnaissance des règles régissant ces transactions.
Enfin, dans le souci de permettre aux officiers de police judiciaire et à tous les agents de poursuite de mieux maîtriser la législation nationale en matière de cybercriminalité et de cyber sécurité, la parquet de Cotonou a édité un manuel de procédure à leur intention. L'ouvrage intitulé « Un outil processuel dans l'univers du numérique » est déjà disponible pour tous.
F. A. A.

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Cyr Koty nommé ambassadeur à Cuba

24 Heures au Bénin - Thu, 07/26/2018 - 03:14

M. Cyr Koty a été nommé ce mercredi Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Bénin près la République de Cuba avec résidence à la Havane. Précédemment ministre des infrastructures et des transports, il a été relevé de ses fonctions lors du dernier remaniement ministériel du président Talon.

D. M.

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Les statuts de la Chambre d'agriculture adoptés

24 Heures au Bénin - Thu, 07/26/2018 - 02:56

Le Conseil des ministres en session ordinaire, ce mercredi 25 juillet 2018, a adopté les statuts de la Chambre d'agriculture du Bénin. L'adoption de ces statuts relève de la loi N°2016-17 du 04 octobre 2016 portant création des chambres d'agricultures en République du Bénin.
Selon le relevé du Conseil des ministres, ces Chambres sont des établissements publics à caractère professionnel dotées de la personnalité morale et de l'autonomie de gestion. Elles ont pour objet, la représentation des professionnels et autres acteurs du monde agricole, la sauvegarde des intérêts de la profession agricole, la contribution à la promotion des secteurs agricoles et para agricole, la coordination des activités agricoles conformément aux politiques de l'Etat, la participation à l'élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des politiques et programmes du secteur agricole.
F. A. A.

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La lettre ouverte de Richard Boni Ouorou qui indexe la justice

24 Heures au Bénin - Thu, 07/26/2018 - 02:00

Le politologue Richard Boni Ouorou dans l'une de ses récentes interview, mettait en cause l'application de la détention provisoire telle que pratiquée par la justice béninoise. Ce Béninois de la diaspora n'entend visiblement pas en resté à ce simple constat. Par le truchement d'une lettre ouverte, il interpelle des acteurs judiciaires connus pour leur engagement syndical afin que ces derniers puissent s'expliquer sur l'usage systématique de cette mesure judiciaire d'exception. Dans un contexte politico-judiciaire assez riche, le moins que l'on puisse affirmer c'est que sa démarche tombe à propos.

Montréal, le 24 juillet 2018

                  • À Messieurs,
                    Le Président de l'Union National des Magistrats du Bénin et
                    Michel ADJAKA, Magistrat
                    COTONOU

Objet : De la pratique de la détention provisoire
par la justice béninoise

Messieurs,

Je viens par la présente vous interpeller au sujet de ce que je considère au Bénin comme étant la violation des droits de la personne humaine la plus insidieuse et partant l'une des plus graves à savoir, la détention provisoire. Le caractère insidieux de cette dernière comme instrument de violation de la personne humaine s'apprécie selon moi au regard de deux critères. Le premier est qu'elle est l'œuvre de la justice et s'exerce de ce fait sous le couvert de la loi. Le second critère est qu'elle est pour des raisons politiques dans certains cas d'espèces à la fois : une peine privative de liberté, une infamie, un instrument de torture psychologique et une arme de dissuasion.

Avant que je ne développe mon propos, il convient d'expliquer à l'usage de ceux qui comme moi ne sont, ni juristes, ni praticiens du droit, ce que c'est que la détention provisoire et dans quels cas est-elle mise en œuvre. Il est grosso modo admis que la détention provisoire est une mesure de détention, généralement exceptionnelle, visant à emprisonner jusqu'à la fin du procès un accusé. Les conditions de sa mise en œuvre sont presque généralement semblables dans les pays de droit. Il s'agit entre autres :
• du fait que la liberté de l'accusé risque fortement d'altérer la sécurité publique ;
• du fait que la liberté de l'accusé risque d'empêcher le bon déroulement de la justice, par sa fuite, la destruction des preuves, des pressions sur les témoins ou les victimes ;
• du fait que la sécurité de l'accusé soit menacée.

Une fois que tout cela est dit, il faut toutefois souligner la principale critique, et pas la moindre, dont est l'objet la détention provisoire. Elle est en effet accusée de porter atteinte au sacro-saint principe de la présomption d'innocence.

Pour en revenir au Bénin, il existe une catégorie d'affaires judiciaires considérées comme affaires politiques. Nous pourrions, si l'envie vous en prend, disserter sur ce qu'on entend comme affaire politique. D'ici là, partons du principe de leur existence. La caractéristique principale que l'on attribue aux affaires dites politiques est l'existence d'une main noire qui, pour des raisons étrangères à la manifestation de la vérité, met en branle les procédures et l'appareil judiciaires à l'encontre de certaines personnalités.

Messieurs, ce qui est en cause ici n'est pas l'existence de telles procédures judiciaires. Non. Ce qui fait problème ici c'est le fait que ces procédures aboutissent inéluctablement au même résultat à savoir, l'emprisonnement des personnalités mises en cause. Et ce non pas du fait d'un jugement définitif les privant de leur liberté mais plutôt au titre de la détention provisoire. La question la plus évidente qui s'impose et que je vous pose est celle-ci : pourquoi dans ce qui est considéré comme des affaires judiciaires à caractère politique, les mis en cause ne comparaissent jamais en état de liberté ? Autrement dit, pourquoi une mesure judiciaire d'exception revêt-elle, dans des affaires considérées comme politique, un caractère systématique ?

La réponse à cette question est que dans ces affaires-là, la détention provisoire est en elle-même la peine. Non seulement la main noire recherche et obtient à travers elle l'emprisonnement dans des délais indéfinis des personnes qu'elle veut voir priver de leur liberté, mais en plus elle obtient au travers de cette détention provisoire la punition, l'humiliation et la souffrance de celles-ci. Il n'y a donc pas lieu de se leurrer, les poursuites diligentées et la détention provisoire qui en résultent ne sont que des démonstrations de force de la main noire qui a le souci d'affirmer ce qu'elle considère comme son incontestable puissance sur les hommes et les choses.

Il existe en ce moment à la prison civile de Cotonou des personnalités issues du monde politique et de la sphère économique. Certains parmi eux ont servis la République au plus haut niveau et possèdent des états de service irréprochables. D'autres sont des chefs d'entreprises qui ont bâti leur prospérité par un travail opiniâtre et ont contribué et contribue de ce fait à la prospérité économique du Bénin. Elles sont en prison au titre de la détention provisoire. Je vous repose ma question ci-haut : pourquoi ne peuvent-elles pas répondre de leurs actes en état de liberté ?

Voulez-vous prétendre qu'au regard de leurs titres et qualités aucunes d'elles ne justifient de garanties de présentation ? Voulez-vous faire croire que toutes autant qu'elles sont, elles risquent ''fortement d'altérer la sécurité publique'', si oui par quel moyen ? Voulez-vous faire croire à l'opinion publique, aux familles, amis, relations et partenaires d'affaires, employés et électeurs de tous ces prisonniers-là que leur éventuelle liberté risquerait d'empêcher le bon déroulement de la justice, par leur fuite, la destruction des preuves à laquelle elles procéderont, des pressions qu'elles exerceraient sur les témoins ou les victimes ? Qui pouvez-vous convaincre en République du Bénin de l'intention ou de la volonté de ces personnes de vouloir se soustraire de l'action de la justice ?

Messieurs les syndicalistes, vous vous faites forts de défendre, par les moyens que vous pouvez utiliser, votre indépendance dans l'exercice de votre métier. Mais l'ennui dans votre combat, c'est qu'il tend à faire croire que votre unique adversaire demeure le pouvoir politique. Elle tend à faire état d'un affrontement opposant d'une part, de valeureux, intrépides et téméraires magistrats à d'autre part, le monstrueux Léviathan. Mais que dites-vous de vos propres actes qui tendent à ternir la crédibilité de la justice béninoise ? J'en viens à vous poser cette question parce que si la détention provisoire est ainsi instrumentalisée, c'est parce que c'est la justice qui sert de bras exécutrice aux velléités de la main noire. Nulle autre personne que ces acteurs ne sont responsables de ces emprisonnements. Je n'en veux pour preuve que le cas emblématique du député Atao Mohamed HOUNNIHO.

Alors que le juge des libertés a décidé de ne pas détenir ce dernier à raison du caractère insuffisamment établi du flagrant délit, le procureur de la République a tout mis en œuvre pour le mettre en prison, et ce au mépris des valeurs, des principes et des lois qui régissent la République et la société béninoise. Faut-il rappeler que le député Atao Mohamed HOUNNIHO était souffrant et alité dans un hôpital quand le procureur de la République, sans aucune considération des valeurs humanitaires, est allé lui signifier son arrestation et sa mise en détention ? Faut-il rappeler qu'en jetant le député Atao Mohamed HOUNNIHO en prison, le procureur de la République a violé avec une légèreté inouïe la garantie cardinale de la fonction de député à savoir, l'immunité parlementaire ? Que dire du non-respect qu'il a opposé à la décision du juge des libertés ? Et comme pour souligner de manière facétieuse le caractère illégale de la démarche du procureur de la République, l'Assemblée nationale a procédée dans la journée du mardi 24 juillet 2018 à la levée de l'immunité parlementaire de l'honorable Atao Mohamed HOUNNIHO. Ceci afin de rétroactivement donner une base légale à l'œuvre zélée de votre confrère.

Je vous ai dit à l'entame de la présente que la détention provisoire était un instrument de torture psychologique. Pensez-vous que si tel n'était pas le cas, l'honorable Atao Mohamed HOUNNIHO aurait donné procuration pour le vote de la révision constitutionnelle à des individus n'appartenant pas à sa famille politique ? Dans ce cas d'espèce, il est incontestable que la contrainte au corps ait portée ses fruits. S'il ne s'agissait pas d'emprisonner coûte que coûte ce dernier au travers de la détention provisoire, pourquoi donc le procureur de la République s'est donné tout ce mal ? C'est dire toute l'importance de cette mesure dans le cadre des procédures judiciaires à caractère politique.

Messieurs, face à toutes ces actions contestables à tous points de vue de votre confrère magistrat, le procureur de la République, contrairement à vos habitudes on ne vous a pas entendu. Ne pensez-vous pas que tous les actes posés par ce dernier dans le cadre de l'affaire Atao Mohamed HOUNNIHO ne participent-ils pas de l'atteinte de l'image, de la crédibilité et de l'indépendance de la justice béninoise ? Si oui, pourquoi n'avez-vous rien dit ? Estimez-vous que le corporatisme l'emporte sur les valeurs, principes et lois qui régissent la magistrature en particulier et la République en général ?

Ces questions sont loin d'être banales au regard du recours systématique de la détention provisoire dans notre pays lorsqu'il s'agit des affaires à caractère politique. En effet, cette pratique ne date pas d'aujourd'hui. Certaines personnalités politiques ont par le passé été mises en prison à titre provisoire. Je peux me risquer à affirmer qu'elles ont presque été toutes libérées sans que pour autant leur affaire ne soit définitivement jugée. Ceci n'arrivait que soit parce que des contingences avaient amoindri ou annihilé la puissance de la main noire, soit parce que d'autres circonstances emmenaient la main noire à en quelque sorte autoriser la libération du mis en cause. Dans presque tous les cas, la libération n'éteignait pas la poursuite. C'est la preuve donc, s'il en fallait, qu'on peut être poursuivi tout en étant en liberté.

Nietzsche disait ''quand tu regardes l'abîme, l'abîme regarde aussi en toi''. Le philosophe allemand laissait entendre par là qu'on ne côtoie pas impunément le mal. Bien que réhabilité par un Conseil Supérieur de la Magistrature dont vous contestez avec force la légitimité et la légalité, l'un de vos confrère l'a appris à ses dépens durant quelques années de bannissement de votre corps. Mais manifestement la leçon n'a pas été retenu par certains d'entre vous. Et pourtant, cela n'arrive pas qu'aux autres.

Bien que les magistrats ne soient investis au Bénin d'aucun mandat électif, ils rendent toutefois la justice au nom du peuple béninois. Il est temps pour la magistrature de notre pays de donner des explications aux Béninois du pourquoi du manifeste usage abusif de la détention provisoire à l'encontre de leurs maris, fils, pères, frères, amis, collègues, patrons ou encore élus qui selon toute vraisemblance n'ont pour seul tort que d'avoir contrarié le bon vouloir de la main noire. J'espère donc Messieurs vous lire à cet effet très bientôt.

Respects et civilités distingués.

Richard Boni OUOROU
Politologue
Membre individuel du
Conseil des Relations Internationale

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Nassira Belloula invitée au premier Parlement des écrivaines francophones en France

Algérie 360 - Thu, 07/26/2018 - 00:58

Nassira Belloula a été invité à participer au premier Parlement des écrivaines francophones qui se tiendra en France, indique Algérie1.

Initiée sous l’égide de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), cette nouvelle instance s’inspire du Parlement international des écrivains, créé en 1993, durant la terrible décennie noire algérienne, pour venir en aide aux écrivains menacés de mort ou d’exil, poursuit Algérie 1.

Ce Parlement des écrivaines francophones avait été lancé par l’écrivaine et journaliste tunisienne Fawzia Zouari qui a pour objectif de ce d’ouvrir un espace de débat et de prise de parole.

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