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Jazz : Concert de Ruth Koleva

Courrier des Balkans - Thu, 05/24/2018 - 00:00

L'artiste prometteuse soul and jazz Ruth Koleva fait son premier concert à Paris, dans le cadre de la tournée pour son nouvel album " Confidence. Truth". Elle a collaboré avec Ron Avant (The Free Nationals, Anderson. Paak), Jameel Bruuner (The internet), Gene Coye (Flying Lotus), l'orchestre philarmonique de Sofia pour cet album produit par Kan Wakan. C'est une selection très personnelle de chansons soul/jazz, où se mélange une variété d'émotions entre confessions mélancoliques et hymnes d'euphorie, (...)

Categories: Balkans Occidentaux

Raouya participe à la cérémonie d’ouverture officielle des Assemblées de la BAD en Corée de Sud

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:56

ALGER – Le ministre des Finances Abderrahmane Raouya, a pris part mercredi à la cérémonie d’ouverture officielle des Assemblées  annuelles du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD), ainsi qu’aux différentes réunions statutaires de cette institution qui se déroulent du 21 au 25 mai courant en Corée du Sud, a indiqué un communiqué du ministère.

La cérémonie d’ouverture de ces Assemblées s’est tenue au Centre des expositions et Conventions de la ville de Busan, sous le haut patronage du Président de la République de Corée Moon Jae-In, qui est intervenu par vidéoconférence.

Ainsi, elle a connu une importante représentation comprenant des Chefs de gouvernements du Rwanda, le vice-Premier ministre de la République de Corée, du  Président du Groupe de la Banque Mondiale M. Jim Yong KIM, de M. Akinwumi ADESINA, Président du Groupe de la BAD, des Gouverneurs, des dirigeants d’institutions internationales et régionales, des ONG, des Chefs d’entreprises, des membres des Conseils d’administration, la Direction et les membres du personnel de la BAD.

La cérémonie d’ouverture, s’en est suivie la 1ère session des Conseils des Gouverneurs à laquelle a pris part M. Raouya, dédiée à l’examen des activités de la BAD et de ses filiales, notamment l’adoption des rapports annuels des activités financières comme présentés dans le rapport du Comité Directeur mixte, dont l’Algérie a participé en tant que membre, ajoute la même source.

M. Raouya a également participé à un Atelier de haut niveau intitulé « Accélérer l’industrialisation de l’Afrique Vision, Expériences et enseignements « , auquel un accent particulier a été mis sur le partage d’expériences pour tirer profit des opportunités émergentes dans les pays nouvellement industrialisés.

Cet Atelier, s’est focalisé aussi sur les rôles complémentaires des partenariats public-privé, les opportunités d’intégration régionale, les  visions d’avenir : la 4ème Révolution industrielle (robotique, intelligence artificielle, internet, développement des villes intelligentes) ainsi que les cadres politiques et institutionnels.

Cette rencontre a permis aux participants d’Afrique et de Corée de présenter leurs visions et leurs stratégies pour l’industrialisation ainsi  que leurs idées pour surmonter les difficultés de mise en oeuvre. L’Atelier a offert à la Corée l’occasion de présenter son expérience en matière de développement économique.

Au titre de ces entretiens bilatéraux, M. Raouya  s’est entretenu avec les vice- Présidents de la BAD avec lesquels, il a discuté de la  coopération de l’institution avec l`Algérie.

Ces derniers ont exprimé leur satisfaction sur la nature et le niveau appréciable des relations avec notre pays. Ils ont par ailleurs, confirmé  leur volonté d’accompagner l’Algérie dans ses efforts de développement économique et social, note le communiqué.

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Categories: Afrique

Nach Brand eines Reisecars: San Bernardino am Donnerstag wieder offen

Blick.ch - Wed, 05/23/2018 - 23:50

SAN BERNARDINO GR/BERN - Der San-Bernardino-Tunnel auf der A13 in Graubünden wird nach dem Brand eines Reisecars am Donnerstag früh wieder für den Verkehr geöffnet. Die Tunneldecke an dem wichtigen Alpenübergang wurde provisorisch abgestützt, wie das Bundesamt für Strassen (ASTRA) mitteilte.

Der Verkehr kann ab Donnerstag um 5 Uhr wieder rollen, teilte das Astra am späten Mittwochabend mit. Das Bauwerk sei erheblich beschädigt worden, aber nach intensiven Arbeiten habe der Tunnel innert kurzer Zeit wieder entsperrt werden können.

Den Entscheid zur Wiedereröffnung durch die Behörden erfolge am Mittwochabend. Zuvor seien die neuen elektromechanischen Anlagen und die provisorische Abstützung und Stabilisierung der Zwischendecke positiv beurteilt worden.

Für weitere Inspektionsarbeiten wird der Tunnel am kommenden Freitag und Sonntag jeweils zwischen 1.00 und 3.00 Uhr gesperrt. Der Verkehr wird mit Ausnahme von schweren Fahrzeugen über den Pass umgeleitet. Die jährlichen Inspektions- und Reinigungsarbeiten finden vom 4. bis 18. Juni statt. Auch dann bleibt der Tunnel nachts gesperrt. (SDA)

Categories: Swiss News

La wilaya d’Alger compte 182 établissements hôteliers d’une capacité de 20.924 lits

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:49

ALGER – Avec l’ouverture de quatre (4) nouveaux hôtels dans la capitale en 2017, la wilaya d’Alger compte désormais 182 établissements hôteliers d’une capacité de 20.924 lits, selon le rapport des réalisations de la wilaya en 2017.

Les 182 établissements hôteliers de la capitale ont permis d’employer 11.743 personnes, indique le rapport, ajoutant que les plans de 82 autres projets d’une capacité de 16.507 lits et devant créer 9.448 emplois avaient également été approuvés en 2017.

Concernant les inspections et les contrôles effectués par les services de la Direction du commerce à travers ces établissements hôteliers pour veiller à la qualité des prestations assurées et au respect des cahiers des charges, le rapport souligne que les services concernés avaient procédé à 53 inspections en 2017 ayant donné lieu à des mesures administratives (avertissement, mise en demeure, convocation et proposition de fermeture).

Le rapport note que les 669 agences de tourisme et de voyages que compte la wilaya d’Alger avaient créé plus de 2.700 emplois au profit des jeunes.

Les 295 inspections effectuées la même année à travers ces agences de tourisme ont donné lieu à 152 mesures administratives (avertissement, mise en demeure, convocation et proposition de fermeture), selon la même source.

Quelque 17.000 artisans inscrits au Registre de l’artisanat et des métiers en 2017

Par ailleurs, le document fait état de 16.910 artisans inscrits au Registre de l’artisanat et des métiers dans la wilaya d’Alger en 2017, dont  4.008 dans l’artisanat d’art, 2.845 dans l’artisanat de production et 10.057 dans l’artisanat de services.

Les services de la direction du Commerce ont effectué 76 opérations d’inspection et de contrôle des activités artisanales soldées par  l’établissement de 18 convocations, 21 procès verbaux et 15 mises en demeure.

S’agissant des programmes de promotion d’emploi dans la wilaya, plus de 42.000 postes de travail ont été crées en 2017 dont 6.639 dans le cadre des dispositifs d’aide à l’insertion professionnelle et 945 postes à travers des dispositifs de création d’activités (ANSEJ et CNAC) outre 34.900 postes permanents et temporaires au titre d’installations classiques supervisée par les agences d’emploi.

Evoquant le bilan de la mise en œuvre du décret présidentiel 15-247 du 16 septembre 2015 accordant 20% de la commande publique au profit des porteurs de projet dans le cadre des dispositifs d’aide (ANSEJ et CNAC), le rapport a fait état de « 43 marchés octroyés, de 120 emplois crées, de 18.605 permis de travail délivrés à des employés étrangers (37.470 permis de travail valides jusqu’au 31 décembre 2017).

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Categories: Afrique

Zone industrielle de Oued Semmar : coupure d’électricité à cause d’une atteinte aux câbles souterrains

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:46

Une coupure d’alimentation électrique a été enregistrée mercredi au niveau de la zone industrielle de Oued Semmar (Alger) à cause d’une atteinte aux câbles électriques souterrains suite à des travaux engagés par un particulier, a indiqué un communiqué de la Direction de Distribution de l’électricité et du gaz (SDA) d’El Harrach. 

Une coupure d’alimentation électrique a été enregistré mercredi à 10h57 au niveau de la zone industrielle de Oued Semmar provoquée par des travaux engagés par un particulier pour le raccordement de son habitation au réseau d’assainissement, précise a ajouté la source.

Les équipes techniques de la SDA ont été dépêchées sur les lieux du sinistre pour rétablir le courant dans les plus brefs délais.

La SDA déplore, dans son communiqué, que ce genre d’atteinte sur ses ouvrages « est récurrent » et a même pris de l’ampleur par rapport aux années précédentes, causant un préjudice important pour la direction et ses clients.

La SDA d’El Harrach met à la disposition de ses clients le numéro 3303 pour de plus amples informations 24/7, conclut la même source. APS

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Categories: Afrique

Azzedine Mihoubi examine avec la DG de l’Unesco la coopération bilatérale

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:43

Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, a examiné mercredi à Paris plusieurs dossiers de coopération avec la Directrice générale de l’Unesco, Audrey Azoulay.

Au cours d’un entretien, qui s’est déroulé en présence de l’ambassadeur d’Algérie en France, Abdelkader Mesdoua, et des membres de la délégation algérienne, plusieurs dossiers de coopération bilatérale, liés notamment à la réhabilitation de la Casbah, au Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Afrique et la prochaine inscription du couscous comme patrimoine mondiale immatériel.

Evoquant le dossier de la réhabilitation de la cité antique de la Casbah, inscrite au patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco depuis 1992, le ministre a informé la DG de l’Unesco des résultats de la conférence internationale d’experts sur sa conservation et sa revitalisation, tenue à Alger en janvier dernier.

Il a proposé, dans le cadre d’une coordination entre l’Algérie et l’Unesco, la mise en place d’un mécanisme spécial dans la réalisation de ce grand projet qui fut classé site historique national en novembre 1991 et secteur sauvegardé en 2003.

La DG de l’Unesco s’est dit prête à aider l’Algérie dans ce sens en explorant la possibilité de faire contribuer des pays qui ont géré le même type de projet.

A la clôture des travaux de la conférence d’Alger, rappelle-t-on, des experts de l’Unesco avaient appelé à la création d’une « agence unique pluridisciplinaire » pour gérer le dossier de la Casbah d’Alger et réduire les lenteurs administratives et bureaucratiques qui entravent sa réhabilitation.

Cette agence, selon les mêmes experts, devrait être dotée d’un « pouvoir de décision rapide » et regrouper toutes les disciplines en une « structure unique » afin que les opérations de réhabilitation ne soient plus « fragmentaires », mais inscrites dans un plan d’ensemble cohérent.

L’autre dossier examiné, lors de l’entretien, est celui du Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel africain, dont le siège est à Alger.

Le centre, rappelle-t-on, a été approuvé pendant la 37e session de la Conférence générale de l’Unesco, et signé en février 2014, est dédié à la promotion de la sauvegarde du patrimoine vivant en Afrique par la mise en œuvre efficace de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.

A cet effet, le ministre de la Culture a exposé les différentes actions menées par l’Algérie et la mise en place des conditions nécessaires pour le démarrage du centre, sollicitant l’aide de l’Unesco notamment en matière des plans de gestion des sites classés.

Il y a lieu de signaler que dans le cadre de la mise en marche du Centre d’Alger, plusieurs actions ont été menées dont notamment l’affectation d’un siège, l’octroi d’un budget de démarrage, le recrutement, le programme d’action pour 2018 et la tenue prochaine de la première session du conseil d’administration.

La DG de l’Unesco a assuré ainsi le ministre d’une aide dans ce sens de son organisation.

Par ailleurs, Azzedine Mihoubi a informé Audrey Azoulay de l’initiative algérienne de réunir les pays du Maghreb qui se sont accordés pour proposer le couscous à l’inscription par l’Unesco comme le « produit de savoirs et de savoir-faire millénaires et la source de valeurs et de pratiques en faveur du vivre ensemble dans la paix ».

Au terme de l’entretien la DG de l’Unesco a répondu favorablement l’invitation du ministre d’effectuer une visite en Algérie.

Le ministre de la Culture est en France dans le cadre de la Semaine africaine à l’Unesco, dont il est l’invité d’honneur. APS

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Categories: Afrique

Projet de raffinerie de Hassi Messaoud : ouverture des plis des offres la semaine prochaine

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:41

L’opération d’ouverture des plis des offres pour la réalisation du projet de raffinerie de Hassi Messaoud (Ouargla) est prévue pour la semaine prochaine, a indiqué mercredi à Alger le P-dg du groupe Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour.

Une quinzaine de compagnies ont soumis des offres depuis le lancement de l’appel d’offres pour la réalisation de ce projet d’une capacité de production de 5 millions de tonnes/an, a déclaré M. Ould Kaddour en marge d’une conférence de presse sur le bilan d’activités trimestriel de Sonatrach et sa stratégie de raffinage.

« Il y a une quinzaine d’entreprises qui souhaitent réaliser la raffinerie de Hassi Messaoud, et j’espère que le choix sera fait d’ici la fin de l’année 2018 ou début 2019 », a-t-il ajouté.

Pour rappel, les capacités de production des carburants seront augmentées à la faveur de l’extension et du réaménagement de la raffinerie de Baraki (Alger) qui devrait entrer en service en octobre 2018 et de la réalisation de deux nouvelles raffineries à Hassi Messaoud (Ouargla) et à Tiaret lesquelles entreront en service en 2021.

Avec la mise en oeuvre de ces raffineries, les capacités nationales de raffinage de pétrole devraient atteindre 40 millions de tonnes/an.

Ce programme permettra de répondre à la hausse de la demande nationale de produits pétroliers, sachant que celle en carburants a augmenté de 7% en moyenne annuelle au cours des 10 dernières années.

Cette importante progression s’explique par l’augmentation de la taille du parc automobile national, l’amélioration du niveau de vie et les prix bas des carburants. APS

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Categories: Afrique

Wie wir heute investieren, so leben wir morgen: So erhalten Elektroautos unseren Wohlstand

Blick.ch - Wed, 05/23/2018 - 23:36

Automobilität ermöglicht uns ein bequemes und abwechslungsreiches Leben, ist jedoch die Hauptverursacherin der Luftverschmutzung, die unser Klima verändert und unseren Wohlstand bedroht. Elektromobilität verspricht einen Ausweg aus dem Dilemma.

Von Norbert Rücker und Anthony Patt*

Seit ihrer Erfindung vor mehr als 100 Jahren haben Autos wesentlich zur Entwicklung unserer Gesellschaft beigetragen – ohne Autos gäbe es unsere heutige moderne Welt nicht.

Sie befördern uns zur Arbeit, machen uns produktiv und sorgen somit für Wohlstand. Sie bringen uns zu Treffen mit Freunden, ins Theater oder an den Urlaubsort und bereichern unser Leben. Sie versorgen uns auch mit verschiedensten Gütern. Autos sind definitiv eine der wichtigsten Errungenschaften unserer industrialisierten Welt. Entsprechend können wir uns eine Welt ohne Autos gar nicht vorstellen.

Ausstieg aus fossiler Energie

Autos sind zugleich auch unser grösstes Problem. Die Energie, die sie antreibt, entstammt dem Verbrennen von fossilen Rohstoffen wie Erdöl und Erdgas. Autos sind die wesentliche Quelle für die Treibhausgase, die unser Klima nachhaltig geschädigt und verändert haben. Die Folgen sind heute schon stark spürbar.

Noch bleibt uns die Möglichkeit, den Klimawandel genügend einzudämmen, ohne dass unsere Umwelt für unsere Kinder und Kindeskinder lebensbedrohend wird. Dazu braucht es einen schrittweisen, aber letztlich totalen Ausstieg aus der fossilen Energie.

Nun stehen wir vor der grossen Frage: Wie? Der Knackpunkt ist die Art und Weise der Energiegewinnung. Elektroautos versprechen Lösungen für eine saubere Zukunft, wenn sie mit Energie aus erneuerbaren Quellen hergestellt und betrieben werden. Der Unterhalt eines Elektroautos mit Bezug von Strom aus Solar-, Wind- oder Wasserkraft kostet bereits heute weniger als der eines Diesel- oder Benzinfahrzeugs. Das Fahr­erlebnis von Elektroautos ist faszinierend.

Batte­rien werden immer leistungsfähiger, Reichweiten somit grösser. Auch wenn Batterien einen nicht zu vernachlässigenden ökologischen Fussabdruck haben, schneiden Elektroautos bezüglich Klima-, Abgas- und Lärmbelastung schon heute im Schnitt besser ab als vergleichbare Autos mit Verbrennungsmotor.

Mit leistungsfähigeren Batterien und einer immer saubereren Stromversorgung ist der Vorteil in Zukunft klar auf Seiten des Elektroautos. Ab dem Punkt, an dem wir unseren ganzen Energiekonsum mit erneuerbaren Quellen versorgen, fahren Elektroautos emissionsfrei.

 

Es liegt an uns

Der Markt für Elektroautos wächst schnell, bereits um fast 40 Prozent jährlich. Wollen wir den Klimawandel aufhalten, muss dieses Wachstum noch weiter gehen. Bereits in 15 Jahren könnten alle Neuwagen elektrisch angetrieben sein, in 30 Jahren wäre der Verbrennungsmotor nur noch ein Nischenprodukt.

 

Der resultierende Strombedarf hält sich in Grenzen und könnte durch den Ausbau erneuerbarer Energien gedeckt werden. Wie schnell die Wende gelingt, entscheiden unsere Nachfrage und unsere Investitionen. Dafür braucht es den Willen zum Wandel – denn wir müssen die Infrastrukturen ersetzen, die wir mit erheblichem Aufwand über ein Jahrhundert lang aufgebaut haben.

Politik schafft das Umfeld, in welchem Unternehmen über Investitionen und wir über unseren Konsum die Entscheidungen treffen, die die Energiewende voranbringen. Damit hätten wir die grösste Herausforderung der Menschheit gelöst. Es liegt an uns: Wie wir heute konsumieren und investieren, so leben wir morgen.

* Norbert Rücker ist Head of Macro & Commodities Research Julius Bär, Prof. Anthony Patt leitet die Forschungsgruppe Klimaschutz und -anpassung der ETH Zürich.

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Légère baisse des quantités pétrolières exportées au 1er trimestre 2018

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:36

La compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach a enregistré une baisse de 3% du volume (quantité) des exportations de pétrole au 1er trimestre 2018 par rapport au même trimestre 2017, a indiqué mercredi à Alger le Directeur exécutif stratégie, planification et économie auprès de Sonatrach, Farid Ghezali.

Ce volume est passé de 28 millions de tonnes équivalent pétrole (mtep) au 1er trimestre 2017 à 27,2 mtep au 1er trimestre 2018, a précisé M. Ghezali lors d’une conférence de presse sur le bilan trimestriel des activités de Sonatrach et sa stratégie de raffinage.

Ce léger recul s’explique essentiellement par l’introduction de l’opération de processing à l’international qui consiste pour Sonatrach à louer les équipements d’un raffineur dans un autre pays pour procéder aux opérations de raffinage, permettant à la compagnie nationale à récupérer les carburants obtenus à un prix moins cher.

Selon M. Ghezali, une quantité de 400.000 tonnes a été raffinée à l’extérieur durant les trois premiers mois de 2018, ce qui explique la baisse de la quantité exportée en pétrole.

Concernant le chiffre d’affaires à l’exportation des hydrocarbures, le même responsable a fait savoir qu’il s’était établi à 9,8 milliards de  dollars au 1er trimestre 2018 contre 8,4 milliards de dollars durant la même période de 2017, soit une hausse de 17%.

Cette hausse du chiffre d’affaires à l’exportation a été induite par l’augmentation des cours de pétrole de 15 dollars, en passant de 53 dollars à 68 dollars le baril, a-t-il relevé.

Pour sa part, le Directeur exécutif finances auprès de Sonatrach , Mohamed Karoubi, a souligné que ce chiffre d’affaire aurait pu être plus important s’il n’y avait pas l’opération de raffinage à l’étranger qui a permis de réduire les importations des carburants.

Pour rappel, la facture d’importation des biens énergétiques et lubrifiants (carburants) a commencé à connaître une tendance à la baisse en s’établissant à 543 millions usd sur les 4 premiers mois de 2018 contre 613 millions usd à la même période de 2017 (-11,42%).

En ce concerne le chiffre d’affaires réalisé par Sonatrach sur le marché national, M. Karoubi a indiqué qu’il avait été évalué à 82 milliards de dinars (mds DA) au 1er trimestre 2018 contre 77 mds DA sur la même période de l’année précédente, soit une hausse de 6%.

Ainsi, Sonatrach a versé 754 mds DA au Trésor public au titre de la fiscalité pétrolière entre janvier et fin mars 2018, en évolution de 40% par rapport à la même période de 2017.

Quant à la facture des importations des carburants, M. Karoubi a signalé que sur le mois de janvier 2018, elle était passée à six (6) mds DA contre 22 mds DA en janvier 2017, soit une baisse de 73%, grâce à l’introduction du processing.

Par ailleurs, en terme de la production primaire totale, Sonatrach a réalisé 49,6 mtep de janvier à fin mars 2018 contre 50 mtep au premier trimestre 2017, soit une baisse de 1%.

Cette baisse est due au respect de l’accord de réduction de la production de l’Opep et à la conformité au programme de maintenance réglementaire des installations (un mois d’arrêt à Hassi Berkine), a expliqué M. Ghezali

S’agissant de la production du gaz naturel, elle a été de 34,6 milliards de m3 au 1er trimestre 2018 contre 34,4 milliards de m3 à la même période de 2017, soit une hausse de 1% entre les deux périodes de comparaison et de 103% par rapport aux objectifs fixés. APS

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Categories: Afrique

Swiss-Olympic-Präsident will Sion 2026: «Ein Nein zu Olympia ist egoistisch»

Blick.ch - Wed, 05/23/2018 - 23:35

LAUSANNE - Er zittert doppelt: Swiss-Olympic-Präsident Jürg Stahl kämpft aus sportlichen Gründen für die Olympia-Kandidatur und fürs Geldspielgesetz. «Der 10. Juni ist ein Schicksalstag für den Schweizer Sport», sagt der SVP-Nationalrat – und kündigt seinen Rücktritt aus der Politik an.

Lausanne ist das Herz der olympischen Bewegung. Oberhalb des Genfersees befindet sich der Hauptsitz des Internationalen Olympischen Komitees (IOC). Und das Olympische Museum lockt Touristen aus aller Welt an. 

Hier empfängt der Präsident von Swiss-Olympic, SVP-Nationalrat Jürg Stahl (50), BLICK zum Gespräch über die Olympia-Kandidatur Sion 2026 und das Geldspielgesetz. Beide Vorlagen tangieren den Sport. Und beiden droht der Absturz. «Der 10. Juni ist ein Schicksalstag für den Schweizer Sport», sagt er.

BLICK: Am 10. Juni stimmen die Walliser über die Olympia-Kandidatur 2026 ab. Und die Schweiz über das Geldspielgesetz. Welche Abstimmung ist Ihnen als Swiss-Olympic-Präsident wichtiger?
Stahl: Ein Nein zum Geldspielgesetz untergräbt das Fundament unseres Sports ganz grundsätzlich. Denn unser Sport hat von den vielen kleinen und unbürokratischen Beiträgen des Lotteriefonds stark profitiert. Das wäre in Frage gestellt. Olympia hingegen ist ein Projekt der Leidenschaft. Die beiden Vorlagen sind deshalb nicht wirklich vergleichbar. 

Ein Nein zum Geldspielgesetz würde erst mal gar nichts ändern. Wieso sagen Sie, das Fundament des Sports würde untergraben?
Unser Sport-Toto-System und der Einsatz der Lotteriegelder für den Sport haben in den letzten Jahrzehnten sehr gut funktioniert. Nicht nur, aber auch deshalb ist der Schweizer Sport, wo er ist: Am letzten Wochenende feierten wir Silber an der Eishockey-WM und Weltcup-Siege unserer Mountainbiker Nino Schurter und Jolanda Neff. Wir haben eine starke Fussball-Nati und den weltbesten Tennisspieler. Solche Erfolge wären bei einem Nein zum Geldspielgesetz künftig in Gefahr. 

Sie übertreiben!
Nein, das Risiko ist real, weil in der Sportförderung viel Geld fehlen würde. Ein Nein wäre ein Schlag für all jene, die sich ehrenamtlich für den Sport einsetzen. Es wäre ein Nein zum Schweizer Sport.

Nochmals: Ein Nein zum Geldspielgesetz würde vorerst den Status quo zementieren.
Der Online-Geldspielmarkt wächst, und bei einem Nein würden die illegalen Offshore-Online-Geldspielseiten weiterhin unkontrolliert Marktanteile gewinnen. Dies ohne Schutz vor Spielsucht, und es würden wie bisher über 250 Millionen Franken ins Ausland abfliessen. Jedes Jahr, Tendenz steigend.

Mit einem neuen, besseren Gesetz könnte man doch auch die ausländischen Glücksspielanbieter konzessionieren. Und damit sogar noch mehr Geld für den Sport herausholen.
Das ist eine waghalsige Aussage. Ein besseres Gesetz in den nächsten paar Jahren ist illusorisch. Die internationalen Wettkonzerne mit Sitz auf Malta oder Gibraltar mit einem Schweizer Gesetz regulieren zu wollen, ist nicht realistisch. Deshalb geben auch andere Länder, wie etwa Dänemark, nur selektiv Konzessionen und schützen diese mit Netzsperren.

Ist in einem liberalen Land wie der Schweiz dazu tatsächlich Internetzensur via Netzsperre nötig?
Das Internet würde nicht zensuriert! Die Schweizer Konsumenten werden vor den Internet-Geldspielseiten geschützt, die illegal auf Schweizer Kunden zielen. Der Zugriff auf diese Webseiten wird auf eine Stopp-Site umgeleitet. Es gibt in unserem täglichen Leben diverse Einschränkungen – sinnvollere und weniger sinnvolle. Netzsperren beim Glücksspiel sind eine kleine Einschränkung. 

Da müssen Sie auch Ihre Partei kritisieren. In der SVP ist der Widerstand gegen das Geldspielgesetz wie auch gegen die Olympia-Kandidatur gross. Hat Ihre Partei kein Herz für den Sport?
Die SVP ist nicht unsportlich. Beim Geldspielgesetz hat sie wenigstens Stimmfreigabe beschlossen. Und bei Olympia muss man genau hinschauen. Die SVP Oberwallis ist für die Spiele und die SVP Unterwallis hat weiterhin an der Abwahl von Oskar Freysinger zu beissen und bekämpft nun alle Regierungsanliegen. 

Bei Sion 2026 ist die Kritik doch berechtigt: Wieso soll die Schweiz Milliarden für einen Spiel-und-Spass-Event ausgeben?
Es geht nicht ums Geld, sondern um Emotionen. Weil Olympische Spiele etwas in einer Gesellschaft auslösen, das nicht monetär gefasst werden kann. In der heutigen Gesellschaft kommt das zu kurz. Wir werden immer effizienter und immer digitaler. Das analoge Messen Mann gegen Mann oder Frau gegen Frau müsste aber ebenso ein wichtiges Element in unserer Gesellschaft sein.

Nur: die Schweiz brennt nicht darauf, solche Spiele mit einem Mega-Event zu organisieren. Selbst in den Austragungsorten ist die Skepsis riesig, wie Umfragen zeigen.
Es ist doch egoistisch, dass wir Olympische Spiele am TV verfolgen, uns über Erfolge freuen, aber nie Gastgeber sein wollen. 

Die Schweiz möchte schlicht keine Spiele organisieren, die vom Internationalen Olympischen Komitee diktiert werden. Und das Risiko eines Schuldenbergs tragen.
Wir haben die Zusicherung, dass kleinere Spiele möglich sind. Und können das jetzt beweisen. Sonst finden die Spiele sonstwo statt und wir können einzig die Vergabe kritisieren. Aber klar: Wenn man Olympische Spiele organisieren will, braucht es gewisse internationale Regeln, die vorgegeben sind. Wir können doch nicht einfach einen kleinen lustigen Anlass im Februar 2026 vorschlagen. Wir möchten mit bescheidenen Spielen die grosse Olympia-Tradition weiterführen. 

Nicht bescheiden ist Ihr Lohn. Als OK-Präsident von Sion 2026 erhalten Sie für das Teilzeitpensum einen Jahreslohn von 120'000 Franken. Weitere 120'000 als Swiss-Olympic-Präsident und nochmals so viel als Nationalrat.
Es sind anständige, aber marktübliche Löhne. Man kann das als mittelmässig bescheiden betrachten. Für das OK-Präsidium habe ich auf einen guten Job bei der Groupe Mutuel verzichtet, der mir finanziell mehr eingebracht hätte.

Falls die Walliser am 10. Juni Ja sagen und die Olympia-Reise weitergeht, beenden Sie dann Ihre Nationalratskarriere?
Im September 2019 würden die Spiele vergeben. Die internationale Phase der Kandidatur würde genau auf den Wahlkampf 2019 fallen. Ich kann mir nicht vorstellen, dass ich das parallel machen könnte. Das wäre schwierig für die Partei. Deshalb würde ich in diesem Fall vorzeitig zurücktreten.

Eine erneute Nationalratskandidatur 2019 ist aber auch bei einem Olympia-Nein vom Tisch?
Ja, 20 Jahre sind genug. Das Nationalratspräsidium im letzten Jahr war unbestritten der Höhepunkt meiner Karriere. Deshalb werde ich mich in absehbarer Zeit auf meine Familie und den Sport konzentrieren. Das ist definitiv meine letzte Legislatur.

 

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Sahel : l’ONU appelle à investir davantage dans une meilleure gouvernance et des opportunités pour la jeunesse

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Wed, 05/23/2018 - 23:34
Une responsable des Nations Unies a appelé jeudi la communauté internationale à investir davantage dans une meilleure gouvernance, des services sociaux et des opportunités pour la jeunesse dans la région du Sahel pour répondre aux défis en termes de paix et de sécurité.
Categories: Afrique

Teilzeit-Jobs für Väter: So scheinheilig ist der Bund

Blick.ch - Wed, 05/23/2018 - 23:34

BERN - Frischgebackene Väter haben in der Bundesverwaltung Anrecht darauf, ihr Pensum um 20 Prozent zu reduzieren. Doch das ist Theorie. In Tat und Wahrheit wehren sich die Chefs massiv dagegen. Der Frust bei den Papis, die sich gern einen Tag in der Woche ums Baby kümmern möchten, ist riesig.

Der Bund als Vorzeige-Arbeitgeber? Von wegen! Nicht nur der Chef der Parlamentsdienste, der wegen seines autoritären Auftretens äusserst unbeliebt ist, wie BLICK publik machte, sorgt für Ärger bei Bundesangestellten. Auch bei frischgebackenen Vätern ist der Bund unbeliebt.

Dabei wäre das Gesetz papifreundlich: Mitarbeiter der Bundesverwaltung haben das Recht, nach der Geburt oder der Adoption eines Kindes ihren Beschäftigungsgrad um 20 Prozent zu senken.

Nur schwer durchsetzbar

Der Grad der Beschäftigung darf dabei nicht unter 60 Prozent fallen. Zudem muss der Anspruch auf eine Pensenreduktion innerhalb eines Jahres nach Geburt oder Adoption des Kindes geltend gemacht werden.

So steht es in Artikel 60a der Bundespersonalverordnung – eigentlich. In der Praxis sieht es anders aus. BLICK weiss von mehreren Fällen bei diversen Bundesämtern, bei denen werdende Väter bei ihren direkten Vorgesetzten abgeblitzt sind oder erst nach zähen Verhandlungen eine Reduktion durchsetzen konnten. Die Rede ist vom «Wegwerfartikel 60a».

«In unserem Staatssekretariat werden die Männer klar benachteiligt. Bei Frauen ist es nie ein Problem, wegen eines Kindes auf Teilzeit zu gehen», sagt eine Verwaltungsangestellte, die ihren Namen nicht nennen will, da sie sonst womöglich mit Konsequenzen zu rechnen hätte.

Man muckt lieber nicht auf, sondern nimmt hin, dass Väter kaum reduzieren können. Das zeigen auch die Zahlen: Während beim Bund mehr als die Hälfte der Frauen Teilzeit arbeitet, sind es bei den Männern keine 12 Prozent. Und es wird nicht besser: 2017 haben in der Bundesverwaltung 194 Angestellte ihr Pensum wegen eines Kindes gesenkt. 70 Prozent davon waren Frauen – bloss 30 Prozent Männer.

Karriere steht auf dem Spiel

Der Grund, weshalb die Chefs klemmen, sei immer derselbe. «Sie fürchten, Stellenprozente in der Abteilung zu verlieren und diese nie wieder zurückzubekommen», erklärt ein Vater, der vor einiger Zeit selbst reduzieren wollte und auf solch grossen Widerstand stiess, dass er es am Schluss bleiben liess. Auch er will seinen Namen nicht in der Zeitung lesen, da er sich seine Karriere nicht verbauen wolle.

Das Eidgenössische Personalamt (EPA) betont: Wenn Mitarbeiter die gesetzlichen Bedingungen erfüllen, «dann muss die Pensumsreduktion gewährt werden». Es rät den Vätern, auf das Anrecht zu verweisen. «Nötigenfalls müssen sie an die nächsthöhere Instanz gelangen», so Sprecher Anand Jagtap.

Einfach ist das nicht. Manche Chefs mogeln sich gar durch: Den Arbeitnehmern werden statt der 20-Prozent-Reduktion 10 Prozent zugestanden. Der Arbeitsaufwand nehme aber nicht ab, berichten Betroffene. Die Arbeit sei nur mit Überstunden zu schaffen. «Das Einzige, was abnimmt, ist der Monatslohn», sagt ein Vater zu BLICK, der eine andere Lösung wählt: Er wechselt in die Privatwirtschaft.

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La Palestine adhère à deux nouvelles agences de l’ONU

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:33

La Palestine a adhéré à deux nouvelles agences de l’ONU, a déclaré mercredi au Conseil de sécurité le coordonnateur des Nations unies pour le Proche-Orient, Nickolay Mladenov.

« Le 15 mai, la Palestine a adhéré à la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED) » et « à l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) », a-t-il précisé lors d’une réunion mensuelle du Conseil de sécurité sur le Proche-Orient.

Le responsable de l’ONU a clarifié à l’occasion, au sujet d’El-Qods, la position des Nations unies disant qu’EL-Qods « fait partie du statut final qui doit être résolu via des négociations entre les parties, sur la base des résolutions de l’ONU », insistant sur le fait qu’au vu de son importance « pour les juifs, chrétiens et musulmans »,  El-Qods est une question « hautement sensible et importante » pour des millions de croyants dans le monde.

« En conséquence, garder le statu quo pour les lieux saints reste critique pour la paix et la stabilité » a-t-il enchainé.

Basée à Genève, la CNUCED est un organe subsidiaire de l’Assemblée générale des Nations unies ayant pour objectif d’intégrer les pays en développement dans l’économie mondiale. Cette instance intergouvernementale facilite le dialogue et les négociations et fournit des conseils concernant les questions de développement.

Quant à l’ONUDI,agence spécialisée de l’ONU, elle est chargée de promouvoir le développement industriel pour la réduction de la pauvreté et le développement durable à l’échelle internationale.

Ainsi donc, l’autorité palestinienne ne cesse de militer pour une large reconnaissance par des institutions internationales.

Déjà membre de l’Unesco depuis 2011, La Palestine dispose d’un statut d’Etat observateur non-membre auprès de l’ONU depuis 2012 et a déjà rejoint plus de 50 organisations internationales et accords, selon le ministère palestinien des Affaires étrangères dont la Cour pénale internationale (CPI) et l’Unesco.

Après l’adhésion palestinienne à cette dernière agence, les Etats-Unis avaient interrompu leur contribution annuelle à l’Unesco dont ils se sont retirés en 2017.

S’ajoute à cela, l’obtention en septembre du statut de membre à part entière de l’organisation de coopération policière internationale (Interpol).

Mercredi, la Palestine a déposé son instrument d’adhésion à la Convention sur les armes chimiques (OIAC) basée à La Haye. Cette adhésion avait été au préalable annoncée aux Pays-Bas par un communiqué mercredi de l’OIAC, précisant que la Palestine en était devenue « le 193e Etat signataire ». APS

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Bürki über Favre, Hitz und den WM-Flatterball: «Ich bleibe die Nummer 1 in Dortmund»

Blick.ch - Wed, 05/23/2018 - 23:32

Nati-Goalie Roman Bürki spricht im WM-Camp erstmals über die Bedrohung Marwin Hitz. Und wie man sich als Nummer 2 fühlt.

Für Roman Bürki (27) wird im Leben gerade einiges neu: Mit Lucien Favre bekommt er in Dortmund einen neuen Trainer, mit dem Schweizer Marwin Hitz versucht ein alter Bekannter aus der Nati, ihm im Klub die Nummer 1 streitig zu machen. Und vor der WM in Russland muss sich Bürki an den neuen Flatterball gewöhnen.

In der Nati ist die Rollenverteilung seit dem Amtsantritt von Vladimir Petkovic 2014 klar: Yann Sommer ist die Nr. 1, Bürki die 2 und bis vor wenigen Tagen Marwin Hitz die Nummer 3.

Wie hat Bürki vom Nati-Rücktritt von Hitz erfahren? «Er hat mir geschrieben, bevor er seine Entscheidung öffentlich machte.» Hitz (30) will sich auf seinen neuen Job im Bürki-Klub vorbereiten und während der WM seine Familie geniessen.

Klar ist: Hitz wird in Dortmund vor WM-Fahrer Bürki ins Training einsteigen. Ein Vorteil. Wie sieht Bürki das Duell mit Hitz in der neuen Saison beim BVB? «Duellieren ist das falsche Wort. Die Ausgangslage ist klar, das haben auch die Verantwortlichen so gesagt: Ich bin die Nummer 1, er hat seine Rolle als Backup. Aber klar: Ich muss meine Leistung bringen.»

Wie es sich als Nummer 2 anfühlt, bekommt Bürki in der Nati in den nächsten Wochen zu genüge zu spüren. «Beim Spiel schaue ich, dass der, der spielt, sich gut fühlt. Aber ehrlich gesagt, würde ich lieber selbst spielen. Wenn du drei Wochen zusammen bist und immer nur trainieren darfst, dann wachst du nicht immer gut gelaunt auf. Aber: Ich unterstütze den, der spielt.»

«Ich habe bisher nur Positives gehört»

Und Favre? Bürki: «Ich freue mich auf ihn, habe bisher nur Positives gehört. Bei allen Klubs, bei denen er bisher arbeitete, hatte er Erfolg. Ich hoffe, das ist auch mit uns möglich.» Lange war unklar, ob Bürki beim Camp am Zürichsee mitmacht. Er wollte als Botschafter von «Terre des hommes» Waisenkinder in Rumänien besuchen, der BVB hätte ihn lieber bei der Tournee in Los Angeles dabeigehabt.

Der Kompromiss heisst Nati. So kann sich Bürki im Camp an die neuen WM-Bälle gewöhnen. Flattern sie? «Ja, sie flattern. Aber sie haben ein gutes Gewicht. Wenn man den Ball mit Zug spielt, fliegt er weit.»

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Guelma : remise de près de 6.000 têtes de bétail à de jeunes éleveurs des régions rurales

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:32

Un cheptel de 5.950 ovins, bovins et caprins a été attribué ces dernières années à des jeunes éleveurs et agriculteurs des régions rurales de la wilaya de Guelma, dans le cadre du programme financé par le Fonds  national de développement rural, a-t-on appris auprès de la Direction de la conservation des forêts.

Ce nombre « considérable » de têtes de bétail a été distribué au profit de 669 jeunes porteurs de projets dans différentes filières d’élevage et ce dans le cadre des opérations enregistrées en 2010, 2012 et 2013, a indiqué le chef de service de la protection de la faune et de la flore, Abdelghani  Kerboua.

Dix-neuf (19) jeunes agriculteurs ont bénéficié de ruches peuplées pour lancer leurs activités d’apiculture, a-t-il dit, détaillant que 15 ruches ont été attribuées par un jeune apiculteur.

Le plus grand nombre de cheptel remis aux bénéficiaires est celui des ovins, a ajouté le même responsable, précisant que 498 éleveurs dans les zones rurales ont bénéficié de 5478 moutons, soit 10 brebis et un bélier par éleveur.

Dans le cadre du même programme, 450 vaches de race locale ont été remises à 150 éleveurs, alors que vingt (20) chèvres et deux (2) boucs ont été donnés à deux éleveurs de caprins.

Les porteurs de projets bénéficiaires de ces programmes sont répartis sur 23 communes de la wilaya, selon M. Kerboua, soulignant que ce programme connait « un engouement » de la part des habitants des zones rurales.

Le programme, financé par le Fonds national de développement rural, permettra, de promouvoir les régions enclavées, de relancer des activités liées à l’agriculture et d’améliorer le niveau de vie des citoyens des ces localités. APS

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Les failles du CloudAct

EGEABLOG - Wed, 05/23/2018 - 23:29

En décembre 2017, Amazon AWS annonçait l’ouverture - promise de longue date - de sa “région de Paris” s’appuyant sur 3 centres de données. En Mars 2018, Microsoft suivait, ouvrant deux nouvelles régions Azure en France, à Paris et à Marseille. Leur objectif, au delà des besoins techniques de latence et de haute-disponibilité (assurés pour la très grande majorité de leurs clients par leurs régions européennes), était d’offrir aux entreprises françaises la possibilité d’héberger leurs données sur le territoire national, nouvelle gouvernance oblige, selon le mot d’ordre de la Souveraineté numérique.

(source)

Cependant, le CloudAct (clarifying lawful overseas use of data act), adopté dans la nuit en mars par le Congrès et le gouvernement américains, organise le cadre de la communication de données personnelles hébergées par les fournisseurs de cloud américains. Selon cette loi, les fournisseurs d’infonuagiques (cloud providers) doivent mettre à disposition du gouvernement américain, sur sa demande, les données de leurs clients même si celles-ci sont hébergées à l’extérieur des États-unis, et ce sans avertir les clients. Nuance, cependant, les cloud-providers disposent de 14 jours pour 1) rejeter la demande si le client n’est pas américain et ne réside pas sur le sol américain, et 2) pour contacter le pays hébergeant les données afin d’apporter la preuve que fournir lesdites données enfreindrait la loi du pays d’accueil de celles-ci. Cela étant, cette “protection” est légère et le Cloudact ressemble à une nouvelle forme d’extraterritorialité, conformément à ce que l’on observe par ailleurs avec le régime des sanctions : l’actualité géopolitique nous l’a rappelé avec le retrait américain de l’accord nucléaire avec l’Iran.

Ainsi, nous serions en présence d’une nouvelle manifestation de cette puissance américaine qui édit son droit et le ferait valoir urbi et orbi.

Ce que peu observent pourtant, c’est que le CloudAct met un frein à la stratégie des cloud-providers américains vers la France (et au-delà, l’Europe), puisqu’ils ne peuvent plus répondre aux exigences de leurs clients en matière de gouvernance et de souveraineté de leurs données. Leurs centres de données, même s’ils sont établis en France, ne garantissent plus que ces données resteront en France quoiqu’il advienne. Et les grands comptes français, déjà frileuses à l’idée du cloud, vont être d’autant plus difficiles à convaincre. Les annonces rassurantes d’AWS ou d’Azure ne tarderont probablement pas, assurant respecter la législation du pays d’accueil et prenant à cœur la confidentialité des données de leurs clients. Cela risque d’être insuffisant pour convaincre leurs clients. Aujourd’hui en tout cas, les collaborateurs des grands fournisseurs américains ne savent pas encore quoi très bien répondre et devront probablement botter en touche en attendant les premières applications du texte.

Cependant, le CloudAct est un règlement qui n’a pas encore été appliqué. A l’inverse du RGDP européen, qui a été pensé de longue date et qui a accompagné les entreprises dans la transformation qu’il nécessite en leur accordant un délai de préparation, il faudra attendre les premières jurisprudences pour savoir comment le règlement américain sera appliqué. Ses failles potentielles (notamment la nécessité de respecter la loi du pays hébergeant les données) peuvent amener à rendre le CloudAct impuissant et inutilisable : il est en tout cas parfaitement dissuasif et contraire probablement à ce que recherchaient les autorités de Washington. Il est toutefois trop tôt pour le dire, et il est peu probable que les sociétés françaises veuillent tenter le pari, surtout en ces temps de sanction transatlantique.

Il y a pourtant un gagnant dans toute cette affaire : OVH. Le fournisseur français s’est en effet efforcé de n’installer aucun de ses centres de données sur le territoire américain, allant jusqu’à créer une entité différente (OVH US) pour attaquer le marché états-unien. “C’est par le biais de cette entité et uniquement qu’il sera possible de commander un service OVH hébergé aux États-Unis. Ce cloisonnement des données est clair et permanent” affirme l’hébergeur sur son site. On peut retrouver une stratégie similaire chez Microsoft qui, avec son offre Office 365 “acloud”, offrent toutes les fonctionnalités d’Office 365, mais sans OneDrive, le cloud de Microsoft.

Aujourd’hui, OVH est le seul fournisseur cloud à être hors d’atteinte du CloudAct, ce qui offre à la France d’héberger un des “Paradis fiscaux de la données”, un Data Paradise, hors de portée des États-Unis. A terme, on pourrait même voir les acteurs européens s’y déplacer, préférant rester sous le giron protecteur de l’UE plutôt que d’être soumis à une justice américaine plus instable. La volonté d’indépendance des groupes français par rapport aux États-Unis est une réalité que les experts français du cloud rencontrent depuis plusieurs années. Alors que l’adoption du cloud s’accélère, c’est souvent des solutions hybrides que les groupes choisissent. Et si OVH leur offre les avantages de souplesse et de haute-disponibilités des fournisseurs américains tout en leur assurant l’indépendance d’hébergement de leurs données, nul doute qu’ils préféreront ce fournisseur.

Quant à OVH, si Octave Klaba a été visionnaire, il ne lui reste qu’à s’assurer d’offrir le même potentiel d’agilité sur les services associés. Le DevOps n’attend pas !

Paul-Antoine Kempf

NB : Egea est heureux d'accueillir ce billet d'actualité, par un bon expert du sujet (K junior!) : merci à lui. OK

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Temmar prendra part aux travaux du dialogue de haut niveau sur les villes à Strasbourg

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:26

Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar prendra part, jeudi et vendredi prochains au siège du Parlement européen à Strasbourg (France) aux travaux du dialogue de haut niveau sur les villes, a indiqué, mercredi, un communiqué du ministère.

Organisé en préparation au Forum politique de haut niveau (FPHN), prévu du 9 au 18 juillet prochain à New York, ce dialogue intervient à l’invitation de la nouvelle directrice exécutive du programme des Nations unies pour les établissements humains (PNEH) et le maire de la ville de Strasbourg, coprésident du bureau exécutif des Cités et gouvernements locaux unis (CGLU), ajoute la même source.

Cette rencontre importante a pour objectif de réaliser la concordance entre les objectifs internationaux et la mise en oeuvre du Nouvel agenda urbain (NAU) et les objectifs du développement durable, notamment l’objectif N 11, en l’occurrence « la construction de villes sûres, inclusives et durables ».

Cette rencontre connaitra la participation forte et diverse de plusieurs pays et la présentation des expériences des pays représentés afin d’enrichir les mesures prises par les Etats membres dans le cadre la problématique posée par le NAU pour une vision intégrée du développement durable des villes, ajoute la même source. APS

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Mostaganem : Démantèlement d’un groupe de soutien aux terroristes

Algérie 360 - Wed, 05/23/2018 - 23:17
Hier, les éléments de la police judiciaire relevant de la sûreté de la wilaya de Mostaganem ont procédé au démantèlement d’un groupe de soutien aux terroristes composé de 9 personnes, âgés de 16 à 37 ans, dont un mineur a-t-on appris d’une source médiatique. Ce réseau serait impliqué dans plusieurs opérations de propagande à travers la région, ajoute la même source. Cette interpellation est intervenue suite à des informations parvenues aux services de la PJ, portant sur l’activité illicite d’un groupe au niveau des quartiers de la ville. Après une enquête et des investigations, les éléments de la PJ, ont poursuivi les suspects qui ont été interpellés. Après leur audition, il s’avère que ce groupe fait partie d’une cellule de soutien au groupe Daech et qu’il se préparer à mener des attaques terroristes contre les sièges de la sûreté de wilaya de Mostaganem, rapporte la même source. Notons que cette cellule était en contact direct avec le groupe Daech et qu’elle a été mobilisée pour des opérations contre les commissariats de la wilaya. Les mis en cause vont être présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Mostaganem aujourd’hui jeudi. Amina L

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Réchauffement sur l’axe Rabat -Nouakchott

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 05/23/2018 - 23:15
Les Mauritanies - La relation entre la Mauritanie et le Maroc vient encore une fois de souffler le chaud. En effet, près d’un an après...
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«Battlefield 5» angeschaut: Das sind die Neuerungen auf dem Schlachtfeld

Blick.ch - Wed, 05/23/2018 - 23:13

Mit dem Szenario des Zweiten Weltkrieges gehen die Entwickler von «Battlefield 5» zurück zu den Wurzeln der immens populären Shooterreihe. Wir haben das am 19. Oktober erscheinende Spiel in London mit den Entwicklern angeschaut.

Wichtigste Informationen zu «Battlefield 5»PlattformenPC, PS4, Xbox OneRelease19.10.2018 (Schweiz)Preis59.99 Euro (PC) bei Origins, 72.90 Franken (PS4) bei PSN, 75 Franken (Xbox One) bei Xbox liveAlterab 18 JahrenÜbersicht: Darum gehts in «Battlefield 5»

Nach dem frischen Szenario des Ersten Weltkriegs in «Battlefield 1» geht es im neuen Game der Shooterreihe wieder zurück in ein altbekanntes Szenario. Wohl keine andere Auseinandersetzung wurde in Spielen so oft aufbereitet wie der Zweite Weltkrieg. Das ist den Entwicklern durchaus bewusst und so verzichten sie, uns zum 200. Mal Ohama Beach hochrennen zu lassen. Stattdessen sollen in der Einzelspieler-Kampagne – auch «War Stories» genannt – eher unbekannte Ereignisse im Vordergrund stehen. So dreht sich eine der Geschichten um den Widerstand im von den Nazis besetzten winterlichen Norwegen. Dort kämpft die Heldin nicht darum, die Welt zu retten, sondern einfach, dass ihre Familie überleben kann.

Trailer zu «Battlefield 5»

 

Gameplay: So spielt sich «Battlefield 5»

Neben der Solo-Kampagne gibt es dieses Mal auch einen Kooperations-Modus für vier Spieler, die gemeinsam gegen die Feinde antreten. Dieser soll eine weite Reihe von möglichen Missionen bieten. Zum Beispiel darf man mit seinen Freunden im Fallschirm hinter den feindlichen Linien abspringen, um dort mit gesammelten Ressourcen möglichst lange zu überleben, ohne dass ein Teammitglied stirbt. Mit einem Missionsgenerator kann man sich sogar dynamische Ziele vorgeben. Der Koop-Modus soll auch dazu dienen, das Spiel genauer kennenzulernen, ist so also auch für Einsteiger geeignet.

 

Im kompetitiven Multiplayer-Modus spielen die Squads eine wichtige Rolle. So können zum Beispiel alle Spieler den verwundeten Squadmitglieder wieder auf die Beine helfen, während dies bei Gefallenen ausserhalb des eigenen Trupps nur der Medic kann. Das Verarzten dauert nun um einiges länger, dafür darf man nun darnieder liegenden Teamkameraden in Deckung ziehen, bevor man mit der Prozedur beginnt.

Mit dem Flugabwehr-Geschütz auf dem Panzer

Sollte man trotzdem sterben, kann man jetzt nur bei einem Squadmitglied wieder in die Schlacht einsteigen. Stirbt hingegen die gesamte Gruppe, muss sie wieder beim Ausgangspunkt der Schlacht starten. Deshalb ist der Druck, falls man als letzter noch lebt, besonders gross. Allgemein wollen die Entwickler Teamplay fördern und mit verschiedenen Regeln dafür sorgen, dass die Squad-Mitglieder auch zusammenbleiben. Neben einzelnen Modi bietet das Game auch die sogenannten Grand Operations, die eine mehrteilige Schlacht aus bis zu vier Spielvarianten mit zum Teil speziellen Regeln – zum Beispiel komplett ohne Fahrzeuge – bietet.

 

Die wichtigste Gameplay-Neuerung ist ein Festungssystem. Die Soldaten können zerstörte Häuser zu einem Teil wieder aufbauen und als Deckung nutzen. Aber auch mit Panzersperren, Stacheldraht, Sandsäcken und MG-Geschützen darf man Orte absichern. Nachschubstationen für Medkits und Munition sind auch möglich. Ebenfalls neu sind die stationären Anlagen gar nicht mehr so stationär. Die Spieler können nun auch ein Luftabwehrgeschütz auf einen Panzer packen und so als mobiler Fliegerschreck durch die Gegend fahren.

Unzählige Anpassungsoptionen

Grafisch sieht «Battlefield 5» absolut gigantisch aus. Hier macht sich bemerkbar, dass Häuser nicht mehr nach vordefinierten Animationen einstürzen, sondern die Zerstörung nach physikalischen Begebenheiten berechnet wird. Heisst: Bei Beschuss von aussen, fliegen die Trümmerteile nach innen, bei der Explosion einer Granate im Gebäude, schiessen sie nach aussen. Zusätzlich hat man an der Interaktion zwischen Spielerfigur und Umgebung gearbeitet. Schleicht ein Soldat durchs hohe Gras, werden die Halme realistisch weggedrückt.

 

Neu hat man dem Spiel unzählige freischaltbare Dinge hinzugefügt: So lässt sich das Aussehen des eigenen Soldaten, der Fahrzeuge und auch der Waffen nach belieben verändern und modifizieren. Dazu schaltet man jede Menge neue Waffen und Zubehör frei. Das soll nicht unbedingt Vorteile bieten, sondern mehr die Ausrüstung den eigenen Bedürfnissen anpassen. So muss man sich entscheiden, ob der eigene Panzer möglichst schnell oder mit einer möglichst dicken Rüstung über das Schlachtfeld rollt. Um die Spieler noch länger bei der Stange zu halten, gibt es jeweils drei tägliche Aufgaben und viele über längere Zeit dauernde Assignments, die mit speziellen Belohnungen locken.

Fazit

Viel Live-Gameplay gab es während der Präsentation leider noch nicht zu sehen. Die vielen kurzen Tech-Demos sahen aber hervorragend aus und lassen auf einen grossen Shooter mit vielen Freiheiten hoffen. Der verstärkte Fokus auf das Squad-Gameplay mag nicht jedem schmecken, dürfte den Spielern aber viele neue taktische Möglichkeiten in die Hand geben. Ob sich die ganzen gezeigten Puzzle-Teile zu einem gelungenen Ganzen zusammensetzen, erfahren wir am 19. Oktober 2018, wenn das Spiel für PC, PS4 und Xbox One erscheint. Käufer der Deluxe-Edition können drei Tage, Origin-Abonennten sogar acht Tage vor dem offiziellen Start in die Schlacht steigen.

 

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