Hola todos !
La team Murchales a une grande et belle nouvelle à vous annoncer !
Ils seront de passage à La Marbrerie le vendredi 1er Juin pour la 6ème édition de leur fameuse Peña Tzigane !
Menu de la soirée :
Initiation à la danse tzigane de 18h à 19h avec Ana des Murchales
21 h : MARCELA Y LOS MURCHALES (chant et danse tzigane)
22h30 : CUMBIA Y CARDONE (cumbia colombienne)
00h30 : Dj RAKI BALKAN
Toute les infos sur Facebook et profitez du tarif de 8€ en prévente en cliquant sur : Facebook (...)
Comment trouver les meilleurs débouchés dans la zone des Balkans occidentaux ? En participant avec Business France à ces 3èmes Rencontres acheteurs France-Balkans qui se dérouleront à Belgrade en Serbie du 30 mai au 1er juin 2018.
Les Balkans Occidentaux enregistrent des taux de croissance de leur PIB supérieurs à 3%.
C'est une zone économique dynamique aux portes de l'UE, en processus d'adhésion, bénéficiant de fonds de pré-adhésion et de financements importants des bailleurs de fonds internationaux. (...)
Rövidesen kezdődik a TOLY18, magyarországi központi helyszínnel megrendezésre kerülő szövetségi lég- és rakétavédelmi gyakorlat. Gyülekeznek a szereplők, s a rendezvény szakmai házigazdái, a győri lérakosok is gyakorolnak - Kecskemét, Szolnok és HM Ei közreműködéssel - a Bakonyban.
Magyar Kub SzPU gyakorló 3M9ME rakétákkal iparkodik tüzelőállást foglalni.
Az alájátszó Gripen manőverezik a MEZ-ben. Élesben most kellene infracsapdázni.
Ha minden igaz, ezzel jött a holland NASAMS :-)
A román 1. Nicolae Dascalescu légvédelmi rakétadandár Hawk ütegének egyik DAF-ja és az általa vontatott HPIR célmegvilágító lokátor. A teherautóra a szerelvény másik kocsiján szállított konténer kerül.
Zord
Rövidesen kezdődik a TOLY18, magyarországi központi helyszínnel megrendezésre kerülő szövetségi lég- és rakétavédelmi gyakorlat. Gyülekeznek a szereplők, s a rendezvény szakmai házigazdái, a győri lérakosok is gyakorolnak - Kecskemét, Szolnok és HM Ei közreműködéssel - a Bakonyban.
Magyar Kub SzPU gyakorló 3M9M3 rakétákkal iparkodik tüzelőállást foglalni.
Az alájátszó Gripen manőverezik a MEZ-ben. Élesben most kellene infracsapdázni.
Ha minden igaz, ezzel jött a holland NASAMS :-)
A román 1. Nicolae Dascalescu légvédelmi rakétadandár Hawk ütegének egyik DAF-ja és az általa vontatott HPIR célmegvilágító lokátor. A teherautóra a szerelvény másik kocsiján szállított konténer kerül.
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Google d’Alphabet Inc a cherché à atténuer les inquiétudes des éditeurs en ligne sur les effets immédiats qu’auront les règles européennes de confidentialité des données privées, en vigueur depuis vendredi, sur leurs activités publicitaires. En vertu du règlement général sur la protection des données (GDPR), les organisations doivent désormais avoir une justification transparente pour le traitement des données personnelles.
Le GDPR menace d’amendes allant jusqu’à 4% des revenus de l’entreprise pour des violations, même si les avocats et les fonctionnaires de l’Union européenne ont averti qu’il y aura une période de grâce.
Selon Reuters, citant des personnes proches du dossier, les responsables de Google ont annoncé qu’un travail de conformité est en cours et que des outils supplémentaires seraient proposés aux éditeurs en juin et en août.
Les entreprises internet qui suivent les activités en ligne des utilisateurs, que ce soit pour le shopping, les activités bancaires ou autres, sont confrontées à un examen minutieux. Les nouvelles règles exigent qu’elles aient une justification spécifique, telle que le consentement, pour l’utilisation de renseignements personnels.
Le pire des cas pour Google et les annonceurs serait que les utilisateurs refusent de partager leurs données personnelles. Certaines publicités qu’ils rencontrent ne seraient plus personnalisées en fonction de leurs intérêts.
Les développeurs d’applications mobiles sont également confrontés à ces problèmes de conformité avec le GDPR. Jonathan Hillebrand, qui fabrique des applications de voyage et d’éducation financées par la publicité, a déclaré à Reuters qu’il devait développer son propre outil pour le moment, car Google «est arrivé en retard à la fête».
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Les autorités sud-africaines enquêtent sur une présumée escroquerie à la crypto-monnaie qui a fraudé des investisseurs d’un montant d’un milliard de rands (80 millions de dollars) avec des promesses de rendements énormes qui ne se sont jamais concrétisés. L’enquête implique une entreprise nommée BTC Global, qui a promis à ses clients qu’ils gagneraient 2% par jour, 14% par semaine et 50% en un mois, a indiqué la police. Une recherche de l’entreprise sur internet, menée par Reuters, a montré que ses services avaient été suspendus.
En mars dernier, le site mybroadband.co.za avait rapporté que plus de 50 millions de dollars avaient été perdus par les investisseurs de BTC Global. «Cela pourrait s’avérer être la partie visible de l’iceberg avec potentiellement des milliers d’autres qui ont perdu de l’argent», a déclaré l’enquêteur de la police, Yolisa Matakata. L’enquête fait suite à un cas où des ravisseurs ont exigé une rançon de près de 120 000 dollars en bitcoins pour libérer un adolescent sud-africain. Jeudi dernier la banque centrale sud-africaine a déclaré qu’elle était en train de déterminer si les crypto-monnaies étaient conformes à sa réglementation en matière de surveillance financière et de contrôle des changes.
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Der Chef der E-Programme rüstet Renault für die Zukunft. Das grosse Interview mit Eric Feunteun.
Herr Feunteun, wie wird sich der Elektrofahrzeug-Markt entwickeln?
Eric Feunteun: Es gibt einen globalen Trend zu Zero Emission. Die heute einzig praktikable Lösung dazu sind Elektrofahrzeuge. Das weltweite Wachstum beträgt seit einigen Jahren mehr als 50 Prozent. Wir gehen davon aus, dass die Nachfrage im zweistelligen Bereich weiter wachsen wird. Der weltweite Marktanteil könnte auf über zehn Prozent steigen. Das wird aber auch von Anreizen zum Umstieg und vom Aufbau der öffentlichen Ladeinfrastruktur abhängen. Renault ist bereit für diese Herausforderung und bietet schon heute eine äusserst attraktive Modellpalette.
Was tun Sie gegen die Reichweiten-Angst und die langen Ladezyklen von E-Mobilen?
Die Reichweite des Renault ZOE konnten wir vor zwei Jahren auf eine reale Reichweite von 300 Kilometern verdoppeln. Wir erwarten bei der Batterietechnologie noch weitere Entwicklungsschritte. In den nächsten Jahren werden sich sowohl die Ladezeiten weiter verkürzen als auch die Reichweiten erheblich steigern, vergleichbar mit Verbrennungsmotoren von heute.
Wie wichtig ist die Formel E für die Entwicklung der Serienmodelle?
Beide Bereiche profitieren – etwa bei der Weiterentwicklung der Motoren und der Kontrollsoftware.
Konkret?
Als Pionier der E-Mobilität war es für uns wichtig, die Technik in der Formel E im High-Performance-Grenzbereich zu testen. Wir konnten vom Energiemanagement wichtige Erkenntnisse ableiten und viele Innovationen vorantreiben. Die Systeme zur Energierückgewinnung im Fahrbetrieb werden immer leistungsfähiger. Ladekapazität und Reichweite der Batterien profitieren vom Technologietransfer. Für die Saison 2018 haben die Formel-E-Autos die gleiche Herausforderung, die wir beim ZOE schon gelöst haben: doppelte Reichweite bei gleichbleibender Batteriegrösse. Die Formel E verkörpert für uns aber auch den Aspekt «Fun to Drive», der beim Elektroantrieb richtig spürbar ist. Ganz nach unserem Unternehmensmotto «Renault, Passion for Life».
Zinédine Zidane legt seinen Coaching-Mantel in Madrid ab. Nun könnte es bei den Königlichen zur grossen Zäsur kommen.
Die Anhänger Real Madrids dürften am Donnerstagmittag nach Luft gerungen haben. Soeben hat ihr Trainer Zinédine Zidane den Bettel hingeworfen. «Ich mache das zum Wohl dieses Teams. Mit mir wäre es nächstes Jahr sehr schwierig gewesen, etwas zu gewinnen», lautet die Begründung des Franzosen. Nach drei Champions-League-Titeln in Serie und insgesamt neun gesammelten Trophäen macht der 45-Jährige Schluss.
Löst der Rücktritt Zidanes jetzt ein Erdbeben aus? BLICK beantwortet die brennendsten Fragen.
Wer wird neuer Real-Trainer?Durch die spanischen Gazetten geistern etliche Namen. Zu den erweiterten Kandidaten zählen unter anderem Jogi Löw, Jürgen Klopp, Antonio Conte und Arsène Wenger. Ihre Verpflichtung ist jedoch hochgradig unwahrscheinlich. Als Kronfavoriten werden derzeit zwei Namen gehandelt.
Mauricio Pochettino (46): Der Argentinier geniesst dank der starken Saison mit den Tottenham Hotspur (Platz 3 in der Premier League, Halbfinal im FA-Cup) ein hohes Ansehen in Madrid. Der 3:1-Sieg im direkten Duell in der Champions-League-Gruppenphase hat Florentino Perez (71) und Co schwer beeindruckt.
Seither wird der 46-Jährige immer wieder als möglicher Zidane-Nachfolger in Verbindung gebracht. Das Problem aus Real-Sicht: Unlängst verlängerte Pochettino seinen Vertrag bis 2023. Medienberichten zufolge soll dieser aber mit einer Ausstiegsklausel bestückt sein. Die «As» meldet am Donnerstagabend gar, dass er am Freitag nach Madrid fliegen werde, um Gespräche zu führen.
Guti (41): Gute Chancen auf den Trainerstuhl kann sich auch Jose Maria Gutierrez Hernandez oder kurz Guti ausrechnen. Der Spanier kennt Real in- und auswendig, zog von 1995 bis 2010 die Fäden im Mittelfeld des weissen Balletts. Seit zwei Jahren ist er Übungsleiter der U19 Real Madrids.
Wird Guti der nächste Zidane? Der Lebenslauf der zwei ehemaligen Starspieler offenbart Ähnlichkeiten. Bevor Coach «Zizou» die Welt im Sturm eroberte, trainierte er ebenfalls ein Nachwuchsteam von Real. Am Willen Gutis würde es nicht scheitern, zumal er im Sommer 2017 befand: «Es wäre dumm, zu sagen, dass es kein Ziel ist, die erste Mannschaft zu trainieren.»
Was passiert mit Cristiano Ronaldo?Die Zukunft Ronaldos steht in den Sternen. Mit seiner Aussage «Es war sehr schön, bei Real Madrid zu sein» kurz nach dem CL-Finalsieg gegen Liverpool trat er eine Gerüchte-Lawine los. Ist er unzufrieden mit seinen Arbeitskonditionen? Messi und Neymar verdienen deutlich mehr. Oder kehrt er Spanien wegen der Steuerhinterziehungs-Affäre den Rücken? Er wird beschuldigt, 14,7 Millionen Euro am Fiskus vorbeigeschleust zu haben.
So oder so, der Rücktritt Zidanes dürfte eher einen Abgang als einen Verbleib Cristianos zur Folge haben. Denn es ist kein Geheimnis, dass Ronaldo grosse Stücke auf den Franzosen hält. Am Donnerstagabend richtet er sich auf Instagram an Zidane: «Ich fühle nur Stolz, dein Spieler gewesen zu sein. Trainer, vielen Dank für so viel.» Ronaldo sei «am Boden zerstört», berichtet die «Marca», weil er sich jetzt noch «mehr isoliert» fühle.
Sollte Ronaldo die Königlichen nach neun Jahren tatsächlich verlassen, drängt sich die Frage auf, wer sich das Engagement überhaupt leisten kann. Seine Ausstiegsklausel ist auf eine Milliarde Euro festgelegt. Real-Präsident Perez müsste zuerst eine Freigabe erteilen, damit CR7 günstiger zu neuen Ufern aufbrechen kann. Manchester United käme dann in Frage, Ronaldos alte Liebe. Oder Scheich-Klub PSG, das mit Neymar allerdings schon einen Superstar in den eigenen Reihen hat.
Stürzt Real jetzt in eine Krise?Der Trainerwechsel wird in Madrid mit Sicherheit Spuren hinterlassen. Eine Krise zu prophezeien wäre aber vermessen. Der Kern des Teams wird auch in der kommenden Saison beisammen sein. Die Mannschaft verfügt über Unmengen an Talent und noch mehr Routine. Und Schlüsselspieler wie Ramos (32), Modric (32), Marcelo (30), Kroos (28) haben ihren Zenit noch nicht überschritten.
Der nächste Übungsleiter kann der Equipe mit zwei, drei gezielten Neuzugängen neues Leben einhauchen. Gut möglich, dass der eine oder andere Spieler (Bale, Benzema, Isco) den Verein nun verlässt. Sollte das der Fall sein, wird Perez sein Portemonnaie öffnen – und galaktisch einkaufen. Das Transferkarussell wird in der spanischen Hauptstadt diesen Sommer auf jeden Fall Spitzengeschwindigkeiten erreichen.
Verpatzt Real den Start in die neue Spielzeit, kanns für Guti, Pochettino oder wer auch immer an der Seitenlinie steht, ganz schnell ganz ungemütlich werden. Die Fans im Bernabeu sind fordernd wie kaum jemand, die Presse gnadenlos. Jetzt erst recht, nach dem dritten Champions-League-Triumph in Serie. Der Trainerstuhl Madrids wackelt wie kein anderer. Wer Platz nimmt, muss sich anschnallen.
Nach weniger als zwei Jahren ist dem Modekonzern OVS in der Schweiz das Geld ausgegangen. Für Star-Manager Stefano Beraldo ist das eine Blamage.
Das Wirtschaftsmagazin «Bilanz» nannte ihn «Stefano, der Markteroberer» und einen «ziemlich coolen Hund». Schliesslich spielt Stefano Beraldo (61), Chef des italienischen Modekonzerns OVS, auch ganz ordentlich Gitarre. «Musik ist meine wahre Passion», wurde Beraldo zitiert.
Den Schweizer Modemarkt erobern? Für Beraldo ein Kinderspiel. In Italien hatte er mit OVS Top-Marken wie Zara und H&M abgehängt. Das wollte er in der Schweiz wiederholen.
Im Herbst 2016 kaufte OVS den maroden Schweizer Traditionskonzern Charles Vögele. «Wir können mit einem hohen Marktanteil starten», sagte Beraldo, als ihn BLICK vor einem Jahr in Mailand (I) besuchte. «Die Schweiz ist ein attraktiver Markt, der im Fashionbereich nicht so stark umkämpft ist.»
Der Ladenumbau verschlang das ganze GeldEine katastrophale Fehleinschätzung. In nicht mal einem Jahr ist der Schweizer OVS-Tochter das Geld ausgegangen. Die Firma ist in Nachlassstundung, die 1150 Mitarbeiter fürchten um ihre Jobs.
Beraldos Rezept war simpel: Er entfernte aus den Vögele-Filialen alles, was an Vögele erinnerte, und setzte auf dasselbe Segment wie in Italien. Dann würden die Kunden von allein in die Läden strömen, so die Hoffnung. «In Sachen Fashion können die Schweizer von Italien lernen», sagte Beraldo.
Doch die Kunden kamen nicht. Denn Beraldo hatte die wichtigste Lektion für den Schweizer Markt nicht gelernt: dass der Preis wichtig ist, aber die Qualität noch wichtiger.
Als er es kapiert hatte, war es zu spät. Mit dem Ladenumbau hatte er sein gesamtes Kapital von 40 Millionen Franken verpulvert. «Für Werbung und Marketing blieb nichts mehr übrig», sagt ein Insider.
Beraldo hatte viel zu gewinnen, aber wenig zu verlierenEin Eroberer ist Beraldo also nicht, ein schlauer Hund aber schon. Denn seine OVS hatte nur gerade 20 Millionen Franken für ihre Vögele-Anteile gezahlt. Die übrigen 40 Millionen schossen zwei italienische Familien und die Sandoz-Erben ein. Beraldo hatte eine Kaufoption für deren Aktien.
Im Nachhinein erklärt das einiges: Wäre sein Plan aufgegangen wäre, hätte Beraldo viel gewonnen. Beim Scheitern hält sich sein Verlust hingegen in Grenzen. Ein Insider schätzt, dass sich OVS insgesamt etwa 50 Millionen ans Bein streichen muss.
Noch ist die Schlussrechnung aber nicht gemacht. Von den 140 Filialen rentieren nur 30 bis 40. Der Rest dürfte kaum einen Käufer finden. Das bedeutet, dass mindestens 700 Mitarbeiter ihre Stelle verlieren könnten.
Die Gewerkschaft Unia will für sie kämpfen. «Wir verlangen finanzielle Entschädigungen und flankierende Massnahmen bei der Stellensuche», sagt Sprecherin Leena Schmitter. Für Beraldo könnte es teuer werden.
Die liberale Denkfabrik Avenir Suisse sieht für die Schweiz im Jahr 2030 sechs mögliche Szenarien. Aber wie sehen das eigentlich jene Politiker, die 2030 an den Schalthebeln der Macht sitzen werden? BLICK hat die eine Präsidentin und sechs Präsidenten der Schweizer Jungparteien gefragt, welches der Avenir-Suisse-Szenarien sie verwirklichen wollen.
Avenir Suisse will eine Debatte darüber anstossen, welchen aussenpolitischen Weg die Schweiz einschlagen will. Wollen wir uns ins Réduit zurückziehen? Oder uns der Welt öffnen? Im diese Woche präsentierten Weissbuch zeigt die liberale Denkfabrik sechs Szenarien für eine Schweiz im Jahr 2030 auf und weist auf Folgen, Chancen und Risiken der jeweiligen Entscheidungen hin.
Der Wunsch nach einer Debatte kommt nicht von ungefähr: Die politische Schweiz zögert, die schwierige Frage nach Identitätsbewahrung und Öffnung zu beantworten. Aber wie sehen das eigentlich jene Politiker, die 2030 an den Schalthebeln der Macht – im Parlament oder in Exekutivämtern – sitzen werden? In welcher Schweiz wollen sie leben? BLICK hat die eine Präsidentin und sechs Präsidenten der Schweizer Jungparteien gefragt, welches der Avenir-Suisse-Szenarien sie verwirklichen wollen.
Andri Silberschmidt , Präsident Jungfreisinnige
Ein Land, in dem die persönliche Freiheit gross ist und sich der Staat weitgehend zurückhält: So sieht die Schweiz 2030 von Jungfreisinnigen-Präsident Andri Silberschmidt (24) aus. Er wünscht sich die «globale Oase» – mit einer wichtigen Einschränkung: Die bilateralen Verträge werden nicht gekündigt. Denn sie würden nicht nur Regeln, sondern auch Rechte für die Schweizer enthalten. «Sonst orientiert sich die globale Oase an den Grundsteinen des Schweizer Erfolgs: Freiheit, Verantwortung, Fortschritt.»
Tino Schneider, Co-Präsident Junge CVP
Könnte JCVP-Co-Präsident Tino Schneider (27) bestimmen, herrscht in der Schweiz im Jahr 2030 die «tragfähige Partnerschaft». «Eine Regelung des Verhältnisses zur EU, ohne dabei selber Mitglied der Union zu werden, ist im Interesse von Bevölkerung und der Wirtschaft», sagt er. Die Aufgabe der direkten Demokratie, des Föderalismus und des Frankens kommt für Schneider nicht in Frage – egal, zu welchem Zeitpunkt. «Diese Elemente gehören fix zu unserer Identität, und sie sind die Bausteine für das Erfolgsmodell Schweiz.»
Tamara Funiciello , Präsidentin Juso
Juso-Chefin Tamara Funiciello (28) passt keines der Szenarien von Avenir Suisse. Sie hat eine ganz eigene Wunschvorstellung: «Im Jahr 2030 hat die Schweiz dem Rechtspopulismus die Rote Karte gezeigt. Menschen ohne Schweizer Pass werden nicht mehr diskriminiert, Frauen sind endlich gleichgestellt, und die Superreichen werden gerecht besteuert», erklärt sie. Das Wirtschaftssystem orientiere sich am Wohl der Menschen weltweit. «Die Schweiz soll sozial, gerecht und frei sein.»
Luzian Franzini , Co-Präsident Junge Grüne
Auch Luzian Franzini (22) will sich nicht auf ein Wunsch-Szenario festlegen. Der Co-Präsident der Jungen Grünen wünscht sich, dass die Schweiz 2030 wie im Modell «Tragfähige Partnerschaft» ein Rahmenabkommen mit der EU abgeschlossen hat – oder dem «skandinavischen Weg» folgend der EU beigetreten ist. Er ist überzeugt: «Bis 2030 wird sich die Erkenntnis durchgesetzt haben, dass wir die drängenden Probleme von heute nur auf internationaler Ebene lösen können.» Gleichzeitig müsse die Schweiz auch Bedingungen stellen, zum Beispiel in Form von Umweltstandards bei Importen.
Benjamin Fischer, Präsident JSVP
Benjamin Fischer (27), Präsident der Jungen SVP, wünscht sich nicht ein einzelnes Szenario, sondern eine Dreier-Kombination: «Selbstbestimmter Rückzug», «Club Schweiz» – und ein bisschen vom Szenario «Globale Oase». «Denn für mich ist klar: Die Schweiz wird nicht Mitglied der EU, sie soll politisch unabhängig und neutral sein, aber gleichzeitig ökonomisch weltweit vernetzt», sagt Fischer. Dazu gehört für ihn die Kündigung des Personenfreizügigkeits-Abkommens. «Wo Wirtschaft und Selbstbestimmung in Konflikt geraten, hat die politische Autonomie Vorrang.»
Nico Planzer , Präsident der JBDP
Gehts nach Nico Planzer (22), Präsident der Jungen BDP, wählt die Schweiz 2030 das Szenario «Tragfähige Partnerschaft». «Die Beziehung der Schweiz mit der EU soll durch einen fairen Rahmenvertrag geregelt werden, der die Eigenständigkeit der Schweiz sichert und die Weiterentwicklung der Partnerschaft umfassend regelt», sagt er. Der bilaterale Weg soll gar in der Verfassung verankert sein. Streitfälle mit der Europäischen Union sollen, wie dies das Szenario von Avenir Suisse vorsieht, vor ein Schiedsgericht kommen.
Pascal Vuichard , Co-Präsident der JGLP
Nicht entscheiden mag sich hingegen Pascal Vuichard, Co-Präsident vom grünliberalen Nachwuchs. «Die sechs Szenarien von Avenir Suisse sind bewusst pointiert formuliert», erklärt er. Am sympathischsten sei der JGLP die «tragfähige Partnerschaft». Gleichzeitig aber müsse sich die Schweiz innerhalb von Europa differenzieren können. «Darum setzen wir auch auf Elemente wie offene Märkte, Wettbewerb, Stärkung der Eigenverantwortung, wie sie das Szenario ‹Globale Oase› vorsieht.»
ZÜRICH - Nach seiner Freilassung wird der ehemalige Bankräuber Hugo Portmann eine Stelle bei der Stadt Zürich antreten. In Zukunft arbeitet er bei Entsorgung + Recycling Zürich als Müllmann. Besorgt hat ihm den Job Stadtrat Filippo Leutenegger.
Das ist mal ein Laufbahnwechsel! Hugo Portmann (58), der berühmteste Bankräuber der Schweiz, arbeitet bald für die Stadt Zürich!
Am 16. Juli 2018 kommt Portmann wieder frei. Bis dahin arbeitet er im offenen Vollzug, bis er seine 35 Jahre Haft verbüsst hat. Für danach ist vorgesorgt: Portmann tritt in den Dienst von Entsorgung + Recycling Zürich. Als «Lader» lässt er sich dann vom Müllwagen durch Zürich fahren und leert die Müllcontainer.
«Warum nicht?»Wie es dazu kam, erzählt der bis gestern für Tiefbau und Entsorgung zuständige Stadtrat Filippo Leutenegger (65), als BLICK ihn und Portmann an dessen neuem Arbeitsort trifft: «Eigentlich hat ja BLICK die ganze Sache ins Rollen gebracht.» BLICK hatte in einer Umfrage neben andern Arbeitgebern auch die Stadt Zürich gefragt, ob eine Bewerbung des Langzeit-Knastis Chancen hätte – die Stadt schloss es nicht aus. «Nachdem wir das bejaht hatten, hat er sich dann auch bei uns beworben.» Eine Personalie wie diejenige Portmanns sei natürlich auf Leuteneggers Schreibtisch gelandet. Sein erster Gedanke sei gewesen: «Warum nicht?»
Andere Unternehmen sagten damals zu BLICK, ihnen wäre Portmanns Anstellung zu heikel. Leutenegger versteht die Bedenken. «Aber meiner Meinung nach hat jeder Mensch, wenn er sich darum bemüht, eine zweite Chance verdient.» Portmann habe seinen Willen gezeigt, sei fit und habe die Tests bestanden. Ausserdem habe die Stadt auch eine soziale Verantwortung. Für Leutenegger ist klar: «Seiner Anstellung bei uns steht nichts im Weg.»
Zuerst hielt er es für einen WitzDie Stellensuche hatte sich Portmann tatsächlich schwieriger vorgestellt. Als er von Mitarbeitern des Justizvollzugs auf den BLICK-Artikel und die offene Stelle verwiesen wurde, hielt er es erst für einen Witz. Und bewarb sich trotzdem. Jetzt ist er Leutenegger dankbar für die Chance: «Ich bin mir bewusst, dass die Gesellschaft nicht auf Leute wie mich gewartet hat.»
Doch eine Arbeit sei die beste Chance für ihn, sich wieder in die Gesellschaft einzugliedern. Vor dummen Sprüchen und Seitenhieben seiner neuen Kollegen fürchtet er sich nicht, die könnten ihm nichts anhaben. «Dafür war ich zu lange im Strafvollzug. Ausserdem bin ich mir bewusst, dass ich eine ziemlich spezielle Biografie habe.»
Kein Grund zur VerwahrungPortmann hat immer – mit legalen und illegalen Mitteln – für seine Freiheit gekämpft. Ans Aufgeben habe er keine einzige Sekunde gedacht. «Mit Sport und Lesen hielt ich mich mental fit.» Ausserdem habe er in der Fremdenlegion einst Ausdauer und Willenskraft gelernt. Was er gemacht habe, sei falsch gewesen, und im Leben müsse man für alle Taten geradestehen. «Ich wurde zu Recht verurteilt. Doch Mitte Juli habe ich meine Strafe abgesessen.» Und da er nicht «krank» sei, gebe es auch keinen Anlass, ihn zu verwahren. Davor hatte er Angst, denn: «Verwahrung heisst Todesstrafe auf Raten.»
Neben dem neuen Job will Portmann das Leben in vollen Zügen geniessen: Jeder Tag sei eine Entdeckungsreise, denn die Welt habe sich in den letzten 35 Jahren «doch stark verändert». Zum Glück sei er bescheiden und wohne in Zukunft in einer kleinen Einzimmerwohnung irgendwo in Zürich. Doch das genüge ihm auch. Ob er seine Partnerin noch hat, will er BLICK nicht verraten. Seine Karriere als Person des öffentlichen Lebens gehe nun zu Ende, jetzt beginne sein neues Leben.
Das Cadillac Cabrio ist der Star in Clint Eastwoods Film «Pink Cadillac». Jetzt ist der riesige Ami-Schlitten von 1959 in der Schweiz und steht zum Verkauf.
Durch den Sommer kreuzen mit dem Cadillac-Cabrio von Clint Eastwood (87) aus dem Film «Pink Cadillac» von 1989 – ein Traum für Auto-Fans! Der riesige Ami-Schlitten wird Mitte Juni in Zürich versteigert. Schätzpreis: 65'000 bis 85'000 Franken. Dafür sitzt man im gleichen Auto, mit dem Hollywood-Star Eastwood vor der Kamera durch Nevada gerauscht ist. Und lauscht bei offenem Verdeck dem ungenierten Wummern des massigen 6,4-Liter-V8-Motors mit 325 PS.
«Das Auto ist fahrbar», sagt Reinhard Schmidlin von der Oldtimergalerie Toffen, die den Cadillac am 16. Juni an der Classic Car Auction in Zürich versteigert. «Damit es auf die Strasse darf, muss man ihm aber noch ein bisschen Liebe angedeihen lassen.» Zuletzt war der rosa Strassenkreuzer vor 24 Jahren restauriert worden. Verkäufer ist ein Schweizer Sammler, der das Liebhaberstück vor vier Jahren gekauft hatte. Der 1959er-Cadillac Series 62 Convertible ist das letzte Modell mit verrückt grossen Heckflossen. Es hat den Filmemachern offenbar besser gefallen als das 1957er-Modell mit wesentlich kleineren Extravaganzen, das ursprünglich im Drehbuch vorgeschrieben war.
Eastwoods schlechtester FilmFür den Film wurden drei identische Autos pinkfarben gespritzt. Eines davon wurde beim Dreh geschrottet. Eastwood spielt den alternden Detektiv Nowak, der sich als Kopfgeldjäger betätigt und auf Lou Ann (gespielt von Bernadette Peters, 70) angesetzt wird, die mit dem Pink Cadillac ihres gewalttätigen Ehemannes abgehauen ist. Der Film war ein Flop – er gilt als schlechteste Produktion, bei der Eastwood je mitgemacht hat. Das fanden nicht nur die Kritiker, auch das Publikum mied den Streifen: 12 Millionen Dollar brachte er in die Kassen, gekostet hat er 19 Millionen.
Mit einem anderen Autofilm hatte Eastwood 20 Jahre später mehr Glück: «Gran Torino» ist sein kommerziell erfolgreichster Film und gehört für das American Film Institute zu den zehn besten Filmen von 2008. Bloss das Auto, ein grüner 1972er-Ford Gran Torino Sport, ist halt weniger spassig als der rosa Cadillac.
Après sept ans de procédure, un tribunal américain a condamné Samsung Electronics à verser 539 millions de dollars (460 millions d’euros) à Apple pour violation de brevets sur ses smartphones. La justice américaine a finalement établi que le sud-coréen Samsung a copié, dans plusieurs modèles de ses smartphones et tablettes, l’iPhone et l’iPad d’Apple.
Les deux premiers fabricants mondiaux de smartphones s’affrontent en justice depuis 2011, quand Apple avait accusé son concurrent sud-coréen de copier «grossièrement» ses produits avec ses téléphones et tablettes. Samsung a été reconnu coupable lors d’un procès en 2012 mais un désaccord sur le montant des dédommagements a conduit à un nouveau procès dont les audiences ont pris fin seulement le 18 mai 2018.
Samsung s’était déjà acquitté de 399 millions de dollars versés à Apple en décembre 2015. Il lui reste donc à payer, si le verdict est confirmé en appel, la somme de 140 millions de dollars supplémentaires.
Dans un communiqué cité par Reuters, Apple s’est dit satisfait que le tribunal «ait reconnu que Samsung doive payer pour avoir copié nos produits». Au début de la procédure, lancée du vivant de Steve Jobs, Apple avait réclamé jusqu’à un milliard de dollars, estimant que cette somme représentait les bénéfices que Samsung s’était procurés grâce au plagiat de l’iPhone. Le groupe sud-coréen cherchait de son côté à limiter la facture à 28 millions de dollars, soit les profits attribuables aux composants de ses smartphones qui violaient les brevets d’Apple.
«Samsung ne dit pas qu’il ne doit pas payer. Il dit juste qu’il n’a pas à verser tous les profits tirés du téléphone», a indiqué son avocat John Quinn vendredi, au dernier jour du procès tenu à San José (Californie).
Sur les 539 millions $, 533,3 millions concernent la violation de trois brevets liés au design de l’iPhone. Les 5,3 millions $ restants portent sur la violation de deux brevets relatifs à l’utilisation du smartphone comme le zoom à deux doigts
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La police de Tizi Ouzou mène la chasse aux deux-roues qui slaloment dans les rues de la ville. Les contrôles qu’elle a effectués depuis le début du Ramadhan se sont soldés par une soixantaine de saisies en plus d’une cinquantaine de procès-verbaux dressés, a-t-on appris auprès de la Sûreté de wilaya. L’absence de papiers et de casques et les nuisances sonores causées aux habitants à des heures tardives de la nuit ont été les principales infractions qui ont été relevées.
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Washington – US-Präsident Donald Trump erwägt, die 14-jährige Haftstrafe des umstrittenen Ex-Gouverneurs Rod Blagojevich zu verkürzen. Dieser hatte mit einem Skandal um den Senatssitz von Barack Obama für Schlagzeilen gesorgt.
Er ziehe es ernsthaft in Betracht, die Strafe des Demokraten Blagojevich zu verkürzen, sagte Trump. Blagojevich war 2011 zu 14 Jahren Haft in einem Korruptionsfall verurteilt worden. Er hatte als Gouverneur von Illinois unter anderem versucht, den durch die Präsidentschaftswahl 2008 freigewordenen Senatsposten von Barack Obama gegen Geld zu verschachern.
Obama sass für Illinois im Kongress. Blagojevich waren neben Falschaussage versuchte Erpressung, Betrug und kriminelle Geschäftemacherei angelastet worden. Er trat seine Gefängnisstrafe 2012 an.
Trump sagte, Blagojevich sei zu Unrecht dafür bestraft worden, dass er «dumm» sei und Dinge gesagt habe, die viele andere Politiker sagten. Blagojevich hatte 2010 an Trumps Fernsehshow «Celebrity Apprentice» teilgenommen.
Der US-Präsident erklärte zudem, dass auch die Lifestyle-Ikone Martha Stewart unfair behandelt worden sei. Stewart hatte Aktien eines Pharmaunternehmens verkauft, nachdem sie einen Insidertipp bekommen hatte. Sie wurde 2004 zu einer fünfmonatigen Haftstrafe verurteilt.
Am Donnerstagmorgen hatte Trump den konservativen Autor und Filmemacher Dinesh D'Souza begnadigt. Er war 2014 wegen Verstössen gegen Regeln zur Wahlkampffinanzierung zu fünf Jahren auf Bewährung verurteilt worden.
Manche US-Kommentatoren werteten die Begnadigung als mögliches Signal Trumps an seinen langjährigen persönlichen Anwalt Michael Cohen und seinen ehemaligen Wahlkampfchef Paul Manafort in der Russland-Affäre. Gegen Cohen wird Berichten zufolge wegen Bankbetruges und Verletzung von Regeln zur Wahlkampffinanzierung ermittelt. Manafort wurde unter anderem wegen Geldwäsche angeklagt.
Le Ministre d'Etat chargé du développement, Abdoulaye BIO TCHANE a lancé ce matin, à l'agence de Sèmè City, à Cotonou, les travaux du Forum Innovation Made in Africa "FORIMA 2018". L'objectif de cet événement inédit, est d'établir les bases d'une plateforme pour aider les entrepreneurs à concevoir et lancer des projets innovants avec fort impact social, particulièrement en création d'emplois. La Banque Mondiale et Sèmè City contribuent ainsi à soutenir l'entrepreneuriat et l'innovation pour le développement d'un secteur touristique inclusif et durable au Bénin, avec l'engagement de tous les acteurs impliqués (investisseurs, entrepreneurs, organisations internationales). Ce forum est donc l'occasion pour tous ces acteurs de collaborer autour des principes de partage de connaissances, d'ingéniosité et de frugalité que prône Sèmè City. Cette première édition du FORIMA se tiendra les 31 mai et 1 juin à l'agence de Sèmè City, à Cotonou. Pendant 2 jours, le Forum de l'Innovation Made in Africa vous immerge dans un « camp d'innovation » mêlant panels, ateliers de mise en pratique et consultations auprès d'experts. Vous assisterez également au « Challenge Fund pitch » pendant lequel des entrepreneurs innovants présenteront leurs projets devant un jury.
(Lire l'intégralité du discours Ministre d'Etat chargé du développement)
DISCOURS DU MINISTRE D'ETAT CHARGE DU PLAN ET DU DEVELOPPEMENT, Abdoulaye BIO TCHANE A LA CÉRÉMONIE D'OUVERTURE DU FORIMA 2018 Mesdames et Messieurs les Ministres ;
Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et chefs de mission diplomatique au Bénin ;
Mesdames et Messieurs les entrepreneurs ;
Distingués invités ;
Mesdames et Messieurs ;
Je me réjouis de pouvoir m'associer aux activités du Forum Innovation Made In Africa (FORIMA). Je voudrais au nom du Chef de l'Etat, le Président Patrice TALON, souhaiter à chacun et à tous la bienvenue au FORIMA 2018. Avant de continuer mon propos, je voudrais saluer toutes les organisations et personnes qui ont rendu notre présence ici possible. Permettez-moi d'emprunter cette phrase de Peter Drucker qui disait je cite « L'innovation systématique requiert la volonté de considérer le changement comme une opportunité » fin de citation. Notre monde, celui d'aujourd'hui est un monde de profondes mutations ; de grandes dynamiques où tout change, tout bouge et tout se renouvelle. Certains traits marquants de ces changements sont par exemple les Objectifs du Développement Durable (ODD) qui appellent à un changement de paradigme dans la conception et la mise en œuvre du développement ; les changements climatiques qui forcent à un changement dans nos comportements de consommation et de production ; la mondialisation, avec ses vecteurs que sont les TIC et les transformations profondes qu'elles induisent dans nos sociétés, nous oblige à une adaptation permanente et à des changements perpétuels. Ces changements et bien d'autres encore, loin de nous fragiliser et d'accentuer notre vulnérabilité doivent être utilisés opportunément pour renforcer notre résilience et améliorer notre bien-être. Ceux qui rendent ceci possible sont les créateurs des startups. C'est donc un honneur et un privilège immense pour moi de m'associer à ces créateurs et innovateurs ; à ceux-là qui façonnent par leurs actions d'aujourd'hui le monde de demain.
Vous voulez savoir à quoi va ressembler le monde de demain, demandez aux startups.
Mesdames et Messieurs ;
Je veux saluer cette initiative de l'Agence de Développement de Sèmè City. Comme vous le savez, notre Gouvernement en a fait une priorité dans son Programme d'Actions. Nous sommes en effet convaincus que nous pouvons transformer notre pays dont la réputation en matière d'éducation est reconnue, en une économie du savoir, de la technologie et de l'innovation. La Cité Internationale de l'Innovation et du Savoir qu'elle est appelée à développer est envisagée comme une ville intelligente et durable axée sur l'innovation et le savoir. Elle offre un cadre stimulant et favorisant une synergie renforcée entre l'enseignement, la recherche et l'entrepreneuriat pour répondre aux besoins de compétences des marchés africains. Au Gouvernement, notre conviction et notre foi quant à la capacité des innovations et des startups à modeler le Bénin et l'Afrique de demain, à constituer le levier de notre croissance économique et le fertilisant de génération des emplois décents, notre conviction en tout cela disais-je est ferme et inébranlable. Je veux vous inviter donc tous ici à partager avec nous, cette assurance immuable du succès qui nous attend.
Mesdames et Messieurs ;
On m'a soufflé sur mon trajet pour ici qu'avec les innovateurs, il faut être concret et précis ; qu'il faut éviter les discours aux envolées lyriques et aller droit au but sans trop de voilure. C'est ce que je m'en vais faire maintenant par de petites anecdotes.
La semaine dernière s'est tenu à Paris le Salon VIVATECH qui en est seulement à sa troisième édition et se positionne déjà comme étant l'évènement leader en Europe pour les startups innovantes. 100 000 visiteurs de 125 pays ont assisté à cette troisième édition, avec 9 000 startups, 1 900 investisseurs et 1 900 journalistes.
Un grand magazine a titré qu'il y avait deux vedettes, cette année à Vivatech. La première, c'est Mark Zuckerberg, le créateur bien connu de Facebook, le site qui compte déjà plus de deux milliards de visiteurs. La seconde est moins célèbre que Zuckerberg, mais mérite de l'être. Elle s'appelle Arielle Ahouansou.
Arielle est la fondatrice de KEA MEDICALS, une startup qui conserve les dossiers médicaux de patients africains, pour leur permettre d'être plus facilement pris en charge dans tous les hôpitaux de l'ouest du continent. Les patients qui ont souscrit au service portent sur eux un identifiant. L'hôpital qui reçoit ces patients peut utiliser ce code pour accéder aux données du patient. KEA MEDICALS s'est développé rapidement sur fonds propres et cherche à attirer des investisseurs pour pouvoir grandir.
Mesdames et Messieurs ;
Ce gros titre qui met ensemble Mark Zuckerberg et Arielle Ahouansou, vous en conviendrez avec moi, est interpellant. Il faut en retenir trois points :
Le premier est que l'entrepreneuriat innovant africain est en train d'acquérir une réputation d'innovateur envers et contre tout. KEA MEDICALS est un exemple parmi plusieurs autres au Bénin et en Afrique. Pendant les deux prochains jours, vous allez découvrir les kits solaires autonomes de QOTTO, les ordinateurs de SYRRUS, les foyers écologiques d'ATINGAN et d'autres entrepreneurs talentueux qui œuvrent tous les jours pour transformer le quotidien des Africains à travers des solutions locales.
Frugal, agile, et résilient, l'entrepreneuriat africain s'affirme et se démarque en effet un peu plus chaque jour. D'ailleurs les pays plus développés lorgnent du côté de notre continent où les entrepreneurs parviennent à faire plus avec moins, sauter des étapes et aller plus vite, même quand ils partent de rien.
Toutefois, le développement de nos entreprises innovantes africaines est encore trop souvent confronté à de nombreuses contraintes liées principalement au manque de dispositifs d'accompagnement et de financement des startups, en particulier dans leur phase d'amorçage. Cette phase clé – considérée comme très risquée par les investisseurs – est celle où un accompagnement et un premier financement sont cruciaux pour transformer une idée innovante en un produit commercialisable.
Il s'agit donc de développer des outils spécifiques pour accompagner ces jeunes entreprises qui répondent souvent à des besoins encore peu, voire pas du tout desservis à travers de nouveaux modèles économiques qui peuvent servir de socle à la création d'emplois et de richesse.
Le second point illustré par KEA MEDICALS est ce que j'appelle l'émergence « des amazones de l'innovation ». Elles ne sont plus guerrières mais c'est avec force et détermination que nos jeunes béninoises se font remarquer à travers leur savoir et leur ingéniosité. Pendant les deux prochains jours, vous allez entendre celles que j'appelle des « Amazones de l'innovation » qui chaque jour remportent des prix dans différents domaines de pointe.
Ces « Amazones de l'innovation » s'appellent Arielle Ahouansou, Karelle Vignon Vuillerme, Raodath Aminou, Elodie Akotossode, Maureen Ayite, Mylene Flicka, Sandra Idossou ou Marielle Yasmine Agbahoungbata pour n'en citer que quelques-unes parmi nous aujourd'hui.
Vous allez pouvoir écouter Marielle Yasmine Agbahoungbata docteur à l'Université d'Abomey-Calavi qui a remporté le premier prix du jury du concours « Ma thèse en 180 secondes » face à 19 autres candidats. Ce concours a vu la participation de 8 doctorantes africaines issues du Maroc, du Bénin, du Cameroun, de la Côte d'Ivoire, de la République Démocratique du Congo, du Sénégal, et de la Tunisie. Au-delà de ce prix remarquable, la thèse de Marielle Yasmine Agbahoungbata qui porte sur la problématique du traitement des eaux usées est d'une importance capitale pour notre Continent qui accuse encore un grand retard dans ce domaine.
J'en arrive à mon troisième point, qui porte sur la mission de Sèmè City qui est de favoriser le développement d'un écosystème d'« innovation made in Africa ». Alors que souffle un vent de protectionnisme sur plusieurs régions du globe, l'Afrique innovante elle est de plus en plus intégrée. KEA MEDICALS qui existe depuis seulement un an et demi a déjà enregistré plus de 50 000 dossiers médicaux au Bénin, au Congo, au Gabon, au Maroc et en Côte d'Ivoire. Une jeune entreprise qui opère sur fonds propres dans 5 pays dès son démarrage mérite nos applaudissements.
Mesdames et Messieurs ;
Nous savons que pour être sur le radar des gros tickets d'investissement, il faut permettre à nos entreprises africaines innovantes de rapidement atteindre une taille critique. L'intégration devient alors un accélérateur économique et les entrepreneurs Africains comme KEA MEDICALS sont à l'avant-garde de ce mouvement. C'est pour cela que j'appelle les milieux financiers africains à s'intéresser davantage à cet écosystème d'innovation qui est en train de se mettre en place afin que l'Afrique investisse dans son propre futur.
Est-il, dès lors, possible d'entrevoir ces entreprises innovantes comme de nouveaux outils de développement en Afrique ? le FORIMA pense que OUI et donne la parole à des acteurs passionnés de cet écosystème d'innovation africain qui vont nous livrer leurs expériences – les bonnes mais aussi les plus difficiles, celles qui se cachent parfois derrière des succès médiatiques et peuvent susciter de faux espoirs.
Je me réjouis donc de cette initiative organisée par l'Agence de Développement de Sèmè City en partenariat avec l'Agence Nationale de Promotion des Patrimoines et du Développement du Tourisme et la Banque mondiale pour mettre en lumière les innovations majeures et les entrepreneurs qui transforment nos sociétés africaines. Cette première édition consacrée au secteur du tourisme nous permettra également de découvrir et de primer des startups qui ont réfléchi à des solutions pour anticiper et dépasser les attentes des touristes, et bousculer les codes d'un secteur porteur en Afrique.
Nous devons tous œuvrer pour que le FORIMA devienne, à l'instar de Vivatech en Europe, l'évènement leader en Afrique pour les startups innovantes et attire chaque année des milliers de visiteurs du monde entier au Bénin. Que FORIMA devienne la vitrine de la réussite africaine. C'est cela l'ambition de Sèmè City pour notre pays, pour notre continent et pour notre planète. C'est aussi au nom de cette ambition que je félicite Claude Borna pour l'excellente conduite de cette initiative.
Je souhaite donc bonne chance aux 9 finalistes du Challenge Fund et déclare officiellement ouverts les travaux du FORIMA 2018.
Vive l'innovation au service du développement,
Vive le Bénin
Je vous remercie
Le directeur général de la Sûreté nationale Abdelghani Hamel a instruit dernièrement les responsables des ressources humaines au niveau de la DGSN à prendre les mesures nécessaires pour rapprocher un agent de police qui exerçait à la sûreté de Barika (wilaya de Batna) et l’affecter dans la wilaya de Sétif afin de lui permettre de bien s’occuper de sa famille. Le policier est le fils de la victime des dernières inondations de Aïn El-Kebira.
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Le ministre de l’Énergie, Mustapha Guitouni, a défendu, hier, à Boumerdès, la décision de Sonatrach d’acquérir la raffinerie d’Augusta en Italie.
Lors d’un point de presse tenu en marge de sa visite de travail dans la wilaya de Boumerdes, Guitouni a estimé que le dossier de l’achat de la raffinerie est passé par le ministère de l’Énergie et ensuite par le gouvernement qui a donné le feu vert pour que la raffinerie d’Augusta entre dans le patrimoine de Sonatrach.
Selon lui, l’achat de cette raffinerie en Italie est une bonne affaire.
«La décision d’achat est prise après l’accord du gouvernement algérien et du gouvernement italien et après plus d’une année de pourparlers. On dit qu’elle est âgée, qu’elle date de 1949 mais il y a eu des rénovations, chaque année on rénove »,a-t-il ajouté ,soulignant que le prix aurait coûté une raffinerie neuve, à savoir 5 milliards de dollars, selon lui, en plus du délai de cinq ans pour sa réalisation.
Le ministre a notamment fait savoir que l’achat de la raffinerie entre dans le cadre de la restructuration de Sonatrach et son plan de développement 2020-2030: «La consultation d’experts et des concertations avec les autorités italiennes se sont également inscrites dans le processus de l’achat de la raffinerie d’Augusta».
M.Guitouni a par ailleurs, appelé à la nécessité de rationaliser la consommation de l’énergie électrique en évoquant un gaspillage abusif.
«L’Algérien consomme six fois plus que le Tunisien et six fois plus que le Marocain. C’est parce que nous gaspillons beaucoup et ça, tout le monde le sait »a-t-il regretté.
Kahina.I / version française: Rachel Hamdi
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