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Afrique

Elections en Mauritanie: l’opposition demande la dissolution de la Céni

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 03/29/2019 - 07:45
RFI - En Mauritanie, l’Alliance électorale de l’opposition démocratique, qui réunit 13 partis, pose des exigences pour participer à...
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Faits divers : Que sont-ils devenus ?

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 03/29/2019 - 07:00
Le Calame - Nous avons jugé utile, cette semaine, de délaisser l’actualité pour vous informer sur le devenir de quelques tristement célèbres...
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Challenge trophy 2019 : ça démarre le 31 mars

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 03/29/2019 - 00:30
RIM Sport - Le Challenge trophy 2019 dames de la Zone 2 (cadets et juniors) démarre le 31 mars prochain à l’Institut Supérieur de la Jeunesse...
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Me Houngbédji expose son livre ‘'La liberté au cœur - Le temps des semailles''

24 Heures au Bénin - Fri, 03/29/2019 - 00:04

Le président de l'Assemblée nationale a organisé ce jeudi 28 mars 2019 à son domicile à Porto-Novo, un point de presse pour présenter son livre intitulé ‘'La liberté au cœur - Le temps des semailles''. Me Adrien Houngbédji a expliqué aux professionnels des médias, les raisons qui justifient la publication de cet essai autobiographique.

Couvrant la période de 1960 à 1990, ‘'La liberté au cœur - Le temps des semailles'' est le premier tome des mémoires de Me Adrien Houngbédji. Le président de l'Assemblée nationale y retrace ses souvenirs d'enfance et de jeunesse ainsi que le début de sa carrière politique. Me Adrien Houngbédji évoque aussi les mésaventures l'ayant conduit à l'exil en mentionnant plusieurs affaires qui sont devenues célèbres telles que Tipki, Kovacs et autres.
Dans cet essai, l'auteur fait également part de son retour au Bénin qui a été possible grâce au Renouveau démocratique. Il n'a pas manqué de dévoiler le combat qu'il a continuellement mené pour la sauvegarde des libertés.
‘'La liberté au cœur - Le temps des semailles'' paraît aux éditions l'Archipel à Paris, et sera officiellement dédicacé le samedi 30 mars 2019 à Golden Tulip Le Diplomate de Cotonou à partir de 10 heures. L'ouvrage est dès maintenant disponible à la Sonaec Ganhi et Erevan à Cotonou.

Akpédjé AYOSSO

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Boghé : L’ADVB lance un vaste projet de réfection du lycée [PhotoReportage]

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 03/29/2019 - 00:00
Terroir Journal - Les travaux de réhabilitation de l'enceinte du lycée de Boghé (un des premiers établissements secondaires de la Mauritanie...
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La plénière se poursuit ce vendredi au parlement

24 Heures au Bénin - Thu, 03/28/2019 - 23:43

La Commission des lois n'ayant pu examiner les deux propositions de loi dérogatoire modificative et complétive de la charte des partis politiques et le code électoral, le président de l'Assemblée nationale a ouvert les débats en vue de recueillir l'avis des députés. Après une première suspension, les députés de la minorité et du Bloc de la majorité parlementaire qui continuent de défendre leur position, appellent au dialogue pour une sortie de crise.
Malgré de houleux débats, une lueur d'espoir semble se dessiner pour une sortie de crise. La plénière a été suspendue par Me Adrien Houngbédji vers 22h. Les travaux reprennent ce vendredi matin.

Selon l'honorable Jean-Michel Abimbola, depuis le début de la recherche de consensus, l'opposition s'illustre par des actes curieux, polémiques qui « amèneraient tout observateur de la vie politique nationale à se poser la question de savoir si tout ceci n'a pas pour objectif ultime de renverser la table comme on le dit et de mettre ainsi à mal notre démocratie ».
Pour lui, l'opposition n'a que deux options aujourd'hui soit rester dans le statut quo et de respecter les statuts en vigueur, soit accepter un réajustement législatif conditionné par la révision de l'article 80 de la constitution pour leur permettre d'être dans la course des législatives.
« Nous ne connaissons aucune démocratie au monde où c'est la minorité qui dirige et qui dicte sa loi et qui impose sa volonté. Ici c'est le Bénin un Etat de droit et une démocratie majeure en Afrique », a-t-il martelé tout en invitant l'opposition à retrouver la voie de la sagesse et abandonner son romantisme politique.
Le député Eric Houndété rétorque qu'il n'y aura pas révision opportuniste de la constitution. « Nous y sommes opposés, c'est clair, avoir paraphé les documents de travail que vous avez proposé, reconnaissez le humblement, soyez courageux personne ne vous en voudra d'avoir souhaité une quatrième tentative de révision de la constitution », déclare-t-il. . Pour le député, « heureusement que l'opposition n'était pas à la réunion du 06 mars sinon on dira que ce sont les réflexions de l'opposition qui ont amené le chef de l'Etat a dit qu'il faut envisager la révision de la constitution ». « Le consensus n'est pas la soumission à la décision de la majorité », signale Houndété.
Il qualifie les lois adoptées comme des ‘'lois de tricherie et d'exclusion''. Si on adopte des lois qui posent problèmes, explique le député, il faut accepter et corriger.
La doyenne d'âge de l'Assemblée nationale Rosine Vieyra Soglo tout en expliquant les difficultés qu'elle a rencontré dans le but de se conformer aux lois, mentionne qu'il faut tout simplement opter pour le retour aux anciennes lois. « Nous n'irons pas aux élections si tout le monde n'y va pas », a-t-elle affirmé.

La plénière de la dernière chance

A sa suite, plusieurs députés de l'opposition et de la mouvance ont fait connaître leur opinion sur le sujet.
Le président de l'Assemblée nationale dit avoir noté dans les propos de la plupart des députés la volonté de mener un dialogue. A cet effet, Adrien Houngbédji a invité les uns et les autres à mener des réflexions pour une sortie de crise.
Sur demande des députés, les débats ont été suspendus vers 19h30.
A la reprise vers 22h, le président de l'Assemblée nationale a proposé que la séance soit suspendue pour reprendre ce vendredi matin. "Je demande à la plénière de prendre acte du rapport et nous laisser introduire demain matin de nouvelles propositions de lois qui seront signées par les deux camps pour montrer que le consensus est vraiment en marche'', a suggéré Me Adrien Houngbédji. ''Nous donnons une dernière chance aux belles paroles entendues dans cet hémicycle'', a-t-il ajouté.
Les travaux de la plénière vont se poursuivre ce vendredi 29 mars à 11h.
Mais avant, une conférence des présidents va se tenir à 10h pour faire le point, a indiqué le président du parlement.

Akpédjé AYOSSO

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Massacre du village peul au Mali : la colonie malienne à Nouakchott proteste…

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 03/28/2019 - 23:15
Sahara Médias - La colonie malienne en Mauritanie a organisé ce jeudi matin un sit-in devant l’ambassade du Mali à Nouakchott pour exiger...
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Ould kaddour empêché de se rendre au LNG de Shanghai !

Algérie 360 - Thu, 03/28/2019 - 22:36

Abdelmoumen Ould Kaddour qui devait prendre part au congrès des acteurs les plus importants du marché du gaz naturel liquéfié, LNG 2019, qui se tient à Shanghai, en Chine, du 1er au 5 avril 2019, aurait été empêché de s’y rendre. Le PDG de Sonatrach attend toujours, selon nos sources, l’autorisation de quitter le territoire Algérien.

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Les producteurs de « Cachir » affichent leur neutralité politique !

Algérie 360 - Thu, 03/28/2019 - 22:31

Tout a commencé lors du grand rassemblement du parti FLN à la Coupole d’Alger le 9 février dernier pour demander à Boueflika de briguer un 5e mandat. Entre deux discours, les personnes conviées au meeting ont eu droit à des sandwichs » au cachir » pour calmer leur faim. Les railleries ont alors fusé sur les réseaux sociaux contre ceux qui ont été achetés avec du cachir.

Le mot cachir est désormais partout : le directeur de la chaîne Ennahar  jure de n’avoir jamais consommé de cachir, Mouad Bouchareb, avait déclaré que «le FLN ne s’achète pas avec un morceau de cachir», des médecins protestataires préconisaient de se faire vacciner contre le cachir…

Dans l’usine Ammour, les blagues sur le cachir ne semblent franchement pas être de leur goût. «nous n’avons jamais reçu un centime de la part de l’Etat ou des banques et nous ne nous en plaignons guère. Et beaucoup de producteurs de cachir, avec lesquels nous avons des contacts, se tiennent loin de la politique » dit Ali Ammour, gérant de l’usine.

Qu’en est-il des gros producteurs, dont les noms cités dans les manifestations («Allahou Akbar, cachir Bellat», pouvait-on entendre à Alger). «Le cachir consommé à la Coupole n’était pas du Bellat et je ne sais pas pourquoi est-ce que dès qu’on parle de cachir, on cite Bellat. Nous ne sommes pas la seule entreprise qui fabrique du cachir en Algérie, déclare Mme Hamdad, chargée de communication du groupe Bellat.

Le patron de Bellat, Lakhdar Bellat, n’est plus, à l’en croire, membre du FCE. Il serait donc tout à fait possible de consommer du cachir, toutes marques confondues, sans trahir ses convictions politiques.

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Kadiata Malick Diallo: l’heure grave du choix

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 03/28/2019 - 22:30
Les Mauritanies - Après avoir évoqué le “suicide collectif” que serait une énième candidature de Mohamed Ould Maouloud, la députée...
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Hocine Mansour Metidji dirigera la présidence du FCE par intérim !

Algérie 360 - Thu, 03/28/2019 - 21:53

C’est le vice-président, Hocine Mansour Metidji, le plus âgé des membres de l’organisation patronale qui dirigera la présidence du FCE par intérim.

Mais si Hocine Metidji  refuse la présidence par intérim, le conseil exécutif du FCE devra se réunir pour désigner celui qui sera en charge d’organiser une assemblée générale élective entre 45 et 90 jours.

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Boni Yayi condamné pour s'être approprié un domaine de l'Etat

24 Heures au Bénin - Thu, 03/28/2019 - 21:46

La Cour constitutionnelle,
Saisie d'une requête en date à Parakou du 05 janvier 2019
enregistrée à son secrétariat le 06 février 2019 sous le numéro 029S/O5O/REC-19 par laquelle monsieur Charles TOKO, maire de la commune de Parakou, forme un recours contre monsieur Thomas Boni YAYI, ancien président de la République, pour violation de l'article 52 alinéa 1 de la Constitution ;
.Considérant que le requérant expose que monsieur Thomas Boni YAYI, alors président de la République, au cours de l'exercice de ses fonctions, acquis de la mairie de Parakou un domaine sis au lot 1686A du lotissement de AMAWIGNON, zone 10, faisant partie de la réserve administrative de ladite mairie, sans l'autorisation
préalable de la Cour constitutionnelle ; qu'un titre foncier en date du 22 décembre 2009 constate le droit de propriété de l'intéressé sur ledit domaine ; qu'estimant qu'une telle acquisition viole les dispositions de l'article 52 alinéa 1 de la Constitution, il sollicite que cette transaction soit déclarée contraire à la Constitution ;
Considérant qu'en réponse, monsieur Thomas Boni YAYI, par l'organe de son conseil, Maître Sadikou ALAO, déclare que sur proposition de la mairie de Parakou, une zone marécageuse correspondant à la parcelle (1 A » du lot 1686 A du lotissement de AMAWIGNON, zone 10, faisant partie de la réserve administrative. de la Commune de Parakou lui a été offerte ; que la cession dudit immeuble est intervenue par acte en date du 27 juillet 2009, en contrepartie du paiement de la somme de F CFA VINGT MILLIONS (20 000 000) ; qu'une quittance ainsi qu'un certificat administratif lui ont été délivrés le 7 septembre 2009, de même que le titre foncier 770 en date du 22 décembre 2009 ; que pour éviter toute spéculation, il a, par lettre en date du 28 février 2019, signifié à la mairie de Parakou par exploit de la même date, renoncer à ladite vente ; qu'il conclut à la violation par la mairie de Parakou de ses obligations au titre de l'article 52 al. 1 de la Constitution ainsi que de la législation en vigueur et à la perte d'objet du recours dont la haute Juridiction est saisie, consécutive à la renonciation annoncée que dans un mémoire complémentaire en date du 13 Mars 2019, Monsieur Thomas Boni YAYI conclut à l'absence de violation de la constitution en l'espèce ; qu'il soulève, en effet, d'une part, « l'inapplicabilité in limine litis de l'article 52 alinéa 1 de la constitution » au motif de l'absence de la loi d'application à laquelle renvoie ce texte et, d'autre part, à la dissociation de sa situation d'avec celle ayant donné lieu à la décision DCC 17-009 du 6 janvier 2017.

Considérant que le Président de la République, par l'organe du Secrétariat général du Gouvernement, soutient que la violation en l'espèce de l'article 52 alinéa 1 de la Constitution est fondée ; qu'en effet, même si la loi visée par cette disposition n'est pas encore adoptée et mise en vigueur, la rédaction de l'article ne laisse pas supposer qu'en l'absence de cette loi, l' l'autorisation de la Cour ne devrait pas être requise, l'intérêt public que vise à protéger ce texte, demeurant le même en présence ou en l'absence de cette loi ;
Vu les articles 3 alinéa 3, 52 alinéa 1 de la constitution et 48 de la loi organique sur la Cour constitutionnelle ;

A - Sur l'applicabilité de l'article 52 alinéa 1 de la
Constitution en l'espèce

Considérant que l'article 52 alinéa 1 de la Constitution dispose : « Durant leurs fonctions, le Président de la République et les membres du Gouvernement ne peuvent par eux-mêmes, ni par intermédiaire rien acheter ou prendre en bail qui appartienne au domaine de l'Etat, sans autorisation préalable de la Cour constitutionnelle dans les conditions fixées par la loi » ;

Considérant qu'en application de cette disposition, l'article 48 de la loi portant loi organique sur la Cour constitutionnelle dispose que : « Lorsqu'elle est saisie par le Gouvernement dans le cas prévu à l'article 52 al. 1 de la Constitution, la Cour constitutionnelle se prononce dans un délai de 15 jours à la majorité absolue de ses membres » ; qu'il en résulte que la loi a prévu les conditions de saisine de la Cour constitutionnelle, le délai dans lequel la Cour
est appelée à rendre sa décision ainsi que le quorum auquel cette décision devra être rendue ; qu'en présence de cette décision de la loi organique, on ne peut valablement se prévaloir du défaut de loi d'application à laquelle renvoie la disposition visée pour s'extraire de la Cour constitutionnelle imposée par l'article 52 alinéa 1 de la constitution au Président de la république ainsi qu'aux membres du gouvernement.
Considérant que l'article 52 alinéa 1 de la constitution qui vise la sauvegarde des biens de l'Etat oblige le Président de la République et les membres du Gouvernement à ne rien acheter ni prendre à bail des biens qui appartiennent au domaine de l'Etat sans l'autorisation de la Cour constitutionnelle, ne peut souffrir de restriction non prévue par la Constitution elle-même, en vertu de l'adage « ubi lex non distinguit nec nos distinguere debemus » (Il ne faut pas distinguer là où la loi ne distingue pas) ; que la Constitution n'ayant pas distingué entre les « biens appartenant à l'Etat », il faut en entendre tous ceux compris dans la domanialité publique ou privée, de l'Etat central ou des collectivités territoriales, nonobstant les distinctions contenues dans les textes infraconstitutionnels auxquels la Constitution est supérieure ; qu'il y a lieu de dire que l'article 52 al. 1 est applicable en l'espèce ;

B - Sur la violation de l'article 52 alinéa l de la
Constitution

Considérant que monsieur Thomas Boni YA YI résiste au grief de la violation de l'article 52 alinéa 1 de la Constitution en invoquant le fait que n'ayant pas effectué une offre d'achat et n'ayant fait que répondre à une proposition de vente, il appartenait à l'offrant d'accomplir les formalités que prescrit la loi ; que selon lui, « la logique exige d'une administration publique ayant émis une
proposition de cession d'un bien public, de s'assurer que toutes les formalités requises ont été effectuées, non seulement au regard de ses obligations internes, mais de toutes les lois de la République » ; qu'il développe en appui que : « cette exigence à l'égard de la mairie de Parakou est d'autant plus forte qu'en réalité, le Président de la République ne dispose pas du temps matériel d'opérer toutes ces vérifications, qu'il fait bien souvent avec l'appui de ses collaborateurs » ;
Considérant que les dispositions de l'article 52 alinéa 1 de la Constitution et celles de l'article 48 de la loi portant loi organique sur la Cour constitutionnelle mettent l'obligation de saisine de la Cour constitutionnelle en vue de l'autorisation préalable requise à la charge du Gouvernement ; que ne l'ayant pas fait, il Y a violation
des textes visés ;
Considérant qu'il n'est pas contesté que, Président de la
République en exercice, monsieur Thomas Boni YAYI, a acquis de la mairie de Parakou un domaine sis au lot 1686A du lotissement de AMAWIGNON, zone 10, faisant partie de la réserve administrative de la mairie de Parakou, un domaine appartenant à l'Etat, sans l'autorisation préalable de la Cour constitutionnelle ; qu'en se comportant comme il l'a fait, monsieur Thomas Boni YAYI a méconnu les dispositions de l'article 52 alinéa 1 de la Constitution et celles de l'article 48 de la loi portant loi organique de la Cour constitutionnelle ; que dès lors, il échet de déclarer
contraire à la Constitution la cession par la mairie de Parakou à monsieur Thomas Boni YAYI de la zone marécageuse correspondant à la parcelle « a » du lot 1686 A du lotissement de AMAWIGNON, zone 10, faisant partie de la réserve administrative de la Commune de Parakou, ainsi que les actes subséquents que sont le certificat administratif délivré le 7 septembre 2009 et le titre foncier n° 770 du 22 décembre 2009 ;

C - Sur le sort de la cession intervenue et la renonciation déclarée

Considérant que l'article 3 al. 3 de la Constitution dispose que : « Toute loi, tout texte réglementaire et tout acte administratif contraires à ces dispositions sont nuls et non avenus .... » ; que l'acte de cession ainsi que les actes subséquents étant contraires à la Constitution, ils sont nuls et non avenus ; qu'en cet état où le bien immobilier qui en a été l'objet est censé ne pas être entré dans le patrimoine de monsieur Thomas Boni YAYI, celui-ci ne saurait efficacement accomplir au sujet d'un tel bien un quelconque acte de disposition comme la renonciation ; qu'il ne peut en effet être accompli un acte d'aliénation que sur un bien objet du patrimoine de la personne qui aliène ; qu'en l'espèce où le requis, président de la République au moment de la cession à son profit d'un bien appartenant au domaine de l'Etat sans l'autorisation préalable de la Cour constitutionnelle, déclare renoncer à ce bien, il echet pour la Cour de déclarer que cette renonciation est non avenue en raison de ce que le bien n'est pas entré dans son patrimoine ;

La Cour décide :

1- La cession d'immeuble intervenue le 27 juillet 2009
entre la mairie de Parakou et monsieur Thomas Boni YAYI est contraire à la Constitution.

2.- La cession d'immeuble intervenue le 27 juillet 2009
entre la mairie de Parakou et monsieur Thomas Boni YAYI ainsi que le certificat administratif délivré le 7 septembre 2009, le titre foncier n° 770 du 22 décembre 2009 et tous les actes subséquents sont nuls et non avenus.

3- La renonciation à la cession effectuée par Monsieur Thomas Boni YAYI par correspondance en date du 28 février 2019 est non avenu ;

4- La présente décision sera notifiée à Monsieur le Maire de la Commune de Parakou, à monsieur Thomas Boni YAYI, à monsieur le Directeur de l'Agence nationale du Domaine et du Foncier, à monsieur le Ministre de l'Economie et des Finances, à monsieur le Président de la République et publiée au journal officiel.

Hospice HOUENOU de DRAVO
Attaché de Presse/ PCC

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La Mauritanie d’abord !

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 03/28/2019 - 21:45
Mansour Ly - « Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaines ; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la...
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Plusieurs vols décalés chez Air Algérie !

Algérie 360 - Thu, 03/28/2019 - 21:26

La Compagnie nationale Air Algérie,  a indiqué dans un communiqué des décalages sur plusieurs de ses vols vers et à partir de la ville d’Istanbul (Turquie) les 4, 5 et 6 avril prochains.

« Air Algérie porte à la connaissance de son aimable et fidèle clientèle, qu’en raison du transfert des activités de l’aéroport Atatürk vers le nouvel aéroport international d’Istanbul à partir du 5 avril,  plusieurs vols seront décalés, particulièrement ceux des dates du 4, 5, et 6 avril 2019 », explique la même source.

Ainsi, les vols entre Istanbul et les aéroports d’Alger, de Constantine et d’Oran connaitront un décalage d’horaire.

Cette mesure touche l’ensemble des compagnies aériennes, lit-on dans le communiqué.

Pour de plus amples informations Air Algérie met à disposition de sa clientèle de plus amples informations au niveau de ses points de vente et via son centre d’appel.

Par Algerie360 avec APS

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«Le Rivage des fantômes» : les Gadiamois boiront-ils l’eau de la tombe?

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 03/28/2019 - 21:00
Initiatives News - En 1993, Kane Ismaila Demba, étudiant, reçoit, au centre culturel français de Nouakchott, le prix d’un concours de...
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Affaire Dounia Parc : Le Ministère des Finances dément tout versement au groupe émirati EIIC

Algérie 360 - Thu, 03/28/2019 - 20:51

le ministère des Finances a indiqué  ce jeudi que les informations concernant le versements effectués par l’Etat algérien au groupe émirati « Emirat international investment compagny » dans le cadre du projet « Dounya Parc » sont « dénuées de tout fondement » .

Suite aux informations parues dans la presse, relatives au projet d’investissement « Dounya Parc » le ministère des Finances apporte, dans un communiqué, des précisions sur l’évolution de la gestion de ce dit-projet.

Selon ce texte, il s’agit d’un investissement portant aménagement et mise en valeur d’un site dénommé « Parc des Grands Vents », adossé à la frange ouest de la ville d’Alger.

A cet effet, une convention d’investissement avec le groupe émirati « Emirat international investment compagny » (EIIC) a été approuvée en 2010 et signé en 2011.

Ce projet devait comprendre la création d’un parc public paysager de loisirs et de détente thématisé qui soit un complément à la ceinture verte d’Alger, ainsi que la réalisation d’un complexe métropolitain composé, notamment d’un complexe résidentiel et deux hôtels 4 et 5 étoiles et d’un centre de conventions et de conférences, précise la même source.

« La réalisation de ce projet, n’a pu se matérialiser selon le programme tracé compte tenu de contraintes diverses », a souligné le ministère des Finances.

Face à cette situation, et devant l’appréciation divergente par les parties algérienne et émiratie, cette dernière a introduit officiellement contre l’Etat algérien une action en arbitrage auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (Cirdi), a continué la même source.

Il convient de signaler que la procédure d’arbitrage est à ses débuts et qu’en l’occurrence aucune sentence n’a été prononcée à ce jour.

« En conséquence, toutes les informations faisant état de versements effectués, de quelques nature que ce soit, par l’Etat algérien à cette entreprise émiratie sont dénuées de tout fondement », a indiqué le ministère.

Par Algerie360 avec APS.

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Massacre des Peuls du Mali, Lettre à IBK

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 03/28/2019 - 20:24
Khally Diallo - A son Excellence Ibrahima Boubacar KEITA, Président de la République du Mali s/c de son excellence l’ambassadeur du Mali en...
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3 partis politiques décident de soutenir Ould Boubacar

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 03/28/2019 - 20:16
Atlasinfo - Le candidat à l'élection présidentielle Sidi Mohamed Ould Boubacar a reçu les membres du bureau exécutif du "Mouvement des...
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L’Ordre des avocats d’Alger salue la position de l’armée !

Algérie 360 - Thu, 03/28/2019 - 20:12

L’Ordre des avocats d’Alger a salué le « geste de l’Armée nationale populaire qui a réaffirmé qu’elle demeurait aux côtés du peuple algérien » et qu’elle « soutenait ses revendications légitimes pour le changement à travers les marches populaires ».

 » il ne reste qu’un mois avant la fin du quatrième mandat pour le président Bouteflika et que l’appel pour l’application 102 de la Constitution aurait dû être fait il y a une année, pour donner le temps à la mise en place de mécanismes permettant l’organisation d’élections libres et sincères qui consacre la volonté réelle du peuple » est-il écrit dans le communiqué signé par le bâtonnier d’Alger, Abdelmadjid Sellini.

L’Ordre des avocats d’Alger a précisé que le peuple est seul à même de déterminer son sort puisqu’il est l’unique source de pouvoir (….) Le peuple veut une rupture véritable avec le pouvoir et avec ceux qui sont à l’origine de la crise .

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Le procureur général ordonne la libération de Ali Foudil et dénonce une arrestation arbitraire

Algérie 360 - Thu, 03/28/2019 - 19:52

Le procureur général près la Cour d’Alger a indiqué jeudi « qu’aucune procédure » qui puisse justifier l’arrestation du PDG du groupe de presse El-Chourouk, Ali Foudil, « n’a été mise en œuvre contre l’intéressé », arrêté dans la matinée par l’un des services de la police judiciaire.

Suite aux informations faisant état de l’arrestation de M. Ali Foudil, le procureur général près la Cour d’Alger s’est « saisi des faits » et « porte à la connaissance de l’opinion publique qu’aucune procédure n’a été mise en œuvre contre l’intéressé, qui puisse justifier son arrestation », précise un communiqué du parquet général.

Cependant, ajoute la même source,  »un des services relevant de la police judiciaire confirme l’avoir arrêté pour des motifs d’enquête préliminaire qui a été enclenchée sans avis préalable du parquet compétent telle que l’exige le Code de procédure pénale ».

Cette procédure « n’étant pas justifiée au regard de la loi, le procureur général a ordonné la libération immédiate du suscité tout en ordonnant une ouverture d’une enquête sur ces faits », a expliqué la même source.

Avec l’APS

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