Par O. Hind.
Grande déception pour ce qui est du spin -off sur Han solo, mais de belles sensations et découvertes dans l’Avengers…
Les téméraires cinéphiles ont bravé le mauvais temps lundi soir pour aller voir en avant-première algérienne le long métrage Solo: A Star Wars Story. Le film qui a fait partie récemment de la sélection officielle de la 71e édition du festival de Cannes dans la catégorie hors compétition. Il aborde la jeunesse du personnage Han Solo campé d’habitude par Harrison Ford. Jeune donc, il est interprété par Alden Ehrenreich, un contrebandier rebelle, mais gentil, qui remplit sa mission en se revêtant de l’habit, attitude et caractère assez têtu de l’ancien Han Solo de la Saga.
Dans ce second film dérivé de la franchise Star Wars (après Rogue One: A Star Wars Story sorti en 2016, Ndlr) il est accompagné par Lando Calrissian, joué par Donald Glover, Emilia Clarke qui tient le rôle de Qi’ra, la première compagne de Han Solo, mais aussi Woody Harrelson qui incarne le mentor de Han Solo du nom de Beckett. Et comme dans n’importe quelle histoire de guerre à la sauce américaine qui se respecte, il ne peut y avoir de conflit sans une histoire d’amour derrière.
En effet, Han Solo sera amené à se battre à la fois pour gagner de l’argent, mais aussi faire des affaires avec l’homme qui a pris celle qu’il aime, dans l’espoir de la reconquérir. En gros, l’amour et ses racines, la confiance ou la traîtrise, sont le nerf de la guerre, le moteur du cinéma hollywoodien.
C’est bien lui qui tire les ficelles ou qui abat les cartes de la machine du mal. Fait nouveau, nous apprenons que c’est Han Solo qui avait délivré Shoubaka d’une prison dans laquelle il était jeté et c’est ainsi qu’ils sont devenus des amis inséparables. Avec des courses-poursuites, dans un train ou des plans à la sauce Clint Eastwoodienne, Solo: A Star Wars Story se révèle être du type space western.
Un genre qui colle bien à la peau de Han Solo grâce à sa dégaine légendaire de dur à cuir, tombeur de dames. La première partie de la réalisation de Ron Howard, ne convainc, pas pis encore, elle endort le spectateur bien qu’elle nous introduise les personnages, mais de façon à se détacher entièrement de l’esprit, la philosophie et les valeurs mêmes qui ont fait l’âme de Stars Wars, à savoir combattre pour la dignité d’un peuple contre l’empire des ténèbres. Certains plans tablent sur la nostalgie de l’ancienne Saga sans grande ferveur et quelques personnages intéressants sont vite expédiés à la casse pour disparaître de l’écran alors qu’ils auraient mérité d’être encore là du moins pour nourrir les à-côté de l’intrigue. Mais on préfère vite s’attarder sur les principaux personnages qui vont devoir se lancer dans une aventure risquée dont le seul objectif est le vol d’un précieux matériel pour le fournir au grand entrepreneur véreux qui lui-même obéit à une puissance dont on devine déjà les ambitions et le secret.
En arrière-plan donc, ce film exalte les odeurs de l’argent et du carburant, même l’espace est réduit à une technologie sans le grand côté spectaculaire. Bien évidemment, nous ne sommes pas encore arrivés à l’époque de la Saga de Star Wars, mais tout de même, le poids de la science-fiction et, son pendant extravagant moderniste est bien présent à fortes doses d’effets spéciaux et de petites bestioles et monstres à coups de renfort divertissant.
Pour autant, c’est seulement à la 2e partie, voire 3e que le film dénoue enfin ses intentions et retrouve un semblant d’élan glorieux, celui qui unit tout les amoureux de Star Wars, à savoir le sacrifice et l’abnégation au service d’une cause humaniste, pour contrer le mal suprême qui ne rêve que de régner de son plein pouvoir sur le monde et réduire en poussière celui qui osera lui tenir tête…Aussi, entre amusement et sentiment d’héroïsme latent, Solo: A Star Wars Story se résume à une montée de plusieurs velléités de briller en vue d’atteindre la superbe de cette Saga, mais sans grand enjeu dramatique. Avec seulement des prétentions suggérées, le film n’atteint pas la valeur d’un Roge one. Loin s’en faut. On reste souvent sur notre faim. L’émotion est diluée dans la beauté des paysages et quelques gros plans et échanges de regards qui certes, émoustillent un peu les sens, nous pensons à ce chaleureux baiser échangé entre les deux tourtereaux maudits, mais ceci est loin de rehausser le niveau de ce film qui pèche par quelques séquences limites absurdes et des personnages dénués d’âme.. ou presque…Peine perdue, la vigueur scénaristique y compris au niveau des dialogues, nous allons la retrouver dans la première partie de la soirée au Théâtre de verdure, soirée qui fut marquée par la projection du film Avengers: Infinity War. Un film de supers héros basé sur les histoires des comics de Marvel.
Alors que les Avengers et leurs alliés ont continué de protéger le monde face à des menaces bien trop grandes pour être combattues par un héros seul, un nouveau danger est venu de l’espace: Thanos. Despote craint dans tout l’univers, Thanos a pour objectif de recueillir les six Pierres d’Infinité, des artefacts parmi les plus puissants de l’univers, et de les utiliser afin d’imposer sa volonté sur toute la réalité. Tous les combats que les Avengers ont menés culminent dans cette bataille. Ceci est le synopsis de ce film. Des combats sans faille, des sensations fortes, des émotions en veux-tu en voilà, de la haine en passant par la colère, la tristesse, mais aussi une bonne dose d’humour, des effets spéciaux à vous couper le souffle, ajouté, à cela quelques personnages attachants, malgré leur foisonnement, l’on ne s’ennuie pourtant pas une seconde.
Le film fait incursion dans le Wakanda for ever de Black Panther. Les fans du genre apprécieront. La fin des plus tragiques est poignante et rend humain le plus monstrueux d’entre nous, ce qui a le mérite de méditer sur notre triste sort et l’avenir de notre existence sur cette planète. A 600 DA la soirée, les Nuits du Cinéma vous invitent ainsi tout au long du Ramadhan à suivre des moments palpitants hautement cinématographiques. Pour info, vous pouvez voir (pour les absents) ou revoir les deux films cités plus haut, à savoir Solo: A Star Wars Story encore vendredi 1er juin à minuit et le 8 juin à 22h, tandis que Avengers sera projeté à nouveau samedi 2 juin à minuit et le 06 juin à 22h.
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Les acteurs du septentrion ont échangé sur la question de la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Bénin, ce mardi 29 mai. C'était au cours d'un atelier régional dont les travaux ont été lancés à Natitingou par le préfet de l'Atacora Lydie Déré Chabi.
Cet atelier s'inscrit dans le cadre du processus d'examen stratégique national pour l'élimination de la faim à l'horizon 2030. Un projet en cours d'exécution au Bénin, grâce à l'appui du gouvernement et du système des Nations unies. Il vise à informer les acteurs venus des départements de l'Atacora, de la Donga, de l'Alibori et du Borgou, des résultats des travaux menés par une équipe de recherche à travers la revue de l'examen stratégique national « Faim zéro » au Bénin. Les amendements et recommandations des participants seront recueillis dans le but d'enrichir les résultats.
Pour Mathurin Coffi Nago, facilitateur principal de l'examen stratégique national « Faim zéro » au Bénin, la rencontre a pour optique de permettre au pays de disposer d'une stratégie d'éradication de l'insécurité alimentaire et nutritionnelle plus efficace. Le préfet de l'Atacora Lydie Déré Chabi, salue le caractère symbolique du choix porté sur son département pour abriter ces assises. Il a souhaité que cet examen stratégique puisse permettre d'éradiquer la menace d'insécurité alimentaire dans ledit département.
L'objectif de l'examen stratégique national « Faim zéro » au Bénin est d'éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle et promouvoir l'agriculture durable.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
By WAM
WASHINGTON, May 30 2018 (WAM)
Globally, countries are losing $160 trillion in wealth because of differences in lifetime earnings between women and men. This amounts to an average of $23,620 for each person in the 141 countries studied by the World Bank Group in a new report released today.
The study, Unrealized Potential: The High Cost of Gender Inequality in Earnings, examines the economic cost of gender inequality in lost human capital. It comes before the meeting of the G7, currently headed by Canada, which committed to ensuring gender equality and women’s empowerment are integrated across all G7 themes, activities and initiatives during its Presidency.
"The world is essentially leaving $160 trillion on the table when we neglect inequality in earnings over the lifetime between men and women,"
Kristalina Georgieva, World Bank CEO
“The world is essentially leaving $160 trillion on the table when we neglect inequality in earnings over the lifetime between men and women,” said World Bank CEO Kristalina Georgieva. “This is a stark reminder that world leaders need to act now and act decisively to invest in policies that promote more and better jobs for women and equal pay at work.”
In nearly every country today, women face barriers to fully participate in the work force and earn as much as men. Because of this, women account for only 38 percent of their country’s human capital wealth, defined as the value of the future earnings of their adult citizens versus 62 percent for men. In low income and lower-middle income countries, women account for just a third or less of human capital wealth.
Programs and policies that make it easier for women to get to work, access basic infrastructure and financial services, and control land could help achieve gender equality in earnings, the report says.
“Human capital wealth accounts for two thirds of the global changing wealth of nations, well ahead of natural and other forms of capital,” said World Bank Group Lead Economist and author of the report Quentin Wodon. “Because women earn less than men, human capital wealth worldwide is about 20 percent lower than it could be.”
The losses in wealth from inequality in earnings between men and women vary by region. The largest losses each between $40 trillion and $50 trillion are observed in East Asia and the Pacific, North America, and Europe and Central Asia. This is because these regions account for most of the world’s human capital wealth. Losses in other regions are also substantial. In South Asia, losses from gender inequality are estimated at $9.1 trillion, while they are estimated at $6.7 trillion in Latin America and the Caribbean and $3.1 trillion in the Middle East and North Africa. In Sub-Saharan Africa, the losses are estimated at $2.5 trillion. While losses in low income countries are smaller in absolute terms than in other regions, as a share of the initial endowment in human capital, the losses are larger than for the world.
WAM/Tariq alfaham
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Dans son dernier ouvrage «L’année miraculeuse» le romancier Mohamed Magani aborde le déchirement, le traumatisme et le retour à la vie sur fond de destinées croisées de personnages en quête de reconstruction. Ce roman de 334 pages, publié par les éditions «Chihab» relate des récits de vies qui s’entremêlent et ayant pour décor principal les villes d’Alger et d’Amsterdam, inspiré des différents voyages de l’auteur et de ses références littéraires.
«L’année miraculeuse» raconte la vie de Smaïl, un haut cadre de l’administration, démis de ses fonctions dans le milieu des années 1990. L’échec professionnel, lui a imposé un tout autre mode de vie «dénué d’avantages et de pouvoir», se double d’un divorce suite auquel il échoue à Amsterdam où il mène une vie monotone de jeune retraité. Un coup de foudre à l’aéroport entraîne cet homme, en quête de reconstruction, dans une aventure rocambolesque, il s’empare inconsciemment de la valise d’une jeune femme séduisante au visage familier pour s’assurer de la revoir. Smaïl se lance dans une expédition à la recherche de ce visage, aperçu à peine quelques minutes, à Alger puis à Amsterdam. Lotfia, la propriétaire de la valise volée, qui s’avère avoir été une ancienne collègue de Smaïl, est une femme à bout de nerfs qui a dû quitter l’«administration rigide» pour s’installer en France, se marier contre l’avis de ses parents pour fuir un quotidien et un mode de vie «étouffant qui ne la contentait plus».
Une vérité cachée ayant éclaboussé son couple, Lotfia se retrouve abandonnée par son mari français qui la prive, sous la menace d’expulsion de France, de voir son enfant unique. Tout en continuant à chercher à revoir son fils, elle décide de s’installer à Amsterdam. Réunis aux Pays-Bas, les deux anciens collègues vont, alors, se lancer dans une quête d’eux-mêmes et de l’amour pour recoller les morceaux de leurs vies brisées.
Si ces histoires semblent se dérouler et se rencontrer naturellement, elles confrontent également des univers et des modes de vies différents: Amsterdam, la ville de la tolérance par excellence, épargnée des troubles, et Alger, vécue comme un souvenir chargé de traumatismes et de déceptions.
Placer ce roman à Amsterdam est également un prétexte pour l’auteur d’évoquer Albert Camus, dont «La chute» qui se déroule dans cette même ville, et introduire des extraits de l’auteur dans sa propre fiction. Mohamed Magani a sorti son premier roman, «La faille du ciel», en 1987.
Il a également publié des études sur l’histoire et la sociologie chez Ibn Khaldoun, et sur l’enseignement ainsi que des recueils de nouvelles en anglais. Depuis 2006, l’auteur enchaîne les romans «Scène de pêche», «La fenêtre rouge», «Rue des perplexes», et «Quand passent les âmes errantes».
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How can naval capabilities mitigate hybrid threats against European harbours? What steps could and should be taken to improve resilience of European harbours and which kind of cooperation is best suited to achieve this? These and many other questions were discussed at a joint workshop on ‘Harbour protection under hybrid threat conditions’ organized by the European Defence Agency (EDA) and the European Centre of Excellence for Countering Hybrid Threats (Hybrid C0E) today at the EDA premises.
Picture: Bundeswehr
Presentations and discussions focused on the broad multifaceted nature of the harbour protection and the implications on capability development in support of force protection and mobility. The workshop took place in the context of the implementation of the EU-NATO Joint Declaration, aiming to promote a coherence between the EU and NATO in bolstering resilience. The EDA and the Hybrid Centre of Excellence cooperate to promote the effective implementation of the Joint Declaration in areas of common interest and notably on bolstering hybrid resilience.
In his opening speech, EDA Chief Executive Jorge Domecq stressed the economic and strategic importance of harbours in Europe, including in the military domain. “We cannot omit their huge role in providing mobility and sustainability of military forces. It’s not a surprise that civilian harbours play a significant role in the security system of individual Member States, but also in the European system. None of the CSDP missions or operations could be conducted without free and safe access to the seaports. Hybrid attacks on seaports can have serious consequences, leading to disruptions to travel and supply chains”, Mr Domecq stated.
He welcomed the timing of the workshop as the revision of the European Capability Development Plan (CDP), scheduled to be accomplished end of June, is now on the home straight. “The outcome of this workshop, which will be presented in the form of a report to the Capability Directors in June, will have a positive impact on maritime capability development in the nearest future”, he stressed.
In his speech, the Director of the European Centre of Excellence for Countering Hybrid Threats, Matti Saarelainen, put a particular emphasis on the need for international cooperation in this crucial domain. "As international interdependency increases, it is necessary to assess and develop security more comprehensively than in the past. Hence, all stakeholders should be equally aware of the nature of the hybrid threats and share the level of awareness among them. What is essential is cooperation between and among individual countries, the EU and NATO, and sharing of experiences and best practices among them", he stated.
Schweizer Themenwege sind lehrreich und ein Spass für die ganze Familie. Wir zeigen, wo grosse und kleine Kinder am besten spielen, knobeln oder sich gruseln können.
Val Müstair GR: Der Bär ist losDie sechs Ausflüge im Bärenthemenweg erzähelen viel über Verhalten im Bärengebiet, Herdenschutz, Bären und Bienen, Geschichte des Braunbären in der Schweiz, Lumpaz und kleine Bärengeschichten. Auf dem Bärenweg im Val Müstair erfährt man vieles über das Leben dieses umstrittenen Gastes. Der Themenweg führt vier Kilometer von Fuldera nach Valchava – und quer durch die spannendsten Fakten und Geschichten zum Braunbär. Im Sommer erzählt eine «Märchenbärin» auf einer geführten Tour live Geschichten zum Thema.
Nicht nur die Muskeln, auch die grauen Zellen lassen sich auf Themenwegen prima trainieren. Auf dem drei Kilometer langen Chnobelweg in Hemberg etwa gibts an sieben Stationen knifflige Rätsel- und Knobelaufgaben. Damit man auf dem Rundwanderweg nicht zu verzweifeln braucht: Die Lösungen erhalten die Besucher nachträglich in den Beizen in Hemberg und Bächli zu Kaffee und Kuchen.
Braunwald GL: Wandern als Spielmarathon
Der sechs Kilometer lange Spieleweg bei Linthal führt Wanderer an zwölf Spielstationen vorbei. Genauer: an Abenteuer– und Erlebnisspielplätzen mit Gesellschaftsspielen ab vier Jahren. Fast überall dabei: das Maskottchen Eichi. Am Bahnhof Braunwaldbahn kann man einen Rucksack mit den vier wichtigsten Spielbrettern mieten. Sechs Stunden sollte man für den Spieleweg schon reservieren, sonst wirds knapp.
Kerns OW: Unter Räubern
Wo haben die Chärwaldräuber ihren Schatz versteckt? Auf dem Chärwaldräuber-Erlebnisparcours macht man sich auf die Spur der bösen Buben, die im Kernwald, an der Grenze von Ob- und Nidwalden, einst ihren Schabernack getrieben haben. An elf Stationen kann man Schätze suchen oder Memorys lösen. Dabei erfährt man viel über die einzigartige Landschaft.
Perimuk ist ein herziger Mix aus Saurier und Drache – er hat exakt die Form des Jurapark Aargau, dem 29 Gemeinden angeschlossen sind. Sein erstes Abenteuer erlebt der Kuschelsaurier in der Kindergeschichte «Perimuk und die Abenteuer seiner Kinder». Ein 4,5 Kilometer langer Erlebnisweg durch das Fricktal verbindet die Schauplätze dieser Geschichte.
Schwenden BE: Beim Waldmandli
Grimmimutz ist ein gutmütiges Waldmandli, das am liebsten mit seinem Freund, dem Riesen Spillgert, im Wald spielt – wäre da nicht die böse Pfefferhexe! Auf dem 3,3 Kilometer langen Familienweg im Diemtigtal lesen die Kleinen die Abenteuer von Grimmimutz, können diese selber miterleben und nach Herzenslust klettern, kegeln oder knobeln.
Schwarzsee FR: Hexereien
Der Schwarzsee im Senseland bei Brüggera ist auch Heimat von Hexen und Drachen. Auf dem Häxewääg um den Schwarzsee können Kinder sie an sieben Stationen näher kennenlernen. Das Touristenbüro Schwarzsee bietet ein entsprechendes Häxeset (17 Fr.): mit Verpflegung, einem Gutschein für die nahe Rodelbahn und Hilfsmitteln zum Knacken des gesuchten Zauberworts.
Nyon VD: Auf den Spuren von Professor Bienlein
Nyon wurde 1956 zum Schauplatz eines berühmten Comics: Das Tim-und-Struppi-Abenteuer «Der Fall Bienlein» des Zeichners Hergé. Ein Themenweg führt zu den wichtigsten Schauplätzen. Im Feuerwehrdepot ist genau jenes Feuerwehrauto zu bewundern, welches in der Story eine wichtige Rolle spielt (im Touristenbüro nachfragen).
Gornergrat VS: Klimawandel verstehen
Schwarznasenschaf Wolli und seine Freunde machen sich Sorgen wegen des Klimas. Damit auch andere möglichst viel über die Auswirkungen des Klimawandels erfahren, schickt Wolli Klimadetektive auf eine Audiotour am Gornergrat in Zermatt VS. Auf der 1,5-stündigen Tour versucht man an sieben Stationen das Rätsel der verschwundenen Gletscherflöhe zu lösen.
Cardada TI: Spielend spazieren
Bei der Bergstation Cardada, oberhalb von Locarno, gibts den wahrscheinlich längsten Spielplatz der Schweiz. Auf 1,2 Kilometern reihen sich aufregende Spielgeräte aneinander: eine Spielburg, ein Kitzelweg, ein Indianerdorf oder ein kleiner Seilpark. Highlight für die Eltern ist die Aussicht auf die schöne Tessiner Landschaft.
Mériem Merdaci, organisatrice de l’ évènement sous la seule enseigne de sa maison d’édition, s’est révélée en parfaite maîtresse de cérémonie.
Ce qui pouvait paraître, à première vue, comme un pari risqué, aura bel et bien été tenu et «Leilat Cha’bi», la première du genre, initiée par la maison d’édition «Les Editions du Champ Libre» a confirmé répondre à de réelles attentes tant dans le monde des musiques de Constantine que plus largement au sein du public. Ainsi donc «Le café Riche», espace incontournable des rencontres constantinoises depuis le Ramadhan dernier, aura, une fois de plus affiché complet et aura accueilli une assistance de qualité avec une notable empreinte de la famille du cha’bi.
Mériem Merdaci, organisatrice de l’ évènement sous la seule enseigne de sa maison d’édition, s’est révélée en parfaite maîtresse de cérémonie et après les paroles de bienvenue et de remerciements – en particulier à notre journal – aux différents soutiens de la manifestation, en a exposé les motifs et les objectifs «L’objectif est double, rassembler d’une part la famille du cha’bi de Constantine et ouvrir droit par la suite à une réflexion collective sur le statut de la musique cha’bi et son histoire en Algérie.» Si, comme elle le rappelait, cette rencontre s’appuyait aussi sur la présentation de l’ouvrage «Les Compagnons de Sidi Guessouma.
Contribution à l’histoire du cha’bi» dont elle avait assuré la publication, elle ne manquera de relever tout le travail de promotion du cha’bi de Constantine à travers le pays à l’occasion de rencontres, débats, de conférences ou sur les plateaux de télévision qui avaient accueilli l’auteur. C’est en tout cas le sens qu’elle assigne au documentaire en cours de réalisation sur le sujet et dont la projection de la bande annonce signait l’entrée dans le vif de «Leilat Cha’bi».A son invitation l’auteur a exposé l’objectif de son travail de recherche et les enjeux liés à l’identification du cha’bi qu’il situera comme une «créativité algérienne adossée, en profondeur, à l’esprit de résistance qui allait s’affirmer avec de plus en plus de force à partir du début du XXème siècle» et sur cette thématique du cha’bi «musique algérienne, musique de toute l’Algérie» que se sont ouverts les précieux témoignages des artistes présents et de leurs familles.
La présence des enfants du regretté cheikh Mohamed Chérif Merkouche – dont Hamdani Hammadi, lauréat du Festival de musique classique algérienne, dira qu’il était «La voix du cha’bi à Constantine» – de Larbi Merouani, formé sous les auspices du Fondouq Sidi Guessouma, de Khoudir Benrachi, de Mohamed Bouhabib ou encore Driss Amine Khoudja fils de feu Aâmi Mouloud Leqzaderi comme l’appelaient les anciens, mais aussi de nombreux mélomanes – dont Abdelhamid Chibane, adjoint du maire de Constantine – rajoutait une indéniable note d’émotion qui allait se retrouver dans les différents témoignages. Les mémoires de quatre générations au moins de musiciens du cha’bi allaient être revisitées et on évoquera ainsi les figures des pionniers – Mohamed Larbi Zeroula, Boudjema Madoui, Mouloud Amine Khodja entre autres- des talentueux passeurs du cha’bi à l’image des frères Ammar et Omar Bouhabib, des frères Boudida, de Salah Filali mais aussi des fulgurantes contributions de Ahmed Ydjer et Cheikh El Ouanas.
Les territoires du chabi – le billard de Allouane Bentounsi de la rue Cherbonneau, le local de Tayeb Bouda, entre autres ont alimenté la note de nostalgie, mais confirmé l’enracinement du cha’bi dans le coeur de Constantine. Festive, chaleureuse et marquée par l’émotion cette première «nuit du cha’bi» doit en appeler d’autres a estimé Mériem Merdaci et elle aura été illuminée par les belles prestations de Mohamed Bouhabib, Fayçal Leghraba et Mohamed Hamdi, comme si l’évènement prenait sens d’un passage de flambeau entre les mains de la nouvelle génération.
L’assistance n’a pas manqué d’avoir une pensée pour Ammar Bouhabib, Salah Filai, Dahmane Boudida, absents pour des raisons de santé et de saluer la mémoire de Mouloud Kracha et Nadir Bouda disparus il y a peu.
Une nuit constantinoise qui appelle en tout état de cause plus de lumière sur ces noms d’artistes qui méritent mieux que la méconnaissance.
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Dr. Hanif Hassan Ali Al Qassim, Chairman of the Geneva Centre for Human Rights Advancement and Global Dialogue
By Dr. Hanif Hassan Ali Al Qassim
GENEVA, May 30 2018 (Geneva Centre)
The world’s population now stands at approximately 7 billion people spread among 7 continents. The United Nations is comprised of 194 States. There are more ethnicities than the world’s countries. It is estimated that there are more than 6,500 languages worldwide. The Earth’s population is divided among major world religions and civilizations that have contributed to the world’s evolution since time immemorial. The Earth is a cultural mosaic and an arena of dynamic interchange between cultures and civilizations.
Dr. Hanif Hassan Ali Al Qassim
Despite the fact that the world has a long history of multi-culturalism and our individual and collective experiences have been enriched accordingly, current trends invoke concern for the future. In Europe, the re-birth of populist xenophobia and right wing extremism is a reality. Populist parties are securing electoral victories in local and national elections. They have re-emerged as an active political force gaining support from different layers of society. An Orwellian future – destructive to the ideals of an open and tolerant world society – seems to beckon. Comments such as these portend a future of intolerance: “We don’t see these people as Muslim refugees. We see them as Muslim invaders,” and “Multiculturalism is a fiction. Once you let migrants in, you can face such problem.” These inflammatory sentiments expressed by decision-makers in Central Europe mark their strong opposition to the influx of people on the move seeking refuge in Europe. The fear of the Other has emerged as the magical Silver Bullet in political campaigns worldwide. It is an antagonistic issue being used to gain power and popularity undermining authentic leadership and real concern for people.The cultural and religious heritage of societies in the Middle East and North Africa is under threat. Since 1991, the Arab region has witnessed major armed conflicts in Iraq, Yemen. Libya, Sudan and Syria. The results after 15 years of warfare: approximately 15 million people displaced and more than 500,000 casualties. And the numbers are likely to increase in view of recent military escalation in Syria. The bereavement brought to the Arab region has also paved the way for the destruction of multicultural and multi-religious societies. In Iraq, only 1/10 of the Christian population, remains in their homeland. The same pattern prevails in other Arab countries, such as Syria, where ethnic and religious minorities once constituted a significant share of the population. However, decades of foreign interference and armed conflict have left their mark on the future of the Arab region. No wonder El Roto, the famous cartoonist of El País, said: “We send them bombs, and they send us migrants”.
How can we turn this tide and identify a process that enhances the celebration of diversity?
Attaining equal citizenship rights is the best way to defuse tensions and create resilient and cohesive societies. The prerequisite for achieving it is to harness the power of all religions, creeds and value-systems to promote and enhance equal citizenship rights. All major world religions implicitly advocate equal citizenship rights. Islam, Christianity, Judaism, Buddhism, Hinduism and Confucianism teach us that no one is superior or inferior to one another. The Holy Scriptures – through their discourses promote messages of love, equality and fraternity, which underpin equal citizenship rights. The foundation for common action of all religions, creeds and value systems to advance equal citizenship rights is therefore rooted in the ideals of these great world faith systems. Unfortunately, these systems have been hijacked for destructive purposes.
Inspired by this vision, the Geneva Centre will convene a major world conference entitled “Religions, Creeds and/or Other Value Systems: Joining Forces to Enhance Equal Citizenship Rights” on 25 June 2018 at the United Nations Office at Geneva. Under the patronage of HRH Prince El Hassan bin Talal of Jordan, it will bring together leaders from the world’s main religions, whether spiritual or lay, to give further concrete substance to the ideals that unite humanity. Religious leaders, politicians and community leaders must recommit themselves to identify appropriate ways to muster support for the promotion of equal citizenship rights. Ultimately, when equal citizenship rights are achieved, and all citizens can enjoy indiscriminately the same rights, privileges and duties, they will be looked upon as equal citizens as prescribed in the holy books and as imagined by all of the Prophets.
In times when religion has been considered as a source of division, the unified voice of all religions and value systems could reverse and roll-back the spread of hatred, bigotry, racism and the fear of the Other. Greater prominence must be given to rediscover commonalities between major world religions, creeds and value systems so as to give people a sense of belonging guided by harmony, diversity, unity and equal citizenship rights. Although not a panacea, the latter is a major building block in restoring peace and breaking the cycle of fear which has reached a level not witnessed since the end of the Second World War.
The World Conference will be the ultimate starting-point to break down the walls of ignorance and prejudice that are becoming – alas! – the hallmark of modern society.
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Dr. Hanif Hassan Ali Al Qassim, Chairman of the Geneva Centre for Human Rights Advancement and Global Dialogue
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VISP VS - Aus dem Lonza-Werk in Visp VS gelangten grosse Mengen eines krebserregenden Lösungsmittels in die Umwelt. Im Juni kommt es deswegen zum Prozess.
Schon wieder ein Umweltskandal im Wallis: Jahrelang leitete Lonza das giftige Quecksilber in die Umwelt. Jetzt ist es das krebserregende 1.4-Dioxan. Lonza muss sich Ende Juni dafür vor Gericht verantworten. Laut Anklageschrift der Staatsanwaltschaft Oberwallis gelangte das Lösungsmittel zwischen 2011 und 2017 aus dem Lonza-Werk in grossen Mengen in die Umwelt.
Laut Anklage ist man sich sicher, dass nur Lonza die Quelle sein kann: Denn es ist der einzige Betrieb im Kanton Wallis, der die Chemikalie für seine Produktion einsetzt. Hunderte Tonnen des Lösungsmittels verwendet Lonza dafür in drei verschiedenen Betrieben am Standort Visp.
Einerseits gelangte der Stoff durch Versickern auf dem Werksgelände in den Boden, zu einem grösseren Teil gelangte er über das Abwasser und das Kühlwasser in die Umwelt. Weil 1.4-Dioxan durch die Abwasserreinigung nicht abgebaut werden kann, gelangte es von dort in die Rhone.
Auch Trinkwasser betroffenGemäss Anklageschrift wurde dadurch sogar Trinkwasser verseucht. Mehrere Grundwasserbrunnen bei Visp mussten stillgelegt werden, da der Grenzwert um ein Mehrfaches überschritten wurde. Doch nicht nur dort: Das Dioxan wurde im Grundwasser der gesamten Rohneebene nachgewiesen – bis im 60 Kilometer entfernten Fully VS. Dabei wurden die festgelegten Höchstwerte um ein Mehrfaches überschritten. Selbst im Genfersee konnte man den Stoff noch nachweisen – dort jedoch in einer Konzentration, die den Grenzwert nicht überschreitet.
Die Mehrheit der Gewässerverschmutzungen sei von Lonza selbst festgestellt und anschliessend den kantonalen Behörden mitgeteilt worden – das war 2012. Obwohl man um seine Gefährlichkeit wusste, waren damals noch keine fixen Grenzwerte für Dioxan vom Gesetzgeber festgelegt. Erst danach legte der Bund Grenzwerte fest. Lonza ist deshalb der Ansicht, keine Verstösse gegen das Gewässerschutzgesetz begangen zu haben – die maximale Menge Dioxan, die über das Abwasser abgegeben werden kann, sei erst 2016 festgelegt worden.
Gegen Pflichten verstossenGemäss Anklage verstiess das Chemieunternehmen jedoch gegen seine Pflichten, indem es die Behörden nie über die hohen Überschreitungen der Grenzwerte informierte. Ausserdem hätte Lonza den Behörden melden müssen, dass Dioxan auf dem Werksgelände im Boden versickerte, und den verseuchten Boden entsorgen müssen. Offenbar wusste Lonza bereits seit 2012 von den Problemen – das ganze Ausmass erfährt die Öffentlichkeit erst jetzt.
Lonza hatte eben erst seinen Quecksilber-Skandal aufgearbeitet. Zwischen 1930 und 1970 leitete der Betrieb grosse Mengen Quecksilber in die Umwelt. Böden unterhalb von Visp wurden deshalb verseucht. Lonza erklärte sich nach langwierigen Verhandlungen bereit, den grössten Teil der Sanierungskosten zu übernehmen.
Par Amira Soltane.
Le Discop, le marché africain de l’audiovisuel, a ouvert ses portes lundi à Abidjan en Côte d’Ivoire. Voulant coller aux succès du MIP TV de Cannes, le Discop est devenu un rendez-vous important et incontournable des professionnels du petit écran africain. L’objectif est de mettre en contact des acheteurs et des producteurs de contenus. Sur le continent, le potentiel est immense. Fini la domination des telenovelas d’Amérique du Sud; ces 10 dernières années, les pays francophones se sont mis à produire leur propre contenu télévisé.
C’est la quatrième fois que ce rendez-vous de Discop est lancé depuis 2015, où on propose un «marché» où s’achète et se vend du contenu fini, en cours de production ou en développement, des activités de networking, des soirées, un programme Next Gen (nouvelle génération). Il réunit plus de 700 participants de 70 pays. Si aucun représentant des chaînes privées algériennes n’est présent à Abidjan, la télévision publique, l’Eptv, est présente à travers le directeur commercial Aziz Kourta et le directeur de la chaîne francophone Canal Algérie. La mission: acheter des programmes africains abordables sur le plan financier. L’objectif est de trouver aussi des solutions pour financer une production de qualité en Afrique francophone reste un enjeu majeur. Dans ce contexte financier difficile, les producteurs sont des héros au quotidien, estiment les professionnels
Pour contourner ce problème d’argent, de plus en plus de réalisateurs se servent d’Internet comme d’un tremplin pour être repérés. Comme les Youtubeurs, les créateurs de contenus tentent de faire vendre leur produit durant ce rendez-vous audiovisuel.
Résultat: sans procédures simplifiées et avec des Etats africains dont les budgets sont souvent trop restreints pour investir dans des émissions de qualité, les sources de financement se trouvent encore trop souvent à l’étranger. TV5 Monde, par exemple, investit 1 million d’euros par an dans la production de séries africaines. Il faut dire que ce marché est plus destiné aux produits audiovisuels francophones qu’aux produits anglophones dominés par Nollywood.
Depuis quelques années, la liste des séries made in Afrique francophone n’a cessé de s’allonger. Avec plus de 2 200 chaînes de télévision qui diffusent par satellite sur le continent, l’appétit pour l’Afrique grandit. Pas étonnant quand on sait que 150 millions de personnes sur le continent parlent français et sont en attente de contenus qui leur ressemblent. Un continent qui est partagé entre la montée en puissance de la culture anglophone des pays du sud et de l’est de l’Afrique qui totalise plus de 200 millions et la montée de la culture arabe avec plus de 200 millions des pays d’Afrique du Nord, dont 100 millions sont situés en Egypte et qui demeure comme le plus important marché arabe de l’audiovisuel.
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Vor neun Jahren liess sich Tennis-Weltnummer 1 Simona Halep die Brüste verkleinern. Das Opfer habe ihr auf den Tennis-Thron geholfen, glaubt sie. Bringt es jetzt endlich auch den ersten Grand-Slam-Titel?
Eigentlich wollte sie nie mehr über ihre Brüste reden. Als Simona Halep 2014 bei den French Open erstmals einen Grand-Slam-Final erreichte, war die Rumänin das Thema leid. «Ich möchte nicht darüber reden. Das war vor langer Zeit und ist etwas sehr Persönliches», sagte sie damals über ihre Brust-Verkleinerung, die sie mit 17 Jahren vornehmen liess (von 80 E auf 80 B).
Das ist mittlerweile wieder anders. Seit Februar ist Halep nämlich die Weltnummer 1. Ihr grösstes Opfer auf dem Weg auf den Tennis-Thron? «Meine Brust-Operation war mein grösstes Opfer», sagt die 26-Jährige der «Sport Illustrated». «Als ich das gemacht habe, habe ich es nur fürs Tennis gemacht. Das war wohl sehr wichtig, um heute Nummer 1 zu sein.»
Start in Paris geglücktIn Paris will sie nun den nächsten grossen Meilenstein ihrer Karriere erreichen. Denn auch wenn sie die Tennis-Welt bei den Frauen anführt, hat Halep noch nie einen Grand Slam gewonnen. Drei Mal stand sie im Final, verlor in Paris gegen Maria Scharapowa (2014) und Jelena Ostapenko (2017) und in Australien gegen Caroline Wozniacki (2018).
«Das ist das einzige, das ich noch nie gewonnen habe. Aber ich bin da und kann es schaffen. Es war dreimal sehr eng» sagt Halep. «Es braucht vielleicht Zeit, Geduld und den Glauben, dass ich es schaffen kann.»
Der Start bei den French Open gelingt Halep nach einem Schock-Beginn. Gegen die US-Amerikanerin Alison Riske verliert sie den ersten Satz sang- und klanglos 2:6, ehe die Weltnummer 1 ihrer Favoritenrolle gerecht wird – und die zwei folgenden Durchgänge mit 6:1 für sich entscheidet. (sme)
Novak Djokovic steht am French Open in Paris in der dritten Runde. Der Serbe setzt sich gegen Jaume Munar aus Spanien durch. Nicht mehr dabei: Tomas Berdych.
Novak Djokovic (ATP 22) zieht souverän in die dritte Runde der French Open ein. Der Serbe gewinnt gegen den Qualifikanten Jaume Munar (ATP 155), der in der ersten Runde David Ferrer (ATP 41) aus dem Turnier gekegelt hat, in drei Sätzen mit 7:6, 6:4, 6:4.
Djokovic unterstreicht mit dem Sieg seine momentan gute Verfassung. Der 31-Jährige gab an den diesjährigen French Open noch keinen Satz ab. Überhaupt bleibt Djokovic gegen Grand-Slam-Qualifikanten eine Macht: In bisher 17 Partien an einem der vier grossen Turnieren weist der Djoker gegen jene eine Bilanz von 17:0 auf.
In der nächsten Runde wartet Roberto Bautista Agut (ATP 13) auf den Serben. Der Spanier konnte sich in seinem Zweitrunden-Match gegen Santiago Giraldo (ATP 315) durchsetzen.
Berdych out – Zverev und Nishikori mit MüheNicht mehr dabei in Paris ist Tomas Berdych (ATP 20). Der Tscheche verliert seine Partie gegen Jeremy Chardy (ATP 86) überraschend in fünf Sätzen mit 6:7, 6:7, 6:1, 7:5, 2:6. Den Kopf aus der Schlinge zieht dagegen Alexander Zverev (ATP 3). Der Deutsche siegt gegen Dusan Lajovic (ATP 60) erst nach fünf Sätzen mit 2:6, 7:5, 4:6, 6:1, 6:2.
Ebenfalls eine Runde weiter ist Kei Nishikori (ATP 21). Aber auch der Japaner bekundet grosse Mühe mit seinem Gegenspieler. Gegen Benoit Paire (ATP 51) muss der 28-Jährige über die volle Distanz gehen, siegt schlussendlich mit 6:3, 2:6, 4:6, 6:2, 6:3. (ome)
Par Mohamed Boufatah.
Ce texte de loi sera voté aujourd’hui.
Le projet de loi modifiant et complétant la loi n° 63- 278 du 26 juillet 1963 fixant la liste des fêtes légales a été débattu, hier, en plénière du Conseil de la nation en l’absence du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali, parti à Genève prendre part à la 107e Conférence internationale du travail (CIT). Ce dernier a été représenté au Sénat par le ministre des Relations avec le Parlement, Mahdjoub Beda. A titre de rappel, ledit texte de loi a été adopté en avril dernier à l’APN. Intervenant à la fin des débats, Mahdjoub Bedda a affirmé que «l’ouverture du champ de recherche dans les questions techniques inhérentes à cette question, sera prise en charge au titre de la loi organique portant création de l’Académie de langue amazighe qui veillera à la promotion et au développement de cette langue dans ses différentes variantes linguistiques». A travers leurs interventions, hier, en plénière, les membres du Conseil de la nation ont salué la décision du président Bouteflika de consacrer le jour de l’An amazigh fête légale. D’après ces derniers, «cette décision qui contribuera au raffermissement de l’unité nationale et à la consolidation de la stabilité, constitue un rempart contre les agendas suspects des ennemis de l’Algérie et les tentatives d’influence extérieure». Dans ce contexte, Aïcha Bakri, sénatrice du tiers présidentiel a affirmé que «cette décision qui est un acquis historique sera inscrite en lettres d’or dans l’Histoire». Aux yeux de la majorité des sénateurs, «l’histoire retiendra cet acte éclairé, venu consolider les fondements de l’identité nationale dans sa triple composante».
Les sénateurs de la majorité parlementaire et ceux du tiers présidentiel ont estimé à l’unanimité que «cette officialisation est un jalon supplémentaire et une consécration de la dimension nationale de la composante amazighe pour raffermir l’unité nationale, consolider la stabilité du pays et renforcer la cohésion entre Algériens». A ce propos, Mahmoud Kissari du Front de Libération nationale (FLN) a indiqué que «l’institution du 12 janvier, fête nationale et journée chômée et payée, revêt des dimensions juridiques, politiques et socio-culturelles», rappelant que cet acte consolidera la stabilité et l’unité nationale…». Abdelhamid Latrech, estime que «cette consécration est un raffermissement de l’unité nationale et une consolidation des fondements nationaux». D’autres intervenants ont affirmé que «l’Histoire retiendra pour le président Bouteflika cette décision qui barre la route à toute instrumentalisation de l’identité nationale». Pour Nacer Belmadani du RND, «l’initiative du président Bouteflika permettra de renforcer la Réconciliation nationale loin de l’instrumentalisation politique».
«L’introduction du jour de l’An amazigh dans le calendrier des fêtes légales a permis de trancher une des questions les plus polémiques et de la mettre à l’abri des tiraillements politiques», a estimé le sénateur Mohamed Rachedi. Un autre membre du Conseil de la nation a évoqué les aspects techniques qui devraient, selon lui, être confiés à des linguistes.
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Eine Traube wie fast keine andere. Chardonnay gedeiht auf fast allen Böden, verspricht hohe Erträge und das Ergebnis im Glas ist vielseitig kombinierbar. Egal ob Apéro oder Begleiter zum Essen, Chardonnay ist dabei! In unserem heutigen Spezialangebot haben wir für Sie die schönsten Chardonnay-Weine Nah und Fern gesucht – und für Spezialpreise gesorgt!
Chardonnay: der AlleskönnerMit über 200'000 Hektaren ist die Chardonnay-Traube eine der beliebtesten und die meist angebaute weisse Sorte weltweit. Sie ist eine robuste Traube, die auf fast jedem Boden gedeiht und sich auch dank hohen Eträgen einen Namen gemacht hat. Je nach Klima, Bodenbeschaffenheit und Herstellungsart ist der daraus gekelterte Wein entsprechend vielseitig und trägt die Handschrift von Winzer und Region. Nicht nur Weissweine selbst, die Produktion von Schaumwein profitiert ebenso von diesem Alleskönner.
Chardonnay ist aber nicht nur einer der beliebtesten Weine weltweit, die Vielseitigkeit führt auch dazu, dass man die Weine sehr gut kombinieren kann. Passend zu den kommenden heissen Sommertagen (und Nächten) haben wir für Sie Weine ausgesucht, die perfekt zum Apéro, Fisch, Fleisch, Gemüse und vielem mehr passen!
Speakers from academia, politics, civil society in Greece, as well as researchers from the most prominent centers of political analysis in Europe, will come to discuss with active and participating citizens about the problems faced by contemporary democracies in Europe and on the possibilities of activating citizens and revitalizing direct democracy.
Le film documentaire «Une journée au soleil», du journaliste et cinéaste algérien Arezki Metref, sera projeté samedi prochain à la cinémathèque d’Oran, a-t-on appris hier de la direction de cette structure culturelle. Cette oeuvre de création récente, dédiée à l’histoire de l’émigration algérienne en France, sera projetée en présence du réalisateur et plusieurs invités, a-t-on précisé de même source.
La séance permettra ainsi au public de découvrir ce nouveau documentaire dont le scénario a été coécrit par Metref avec Marie-Joëlle Rupp, fille de l’anticolonialiste Serge Michel (1922-1997). Tourné en France dans un café parisien, «Le Soleil», le film retrace l’histoire de l’émigration algérienne dans ce pays à travers plusieurs témoignages et portraits de personnes ayant fréquenté ce lieu de sociabilité et chargé d’histoire.
«Ce lieu mythique au coeur des mémoires conjuguées, immigrée, ouvrière et révolutionnaire, verra se croiser des ouvriers, intellectuels, écrivains, musiciens, commerçants», indique le synopsis. «Une journée au Soleil» a remporté, en avril dernier, le Grand-prix du documentaire à la 11ème édition du Festival Issni N’Ourgh international du
film amazigh d’Agadir (Finifa, Maroc), rappelle-t-on.
La programmation de ce film à Oran est organisée par la Cinémathèque algérienne en collaboration avec l’Institut de développement des ressources humaines (Idrh, Oran) et le Centre d’études maghrébines en Algérie (Cema, Oran), rappelle-t-on.
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